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Afrique

Me Adrien Houngbédji rencontre diverses personnalités ce mercredi

24 Heures au Bénin - Tue, 03/19/2019 - 22:03

Dans le cadre des échanges qui se mènent en vue de l'organisation des élections législatives inclusives 2019, le Président de l'Assemblée Nationale, Me Adrien Houngbédji effectue plusieurs rencontres avec les têtes de pont des partis et diverses personnalités.

Le Président de l'Assemblée Nationale, Me Adrien Houngbédji est préoccupé par l'organisation d'élections inclusives et crédibles au Bénin. Dans l'après-midi de ce mardi 19 mars 2019, il s'est rendu chez le président Nicéphore Dieudonné Soglo. Ce mercredi 20 mars, il va effectuer le déplacement au domicile du président Thomas Boni Yayi. Me Adrien Houngbédji va recevoir également au Palais des Gouverneurs, l'envoyé spécial du Secrétaire général des Nations-Unies, Mohammed Ibn Chambas.

Aussi, va-t-il rencontrer dans l'après-midi du même jour à Cotonou, le professeur Joël Aivo, et ensuite les 10 formations politiques impliquées dans le processus électoral, en plus du PCB et du FS.

Akpédjé AYOSSO

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Mauritanie : le FMI prévoit une croissance de plus de 6% en 2019

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 21:45
Financial Afrik - Le fonds monétaire international a annoncé dans un communiqué le 13 mars 2019, que la croissance économique de la Mauritanie...
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Mauritanie: une mission d'Amnesty refoulée à l'aéroport, les explications de Nouakchott

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 21:25
Le Figaro - La police mauritanienne a refoulé dimanche à son arrivée à l'aéroport de Nouakchott une délégation d'Amnesty International qui...
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Le diplomate onusien Ibn Chambas reçu par Djogbénou

24 Heures au Bénin - Tue, 03/19/2019 - 21:16

Le président de la Cour constitutionnelle, le Professeur Joseph Djogbénou a reçu en audience ce mardi 19 mars 2019, Mohammed Ibn Chambas, représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel. Ils ont échangé sur l'organisation des élections législatives prochaines.

Après la visite de la Cedeao au Bénin il y a quelques jours, les émissaires des Nations Unies ont également effectué le déplacement en vue de s'assurer de la tenue d'élections inclusives, transparentes, démocratiques et crédibles. Selon le diplomate Ibn Chambas, le but de sa visite est pour exprimer le soutien de l'ONU et de la communauté internationale à tous les efforts visant à consolider et à renforcer la démocratie dans le sens du dialogue inclusif. « Comme les Nations Unies travaillent avec la CEDEAO, nous pouvons être aux côtés des gouvernements, des institutions, des partis politiques, du peuple béninois pour aider à trouver un moyen d'avancer pour aller vers des législatives inclusives », a-t-il déclaré. L'émissaire de l'ONU insiste sur le dialogue entre tous les partis, ce qui va aboutir sur une approche consensuelle pour des législatives inclusives et participatives.

« Nous avons trouvé le président vraiment ouvert. Aussi, nous l'avons conseillé de poursuivre les discussions avec les partis politiques, ce qui va renforcer la construction la démocratie ici au Bénin », a affirmé Mohammed Ibn Chambas.
Le diplomate onusien invite toutes les institutions impliquées dans l'organisation du scrutin à tout mettre en œuvre pour que les élections législatives de 2019 soient un succès.
« Comme le Bénin est toujours un bon exemple de la démocratie dans la sous-région dans l'Afrique, nous sommes conscients qu'on va s'en sortir », a-t-il conclu.

Akpédjé AYOSSO

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Algérie : Abdelaziz Bouteflika confirme qu’il entend rester président après l’expiration de son mandat

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 21:00
Jeune Afrique - Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a confirmé lundi dans un message qu'il prolongerait son 4e mandat au-delà de son...
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Me Adrien Houngbédji livre les conclusions du groupe de travail

24 Heures au Bénin - Tue, 03/19/2019 - 20:59

Des amendements à la nouvelle charte des partis politiques ainsi qu'au code électoral permettant à l'opposition de participer aux prochaines législatives devraient entraîner une prolongation de 45 jours du mandat actuel des députés. C'est l'essentiel de ce qu'on peut retenir de la conférence de presse animée ce mardi 19 mars 2019 par le président de l'Assemblée nationale Me Adrien Houngbédji qui présentait ainsi les conclusions du groupe de travail de cinq députés mis sur pieds par la conférence des présidents du parlement.

EXTRAITS DU POINT DE PRESSE DU PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE, Me Adrien HOUNGBEDJI SUR LE TRAVAIL DU COMITE PARTITAIRE PARLEMENT EN VUE DES LEGISLATIVES INCLUSIVES 2019

Des pourparlers à la mise en place du comité paritaire
« …Nous avons rencontré les partis politiques que nous pouvions, pour recueillir leurs propositions de sortie de difficultés et nous leur avons demandé de nous faire parvenir le plus vite que possible, leurs contributions de solution pour des élections législatives inclusives en 2019. Je dois dire que tous les partis politiques concernés ont répondu à mon appel sans exception. J'y ajoute deux formations politiques qui, bien que n'étant pas directement concernés par le processus en cours, ont quand même manifesté de l'intérêt. Il s'agit du Parti Communiste du Bénin et des Forces Souveraines. Muni des contributions de certains partis politiques, nous avons réuni la Conférence des présidents qui a suggéré que le travail soit confié à une équipe restreinte composée de deux membres de la majorité parlementaire et deux membres de l'opposition parlementaire. C'est ainsi que la majorité parlementaire a eu à désigner les présidents Antoine Kolawolé Idji et Barthélémy Kassa ; et l'opposition a eu à désigner les présidents Eric Houndété et Yaya Garba. Nous nous sommes mis au travail. Je présidais ce groupe de travail. Nous avons eu à travailler d'arrache-pied et nous avons fini hier en début de soirée…
Les résultats des travaux du comité paritaire sur la Charte des partis politiques
(…) Je voudrais vous donner la primeur des résultats du groupe de travail bien que cela soit déjà sur les réseaux sociaux. C'est comme ça. Nous sommes dans une société où les nouvelles vont très vite. Nous avons commencé par recenser ce qui fait obstacle aux élections législatives inclusives. Notre premier constat a été qu'au niveau de l'enregistrement des partis politiques par le Ministère de l'Intérieur, la plupart des partis qui se sont trouvés exclus n'ont pas pu se faire enregistrer dans ce ministère. Nous avons donc décidé de retoucher la Charte des partis politiques. Nous avons décidé qu'à compter de maintenant, un délai supplémentaire de 10 jours sera accordé aux partis politiques pour se faire enregistrer. Nous avons dit que le Ministère de l'Intérieur qui fait cet enregistrement, doit faire parvenir ses observations en une seule fois et non en plusieurs fois comme nous l'avons constaté. Nous avons décidé que lorsqu'il envoie des observations à ces partis politiques là, il doit les assister à accomplir les formalités nécessaires et cette assistance doit durer 5 jours. Au bout de 5 jours, le Ministère de l'Intérieur est tenu de délivrer le certificat d'enregistrement aux partis concernés. Donc, ce faisant, nous avons pratiquement levé les verrous, levé les blocages qui s'observaient. Dix jours ont été accordés de plus aux partis politiques, huit jours ont été accordés au ministère de l'intérieur pour délivrer le certificat d'enregistrement, cinq jours supplémentaires ont été accordés lorsque le certificat n'est pas délivré pour que le Ministère de l'Intérieur assiste les partis politiques concernés et au bout des cinq jours, le Ministère de l'Intérieur est tenu de délivrer le certificat. Nous pensons que de cette façon, nous avons largement contribué à régler le problème de l'enregistrement des partis politiques…
Les résultats des travaux du comité paritaire sur le Code Electoral
(…) Nous sommes passés ensuite à la loi électorale. Effectivement, certaines dispositions de la loi électorale sont critiquées et posent problème. Nous avons listé ces difficultés. Nous avons constaté que ce qui fait le plus problème est le quitus fiscal. Nous n'avons pas à revenir là-dessus. Le quitus fiscal est indispensable parce qu'*on ne peut pas prétendre diriger un pays si on n'est pas à jour du point de vue fiscal*. Nous avons estimé qu'il ne faut pas que l'administration fasse de la délivrance du quitus fiscal, une occasion d'arbitraire. Nous avons dit que lorsque quelqu'un présente le document qui prouve que sa situation fiscale a un solde zéro, on doit lui délivrer son quitus fiscal.
Nous avons ensuite dit que si nous voulons que tout le monde aille aux élections, il faut un nouveau processus électoral. Nous avons donc ouvert un autre processus électoral. Nous avons dit qu'à partir de la promulgation de la nouvelle loi, la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) a un délai de 5 jours pour recueillir les candidatures et lorsqu'elle a recueilli les candidatures, elle a 8 jours pour les examiner et lorsqu'elle constate qu'il y a des irrégularités sur une liste, elle les notifie au parti concerné et lui accorde encore 72 heures pour les corriger. Cela a fait l'objet d'articles nouveaux.
Ensuite, il y a l'article 242 du Code électoral qui posait problème. Nous avons dit qu'il s'agit d'une réforme majeure. Nous voulons que seules les grandes formations politiques puissent participer aux élections. Nous avons voulu réduire le nombre de partis politiques et que par conséquent, le parti qui n'a pas recueilli 10% des suffrages ne peut normalement pas prétendre à des sièges au Parlement. *Nous avons maintenu l'article 242, mais nous l'avons rendu beaucoup plus lisible en prenant tout simplement en compte ce qui avait été interprété par la CENA*. Nous avons aussi pris des dispositions pour assurer la transparence du scrutin qui consiste grosso modo à ce qu'il y ait des représentants de la majorité et des représentants de l'opposition à tous les stades…
Résultats des travaux du comité paritaire pour le respect de la Constitution
(…) Lorsque nous avons fait ça, nous nous sommes demandé si cela nous permet de rester dans les délais constitutionnels. Est-ce que d'ici le15 Mai nous pouvons faire tout cela sans précipitation puisque c'est le 15 Mai la fin du mandat de l'Assemblée nationale ? Et nous nous sommes permis de faire les décomptes. En faisant les décomptes, nous nous sommes rendus compte qu'il faut au moins trente jours de plus sur le 15 Mai pour y arriver. Cela nous a amené à proposer une modification de l'article 80 de la Constitution. Que dit l'article 80 ? *L'article 80 dit que le mandat des députés est de quatre ans. C'est la constitution qui le dit. Si nous voulons le proroger de 45 jours pour pouvoir faire tout ce que nous avons dit là, il faut que nous modifions l'article 80 en y ajoutant un dispositif qui sera l'article 80 alinéa 2 qui dit que le mandat des députés peut être prorogé de 45 jours.* Voilà donc en gros ce qui a été proposé par le comité paritaire que j'ai présidé…
Le consensus a régné au sein du comité paritaire
(…) Je voudrais ajouter que c'est un comité paritaire majorité-opposition. Vous constaterez si vous avez eu les documents que toutes ses propositions ont été signées, paraphées par les cinq membres ; c'est-à-dire les quatre plus moi-même. Vous constaterez qu'il y a une lettre de transmission à la Conférence des Présidents pour servir de lettre d'introduction de ces réformes à l'Assemblée nationale. Elle a été signée par les cinq membres du comité. C'est comme cela que nous avons travaillé, par consensus. L'opposition était satisfaite. La majorité était satisfaite. L'objectif des uns et des autres étant de ramener la paix sociale au Bénin, de faire des élections démocratiques, de faire des élections inclusives et permettre au plus grand nombre de partis de se représenter. Voilà ce que nous avons fait. Ce travail va être introduit en plénière le jeudi. Et comme vous le savez, ce n'est pas le Président de l'Assemblée nationale qui vote les lois. Ce n'est pas le petit comité qui vote les lois. Nous nous sommes attelés à faire un travail de consensus. Ce travail va être soumis d'abord à la commission des lois qui va être saisie à faire son rapport. Nous allons nous arranger pour que la Commission des lois fasse un rapport selon la procédure d'urgence. Et notre espoir est que jeudi, nous puissions voter sur ces textes là. Notre espoir est que le consensus auquel nous sommes parvenus au sein du comité puisse également se traduire au niveau de la plénière pour que ces propositions deviennent désormais des lois. Voilà ce que je voulais dire…
Houngbédji rassure de la bonne volonté politique du président Patrice Talon
(…) Il ne doit pas y avoir de la spéculation sur la volonté politique qu'il y a de parvenir à des élections législatives inclusives. Je ne trahis aucun secret en disant que pendant tout le déroulement de la procédure, nous n'avons pas manqué d'avoir son encouragement pour avancer. Et s'il ne tenait qu'à lui, nous aurions même déjà voté ces textes. Vraiment ! Je dis que tout le long du parcours, c'est personnellement moi qui suis mandaté, je n'ai pas constaté une volonté quelconque du Chef de l'Etat de faire obstacle à ce souhait que lui-même a manifesté pour des élections législatives inclusives…
Le plan B en cas d'échec de la révision de l'article 80 de la Constitution
(…) Nous voulons faire notre travail. La Cour constitutionnelle fera également son travail. Si à l'Assemblée nationale, si le problème de la modification de l'article 80 de la Constitution se posait, nous n'hésiterons pas à faire voter une loi ordinaire qui raccourcirait tous les délais et organiser les élections pour respecter la durée du mandat des députés. Au lieu d'avoir 8 jours pour faire telle chose, on aura peut-être 2 jours. La campagne électorale, au lieu qu'elle dure 15 jours, elle prendra peut-être une semaine (…) Nous avons renforcé la majorité nécessaire pour faire cette modification. Alors que la révision ordinaire de la constitution nécessite une majorité de 4/5 , nous avons mis que le vote doit être adoptée à la majorité des 5/6. Donc nous avons pris des précautions (…) Je pense qu'étant donné que c'est par consensus que nous avons fait ces propositions, je pense qu'en plénière cela devrait passer. Mais on ne sait jamais. On va tenir en tous cas dans les délais.

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Reconnaissance par 16 pays africains au Président de la République pour son engagement en faveur de l'élimination de l'Hépatite B et C en Mauritanie

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 20:56
Institut National d'Hépato-Virologie - Dans le cadre de son 1er Congrès tenu à Cotonou au Bénin, du 03 au 05 août, l’Alliance Africaine...
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Le Représentant de l'ONU fait le tour des personnalités et institutions

24 Heures au Bénin - Tue, 03/19/2019 - 20:52

Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel à la tête d'une délégation onusienne, a rendu visite aux deux anciens Président de la République du Bénin, Dr Thomas boni Yayi et Nicéphore D. Soglo ce Mardi 19 Mars 2019, à Cotonou. Une visite qui rentre dans le cadre de la recherche d'une solution pour une sortie de crise liée au non participation des partis de l'opposition aux élections législatives du 28 avril prochain.
Après les émissaires de la Cedeao c'est au tour de ceux des Nations Unies de rechercher ensemble avec la classe politique béninoise une solution pour une sortie de crise. L'importante délégation des Nations Unies composée de diplomates Onusiens est conduite par Monsieur Mohammed IBN CHAMBAS et séidou Coulibaly. Les échanges ont tourné autour de la recherche d'une solution pour la participation des partis de l'opposition aux élections législatives du 28 avril prochain.
Chez le Président Nicéphore D. soglo l'actualité socio-politique que traverse le Bénin a largement focalisé les échanges, empreints de solennité et de convivialité. Le président Soglo a réitéré tout son engagement et sa détermination à œuvrer pour la décrispation du climat politique quelque peu perturbé par l'organisation des élections législatives de 2019.
Le Président Boni Yayi a quant à lui rassuré qu'il ferait tout possible pour que les élections législatives se déroulent sans exclusion. « La sortie de la crise actuelle que traverse actuellement le Bénin, mon pays que j'ai eu le privilège de diriger toute une décennie durant, et pour qui j'entends donner davantage, a besoins de tous ses fils et filles. Je mesure la portée de cette responsabilité, et rassurez-vous, mon cher frère Mohammed IBN CHAMBAS, je jouerai pleinement et entièrement ma partition à la recherche du consensus, principe à valeur constitutionnelle au Bénin depuis le Renouveau Démocratique, consensus qui doit être au cœur du processus électoral en cours. », a indiqué l'ancien président Boni Yayi. Il a précisé que « Dans aucun pays de ce monde on n'a jamais construit la paix et le bonheur partagé dans une gouvernance électorale d'exclusion ». Il a souligné que « c'est donc un impératif pour les filles et fils de ce pays de se parler et d'arrêter un consensus qui doit faire objet de feuille de route pour des élections législatives crédibles et inclusives ». Boni Yayi n'a pas manqué de remercier le Secrétaire Général des Nations Unies, Antonio GOUTERÈS « Je vous prie de transmettre à mon frère et ami, le Secrétaire Général des Nations Unies, Antonio GOUTERÈS toutes mes civilités pour la grande marque d'attention qu'il accorde au Bénin et au monde. Pays de Paix et Laboratoire de Démocratie en Afrique, mon pays le Bénin ne cessera de compter parmi les Nations où règne la Paix, cheval de bataille de la Presitigieuse Organisation des Nations unies. C'est sur ces mots que l'ancien Président Boni YAYI a souhaité un bon retour à ses hôtes » a-t-il conclu.

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Une délégation onusienne chez Yayi et Soglo

24 Heures au Bénin - Tue, 03/19/2019 - 20:48

L'ex président de la République du Bénin, Dr Boni Yayi a reçu ce mardi 19 mars 2019, à sa résidence à Cotonou une délégation de l'ONU avec à sa tête Mohammed Ibn Chambas, représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel. La délégation de l'Onu s'est rendue également chez l'ancien président Nicéphore Soglo.

Abordant les préoccupations que suscitent les législatives de 2019, Dr Yayi Boni a promis œuvrer pour un apaisement de la situation politique, depuis peu tendue à cause de l'organisation desdites élections.

L'ancien président Boni Yayi a au cours des échanges rassuré ses hôtes de son engagement et sa détermination à œuvrer pour une sortie de l'impasse des élections législatives de 2019. « La sortie de la crise actuelle que traverse actuellement le Bénin, mon pays que j'ai eu le privilège de diriger toute une décennie durant, et pour qui j'entends donner davantage, a besoin de tous ses fils et filles. Je mesure la portée de cette responsabilité, (...) je jouerai pleinement et entièrement ma partition à la recherche du consensus, principe à valeur constitutionnelle au Bénin depuis le Renouveau Démocratique, consensus qui doit être au cœur du processus électoral en cours », a-t-il déclare.

L'ex président souligne qu'aucun pays de ce monde « n'a jamais construit la paix et le bonheur partagé dans une gouvernance électorale d'exclusion ». Il est impératif pour lui que les filles et fils de ce pays se parlent en vue d'arrêter un consensus qui doit faire objet de feuille de route pour des élections législatives crédibles et inclusives.
« Pays de paix et laboratoire de démocratie en Afrique, mon pays le Bénin ne cessera de compter parmi les Nations où règne la paix, cheval de bataille de la prestigieuse Organisation des Nations unies », a-t-il conclu.

Souhaitant un bon retour à ses hôtes, il présente ses civilités au Secrétaire Général des Nations Unies, Antonio Guterres qui selon lui accorde sa grande marque d'attention au Bénin et au monde.

Akpédjé AYOSSO

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Le CNDS prône pour une collaboration apaisée

24 Heures au Bénin - Tue, 03/19/2019 - 20:46

La première Session ordinaire de l'année 2019 du Conseil National du Dialogue Social (CNDS) a démarré dans la matinée du mardi 19 mars 2019 à l'INFOSEC de Cotonou. Cette rencontre permettra aux acteurs " d'examiner dans quelle mesure, gouvernement, employeurs et travailleurs auxquels s'ajoutent les autres composantes de la société pourront se concerter, non pas dans un esprit de confrontation, mais chercher des règles communes qui régissent la conception des politiques et les comportements des différents acteurs".

Selon le Président du Conseil National du Dialogue Social, Guillaume ATTIGBE, "Cette session connaîtra également deux exposés sur deux thèmes d'actualité respectivement relatifs aux aspects économiques du Programme d'Actions du Gouvernement (PAG) et à l'Assurance pour le Renforcement du Capital Humain (ARCH) ". Ce sera l'occasion pour les employeurs, les représentants des travailleurs et du Gouvernement d'évaluer les engagements respectifs contenus dans la charte nationale du Dialogue Social.
Le Bureau Exécutif National du CNDS a donc convié tous les conseillers à examiner d'importants dossiers liés à la bonne marche de l'institution.
Le directeur, tout en remerciant les conseillers du CNDS, pour les efforts déployés les invite à asseoir les bases de l'Institution dont le rôle dans la création et le maintien de la paix sociale reste primordial. Il rappelle avec insistance que le dialogue social est le socle de tout développement durable. Le défi à relever est de créer une meilleure gouvernance entre l'économie et le social, a-t-il déclaré. Aussi souligne-t-il que " le CNDS se réjouit et félicite les acteurs politiques de notre pays et plus particulièrement le Chef de l'État pour l'initiative prise, en invitant les protagonistes à emprunter la voie royale du dialogue pour le règlement du désaccord né entre eux"
Ces assises se tiennent du 19 mars au 12 avril 2019.
G.A.

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Tizi-Ouzou : réception des sièges de football de 50 000 places et début de l’opération de leur installation

Algérie 360 - Tue, 03/19/2019 - 20:25

Les sièges du stade de football de 50 000 places couvertes implanté au pôle d’excellence de Oued Fali, wilaya de Tizi-Ouzou, ont été réceptionnés dimanche et sont en cours d’installation,a-t-on appris mardi auprès de la wilaya.

Un total de 51100 sièges aux couleurs du club phare de la région la Jeunesse sportif de Kabylie (JSK-ligue 1 mobilis), jaune et vert, ont été acheminés vers le site du projet où le wali Abdelhakim Chater s’est rendu pour s’enquérir de l’avancement des travaux de réalisation de ce stade et de ses annexes, et s’assurer que les délais de livraison de ce projet, fixés à la fin du premier semestre en cours, seront respectés, a-t-on ajouté.

Lors de cette visite d’inspection, M. Chater a demandé à l’entreprise réalisatrice qui avait avancé un planning de 3 mois pour la pose de la totalité des sièges, de compresser ce délai a deux mois et de renforcer l’effectif afin de respecter les délais de livraison.

Cette infrastructure, qui sera le premier stade totalement couvert à l’échelle nationale, sera opérationnelle à la prochaine saison sportive, a-t-on indiqué de même source.

Implanté à la sortie ouest de la ville de Tizi-Ouzou, ce stade composé de 12 bâtiments et ses annexes, dont un stade d’athlétisme de 6 500 places couvertes et un terrain de réplique en gazon naturel, a été inscrit au profit de la wilaya dans le but d’offrir à JSK une structure digne de son rang qui lui permettra d’évoluer dans un stade répondant aux normes de la FIFA.

Le projet, doté d’une enveloppe de 50 milliards de DA, a été confié à un groupement d’entreprises algéro-turque l’ETRHB Heddad et MAPA Insaat (Turquie).

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Respect de l’accord de paix en Centrafrique: l’UA a écouté tous les signataires

Algérie 360 - Tue, 03/19/2019 - 20:17

L’Union africaine (UA) a affirmé mardi avoir consulté tous les signataires de l’accord de paix centrafricain à Addis Abeba, où se déroule depuis lundi une réunion de suivi de l’accord, mis à mal après l’annonce début mars du nouveau gouvernement, a déclaré  l’organisation.

« Après les consultations initiales avec tous les signataires de l’accord de paix  (…), j’ai de nouveau rencontré le Premier ministre pour échanger les points de vues sur les moyens d’accélérer la mise en oeuvre de l’accord de paix », a écrit mardi sur Twitter, Smaïl Chergui, commissaire à la Paix et à la sécurité de l’UA et principal médiateur de cette réunion.

Cette réunion de suivi a été convoquée par l’UA le 6 mars, après l’annonce du nouveau gouvernement centrafricain issu de l’accord, jugé insuffisamment « inclusif » par la majorité des groupes armés présents à Khartoum (première réunion).

La plupart d’entre eux ont alors appelé à un remaniement ministériel, affirmant toutefois ne pas se désolidariser du texte signé le 6 février et censé ramener la stabilité dans ce pays en guerre depuis 2013.

A la table de réunion, les quatorze groupes armés ont répondu présent ainsi que le gouvernement centrafricain, représenté par le Premier ministre, Firmin Ngrebada.

« Nous y allons sans a priori, dans la sérénité », a déclaré mardi aux médias, Ange Maxime Kazagui, porte-parole du gouvernement.

« Je crois qu’il est dans l’intérêt de tout le monde de faire des compromis nécessaires pour que nous puissions arriver à un gouvernement qui soit (…) fonctionnel », avait déclaré, avant l’ouverture de la réunion lundi, M. Chergui sur les ondes d’une radio internationale.

« L’inclusivité ne concerne pas que le gouvernement. Il y a d’autres institutions de l’Etat tant au niveau national que local, et ailleurs. Donc à mon avis, on arrivera à une solution », avait-il ajouté.

Cet accord de paix, soutenu par tous les partenaires de Bangui et préparé depuis 2017 par l’Union africaine, est le huitième signé depuis le début de la crise.

Aucun des précédents accords n’a abouti à un retour de la stabilité, pas plus que la présence de la Mission de paix des Nations Unies (Minusca), déployée en 2014 et forte de 11000 Casques bleus.

Il est à noter que l’Organisation des Nations unies (ONU), à travers sa mission de paix en Centrafrique, la Minusca, a salué mercredi dernier dans un communiqué rendu public la tenue de la réunion de consultations des parties signataires de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine, en encourageant les parties à faire preuve du même esprit de dialogue et de consensus qui a prévalu lors des pourparlers à Khartoum.

Le porte-parole de la Minusca, Vladimir Monteiro, a réitéré dans le même communiqué  l’engagement de l’ONU, notamment à travers la Minusca, à travailler avec toutes les parties concernées pour la mise en œuvre de l’accord de paix.

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Mali: le ministre de la Défense sur les lieux de l’attaque de Dioura

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 20:16
RFI - Au lendemain de l’attaque du camp de l’armée malienne à Dioura, dans le centre du pays, un bilan officiel a été rendu public : 23...
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Macron: « Tout commentaire sur l’Algérie est perçu comme une immixtion » [vidéo]

Algérie 360 - Tue, 03/19/2019 - 19:42

Lors du « Grand débat des idées » organisé par France Culture, Emmanuel Macron a fait part de la difficulté d’évoquer la crise politique que vit l’Algérie depuis un mois, affirmant que tout commentaire sur  la situation « est perçu comme une immixtion ».

Question de Benjamin Stora:

https://www.algerie360.com/wp-content/uploads/2019/03/GrandDébatDesIdées_-3e-partie-_-religion_-laïcité360P_001_001.mp4

La réponse de Macron :

https://www.algerie360.com/wp-content/uploads/2019/03/GrandDébatDesIdées_-3e-partie-_-religion_-laïcité360P_001_002.mp4

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RIYADH/Sécurité : Une bande de cambrioleurs arrêtés

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 19:30
Tawary - Les éléments de la Brigade Recherche du commissariat de police Riyadh 3, relevant de la sûreté régionale de Nouakchott-Sud, ont...
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Tremblement de terre à M’sila !

Algérie 360 - Tue, 03/19/2019 - 19:19

Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,3 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée mardi à 16h36 dans la wilaya de M’sila, indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

L’épicentre de la secousse a été localisé à 8 km au Sud de Hamam Dalâa, précise la même source.

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Francophonie: 13% des Mauritaniens parlent français, selon un rapport de l’Observatoire de la langue française

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 18:45
Huff Post Maghreb - Le français est la 5e langue la plus parlée au monde, juste derrière l'arabe. 35% des Marocains, soit un peu plus d’un...
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Inauguration d’un sondage au profit de la ceinture verte de Chami [PhotoReportage]

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 18:00
MEDD - Le Directeur Général de l’Agence Nationale de la Grande Muraille Verte Monsieur SIDI MOHAMED LEHLOU à procédé ce lundi 18 mars 2019...
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Mahamat Saleh Annadif, chef de la Minusma: l’attaque de Dioura est «un coup dur»

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 03/19/2019 - 17:16
RFI - Au Mali, le nouveau bilan officiel après l’attaque terroriste contre le camp de Dioura, dans le centre du pays, fait état de 23...
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