Said Sadi ancien président du RCD, a diffusé sur sa page FACEBOOK un poste intitulé MOUVEMENT DU 22 FÉVRIER : RENDEZ VOUS AVEC L’HISTOIRE
En bref dans cet article, l’ancien président du RCD prévient les Algériens en citant quelques antidotes historiques qui risquent de se répéter et risquent de confisquer le mouvement populaire « Aujourd’hui, des menaces de même nature que celles qui ont détourné, confisqué et perverti l’indépendance pèsent sur le mouvement du 22 février. » Invitant à faire une « relecture libre du passé », « catharsis inévitable si l’on veut éviter de revivre les travers qui ont congelé la nation pendant plus d’un demi-siècle.«
Said Sadi ajoute que si nous voulons que le mouvement dure nous auront besoin d’une organisation. » Le succès de ce mouvement tient au fait qu’il rassemble toutes les sensibilités et les courants idéologiques du pays. Il est donc vain de chercher à lui donner une homogénéité programmatique ou doctrinale. «
Autre point que l’homme politique a traité c‘est le fait que le DRS essaye de détourner l’attention politique du peuple vers l’ancien chef de l’Etat Liamine Zeroual, ce après qu’un grand poster de ce dernier a été accroché sur un bâtiment de la Place Audin. « Fausse piste ou ballon d’essai, il est trop tôt pour dire si l’ancien chef d’Etat se laissera reprendre au jeu des appels obliques des services . »
M.A.Y
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GE (NYSE: GE) a annoncé aujourd’hui, en collaboration avec Uniper, le lancement de la commande de la mise à niveau de la solution GT26 HE pour turbines à gaz GT26, destinée à redynamiser la centrale électrique d’Enfield dans le grand Londres. Cette annonce confirme l’engagement de GE d’investir dans ses flottes de turbines à gaz dites « matures » afin de maintenir leur compétitivité sur le marché croissant de l’énergie. La solution GT26 HE est largement implémentée au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA), notamment aux Émirats arabes unis, en Iraq, en Tunisie et en Algérie.
«Nous sommes fiers de lancer la mise à niveau de notre solution GT26 HE avec Uniper. Il s’agit de la solution la plus avancée jamais introduite sur une turbine à gaz GT26 et de l’une de nos mises à niveau les plus efficaces de la gamme de la classe F», a déclaré Scott Strazik, Président et Directeur General de la nouvelle division de GE, Gas Power. « Cette mise à niveau servira non seulement à revitaliser la centrale d’Enfield d’Uniper, mais aussi à améliorer sa position concurrentielle sur le marché de la production d’énergie en Grande-Bretagne, contribuant ainsi à sa rentabilité et sa viabilité à long terme. »
Les principaux avantages en termes de performance incluent:
• Une efficacité accrue pour les centrales à cycle combiné:
Augmentation de l’efficacité de la charge de base de 2% et plus, entraînant des économies de carburant pouvant aller jusqu’à 4 millions de dollars par an.
Efficacité accrue de 1% en charge partielle, permettant d’économiser jusqu’à 1 million de dollars de carburant par an et par unité.
• Augmentation de la production de la centrale allant de 15 mégawatts (MW) à 55 MW par unité, améliorant ainsi les possibilités de revenus.
• Intervalles d’inspection étendus jusqu’à 32 000 heures, réduisant les coûts d’exploitation et de maintenance à long terme.
Aider à revitaliser la centrale d’Uniper à Enfield
La centrale d’Uniper à Enfield, Londres (R.-U.), sera le premier site à se doter de la nouvelle technologie GT26 HE en 2020. Les avantages attendus sont conséquents, notamment une augmentation de la production en mégawatt, une efficacité améliorée de la centrale et des turbines à gaz, ainsi que des intervalles de maintenance et des heures de fonctionnement prolongés. Cela permettra à Enfield d’élever de manière constante sa position sur la courbe de répartition du marché hautement concurrentiel du Royaume-Uni et d’augmenter ses heures de fonctionnement annuelles.
« Nous sommes très heureux de travailler avec GE sur cette dernière version technologique, » a déclaré Eckhardt Rümmler, Directeur de l’Exploitation, Uniper SE. « Dans un l’environnement de production d’électricité aussi concurrentiel et exigeant que celui de la Grande-Bretagne, investir pour maintenir la compétitivité de nos centrales en réduisant les coûts d’exploitation et de maintenance, tout en augmentant l’efficacité et la flexibilité, est essentiel pour le succès à long terme de notre parc. »
Technologie de perfusion de classe H pour des performances à haute efficacité
La mise à niveau de la solution GT26 HE constitue un bond en avant en matière d’extension des intervalles d’efficacité, de rendement et de maintenance. Elle est alimentée en partie par la technologie de pointe de la turbine à gaz phare de GE, HA, la plus grande et la plus efficace du secteur, avec des pièces fabriquées en utilisant les technologies de production additives et des innovations en matière d’aérodynamique, de science des matériaux et de dynamique de combustion. Elle intègre des avancées technologiques dans tous les composants (turbine, compresseur et chambre de combustion) afin de porter les performances de la turbine à un niveau supérieur, de manière à réduire les coûts de carburant tout en augmentant la production à pleine charge et en allongeant les intervalles de maintenance.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) estime que la demande d’électricité au Moyen-Orient devrait atteindre 2 419 térawattheures (TWh) d’ici 2040, soit le double des chiffres de 2016. De nouvelles solutions innovantes telles que la mise à niveau GT26 HE de GE peuvent aider la région à satisfaire une partie de cette demande croissante grâce à une meilleure utilisation des actifs existants.
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A travers une déclaration en date du 21 mars 2019, l'Intersyndicale des enseignants du supérieur demande la démission de la ministre Marie-Odile Attanasso. Une exigence qui intervient à la suite de l'interdiction de leur sit-in du 21 mars dernier au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour protester contre la nomination des chefs d'établissements et autres responsables dans les Universités Nationales du Benin.
« Dans le souci de faciliter une sortie rapide de crise, les enseignants du supérieur exigent la démission de Madame la ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso », précise la déclaration de l'Intersyndicale.
La crise est née de la décision de suppression du processus d'élection des recteurs et autres responsables assimilés dans les universités publiques du Bénin, prise par le gouvernement le 20 Septembre 2018.
Les enseignants du Supérieur se sont opposés à cette décision qui selon eux remet en cause les libertés académiques acquises depuis de longue date.
Ils ont organisé un sit-in le jeudi 31 janvier 2019 au ministère de l'enseignement supérieur et avait donné un moratoire d'un mois au ministre de tutelle pour revenir sur sa décision.
Selon les manifestants réunis au sein de l'Intersyndicale des enseignants des Universités Nationales du Bénin (UNB) « au lieu de prendre des mesures pour mettre un terme à la crise, la ministre multiplie des actes graves qui n'expriment rien d'autre que sa volonté de détruire l'enseignement supérieur public ».
« En effet, alors que l'Intersyndicale s'attendait à un signe d'apaisement de sa part après le sit-in du 31 janvier 2019 et l'ouverture du dialogue, Madame la ministre a préféré des actes agressifs et la persécution des enseignants du supérieur, à travers des travaux de recensement des manifestants au sit-in du 31 janvier 2019 et des demandes d'explications adressées à une prétendue liste d'enseignants qui sont appelés à justifier leur participation à cette manifestation ».
Pour eux, « si la participation à un sit-in par un enseignant du supérieur vaut demande d'explication, il devient aisé de déduire le but ultime de la suspension des élections dans les UNB››. ''Madame la ministre et le gouvernement sont en train de mettre en œuvre leur plan de liquidation des libertés publiques », a exposé la déclaration de l'Intersyndicale.
Elle rappelle que lorsque les principaux acteurs du régime actuel ont été victimes des actes graves de persécution en 2013-2014, les enseignants du supérieur, compte tenu de leurs obligations statutaire imposant la défense des libertés, ont manifesté leur désapprobation à travers des déclarations, des communiqués, des motions de grève et d'autres actions.
L'Intersyndicale exige aussi un message d'excuses de la part du ministre auprès de tous les enseignants à qui elle avait adressé une demande d'explication.
Akpédjé AYOSSO
Par Ali Boukhlef
Le pouvoir semble s’accommoder des manifestations du vendredi. Alors que des millions d’Algériens sont, de nouveau, sortis, le 22 mars, pour encore réclamer le départ du système, Abdelaziz Bouteflika demeure absent. En sus de l’absence physique du chef de l’État à laquelle les Algériens se sont habitués, le pouvoir n’a plus ni tête ni porte-voix, ce qui devient plus que problématique. Cette attitude est, au mieux, l’expression d’un malaise qui s’empare des centres de décision et, au pire, une nouvelle manière d’ignorer les revendications des Algériens. C’est visiblement cette option qui caractérise la posture actuelle du pouvoir en place.
Depuis la lettre adressée aux Algériens à l’occasion de la célébration de la Journée de la Victoire, qui coïncidait avec le 19 mars, la voix du pouvoir s’est, de nouveau, éteinte. Ni la présidence de la République, qui n’a plus de visage, ni le Premier ministre, embourbé dans sa démarche infructueuse de former une nouvelle équipe gouvernementale, n’ont daigné répondre aux millions d’Algériens qui sont sortis, en masse, vendredi dernier, pour réclamer une nouvelle fois le départ d’Abdelaziz Bouteflika et de son système.
Quant aux partis du pouvoir, qui jouent souvent le rôle de porte-voix d’un pouvoir qui n’arrive plus à trouver de visages pour le défendre, ils sont englués dans des dissensions internes qui n’en finissent pas de surprendre. Dans sa courte missive envoyée le 18 mars, Abdelaziz Bouteflika avait rappelé qu’il ne quittera pas la présidence de la République avant l’élection d’un nouveau chef de l’État. Il a rappelé qu’il compte mener sa feuille de route qui consiste à organiser une conférence “nationale inclusive”, l’adoption, par référendum, d’une nouvelle Constitution. Le tout sera couronné par une élection présidentielle. Aucune limite temporelle n’a été rappelée.
Pire, cette lettre donne même l’impression que le chef de l’État veut demeurer à son poste pour une longue période. Pourtant, le chef de l’État — ou ceux qui ont rédigé le document — semble ignorer qu’après le 28 avril, il n’aura plus de légitimité pour présider aux destinées de l’État. Pis encore, son rôle comme possible guide de la crise est contesté jusque dans les rangs des partis du pouvoir.
L’attitude d’Abdelaziz Bouteflika et des autres figures du pouvoir est dangereuse. Elle fait perdre au pays une vraie opportunité pour la sortie de crise. Car, en face, la population ne semble pas vouloir baisser les bras. Les manifestations se poursuivront et des appels à des grèves générales, qui toucheront notamment des secteurs névralgiques, sont déjà lancés sur les réseaux sociaux. Un signe que la mobilisation ne faiblit pas. Bien au contraire. Au fur et à mesure que Bouteflika s’accroche au pouvoir, les Algériens maintiennent leur mobilisation. Le bras de fer se poursuit.
Ali Boukhlef
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Environ 80 000 visiteurs dont 20 000 exposants sont attendus à la 27e édition du Salon international de l’informatique, de la bureautique et de la communication (Sicom), prévue à la Safex, Pins-Maritimes, à Alger, du 4 au 8 avril.
Cette nouvelle édition du Sicom, le plus ancien salon dans le domaine, attire annuellement les professionnels des TIC et les investisseurs.
Peuvent participer à ce salon tous les professionnels liés de près ou de loin aux domaines de l’informatique, de la bureautique, de la communication, de la sécurité informatique, de la téléphonie mobile ou encore de la formation pédagogique en informatique, entre autres.
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Quelques jours seulement après le départ de la directrice de la communication de la présidence de la République, Farida Bessa, trois hauts responsables au niveau de cette institution ont été limogés, selon des sources bien informées.
Il s’agit du secrétaire général de la Présidence, Haba Elokbi, du directeur des protocoles, Mokhtar Reguieg, et du responsable de la sécurité présidentielle, Nasser Habchi.
On ne connaît pas pour le moment les raisons de cette mise à l’écart, ni le lien qu’il pourrait y avoir entre ces révocations et la situation que vit actuellement le pays.
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Dans une lettre que Lakhder Brahimi aurait adressée à ses amis et dont le journal Electronique TSA détient une copie. Le diplomate apporte des clarifications sur le rôle qu’il avait joué lors de sa visite en Algérie. Et démenti entre-temps les propos dit à son égard « je cherche simplement à clarifier, une fois pour toutes, quelques points qui concernent ma modeste personne. «
Lakhdar Brahimi a écrit dans sa correspondance que « L’Algérie vit des journées et des semaines pleines de promesses, mais aussi de craintes et de dangers. Chacun essaie de suivre ce qui se passe chez nous, de là où il/elle se trouve. Certains essaient de peser sur les événements : ceci est parfaitement légitime lorsqu’il s’agit d’Algériennes ou d’Algériens ; ça ne l’est pas du tout pour celles et ceux qui ne le sont pas. Dans ce message, je ne cherche pas à analyser, encore moins à prescrire », il ajoute « au pays, comme à l’étranger, on continue à dire et à écrire que l’on m’a offert la position de Président de la Conférence Nationale proposée pour favoriser une sortie de la crise. On continue même d’écrire que je tiens actuellement ce rôle. J’ai dit publiquement et je redis ici, que ce n’est pas vrai : on ne m’a jamais proposé ce poste; pas plus qu’on ne m’a proposé à aucun instant le moindre rôle officiel ou officieux.»
Pour lui, « la situation dans le pays n’est pas celle où une seule partie peut unilatéralement choisir le président d’une telle Conférence. Si et quand cette Conférence devait devenir réalité, ce serait, à l’évidence, aux différents groupes qui en feraient partie de s’entendre pour choisir le Président de la Conférence ou, plus probablement le Présidium qui piloterait ses travaux. »
Le diplomate affirme également que les conversations qu’il a eues avec les représentants politiques, de l’Etat comme de l’opposition, et des membres de la société civile, étaient informelles « faut-il désormais être mandaté par qui que ce soit pour parler à des compatriotes de la situation dans notre pays ? »
M.A.Y
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Par Salami Youcef
Alors qu’il effectuait le réglage de l’assiette de parabole sur la terrasse de sa maison, près d’un pylône électrique, un jeune trentenaire a été foudroyé par le courant à haute tension. Cela s’est produit jeudi dernier à Cherarba, au sud d’Alger.
Cette localité replonge dans un drame, vu que ce pylône électrique a déjà fait sept victimes en l’espace de quelques mois. On assiste, encore une fois, à des drames absolument insensés. Des citoyens de la localité ont écrit à Sonelgaz pour attirer son attention sur le danger qui menace le site, indique-t-on.
Mais, ajoute-t-on, l’entreprise n’a pas daigné répondre à leurs doléances. Ainsi, la négligence criminelle et l’insouciance — qui laisse les citoyens vivre dans l’angoisse — continuent !
Y. S.
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Par B. Nacer
Pas moins de 630 logements sociaux, dans quatre sites, situés route de Meskiana, route de Khenchela, Feliti et Braknia, dans la ville d’Aïn Beïda, ont été squattés. Ce squat, entamé vendredi avec 40 logements, s’est poursuivi samedi atteignant 141 logements puis, dimanche matin, 630, a indiqué, à Liberté, le DG de l’OPGI d’Oum El-Bouaghi, Habita Mohamed Chawki, “Les listes de 960 unités sont actuellement en cours d’étude par la commission”, dit-il, ajoutant que “depuis hier (samedi, ndlr), nous sommes en train de dialoguer avec les squatteurs, car l’administration préfère régler le problème à l’amiable avant d’appliquer la loi ».
Au niveau local, cet acte n’a pas du tout été apprécié par la population. D’ailleurs, des dizaines d’habitants étaient, dimanche matin, au siège de la daïra. De son côté, le chef de daïra, Bouaziz Abdelaziz, nous a déclaré que “la loi sera appliquée, la plupart des squatteurs ne possèdent pas de dossier de demande de logement”, précisant que “le nombre de demandes s’élève à 18 000, de 1989 à 2013”.
Au siège de la daïra, un citoyen nous a affirmé que “parmi les squatteurs, beaucoup vivent une situation difficile, ils attendaient la distribution, prévue le 19 mars, et figurent sur la liste, cependant, nombre d’entre eux n’ont pas de dossiers”.
B. NACER
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Par Ali Titouche
Pendant que la production américaine de pétrole continue de battre tous les records, caracolant désormais à plus de 12 millions de barils par jour, les ports spécialisés dans le commerce du brut se préparent à accompagner les ambitions exportatrices d’or noir des États-Unis.
Nouveaux oléoducs, allongement des terminaux, creusement sous la mer, risqué pour l’environnement : c’est ainsi que se préparent les ports américains pour faire des États-Unis un exportateur net de pétrole. Corpus Christi en est un exemple. Sean Strawbridge, P-DG du port depuis 2015, estime que “les volumes de pétrole produits doivent trouver un débouché. Si on ne s’en charge pas, quelqu’un d’autre le fera”.
Les exportations du port pourraient passer à 2,7 millions de barils par jour une fois les travaux achevés, contre 700 000 aujourd’hui, d’après lui. La semaine dernière, la production américaine de pétrole a retrouvé des sommets, les États-Unis extrayant en moyenne 12,1 millions de barils par jour (mbj), contre 12 mbj une semaine auparavant. Les exportations du pays, qui avaient atteint courant février un niveau record depuis que ces statistiques sont compilées (1991) avec, au compteur, 3,60 millions de barils par jour, ont rebondi à 3,39 millions de barils par jour, contre 2,54 mbj une semaine auparavant. C’est dans l’objectif de soutenir cette dynamique d’exportation que les ports américains font peau neuve. Le port de Corpus Christi, réputé pour être le robinet du pétrole américain, va se doter de trois nouveaux oléoducs.
Epic, Cactus et Grey Oak seront opérationnels fin 2019, pour une capacité de transport de deux millions de barils supplémentaires par jour. Ces trois conduits géants relieront le port aux deux principaux réservoirs de pétrole de schiste du pays : Eagle Ford, mais surtout le bassin permien, à cheval entre l’ouest du Texas et le Nouveau-Mexique. L’industrie du pétrole, et plus particulièrement du schiste, connaît un essor fulgurant aux États-Unis et compromet les efforts de l’Opep et de ses alliés qui se sont investis depuis fin 2016 dans une tentative de rééquilibrage du marché pétrolier au moyen d’une baisse de leur offre. Signe de cette révolution qui ne connaît désormais aucun répit, le bassin du permien libère chaque jour 4,1 millions de barils. Il pourrait monter à 4,5 millions d’ici à cinq ans, selon les autorités américaines, de quoi rivaliser avec les champs les plus productifs au monde.
Les États-Unis deviendront exportateurs nets de pétrole dans quelques années seulement, une perspective qui met à rude épreuve une Opep soucieuse à la fois de soutenir les cours et de préserver ses parts de marché et son influence sur l’échiquier pétrolier mondial. Avec une production journalière de 12 millions de barils et une consommation stagnante, l’Amérique dépasse régulièrement les trois millions de barils exportés chaque jour, du jamais vu.
Une sérieuse mise en garde à l’adresse des membres de l’Opep et de leurs alliés non-Opep qui luttent depuis plus de deux années déjà contre les excédents de l’offre qui minent le marché.
Ali T.
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Par Akli Rezouali
Né à Alger, où il y a vécu jusqu’en 2005, Adlene Mohammedi est docteur en géographie politique à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Spécialiste de la politique arabe de la Russie, il nous livre, dans cet entretien, une analyse exhaustive sur le contexte politique qui prévaut actuellement en Algérie. Selon lui, le projet de transition que propose le régime de Bouteflika n’est qu’une ruse, et s’il venait à être mis en place, il pourrait durer autant de temps que le gouvernement voudrait, car il procède d’une intention malhonnête et est surtout hors cadre légal.
Liberté : La mobilisation populaire en Algérie contre Bouteflika et le régime en place entame son deuxième mois. Quels enseignements et quel bilan peut-on en tirer au stade actuel de la contestation ?
Adlene Mohammedi : Ce soulèvement populaire a d’abord révélé une chose importante : le pouvoir occulte, cryptocratique qui sévit en Algérie s’est mis dans une impasse. Il s’est attelé à dépolitiser les Algériens, à s’autonomiser d’eux, à leur tourner le dos jusqu’à l’absurde (jusqu’à cette candidature inacceptable) et il en paye le prix fort. Ironiquement, ce sont les Algériens que l’on avait essayé de dépolitiser qui font de la politique aujourd’hui, avec un certain talent et une admirable détermination, et c’est le pouvoir – qui s’était arrogé le monopole de la politique – qui révèle l’étendue de sa médiocrité. C’est une vraie leçon.
Des marches massives, pacifiques et régulières peuvent-elles suffire à précipiter la fin du régime en place ?
Je pense que c’est possible. Elles ne suffisent pas à construire le régime suivant, certes, mais elles détruisent à vue d’œil le pouvoir actuel. Le caractère pacifique de ces marches est un rempart contre la division et l’internationalisation (toute militarisation pousse au recours à des puissances tutélaires étrangères). La détermination des Algériens donne l’image d’une unanimité (et l’unanimité face à l’absurde est la moindre des choses) face au pouvoir algérien. Un pouvoir qui rétrécit de jour en jour et qui ne produit strictement rien d’intelligible. Un pouvoir avec lequel personne à l’intérieur n’a envie de dialoguer est voué à disparaître.
La démarche de transition que le pouvoir en place propose de mener par lui-même, malgré le rejet populaire, est-elle crédible ou est-ce une simple manœuvre politicienne qui vise à perpétuer l’ancien système de gouvernance, même sans sa partie apparente et sans l’actuel Président qui l’incarne ?
C’est une manœuvre grossière. Les lettres attribuées au Président sortant se ressemblent toutes. Sur la crédibilité de cette démarche de “transition”, il suffit de se poser les bonnes questions : un pouvoir informel qui ne respecte pas l’actuelle Constitution doit-il être le garant de la suivante ? Peut-on faire confiance aux hommes du régime actuel pour construire le régime suivant ? Les poser, c’est déjà y répondre.
Tel que souhaité par le régime en place, ce projet de transition devrait passer par la formation d’un nouveau gouvernement, puis par l’organisation d’une conférence nationale et une nouvelle Constitution à soumettre à référendum avant de parvenir au bout à la tenue d’une éventuelle élection libre et transparente, sans Bouteflika. Un tel processus, s’il venait à être imposé malgré la défiance populaire, ne s’apparente-t-il pas, par la durée qu’il risque de prendre, à un projet de cinquième mandat présidentiel qui ne dit pas son nom ?
C’est en effet une ruse du pouvoir en place. Tout est frauduleux et clandestin dans sa démarche. Ces lettres attribuées au Président, ce “remaniement”, cette “conférence”, cette hypothétique nouvelle Constitution… Tout cela n’est rien d’autre qu’une ruse. Ils gagnent du temps et espèrent nous avoir à l’usure. Comme si les Algériens étaient sortis pour avoir un gouvernement de “technocrates” et une “conférence” susceptible de leur soumettre, un jour, une nouvelle Constitution ! Tout cela est évidemment absurde. Ils jouent la montre, mais ils sont bien obligés de constater que la détermination des Algériens ne faiblit pas.
La démarche qu’ils proposent pourrait prendre autant de temps qu’ils voudront, puisqu’elle n’est fondée sur aucune intention honnête et qu’elle est hors cadre légal en plus. Pour ce qui est du mandat quinquennal qui ne dirait pas son nom, il y a un léger obstacle. Constitutionnellement, après le mois d’avril prochain, le Président algérien n’aura strictement aucune légitimité. En termes d’action anti-démocratique, cela dépasse l’élection frauduleuse qu’ils préparaient. Et je vois mal comment cela pourrait passer.
L’opposition algérienne, dans sa configuration actuelle, est-elle à même de gagner l’adhésion du peuple pour guider une éventuelle transition dans le cas d’un retrait du régime en place dès fin avril prochain ? Sinon, quel projet de transition serait le mieux à même de réussir après le départ escompté de Bouteflika ?
Le pouvoir algérien, et il faut avouer que c’est encore plus vrai depuis l’arrivée de Bouteflika en 1999, a toujours malmené l’opposition et même l’idée d’opposition. Les partis d’opposition ont beaucoup déçu. Certains se sont compromis. On peut dire que les Algériens ont contourné beaucoup d’obstacles (une opposition affaiblie, des syndicats corrompus, un tissu associatif abîmé…) pour se soulever. On peut même dire que les Algériens sont en train de libérer leurs élites du pouvoir en place. Concernant l’opposition, le soulèvement l’aura déjà libérée d’une élection absurde. Malgré tout, on voit que des noms de l’opposition sont adoubés par les manifestants.
C’est bon signe dans la mesure où ce mouvement aura besoin d’une traduction politique nourrie par lui. Pour ce qui est du projet de transition, je pense qu’il faut songer à une véritable Assemblée constituante. Il faut faire en sorte, dans un premier temps, que l’actuelle Constitution soit respectée (ce qui signifie l’absence de toute prolongation). Cela implique une élection présidentielle (organisée par une instance indépendante). Dans un second temps, l’élection d’une Assemblée constituante et le débat national autour de la nouvelle Constitution seraient un prolongement de l’actuel mouvement.
À quoi rime exactement la campagne diplomatique que mène actuellement le gouvernement auprès des grandes puissances occidentales et de la Russie ? Ces pays, quel que soit leur poids géopolitique, peuvent-ils réellement aider le régime algérien à se maintenir même contre la volonté du peuple ?
Cela fait partie de la ruse par laquelle répond le pouvoir algérien à la contestation populaire. À l’intérieur, il est plus contesté que jamais. Il est même lâché par les siens. Il ne peut donc miser que sur l’extérieur. Le choix de Lakhdar Brahimi (pour présider l’hypothétique conférence) et de Ramtane Lamamra (comme “vice-Premier ministre”) est révélateur de cet aveuglement. D’abord, nous ne sommes pas dans le cadre d’un conflit international. Nous n’avons donc pas besoin de diplomates. C’est une affaire tout simplement politique. Ensuite, il ne faut pas oublier qui sont ces hommes. Des serviteurs du régime dont ils sont issus et qu’ils sont venus sauver.
La sous-diplomatie du pouvoir algérien (il ne s’agit pas des intérêts de l’État algérien mais de ceux du clan au pouvoir, donc parler de “diplomatie” serait excessif) ne peut se substituer à la politique. Mais politiquement, le pouvoir algérien s’est rendu insupportable. Pour ce qui est de cette tournée internationale de Lamamra, je ne pense pas qu’elle ait été si fructueuse que cela. La position de la Russie est très prudente. Dans d’autres affaires, la Russie s’est empressée de parler d’ingérence, de déstabilisation et de terrorisme. Là, la diplomatie russe se contente de dire que c’est une “affaire intérieure” et de mettre en garde contre toute ingérence. Ce n’est pas vraiment le soutien ferme au pouvoir algérien. D’ailleurs, quand Moscou évoque le respect de la Constitution algérienne, le pouvoir devrait se sentir visé.
La position de la France à l’égard du mouvement de contestation contre le régime de Bouteflika est très critiquée par le peuple algérien et la rue évoque même certains accords qu’il faut remettre en cause entre les deux pays, notamment pour la livraison de gaz. Comment démêler tous ces imbroglios ?
On peut dire que c’est en France que la ruse du pouvoir algérien a le mieux fonctionné. Dès l’annonce de l’annulation de l’élection présidentielle, on a assisté en France à un moment d’égarement. Presque tout le monde, et cela dépasse largement le gouvernement français, a cru devoir “saluer” cette “victoire” à la place des premiers concernés. Au-delà des intérêts formels de l’État français, la contestation algérienne a été mal comprise en France depuis le début. Certains “spécialistes” ont répété qu’Abdelaziz Bouteflika n’était pas du tout visé par les manifestants et d’autres sottises. L’intimité franco-algérienne ne semble pas empêcher une profonde méconnaissance.
Concernant les intérêts formels, je ne suis pas au courant de ces accords, mais je peux dire que Paris a eu tort de “saluer” les manœuvres du pouvoir algérien. Cela part d’un très mauvais calcul : que la sacro-sainte “stabilité” peut s’imposer sur le dos de millions de personnes qui luttent contre l’absurde. Par ailleurs, ce soutien a exacerbé un ressentiment latent en Algérie. Je pense que c’est un double mauvais calcul : le pouvoir algérien a tort de penser qu’il peut tirer sa légitimité loin des Algériens et les gouvernements étrangers ont tort de penser qu’ils peuvent obtenir quoi que ce soit à l’abri d’un peuple plus que jamais déterminé.
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Un forum dédié à l’univers du lait et ses dérivés se déroulera le 27 mars 2019 lors de la 7e édition du Salon international de l’industrie agro-alimentaire (SIAG) à Oran, au Centre des conventions Méridien. Pour cette occasion, le service agricole de l’ambassade des Etats-Unis en Algérie invite les acteurs de la filière lait à y assister. Durant le salon la participation des Algériens qui ont bénéficié du « Programme de bourses Cochran » feront des présentations sur l’élevage laitier aux USA et partageront leur expériences acquises lors de leur formation avec les professionnels du domaine.
Le programme de bourses Cochran qui a pour but de donner des formations de qualités à des personnes activant dans plusieurs domaines citant : politiques commerciales et agricoles, développement de l’agroalimentaire, marketing, sciences animales, végétales et alimentaires, a assuré depuis sa création en 1984 la formation de plus de 18 000 participants issus de 126 pays, dont 190 Algériens.
M.A.Y
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Younes Sabeur Chérif journaliste à El Djazairia one et présentateur de l’émission « Mazal El Hal » a diffusé sur son compte Facebook une publication annonçant sa démission de la chaîne.
Aucun motif de démission n’a été donné pour l’instant. A travers sa publication, l’animateur remercie l’administration et ses collègues et souhaite une bonne continuation à la chaîne ce qui laisse à penser que la décision a été prise à l’amiable.
M.A.Y
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Législatives 2019 : le système partisan en marche. C'est le thème sur lequel Aubin Adoukonou a donné ses impressions ce dimanche au cours de l'émission Zone franche.
Le directeur du centre national de sécurité routière (Cnsr) s'est exprimé sur la situation du pays en rapport avec les différents événement de cette période électorale. Selon lui, ce qui se passe aujourd'hui, est une histoire. ''Vous connaissez jadis l'histoire politique du Bénin. D'abord le monstre à trois têtes puis le parti unique. Nous avons rompu avec cela en 90 pour opter pour le multipartisme. Un système qui a laissé un flou et le système partisan s'est imposé dans l'organisation des partis. Depuis 90, tout le monde soutient d'aller à la réforme du système partisan. Depuis Soglo jusqu'à l'arrivée du président Talon. Cette réforme, il l'a affichée dans son programme et soutenu par les politiques", à rappelé M. Adoukonou. Il s'étonne de ce qui se passe aujourd'hui. Mais pour lui, " le problème est que nous voulons que le Bénin se développe mais nous ne voulons pas mettre en place les outils de développement. C'est cette volonté affichée qui se concrétise". Le directeur du Cnsr se pose bien des questions. "Est-ce que c'est cette initiative qui fait qu'on veut plomber cette réforme ? La minorité qui s'agite aujourd'hui, quand vous observez, on se rend compte qu'il y a des gens qui ont la nostalgie de l'Assemblée nationale et quand ils y entrent, ils ne veulent plus sortir. Pourquoi à quelques jours on demande un retour en arrière ?". Pour Aubin Adoukonou, " c'est une réforme inscrit déjà dans le programme de Houngbédji en 2011 qui est reprise". Il souligne que c'est " la minorité qui ne veut pas se conformer, qui dit qu'il faut revenir en arrière et sans cela, il n'y a pas élection. Ce qu'il faut leur dire est que quand il y a réformes, il faut l'accompagner. Après le vote de la loi, ce n'est pas seulement les deux blocs qui se sont constitués. Il y en a d'autres qui se sont conformés". Aubin Adoukonou dira : "On nous parle de l'opposition, c'est vrai elle existe mais elle est très minoritaire".
Pour le directeur, "Ne regardez pas le contenant des blocs mais le contenu. L'objectif est que quelqu'un qui n'est pas en politique vienne prendre le pouvoir. Je voudrais dire que si cette réforme s'estompe vous allez voir. Le peuple ne va pas se laisser faire. Leur problème est ailleurs".
En ce qui concerne les réformes, l'ancien syndicaliste raconte que " Le problème du quitus fiscal, quand je voulais payer, j'ai eu un peu de souci. Mais ce sont ces sous qui permettent de réaliser les projets de développement. Un homme qui a plusieurs immeubles, il va dormir dans combien ? C'est là on voit l'origine de leur richesse. La réforme du système partisan est une réforme louable".
Il confie que " Ceux qui n'ont pas déposé les dossiers n'ont pas droit à la parole. On peut comprendre USL et UDBN qui ont la volonté de participer aux élections. Faut-il ne pas appliquer les textes que nous nous sommes échinés à élaborer". D'abord "Qu'est-ce qui urge pour qu'au lendemain de leur sortie, ils demandent jusqu'à la dissolution de la CENA ? Nous nous voulons siéger. Il y a en a qui ont voulu se retirer pour aider la jeunesse à prendre. On ne dit pas si je ne siège pas le Bénin va trembler. Je suis venu vous dire que quoi qu'il en a la Cena va organiser les élections, elle le fera et il n'y aura rien. Ce n'est pas parce que je ne participe pas aux élections que la démocratie n'existe pas" explique-t-il.
Afin de comprendre comment procéder en l'absence de consensus, il dit " Dans l'organisation d'un dialogue apaisé, productif, il y a des principes. La représentativité des parties, l'indépendance dont vous deviez faire preuve, est-ce que je suis de bonne foi. Voulez-vous un consensus lorsque la commission mise en place, les gens viennent dire, il faut dissoudre la Cena, la démission du président de l'Assemblée. Ce n'est pas là on a le consensus".
Aubin Adoukonou déclare : " Je n'ose pas croire que ce qui se passe aujourd'hui est de mettre le pays dans l'impasse. Si c'est ça le groupe de jeunes qui a accepté la réforme ne se laissera pas faire. On a l'impression que la prédisposition d'aller vers une élection inclusive n'est pas leur volonté. Moi, j'attends de voir". Il se montre rassuré puisque "C'est le jour où la Cena va dire je ne veut plus organiser les élections que je vais comprendre. Il y a des gens qui se cachent dans un coin de Zogbo pour dire qu'il n'y aura pas les élections. Certains qui se cachent derrière WhatsApp pour dire il y a telle ou telle chose. L'effet WhatsApp ne peut pas nous empêcher de faire des élections". M. Adoukonou encourage les membres de la Cena à continuer leur boulot. " Je voudrais que la Cena puisse continuer dans son rôle. Nous allons tout faire pour qu'à l'Assemblée les lois qui seront votées ne soient plus des lois où il faut être obligé de passer voir les gens la nuit. Dans notre tête, il y a élections le 28 avril. A partir du 15 mai, les gens vont siéger".
"Je sais qu'il y a problème et le chef de l'État s'est engagé à régler. Il a confié la mission à l'institution qui doit le faire (...)" a conclu M. Adoukonou.
G.A.
Le député à l’assemblé populaire, Benkhallef Lakhder, a été invité sur le plateau de l’émission « nikat ala el hourouf » diffusée sur la chaîne algérienne Echourouk News. Durant l’émission Benkhallef a déclaré que » Si le départ de Bouteflika se fait avant le 28 c’est à dire la fin du quatrième mandat,ou l’article 102 sera appliqué ou la démission de Bouteflika. A ce moment là celui qui garantit la continuité de l’état et guide la période transitoire est le président de l’assemblée nationale. » Il a joute que dans ce cas la le président ne pourra être remplacé par ce dernier à cause de sa nationalité marocaine. Il n’a pu obtenir la nationalité algérienne qu’en 64. »
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