Les syndicats des fonctionnaires ivoiriens n’approuvent pas le nouveau système sanitaire mis en place. Ils lui reprochent des dysfonctionnements qui ne leur permettent pas de se soigner correctement. Dans l’attente de la résolution de ces problèmes, ils demandent le rétablissement de l’ancienne mutuelle. L’ensemble des fonctionnaires de la Côte d’Ivoire sont régis par un nouveau […]
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Le candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre prochain, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, ce lundi 11 novembre à Alger, l’ambassadeur du Royaume d’Espagne en Algérie, Fernando Moran Calvo-Sotelo, indique la page Facebook de la direction de campagne du candidat. Cette rencontre intervient à quelques jours du début de la campagne électorale prévu dimanche prochain et […]
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Les commerçants nigérians exerçant au Ghana sont sur la braise. Ils sont menacés de fermer barque. Après que certaines boutiques gérées par les Nigérians sont déjà fermées à Kumasi, un nouvel ultimatum vient d'être donné à ceux qui y sont toujours pour mettre fin à leurs activités commerciales. L'affiche apposée dans l'un des marchés de la deuxième grande ville du pays en dit long : « Attention ! Attention ! Attention ! Selon la loi 865, section 27 A, du Ghana Investment Promotion Centre (GIPC), vous ne devez pas être sur notre marché. Par cet avis, nous vous informons de quitter notre marché avant le 14 novembre 2019 », signale le site The Guardian, rapporté par Banouto. L'ultimatum a été lancé par le syndicat des associations de commerçants du Ghana et une autre organisation. Cette décision contraint les commerçants nigérians à mettre fin provisoirement ou définitivement à leurs activités. Il s'agit là d'une colère relative à la fermeture unilatérale des frontières terrestres du Nigéria et qui fait du Ghana dont les produits transitent par le Bénin vers le Nigéria, une victime collatérale.
Les autorités d'Abuja ont fermé les frontières depuis le 20 août 2019. La mesure est prorogée jusqu'au 31 janvier 2020.
Aux dernières nouvelles, les chefs d'Etat du Bénin et du Niger sont conviés à une réunion tripartite avec le président Buhari le 14 novembre prochain en vue de trouver une solution à cette crise qui affecte plusieurs pays de l'espace CEDEAO.
G.A.
L'ancien président de la République fédérale du Nigéria, Olusegun Obasanjo a effectué ce lundi 11 novembre 2019, une visite de travail et de courtoisie à son homologue béninois, Nicéphore Dieudonné Soglo. Selon les indiscrétions, les discussions entre les deux anciens chefs d'Etat ont porté sur plusieurs sujets, notamment le forum des anciens chefs d'Etat africains, créé par Nelson Mandela.
Sans oublier la prévention des crises sur le continent ; la question de l'adoption de la monnaie unique l'Eco, dont l'entrée en vigueur est imminente ; l'insécurité et d'autres sujets d'actualité dont la fermeture des frontières terrestres du Nigéria.
F. A. A.
Hier dimanche 10 novembre, le Président camerounais, Paul Biya, a pris un décret convoquant le corps électoral pour le 9 février 2020. C’est la fin d’un suspense qui avait commencé par durer. Cependant, des questions persistent. Depuis ce dimanche, les Camerounais sont fixés sur la date de la tenue des élections législatives et municipales. Elles […]
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Au Maroc, une jeune fille âgée de quinze ans a été kidnappée, violée et tatouée par un homme qui s’est fondu dans la nature. L’auteur des faits est activement recherché. La jeune fille habitant Ksar El Kébir était retenue contre sa volonté depuis bon nombre de semaines, et lorsque son kidnappeur a appris que des […]
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Le ministre de l'économie numérique et de la digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou a procédé à la mise en service officiel de la salle numérique de l'école primaire publique de Gori Maro, à Nikki, dans le département du Borgou, samedi 09 novembre 2019.
L'infrastructure est un bâtiment préfabriqué et doté d'une autonomie énergétique. Il est équipé de 41 ordinateurs, d'un tableau interactif, d'un projecteur, d'un armoire de rangement, d'un routeur pour la connexion internet haut débit, de deux climatiseurs d'une puissance de 1,5 chevaux, d'une mini-central photovoltaïque dimensionnée pour alimenter l'ensemble des installations avec un backup de 24 h sans interruption, d'un logiciel de gestion de classe, de 10 multiprises, d'un système d'alarme, et d'un kit de laboratoire.
La cérémonie de mise en service de la salle numérique de Gori Maro marque également l'ouverture de classes numériques dans des écoles primaires réparties dans les 12 départements du pays.
Le projet des salles numériques est piloté par l'Agence Béninoise du Service Universel des Communications Electroniques et de la Poste (ABSUCEP). Il a pour objectif de permettre aux apprenants de se former en ligne, d'acquérir des compétences pratiques liées à l'usage des outils numériques, d'accéder à la bibliothèque en ligne, et à divers contenus numériques pédagogiques.
Sa mise en œuvre concrétise l'ambition du Chef de l'Etat, son Excellence Patrice Talon et son gouvernement, de généraliser l'usage du numérique par l'éducation à travers la formation des écoliers et des élèves à l'usage du numérique dès l'école.
Pour Aurélie Adam Soulé Zoumarou, la mise en service des salles numériques est en parfaite cohérence avec les objectifs d'accès/service universel définis à l'article 95 de la loi 2017-20 du 20 avril 2018 portant code du numérique en République du Bénin. Selon cette loi, les initiatives visant l'accès public à internet et aux services larges bandes notamment dans les écoles, les bibliothèques et autres centres communautaires, sont recommandées.
Le directeur de l'école primaire publique de Gori Maro, Sina Toko, très heureux de l'œuvre gouvernementale, a formulé quelques doléances à l'endroit du ministre de l'économie numérique et de la digitalisation. Il s'agit d'un appui pour la sécurité des installations, et la formation des enseignants pour la continuité de l'apprentissage des élèves.
La cérémonie de mise en service de la salle numérique de Gori Maro s'est déroulée en présence du ministre de l'énergie, Jean Claude Houssou, du Garde des sceaux ministre de la justice et de la législation, Sévérin Quenum, de Sacca Lafia, ministre de l'intérieur et de la sécurité publique, de Véronique Tognifodé Mèwanou, ministre des affaires sociales et de la micro finance, de Jean Michel Abimbola, ministre du tourisme, de la culture et des arts, de Seïdou Adambi, ministre de l'eau et des mines, et des autorités communales et départementales.
Avant Gori Maro, le ministre de l'économie numérique et de la digitalisation a inauguré une salle numérique au Ceg1 d'Allada dans le département de l'Atlantique pour ce qui concerne les collèges du Bénin.
F. A. A.
L'un des fils du Général Mathieu Kérékou sort de son mutisme après les déclarations faites par le ministre de la Communication et de la poste, Alain Orounla au sujet de la résidence « Les Filaos ». Ce dimanche 10 novembre 2019 à son domicile, Frédéric Kérékou a fait quelques confidences au quotidien Matin Libre.
Fréderic Kérékou a jugé bon de clarifier certains points au regard des polémiques autour de la résidence « Les Filaos » où a vécu son père pendant plusieurs années. Selon lui, les héritiers de l'ancien président de la République ont introduit une lettre d'audience après avoir reçu une correspondance le 26 mars 2019 du directeur du Cabinet militaire du Président de la République qui demandait à la famille de vider le domicile au plus tard le 1er avril.
Le chef de l'Etat explique-t-il a reçu une délégation des enfants du Général à son cabinet au palais de la Marina le lundi 1er avril. A cette séance qui s'est déroulée dans une bonne ambiance, les deux parties ont discuté du devenir de la résidence « Les Filaos ». « Il nous a expliqués clairement que son projet de boulevard de la Marina prend en compte tout le domaine et qu'il voudrait y réaliser un jardin moderne au nom du Général et un monument aux morts », a confié Frédéric Kérékou, chef de délégation de cette rencontre en présence du ministre Modeste Kérékou. Au terme des explications du président de la République, une déclaration a été lue. « (…) nous lui avions demandé compte tenu de la visibilité et de l'importance de son projet, de bien vouloir nous concéder le bâtiment, compte tenu de ce qu'il incarne dans l'histoire politique du Bénin. Mieux, nous avons tout le temps honoré les avis d'imposition et nous payons aussi les impôts, relatifs à ce domicile de notre défunt père. Néanmoins, nous avions estimé devant lui, que les autres espaces, devraient suffire largement pour l'implantation du jardin et du monument », a expliqué Frédéric Kérékou.
Lors de cette séance, la famille a également signalé au Chef de l'Etat que leur projet est de transformer le bâtiment en un musée puisque « les effets personnels du Général et toute son histoire, sont encore visibles, dans la maison ». Ce musée annoncé pour être géré par la famille, le président de la République a souligné qu'il « préfère que la gestion de ce musée, soit plutôt confiée à l'Etat et non à la famille puisque l'Etat ne disparaît pas, contrairement à la famille où il peut y avoir des désintéressés ». Le Chef de l'Etat a instruit « son Directeur de cabinet militaire, pour que la délégation s'entretienne aussi avec le ministre du cadre de vie, afin de décider de la manière dont le projet devrait se dérouler (…) », a informé Fréderic Kérékou.
Une rencontre qui évidemment a eu lieu avec le ministre du cadre de vie, Didier Tonato. « A cette séance, il y avait le Directeur de cabinet militaire du Président, le Ministre et quelques-uns de ses collaborateurs. Les débats ont aussi été dans l'ensemble, sans anicroches », a-t-il précisé. Mais l'héritier note que c'est à la suite de cette séance que les problèmes ont commencé.
« C'est juste après cette rencontre que le Ministre de la justice est entré en scène. On nous envoie un avis de sommation et après, ce sont des huissiers et militaires, qui ont débarqué. Il me semble que le compte rendu fait de cette rencontre est porteur des germes de tout ce qui se passe aujourd'hui. Le rapport a-t-il été fidèle aux échanges ou bien a-t-il été tronqué ? C'est à ce niveau qu'il a y a eu manigance. C'est ma ferme conviction. D'autant plus que, c'est suite à cette restitution faite au Chef de l'Etat, que les problèmes ont commencé. Même si je n'ai pas vu ce rapport, la succession des faits montre que les propos de la délégation ont été présentés comme un défi à l'autorité. Je présume qu'ils se sont arrangés là-bas, pour faire croire au Chef de l'Etat que nous n'étions plus disposés à suivre ce qui a été décidé avec lui au palais », a mentionné Fréderic Kérékou.
« Modeste est accusé injustement »
Depuis le début de l'affaire « Les Filaos » et le déguerpissement en phase d'exécution, certains ont blâmé le ministre Modeste Kérékou qui n'aurait pas joué son rôle. Pour Frédéric, « Modeste est accusé injustement ». « Il était à nos côtés lors de la rencontre avec le Chef de l'Etat. Il y était non pas en tant que Ministre mais en tant que fils du Général Mathieu Kérékou. Lors de la rencontre, il a aussi pris la parole et s'est dignement prononcé sur le sujet sans tabou et ce, au même titre que nous, ses frères. Que pouvait-il de plus ? Ensemble, nous avons joué notre partition », a martelé Frédéric.
Il souligne aussi que la famille Kérékou n'a aucun problème avec le Chef de l'Etat dans ce dossier. « (...) Mieux, Patrice Talon est l'oncle maternel de notre frère Modeste. Donc nous le considérons également comme notre oncle. Nous n'avons aucun problème avec lui et au palais, nous avions discuté librement. Pour déplacer les effets de notre papa en attendant la construction du musée, j'ai même demandé au Président de mettre à titre personnel à notre disposition, quelques conteneurs. Ce qu'il a accepté d'ailleurs avec joie. A l'issue de cette rencontre, il nous a même invités à prendre des photos avec lui, loin de tout regard extérieur. Nous nous sommes bien accordés avec le Chef de l'Etat au palais, des suites à donner au projet », certifie Fréderic Kérékou.
S'agissant des images des effets personnels du Général ayant circulé sur les réseaux sociaux la semaine dernière, il clarifie que la famille n'est pas responsable. Les images ont été prises et partagées par les agents venus pour l'opération de déguerpissement. « Certes, nous avons un cousin qui a pris des images. Mais seul Moïse a été destinataire de ces images. Les militaires qui étaient là ont également pris des photos. Ceux qui sont venus exécuter l'ordre aussi. Mais ils ont pris notre proche, en le rendant responsable de ce comportement désobligeant. Toutefois, il a suffi qu'ils se rendent chez l'opérateur téléphonique, pour se rendre compte que ces images qui circulaient ont bien été partagées par les leurs et non notre cousin, qui depuis a été déjà libéré. Pourquoi ne sont-ils pas revenus sur le sujet pour rétablir la vérité dans l'opinion ? », a-t-il lancé. Le fils du Général n'est pas du tout content des propos tenus par le porte-parole du gouvernement sur l'affaire « Les Filaos ». « En effet, il dit que le domaine ne nous appartenait pas. Au même moment, il affirme que nous voulions le morceler et le vendre. Comment est-ce possible ? Si c'était pour l'Etat, allons-nous le morceler et le vendre ? », se désole-t-il. Pour lui, « il faut que ce ministre sache comment aborder certains sujets ».
« Aborder le sujet de cette manière, c'est manquer de respect aux héritiers de Kérékou, dont principalement Modeste, qui est à la fois son collègue et son doyen au gouvernement », affirme-t-il tout en ajoutant qu'au « lieu de s'exprimer de ce qu'il ne maîtrise pas, il aurait pu se rapprocher de Modeste, recueillir son avis sur certains aspects du dossier, avant de vilipender notre famille devant tous les béninois ».
A.A.A
42 manifestants devrait être jugés aujourd’hui par le tribunal de Sidi M’hamed. Sept d’entre eux ont fait l’objet d’un lourd réquisitoire, deux ans de prison et 100 000 da d’amende ont été requis à l’encontre de Chatri Mouloud, Guerroudj Samir, Timsi Nacer, Ould Taleb Amine, Boudraâ Abderrahmane, Ouidir Khaled et Bibi Makhlouf. Un autre groupe de […]
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Sur les 200 propositions du programme, l’économie a eu la part du lion dans le projet du RND, pour sa campagne à la présidentielles. Avec 150 propositions qui touchent le secteur économique et qui donne des alternatives pour faire face à la crise actuelle. Selon Azzedine Mihoubi, SG du RND, les anciens gouvernements ont échoué […]
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L’athlète algérienne Nadia Medjmedj s’est contentée d’une 4e position, lundi en finale du lancer de javelot, classe T56, des Championnats du monde-2019 de para-athlétisme qui se poursuivent à Dubaï jusqu’au 15 novembre. Medjmedj, la doyenne du para-athlétisme algérien, a terminé au pied du podium, avec un jet à 21,00m réalisé à son 4e essai. Néanmoins, […]
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Confortée par la décision du Conseil Constitutionnel de valider une liste des cinq candidats à la magistrature suprême, l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) est revenue sur les critiques dont elle a été l’objet de la part de prétendants malheureux. Par la voix de l’un de ses membres, Karim Khalfane, elle révèle que parmi ces […]
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Le Bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN) a tenu, dimanche, une réunion présidée par M. Slimane Chenine, président de l’Assemblée pour l’examen des amendements proposés au projet de loi de finances 2020, indique un communiqué de la chambre basse du Parlement. L’examen de ces amendements intervient suite au débat, la semaine dernière, du projet de […]
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Le prix du panier de quatorze pétroles bruts (ORB), qui sert de référence à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a terminé la semaine écoulée à 61,98 dollars, selon les données de l’Organisation publiées lundi sur son site web. Le prix de l’ORB s’était établi entre 62,00 et 62,57 dollars durant la semaine allant […]
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