La salle Fleuve Jaune du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération a servi de cadre, vendredi 29 novembre 2019, au 37ème Conseil d'Administration de l'Ecole Africaine des Métiers de l'Architecture et de l'Urbanisme (EAMAU).
14 ministres de l'Enseignement Supérieur des pays membres de l'EAMAU ou leurs représentants prennent part à cette rencontre.
C'est le ministre de cadre de vie et du développement, José Tonato qui au nom du chef de l'Etat a présidé l'ouverture officielle de la réunion.
Il a expliqué aux participants à cette rencontre de haut niveau que le vœu du gouvernement béninois en abritant cette session ordinaire, est de voir l'EAMAU grandir au fil des ans, de se constituer comme un vrai moteur de développement des pays africains dans son domaine d'expertise et de s'affirmer davantage comme un centre de référence du cadre bâti et de la ville en Afrique et dans le monde. Cette rencontre est présidée par la Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Mme Éléonore Yayi Ladéka.
Après l'ouverture de la rencontre, les travaux du Conseil des Ministres des pays membres de l'EAMAU ont ensuite démarré au Novotel.
G.A.
Un gros pavé vient une nouvelle fois d’être jeté au Maroc depuis l’Espagne. Ces cafards du Maroc sont débusqués par le tonitruant journal El Diario, et interviennent après les scandales Lalla Salma et les bébés jetés dans les poubelles marocaine. Il s’agit d’acquisitions de navires faites entre 2007 et 2010, chez la compagnie maritime espagnole […]
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Abdelmadjid Ahmed Gaïd, frère du Chef d’État-major de l’armée nationale Populaire (ANP) Ahmed Gaïd Salah, est décèdé, ce vendredi 29 novembre, à l’âge de 84 ans.
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1233 contrôles dans les formations sanitaires et 24 cas de saisine, c'est le bilan d'une année d'exercice de la Commission chargée du contrôle des structures de prestations de soins médicaux. L'investigation a pour but d'étudier le cas, de situer les responsabilités et de proposer des actions à l'autorité afin d'éviter des déviances.
Selon le Coordonnateur de la Commission Pr Blaise Ayivi, « pendant ce dernier trimestre de l'année 2019, 05 cas ont été investigués ».
La Commission a signalé « le cas d'un nourrisson de 02 ans décédé le 10 septembre 2019 aux urgences pédiatriques du CHD Zou d'Abomey des suites d'un paludisme grave avec une anémie sévère ».
Aux services des urgences du CHUDOP de Porto-Novo, un élève de 15 ans est décédé le 10 octobre 2019, des suites d'une péritonite appendiculaire.
Le dernier cas informe la Commission est celui « d'un jeune homme de 20 ans décédé le 06 Septembre 2019 au service de chirurgie du CHUZ d'Abomey-Calavi dans les suites opératoires d'une occlusion intestinale sur bride traitée par une importante résection intestinale ».
« Malgré l'absence de faute professionnelle patente, ces décès sont encore et malheureusement occasionnés par des défaillances dans l'organisation des services et le non-respect des protocoles de prise en charge des malades et des urgences particulièrement », indique Pr Blaise Ayivi qui ajoute que « la chambre disciplinaire de l'Ordre national des médecins du Bénin (ONMB) s'est penchée sur les dossiers de saisine ».
D'après la Commission, « ces cas de saisine ont permis aux agents de santé de savoir que les actes professionnels sont surveillés et sanctionnés en cas de non-respect des normes ; de même la population prend conscience qu'elle peut se plaindre pour des soins inadéquats ».
Pour la Commission, « l'hygiène, le respect des normes, l'organisation et le fonctionnement efficaces des services restent des atouts majeurs pour relever les défis des acteurs du système de santé ».
Les populations sont invitées à faire des dénonciations des irrégularités constatées dans les formations sanitaires via le numéro WhatsApp du ministère de la santé : 91 44 44 44.
Akpédjé AYOSSO
La Commission chargée du contrôle des structures de prestation de soins médicaux a fait le bilan d'une année d'exercice lors d'un point de presse tenu ce vendredi 29 novembre 2019, dans l'enceinte du ministère de la santé.
La structure a effectué 1233 contrôles dans les formations sanitaires publiques et privées des 12 départements du pays et réalisé 24 cas de saisine.
Mise en place le 10 octobre 2018 par le Chef de l'Etat, Patrice Talon, pour le contrôle du respect des normes par les établissements de prestations de soins médicaux, la Commission a fait sa première sortie dans les formations sanitaires le 12 novembre 2018.
« En une année de travail, nous avons effectué 1233 contrôles en deux ou trois passages dans les formations sanitaires publiques et privées des 12 départements de notre pays et nous avons réalisé 24 cas de saisine », a déclaré Pr Blaise Ayivi, coordonnateur de la Commission Chargée du Contrôle des Structures de Prestations de Soins Médicaux.
Lors du contrôle, la Commission a relevé de nombreux manquements au respect des normes sanitaires dans les centres de santé. Il s'agit entre autres de : « l'hygiène déficiente des locaux, des cours et des dépendances dans la plupart des formations sanitaires publiques en comparaison aux formations sanitaires privées ; l'organisation inadéquate des ressources humaines ; des gardes de 24 à 48 heures avec des repos compensatoires de 48 à 72 heures sont effectuées alors que l'effectif du personnel qualifié ne permet pas d'assurer tous les jours et dans toutes les formations sanitaires la disponibilité du service 24/24 heures ».
A tout cela s'ajoutent l'insuffisance de pertinence du diagnostic et l'inadéquation du traitement, notamment par les infirmiers et par des aide-soignants ; le rançonnement des pauvres malades dans le désarroi, la vente illicite de médicaments, le vol et le détournement des recettes ; le non-respect par les formations sanitaires privées du contenu des cahiers de charges pour lesquels les autorisations leur ont été octroyées et l'exercice illégal de la médecine et la formation illégale des aide-soignants et des auxiliaires de santé dans plusieurs cabinets de soins infirmiers.
Face à ces dysfonctionnements notés dans les centres de santé, la Commission a procédé à la fermeture immédiate de certaines formations sanitaires publiques et privées ; participé à la salubrité immédiate de certains centres. D'après le Pr Blaise Ayivi, la Commission a fait plusieurs propositions telles que : « la réorganisation de l'offre de soins par une mutualisation des ressources humaines, matérielles et financières afin d'optimiser l'implication du personnel qualifié ; la transformation de certains centres de santé proches des hôpitaux en centre de jour ; l'utilisation des comptes d'amortissement pour les formations sanitaires qui en possèdent pour l'assainissement et la réfection de leurs centres et l'établissement de contrats de performance aux directeurs des hôpitaux ».
Vérification de la mise en œuvre des recommandations
La Commission Chargée du Contrôle des Structures de Prestations de Soins Médicaux a effectué « depuis le 1er septembre 2019, des sorties sur le terrain » dans le but « de vérifier la mise en œuvre des recommandations issues des contrôles précédents dans les formations sanitaires ».
« Le taux de recommandations exécutées varie entre 35 et 65% selon le département soit une moyenne de 50% dans les formations sanitaires visitées », renseigne le Pr Blaise Ayivi.
Les recommandations non exécutées sont : « l'assainissement des formations sanitaires grâce au fonds d'amortissement ; la diffusion et l'utilisation des ordinogrammes de prise en charge des maladies courantes par les infirmiers pour l'adéquation du diagnostic et du traitement en l'absence du médecin ; l'organisation efficiente des services et le respect des cahiers de charges pour lesquels les structures privées ont reçu des autorisations ».
Devant le constat d'une incompréhension de certaines recommandations par les responsables de la santé au niveau opérationnel et l'absence d'orientation pour leur mise en œuvre, annonce Pr Blaise Ayivi « nous organisons des échanges avec les responsables sanitaires de chaque département, notamment les DDS, les médecins Coordonnateurs de zone sanitaire et les Directeurs d'hôpitaux ». Ceci dans le but « d'initier avec eux un processus d'exécution des recommandations en vue de réduire les écarts par rapport aux normes sanitaires ».
« A l'étape actuelle du travail de la Commission, nous remarquons que les préoccupations du Chef de l'Etat face aux normes sanitaires, en mettant en place la Commission trouvent progressivement des solutions », a affirmé le Coordonnateur de la Commission Chargée du Contrôle des Structures de Prestations de Soins Médicaux.
Akpédjé AYOSSO
Les Togolais n’auront rien à craindre en ce qui concerne l’élection présidentielle de 2020. Une force spéciale a été créée par décret le 27 novembre dernier en vue de la sécurisation de l’évènement. Pour Faure Gnassingbé, la question de la sécurité de l’élection présidentielle qui aura lieu en 2020 n’est pas à prendre à la […]
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Une Session Extraordinaire de la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) se tiendra le mardi 03 décembre 2019 à Dakar au Sénégal.
Les Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'Union Economique se réuniront au Centre International de Conférences Abdou Diouf à Diamniadio pour échanger notamment sur les mécanismes et stratégies pour faire face aux menaces terroristes dans les pays membres.
Les travaux seront présidés par Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, président de la République de Côte d'Ivoire, président en exercice de la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'UEMOA.
Les dirigeants des pays membres et les responsables des institutions de l'Union prendront part aux travaux.
La dernière Session Extraordinaire de la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement a eu lieu le 10 avril 2017 à Abidjan et en juillet dernier, la Conférence a tenu sa 21ème Session Ordinaire à Abidjan.
La Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement est « l'Organe suprême qui définit les grandes orientations de la politique de l'Union ». Elle se réunit au moins une fois par an.
Akpédjé AYOSSO
Lors de la manifestation du 41e vendredi à Alger, l’avocat et défenseur des droits de l’homme, Me Mostefa Bouchachi a réagi à l’adoption par le Parlement européen d’une résolution sur La situation politique et des libertés en Algérie. « une intervention étrangère ne va pas permettre d’aller vers une démocratie, au contraire. Dans beaucoup de pays […]
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