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Le Faso Digital 2025/Les RDV de la foire virtuelle à ne pas manquer : Djibril Pierre Clavair Pamousso

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 20/10/2025 - 12:29

Djibril Pierre Clavair Pamousso est un ingénieur de la donnée, formateur et entrepreneur burkinabè, co-fondateur et gérant principal d'Africa Data Entry. Spécialiste des architectures data, de l'orchestration de pipelines et des projets d'intelligence artificielle, il combine expertise technique, pédagogie et engagement associatif pour rendre la donnée utile et accessible aux organisations.

Djibril Pamousso a suivi une formation initiale en informatique à l'École supérieure d'informatique (ESI) de l'université Nazi Boni, puis a approfondi ses compétences avec un Master « Données et Systèmes Connectés » à l'École des mines de Saint-Étienne en France (promotion 2020-2022). Durant ses années universitaires, il a cofondé avec des camarades l'association Struct IoT afin d'initier les étudiants à l'Internet des Objets et à l'intelligence artificielle, démarche qui illustre son goût pour la transmission et l'action collective.

Après des premiers postes en support IT et en supervision (Softnet-Group, IT-Expertis), Djibril Pamousso a évolué vers le développement et la data : développeur FullStack chez iMSA (avril–septembre 2021), puis ingénieur de données chez Rocket4Sales (février 2022–décembre 2024), où il a conçu et déployé des architectures data, mis en place des workflows avec Airflow, piloté la gouvernance et la qualité des données et expérimenté des modèles de classification et d'IA générative.

Depuis octobre 2024, il exerce en tant que formateur et consultant au sein d'Africa Data Entry, structure qu'il co-administre et pour laquelle il dispense des formations, élabore des cahiers des charges et orchestre des déploiements de solutions data.

Djibril Pamousso maîtrise un large spectre technologique : Python, Java, Scala, SQL/NoSQL, Spark, Airflow, Kafka, Terraform, ainsi que des environnements cloud (AWS, GCP, Azure) et des outils de data engineering et MLOps (Databricks, DBT, MWAA). Il a monté des frameworks d'orchestration pour le scraping et la transformation, défini des KPI et des monitors de qualité, et participé à la mise en place de stratégies de scalabilité et de data gouvernance (dictionnaire de données, data lineage).

Pédagogue et pragmatique, il a conçu et animé des formations destinées aux nouveaux consultants en gestion de la donnée, et accompagne la montée en compétence de profils junior en data engineering. Son engagement associatif, concrétisé par la création de l'association estudiantine Struct IoT et son implication dans la veille et l'animation technologique, témoignent d'une volonté de faire converger savoir technique et impact social.

Animé par l'ambition de faire de la donnée un levier stratégique, il vise à occuper des fonctions de responsabilité dans la gouvernance de la donnée au sein d'organisations de grande envergure, tout en poursuivant son action de formation et d'entrepreneuriat pour soutenir l'émergence des talents du digital en Afrique et en Europe.

Pendant Le Faso Digital 2025, M. Pamousso participera à l'animation d'une conférence sur « Résilience numérique : quelles innovations pour une inclusion numérique des non-voyants au Burkina Faso ».

Note: ">Le Faso Digital : Découvrez les conférences, ateliers et tables rondes à venir

www.lefasodigital.net

Categories: Afrique

Le Faso Digital 2025 - Les RDV de la foire virtuelle à ne pas manquer : Dr Rodrique KAFANDO

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 20/10/2025 - 12:29

Dr Rodrique KAFANDO est enseignant-chercheur et co-responsable de la coordination du Master en Fouilles de données et Intelligence artificielle (IA) à l'Université Virtuelle du Burkina Faso (UV-BF). Il est également chercheur responsable de la coordination et du suivi des activités de recherche au Centre d'excellence interdisciplinaire en IA pour le développement (CITADEL).

Expert IA tourné vers des problématiques locales, il s'investit pleinement dans le développement et la diffusion de technologies d'IA spécifiquement conçues pour répondre aux problématiques de l'Afrique et du Burkina Faso.

Les travaux de recherche appliquée de Dr Rodrique KAFANDO, orientés par les besoins et les exigences du terrain, se concentrent sur des domaines clés tels que le Traitement du langage naturel, la Vision par ordinateur et l'Analyse de données multimodales. Il est l'auteur de plus de 20 articles scientifiques publiés en Intelligence artificielle.

Au sein du CITADEL, Dr Rodrique KAFANDO participe activement à la formation de la future génération de compétences en IA. Il a déjà ainsi contribué à former plus de 50 ingénieurs qui ont réussi à développer des solutions d'IA locales avec des preuves de concept concrètes.

En tant qu'expert au Secrétariat permanent de l'innovation et de la veille sur les technologies émergentes du numérique (SPIVTEN) du ministère de la Transition digitale, Dr Rodrique KAFANDO contribue à l'élaboration des documents stratégiques nationaux sur l'IA et accompagne l'intégration responsable et éthique de l'IA dans les différents secteurs et institutions du Burkina Faso. Il participe ainsi assidument aux efforts du ministère de faire de l'IA un levier stratégique de transformation digitale et de développement durable de la Nation.

Pendant la foire virtuelle des solutions digitales, Dr Rodrique Kafando animera une conférence sur « LLMs : L'équation productivité maximum + risque zéro ».

Note: ">Le Faso Digital : Découvrez les conférences, ateliers et tables rondes à venir

Categories: Afrique

Zehn Jahre nach dem Pariser Abkommen hinkt die Umsetzung weit hinterher

Bonn, 20. Oktober 2025. Im Dezember 2015 feierte die Welt das hart erkämpfte Pariser Abkommen als historischen Erfolg der globalen Klimadiplomatie. Über zwanzig Jahre nach der Verabschiedung der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) und sechs Jahre nach dem ernüchternden „Kopenhagener Akkord“ der UN-Klimakonferenz war der Jubel verständlich. Endlich hatte sich die Staatengemeinschaft verpflichtet, die globale Erwärmung mit ehrgeizigen Maßnahmen einzudämmen. Doch schon damals mahnten Expert*innen, dass der Abschluss eines historischen Abkommens und „Geschichte machen“ nicht dasselbe seien. Zehn Jahre später zeigt sich, wie berechtigt diese Warnung war: Die Klimakrise verschärft sich, während Regierungen mit der Umsetzung der eigenen Versprechen kämpfen.

Tatsächlich leidet die globale Klimapolitik – wie sie durch die jährlichen UN-Klimakonferenzen („COPs“) repräsentiert wird – unter strukturellen Herausforderungen, die seit jeher schwer zu bewältigen sind. In vielerlei Hinsicht ist das Pariser Abkommen selbst ein Spiegel für eine Reihe grundlegender Probleme der globalen Umweltdiplomatie. Zwar konnten sich die Staaten auf ehrgeizige Ziele einigen, doch diese bleiben freiwillig. Daher bleibt offen, welchen Beitrag jedes Land konkret leisten muss.

Statt klar festgelegter Verpflichtungen für die einzelnen Länder, wie sie das Kyoto-Protokoll vorsah – dem Vorläufer des Pariser Abkommens – wird jedes Land angehalten, seine eigenen Ziele und Umsetzungspläne zu entwickeln. Einerseits war diese Delegation der Verantwortung zurück von der internationalen auf die nationale Ebene der Preis für die Einigung auf das Pariser Abkommen – andererseits der Beginn eines neuen Dilemmas. Denn das übergeordnete Ziel des Abkommens, die Begrenzung der globalen Erwärmung auf 1,5 °C gegenüber dem vorindustriellen Niveau, hängt nun von diesen freiwilligen nationalen Beiträgen (NDCs) ab. So vertraut man darauf, dass jedes Land sein Möglichstes tut, während in der Praxis jede Vertragspartei tut, was sie will. Kein Wunder also, dass die erste „Globale Bestandsaufnahme“ Ende 2023 ergab, dass die NDCs zusammengenommen eine globalen Erwärmung von fast 3 °C  erwarten lassen.

Dasselbe Muster zeigt sich hinsichtlich der Mittel, die zur Finanzierung der globalen Klimapolitik benötigt werden: Ambitionierte multilaterale Zielvereinbarungen, Milliarden für den Klimaschutz zu mobilisieren, stehen einseitigen Finanzierungszusagen gegenüber. Doch die Rechnung geht nicht auf. Dieselben Lücken zwischen Ziel und Umsetzung finden sich auch in anderen Bereichen: etwa bei den Zielen für nachhaltige Entwicklung (SDGs) und den globalen Biodiversitätszielen. Einige Beobachter*innen sprechen deshalb von einem Paradigmenwechsel – einer „Governance durch Ziele“, die in der Praxis der globalen Nachhaltigkeitspolitik zur Symbolpolitik verkomme.

Zu diesen Entwicklungen kommt die politische Ritualisierung der jährlichen Klima-COPs. Über Jahrzehnte haben sich bestimmte Verhandlungsmuster verfestigt, wie etwa die „Wer zuckt zuerst“-Mentalität der wesentlichen Verhandlungsblöcke: Zugeständnisse in wichtigen Fragen werden bis zur letzten Minute zurückgehalten. Das hat bei den letzten COPs oft dazu geführt, dass erst in der letzten Nacht hektische Kompromisse eingegangen werden und die so getroffenen Entscheidungen oft unausgereift sind. Diese Dynamik wird noch verstärkt durch die sogenannten „hochrangigen Segmente“, die in der zweiten Woche der COPs stattfinden. Dann reisen Minister*innen und sogar Staatsoberhäupter an, um politische Impulse zu setzen und den Delegierten Autorität zu verleihen. Das mag das Profil und die Öffentlichkeitswirksamkeit der komplexen Verhandlungen steigern – doch zugleich entsteht eine Art „COP innerhalb der COP“. Dies nimmt den laufenden Verhandlungen oft das Momentum. Auch Machtspiele zwischen ungleichen Blöcken lähmen den Prozess. So enden viele COPs heute in oberflächlichen, schwachen Kompromissen.

Um aus dieser Sackgasse der Symbolpolitik herauszufinden, sind zunächst die gewohnten Rituale zu hinterfragen, die tiefgreifenderen Vereinbarungen im Wege stehen. Ein weiterer Schritt wäre, das bestehende Format der COPs zu reformieren und sie mit kleineren, häufigeren und lösungsorientierten Verhandlungsrunden zu ergänzen. Die UN-Biodiversitätskonferenz 2024 hat mit „fortgesetzten Sitzungen“ vorgemacht, wie das aussehen kann. Dieses Modell ließe sich nachahmen, um auch die aufgeblähten Klima-COPs zu konkreteren Ergebnissen zu bewegen.

Die aktuell laufenden UN-Reformdebatten  eröffnen die Chance für eine solche Umstrukturierung. Die Erfahrung zeigt, dass fokussiertere Formate oft mehr bewegen als hochinszenierte Gipfel. Kleinere Runden könnten pragmatische Gespräche fördern und Machtspiele entschärfen. Außerdem bieten wiederholte kleinere Sitzungen bessere Gelegenheiten, informelle Gruppen mit unterschiedlicher Zusammensetzung zusammenzubringen, um Vertrauensbildung, gegenseitiges Lernen und Verantwortungsbewusstsein zu fördern. Es dürfte auch dazu beitragen, dass sich die COP wieder auf ihre wesentlichen Governance-Funktionen konzentriert und damit die Umsetzung vorantreibt, statt Jahr für Jahr archaische Verhandlungsrituale fortzuführen. Nicht zuletzt sollte die Regelmäßigkeit solcher Arbeitssitzungen den Beteiligten einen klaren Anreiz bieten, das übergeordnete Ziel, die Eindämmung des gefährlichen Klimawandels, im Blick zu behalten und diesem entsprechend Verantwortung zu demonstrieren.

 

Steffen Bauer ist Politikwissenschaftler und Senior Researcher in der Forschungsabteilung Umwelt-Governance am German Institute of Development and Sustainability (IDOS).

Fariborz Zelli ist Professor für Politikwissenschaft an der Universität Lund, Schweden. Er forscht und lehrt unter anderem zu globaler Umweltpolitik und Umweltgerechtigkeit.

Zehn Jahre nach dem Pariser Abkommen hinkt die Umsetzung weit hinterher

Bonn, 20. Oktober 2025. Im Dezember 2015 feierte die Welt das hart erkämpfte Pariser Abkommen als historischen Erfolg der globalen Klimadiplomatie. Über zwanzig Jahre nach der Verabschiedung der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) und sechs Jahre nach dem ernüchternden „Kopenhagener Akkord“ der UN-Klimakonferenz war der Jubel verständlich. Endlich hatte sich die Staatengemeinschaft verpflichtet, die globale Erwärmung mit ehrgeizigen Maßnahmen einzudämmen. Doch schon damals mahnten Expert*innen, dass der Abschluss eines historischen Abkommens und „Geschichte machen“ nicht dasselbe seien. Zehn Jahre später zeigt sich, wie berechtigt diese Warnung war: Die Klimakrise verschärft sich, während Regierungen mit der Umsetzung der eigenen Versprechen kämpfen.

Tatsächlich leidet die globale Klimapolitik – wie sie durch die jährlichen UN-Klimakonferenzen („COPs“) repräsentiert wird – unter strukturellen Herausforderungen, die seit jeher schwer zu bewältigen sind. In vielerlei Hinsicht ist das Pariser Abkommen selbst ein Spiegel für eine Reihe grundlegender Probleme der globalen Umweltdiplomatie. Zwar konnten sich die Staaten auf ehrgeizige Ziele einigen, doch diese bleiben freiwillig. Daher bleibt offen, welchen Beitrag jedes Land konkret leisten muss.

Statt klar festgelegter Verpflichtungen für die einzelnen Länder, wie sie das Kyoto-Protokoll vorsah – dem Vorläufer des Pariser Abkommens – wird jedes Land angehalten, seine eigenen Ziele und Umsetzungspläne zu entwickeln. Einerseits war diese Delegation der Verantwortung zurück von der internationalen auf die nationale Ebene der Preis für die Einigung auf das Pariser Abkommen – andererseits der Beginn eines neuen Dilemmas. Denn das übergeordnete Ziel des Abkommens, die Begrenzung der globalen Erwärmung auf 1,5 °C gegenüber dem vorindustriellen Niveau, hängt nun von diesen freiwilligen nationalen Beiträgen (NDCs) ab. So vertraut man darauf, dass jedes Land sein Möglichstes tut, während in der Praxis jede Vertragspartei tut, was sie will. Kein Wunder also, dass die erste „Globale Bestandsaufnahme“ Ende 2023 ergab, dass die NDCs zusammengenommen eine globalen Erwärmung von fast 3 °C  erwarten lassen.

Dasselbe Muster zeigt sich hinsichtlich der Mittel, die zur Finanzierung der globalen Klimapolitik benötigt werden: Ambitionierte multilaterale Zielvereinbarungen, Milliarden für den Klimaschutz zu mobilisieren, stehen einseitigen Finanzierungszusagen gegenüber. Doch die Rechnung geht nicht auf. Dieselben Lücken zwischen Ziel und Umsetzung finden sich auch in anderen Bereichen: etwa bei den Zielen für nachhaltige Entwicklung (SDGs) und den globalen Biodiversitätszielen. Einige Beobachter*innen sprechen deshalb von einem Paradigmenwechsel – einer „Governance durch Ziele“, die in der Praxis der globalen Nachhaltigkeitspolitik zur Symbolpolitik verkomme.

Zu diesen Entwicklungen kommt die politische Ritualisierung der jährlichen Klima-COPs. Über Jahrzehnte haben sich bestimmte Verhandlungsmuster verfestigt, wie etwa die „Wer zuckt zuerst“-Mentalität der wesentlichen Verhandlungsblöcke: Zugeständnisse in wichtigen Fragen werden bis zur letzten Minute zurückgehalten. Das hat bei den letzten COPs oft dazu geführt, dass erst in der letzten Nacht hektische Kompromisse eingegangen werden und die so getroffenen Entscheidungen oft unausgereift sind. Diese Dynamik wird noch verstärkt durch die sogenannten „hochrangigen Segmente“, die in der zweiten Woche der COPs stattfinden. Dann reisen Minister*innen und sogar Staatsoberhäupter an, um politische Impulse zu setzen und den Delegierten Autorität zu verleihen. Das mag das Profil und die Öffentlichkeitswirksamkeit der komplexen Verhandlungen steigern – doch zugleich entsteht eine Art „COP innerhalb der COP“. Dies nimmt den laufenden Verhandlungen oft das Momentum. Auch Machtspiele zwischen ungleichen Blöcken lähmen den Prozess. So enden viele COPs heute in oberflächlichen, schwachen Kompromissen.

Um aus dieser Sackgasse der Symbolpolitik herauszufinden, sind zunächst die gewohnten Rituale zu hinterfragen, die tiefgreifenderen Vereinbarungen im Wege stehen. Ein weiterer Schritt wäre, das bestehende Format der COPs zu reformieren und sie mit kleineren, häufigeren und lösungsorientierten Verhandlungsrunden zu ergänzen. Die UN-Biodiversitätskonferenz 2024 hat mit „fortgesetzten Sitzungen“ vorgemacht, wie das aussehen kann. Dieses Modell ließe sich nachahmen, um auch die aufgeblähten Klima-COPs zu konkreteren Ergebnissen zu bewegen.

Die aktuell laufenden UN-Reformdebatten  eröffnen die Chance für eine solche Umstrukturierung. Die Erfahrung zeigt, dass fokussiertere Formate oft mehr bewegen als hochinszenierte Gipfel. Kleinere Runden könnten pragmatische Gespräche fördern und Machtspiele entschärfen. Außerdem bieten wiederholte kleinere Sitzungen bessere Gelegenheiten, informelle Gruppen mit unterschiedlicher Zusammensetzung zusammenzubringen, um Vertrauensbildung, gegenseitiges Lernen und Verantwortungsbewusstsein zu fördern. Es dürfte auch dazu beitragen, dass sich die COP wieder auf ihre wesentlichen Governance-Funktionen konzentriert und damit die Umsetzung vorantreibt, statt Jahr für Jahr archaische Verhandlungsrituale fortzuführen. Nicht zuletzt sollte die Regelmäßigkeit solcher Arbeitssitzungen den Beteiligten einen klaren Anreiz bieten, das übergeordnete Ziel, die Eindämmung des gefährlichen Klimawandels, im Blick zu behalten und diesem entsprechend Verantwortung zu demonstrieren.

 

Steffen Bauer ist Politikwissenschaftler und Senior Researcher in der Forschungsabteilung Umwelt-Governance am German Institute of Development and Sustainability (IDOS).

Fariborz Zelli ist Professor für Politikwissenschaft an der Universität Lund, Schweden. Er forscht und lehrt unter anderem zu globaler Umweltpolitik und Umweltgerechtigkeit.

Zehn Jahre nach dem Pariser Abkommen hinkt die Umsetzung weit hinterher

Bonn, 20. Oktober 2025. Im Dezember 2015 feierte die Welt das hart erkämpfte Pariser Abkommen als historischen Erfolg der globalen Klimadiplomatie. Über zwanzig Jahre nach der Verabschiedung der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) und sechs Jahre nach dem ernüchternden „Kopenhagener Akkord“ der UN-Klimakonferenz war der Jubel verständlich. Endlich hatte sich die Staatengemeinschaft verpflichtet, die globale Erwärmung mit ehrgeizigen Maßnahmen einzudämmen. Doch schon damals mahnten Expert*innen, dass der Abschluss eines historischen Abkommens und „Geschichte machen“ nicht dasselbe seien. Zehn Jahre später zeigt sich, wie berechtigt diese Warnung war: Die Klimakrise verschärft sich, während Regierungen mit der Umsetzung der eigenen Versprechen kämpfen.

Tatsächlich leidet die globale Klimapolitik – wie sie durch die jährlichen UN-Klimakonferenzen („COPs“) repräsentiert wird – unter strukturellen Herausforderungen, die seit jeher schwer zu bewältigen sind. In vielerlei Hinsicht ist das Pariser Abkommen selbst ein Spiegel für eine Reihe grundlegender Probleme der globalen Umweltdiplomatie. Zwar konnten sich die Staaten auf ehrgeizige Ziele einigen, doch diese bleiben freiwillig. Daher bleibt offen, welchen Beitrag jedes Land konkret leisten muss.

Statt klar festgelegter Verpflichtungen für die einzelnen Länder, wie sie das Kyoto-Protokoll vorsah – dem Vorläufer des Pariser Abkommens – wird jedes Land angehalten, seine eigenen Ziele und Umsetzungspläne zu entwickeln. Einerseits war diese Delegation der Verantwortung zurück von der internationalen auf die nationale Ebene der Preis für die Einigung auf das Pariser Abkommen – andererseits der Beginn eines neuen Dilemmas. Denn das übergeordnete Ziel des Abkommens, die Begrenzung der globalen Erwärmung auf 1,5 °C gegenüber dem vorindustriellen Niveau, hängt nun von diesen freiwilligen nationalen Beiträgen (NDCs) ab. So vertraut man darauf, dass jedes Land sein Möglichstes tut, während in der Praxis jede Vertragspartei tut, was sie will. Kein Wunder also, dass die erste „Globale Bestandsaufnahme“ Ende 2023 ergab, dass die NDCs zusammengenommen eine globalen Erwärmung von fast 3 °C  erwarten lassen.

Dasselbe Muster zeigt sich hinsichtlich der Mittel, die zur Finanzierung der globalen Klimapolitik benötigt werden: Ambitionierte multilaterale Zielvereinbarungen, Milliarden für den Klimaschutz zu mobilisieren, stehen einseitigen Finanzierungszusagen gegenüber. Doch die Rechnung geht nicht auf. Dieselben Lücken zwischen Ziel und Umsetzung finden sich auch in anderen Bereichen: etwa bei den Zielen für nachhaltige Entwicklung (SDGs) und den globalen Biodiversitätszielen. Einige Beobachter*innen sprechen deshalb von einem Paradigmenwechsel – einer „Governance durch Ziele“, die in der Praxis der globalen Nachhaltigkeitspolitik zur Symbolpolitik verkomme.

Zu diesen Entwicklungen kommt die politische Ritualisierung der jährlichen Klima-COPs. Über Jahrzehnte haben sich bestimmte Verhandlungsmuster verfestigt, wie etwa die „Wer zuckt zuerst“-Mentalität der wesentlichen Verhandlungsblöcke: Zugeständnisse in wichtigen Fragen werden bis zur letzten Minute zurückgehalten. Das hat bei den letzten COPs oft dazu geführt, dass erst in der letzten Nacht hektische Kompromisse eingegangen werden und die so getroffenen Entscheidungen oft unausgereift sind. Diese Dynamik wird noch verstärkt durch die sogenannten „hochrangigen Segmente“, die in der zweiten Woche der COPs stattfinden. Dann reisen Minister*innen und sogar Staatsoberhäupter an, um politische Impulse zu setzen und den Delegierten Autorität zu verleihen. Das mag das Profil und die Öffentlichkeitswirksamkeit der komplexen Verhandlungen steigern – doch zugleich entsteht eine Art „COP innerhalb der COP“. Dies nimmt den laufenden Verhandlungen oft das Momentum. Auch Machtspiele zwischen ungleichen Blöcken lähmen den Prozess. So enden viele COPs heute in oberflächlichen, schwachen Kompromissen.

Um aus dieser Sackgasse der Symbolpolitik herauszufinden, sind zunächst die gewohnten Rituale zu hinterfragen, die tiefgreifenderen Vereinbarungen im Wege stehen. Ein weiterer Schritt wäre, das bestehende Format der COPs zu reformieren und sie mit kleineren, häufigeren und lösungsorientierten Verhandlungsrunden zu ergänzen. Die UN-Biodiversitätskonferenz 2024 hat mit „fortgesetzten Sitzungen“ vorgemacht, wie das aussehen kann. Dieses Modell ließe sich nachahmen, um auch die aufgeblähten Klima-COPs zu konkreteren Ergebnissen zu bewegen.

Die aktuell laufenden UN-Reformdebatten  eröffnen die Chance für eine solche Umstrukturierung. Die Erfahrung zeigt, dass fokussiertere Formate oft mehr bewegen als hochinszenierte Gipfel. Kleinere Runden könnten pragmatische Gespräche fördern und Machtspiele entschärfen. Außerdem bieten wiederholte kleinere Sitzungen bessere Gelegenheiten, informelle Gruppen mit unterschiedlicher Zusammensetzung zusammenzubringen, um Vertrauensbildung, gegenseitiges Lernen und Verantwortungsbewusstsein zu fördern. Es dürfte auch dazu beitragen, dass sich die COP wieder auf ihre wesentlichen Governance-Funktionen konzentriert und damit die Umsetzung vorantreibt, statt Jahr für Jahr archaische Verhandlungsrituale fortzuführen. Nicht zuletzt sollte die Regelmäßigkeit solcher Arbeitssitzungen den Beteiligten einen klaren Anreiz bieten, das übergeordnete Ziel, die Eindämmung des gefährlichen Klimawandels, im Blick zu behalten und diesem entsprechend Verantwortung zu demonstrieren.

 

Steffen Bauer ist Politikwissenschaftler und Senior Researcher in der Forschungsabteilung Umwelt-Governance am German Institute of Development and Sustainability (IDOS).

Fariborz Zelli ist Professor für Politikwissenschaft an der Universität Lund, Schweden. Er forscht und lehrt unter anderem zu globaler Umweltpolitik und Umweltgerechtigkeit.

AREA-ALAFIA créée pour une retraite active et épanouie au Bénin

24 Heures au Bénin - Mon, 20/10/2025 - 12:17

Deux ans après le premier Salon des séniors, creuset d'échanges destiné à réfléchir sur la condition des retraités au Bénin, les participants ont porté sur les fonts baptismaux ce samedi 18 octobre 2025, l'Association pour une retraite épanouie et active (AREA-ALAFIA). Ce premier congrès constitutif s'est déroulé dans la salle de conférence de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (CCI Bénin) à Cotonou.

La précarité dans laquelle se retrouvent les travailleurs aussi bien du public que du privé après leur retraite, a retenu l'attention de l'entreprise Chez Vous et le journal L'Economiste du Bénin, qui y ont consacré en novembre 2023, un Salon des séniors.

Les réflexions menées depuis lors, ont abouti à la création, samedi 18 octobre 2025, de l'Association pour une retraite épanouie et active.
Cette association selon le président du comité d'organisation, n'est pas une association de plus. « Elle se veut un centre d'entraide, de partage, d'espérance et de solidarité entre générations », a souligné Amidou ADAMOU. AREA-ALAFIA d'après lui vise à créer un cadre structuré favorisant l'inclusion sociale et économique des retraités ; offrir des opportunités de formation, de bénévolat, de mentorat pour continuer à contribuer activement au développement du pays ; promouvoir le bien-être physique, moral et financier des membres à travers des activités culturelles, sportives et récréatives ; et enfin, plaider pour une meilleure valorisation du statut de retraité.

A travers AREA-ALAFIA, les retraités selon le président du comité d'organisation entendent « briser les stéréotypes d'une retraite synonyme d'isolement, d'inactivité, et de passivité ». Pour eux, la retraite n'est pas la fin d'un parcours, mais plutôt le début d'un nouvel engagement.

A l'ouverture des travaux du congrès, le promoteur de l'entreprise Chez Vous et du journal L'Economiste du Bénin, a exprimé ses remerciements aux membres du comité d'organisation pour la persévérance et la détermination dont ils ont fait preuve depuis le Salon des séniors.

Au-delà de l'idée, il fallait des gens comme eux pour la concrétisation, a souligné Léonard DOSSOU exhortant les congressistes à une étude approfondie des Statuts et Règlement de l'association, et à apporter les améliorations qu'ils jugent utiles et nécessaires en vue de leur validation.

Pour lui, la couverture du territoire devrait être un défi commun à relever grâce au leadership de chaque membre. Il n'a pas manqué d'inviter les membres à faire de l'association, un label, une plateforme qui fera de la retraite, un moment de paix, de mieux-être, de parfaite santé et d'opportunité pour offrir à chacun, une retraite agréable.

Au terme des travaux de l'Assemblée générale constitutive, Amidou ADAMOU, président du comité d'organisation, a été plébiscité pour conduire les destinées de l'association pendant les trois prochaines années.

A travers AREA-ALAFIA, les retraités selon le président élu, prennent un pari ; celui d'être les acteurs de leur propre bonheur. « La retraite n'est pas la fin de la vie, mais plutôt la fin d'une activité professionnelle », a-t-il rappelé. Il a invité les retraités à prendre de nouveaux engagements pour continuer d'être utiles à leur communauté en se donnant par exemple, un autre projet social.

Les retraités selon le nouveau président devraient également se donner un nouveau mode de vie en faisant attention à leur alimentation ; faire des exercices physiques et sportifs ; éviter le stress ; et organiser autour d'eux, un environnement bienveillant.

L'autre levier sur lequel ils devront agir selon le président, est celui des finances. L'argent selon Amidou ADAMOU, ne règle pas tout, mais il faut un minimum. A cet effet, les retraités d'après lui, devraient ajuster leur nouveau mode de vie à leurs besoins. Mais le plus important a-t-il précisé, c'est de continuer d'être utile à la société.

Des représentants de l'Association des retraités du ministère des finances, de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), et de l'Association des retraités des Pays-Bas ont pris part aux travaux de cette Assemblée générale constitutive.

Composition du bureau élu

Président : ADAMOU Amidou

Vice-président : Ali ABIB

Secrétaire Général : Léonard BALADJA

Trésorier Général : Rogatien NOBIME

Trésorier Général Adjoint : Pascal DOSSOU

Secrétaire chargé des affaires Sociales et Juridique : HEDIBLE Clotaire

Secrétaire à l'organisation, à l'information et à la communication : Bonaventure ASSOGBA

Secrétaire chargé de la formation et de la retraite active : Salamath MOUSTAPHA SOULE

Secrétaire chargé de l'approche du genre et de l'environnement : Christine TOSSOUTH

Secrétaire chargé des activités sportives et des loisirs : François HOUNSOU

Secrétaire chargé des Mutuelles et de la Santé : Prosper Antoine ZODJIN

Commissaires aux comptes : ZOSSOU Simon et ASSOGBA Innocent

F. A. A.

Categories: Afrique

Le président Talon entame des concertations avec l'UP-R

24 Heures au Bénin - Mon, 20/10/2025 - 12:16

Le président Patrice Talon a engagé une série de concertations politiques avec la direction de l'Union Progressiste - le Renouveau (UP- R), dans le cadre des élections communales de 2025.

Depuis samedi, le chef de l'État passe en revue, département par département, les propositions de candidatures du parti Union Progressiste - le Renouveau (UP-R) aux élections communales de 2026, selon des sources bien informées.

Ce dimanche 19 octobre, les discussions se sont poursuivies jusque tard dans la soirée avec les représentants de l'Atacora, de la Donga, du Borgou, des Collines, de l'Ouémé et du Plateau.

Ces échanges, selon plusieurs sources, visent à “apprécier, examiner et harmoniser” les positionnements sur les listes dans le cadre des élections communales de 2026.

Le chef de l'Etat clôturera ce lundi cette série de consultations avec la délégation de l'Atlantique. Cette dernière étape marquera la décision finale sur les candidats à présenter dans les circonscriptions électorales.

Categories: Afrique

4 milliards FCFA pour 150.000 ménages vulnérables via GBESSOKÊ

24 Heures au Bénin - Mon, 20/10/2025 - 12:16

Le Programme de Filets de Protection Sociale Productifs “GBESSOKÊ”, une initiative du gouvernement béninois pour soutenir les ménages les plus vulnérables et leur offrir de véritables opportunités de relèvement économique, a été lancé jeudi 16 octobre 2025.

Porté par le ministère des Affaires sociales et de la Microfinance, le Programme de Filets de Protection Sociale Productifs “GBESSOKÊ ambitionne de soutenir 150.000 ménages, soit environ 1 million de Béninois, grâce à une combinaison de transferts monétaires et de mesures d'accompagnement vers l'autonomie économique.

La phase pilote lancée dans 12 communes réparties dans les 12 départements du Bénin touche déjà 20.621 personnes, dont 85 % de femmes.

Deux premiers versements mensuels de 208 millions FCFA chacun ont été effectués en septembre et octobre 2025.

Au total, près de 4 milliards FCFA sont mobilisés pour cette première phase, sur une période de neuf mois.

À cela s'ajoute une enveloppe additionnelle de 50.000 FCFA par bénéficiaire prévue au 6ᵉ et 9ᵉ mois pour soutenir les AGR. Soit 2,08 milliards FCFA d'aides productives supplémentaires.

La ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance, Véronique Tognifodé, a salué une rupture avec les politiques sociales ponctuelles. « Le social devient un outil de dignité et d'autonomisation », a-t-elle affirmé.

Le programme prévoit aussi l'appui à 10.000 ménages sinistrés par les inondations.

Le représentant résident de la Banque mondiale, partenaire du programme, a salué « l'ambition et la rigueur » des autorités béninoises, assurant du soutien continu de l'institution.

Selon des femmes bénéficiaires, les premiers versements du programme leur ont permis de faire d'importantes activités : lancement de petits commerces, achat de vivres, scolarisation des enfants. Pour beaucoup, ces aides sont « un souffle nouveau ».

Categories: Afrique

"Gari Sohoui" de Savalou et l'huile "Azimi d'Agonlin" désormais protégés

24 Heures au Bénin - Mon, 20/10/2025 - 12:16

Le Bénin enregistre deux nouvelles Indications Géographiques Protégées (IGP). Le "Gari Sohoui" de Savalou et l'huile "Azimi d'Agonlin" ont été officiellement certifiés par l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI).

"Gari Sohoui" de Savalou et l'huile "Azimi d'Agonlin" ; ces deux produits agricoles du Bénin rejoignent l'ananas "Pain de sucre", déjà reconnu. Ils deviennent les 22e et 23e Indications géographiques protégées (IGP) par l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI).

Une reconnaissance dont les enregistements ont été publiés au bulletin officiel de la propriété industrielle de l'OAPI le 30 septembre 2025 sous le numéro 02-2025.

La ministre de l'Industrie et du Commerce, Shadiya Assouman, a reçu le 18 octobre 2025, les certificats des mains de l'OAPI. « Cette reconnaissance ouvre la voie à de nouveaux marchés », a-t-elle déclaré.

L'IGP protège les noms des produits dans les 17 États membres de l'OAPI. Leur usage est désormais strictement encadré.

« Ces noms ne peuvent plus être utilisés pour des produits qui ne viennent pas des zones d'origine », a rappelé Michel Gonomy, expert IGP à l'OAPI. Il évoque des sanctions sévères en cas de contrefaçon.

Le processus de labellisation a duré 6 ans.

Pour Denis Bohoussou, directeur général de l'OAPI, cette certification est un levier de développement. Elle valorise la qualité des produits, leur ancrage géographique et les savoir-faire locaux.
M. M.

Categories: Afrique

Spanischer Rüstungskonzern Indra wirbt für stärkere Kooperation in Europa

Euractiv.de - Mon, 20/10/2025 - 12:15
Anstelle einer Führungsrolle einzelner Staaten oder Konzerne plädiert Indra-Chef José Vicente de los Mozos für Co-Leads – also geteilte Verantwortung und eine breitere industrielle Beteiligung.
Categories: Europäische Union

Le Maroc sacré champion du monde U20

24 Heures au Bénin - Mon, 20/10/2025 - 12:15

Le Maroc a écrit une nouvelle page de son histoire sportive. Les jeunes Lions de l'Atlas ont remporté, dimanche 19 octobre 2025, au Chili, la Coupe du monde U20, un premier sacre mondial salué dans tout le royaume.

Dès le coup de sifflet final de la rencontre Maroc#Argentine (2-0) joué, dimache au Chili, des scènes de liesse ont éclaté dans les villes marocaines telles que Rabat, Casablanca, Fès, Marrakech, Laâyoune ou encore Tanger.

Des milliers de supporters, drapeaux en main, ont envahi les rues pour chanter, danser et célébrer leurs héros. L'atmosphère était électrique, empreinte de fierté et d'unité nationale.

Lors de la cérémonie officielle, en présence d'officiels de la FIFA et de nombreuses personnalités, SM le roi Mohammed VI a salué une victoire « d'excellence », fruit de la « persévérance, du talent et de la discipline » de cette jeunesse marocaine.

Ce succès fait du Maroc l'une des rares nations africaines à avoir remporté cette compétition, après le Ghana en 2009.
Pour le souverain, il s'agit d'un exploit « qui honore tout le continent africain et consacre le travail accompli pour le développement du sport national ».

Avec ce sacre, le football marocain confirme son essor continu sur la scène internationale, porté par une génération ambitieuse et inspirante.

La Colombie termine troisième et la France quatrième de cette édition 2025.

M. M.

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Décès de THIOMBIANO/OUOBA Miaba Pascaline : Remerciements

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 20/10/2025 - 12:00

 Sa Majesté OUNTAMBA Roi du Gulmu ;

La grande famille Yabinpargou à Tikonti, secteur 9 de Fada ;

 La grande famille THIOMBIANO Damondougou André à Fada N'Gourma, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, en France et alliés ;

 La grande famille OUOBA

Kpana Défaye à Diapagpa/Tapoa,Fada N'Gourma, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et alliés ;

Monsieur THIOMBIANO André Félix et enfants.

Remercient tous ceux qui, de près ou de loin ont manifesté leur compassion à travers des soutiens multiples et multiformes à leur endroit lors du rappel à Dieu de leur épouse, mère,grande-mère, soeur , belle-mère, belle-sœur, tante, fille et petite-fille,

Madame THIOMBIANO/OUOBA Miaba Pascaline, décès survenu le jeudi 02/10/2025 à l'hôpital Yalgado de Ouagadougou de suite d'une courte maladie et son enterrement le 07/10/2025 au cimetière de Tabtenga.
Les familles THIOMBIANO et OUOBA vous traduisent toute leur reconnaissance et souhaitent que le Dieu miséricordieux et Tout-puissant rende à chacun au centuple le mérite de ses bienfaits.

« L'éternel est près de ceux qui ont le cœur brisé. Et il sauve ceux qui ont l'esprit dans l'abattement » Psaume 34 : 18

Categories: Afrique

AMENDMENTS 1 - 436 - Draft report Human Rights and Democracy in the world and the European Union’s policy on the matter – annual report 2025 - PE778.262v02-00

AMENDMENTS 1 - 436 - Draft report Human Rights and Democracy in the world and the European Union’s policy on the matter – annual report 2025
Committee on Foreign Affairs
Francisco Assis

Source : © European Union, 2025 - EP
Categories: European Union

EU-Mitgliedstaaten kurz vor Einigung auf LNG-Importverbot aus Russland

Euractiv.de - Mon, 20/10/2025 - 11:34
Laut Ratsentwurf soll das LNG-Verbot ab 2026 greifen – Spotkäufe enden am 1. Januar, Kurzzeitverträge im Juni, und ab 2028 sind auch langfristige Gaslieferungen aus Russland verboten.
Categories: Europäische Union

Press release - Press briefing on this week’s plenary session

European Parliament - Mon, 20/10/2025 - 11:14
European Parliament’s spokespersons will hold a last-minute briefing on the 20 - 23 October plenary session today at 16.30.

Source : © European Union, 2025 - EP
Categories: European Union

Press release - Press briefing on this week’s plenary session

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Mon, 20/10/2025 - 11:14
European Parliament’s spokespersons will hold a last-minute briefing on the 20 - 23 October plenary session today at 16.30.

Source : © European Union, 2025 - EP
Categories: Europäische Union

Press release - Press briefing on this week’s plenary session

Európa Parlament hírei - Mon, 20/10/2025 - 11:14
European Parliament’s spokespersons will hold a last-minute briefing on the 20 - 23 October plenary session today at 16.30.

Source : © European Union, 2025 - EP

DRAFT REPORT on a European Parliament recommendation to the Council, the Commission and the Vice-President of the Commission / High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy concerning an enhanced EU-Canada cooperation in the...

DRAFT REPORT on a European Parliament recommendation to the Council, the Commission and the Vice-President of the Commission / High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy concerning an enhanced EU-Canada cooperation in the light of the current geopolitical context, including the threats to Canada’s economic stability and sovereignty
Committee on Foreign Affairs
Tobias Cremer

Source : © European Union, 2025 - EP
Categories: European Union

Le Conseil avance sur le prochain budget de l’UE alors que le Parlement est dans l’impasse

Euractiv.fr - Mon, 20/10/2025 - 10:33

Euractiv a obtenu un projet de document du Conseil de l’UE montrant que les capitales poursuivent leurs travaux sur la proposition de cadre fiancier pluriannuel (CFP) 2028-2034 de la Commission européenne. Les eurodéputés, eux, restent divisés sur le futur budget.

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