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Article - European Citizen's Prize: 50 people and organisations honoured

European Parliament - Fri, 03/06/2016 - 11:11
General : The European Parliament has honoured 50 people and organisations from 26 EU countries with this year's Citizen's Prize for their contribution to European cooperation and the promotion of common values. The jury, headed by Parliament Vice-President Sylvie Guillaume, selected the 2016 laureates after a consultation of the 79 proposals that made it through to the national juries.

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

Schäuble and the Banking Undead

FT / Brussels Blog - Fri, 03/06/2016 - 11:06

In countless zombie movies there is the classic moment where a member of the dwindling band of survivors is cornered and desperately opens fire on the oncoming tide of walking dead. Despite firing off round after round, to the despair of our hero, the enemies keep approaching until the fateful click of his empty gun that tells him the game is up.

It’s a predicament not unlike that of German Finance Minister Wolfgang Schäuble as he fights a rearguard action to ward off Brussels plans for a common eurozone scheme to guarantee bank deposits.

The idea, known as EDIS, is loathed in Berlin on the grounds that it could force Germany to help cover the costs of bank failures elsewhere in Europe. At the same time, perhaps unsurprisingly, it is lauded in Southern Europe as a guarantee that capitals will be helped to cope with financial crises.

So far, Mr Schäuble has thrown all kinds of obstacles at the proposal, which was unveiled by the European Commission late last year. He has insisted on a tough programme to close loopholes in existing regulations which he says must be fulfilled before EDIS is even considered. He has also questioned the very legal foundations of the plan – saying parts of it have budgetary implications for nations that go beyond what is allowed under the EU treaties.

Despite all this, discussions on the text have rumbled on for months in the EU’s Council of Ministers.

Now, however, Germany is seeking to hit Brussels where it really hurts: with its own rules of procedure.

In a joint paper with Finland, obtained by the FT, Germany seeks to hoist the European Commission up by its institutional petard, accusing it of failing to respect “requirements under primary law and the Better Regulation principles” by not carrying out a full “impact assessment” before presenting the EDIS plan in November.

It’s the Brussels equivalent of trying to take down Al Capone for tax evasion. But hey, it worked.

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Categories: European Union

Isabel dos Santos prend la tête de la compagnie pétrolière angolaise Sonangol

Jeune Afrique / Economie - Fri, 03/06/2016 - 11:05

Le président angolais José Eduardo dos Santos a nommé jeudi sa fille, la milliardaire Isabel dos Santos, présidente du conseil d'administration de la compagnie nationale des hydrocarbures Sonangol, a annoncé la radio publique Rádio Nacional de Angola.

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Categories: Afrique

Quelles stratégies russes et chinoises en Asie centrale ?

IRIS - Fri, 03/06/2016 - 11:05

La Russie, leader incontesté en Asie centrale jusqu’à ces dernières années, est désormais supplantée peu à peu par la Chine, qui bénéficie désormais de la première place dans les échanges économiques et obtient l’approbation des autorités centre-asiatiques. Celles-ci perçoivent l’intervention de ces puissances voisines comme une occasion pour favoriser leur développement économique. Elles gagnent de plus en plus en indépendance et sont désormais à même de s’extraire de l’influence extérieure et de mettre en concurrence les Etats voisins en choisissant leurs partenaires selon leurs intérêts. Les stratégies russes et chinoises en Asie centrale, fondamentalement différentes, suivent un même objectif : avoir une mainmise sur l’Asie centrale.
L’influence russe en Asie centrale est en perte de vitesse, alors que la Chine, qui emploie une toute autre stratégie, parvient à s’implanter rapidement dans la région malgré la faiblesse de ses liens historiques avec celle-ci.

La longue domination russe en Asie centrale, d’abord sous l’Empire tsariste puis sous l’Union soviétique, laisse derrière elle un héritage considérable dans la région. Celui-ci est à double tranchant : s’il permet à Moscou d’avoir une grande influence dans les pays centre-asiatiques, ces Etats souhaitent s’émanciper de toute emprise de la Russie. Cette dernière, suite à l’implosion de l’URSS en 1991, a négligé ses relations avec l’Asie centrale pendant plusieurs années, avant de regagner de l’intérêt pour cette zone. Ce n’est que pendant la seconde moitié des années 1990 que la Russie commence à reprendre le contrôle de la région qui constitue alors une menace sécuritaire liée à la montée de l’extrémisme radical et du trafic de drogues.

Ce retour de la Russie dans la région depuis la fin des années 1990 se traduit notamment par la construction de plusieurs organisations : par exemple, la Russie accentue le rôle de l’Organisation du Traité de Sécurité Collective (OTSC), qui promeut un rapprochement des armées des Etats signataires, ou celui de l’Union économique eurasiatique (UEE), qui a pour vocation la formation d’un marché commun.
La Russie entretient également ses liens avec les élites politiques locales, ce qui lui permet de garder un certain contrôle politique sur la région en apparaissant comme un allié attractif. En effet, la plupart des ministres actuels et proches du pouvoir sont d’anciens apparatchiks, c’est-à-dire d’anciens militants communistes de l’URSS [1]. Par exemple, lorsque les pays occidentaux ont réagi en désapprouvant la répression d’Andijan de mai 2005 par les autorités ouzbèkes, Moscou a servi de « parapluie diplomatique » à Islam Karimov et à son gouvernement. En revanche, Moscou entretient toujours des relations d’assujettissement avec l’Asie centrale : contrôle politique, manipulation des médias, diplomatie militaire, dépendance énergétique, sur fond de menace d’intervention militaire.
La Russie conserve toujours une grande influence politique sur la région : elle est capable d’influencer certaines décisions et possède des moyens de pression comme le contrôle du passage entre le Tadjikistan et l’Afghanistan, frontière qu’elle protège. Economiquement, elle occupe une place très importante et domine certains marchés, par exemple celui des télécommunications avec des opérateurs tels que Beeline ou Megaline. La Russie reste un acteur économique prépondérant en Asie centrale, en particulier dans le domaine des ressources minérales, de l’industrie lourde et des infrastructures.
Cependant, Moscou n’a plus une relation exclusive avec les Etats centre-asiatiques. Par exemple, les interventions de l’Iran, de l’Occident et surtout de la Chine concurrencent fortement le monopole de Gazprom, Lukoïl et de Rosneft dans la région.

La Russie conserve donc une logique de dépendance et une approche tournée vers le Hard power envers une zone avec laquelle elle avait une certaine porosité, et qui lui est désormais hostile.

La présence de la Chine en Asie centrale est, quant à elle, récente, et est traditionnellement présentée, dans la mémoire collective des populations d’Asie centrale, comme l’ennemi historique des peuples des steppes et comme un obstacle à l’expansion de l’Islam vers l’Est. La Chine parvient tout de même à s’introduire et à se développer dans cette région, malgré son image noircie par la propagande russe. La sécurité et le développement sont les principaux axes qui guident la politique chinoise vis-à-vis de l’Asie centrale.

Dès l’indépendance des républiques centre-asiatiques, la Chine voit en ces nouveaux Etats une source d’instabilité pouvant se propager et atteindre le Xinjiang, région qui joue un rôle hautement stratégique pour Pékin (les réserves de pétrole, de gaz naturel et de charbon représentent respectivement 30%, 24% et 40% des réserves du pays), et très proche géographiquement et culturellement des pays et populations d’Asie centrale.
Parallèlement, la Chine doit diversifier ses voies d’approvisionnement, sa consommation d’énergie étant amenée à croître significativement. L’Asie centrale, située à proximité, est riche en ressources naturelles. Des explorations sont toujours en cours, notamment sur le site « North Goturdepe » sur les bords de la Mer Caspienne. Les ressources de cette partie du Turkménistan sont estimées à 12 millions de tonnes de pétrole et 6,5 milliards m3 de gaz.
L’Asie centrale est également un nouveau marché potentiel pour écouler ses produits de consommation – de faible qualité – et ainsi alimenter sa croissance.
Ces éléments incitent donc la Chine à intervenir au Xinjiang et en Asie centrale conjointement : développer le Xinjiang – et notamment les infrastructures – permet au pays d’accéder à l’Asie centrale, et, par ailleurs, développer l’Asie centrale économiquement permet d’avoir des répercussions positives sur le développement économique du Xinjiang, tout en apaisant la région d’un point de vue sécuritaire. La Chine cherche ainsi à faire naître un cercle vertueux entre sécurité et développement économique, à la fois au Xinjiang et en Asie centrale, afin que les deux zones se tirent mutuellement vers le haut.

La Chine mène ainsi en Asie centrale d’importants projets d’infrastructures. Par exemple, elle a contribué au financement d’une grande partie des infrastructures gazières turkmènes, comprenant un investissement de 4 milliards de dollars pour le développement industriel de la région de Bagtyyarlyk, et une assistance dans le financement pour la construction des quatre pipelines pour le transport du gaz.
La Chine intervient massivement dans le secteur de l’énergie en investissant en particulier dans le domaine des hydrocarbures. Par exemple, en ce qui concerne le gaz, la Chine signe d’importants contrats en Asie centrale, en particulier depuis quelques années, avec le Turkménistan, dont elle importe du gaz depuis fin 2009. En 2008, un nouveau contrat d’approvisionnement a été signé, passant d’un volume de 40 G-m3 de gaz par an jusqu’en 2015, à 65 G-m3 par an de 2015 à 2020.

Le président Xi Jinping a annoncé son ambitieux projet de « Nouvelle Route de la Soie », lors d’une visite au Kazakhstan en septembre 2013 : la Chine se propose de participer au financement de la construction de jonctions en développant des infrastructures telles que les chemins de fer, les réseaux d’autoroutes, les routes aériennes, les gazoducs et oléoducs qui ont pour objectif la densification des liaisons entre les différents pays situés le long de cette route de la soie.
La Chine développe également une stratégie de soft power en lançant un programme sur dix ans pour accueillir dix mille étudiants et professeurs des Instituts Confucius dans les pays de l’Organisation de Coopération de Shanghai (dont font partie les Etats d’Asie centrale). Ces programmes ont des répercussions très positives étant donné que les jeunes centre-asiatiques sont de plus en plus nombreux à apprendre le mandarin et à partir étudier dans les universités chinoises. Par cette diplomatie proactive, la Chine gagne l’adhésion des autorités et des populations centre-asiatiques, ce qui lui permet de lever les principaux obstacles qu’elle rencontre pour mener à bien ses projets dans la région.

L’entrée de la Chine en Asie centrale est donc un succès : en moins de vingt ans, elle est devenue un partenaire fidèle des pays centre-asiatiques, elle a su faire de l’Organisation de Coopération de Shanghai, dont elle est le principal moteur, une institution appréciée de ses Etats membres, et est devenue un acteur économique incontournable dans le secteur commercial, des hydrocarbures et des infrastructures. En 2000, la part de la Russie dans les échanges commerciaux de la zone CCA [2] était la plus importante (25%), mais a fortement diminué pour atteindre le niveau de 15% en 2012. Cette diminution est au bénéfice de la Chine, qui ne représentait que 3% du commerce total des CCA en 2000 contre près d’un quart en 2012 [3].

Ainsi, la Chine est parvenue à s’imposer dans la région en proposant une coopération économique aux républiques centre-asiatiques, sensibles aux problématiques de développement économique. Le rapport de force entre la Chine et la Russie, puissances aux stratégies différenciées, s’établit donc en fonction de leur capacité à utiliser leurs atouts, mais aussi à se positionner par rapport à la puissance rivale. Chacune a un avantage sur l’autre : la Russie possède celui de ses liens historiques avec l’Asie centrale, à l’inverse de la Chine qui bénéficie de la volonté des Etats d’Asie centrale de s’émanciper de l’emprise de Moscou.

 

[1] LARUELLE Marlène, PEYROUSE Sébastien, « China as a neighbor: Central Asian Perspectives and Strategies», Central Asia-Caucasus Institute Silk Road Studies Program, 2009.
[2] CCA : Caucase et Asie centrale
[3] IMF Direction of Trade Stratistics

Agenda - The Week Ahead 06 – 12 June 2016

European Parliament - Fri, 03/06/2016 - 11:02
Plenary session and committee meetings, Strasbourg

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

Discussion with Mr. John Griffin, Ambassador of the Australian Embassy in Athens, 31/05/2016

ELIAMEP - Fri, 03/06/2016 - 11:00

On 31 May 2016 the Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP)  in collaboration with the Embassy of Australia in Greece organised a discussion with Mr John Griffin, Ambassador of the Australian Embassy in Athens. Ambassador Griffin spoke on ‘Why Asia is of growing importance for Europe’. The event took place at  the Representation of European Commission in Greece. Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos was the moderator and Dr George Tzogopoulos made comments. The speech of Ambassador Griffin and the discussion which followed were synthesised around the strategic, economic and cultural aspects which can bring Asia and Europe closer. Emphasis was put on the current challenges and the importance of international cooperation to better deal with them.

Peut-on tirer des leçons des élections autrichiennes ?

EU-Logos Blog - Fri, 03/06/2016 - 10:58

Elles sont brèves et banales. Premièrement constater qu’il s’agit d’une victoire, le succès d’une résistance et dans le bilan comptable il convient de l’enregistrer comme telle, la marge minime (31 000 voix) n’y change rien. C’est la loi de la démocratie ordinaire. Certes ce fut plus un soupir de soulagement qu’une joie bruyante. Songeons un instant aux conséquences et aux commentaires en cas d’échec. Aussi fragile que soit ce succès, il y a désormais un rempart en Autriche.

Les contre-valeurs d’un fascisme rampant ont été une fois de plus repoussées, trop souvent les défaites sont anticipées : pensons aux victoires du Front national annoncées comme inévitables lors des élections régionales en France : à l’arrivée, que des défaites. Il faut donc bannir tout propos, toute stratégie, toute conduite défaitistes. Chassons ,aujourd’hui ,tout esprit, toute tentation , tout calcul de compromission.

Mais il nous faut surtout continuer à agir avec acharnement, activement, sans rougir de notre vigueur dont nous ferions preuve dans le combat « pour l’union sans cesse plus étroite » des peuples européens. Une vigueur dont nous rêvons quelle soit du même niveau que celle montrée habituellement par les eurosceptiques, populistes, souverainistes, extrémistes de droite comme de gauche.

Ce sursaut autrichien est venu des profondeurs du peuple : aucune consigne n’est venue des conservateurs ou des sociaux démocrates habitués à se partager le pouvoir alors qu’on constate une polarisation, un clivage important des électorats : monde rural et ville, le centre et la périphérie, les gagnants et les perdants de la mondialisation etc. Pas de cordon sanitaire établi officiellement, mais il a fonctionné.

L’échec du FPÖ est d’une certaine façon inattendu et il reste gênant pour lui : la dynamique de la campagne était pour Norbert Hofer, la sympathie spontanée encore pour Norbert Hofer, en tout cas elle était supérieure à celle de son adversaire. Tout cela n’a pas suffit et donc constatons que même en Autriche un rempart existe. Cela montre que pour les électeurs ce n’est pas naturel de voter pour les extrêmes et cela reste difficile de gagner des élections même si leur influence grandit partout et même si leurs idées peuvent être, à l’occasion, reprises par des partis de gouvernement. Notons que c’est la mobilisation des abstentionnistes du premier tour qui a fait pencher la balance de la victoire vers Alexander van der Bellen.(200 000 des 300 000 non votants du Premier tour du 24 avril ont voté pour lui ; les femmes et les villes ont plus voté pour lui comme les plus diplômés)

La situation autrichienne s’est banalisée à quasiment tous les pays de l’Union : ceux qui n’y succombent pas se comptent sur les doigts d’une seule main et même moins.

Chacun s’accorde à reconnaître que ces sucés de l’extrême droite répondent à des angoisses identitaires, d’abord nationales, mais aussi , et on le soulignent moins, européennes. Si l’UE donne l’impression qu’elle ne contrôle pas la situation, cela nourrit les votes de repli. Or des succès de l’UE existent : la technologie (l’espace), diplomatique (l’Iran) des drames sont évités etc. Il convient de faire mieux connaître les réussites : elles existent, les faire connaître c’est combattre les extrêmes.S’il est vrai que le monde sera de moins en moins eurocentré , de ce fait , et ce n’est pas un paradoxe, le monde aura de plus en plus besoin de l’Europe. Il reste à en prendre conscience. Enfin constatons que la difficulté de constituer des perspectives d’alternance politique authentique renforce les extrêmes comme on vient de le voir en Autriche. D’autres tentations voisines existent ailleurs.

L’exemple de l’écologiste Van der Bellen montre qu’un relatif nouveau venu, sans qualités manifestes évidentes peut s’opposer de façon crédible au populisme d’extrême droite, preuve de sa faiblesse.


Classé dans:BREVES, Citoyenneté européenne, Fonctionnement des institutions
Categories: Union européenne

Ma tartja alakuló ülését a köztársasági parlament

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 03/06/2016 - 10:58

Ma alakul ki a Szerbiai Képviselőház következő összetétele. Maja Gojković házelnök délelőtt tíz órára hívta össze az alakuló ülést. Ami a házelnöki tisztséget illeti, Aleksandar Vučić kormányalakító, a Szerb Haladó Párt elnöke korábban bejelentette, hogy Gojković második mandátumban is megtarthatja a szóban forgó funkciót.

A csatlakozás után akár húszszor több pénz Szerbiának

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 03/06/2016 - 10:57

Szerbia EU-s csatlakozása után az eddiginél 10, de akár 20-szorosát is lekérheti a számára előirányzott alapokból, ami sokkalta jobb lehetőségeket nyújt majd az ország válallatainak – jelentette ki tegnap Ondrej Beránek, az eNovation tanácsadó vállalat munkatársa és az EU-s alapok pénzügyi szakértője.

UNHCR and FAO say assisting refugees and South Sudanese families

Sudan Tribune - Fri, 03/06/2016 - 10:49

June 2, 2016 (JUBA) – The United Nations Refugee Agency (UNHCR) and Food and Agriculture Organization (FAO) of the United Nations Thursday said they have distributed seeds and agricultural tools to over 200,000 refugees and their host communities across South Sudan to help them become more self-sufficient in a country facing a serious food crisis.

Non-food items distributing to IDPS by the UNHCR workers in Maridi on 4 March 2016 (ST Photo)

In a statement extended to Sudan Tribune, the two world organizations said assessments have shown that the food and nutrition security situation is worrying in many parts of the country, including in Upper Nile – a region hosting four refugee camps and South Sudan's largest refugee population of 134,000 Sudanese refugees.

A nutrition survey, conducted in late 2015, the statement revealed, found that Upper Nile's Maban refugee camps registered higher levels of malnutrition compared to 2014. This was particularly the case in Doro camp, where the rates of Global Acute Malnutrition (GAM) and Severe Acute Malnutrition (SAM) were respectively 15.5 percent and 2.6 percent – above UNHCR standards of 10 percent and 2 percent.

“To quickly respond to high malnutrition rates we are distributing nutritious food for children under five years and all pregnant and breastfeeding mothers. We are pleased to announce that these interventions are working well, but we are also looking beyond quick-fix solutions that help refugees become more self-reliant and less dependent on humanitarian assistance in the long run. This is the essence of the UNHCR-FAO partnership,” says Ahmed Warsame, UNHCR Representative.

This year, the two UN agencies have jointly contributed 186 tons of crop seeds, assorted vegetable seeds, hand tools and fishing kits for refugees and local communities in Unity, Upper Nile, Jonglei, Central Equatoria and Western Equatoria. This donation will enable communities to start planting their cereals and replenish their stocks, in so decreasing food shortages.

“People here lack the resources to buy the things they need to start planting and need support to be able to produce their own food. These distributions have been very timely since the planting season has just started,” says Serge Tissot, FAO Representative.

“It is vital to strengthen the livelihoods of vulnerable communities in the long-term so that they can become more resilient, absorbing shocks and increasing their access to food through their own means.”

While many have received assistance through direct distributions in the past, the statement said in 2016 refugees in Central Equatoria were invited to attend seed fairs for the first time. With this FAO, in partnership with UNHCR, strives to help transform agriculture in South Sudan by facilitating the sale of high quality local seeds instead of imported seeds.

At the fair, it said, vulnerable farmers were issued with vouchers to be exchanged with local traders for seeds which directly injected cash into the local economy.

“Without seed distributions we cannot survive. Not all of us are able to keep seeds for next year, some people do, but because of lack of food, sometimes we are forced to eat the seeds kept for planting,” said Michelle, Sudanese refugee from Blue Nile State.

“We hope for peace so that we can return home, where we can be free,” she added.

UNHCR and FAO, they said, are committed towards increasing refugees' access to livelihood opportunities and reducing dependency on humanitarian aid.

Of late, a joint livelihood strategy for South Sudan was launched looking to address this issue with a clearly defined action plan. The strategy targets both refugees (70 percent) and local communities (30 percent) in refugee-hosting areas across the country.

(ST)

Categories: Africa

South Darfur governor threatens to detain journalists

Sudan Tribune - Fri, 03/06/2016 - 10:46

June 2, 2016 (NYALA) - Governor of South Darfur State Adam al-Faki has threatened to arrest journalists and jail them in the infamous prison of Port Sudan if they published “negative and bad” reports about his state.

South Darfur governor Adam al-Faki (ST Photo)

While accompanying the Federal State Minister for Health, Sumaiya Idriss, during a tour at Nyala Educational Hospital, al-Faki said that journalists are drawn to reporting only bad news and contribute to create a negative image of South Darfur state.

This bad reputation affects the economic, social and security situations of the South Darfur State, he stressed.

Reports from South Darfur State often reflect the increasing insecurity there such as armed robberies, kidnapping for ransom, carjacking.

In order to curb criminal activities and attacks by armed gangs, the state of emergency has been imposed in South Darfur state since August 2014, including a curfew in Nyala during the night.

The decision also banned riding of motorcycles by more than one person, driving unlicensed vehicles and wearing of Kadamool (turban which covers the face).

The governor, who disagreed with a doctor on how to run the Intensive Care Unit at the hospital, turned to reporters saying "go and write that the governor quarrelled with the doctors"

On her part, the state health minister said her visit comes in the context of implementation of specialised medical facilities in the regional hospitals, rehabilitating rural hospitals and efforts to provide rural and isolated areas with midwives.

Idriss stated that the total cost of the government plans to implement specialized medical units has reached one billion Sudanese pounds, pointing that the health ministry is working to solve the challenges facing doctors.

(ST)

Categories: Africa

Tíz díj

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 03/06/2016 - 10:45

Az Újvidéken 61. alkalommal megrendezett Sterija Játékokon a legjobb rendezésért és a legjobb díszletért járó díjat Urbán András kapta a belgrádi Szerb Nemzeti Színházban rendezett Hazafiak című előadásért. Ugyanez az előadás nyerte el a legjobb zenének járó elismerést, valamint a kritikusok díját is.

Van jövőtök!

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 03/06/2016 - 10:44

Ezzel az egyetemistáinkhoz intézett üzenettel zárta ünnepi beszédét Hajnal Jenő, a Magyar Nemzeti Tanács elnöke tegnap délután az Európa Kollégiumban megtartott évzáró ünnepségen.

Sabaté és Perić is keretet hirdetett

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 03/06/2016 - 10:35

Xavi Sabaté, a magyar és Dejan Perić, a szerb szövetségi kapitány is közzétette azoknak a játékosoknak a nevét, akikre számítanak a világbajnoki selejtezőben. A két csapat egymás ellen lép pályára: először június 10-én Kraljevóban mérik össze erejüket, majd öt nappal később Veszprémben rendezik meg a visszavágót. A magyar szövetség csütörtöki közlése szerint az együttes Szegeden edzőtáborozik, majd jövő csütörtökön onnan utazik a kraljevói első mérkőzés helyszínére, azt követően pedig Veszprémben készül a június 15-i visszavágóra. A szerb válogatott hétfőn Belgrádban kezdi meg a felkészülést az első találkozóra, a kraljevói mérkőzés után pedig Újvidéken tartózkodik majd június 11. és 14. között.

A magyar férfiválogatott kerete, kapusok: Bartucz László (Csurgó), Fazekas Nándor (Balatonfüred), Mikler Roland (Veszprém). Jobbszélsők: Gulyás Péter (Veszprém), Harsányi Gergely (Grundfos Tatabánya), Iváncsik Tamás (Elverum, norvég). Jobbátlövők: Ancsin Gábor (Szeged), Balogh Zsolt (Szeged), Nagy László (Veszprém). Irányítók: Császár Gábor (Kadetten Schaffhausen, svájci), Lékai Máté (Veszprém). Beállók: Bánhidi Bence (Balatonfüred), Schuch Timuzsin (Veszprém), Zubai Szabolcs (Szeged). Balátlövők: Bodó Richárd (Grundfos Tatabánya), Ilyés Ferenc (Szeged), Iman Dzsamali (Kristianstad, svéd), Nagy Kornél (Dunkerque, francia). Balszélsők: Bóka Bendegúz (Balatonfüred), Iváncsik Gergő (Veszprém).

A szerb válogatott kerete, kapusok: Darko Arsić (Metaloplastika), Dragan Marjanac (Bern Muri, svájci), Ivanišević Tibor (Borac, bosnyák). Balszélsők: Nemanja Ilić (Toulouse, francia), Filip Marjanović (Vojvodina). Jobbszélsők: Darko Đukić (Beşiktaş, török), Strahinja Stanković (Vojvodina). Balátlövő: Žarko Šešum (Göppingen, német), ifj. Momir Rnić (Melsungen, német), Ilija Abutović (Vardar, macedón), Petar Nenadić (Füchse Berlin, német). Irányító: Nemanja Mladenović (Cesson, francia), Luka Mitrović (Elverum, norvég). Jobbátlövők: Nemanja Zelenović (Magdeburg, német), Miloš Orbović (Vojvodina), Ivan Stanković (Creteil, francia). Beállósok: Mijajlo Marsenić (Vardar, macedón), Bojan Beljanski (Bregenz, osztrák), Zoran Nikolić (Vojvodina).

A világbajnoki selejtező programja, 1. mérkőzés (június 10., 18 óra, Kraljevo): Szerbia–Magyarország (Duna World, RTS2). Visszavágó (június 15., 20 óra, Veszprém): Magyarország–Szerbia (Duna World).

Hands Off the Merchandise: Don't Be Chummy With Your Russian Honey

The Moscov Times - Fri, 03/06/2016 - 10:29
While I was walking in the park the other day, I saw a particularly attractive little dog, whose wiggling, tail wagging and walking toward me seemed like a clear indication of friendly intentions.
Categories: Russia & CIS

Législatives espagnoles du 26 juin 2016 : Châteaux électoraux vénézuéliens outre Pyrénées ?

IRIS - Fri, 03/06/2016 - 10:24

La campagne législative espagnole du 26 juin 2016 s’est délocalisée de façon déconcertante au Venezuela. L’Espagne est, selon la formule consacrée par l’usage, la madre patria. Et les Latino-Américains seraient donc ses enfants. La « mère patrie » a donc des affinités électives avec les peuples d’outre-Atlantique. Elle y a aussi des intérêts. Au Venezuela, l’assureur Mapfre, la banque BBVA, la Telefónica, les hôtels Melia, tentent de survivre à un Bolivar (la monnaie locale) dévalué par appartements (trois types de changes coexistent en effet). Les nationaux espagnols expatriés dans les terres de Bolívar seraient au nombre de 200 000. Mais enfin, de là à faire du Venezuela, l’enjeu ou l’un des enjeux centraux de la consultation législative espagnole du 26 juin, il y a plus qu’un écart géographique qui interpelle la raison politique.

L’Espagne a été un modèle de transition démocratique pour les pays sud-américains dans les années 1980. Mais pas au Venezuela qui n’a pas connu de dictature militaire de type argentin ou chilien. Paradoxe supplémentaire, l’Espagne est depuis plus de six mois en état d’aboulie institutionnelle. La consultation législative du 20 décembre 2015 a révélé l’usure du système fabriqué à la sortie de la dictature franquiste. Au point de contraindre à la dissolution d’un parlement à peine élu. Les Ibériques sont donc à nouveau invités à mettre un bulletin dans l’urne le 26 juin prochain. Le choix est ouvert, beaucoup plus que par le passé. À droite ou au centre droit on trouve le Parti Populaire et Ciudadanos. À gauche ou au centre gauche, les socialistes (le PSOE) et la coalition formée par Podemos et la Gauche unie. En Catalogne et au Pays Basque les électeurs ont un éventail d’options plus large, avec diverses formations d’inspiration nationaliste et/ou indépendantiste.

L’enjeu de ces législatives, pourrait-on penser, porte sur l’avenir de l’Espagne. Comment sortir d’une longue crise économique qui a fait exploser le chômage ? Comment arbitrer entre demandes sociales insatisfaites et exigences européennes d’austérité budgétaire ? Comment réhabiliter maires, députés et sénateurs qui aux quatre coins de la peau de taureau ont été compromis dans des affaires que la morale condamne ? Quel contrat territorial imaginer et proposer pour tenir compte des poussées nationalistes catalanes et basques ? Pourtant à la lecture des évènements courants, tels que relatés dans les gazettes, l’enjeu de la campagne ne serait, ni à Madrid, ni à Barcelone, ni à Vitoria, mais quelque part en Amérique du sud, et plus précisément à Caracas.

Les socialistes, le PSOE, ont initié ce déplacement de campagne électorale avec deux anciens présidents du gouvernement qui ont débarqué sur les côtes vénézuéliennes. Felipe Gonzalez, le plus ancien dans la fonction, le premier, entre les 8 et 10 juin 2015, est allé sur place. Pour apporter un soutien solidaire aux partis politiques de l’opposition la plus radicale, dont les responsables ont été condamnés à de lourdes peines de prison. José Luis Rodriguez Zapatero a quelque temps plus tard, le 16 mai 2016, prolongé cette affinité vénézuélienne. Avec un agenda différent. Il a en effet essayé de jouer les bons offices en rencontrant toutes les parties pour les inciter à trouver une sortie de crise, juste et pacifique. Albert Rivera, fringant leader du parti, qualifié communément d’émergent, Ciudadanos (Citoyens), arrivé bon dernier, a le 25 mai 2016, repris le flambeau là où l’avait laissé Felipe Gonzalez. Il est donc allé porter aide et assistance unilatérale, aux opposants du gouvernement de Nicolas Maduro. Le Parti Populaire interdit de séjour à Caracas s’est vengé en accordant la nationalité espagnole à une demi-douzaine d’opposants. Mariano Rajoy s’est fendu d’une tribune vengeresse dans le quotidien, El Pais, et a rappelé à Madrid, « en consultation » comme on dit quand il y a de l’eau dans le gaz, l’ambassadeur espagnol. Podemos aurait pu aller à Caracas. Mais il ne l’a pas voulu. Longtemps silencieux, en raison d’amitiés politiques datant de l’époque de Hugo Chávez, qui lui ont été reprochées par les autres partis politiques, Podemos a été en mai 2016 contraint de sortir du bois. Pour condamner, sans condamner, tout en condamnant les autorités de Caracas. Podemos a en effet reproché à Nicolas Maduro de suivre les traces de Mariano Rajoy, en « parlant des autres pays pour éviter de parler du sien ».

Cette échappée vénézuélienne des principaux partis politiques espagnols, en pleine campagne électorale, a surpris les observateurs extérieurs, et peut-être les électeurs. Elle est en tous le cas assumé par les acteurs partisans en compétition. Reste à savoir si l’intentionnalité vénézuélienne est gratuite, et bien qu’animée par des convictions divergentes, fondée sur la volonté altruiste d’aider un peuple ami ? Ou plus si affinité, pour un pays « frère » selon la formule de Mariano Rajoy. Que dire ? Sinon bien sûr que géographiquement, l’Espagne est loin du Venezuela. Mais après tout dans le monde global d’aujourd’hui Caracas est à une touche d’ordinateur de Madrid. Et le cœur et la tradition, on l’a vu, effacent les distances. L’Espagne pour ces raisons-là, comme pour d’autres, économiques, commerciales, culturelles, d’influence en un mot, a vocation à maintenir un lien fort avec les pays latino-américains. Quelle que soit la majorité au pouvoir à Madrid. Quelle que soit la famille politique.

Encore faudrait-il que les Espagnols s’entendent de façon minimale sur un dénominateur national commun. Ce qui n’est plus aujourd’hui le cas. La crise économique, le regain d’intolérance mutuelle, ont rompu les consensus, territoriaux et institutionnels, si difficilement construits au sortir de la dictature. Chaque famille politique se replie sur des valeurs de pureté idéologique, voire d’authenticité infranationale en Catalogne. Cette mésentente collective, cette tribalisation de la politique, ont trouvé dans les querelles vénézuéliennes une sorte de reflet sans doute fortuit, mais induisant en tentation polémique.

Parti émergent, Podemos a des sympathies bolivariennes. Tout comme d’ailleurs la Gauche unie qui les exprime beaucoup plus directement. Inversement le Parti Populaire et Ciudadanos, au Venezuela, comme en Espagne font de la surenchère anti-Podemos, au nom des libertés. Quant au PSOE, il est quelque part prisonnier des affinités de ses anciens premiers ministres. L’un Felipe Gonzalez navigue de concert sur ce dossier avec le PP et Ciudadanos. L’autre, José Luis Rodriguez Zapatero, a choisi de jouer les médiateurs.

La campagne espagnole incertaine a radicalisé et validé ce champ de bataille lointain. Le Parti Populaire a le 28 avril 2016 à la veille de sa dissolution demandée au Congrès des députés de se prononcer sur la crise vénézuélienne. Les députés du PP, de Ciudadanos, du PSOE, du PNV, de Democracia i Llibertat ont approuvé un projet demandant au gouvernement espagnol de faire des démarches permettant la libération des opposants incarcérés. La Gauche républicaine catalane (ERC), Bildu, et la Gauche unie ont voté contre. Podemos s’est abstenu. Le 27 mai 2016 faisant monter la tension d’un cran le président de gouvernement intérimaire, Mariano Rajoy, a inscrit la situation vénézuélienne, à l’ordre du jour du Conseil de sécurité nationale.

Bien que membre du parti Populaire, le ministre espagnol des affaires étrangères, José Manuel Garcia-Margallo, les yeux rivés sur l’intérêt supérieur de l’Espagne, a signalé son inquiétude, face à cette dérive électorale transnationale. Tout déplacement espagnol à Caracas est le bienvenu, a-t-il déclaré, s’il contribue à faire baisser les tensions. À l’autre bout du champ partisan espagnol, Pablo Iglesias, chef de Podemos, il est vrai sous le feu de critiques croisées du PP, de Ciudadanos, de la presse, au sujet des penchants supposés, idéologiques et financiers, de Podemos à l’égard du régime de Nicolas Maduro, a approuvé le ministre. « Monsieur Maragallo a raison », a-t-il déclaré. « À un mois des élections comment comprendre que des candidats à la présidence du gouvernement estiment que parler de l’Espagne est une question secondaire ».

A trianoni diktátumra emlékeztek a szegedi kollégisták

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 03/06/2016 - 10:24

Színes, egyben tanulságos programmal emlékezett az 1920-as békediktátumra a Szegedi Városi Kollégium Fodor József Tagintézménye. Sápi László, a kollégium nevelőtanára és egyik munkatársa, a szabadkai születésű Fodor Erika kezdeményezésére emlékkiállítást szerveztek, melyet történelmi előadással, filmvetítéssel, énekléssel kísért műsorral nyitottak meg szerdán.

Ventes d'armes : en 2015, la France a explosé les compteurs

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Fri, 03/06/2016 - 10:22
La France a enregistré en 2015 des commandes record d'armements. Et l'année en cours sera encore meilleure ! Pourquoi ? Comment ? Explications
Categories: Défense

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on potential cooperation schemes in the Eastern Mediterranean, 01/06/2016

ELIAMEP - Fri, 03/06/2016 - 10:19

You can read here the article on potential cooperation schemes in the Eastern Mediterranean, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in the Greek daily Kathimerini on 1 June 2016 [in Greek].

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