Der Rat hat über Tunesien beraten und Schlussfolgerungen zur gemeinsamen Mitteilung der Hohen Vertreterin und der Europäischen Kommission mit dem Titel "Ausbau der EU-Unterstützung für Tunesien" angenommen.
Die Minister haben darüber beraten, wie der Ausbau der EU-Unterstützung für Tunesiens Bemühungen zur Bewältigung seiner kritischen Herausforderungen und zur Förderung langfristiger Stabilität, Resilienz, verantwortungsvoller Staatsführung, sozioökonomischer Entwicklung und Sicherheit erfolgen könnte. Der Rat hat die bisher erzielten bedeutenden Fortschritte ebenso anerkannt wie die Herausforderungen, denen sich das Land gegenübersieht.
Der Rat versicherte der tunesischen Bevölkerung und der tunesischen Regierung, dass er sich entschlossen für die Unterstützung des 2011 eingeleiteten Übergangs hin zu Freiheit, Demokratie, Würde und sozialer Gerechtigkeit einsetzt. Der Rat unterstützte insbesondere eine Aufstockung der Finanzhilfe der EU auf bis zu 300 Mio. EUR für 2017 und die Beibehaltung eines hohen Finanzierungsniveaus bis 2020; Grundlage hierfür bilden die Fortschritte bei den im strategischen Entwicklungsplan der Regierung angekündigten Reformen.
Der Rat hat sich einen Überblick über die Vorbereitungen für die Außenministertagung CELAC-EU, die am 25./26. Oktober 2016 in Santo Domingo stattfinden wird und in der es um die Zukunft der biregionalen Partnerschaft gehen wird, verschafft und einen Entwurf der Tagesordnung angenommen. Darin sind Beratungen über Möglichkeiten zur Stärkung des biregionalen Dialogs und zur Vertiefung der beiderseitigen Beziehungen, eine Bewertung der auf den Gipfeltreffen beschlossenen Programme und Maßnahmen, Beratungen zur Entwicklungsfinanzierung und zum Klimawandel und ein spezifischer Punkt zur EU-Lateinamerika/Karibik-Stiftung (EU-LAK-Stiftung) vorgesehen.
Auf der Tagung soll zudem ein Übereinkommen zur Errichtung der EU-LAK-Stiftung als internationale Organisation unterzeichnet werden. Im Rahmen der EU-LAK-Stiftung bündeln die Europäische Union mit ihren 28 Mitgliedstaaten und die Gemeinschaft der Lateinamerikanischen und Karibischen Staaten (CELAC) mit ihren 33 Mitgliedstaaten ihre Kräfte, um folgende Ziele zu erreichen:
Die Ziele der EU-LAK-Stiftung sollen durch verschiedene Aktivitäten erreicht werden, wie zum Beispiel die Anregung von Debatten im Rahmen von Seminaren, Konferenzen und Veröffentlichungen, die Förderung von Veranstaltungen im Zusammenhang mit den in den CELAC-EU-Gipfeltreffen behandelten Themen, die Einleitung biregionaler Programme und die Organisation eines Austausches sowie die Förderung von Studien und die Erschließung neuer Kontaktmöglichkeiten.
Die EU-LAK-Stiftung hat ihren Sitz weiterhin in Hamburg (Deutschland). Die im Jahr 2011 errichtete vorläufige Stiftung wird nach dem Abschluss des internationalen Übereinkommens aufgelöst.
A Tanács elfogadta az EU–Irak Együttműködési Tanács második ülésének napirendjét. Az ülésre 2016. október 18-án Brüsszelben (Justus Lipsius épület) kerül sor.
Az Együttműködési Tanács megvitatja az Unió és Irak közötti kétoldalú kapcsolatokat és különösen a partnerségi és együttműködési megállapodás végrehajtása terén elért eredményeket. Emellett megbeszélést fog folytatni az Iraknak nyújtott jelenlegi és hosszú távú uniós támogatásról. A résztvevők továbbá véleménycserét folytatnak a belföldi és regionális politikai és biztonsági kérdésekről.
Az ülést Federica Mogherini, az EU külügyi és biztonságpolitikai főképviselője és Ibrahim al-Dzsafári iraki külügyminiszter fogja vezetni. Az Együttműködési Tanács ülésén az iraki külügyminiszter meghívására részt vesz Faláh Musztafa, a Kurdisztáni Régió külügyi hivatalának vezetője is.
Sajtóesemények 2016. október 18-án, kedden:
+/-13.30-tól
Érkezés (VIP-bejárat, 02. szint)
15.00
EU–Irak Együttműködési Tanács
Kerekasztal-megbeszélés
17.00
Csoportkép
+/- 17.10
Sajtónyilatkozatok (a Tanács sajtóterme)
La nomination d’Antonio Guterres au poste de Secrétaire général de l’Organisation des nations unies (ONU) est une très bonne nouvelle pour l’organisation mondiale.
Antonio Guterres a fait preuve de ses capacités par le passé : comme Premier ministre du Portugal, dans un premier temps, puis en tant que Haut-commissaire aux réfugiés où, pendant dix ans, il a dû faire face, avec efficacité et courage, à de très graves crises. Il est donc aussi bien au fait des responsabilités nationales que des responsabilités internationales et multilatérales.
Mais, Antonio Guterres, homme charismatique et de caractère, se distingue surtout par son tempérament. Les Secrétaires généraux sont souvent confrontés au risque d’être étouffés par des membres permanents qui lui dictent la politique à suivre. Certes, Antonio Guterres n’est pas le président de l’ONU et n’aura pas la capacité d’ordonner aux cinq membres permanents leur mode de conduite. On peut néanmoins penser qu’il sera plus actif que son prédécesseur, Ban Ki Moon, parfois trop respectueux des convenances et surtout trop soumis aux volontés de Washington. En conséquence, bien que sa marge de manœuvre ne soit pas totale, on peut penser qu’il donnera plus d’impulsion à la fonction. D’ailleurs, les membres permanents ne pensaient pas d’emblée à lui pour exercer le poste de Secrétaire général, craignant précisément son indépendance. Son rôle est important ; il a la capacité d’initier. On a vu, par le passé, des personnalités comme Boutros Boutros-Ghali ou Kofi Annan œuvrer avec plus d’indépendance que Ban Ki-Moon vis-à-vis des autres membres permanents.
Certes, l’ONU n’empêche pas les guerres, et d’aucuns avancent qu’elle s’est davantage illustrée par ses échecs que ses succès,comme le prouve actuellement son inanité et impuissance face à la situation syrienne. Ce genre d’allégation est fondée. Il existe, en effet, des divergences entre les membres permanents qui peuvent bloquer l’ONU et l’empêcher de jouer son rôle. Mais ce n’est pas le droit de veto qui est mis en cause car, sans ce droit, les Nations unies n’existeraient pas. Il constitue donc un mal nécessaire. Si l’ONU n’empêche évidemment pas la totalité des guerres, il convient également de prendre en compte l’ensemble de son œuvre : d’une part, par ses institutions spécialisées (de l’Organisation mondiale de la santé au Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés) ; d’autre part, par son travail de prévention et de prise de contact. Car la diplomatie se veut aussi discrète dans le but d’aboutir à la conclusion d’une guerre ou empêcher son déclenchement. Les critiques à l’égard de l’ONU sont souvent excessives et son bilan doit-être considéré sous un angle plus global. L’ONU, en tant que telle, n’est pas responsable des profondes divisions de la communauté internationale. Elle n’en est pas la cause, mais le simple reflet.
L’épilogue de la guerre du Golfe, de 1990 à 1991, porta l’espoir que l’ONU retrouve son rôle initialement prévu par les rédacteurs de la charte. Mikhaïl Gorbatchev, à la tête de l’URSS à l’époque, avait accepté de lâcher son allié irakien, car ce dernier avait très lourdement violé le droit international, en envahissant le Koweït. Pour la première fois, un membre du Conseil de sécurité n’opposait pas un veto à une résolution demandant des sanctions à l’encontre de l’un de ses alliés. On avait célébré un nouvel ordre mondial. Pour la première fois, la charte de l’ONU avait été utilisée telle qu’elle avait été prévue, dans une action de sécurité collective. Les clivages et blocages avaient ensuite repris le dessus ; il n’existe plus de guerre idéologique entre les Etats-Unis et l’Union soviétique, mais des rivalités nationales. C’est sur ce point que la communauté internationale a loupé une étape, en laissant Gorbatchev quitter le pouvoir, faute d’avoir été soutenu, à la fin de la Perestroïka.
António Guterres ne fera donc pas de miracle, mais il pourra redynamiser la maison et offrir un nouveau souffle à l’ONU, qui en a bien besoin.
EDA Chief Executive Jorge Domecq today (18 October) visited the Euronaval exhibition in Paris where he had a range of bilateral meetings with industry leaders. He also participated in a panel discussion organized by GICAN (Groupement des Industries de Construction et Activités Navales) on the “The future of naval warfare: high-end operations”.
In his panel intervention, Mr Domecq called for more cooperation between Member States on European programs and the development of the next generation of platforms.
“The current scattered approach is ultimately putting at risk the very survival of our naval industry (…) European navies operate 20 different types of frigate, four different types of aircraft carrier, and multiple types of support ships and MCM Vessels. This situation is no longer affordable”, he said.
“There is no need to develop a ‘one size fits all’ solution. But we do need a full, frank, fair and mutual analysis of common gaps, common requirements and respective investments made at national and multinational level by Member States, including on high-end capabilities”, the EDA Chief said.
He called on Member States that face similar regional or procurement challenges to agree on common platforms with an open architecture approach for subsystems. “And I would like to encourage industrial stakeholders not to be afraid about competition nor about possible European consolidation”, he stated.
EDA tools available
Tools developed within EDA like the Collaborative Database are unique instruments to identify the business case for cooperative capability developments.
45 collaborative opportunities for naval platforms have already been identified such as ‘surface combatants’, ‘submarines’, ‘maritime patrol vessels’ or ‘auxiliary ships for logistics support’ but also specific naval assets such as ‘maritime patrol aircraft’ and ‘naval helicopters’ or capabilities like ‘naval radars’, ‘sonars’, ‘naval air and missile defence’ and ‘ship protection’.
In particular, the capability of replenishment at sea and logistic support are essential. Many of the Member States share a common need for improved endurance at sea. “Applying a model like the European Air Transport Command (ETAC) can be of interest”, Mr Domecq said.
Increased R&T needed
Mr Domecq also said that European naval forces have probably never been confronted with security challenges as big as today, ranging from territorial protection to dealing with refugee crises and combatting criminal trafficking networks in the Mediterranean and the Aegean Sea.
He recalled that the recent EU Global Strategy explicitly highlights the importance of maritime security which will also be part of the upcoming revision of the Capability Development Plan (CDP) for which the EDA will seek a mandate by Defence Ministers in November.
Regarding the CDP revision, Mr Domecq insisted on the need to ensure strong interaction between the naval industry and research and technologies (R&T) community. “These efforts have to lead to an increased R&T commitment, either on an intergovernmental level through the European Defence Agency or on the basis of the future Preparatory Action and the European Defence Research Programme (EDRP). It’s paramount that we push ahead with innovation on disruptive technologies”, the EDA Chief Executive said.
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Les humains sont des créatures sociales très perfectionnées. Nos cerveaux nous ont permis de survivre et de prospérer au milieu d’environnements sociaux complexes. Ainsi, les comportements et les émotions qui nous permettent d’évoluer au sein de notre sphère sociale sont enracinés au sein d’un réseau de neurones à l’intérieur de nos cerveaux.
Les médias sénégalais rendaient mardi hommage à une étoile de la lutte sénégalaise, le sport roi du pays, Yakhya Diop, dit Yekini, qui quitte l'arène au terme d'une carrière exceptionnelle
Le roi Mohammed VI du Maroc entame mardi une tournée dans trois pays africains au moment où son pays cherche à réintégrer l'Union africaine qu'il a quittée il y a plus de trente ans, a indiqué un communiqué du palais royal.
De violents combats entre l'armée somalienne et les islamistes radicaux shebab étaient en cours mardi à Afgoye, ville stratégique située à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de la capitale Mogadiscio, a-t-on appris auprès d'une source sécuritaire et d'un témoin.
A Tanács megbeszélést folytatott Tunéziáról és következtetéseket fogadott el a főképviselő és az Európai Bizottság „A Tunéziának nyújtott uniós támogatás megerősítése” című közös közleményéről.
A miniszterek megvitatták, hogy az Unió miként javíthatná Tunézia azon erőfeszítéseihez nyújtott támogatását, melyek az ország előtt álló kritikus kihívások kezelésére, valamint a tartós stabilitás, a reziliencia, a jó kormányzás, a társadalmi-gazdasági fejlődés és a biztonság előmozdítására irányulnak. A Tanács elismerte, hogy jelentős eredmények születtek, de felhívta a figyelmet az ország előtt álló kihívásokra is.
A Tanács megerősítette az iránti szilárd elkötelezettségét, hogy Tunézia népe és kormánya számára támogatást nyújt a szabadság, a demokrácia, a méltóság és a társadalmi igazságosság érdekében 2011-ben megkezdett átmenethez. A Tanács ennek keretében támogatta az EU 2017-re vonatkozó pénzügyi támogatásának legfeljebb 300 millió EUR összegre történő növelését, valamint azt, hogy a 2020-ig terjedő időszakra fenntartsák a finanszírozás magas szintjét a tunéziai kormány stratégiai fejlesztési tervében bejelentett reformok előrehaladása alapján.
Jamais, depuis la fin de la Guerre Froide, les forces armées norvégiennes n’avaient repéré pareille armada venue de Russie si près de leurs côtes. En effet, Oslo a indiqué, ce 18 octobre, avoir compté jusqu’à 8 navires de la marine russe naviguant en mer de Norvège. « Ce n’est pas tous les jours qu’autant de navires […]
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