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Peace profits

BBC Africa - Mon, 14/11/2016 - 14:30
Ivory Coast has recovered its swagger after five years of peace, reports the BBC's James Copnall, a former Abidjan correspondent.
Categories: Africa

Ivorian legend Laurent Pokou dies aged 69

BBC Africa - Mon, 14/11/2016 - 14:07
Once hailed by Pele as "my successor" and a goalscoring hero for Ivory Coast - BBC Sport pays tribute to Laurent Pokou
Categories: Africa

Mauritania clerics want 'apostasy' blogger executed

BBC Africa - Mon, 14/11/2016 - 14:06
Muslim clerics in Mauritania call for the death penalty to be carried out against a blogger for apostasy.
Categories: Africa

Trump names Greek American Priebus White House chief of staff

Balkanblog.org - Mon, 14/11/2016 - 14:03
November 13, 2016 name=“3335035300827652818″> Trump names Greek American Priebus White House chief of staff By Associated Press – November 13, 2016 WASHINGTON (AP) — Donald Trump named Greek American Republican National Committee Chairman Reince Priebus his White House chief of staff, elevating one of his loyal GOP advisers with a deep expertise of the Washington establishment Trump has vowed to shake up. Priebus, a close ally of House Speaker Paul Ryan, called the appointment “an honor” and predicted the billionaire “will be a great president for all Americans.” Trump also named Stephen Bannon, his campaign CEO and executive on leave from conservative website Breitbart, to be the president-elect’s chief strategist […]
Categories: Balkan News

Boris Johnson: "Trump ist ein Dealmaker"

EuroNews (DE) - Mon, 14/11/2016 - 13:51
Der britische Außenminister Boris Johnson hat davor gewarnt, den designierten US-Präsidenten Donald Trump im Voraus zu verurteilen.
Categories: Europäische Union

Moldawien, wählte Anti- EU / NATO Ratten

Balkanblog.org - Mon, 14/11/2016 - 13:29
25 Jahre: nur Dumm Geschnatter, Banken- und Privatisierungs Betrüger im Stile des Georg Soros hat auch den Moldawiern gereicht. Bulgarien vor Neuwahlen Problem für die EU: Bulgarien und Moldau wenden sich Russland zu Deutsche Wirtschafts Nachrichten  | 14. November 2016, 1:11 Uhr NATO Lügen ohne Ende: Moldawien und Montegro die gekauften EU Ratten, wie Elmar Brok, Martin Schulz schweigen: Proteste auf dem Maidan und in Moldawien 14 Nov 16 Pro-Russia Candidate Wins Moldova Presidency Victory for Igor Dodon underlines popular discontent with the poor results of pro-EU governments that have failed to improve most people’s lives. Marian Chiriac BIRN Bucharest Igor Dodon (center) says better ties with Russia will help […]
Categories: Balkan News

Billonario, presidente…¿y populista?

Real Instituto Elcano - Mon, 14/11/2016 - 13:28
Opinión - 14/11/2016
Carlota García Encina
Ahora que es presidente, Donald Trump también parece que se ha convertido en el gran icono del populismo. Su estilo fue popular en la campaña, de acuerdo, pero ¿será un presidente populista?

Article - In Parliament this week: EU budget, taxation, and climate change

European Parliament (News) - Mon, 14/11/2016 - 12:56
General : This week MEPs sit down with representatives of the member states and the Commission with the aim of striking a deal on the 2017 EU budget. Parliament's inquiry committee investigating the Panama papers scandal holds an exchange of views with experts including economist and Nobel laureate Joseph Stiglitz. With a twelve-strong delegation of MEPs taking part in the COP22 talks in Marrakesh, climate change is also high on the agenda. Read on to learn more about this week’s parliamentary business.

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

Article - In Parliament this week: EU budget, taxation, and climate change

European Parliament - Mon, 14/11/2016 - 12:56
General : This week MEPs sit down with representatives of the member states and the Commission with the aim of striking a deal on the 2017 EU budget. Parliament's inquiry committee investigating the Panama papers scandal holds an exchange of views with experts including economist and Nobel laureate Joseph Stiglitz. With a twelve-strong delegation of MEPs taking part in the COP22 talks in Marrakesh, climate change is also high on the agenda. Read on to learn more about this week’s parliamentary business.

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

What's Up Africa: Is this Africa's new Premier League star?

BBC Africa - Mon, 14/11/2016 - 12:41
Satirist Ikenna Azuike looks at the life of an African Premier League star in a special edition of What's Up Africa.
Categories: Africa

[Revue de presse] L'élection de Donald Trump au menu du Conseil des Affaires étrangères de l'UE

Toute l'Europe - Mon, 14/11/2016 - 12:40
Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se réunissent aujourd'hui à Bruxelles. Sans surprise, le principal sujet de discussion est l'arrivée de Donald Trump à la Maison blanche, une nouvelle épreuve pour l'Union européenne. Les ministres se sont d'abord retrouvés pour un "dîner informel" dimanche soir. Désireux d'afficher leur unité et de définir une position claire de l'Union européenne, les Etats membres doivent faire face à une élection qui pourrait fondamentalement modifier les relations transatlantiques. Ce qui attend les Européens de la part de Washington reste particulièrement difficile à prédire. Les ministres européens des Affaires étrangères échangent donc aujourd'hui dans un contexte des plus incertains.
Categories: Union européenne

The African boss who wanted to be a bank teller

BBC Africa - Mon, 14/11/2016 - 12:36
Mizinga Melu is head of Barclays Africa Management, but as a child she wanted to work behind the counter of a bank.
Categories: Africa

Catastrophes naturelles et pauvreté : rompre le lien serait rentable

La Tribune - Mon, 14/11/2016 - 12:30
Ce sont quelque 100 milliards de dollars par an qui pourraient être économisés si l'on mettait en place des politiques qui renforcent la résilience des victimes des catastrophes, selon la banque mondiale. Si l'an prochain, on pouvait éviter toute catastrophe naturelle, on permettrait à 26 millions de personnes de ne pas tomber dans la pauvreté extrême.
Categories: France

Brexit : 65 milliards de livres d'investissements à la trappe

La Tribune - Mon, 14/11/2016 - 12:29
Face à l'incertitude causée par l'imminence du Brexit, les entreprises britanniques reportent ou abandonnent des projets d'investissements. Parmi les raisons avancées, le chute de la livre et la crainte d'une forte inflation.
Categories: France

Après le Kenya, Visa à la conquête du paiement mobile africain

Jeune Afrique / Finance - Mon, 14/11/2016 - 12:27

Une quinzaine de banques kényanes sont en passe de se rallier à mVisa, le moyen de paiement mobile du fournisseur américain de solutions électroniques de paiement qu'il a introduit au Kenya, après l'avoir étrenné en août 2015 en Inde. Objectif : concurrencer M-Pesa sur ses terres et s'étendre en Afrique.

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Categories: Afrique

« Monde arabe, le grand chambardement » – 3 questions à Yves Aubin de la Messuzière

IRIS - Mon, 14/11/2016 - 12:27

Yves Aubin de la Messuzière, diplomate, fut directeur de la section Afrique du Nord et Moyen-Orient du Quai d’Orsay entre 1998 et 2002. Son dernier ouvrage Monde arabe, le grand chambardement, paru aux Éditions Plon, est particulièrement éclairant et livre une remarquable analyse des grands bouleversements qui touchent la région.

Pourquoi diagnostiquez-vous un affaiblissement global des puissances arabes ?

Il y a à l’évidence une perte de puissance dans le monde arabe, qui s’est manifestée depuis le début des années 2000. Que constatait-on avant l’émergence des révoltes arabes en 2011 ? Du fait du déclin de l’Égypte, dans les dernières années Moubarak, et de l’effondrement de l’État irakien après l’invasion américaine en 2003, les seules puissances qui comptent au Proche et Moyen-Orient ne sont pas arabes : Israël, la Turquie et l’Iran. Malgré les sanctions sévères liées à la poursuite de son programme nucléaire, le régime des Ayatollah conservait un potentiel militaire important, grâce à une armée aguerrie. En dépit d’un arsenal considérable, la Libye ne disposait pas d’un poids stratégique. La donne géostratégique s’est significativement modifiée au cours de ces cinq dernières années et on assiste à un nouveau rapport de force dans la région et au sein du monde arabe. Depuis l’accession au trône du roi Salmane, en 2015, l’Arabie saoudite, dont la diplomatie était plutôt discrète, affirme de nouvelles ambitions régionales. Elles se concrétisent par la constitution d’une coalition rassemblant les pays arabes du Golfe, la Jordanie et le Maroc, autant d’États sunnites, afin d’engager une offensive contre la rébellion houthiste du Yémen. Malgré les moyens militaires considérables engagés par Riyadh, premier acheteur d’équipements militaires au monde, l’intervention dont l’objectif est de contenir l’influence de l’Iran dans la région, est un échec. La monarchie wahhabite, déjà affaiblie par la chute de la rente pétrolière et la contestation d’une jeunesse marginalisée et frustrée, fait face au risque d’une déstabilisation. L’Égypte du maréchal Sissi cherche à retrouver son poids stratégique, mais son relèvement se fait à l’ombre des pays du Golfe, plus particulièrement de Riyadh, qui financent son développement et ses équipements militaires. D’un équilibre jadis dominé par les grands États au cœur du nationalisme arabe – l’Égypte, la Syrie et l’Irak – on passe à un basculement de puissance au profit d’un pôle golfique plutôt stable et attractif économiquement.

Les interventions politiques et militaires des deux puissances non arabes que sont l’Iran et la Turquie, en Syrie, au Liban et en Irak, limitent les marges de manœuvre des pays arabes, notamment du Golfe. La Syrie de Bachar Al-Assad a délégué à l’Iran une partie de sa souveraineté. En s’appuyant sur le Hezbollah, les Pasdarans sont à l’avant-garde de la confrontation sur le terrain avec toutes les formes de rébellion (avec le soutien aérien russe). La Turquie est engagée depuis peu au nord de la Syrie pour empêcher la constitution d’une autonomie kurde. En Irak, l’Iran s’assure un rôle dans la reconquête de Mossoul par le contrôle de milices chiites, tandis qu’Ankara se pose en protecteur des Turkmènes et d’autres populations sunnites. Au Liban, l’élection du général Aoun à la présidence, avec l’appui du Hezbollah renforce la main de Téhéran et affaiblit l’influence de Riyadh.

Les concepts d’islamisme politique, islamisme radical, salafisme et djihadisme sont-ils interchangeables, comme certains commentaires le laissent paraître ?

En effet, il existe parfois une réelle confusion entre ces différents concepts. L’islam politique, qu’il faut distinguer de l’islamisme radical, désigne un courant idéologique visant à l’établissement d’un État fondé sur les principes de l’islam. L’organisation des Frères musulmans, en Égypte, ainsi qu’Ennahda en Tunisie, entrent dans la catégorie du courant islamo-conservateur, dénomination la plus pertinente pour le distinguer des mouvances radicales salafistes ou djihadistes. L’un comme l’autre, sont parvenus au pouvoir au lendemain de la chute des régimes autocratiques, dans le cadre de processus démocratiques. Mais les expériences égyptienne et tunisienne de domination de l’islam politique n’ont eu qu’un temps bref, en raison de leur incapacité à gouverner. C’est en ce sens que l’on peut évoquer l’échec de l’islam politique, même si Ennahda participe au gouvernement et, qu’au Maroc, le PJD cohabite avec le Makhzen qui détient l’essentiel du pouvoir.

Le djihadisme se définit comme une doctrine radicale au sein de l’islam, qui prône la violence pour la réalisation d’objectifs à la fois religieux et politiques. Son but est de reconstituer la Oumma, la communauté des musulmans. C’est l’invasion de l’Afghanistan par les soviétiques en 1979 qui a ouvert la voie au djihadisme mondial dont Al-Qaïda sera la représentation la plus radicale. L’organisation de Ben Laden deviendra la matrice du Front Al Nosra et de l’État islamique.

Le salafisme est plus complexe à définir, tant il a emprunté des modes d’actions différentes, selon qu’il soit quiétiste ou djihadiste. À l’origine, sa doctrine exalte le comportement des pieux ancêtres, dénommés « Salaf ». Il s’est surtout développé en Arabie saoudite, lorsque les Saoud dans leur conquête du pouvoir à la fin du XVIIIème siècle, se sont appuyés sur le mouvement religieux ultraconservateur wahhabite, d’inspiration salafiste. Le royaume wahhabite est depuis des décennies le propagateur du salafisme par l’entremise d’imams formés dans l’université islamique de Médine. Ainsi plusieurs mosquées salafistes de France sont financées par La ligue islamiste mondiale, le bras armé de la propagande religieuse du Royaume. Les responsables gouvernementaux français créent la confusion lorsqu’ils font le lien entre le salafisme et le djihadisme le plus radical. Les enquêtes sur les attentats terroristes en France révèlent que leurs auteurs n’ont pas été radicalisés dans les mosquées salafistes. Le salafisme en France est largement quiétiste auquel on peut reprocher, par contre, d’encourager le repli communautaire.

L’Union européenne est-elle affaiblie de manière durable dans la région ?

Sans conteste, l’Union européenne pèse de moins en moins dans la région proche orientale, alors même que les convulsions au cœur du monde arabe l’atteignent directement de par sa proximité géographique. Plusieurs pays, plus particulièrement la France, sont la cible des organisations terroristes, tandis que d’autres subissent les flux migratoires. Sur l’ensemble des crises de la région, on ne peut que constater l’absence d’une stratégie d’ensemble, qu’il s’agisse de l’Irak, de la Syrie ou de la Libye, et récemment concernant « la crise des réfugiés ». L’Union européenne semble atteinte d’une cécité collective face aux grands bouleversements de l’Histoire. Autre signe de cette absence de stratégie, l’échec de l’Union pour la Méditerranée, qui devait consacrer la solidarité entre les deux rives. L’Europe ne sera probablement pas partie prenante dans la solution politique du conflit central syrien, qui émergera d’un accord entre Washington et Moscou, avalisé par les principaux acteurs régionaux : la Turquie, l’Iran et l’Arabie saoudite.

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