Jövő héten betöltöm a 45. életévemet. Nő létemre nem titkolom éveim számát, mert köztudott, hogy nem azok határoznak meg bennünket. Teljes mértékben egyetértek azzal a mondással, miszerint annyi idősek vagyunk, ahánynak érezzük magunkat. Én például egy valamivel több élettapasztalattal rendelkező harmincévesnek. Ritkán ugyan, de előfordul, hogy a környezetem reakciója szembesít a valódi korommal.
En tout cas, chez nous à « Allah makônô », nous sommes entre le marteau et l’enclume en attendant le minibus noir.
Mon frère, je t’informe qu’après l’attaque de Nampala par des groupes armés ayant fait une dizaine de morts, grâce aux efforts de nos services de renseignement, la main a été mis sur l’Emir Mahmoud Barry alias Abou Yehiya, leader de la katiba Ançar Eddine du Macina, arrêté entre Nampala et Dogofri.
Hahn ! Que le bon Dieu soit loué ! Seulement, en ce milieu de semaine, le jeudi, le secteur informel a été menacé par l’opération « Ami Kane » de la nouvelle gouverneure du district de Bamako. Des affrontements sanglants ont éclaté entre la population et les policiers. On déplore d’importants dégâts matériels et de nombreux blessés.
Les leaders religieux et coutumiers, les responsables de la chambre du commerce et d’industrie, l’APCM, etc. l’ont rencontrée. Mais, cette bonne dame insiste, persiste et signe en continuant les dégâts, c’est-à dire l’opération démolition. N’pè, mais ce qui est étonnant dans tout ça, des opportunistes ont remis un trophée à ce démolisseur. Pis, ce qu’il faut craindre, au pays des hommes ‘’Allah Makônô’’, les populations sont déçus du Président de la République. D’ailleurs les populations observent et jurent de ne plus voter pour lui pour la prochaine élection présidentielle. Le temps me manque pour te relater tout ce que j’ai appris à travers la radio Kibaru. Rassure-toi, je te donnerais le reste à la semaine prochaine.
Cependant, l’actuel problème est que, j’ai besoin un peu de somme d’argent pour ne pas mourir de faim, car cette bonne dame que le président vient de nommer n’a aucune pitié des pauvres et n’écoute personne.
Est-ce que le gouvernement ne se moque pas de nous ?
En tout cas, au pays des hommes Allah Makônô, le président lui-même l’a félicité dans sa déclaration. Donc, le gouvernement n’a plus de choix. Et pour ne pas rester les bras croisés, la radio du pays des hommes Allah Makônô tout comme les médias locaux se battent tel un beau diable pour sensibiliser les populations à éviter le pire.
Npè, pardon, j’ai oublié aussi de t’informer que les préparatifs du sommet France-Afrique sont en cours. Aussi, les femmes du pays ont célébré la journée panafricaine des femmes, le 31 juillet. Seulement, les hommes du pays Allah Makônô refusent de s’acquitter des frais de condiments pour la famille.
Que faire face à cette situation ?
Rien, ces femmes sont pauvres, elles pensent que nous les hommes sont des lâches. Il faut se remettre à Dieu, car c’est lui seul qui a la solution. D’ici là, l’hivernage n’attend pas, il pleut. Donc, il faut se grouiller pour avoir les intrants à temps. Et c’est ce que nous pouvons faire actuellement ? Il faut aller vos OGV c’est-à-dire vos organisations villageoise ce n’est pas moi ! Pardon.
De toutes les façons Npè, ce que je peux vous dire sur cette ‘’opération Ami Kane’’, les droits de l’homme, c’est pour les intellectuels et non nous les pauvres du pays des hommes Allah Mandôkô. C’est pourquoi nous sommes victimes tous les jours de nos gouvernants.
D’autres nouvelles, selon la radio Kibaru, les affrontements meurtriers ont opposé le GTIA aux mouvements de la CMA la semaine dernière. On déplore plus de 80 morts.
Devrons-nous applaudir ou rester ?
Je n’applaudirais pas d’abord, mais je soutiens le GATIA qui a choisi la mort plutôt que la honte.
N’Pè, je t’informe aussi que Tièmoko Sangaré qui était le chef des abeilles, c’est-à-dire l’Adema, est devenus encore ministre des mines. Quelle honte !
Quand un déserteur devient ministre des mines, mieux vaut ne pas dormir tranquille. Car, à tout moment, il peut partir. Donc, à vos gardes les hommes du pays Allah Mandôkô !
D’ici là, je vous laisse ici. Que Dieu sauve le pays des hommes Allah Madôkô !
Vive le Mali, Un Peuple Un But Une Fois.
Vive l’armée ! Que Dieu bénisse le Mali !
A lundi prochain.
Ton frère Npè au pays
Des hommes Allah ka
Tinyèn dèmèn
Source : La Boussole
Le conducteur de la voiture, un maréchal de logis-chef de gendarmerie partait à son poste de contrôle situé à Sibougou. Au cours de son trajet, il aurait été surpris par une charrette. N’ayant pu l’éviter, il l’a percuté et s’est renversé par la suite. Le conducteur de la voiture, l’un des trois occupants de la charrette et l’âne qui tractait sont mort sur le coup. Les deux autres occupants sont grièvement blessés et sont pour l’heure admis au centre de santé de référence de San. Les enquêtes préliminaires sont en cours au niveau de la brigade territoriale de gendarmerie de San pour établir les circonstances exactes du drame.
Source : L’Essor
L’entreprise « Nouhoum Kouma » évolue depuis un certain temps dans le domaine des Bâtiments et des Travaux publics (BTP). C’est ainsi qu’en commun accord avec les responsables de la Cité des enfants qu’elle a bénéficié de la réalisation du projet de construction d’une salle d’animation destinée aux enfants.
Malheureusement connu de sa mauvaise réputation, l’entrepreneur Kouma ne parvient pas à se débarrasser de ses mauvaises habitudes. Pour preuve, à quelques mois du démarrage du chantier, la nouvelle salle s’est écrouée.
Mieux vaut prévenir que guérir. Grâce à la vigilance d’un responsable du Collectif des Résidents du Marigot longeant de la Cité Unicef, à travers la personne de Ladji Amadou Diakité, ingénieur de son état, a alerté les responsables du Centre sur les défaillances du chantier afin d’arrêter les travaux. À la date du vendredi 15 juillet, comme tout bon citoyen, monsieur s’est fait accompagner par le directeur adjoint de la Cité des enfants pour faire le constat.
Têtu, malgré les instructions fermes de la directrice pour la suspension des travaux, l’entreprise ‘’Nouhoum Kouma’’ ignore les dégâts et poursuit ses travaux pour ses intérêts personnels. N’ayant pas d’autre recours, le patriote Diakité a saisi l’Assemblée Nationale sur l’affaire pour faire le constat relatif au mauvais recouvrement flagrant des armatures horizontales du deuxième chainage sur le flanc nord de l’ouvrage qui est effondré.
Le samedi 16 juillet 2016, malgré les observations, la fameuse entreprise s’est entêtée à travailler sur la partie mise en cause. Ce n’est pas tout. Lundi 18 juillet, la Direction Régionale de l’Urbanisme et de l’Habitat (DRUH) a été saisie pour une prise en charge sur le dossier.
Mais le hic est que malgré le passage du service technique de la DRUH ayant saisi les matériels (brouettes), le fameux entrepreneur Kouma piétine la loi et poursuit les travaux.
Face à ces dangers, monsieur Diakité, responsable du collectif n’est pas resté bras croisés. Il a aussitôt fait appel aux contrôleurs de l’action gouvernementale dont Honorable Yacouba Traoré de la commission des Travaux Publics, spécialiste en la matière et son homologue Boureïma Tidiane Traoré. Ils se sont aussitôt rendus sur le site.
Comment ce bâtiment s’est effondré ?
Séance tenante, une réunion restreinte s’est tenue en présence du secrétaire général du ministère de la tutelle, la Directrice de la Cité des enfants. D’énormes défaillances ont été révélées :
La Jonction des poteaux au niveau des fondations, les enrobages, la mise en place d’un bureau technique, pire il a été constaté que l’entreprise ne possède aucune pièce justificative, c’est-à-dire l’autorisation de construction.
Selon les députés, l’évolution de ce chantier constitue un véritable danger pour les riverains par rapport à la qualité des travaux réalisés. A en croire les contrôleurs de l’action gouvernementale, cette nouvelle salle de plus de 500 places construite à la légèreté constitue un gros risque et même un danger pour la vie des enfants.
Face au danger, les députés ont promis la mise en place d’une commission parlementaire d’enquête sur la situation afin de mettre les entreprises fantômes hors d’état de nuire, qui opèrent illégalement dans le secteur du BTP. Au terme de la rencontre, il a été décidé l’arrêt immédiat des travaux par la directrice.
Rappelons que l’entrepreneur Kouma n’est pas à son coup d’essai. De sources crédibles, le chantier mis en cause est exécuté par le réputé entrepreneur qui est auteur d’un nombre élevé de ses propres bâtiments qui se sont effondrés récemment à l’ACI 2000.
La question qui se pose est de savoir celui qui protège cet escroc qui échappe à la justice. De sources dignes de confiance, la première responsable du département de tutelle serait à la base. D’ici là, ce que nous pouvons dire, les responsabilités doivent être situées pour sanctionner les coupables.
Affaire à suivre !
Yacouba Dembélé
Source : La Boussole
A Szerbiai Képviselőházban a képviselők lassan két órája hallgatják Aleksandar Vučić kormányalakító expozéját. A kormányalakító az elmúlt fél órában Szerbia külpolitikai kapcsolatairól, a biztonsági kihívásokról, az ország biztonsági rendszerének modernizálásáról, a nemzeti kisebbségekről és a Belgrád–Pristina párbeszédről értekezett.
Az ungvári Ilko Galériában nyílt fotókiállítása az ismert magyarországi művésznek, Bánkuti Andrásnak augusztus 6-án – tájékoztat a zakarpattya.net.ua.
Hosszú pályafutása alatt gyakran látogatott a Szovjetunió majd szétesése után egykori tagállamai területére. A szombaton Ungváron megnyitott kiállítás képei Kárpátalján, Kijevben, a Dnyeperen, Donyeckben, a Krímen és más ukrajnai helyszíneken készültek. A kiállítás, mely a hágón túl is megtekinthető lesz majd Ukrajnában, Csernobilban készített felvételeket is bemutat. A kiállításon páréves, de 20-30 évvel ezelőttről származó fényképek is megtekinthetők.
A művész objektívjének célpontjai a társadalom legkülönbözőbb közéleti személyiségei voltak: a politikus, az alkoholista, a bányász, a punk, a falusi, a cicababa, a gyermek. Bánkuti András felvételei változó korunk szociális folyamatainak bizonyítékai. A művész nagyon szeret régi fényképeket nézegetni, hisz történelmünket, az emberi civilizáció haladását ábrázolják. Véleménye szerint, amit ma az életünk részének fogunk fel, abból ötven-hatvan év múlva történelmi érték lesz.
A fotókiállítás főszervezője Magyarország Ungvári Főkonzulátusa, valamint az Ilko Galéria vezetősége. A kiállítás megnyitóján Vida László konzul elmondta, hogy idén 25 éves évfordulóját méltatja a Magyarország és Ukrajna közötti diplomáciai kapcsolat, illetve az Ungvári Magyar Főkonzulátus. A fotókiállítás megnyitója indítja a számos rendezvény sorát, amelyekkel a negyedszázados jubileumot ünneplik majd. A kulturális és művészeti rendezvénysorozat célja a két szomszédos ország kultúrájának jobb megismerése, a kapcsolatok további mélyítése és az együttműködés fejlesztése.
Bánkuti András 1995–2012 között a HVG hírportál rovatvezetője volt Magyarországon. Jelenleg a Digitális Fotó Magazin főszerkesztője, a Magyar Fotográfusok Háza egyik alapítója, számos fotókiállítás szervezője, egyetemi tanár, egy évtizede dolgozik Az év fotói könyvsorozat főszerkesztőjeként.
Kárpátalja.ma
Quatorze personnes sont mortes au Mali en moins d’un mois dans des inondations causées par de fortes pluies, qui ont également fait beaucoup de dégâts matériels, a affirmé mardi à l’AFP un responsable au ministère de la Sécurité et de la Protection civile.
Le pays a enregistré de fortes pluies qui ont causé de sérieuses inondations à partir du 12 juillet, a expliqué à l’AFP le colonel Seydou Doumbia, directeur de la Protection civile.
De cette date « à maintenant, le nombre total de morts (s’élève à) 14 », dans plusieurs régions à travers le pays, a ajouté le colonel Doumbia, selon lequel deux personnes demeurent portées disparues.
Ainsi, a-t-il détaillé, cinq décès ont été enregistrés « dans le district de Bamako », la capitale, « cinq à Sikasso (sud), trois dans la région de Koulikoro (au nord de Bamako) et un à Ségou (centre) ».
En outre, un jeune de 24 ans, dont le corps a été retrouvé dimanche à Bamako, a été « emporté avec sa moto dans une rivière », a expliqué le colonel.
« Les eaux ont fait beaucoup de dégâts matériels. Des maisons entières sont emportées par les eaux », a ajouté le colonel Doumbia.
Des pluies fortes et régulières, le mauvais état de maisons souvent en pisé et dont plusieurs sont situées dans le lit de marigots expliquent, selon des spécialistes, ces inondations.