Créer un dialogue entre le monde géopolitique et le cinéma, découvrir grâce aux images ce que vivent les hommes au-delà de nos frontières, appréhender les enjeux internationaux en confrontant les points de vue...
Pour sa 8e édition, le festival, qui programme près de 50 films, reconduit ces ambitions : un volet d'avant-premières, des rétrospectives, deux sections thématiques et de nombreux débats, en présence d'une trentaine d'invités du cinéma et du monde des idées.
Le Forum des images est heureux (...)
Ne hagyjuk magunkat uralni az anyagi javaktól! – ezt mondta Ferenc pápa advent első vasárnapján a Szent Péter téren mondott beszédében.
Ferenc pápa mértéktartásra szólította fel a téren hallgató hívőket. Jézus születésének közeledő ünnepére emlékeztetve kijelentette, nem szabad, hogy az embereket az “anyagi valóság” uralja, ellenkezőleg – mondta – az embernek kell ezeket irányítania.
A katolikus egyházfő hozzátette, hogy ha az anyagi valóság uralja a hétköznapjainkat, nem is vesszük észre, ha valami rendkívüli, nagyon fontos történik. Ne a biztonságot nyújtó, bevált sémák érvényesüljenek az életünkben- mondta Ferenc pápa.
Megjegyezte, hogy Jézus születését se várta senki a korabeli hétköznapjaikat élő emberek közül.
Advent első vasárnapján a Szent Péter közepén már áll az olasz Alpokból érkezett fenyőfa, mellette építik a betlehemet, amely az idén Málta ajándéka. A fenyőfa fényeit december 9-én gyújtják meg.
Suite à une demande du 19 octobre dernier, formulée dans le cadre du "Freedom of Information Act 2000 (FOIA)", le MoD (Ministry of Defence) a annoncé qu'il estimait avoir neutralisé 1915 membres de Daech.
Entre le 19 septembre 2014 et le 6 novembre 2016, 1747 de ces miliciens djihadistes auraient été tués par des missiles de type Hellfire ou Brimstone et des bombes de type Paveway.
Le MoD a diffusé un tableau qui donne la date de la frappe, le type d'armes, le nombre estimé de tués et de blessés dans les rangs ennemis:
La réponse du MoD est à lire ici.
On se souviendra que le MoD donne mensuellement des chiffres et des détails sur les frappes au Levant. Voir ici.
Nico Rosberg, a Mercedes német pilótája nyerte az idei Forma-1-es világbajnokságot, miután a vasárnapi Abu-Dzabi Nagydíjon másodikként ért célba háromszoros vb-győztes csapattársa, a brit Lewis Hamilton mögött.
Hamiltonnak ez volt pályafutása 53., az idei 10., s sorozatban negyedik futamgyőzelme, Rosberg pedig karrierje 206. versenyén hódította el a trófeát.
A német pilóta édesapja, Keke 1982-es vb-címe után a család második F1-es vb-diadalát aratta, ezzel az övék a második família az F1 történetében, amelyben az édesapa és a fiú is a csúcsra jutott. Korábban ez csak a Hill családnak, az 1962-ben és 1968-ban vb-győztes Grahamnek és fiának, az 1996-os világbajnok Damonnak sikerült.
Az idényzáró Abu-Dzabi Nagydíjon a négyszeres világbajnok Sebastian Vettel, a Ferrari német pilótája lett a harmadik.
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L'Amérique latine connaît une sorte d'âge d'or politique. Au cours de son histoire tragique, depuis le début du XIXe siècle, jamais cette région n'a vécu une si large période de paix (un seul conflit subsiste, en Colombie), de prospérité et, surtout, de consolidation démocratique.
Depuis la victoire électorale de M. Hugo Chávez à la présidence du Venezuela en 1998, les scrutins, dans de nombreux pays, ont permis l'élection (ou la réélection) de candidats de gauche ou de centre-gauche : M. Néstor Kirchner en Argentine, M. Luiz Inácio Lula da Silva au Brésil, M. Tabaré Vázquez en Uruguay, M. Martín Torrijos au Panamá, M. Evo Morales en Bolivie, Mme Michelle Bachelet au Chili, et même M. Alan García au Pérou, dont le parti, l'Alliance populaire révolutionnaire américaine (APRA), est membre de l'Internationale socialiste...
Dans d'autres pays, comme le Mexique, où le représentant de la gauche, M. Andrés Manuel López Obrador, ne l'a pas emporté (pour 0,56% des voix !), des présomptions de fraude pèsent sur le scrutin. Et même dans des Etats où le candidat de droite a gagné — en Colombie, M. Alvaro Uribe a été réélu en mai 2006 —, les résultats obtenus par les candidats de gauche ont été remarquablement élevés (1).
Une telle situation est inédite. Il n'y a pas si longtemps, sous des prétextes divers, un coup d'Etat militaire (la plus récente tentative date d'avril 2002, contre le président Chávez) ou une intervention directe des Etats-Unis (la dernière eut lieu en décembre 1989, contre le président Manuel Noriega, au Panamá) mettait vite fin à tout projet de réforme économique et sociale, même si celui-ci avait l'approbation majoritaire des électeurs.
Elus démocratiquement, Jacobo Arbenz, au Guatemala, João Goulart, au Brésil, Juán Bosch, en République dominicaine, ou Salvador Allende, au Chili, pour ne citer que quatre cas parmi les plus célèbres, furent renversés — respectivement en 1954, 1964, 1965 et 1973 —, par des coups d'Etat militaires soutenus par Washington, pour empêcher la réalisation de réformes structurelles dans des sociétés inégalitaires. Réformes qui auraient affecté les intérêts des Etats-Unis et qui — c'était l'époque de la guerre froide (1947-1989) — auraient pu entraîner une modification des alliances que Washington refusait de consentir.
Dans ce contexte, une seule expérience de gauche a réussi à survivre : celle de Cuba. Mais à quel prix ! La Havane a dû surmonter, entre autres épreuves, un assaut de mercenaires appuyés par les Etats-Unis (baie des Cochons, 1961), un embargo commercial dévastateur maintenu unilatéralement par Washington depuis quarante-cinq ans, un bras de fer diplomatique et militaire (la crise des fusées d'octobre 1962) qui porta le monde au seuil d'une guerre atomique, et des attaques terroristes constantes (ayant causé quelque trois mille morts et des dégâts évalués à des milliards de dollars) (2).
Epreuves qui n'ont pas empêché le régime de réaliser de considérables avancées (en matière d'éducation, de santé publique et de solidarité internationale, notamment), mais qui l'ont contraint à se durcir plus que nécessaire et à privilégier pendant plus de vingt ans, pour échapper à un isolement politique et à un étranglement économique fomentés par les Etats-Unis, une alliance peu naturelle avec la très lointaine Union soviétique, dont la disparition soudaine en 1991 a entraîné de nouvelles difficultés.
Hormis cette exception cubaine, toutes les autres tentatives démocratiques de changer les structures de la propriété ou de distribuer plus justement les richesses de ce continent ont été brutalement interrompues.
Pourquoi ce qui n'a pas été consenti durant des décennies est-il aujourd'hui accepté ? Pourquoi une vague rose et rouge peut-elle recouvrir tant d'Etats sans être stoppée comme naguère ? Qu'est-ce qui a donc changé ?
En premier lieu, une donnée majeure : l'échec, dans l'ensemble de l'Amérique latine, des expériences néolibérales parfois très radicales qui ont marqué les années 1990. Dans de nombreux pays, ces politiques se sont traduites par un pillage éhonté, l'appauvrissement massif des classes moyennes et populaires, la destruction de pans entiers de la fragile industrie nationale, et finalement par la révolte des citoyens.
En Bolivie, en Equateur, au Pérou et en Argentine, de véritables insurrections civiques ont provoqué le renversement de présidents élus démocratiquement mais qui considéraient qu'ayant gagné l'élection ils disposaient d'une carte blanche pour agir à leur guise et, éventuellement, trahir le programme proposé aux électeurs.
A cet égard, la révolte populaire en Argentine du 21 décembre 2001 qui entraîne le départ du président Fernando de la Rúa, et surtout l'effondrement des politiques néolibérales appliquées de 1989 à 1999 par M. Carlos Menem, est en quelque sorte l'équivalent pour ce continent de ce que représenta, pour l'Europe, la chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989, soit le refus définitif d'un modèle dogmatique, arrogant et antipopulaire.
Autre donnée fondamentale : « parrains » de cette région considérée comme leur « arrière-cour », les Etats-Unis ont dévié, depuis la guerre du Golfe de 1991 et plus encore depuis le 11 septembre 2001, l'essentiel de leurs préoccupations géopolitiques vers le Proche et le Moyen-Orient, où se trouvent le pétrole et leurs principaux ennemis actuels.
Cette « distraction » a favorisé l'éclosion, en Amérique latine, de tant d'expériences de gauche, et leur a sans doute empêché d'être vite étouffées. Une chance dont les dirigeants feraient bien de se saisir pour accélérer enfin les réformes que la population attend depuis si longtemps.
(1) Lire le dossier « Amérique latine, le tournant à gauche ? », dans Mouvements, n° 47-48, novembre 2006, La Découverte, Paris.
(2) Deux des terroristes anticubains les plus notoires, MM. Luis Posada Carriles et Orlando Bosch, agissant pour le compte de la Central Intelligence Agency (CIA), auteurs, entre autres, d'un attentat en vol contre un avion de ligne cubain qui fit soixante-treize morts le 6 octobre 1976, continuent de bénéficier, en Floride où ils résident, de la protection des autorités américaines, qui refusent de les juger ou de les extrader.
C'est le 8e gendarme à perdre la vie en service depuis le début de l'année.
Le major Christian Rusig, commandant de la brigade de gendarmerie de Tarascon-sur-Ariège", a été tué samedi soir à Tarascon-sur-Ariège (Ariège) par un automobiliste qui l'a renversé lors d'un contrôle routier.
Selon le général Bernard Clouzot, commandant de la région de gendarmerie, les faits se sont produits vers 23h15. Une patrouille de deux gendarmes rentrait d'intervention quand, constatant le comportement suspect d'un véhicule, a tenté de l'intercepter. Les deux gendarmes, un major de 55 ans et un gendarme de 48 ans, ont alors suivi le véhicule, lequel a fait demi-tour, se retrouvant face à la voiture des gendarmes. Le major passager est sorti mais le "véhicule a délibérément foncé sur les gendarmes, a percuté le major qui est tombé à terre".
Grièvement blessé, il a été héliporté à l'hôpital Purpan de Toulouse où il est décédé au matin.
L'automobiliste a lui été interpellé immédiatement par le gendarme de 48 ans qui l'a mis en joue avec son arme de service mais sans en faire usage, selon la procureure de la République.