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Security Council strongly condemns killings in eastern DR Congo, calls for government probe

UN News Centre - Wed, 17/08/2016 - 19:14
The United Nations Security Council has strongly condemned the 13 August killing of at least 50 civilians in a village in the restive North Kivu province of the Democratic Republic of the Congo (DRC), by suspected members of the Allied Democratic Forces (ADF).

INTERVIEW: 'Climate change is really about the wellbeing of people'

UN News Centre - Wed, 17/08/2016 - 18:48
UN Secretary-General Ban Ki-moon appointed Patricia Espinosa as the new Executive Secretary of the UN Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) in May this year.

Ms. Espinosa recently spoke with the UN News Centre about her work and the challenges ahead.

Rio 2016: Azerbaijani canoe sprinter in finals

News.Az - Wed, 17/08/2016 - 18:43
Azerbaijani canoe sprinter Valentin Demyanenko's result of 40.298 seconds in mens canoe single 200 m took him to the finals.
Categories: Russia & CIS

Manuel Valls dénonce le burkini, la droite réclame des actes

Le Figaro / Politique - Wed, 17/08/2016 - 18:39
Le premier ministre est intervenu vigoureusement pour dénoncer, au nom du droit des femmes, le port du maillot de bain intégral, mais ne souhaite pas légiférer.
Categories: France

François Hollande reçu par le pape François au Vatican

LeParisien / Politique - Wed, 17/08/2016 - 18:21
Trois semaines après l'attaque de Saint-Etienne-du-Rouvray, le président François Hollande a rencontré ce mercredi le pape, auquel il voulait exprimer la «gratitude» du peuple français pour ses «paroles...
Categories: France

France : huit blessés graves après un accident de TER près de Montpellier

France24 / France - Wed, 17/08/2016 - 18:19
Un arbre tombé sur une voie ferrée à la suite d'un violent orage a provoqué, mercredi, un accident de train près de Montpellier, dans lequel huit personnes ont été grièvement blessées.
Categories: France

Rio 2016: Azerbaijani wrestler in the semifinals

News.Az - Wed, 17/08/2016 - 18:17
Azerbaijan’s Ratkevıch qualifies for semifinal in Rio 2016.
Categories: Russia & CIS

Affaire Barroso, le Médiateur, Emily O’Reilly demande un durcissement des règles éthiques pour les-commissaires.Syndicats de fonctionnaires, ONG sont sur la même ligne.

EU-Logos Blog - Wed, 17/08/2016 - 18:14

Les vacances estivales ne suffiront pas à faire oublier les turpitudes d’avant. Chacun entend bien demander des comptes. La médiatrice, Emily O’Reilly, a demandé le 12 juillet à la Commission européenne de renforcer les règles sur les postes que les présidents de la Commission et anciens commissaires occupent après avoir quitté l’institution, suite à la controverse suscitée par la nomination de José Manuel Barroso comme président non exécutif de Goldman Sachs International.

La médiatrice se demande si les règles « sont suffisantes pour protéger l’Intérêt public (…) Les anciens commissaires doivent techniquement notifier à la Commission s’ils envisagent d’exercer une activité professionnelle dans les 18 mois après leur mandat, de manière à évaluer les conflits d’intérêts potentiels. Mais le respect technique des règles établies et mises en œuvre par la Commission elle-même pourrait ne pas être pleinement conforme à l’article 245 du traité. L’article ne fait aucune référence à une échelle de temps à cet égard » a déclaré Emily O’Reilly. Cet article stipule que les membres de la Commission doivent respecter « pendant la durée de leurs fonctions et après la cessation de celles-ci » les obligations découlant de leur charge, notamment les devoirs d’honnêteté et de délicatesse quant à l’acceptation, après cette cessation, de certaines fonctions ou de certains avantages. En cas de violation de ces obligations, la Cour de justice , saisie par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, ou par la Commission, peut , selon le cas, prononcer la démission d’office dans les conditions de l’article 247 ou la déchéance du droit à la pension de l’intéressé ou d’autres avantages en tenant lieu.

Pour la médiatrice, si l’esprit de la loi vient à être bafoué , cela risque de miner la confiance des citoyens en l’UE et de remettre en cause les mesures positives prise à ce jour par la Commission sur les questions éthiques. « Le traité de l’UE stipule que les anciens commissaires doivent se comporter avec intégrité et discrétion en ce qui concerne certains postes et avantages. Les citoyens ont besoin de clarté sur ce que cela signifie précisément en pratique », telle est la conclusion de la Médiatrice, qui a déjà demandé à la Commission de réviser le code de conduite et de prévoir des sanctions en cas de violation de ce code.

Il n’y a pas que les citoyens qui sont en droit de demander des comptes comme le souligne la Médiatrice, les fonctionnaires des Institutions également. Ils ont eu le sentiment d’avoir été bafoués dans leur honneur, leur dignité et leur professionnalisme. Dans une lettre ouverte adressée le 9 juillet au collège des commissaires européens (cf. « Pour en savoir plus »), le syndicat de fonctionnaires U4U se dit choqué. Pour lui cette nomination soulève des problèmes éthiques : « cette nomination ne peut qu’alimenter la propagande europhobe de tous les populismes et extrémismes selon laquelle l’intégration européenne est au service des intérêts de la finance ». Selon ce syndicat du personnel il ne s’agit pas ici d’un banal conflit d’intérêts, mais d’un évènement qui pourrait rendre encore plus impopulaire la construction européenne et qui pourrait discréditer notre institution ». Il serait particulièrement malvenu, selon U4U, que l’ancien président de la Commission puisse, pour le compte de son nouvel employeur, intervenir sur des dossiers sur l’union bancaire, la supervision des banques, les questions financières et fiscales et celles relatives au « passeport unique » qui « dans le cas du Brexit doit fortement préoccuper Goldman Sachs ».

Le syndicat s’inquiète de savoir si M. Barroso a consulté le collège avant d’accepter ce poste et si le comité d’éthique ad hoc a rendu un avis préalable. La Commission a déjà précisé qu’après un délais de 18 mois après l’exercice des anciennes fonctions, les membres de la Commission ne sont plus tenus de le notifier à la Commission. Passé ce délais les anciens commissaires sont toutefois tenus pour toujours à une obligation de discrétion, d’intégrité et au secret professionnel, conformément à l’article 245, paragraphe 2 et à l’article 339 du traité.

Les eurodéputés socialistes ont demandé que José Manuel Barroso soit privé de sa pension !

On aurait tort de sous-estimer l’importance et le retentissement de cette « affaire Barroso » .Pour preuve l’écho qu’en donne Corporate Europe Observatory qui a recensé un certain nombre de prises de positions (cf. « Pour en savoir plus »).

 

Pour savoir plus : principales sources d’information

     -. Corporate Europe Observatory http://corporateeurope.org/revolving-doors/2016/07/barroso-and-goldman-sachs-dangerous-liaison

 -. U4U letter ouverte au college concernant la nomination de M. Barroso comme président non executif de Goldman Sachs International http://u4unity.eu/dochtm2/communik20160709.htm

     -. Site de Union for Unity U4U http://www.u4unity.eu/

     -. Site de l’Ombudsman Emily O’Reilly http://www.ombudsman.europa.eu/fr/home.faces

     -. Barroso chez Goldman Sachs : un bras d’honneur à l’Europe, Jean Quatremer , Liberation http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2016/07/09/barroso-chez-goldman-sachs-un-bras-dhonneur-europe/

     -. Les eurodéputés socialistes demandent que José Manuel Barroso soit privé de sa pension http://lelab.europe1.fr/les-eurodeputes-ps-veulent-que-barroso-soit-prive-de-sa-retraite-de-lue-apres-son-embauche-chez-goldman-sachs-2797018

 

 

 


Classé dans:Citoyenneté européenne, Fonctionnement des institutions, QUESTIONS INSTITUTIONNELLES ET BUDGETAIRES
Categories: Union européenne

Rio 2016: Azerbaijani kayaker in the finals

News.Az - Wed, 17/08/2016 - 18:08
Azerbaijani athlete Inna Osypenko-Radomska advanced to women’s canoe single 500m final.
Categories: Russia & CIS

«Eux présidents», les scénarios de 2017 : le serment de floréal (épisode 1/2)

Le Figaro / Politique - Wed, 17/08/2016 - 18:00
FICTION POLITIQUE - Arnaud Montebourg a été élu président de la République. D'entrée de jeu, il souhaite faire basculer la France vers la VIe République.
Categories: France

Nadine Morano : «Les musulmans doivent combattre le dévoiement de leur religion»

Le Figaro / Politique - Wed, 17/08/2016 - 17:52
INTERVIEW - La députée européenne et candidate à la primaire de la droite se prononce en faveur d'un durcissement de la loi sur l'interdiction du port du voile.
Categories: France

Rio Olympics 2016: Kenya's Conseslus Kipruto wins steeplechase gold

BBC Africa - Wed, 17/08/2016 - 17:50
Kenya's Conseslus Kipruto cruises to victory in the final of the men's 3,000m steeplechase, setting a new Olympic record and showboating his way to the gold medal.
Categories: Africa

Un mort lors d'une manifestation antigouvernementale dans l'est de la RDC

France24 / Afrique - Wed, 17/08/2016 - 17:46
Une personne a été tuée par balle mercredi, au cours d'une manifestation anti-gouvernementale à Beni. Cette ville de l'est de la RD Congo a été le théâtre le week-end dernier d'un massacre qui a fait une cinquantaine de morts.
Categories: Afrique

L’autoritarisme structurant de la vie politique en Turquie

IRIS - Wed, 17/08/2016 - 17:38

Depuis ses origines, la République de Turquie est une république de combat. Durant la période kémaliste, les élites s’employèrent à fonder une identité turque, musulmane et sunnite, qui s’incarna notamment par les exclusions ethno-religieuses. Les acteurs politiques gouvernementaux ont alors systématiquement développé une pratique d’instrumentalisation de l’État. L’accession du Parti de la justice et du développement (AKP) au gouvernement en 2002 ne modifie pas la problématique, mais cette dernière va bénéficier à de nouveaux groupes sociaux. En ce sens, l’autoritarisme de l’AKP et sa conception très instrumentale de la démocratie s’inscrivent dans la continuité historique de la République, et donc de ses prédécesseurs.

À cette donnée fondamentale s’ajoute une autre constante de l’histoire politique de la Turquie républicaine qui voit s’affronter deux Turquie, l’une musulmane, conservatrice et économiquement
libérale, et l’autre moderniste, élitiste et laïque au sens turc du terme. Recep Tayyip Erdogan a parfaitement compris que plus il active cette opposition traditionnelle, plus il progresse électoralement, car il se trouve sans faillir du côté de la majorité sociologique du pays, qui s’affirme comme musulmane et conservatrice.

C’est pourquoi, en dépit de sa stratégie liberticide et des fortes présomptions de corruption qui touche le pouvoir, on peut constater un fort réflexe légitimiste au sein de la base sociale et électorale de l’AKP. Depuis la fin 2013, cette base a été convaincue que la communauté Gülen préparait effectivement un coup d’État et qu’il valait mieux des dirigeants éventuellement des urnes, plutôt que des dirigeants putschistes. De même, au cours de l’année 2015, c’est clairement la mise en œuvre de la stratégie de la tension par Recep Tayyip Erdogan, et le fait qu’il se présente comme le seul capable de défendre le pays contre les agressions terroristes dont la Turquie est victime, qui permet à son parti de remporter les élections législatives, même s’il dut s’y reprendre à deux fois (juin et novembre). La tentative de coup d’État du 15 juillet dernier lui fournit une nouvelle occasion pour diminuer le champ des libertés publiques, c’est en ce sens que les pitoyables responsables de ce putsch portent une très grave responsabilité dans la dégradation de la situation.

Depuis 2010-2011, la dérive autoritaire du pouvoir de Recep Tayyip Erdogan est souvent évoquée, mais
il semble en réalité plus juste de parler d’une pratique d’instrumentalisation du pouvoir qui s’inscrit dans une longue histoire. C’est en ce sens que la politique menée par le président turc ne correspond pas véritablement à ce que d’aucuns présentent comme une islamisation de la société et la réalisation d’un « agenda caché ». Certes, par rapport à la période kémaliste, on peut considérer qu’il existe des formes de rupture au niveau des signes identitaires mobilisés par le pouvoir et que le registre religieux et les symboles de l’islam sont plus fréquemment utilisés par l’AKP, mais cela correspond aux aspirations d’une forte partie de la société.

En réalité, la stratégie utilisée par Recep Tayyip Erdogan rend parfaitement compte de sa conception singulière de la démocratie, ce qui fut particulièrement limpide au moment du mouvement de contestation de Gezi à la fin du printemps 2013 (du nom d’un petit parc de promenade d’Istanbul, dont le projet de destruction a fait naître un fort mouvement de protestation).

Confronté pour la première fois à un mouvement social d’une telle ampleur depuis son accession au pouvoir, celui qui était à l’époque encore premier ministre a alors clairement explicité sa conception de l’exercice du pouvoir. Non pas tant par l’usage d’une répression, pourtant disproportionnée, mais par le discours de polarisation qu’il utilisa, notamment à l’occasion d’impressionnants meetings de masse organisés par l’AKP pour mettre en place des contre-feux politiques à l’encontre du mouvement. Il expliqua alors très clairement que, disposant d’une majorité parlementaire et politique – ce que personne ne contestait –, il était en situation de prendre seul les décisions qui s’imposaient. Ainsi, bénéficier de la majorité politique dispense, selon R. T. Erdogan, de prendre en compte les revendications des mouvements de contestation et les propositions de l’opposition. Conception, on en conviendra, singulièrement restrictive de la pratique démocratique.

Ce langage de polarisation systématique s’appuie sur un profond conservatisme qui sourd de la société turque et d’une pratique séculaire de l’autoritarisme politique, parfaitement intégrés, et instrumentalisés, par le président turc. C’est aussi pourquoi ce dernier attise la confrontation permanente et en fait un mode de gouvernement. Dans ce contexte, la question de la présidentialisation est devenue centrale. Le président turc reconnaît la légitimité électorale, mais, une fois élu, il considère qu’il est en droit de décider seul ce qu’il pense juste pour le pays. D’où, à ses yeux, la nécessité d’un régime présidentiel, considérant que le travail parlementaire ou celui de la justice sont autant de freins pour agir avec rapidité. Au moment où un véritable cours liberticide est à l’œuvre, on comprend le danger d’une telle décision si elle devait être actée. La Turquie deviendrait alors ce qu’Alain Rouquié appelle « les démocraties hégémoniques », au sein desquelles les majorités s’érigent en totalité et les minorités, obligées d’obtempérer sous menace d’être désignées comme ennemis de la nation.

Même s’il est encore trop tôt pour évaluer précisément les inquiétantes conséquences de la tentative de coup d’État du 15 juillet, nous pouvons d’ores et déjà considérer qu’une nouvelle période politique est en train de s’ouvrir. Recep Tayyip Erdogan fait, une fois de plus, la preuve de son extraordinaire capacité de réactivité et profite du choc induit pour procéder à l’éradication de tout ce qui peut, selon lui, constituer des formes d’opposition. L’ampleur de la purge à l’œuvre est telle qu’elle est en passe de reformater l’appareil d’État lui-même en entraînant des bouleversements politiques considérables.

AZN 4M allocated for restoration of bridge over Kish River in Azerbaijan’s Shaki

News.Az - Wed, 17/08/2016 - 17:21
President Ilham Aliyev signed an order on allocation of funds for restoration of a bridge over Kish River in Shaki.
Categories: Russia & CIS

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