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Nonprofit vezetőknek kedvezményes coachképzés

PAFI - Wed, 24/08/2016 - 17:10
A Coachingcentrum a 2016. szeptember 16-án Budapesten induló 128 órás integrált coachképzésén részvételi lehetőséget biztosít 1 fő nonprofit szervezeti vezető részére.
Categories: Pályázatok

La Turquie a lancé une opération militaire dans le nord de la Syrie

Zone militaire - Wed, 24/08/2016 - 17:08

Il y a deux semaines, dans le nord de la Syrie, les Forces démocratiques syriennes (FDS), qui réunissent les milices kurdes et des groupes arabes armés, ont chassé l’État islamique (EI ou Daesh) de la ville de Manbij, avec le soutien aérien de la coalition internationale dirigée par les États-Unis. Seulement, des jihadistes ont réussi […]

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Categories: Défense

« Politique étrangère » à l’honneur sur les blogs

Politique étrangère (IFRI) - Wed, 24/08/2016 - 17:07

Le blog Les Clés du Moyen-Orient, qui décrypte l’actualité au Moyen-Orient depuis 2010, a publié le 22 août dernier un long compte rendu du dossier « Moyen-Orient, le nouveau « Grand Jeu » » publié dans le numéro d’été de Politique étrangère (n°2/2016).

Analysant chacun des six articles qui constituent ce dossier, l’auteur en fait une recension élogieuse et insiste sur son caractère fondamental et indispensable pour comprendre les enjeux de la crise moyen-orientale actuelle :

« Ce numéro d’été de Politique étrangère apparaît fondamental pour comprendre les enjeux dans lesquels se trouvent impliqués les principales forces en présence : l’Iran, l’Arabie saoudite, la Turquie, mais aussi, en tout état de cause, les États-Unis ou encore la France. Avec un riche panel d’analyses approfondissant la question d’un « nouveau ‘Grand jeu’ » qui se déploierait dans la région, cet ouvrage nous offre des clés indispensable pour mieux comprendre ce qui est survenu depuis : le coup d’État manqué en Turquie et la répression qui s’en est suivie, le siège d’Alep et les bombardements russes, les attentats perpétrés ou désamorcés au Liban, dans la région de la Békaa. »

Pour lire le compte rendu en intégralité, cliquez ici.

Pour lire intégralement l’un des articles du dossier, « La Russie a-t-elle une grande stratégie au Moyen-Orient ? » de Ekaterina Stepanova, cliquez ici.

 

Afghan Migrant Shot Dead in Serbia

Balkaninsight.com - Wed, 24/08/2016 - 17:07
A hunter has been arrested after a young Afghan migrant who had crossed over into Serbia from Bulgaria was shot dead in woodlands near the border.
Categories: Balkan News

Le monde au défi : quelle cohésion internationale ?

IRIS - Wed, 24/08/2016 - 17:01

Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères, répond à nos questions à propos de son ouvrage « Le monde au défi » (Fayard, 2016) :
– Selon vous, la communauté internationale n’existe pas. Pourquoi ?
– La perte du monopole occidental sur les affaires du monde nous conduit-elle à vivre durablement dans un système international instable et chaotique ?
– Le processus d’écologisation permettra-t-il de faire émerger une communauté internationale effective ?

Tombés en décroissance

HU-LALA (Hongrie) - Wed, 24/08/2016 - 16:52
Ils se sont installés plusieurs longs mois à Budapest pour participer à l’organisation de la Conférence internationale de la décroissance, qui aura lieu du 30 août au 3 septembre prochains. Compagnons de route de Hulala pendant tout ce temps, nous avons choisi de leur consacrer ce reportage. Rencontre avec une génération «tombée en décroissance».

Au fond d’un appartement au dédale de couloirs, là où les rayons d’un soleil de fin d’après-midi viennent raviver les couleurs passées des tableaux accrochés au mur, Jérôme et Romance sont en grande discussion. Dans le cadre de la Conférence internationale sur la décroissance, ils finalisent les sous-titres anglais d’un documentaire sur les maraîchers bulgares de Budapest. A quelques pièces de là, dans une cuisine désormais plongée dans la pénombre, Cécile et Valentine s’affairent pour que le repas du soir soit prêt dans les temps. Tout le monde a faim après cette longue journée de travail. Au menu : des pommes de terre au munster, ramené spécialement par Cécile de son Alsace natale. S’étant absenté pour aller régler des préparatifs de dernière minute chez l’imprimeur, Márton, l’occupant habituel des lieux, déboule dans le salon, triomphal, visiblement content de pouvoir se poser, un peu. Enfin !

Jérôme et Márton. En arrière plan Cécile et Romance.

Dans une semaine, ils savent que le rythme, déjà soutenu, va encore monter en intensité. Cette soirée, c’est un peu une façon de décompresser entre eux, de savourer ce calme précaire avant que survienne la tempête. Originaires des quatre coins de la France, Jérôme, Valentine, Márton, Cécile et Romance ne se connaissaient pas tous avant de débarquer à Budapest pour participer à l’organisation de la Conférence. Si Jérôme et Romance s’étaient brièvement côtoyés sur les bancs de SciencesPo Rennes, Márton et Cécile sont quant à eux des amis de longue date, rencontrés sur le campus franco-allemand de SciencesPo Paris à Nancy. Installé en Lorraine depuis son enfance, Márton est l’un des nombreux rejetons d’une famille hongroise émigrée en France et ainsi le seul à avoir des attaches anciennes à Budapest. Quant à Valentine, elle est depuis longtemps amoureuse des Balkans et s’est retrouvée embarquée dans le groupe à la faveur d’une année Erasmus à Budapest. Son cursus scolaire ? SciencesPo aussi. Forcément. Comme tout le monde. Celui de Lyon, la concernant.

«Ancrer la pensée dans le réel»

Formés dans ce que le système français d’enseignement supérieur fait de plus élitiste, ces jeunes gens ont la tête bien faite et un avenir qui semble bien assuré. Pourtant, ça n’est pas de carrière brillante ni d’accomplissement professionnel «à tout prix» dont ils rêvent. Leur regard porte ailleurs. Dans un système social et économique qui semble atteindre un niveau de sclérose avancée, ils cherchent à se soustraire de la machine à broyer. A s’en émanciper. De retour d’un stage à l’ambassade de France en Israël, Cécile a voulu explorer les multiples voies en rupture avec l’orthodoxie économique à laquelle elle a été confrontée. Quant à Márton : «Moi j’avais besoin de repos et de beaucoup lire, car je sortais de six mois de stage à Berlin dans le monde des start up, c’était mon dada avant… et j’ai un peu déchanté. J’ai vendu du mobilier, je me suis barré. Et ensuite, des vêtements pour bébés, je me suis barré. Du coup je suis arrivé ici à l’Université Corvinus en troisième année».

A la recherche d’une «certaine radicalité politique», entretenant les uns et les autres un rapport complexe avec les vieilles matrices idéologiques, ils sont tombés à la faveur de liens sur Facebook sur la décroissance. Un de ceux qui les a inspirés, Vincent Liegey, est devenu pour certains leur maître de stage au sein de l’association de livraison à vélo Cargonomia. Conçue comme un facilitateur logistique en milieu urbain, cette structure est exigeante tant en concepts qu’en sens de la débrouillardise. Pile poil donc ce à quoi aspirait notamment Jérôme, en rupture avec le militantisme traditionnel : «Je m’étais déjà intéressé à la décroissance, j’avais déjà lu Latouche et c’est une pensée qui m’intéressait beaucoup, du coup je voulais aller voir sur le terrain comment ça se passait. Le fait de pouvoir faire un stage qui se raccrochait aussi avec Cargonomia ça ancrait vraiment la pensée dans le réel».

Valentine, Cécile, Jérôme et Márton.

Concernant Valentine et Romance, la rhétorique décroissante leur a davantage permis de mettre en mots un ensemble de réflexions disparates sur la critique sociale, l’environnement, le combat féministe, les droits de l’Homme… qu’elles avaient jusqu’à présent soigneusement tenues à l’écart des courants de pensée traditionnels. Biberonée au développement durable «en pensant que c’était la bonne voie de continuer dans ce système, tout en faisant un peu plus attention à l’environnement», Romance en avait ras-le-bol à SciencesPo de «penser dans le moule» et cherchait à opérer une certaine rupture et «déconstruire tout ça» à coup de Gorz, Illich, etc. Quant à Valentine, elle entretenait une véritable défiance à l’égard des étiquettes, de tous ces mots en «-isme» : «Je me suis bien pété le crâne régulièrement ces trois dernières années, pour développer un regard beaucoup plus critique sur tout ce qui nous entoure, etc. Avec une prise de conscience sur l’écologie qui fait assez mal, surtout quand on a vingt ans. Les systèmes idéologiques m’ont toujours fait peur en général, j’ai souvent refusé de lire des textes qui prônaient une idéologie assez précise et j’en suis même venue à ne lire les textes de la décroissance qu’après avoir rejoint le groupe».

Ce «mot-obus» de décroissance – pour reprendre l’expression de Paul Ariès -, reste selon eux un vocable marginal, suscitant auprès de leurs proches pas mal de circonspection. Au début, Jérôme admet avoir eu lui-même des difficultés à inscrire complètement ses pas dans ce champ idéologique : «Réussir à parler de manière intelligible de la crise civilisationnelle, ce genre de choses, je sentais que ça touchait un point central de ce que je développais depuis un bout de temps. Par rapport à ça, me dire “décroissant” j’avais énormément de mal. C’est aussi lié à plein de tabous. La pensée de la décroissance est encore relativement incomprise même si je pense que les choses changent. A SciencesPo je n’aurais pas de mal à dire que je suis décroissant, mais dans mon environnement familial, c’est quelque chose que j’aurai plus de mal à argumenter». Quant à Cécile, elle pointe le paradoxe de devoir sans cesse se justifier sur son engagement auprès du mouvement, alors que le fait de travailler pour les services économiques de l’ambassade de France à Tel Aviv n’avait jamais soulevé de débat particulier auprès de ses proches.

«Comprendre la fascination incroyable pour l’Ouest»

Márton

Le fait d’organiser la conférence internationale à Budapest s’inscrit dans une réflexion explicite sur la trajectoire sociale et économique des pays post-socialistes. Au-delà du groupe «hongrois», deux autres comités basés à Zagreb et Ljubljana participent à l’événement. Pour Márton, cela permet de mettre la lumière sur la «nécessité d’exploiter avant tout les ressources que l’on a autour de soi». Pour ce franco-hongrois parfaitement bilingue, il y a tout un travail à mener pour «comprendre la fascination incroyable pour l’Ouest, qui existe au sein de plusieurs générations». Selon lui, celle-ci «doit être mise en balance avec tout un tas de choses importantes que les gens ont perdues après le socialisme, comme la solidarité, la culture, l’emploi».

Jérôme, qui revient d’un séjour de plusieurs mois au Cameroun, abonde quant à lui sur cette difficulté du chassé croisé entre les aspirations des pays riches et de ceux considérés comme «en développement» : «En Afrique, je me trouvais souvent confronté à pas mal de mecs que je venais à peine de rencontrer, qui me prenaient à moto et qui me demandaient de les emmener à Paris parce que ça avait l’air super cool. Alors que moi, je voyais la route en terre battue, les poulets qui traversent, les mamas qui te gueulent dessus… et moi je trouvais ça génial ! J’ai ressenti alors quelque chose d’un peu contradictoire de vouloir apporter ainsi, dans la posture du néo-colonisateur, une pensée de l’émancipation». Si en Hongrie, ce tiraillement se fait de façon moins puissante, il admet avoir toujours du mal à composer avec ce «renversement des perceptions».

Cécile

Valentine reconnait être avec les autres dans une «position de donneurs de leçons», mais admet dans le même temps, ce qu’elle doit à son expérience hongroise : «C’est un terreau vachement intéressant pour voir comment ça fonctionne. Il y a par exemple moins de réseaux militants un peu pourris qu’en France. Alors que les pratiques décroissantes sont très hipsterisées en France, ici c’est plutôt normal. Ça c’est agréable». Jérôme apprécie également que les «alternatives concrètes» relèvent à Budapest du bon sens, d’une recherche sincère d’un bien vivre ensemble. «Sans rechercher un réflexe politisé derrière», ajoute-t-il, prenant l’exemple de la Critical mass, cette traditionnelle manifestation de vélos qui échappe encore à toute forme de récupération politique.

«Monter des projets, là où ça fera sens»

Tous ont conscience d’évoluer à Budapest dans un «ghetto intellectuel», comme en témoigne Cécile : «J’ai une vision très très biaisée de la Hongrie, de Budapest, parce qu’on vit dans un milieu – qui n’est pas celui des expatriés de l’ambassade ! – avec des internationaux, qui évoluent dans des sphères intellectuelles qui n’ont rien à voir avec le reste de la Hongrie. J’ai eu très peu de contact ou de vraie immersion en dehors de ce ghetto-là». De là à voir une contradiction avec le discours écologiste sur l’ancrage, le fameux «agir local» ? Pas vraiment selon eux, car cette expérience hongroise procède de la circulation des idées qui commande plutôt le «penser global». A ce propos, Márton rappelle que la vélorution parisienne avait été créée par des Italiens, que le mouvement décroissant à Barcelone, c’était des Bulgares et des Grecs, etc. Et d’évoquer les exemples – nombreux – d’étrangers qui avaient fini par définitivement poser leurs valises à Budapest, comme les britanniques Tracy du mouvement Villes en transition et Matthew de la ferme bio de Zsámbok, et plus près d’eux l’américain Logan et le français Vincent Liegey qui s’investissent depuis de longues années dans Cargonomia.

Valentine admet ne pas trop savoir comment se positionner, avouant que la question l’a beaucoup travaillée à Budapest. «Mais c’est aussi la raison pour laquelle j’ai envie de retourner à Lyon, continuer ces démarches là, ces réflexions là, c’est actions là, dans mon territoire vécu. Parce que je pense que ça fait d’autant plus sens de faire ça aussi chez soi». Pour Cécile, même constat : «Cette conférence ce n’est pas définitif, on sait qu’on n’est pas en train de monter un projet qui nous est propre dans un endroit qui nous est pas forcément familier». Elle voit cela davantage comme un apprentissage, une découverte : «Avec tout ce bagage là, ce qui me donne envie aussi, c’est d’aller monter mes projets, là où ça fera sens, ça sera en France je pense, que ce soit à Paris ou en Alsace».

Par ailleurs, la Conférence internationale de la décroissance devrait laisser beaucoup de place à ce décentrement du regard : «Une des ambitions de la conférence, c’est de dire aussi, c’est pas que des intellectuels occidentaux, mâles blancs, qui viennent déblatérer sur le sujet. Il y a un vrai effort qui a été mis pour inviter des keynotes qui viennent de pays du Sud, pour donner une vision différente. Ça peut éviter cette difficulté de la “mission civilisatrice” et équilibrer les regards» ajoute Cécile.

Romance, Valentine, Cécile, Jérôme et Márton

A une semaine de l’événement, l’expérience semble en tout cas les avoir déjà transformés. Ayant le statut de stagiaire ou de bénévole, les leçons qu’ils tirent d’une année aussi intense s’inscrivent tout d’abord dans le champ professionnel, celui de l’économie sociale caractérisée par une porosité grande entre la sphère du travail et celle de la vie privée. Une porosité qui maintient le corps sans cesse mobilisé et les nerfs à vif, mais qui – et ça se voit – épuise. «Une expérience vraiment vraiment éreintante» admet Márton, «et qui du coup, nous forge». Pour Cécile, cette «expérimentation de nouvelles formes de travail, de rapports humains dans le travail a certes eu des conséquences négatives sur nous, mais qui fait qu’on en ressort beaucoup plus solides, avec des envies d’apprendre de ça. Au niveau professionnel et militant j’ai appris mille choses».

Sur le plan intellectuel, le bilan est beaucoup plus positif, chacun vantant des mois très riches, qui impliquent pour la vie de repenser tout un parcours qui était «censé être plus ou moins tracé». «Je pense qu’on a touché un collectif rassemblé autour de cette pensée là, en pratique, en termes humains, en termes militants. Pour nous, c’est extrêmement intéressant car ça nous laisse pas mal d’idées, de questions pour l’avenir» estime ainsi Valentine. Pour Márton, la principale reconnaissance de tout le travail fourni, c’est d’avoir pu œuvrer mois après mois à «mettre en place des plateformes pour que les gens se rencontrent et qu’ils puissent ensemble rêver et œuvrer à des meilleurs futurs au pluriel». 

Categories: PECO

Csaknem 80 híresség küldi vissza érdemrendjét

Kolozsvári Rádió (Románia/Erdély) - Wed, 24/08/2016 - 16:39
Ma kora délutánig 78-ra emelkedett azoknak a hírességeknek a száma, akik jelezték: visszaadják magyar állami érdemrendjüket amiatt, hogy az augusztus 20-i magyar állami ünnep alkalmából kitüntették Bayer Zsolt publicistát. Tamás Gáspár Miklós filozófus, aki jelenleg Kolozsváron tartózkodik, a kincse...

Megújul a Székely Nemzeti Múzeum

Kolozsvári Rádió (Románia/Erdély) - Wed, 24/08/2016 - 16:33
A Regionális Operatív Program keretében 22 millió lej összértékű pályázati pénzből újítják fel a sepsiszentgyörgyi Székely Nemzeti Múzeum épületegyüttesét. A beruházás műszaki-gazdasági dokumentációját tegnap hagyta jóvá a Kovászna megyei önkormányzat. A Székely Nemzeti Múzeum igazgatója, Vargha Mih...

Olaszország 73

Kolozsvári Rádió (Románia/Erdély) - Wed, 24/08/2016 - 16:28
Több mint 70-en életüket vesztették és mintegy 200-an megsérültek a Közép-Olaszországot ma hajnalban sújtó erős földrengés miatt. Norcia városban és környékén ma hajnalban kétszer egymás után erősen megrázkódott a föld: előbb 6 egész 2 tizedes, nem sokkal később 5 egész 5 tizedes erősségű földrengés...

Deutsche Regierung verabschiedet Konzept zur Zivilverteidigung

EuroNews (DE) - Wed, 24/08/2016 - 16:26
Mit einem neuen Plan zur Zivilverteidigung reagiert die Regierung in Berlin auf die veränderte sicherheitspolitische Lage.
Categories: Europäische Union

A Tretyakov galéria így reklámozza magát a fiataloknál

Posztinfo.hu / Oroszország - Wed, 24/08/2016 - 16:10

Nincs könnyű helyzetben egy képtár, ha arról szeretné meggyőzni a fiatalokat, hogy keressék fel a múzeumot. Még akkor sem, ha egy világhírű intézményről, a Tretyakov galériáról van szó.

A moszkvai képtár remek ötlettel rukkolt elő: videósorozattal szólította meg a fiatalokat, ahol népszerű zenészek ismerkednek egy-egy festménnyel, így számukra ismerős arcok segítségével nyernek betekintést az alkotásokba.

Köztük van a botrányhősnek számító, ám igen népszerű Szergej Snurov, a Sziget fesztiválon is többször fellépő Leningrad együttes frontembere. Neki Kazimir Malevics mindenki által ismert műve, a Fekete négyzet jutott, lássuk hogy oldotta meg.

Categories: Oroszország és FÁK

Une trentaine d’arrestations après l’opération « ville morte » à Kinshasa

LeMonde / Afrique - Wed, 24/08/2016 - 16:08
Les manifestants étaient mobilisés contre le dialogue initié par Edem Kodjo, médiateur nommé par l’Union africaine pour résoudre la crise politique congolaise.
Categories: Afrique

What’s Up Africa: Is Malawi 'too good' to win medals?

BBC Africa - Wed, 24/08/2016 - 16:08
Satirist Ikenna Azuike is in Malawi to find out why the African country won no Olympic medals.
Categories: Africa

Un missile balistique mer-sol nord-coréen est tombé dans la zone d’identification aérienne japonaise

Zone militaire - Wed, 24/08/2016 - 15:56

Début août, un missile balistique nord-coréen de type Rodong s’était abîmé à 250 km des côtes japonaises. Comme il fallait s’y attendre, ce tir suscita une vive réaction des autorités japonaises et le Conseil de sécurité des Nations unies fut saisi de l’affaire par Washington afin d’adopter une déclaration condamnant une nouvelle fois Pyongyang. Seulement, […]

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Categories: Défense

Johannesburg mayor election: Why Nelson Mandela's party was ousted

BBC Africa - Wed, 24/08/2016 - 15:52
Young Johannesburg voters tell the BBC why talk of apartheid is no longer such a big factor in South African politics.
Categories: Africa

Kolozsvár kiváltságai és a kincses korszak

Kolozsvári Rádió (Románia/Erdély) - Wed, 24/08/2016 - 15:42
Kolozsvár 700 címmel látható ünnepi kiállítás szeptember közepéig a Történelmi Múzeumban, amelynek keretében páratlan dokumentumokat láthatunk, mégpedig eredeti formában, zömét a kolozsvári levéltárból. Megtekinthetjük a város kiváltságlevelét, igaz, nem az eredetit 1316-ból, mert az még „lappang” v...

Vigyázz, kész, szelfizz és nyerj!

PAFI - Wed, 24/08/2016 - 15:34
Számtalan jobbnál jobb szelfit tárolsz a telefonodban? Ne rejtegesd őket tovább! Mutasd meg a világnak az igazi reggeli arcodat, a kedvenc edzős képedet, a legmókásabb csoportfotódat vagy a legjobban sikerült sötétben készült szelfidet és nyerj egy Samsung Galaxy S7 edge okostelefont, vagy egyéb értékes Samsung ajándékokat!
Categories: Pályázatok

Pas de médailles pour l’équipe des réfugiés aux Jeux Olympiques .Mais ils ont su écrire une nouvelle page glorieuse de l’histoire de l’Olympisme.

EU-Logos Blog - Wed, 24/08/2016 - 15:31

Eulogos, bien avant l’ouverture des jeux a signalé l’existence de cette délégation pas comme les autres et a donné régulièrement des informations les concernant. Euractiv vient dans un article de clôturer, provisoirement ,cette belle histoire. Nous le reproduisons ci-dessous .

« Dix athlètes réfugiés, originaires de quatre pays différents, ont écrit une nouvelle page dans l’histoire des JO à Rio. En mettant en lumière la volonté d’acier des réfugiés.

Ils viennent de Syrie, de la République démocratique du Congo, d’Éthiopie et du Soudan du Sud, où les populations doivent chaque jour payer un prix très élevé face aux guerres et aux conflits qui y font rage. Lors des JO, dix réfugiés se sont réunis sous un même drapeau. Pendant l’ouverture des Jeux, ils ont été acclamés par le public lors de leur entrée dans l’arène.

Plus tard, l’équipe s’est dotée d’un drapeau orange et noir, qui rappelle les gilets de sauvetage utilisés lors de trajets maritimes dangereux. Un drapeau conçu par Yara Said, une artiste syrienne réfugiée, qui a fui le régime de Bachar el-Assad après avoir obtenu son diplôme à l’université de Damas. « Les couleurs orange et noire sont devenues des symboles de solidarité pour tous ceux qui ont traversé la mer à la recherche d’un nouveau foyer », a-t-elle explique-t-elle.

Un autre diplômé de l’université de Damas, Moutaz Arian, a composé l’hymne de l’équipe. Il a quitté la Syrie pour éviter d’être incorporé dans l’armée du gouvernement d’Assad. L’hymne témoigne de la détermination à rechercher une vie meilleure, cette même volonté qui a permis aux dix sportifs de fuir la guerre.

Une équipe hors du commun :Yusra Mardini, une jeune nageuse, réfugiée syrienne, a conquis Internet du jour au lendemain, lorsque sa participation aux JO a été annoncée. Elle avait effectué son voyage vers l’Europe accompagnée d’autres réfugiés, dans une petite embarcation qui a fini par tomber en panne. Elle a sauvé plus de vingt personnes qui, grâce à ses talents de nageuse, ont pu arriver à bon port et trouver refuge en Allemagne. Elle s’est présentée à plusieurs compétitions de natation pendant les Jeux de Rio.

James Chiengjiek fait également partie de l’équipe des réfugiés. Il a quitté le sud du Soudan pour ne pas devenir enfant-soldat. Il a couru sur des centaines de kilomètres, malgré ses blessures aux pieds. Il a finalement réussi à atteindre le camp de réfugiés de Kakuma au Kenya.

Le nageur syrien Ramis Anis, les athlètes soudanais Yiech Pur Biel, Anjelina Nada Lohalith, Rosa Nathike Lokonyen et Paulo Lokoro, le marathonien Yonas Kinde, originaire d’Éthiopie, ainsi que les judokas congolais Popole Misenga et Yolande Mabika constituent le reste de l’équipe.

Les cinq athlètes se sont entrainés dans le camp de réfugiés de Kakuma, proche de la frontière entre le Kenya et la Somalie. Un entraînement offert par la Tegla Loroupe Fundation, une fondation qui porte le nom d’une athlète kényane très célèbre, qui avait été la toute première femme à remporter le New York City Marathon et détient de nombreux records.

Bien qu’aucun des réfugiés n’ait remporté de médaille, leur esprit de battant a jeté une nouvelle fois la lumière sur la détresse des réfugiés, et mis en évidence l’urgence de trouver une solution mondiale pour la plus grande crise depuis les guerres mondiales. Actuellement, près de 65 millions de personnes dans le monde entier fuient la guerre ou des conflits, selon les estimations du HCRNU. Un chiffre qui a presque augmenté de 6 millions depuis l’an dernier.

Pour renforcer le sentiment d’appartenance des réfugiés du monde entier, les organisateurs des Jeux ont installé des écrans dans le camp de réfugiés de Kakuma, avec l’aide d’Amnesty International et l’ONG FilmAID. Ainsi près de 200 000 personnes, vivant dans le plus grand camp de réfugiés du monde, ont puis suivre en direct les JO.

La participation des réfugiés à Rio et la diffusion en direct dans le camp ont eu un impact plus important que n’importe quelle stratégie de gestion de crise, estime Julius Tembo, un expert en études internationales et en prévention de conflits de Nairobi.

« Les réfugiés dans les camps ont le sentiment d’avoir du pouvoir, en regardant un événement aussi prestigieux et en encourageant leur propre équipe. Ce sentiment associé à l’implication passionnée des sportifs, qui ont conquis le cœur de millions de personnes à Rio, peut donner un nouvel élan à la gestion de la crise des réfugiés. ‘Nous sommes comme vous’, c’est le message qu’ont fait passer les dix athlètes au reste du monde. ‘Nous voulons seulement une vie meilleure.’ C’est suffisant pour pousser le monde entier à agir », souligne Julius Tembo. »

 

Pour en savoir plus :

     -. Dossier des articles publiés par Eulogos sur les jeux Olympiques http://www.eu-logos.org/eu-logos_nea-say.php?idr=4&idnl=3900&nea=175&lang=fra&arch=0&term=0

 


Classé dans:Citoyenneté européenne, Coopération judiciaire civile, Coopération judiciaire pénale, Coopération policière
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Gazdátlan vendéglátóipari helyiségek Nagyváradon

Kolozsvári Rádió (Románia/Erdély) - Wed, 24/08/2016 - 15:27
A nagyváradi önkormányzat nem túl sikeres a felújított, vendéglátóipari egységek számára kialakított helyiségek bérbeadásában. A felújított várban egyre több intézmény és különböző szervezet kap helyet. Már kiadtak minden olyan termet, ahol népi mesterségek műhelyei fognak működni – ezek most ...

Pas de jeux paralympiques pour la Russie

EU-Logos Blog - Wed, 24/08/2016 - 15:12

La Russie a perdu, encore une fois. Déjà annoncé, il y a quelques semaines par Eulogos, l’information vient d’être confirmée officiellement. Peu de chances d’un recours éventuel en appel. Ecartée en partie des Jeux olympiques de Rio, elle ne verra pas du tout la version paralympique, prévue du 7 au 18 septembre 2016. Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a annoncé, mardi 23 août, sa décision de rejeter l’appel du Comité paralympique russe contre son exclusion des Jeux. En cause, le dopage.

L’audience du TAS s’est déroulée lundi 22 août à Rio de Janeiro. Les juges du tribunal ont précisé, dans un communiqué publié le lendemain, que le Comité international paralympique (CIP) n’avait « violé aucune règle de procédure » en procédant deux semaines plus tôt à l’exclusion de l’équipe russe dans son intégralité. Ils ont jugé sur la forme. Imparable. « La décision d’interdire l’équipe russe a été faite conformément aux règles du CIP et était proportionnelle aux circonstances », a tranché le TAS.

A la différence du CIO, l’IPC avait souhaité prendre les grands moyens. Philip Craven, le président de l’organisation paralympique, avait annoncé pendant les Jeux de Rio que la Russie n’était plus la bienvenue au Brésil. Il avait pointé, pour justifier la décision de l’IPC, l’existence d’échantillons suspects concernant 44 sportifs paralympiques russes aux Jeux d’hiver de Sotchi en 2014. A ses yeux, la Russie avait démontré son « incapacité à respecter ses obligations vis-à-vis du Code mondial antidopage. » Elle devait être sanctionnée. Au risque de priver ses athlètes propres d’un événement préparé et attendu depuis quatre ans.

Après la décision du TAS, mardi 23 août, Philip Craven n’a pas fait mystère de sa satisfaction. « La décision prise aujourd’hui renforce notre conviction dans le fait que le dopage n’a absolument pas sa place dans le sport paralympique, a expliqué Philip Craven dans un communiqué. Nous exprimons notre sympathie aux athlètes russes qui manqueront les Jeux paralympiques. C’est un triste jour pour le mouvement paralympique mais aussi, nous l’espérons, un nouveau départ. Nous espérons que cette décision servira de catalyseur pour un changement en Russie. »

Les Russes s’y attendaient. Mais ils ont malgré tout contesté la sanction de l’IPC et la position du TAS. « Je trouve que cette décision est très cruelle et sans base réelle, déclaré à l’AFP Dmitry Svishchev, le chef du comité des sports au Parlement russe. Vous pouvez punir n’importe qui, ministres, officiels du sport, médecins, entraîneurs, mais les athlètes paralympiques ne devraient pas être sanctionnés, ils ne méritent pas ça. »

Réaction également de l’ex perchiste Yelena Isinbayeva, privée des Jeux de Rio pour les mêmes raisons, sur son compte Instagram. « Chers athlètes paralympiques, nous partageons cette injustice flagrante avec vous, soyez forts! Vous avez été, êtes et serez nos héros! », a suggéré Yelena Isinbayeva. Un message adressé aux athlètes russes, mais curieusement dépourvu des attaques envers les institutions dont la recordwoman du monde du saut à la perche s’était pourtant fait une spécialité. Un changement de ton derrière lequel il est facile de deviner les effets de son nouveau statut de membre du CIO.

Un appel du Comité paralympique russe auprès de la Cour fédérale de Suisse est toujours possible bien que peu probable avant l’ouverture des jeux, a analysé Alexei Karpenko, un avocat représentant les athlètes russes, lors d’une intervention télévisée. La Cour suprême suisse pourrait intervenir s’il y a eu vice de procédures, mais elle n’aurait pas autorité à se pencher sur les mérites de la preuve.

Pour en savoir plus : principales sources d’informations

     -. L’exclusion de la Russie des jeux paralympiques confirmée http://ici.radio-canada.ca/sports/Jeux-Olympiques/2016/08/23/001-tas-dopage-paralympique-russie-exclusion.shtml

     -. Journal l’Equipe l’exclusion de la Russie confirmée http://www.lequipe.fr/Tous-sports/Actualites/Jeux-paralympiques-le-tribunal-arbitral-du-sport-tas-confirme-la-suspension-des-russes/720097

     -. BBC Afrique : confirmation de l’exclusion de la Russie des jeux paralympiques http://www.bbc.com/afrique/sports-37167270

     -. Dossier des articles de Eulogos sur les jeux olympiques http://www.eu-logos.org/eu-logos_nea-say.php?idr=4&idnl=3900&nea=175&lang=fra&arch=0&term=0

 


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