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Agrégateur de flux

Cyber 9/12 Student Challenge

GCSP (Events) - jeu, 11/12/2014 - 10:46

We frequently hear the terms “Cyber 9/11” and “Digital Pearl Harbor,” but we rarely discuss what they actually mean or how to handle the consequences and to manage this kind of crisis situation. The Cyber 9/12 Project explores how the international community should respond the day after a major cyber attack.

By closing the gap between tomorrow’s policy makers and technical operators, the Cyber 9/12 Student Challenge is a policy-centered student competition requiring a multi-sector and interdisciplinary approach. Whereas most cyber competitions focus on technical capabilities, the Cyber 9/12 Student Challenge forces competitors to answer critical questions concerning cooperation between military and diplomatic actors, public and private actors, and the need to calibrate responses to the international community.

Hatezer euróért árul egy szerb férfi magyar állampolgárságot az interneten

Serbia Insajd - jeu, 11/12/2014 - 10:43

A verbászi Vojislav T. egy szerb internetes apróhirdetéses portálon, a kupujemprodajem.com (adokveszek) oldalon árul magyar állampolgárságot, számolt be a belgrádi Blic napilap.

Fotó: blic.rs; a képernyőn látszik a hirdetés

"Magyar állampolgárság szabályosan" - áll a hirdetésében. Az ügyfeleinek nála kell jelentkeznie, hogy elvigye őket Szegeden a "saját embereihez".

[...] Bővebben!


Catégories: Nyugat-Balkán

L'Europe doit maintenir la pression sur Erdogan

Géopolitique (Blog Pierre Rousselin) - jeu, 11/12/2014 - 08:03
Face à la menace que représente pour l'Europe l'installation d'un « califat » au Proche-Orient, la Turquie devrait être une première et solide ligne de défense. D'un grand pays, membre de l'Otan et aussi stratégiquement situé, qui a pour aspiration d'adhérer... Pierre Rousselin http://blog.lefigaro.fr/geopolitique/pierre-rousselin.html
Catégories: Union européenne

Cyber threats don’t stay still and neither can we, NATO CCD COE chief says

DefenceIQ - jeu, 11/12/2014 - 06:00
Colonel Suzik (left) welcomes NATO Secretary General Jens Stoltenberg and Estonian Minister of Defence Sven Miks
Catégories: Defence`s Feeds

ATLAS II

Military-Today.com - jeu, 11/12/2014 - 00:55

American ATLAS II All-Terrain Forklift
Catégories: Defence`s Feeds

Nelson Mandela, héros de Patrick Ollier, député-maire UMP de Rueil-Malmaison

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - mer, 10/12/2014 - 19:08
Jadis, dans la "banlieue rouge", les maires communistes donnaient aux rues le nom de Gagarine, de Karl Marx, de Robespierre ou encore de Maurice Thorez. Aujourd'hui, dans la banlieue chic, les maires UMP baptisent des places du nom de Nelson Mandela. Les premiers avaient l'excuse de la croyance dans des lendemains qui allaient chanter quand les seconds sont simplement en génuflexion devant le conformisme médiatico-idéologique le plus niais.Le 8 novembre 2014, Monsieur Patrick Ollier, député-maire UMP de la bourgeoise Rueil-Malmaison a ainsi bien mérité de la pensée unique. En ce jour anniversaire du débarquement allié en Afrique du Nord, ceint de tricolore et entouré de son conseil municipal, marchant avec une grande originalité dans les traces de nombreux maires socialistes, écologistes et communistes, il baptisa en effet une place de sa cité du nom de Nelson Mandela. Au delà du minuscule calcul visant à grappiller quelques voix d'électeurs issus du "grand remplacement", une telle décision prise par un conseil municipal de "droite" en dit long sur le naufrage intellectuel d'un courant politique sans colonne vertébrale, sans points de repère et peut-être encore plus affligeant, sans mémoire.Aussi, afin de "rafraîchir" celle de Monsieur le député-maire, je reproduis ici le communiqué que j'ai publié le  21 décembre 2013 sur le blog de l'Afrique réelle
"Un communiqué du SACP (South African Communist Party) en date du 6 décembre 2013 nous apprend officiellement ce dont l’on se doutait, mais qui n’avait jamais été réellement établi, à savoir que selon les propres termes du document,  le « camarade Nelson Mandela » était un haut dirigeant communiste puisqu’il « (…) ne faisait pas seulement partie du SACP, mais également de son Comité central ». Pourquoi Nelson Mandela a-t-il toujours démenti, tant oralement que par écrit, avoir été membre du SACP ? Pourquoi donc a-t-il menti ?
Un retour en arrière s’impose. En 1960, quand Nelson Mandela fut nommé-coopté au Comité central du SACP, le monde était en pleine « guerre froide » et les soviétiques avaient décidé de menacer la route du Cap, vitale pour ce qui était alors l’ « Occident », en déstabilisant le pays qui en était le gardien, à savoir l’Afrique du Sud. Pour l’URSS, la lutte contre l’apartheid fut le moyen de populariser cette stratégie en lui donnant un « habillage » moral. La mission que le KGB confia alors à Nelson Mandela, fut de prendre le contrôle de l’ANC au profit du SACP en évinçant la vieille garde réformiste et non-violente qui le contrôlait, afin de lui faire adopter  la lutte armée.
Aidé par Yossef Mashel Slovo, dit Joe Slovo, un officier supérieur du KGB, Nelson Mandela s’acquitta parfaitement de ces deux missions. Il réussit ainsi à imposer la création de l’Umkhonto we Sizwe, l’aile militaire et terroriste de l’ANC dont il fut le premier chef. Il transforma également l’ANC en une simple courroie de transmission du SACP. En 1989, sur les 30 membres de son comité directeur, quatre ou cinq revendiquaient ainsi officiellement leur appartenance au SACP cependant que plus d’une vingtaine étaient des membres clandestins du parti ayant reçu l’ordre de cacher leur appartenance afin de ne pas effaroucher les « compagnons de route » et les « idiots utiles ». 
Le SACP a donc brisé un secret jusque là bien gardé et cela, au risque d’écorner le mythe Mandela. Pourquoi? La réponse est d’une grande simplicité : le SACP est politiquement en perdition car il est perçu par les Noirs comme un parti archaïque « blanc » et « indien ». Or, depuis 1994, la vie politique sud-africaine repose sur un partage du pouvoir, donc des postes et des prébendes, entre l’ANC, le syndicat Cosatu et le SACP. Il s’agit de l’Alliance tripartite. Cette rente de situation est aujourd’hui fortement contestée par de nouvelles forces politiques noires demandant que les « dépouilles opimes » étatiques soient repartagées à la lumière de la véritable représentativité des uns et des autres. Afin de tenter de conserver sa place au sein de l’Alliance tripartite, le SACP à bout de souffle a donc révélé que le « grand homme » était un de ses dirigeants…Ce misérable calcul boutiquier aura du moins un grand avantage car il permettra peut-être d’ouvrir les yeux à ceux qui pleurent un Nelson Mandela pacificateur-rédempteur alors qu’il était en réalité un agent du KGB, une « taupe communiste » dans le vocabulaire de la « guerre froide »…Je souhaite donc un  bon réveil après l’hypnose à ceux qui ont cru voir en lui le messie d’une nouvelle religion universelle".
Monsieur Patrick Ollier et le conseil municipal UMP de Rueil-Malmaison semblent donc être toujours sous hypnose...Mais qu'importe, dans un peu plus de deux ans, leur famille politique sera probablement revenue aux affaires... Une famille politique aux solides convictions exprimées à l'Assemblée. Ainsi le 10 mai 2001, sous la présidence de Jacques Chirac, quand, à l’unanimité, ses députés votèrent la loi « Taubira », loi qui qualifie de « crime contre l’humanité » la seule traite esclavagiste européenne...Ne boudant pas son plaisir devant la dhimitude doctrinale de la "droite" parlementaire, Christiane Taubira eut la cruauté de préciser que si sa loi votée à l'unanimité par les amis de Monsieur Ollier passe sous silence la traite arabo-musulmane, c'est afin que les « jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes »[1].
Que les électeurs cocus sortent des rangs et avancent de trois pas...
 Bernard Lugan

[1] L'Express, 4 mai 2006.
Catégories: Afrique

Dossier Télécoms : des gendarmes sous influence

Jeune Afrique / Economie - mer, 10/12/2014 - 13:38

Dotées de moyens importants, protégées par des textes de loi, les autorités de régulation des télécoms, en théorie indépendantes, possèdent en réalité une liberté d'action limitée. Tour d'horizon.


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Catégories: Afrique

Estonia signs largest ever defence deal for 44 infantry combat vehicles

DefenceIQ - mer, 10/12/2014 - 06:00
Estonia has put pen to paper on its largest defence procurement contract to date with the $171 million deal to buy 44 infantry combat vehicles from the Netherlands.
Catégories: Defence`s Feeds

New flight training hub to be established in Abu Dhabi

DefenceIQ - mer, 10/12/2014 - 06:00
A new flight training Learning Centre will be created in Abu Dhabi next year after FlightSafety International and Abu Dhabi Aviation signed a Letter of Intent this week.
Catégories: Defence`s Feeds

Estonia signs largest ever defence deal for 44 infantry combat vehicles

DefenceIQ - mer, 10/12/2014 - 06:00
Estonia has put pen to paper on its largest defence procurement contract to date with the $171 million deal to buy 44 infantry combat vehicles from the Netherlands.
Catégories: Defence`s Feeds

TOW

Military-Today.com - mer, 10/12/2014 - 00:25

American TOW Anti-Tank Guided Missile
Catégories: Defence`s Feeds

Már 196 metróállomása van Moszkvának

Posztinfo.hu / Oroszország - mar, 09/12/2014 - 16:50

Átadták az orosz főváros új, 196. metróállomását. A Troparevo megálló az egyik legforgalmasabba. Szokolnyiki vonalon található. Idén ezzel együtt már 5 új megállót adtak át Moszkvában, 2016-ig pedig további 45 lesz készen.

A fejlesztési terv szerint az új állomások részben a meglevő vonalakon nyílnak, részben a külső körgyűrű részei lesznek.

Catégories: Oroszország és FÁK

Gefahr für Deutschland und die Welt?: Islamistischer Kampf ohne Grenzen

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 09/12/2014 - 13:38
Der sogenannte „Islamische Staat“ (IS) – im Kern eine arabisch-sunnitische Bewegung, die mittlerweile ein Gebiet von der Größe Portugals kontrolliert – hat in den vergangenen Monaten die Medien beherrscht wie kein anderes Thema. Am 9. Dezember 2014 diskutierte eine Runde von Experten zu den Hintergründen der Entstehung.

Zielkonflikte in der Demokratieförderung: Pauschallösungen und unvollständige Demokratisierung verhindern

Weltweit stehen westliche Geber in der Demokratieförderung vor einem Dilemma. Demokratie ist zwar ein wichtiges politisches Ziel, aber sie fürchten, dass der Weg dorthin ein ebenso wertvolles Ziel – politische Stabilität – unterminieren und in den Empfängerstaaten vermehrt Gewalt auslösen könnte. Wir gehen hier der Frage nach, ob es für diese Befürchtungen empirische Belege gibt, und wie Geber bei potenziellen Zielkonflikten zwischen Demokratisierung und Stabilität abwägen können.
Jüngste Forschungsarbeiten des Deutschen Instituts für Entwicklungspolitik (DIE) zeigen, dass es für die Sorge, Demokratisierung könne destabilisierend wirken, tatsächlich gewisse empirische Belege gibt (Leininger et al. 2012; Ziaja 2013). Diese Befürchtungen sollten allerdings nicht vom größeren Problem ablenken, „auf halber Strecke stehen zu bleiben“. Hybride Regime mit autoritären Merkmalen, die sich hinter einer Fassade formal-demokratischer Institutionen verstecken, stellen auf lange Sicht ein größeres Sicherheitsrisiko dar als Versuche, in hybriden Regimen Demokratie zu fördern.
Demokratieförderung ist also wünschenswert, aber häufig ein Risiko. Laut einer neuen Studie des DIE, die 47 afrikanische Staaten einbezieht, führt Demokratieförderung zwar kurzfristig zu mehr Demonstrationen und Ausschreitungen, nicht aber zu Bürgerkriegen. Somit deutet stärkere Mobilisierung der Bevölkerung eher auf die Wirksamkeit von Hilfe hin, als dass sie  ein Grund zur Besorgnis wäre.
Damit Demokratieförderung langfristig wirken und die Forderungen der Bevölkerung kanalisieren kann, muss sie lokalen Akteuren beim Aufbau von bedarfsgerechten Institutionen helfen. Häufig ließen sich Eliten aus Angst vor möglichen destabilisierenden Folgen von Bürgerbeteiligung zur Beschneidung des Wettbewerbs in jungen Demokratien verleiten. Dies ist keine gute Idee: Elitäre Transitionen führen laut unserer Forschung zu weniger nachhaltigen politischen Konstellationen als offener Wettbewerb.
Externe Förderung gelingt am besten, wenn Geber mar¬ginalisierte Gruppen darin unterstützen, sich am Institutionenaufbau zu beteiligen. Das wird am besten durch gleichzeitiges Engagement vieler Geber erreicht. Diversität auf der Geberseite erhöht die Chancen, eine kontextgemäße institutionelle Struktur zu finden, anstatt dem Partnerland eine solche überzustülpen.
Daraus ergibt sich, dass es für die Notwendigkeit eines Sequenzierungsansatzes in der Demokratieförderung  -  d. h. erst Stabilität, dann Demokratie – kaum empirische Belege gibt. Die meisten Länder haben bereits vor über zwei Jahrzehnten (formal) den Weg zur Demokratie einge¬schlagen. Ein gradualistischer Ansatz mit gleichzeitigem Aufbau von staatlichen Institutionen und der Förderung breiter Beteiligung ist darum der vielversprechendere Weg.
Unsere Empfehlungen lauten daher in Kürze:
‒    Demokratie sofort fördern und nicht zugunsten reiner Stabilisierungsmaßnahmen hintanstellen.
‒    Die Demokratieförderung  diversifizieren.
‒    Endogene, inklusive politische Entwicklung fördern.
‒    Beim Aufbau politischer Institutionen durch den Einsatz von Konditionalität auf Konfliktlösungsmechanismen bestehen.
‒    Zielkonflikte in Phasen demokratischer Transition abwägen.

Zur Messung grünen Wachstums: Warum Vereinheitlichen (manchmal) gar nicht erwünscht ist

Eine sinnvolle Alternative zur derzeitigen kohlenstoffabhängigen Wirtschaftsweise zu finden, wird aktuell international diskutiert, u. a. weil ökonomisches Wachstum in der Regel mit steigendem Ressourcenverbrauch einhergeht. Eine solche Alternative würde auch erfordern, dass Umweltbelange und der Wert von natürlichem Kapital bei sämtlichen ökonomischen Entscheidungen berücksichtigt werden. Die Diskussion bezieht sich vor allem auf Variationen des Konzepts Grünen Wachstums (green growth), das zu einer Art Modewort avanciert ist. Dabei schwingt die Hoffnung mit, eine Lösung für die dringendsten Probleme dieser Welt zu entwickeln: Das Bewahren von Ökosystemen und die Vermeidung von Umweltdegradation sollen ebenso mit ökonomischem Wachstum in Einklang gebracht werden wie die Ziele Klimastabilität und Armutsreduzierung.
Neben der wichtigen Debatte über die verschiedenen Wege zu diesen Zielen ist die Diskussion darüber essenziell, wie das Erreichen von grünem Wachstum sinnvoll abgebildet werden kann. Eine Reihe internationaler Organisationen hat Sets von Indikatoren zur Messung grünen Wachstums vorgeschlagen, und darüber hinaus haben sich Initiativen wie die Green Growth Knowledge Platform (GGKP) gebildet, die das vorhandene Wissen bündeln, Wissenslücken identifizieren und der Diskussion eine Plattform bieten.
Die einheitliche Messung grünen Wachstums ist dabei weit weniger trivial, als es auf den ersten Blick scheinen mag, da es mindestens zwei Quellen von Heterogenität gibt, die berücksichtigt werden müssen: Zum einen existieren mehrere Konzepte zu grünem Wachstum und zum anderen bedingen die individuellen Rahmenbedingungen der Länder, dass Prioritäten unterschiedlich gesetzt werden. So führen die differierenden Einkommensniveaus der Länder zu unterschiedlichen Politikschwerpunkten und Handlungsspielräumen. Des Weiteren unterscheiden sich die Ökonomien oft fundamental in ihrer Wirtschaftsstruktur – mit Implikationen für Umweltauswirkungen und die Nutzung natürlicher Ressourcen. Zudem bedarf es eines gewissen Maßes an politischer Stabilität, um grüne Wachstumsstrategien sinnvoll planen und verfolgen zu können. Und schließlich muss die Messung grünen Wachstums auch zwischen zyklischen und strukturellen wirtschaftlichen Veränderungen unterscheiden (können).
Daraus resultieren mehrere Indikatoren-Sets zur Messung grünen Wachstums. Das Ziel sollte aber nicht zwangsläufig sein, ein alleingültiges Indikatoren-Set zu entwickeln. Um das Konzept Grünes Wachstum klar abzustecken und damit vor dessen beliebiger Verwendung zu schützen, werden erstens eine übergreifende Definition grünen Wachstums benötigt und zweitens, zur Messung, übergeordnete Schlüsselindikatoren, die zentrale Kategorien widerspiegeln. Allerdings erfordern die heterogenen Ausgangsbedingungen in Entwicklungs-, Schwellen- und Industrieländern grüne Wachstumsstrategien, die an die individuellen Situationen angepasst werden können. Demzufolge müssen auch Indikatoren-Sets zur Messung grünen Wachstums nicht nur eine gewisse Flexibilität erlauben, sondern auch in der Lage sein, diese Diversität zu reflektieren.

Who is Ashton Carter?

DefenceIQ - mar, 09/12/2014 - 06:00
Ashton Carter: He’s got it in the bag President Obama has nominated Ashton Carter to be his new Secretary of Defense replac
Catégories: Defence`s Feeds

Patriot

Military-Today.com - mar, 09/12/2014 - 00:55

American Patriot Long-Range Air Defense Missile System
Catégories: Defence`s Feeds

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