Für jede der jährlich wechselnden G20-Präsidentschaften stellt das Treffen der Staats- und Regierungschefs den Höhepunkt des Arbeitsprogramms dar. Die Abwesenheit der Präsidenten der drei großen Nuklearmächte beim Gipfel in Johannesburg am 22. und 23. November bedroht allerdings die Relevanz des diesjährigen G20-Prozesses. Zugleich eröffnet das Fernbleiben der »Großen Drei« aber auch eine Chance, da ideologische und machtpolitische Gegensätze womöglich weniger stark ins Gewicht fallen.
Die Rolle der G20 unter südafrikanischer PräsidentschaftDie Gruppe der 20 (G20) ist eines der wichtigsten Foren auf internationaler Ebene, in denen führende Industrie- und Schwellenländer gemeinsame Antworten auf globale Herausforderungen erarbeiten. Sie vereint 19 Staaten sowie die Europäische Union und die Afrikanische Union und repräsentiert damit etwa zwei Drittel der Weltbevölkerung sowie 85 Prozent der globalen Wirtschaftsleistung. Während ursprünglich vor allem Wirtschaftsfragen im Vordergrund standen, umfasst die Agenda mittlerweile auch Themen wie Digitalisierung, Gesundheit, Umwelt- oder Entwicklungspolitik.
In diesem Jahr hat Südafrika den Vorsitz der G20 inne, 2026 werden es die USA sein. Zwar setzt jede Präsidentschaft eigene inhaltliche Schwerpunkte, die kontinuierliche Arbeit an Themen über mehrere Jahre hinweg verspricht jedoch größere politische Wirkung. Die drei vorangegangenen Präsidentschaften Indonesiens, Indiens und Brasiliens rückten die ökologischen, sozialen und ökonomischen Herausforderungen auf-strebender Schwellenländer in den Mittelpunkt. Südafrika knüpft unter dem Motto »Solidarität, Gleichheit und Nachhaltigkeit« daran an.
Für den diesjährigen Gipfel der Staats- und Regierungschefs zeichnet sich eine bei-spiellose Konstellation ab: Erwartbar war das Fernbleiben von Russlands Präsident Wladimir Putin. Gegen ihn liegt seit 2022 ein Haftbefehl des Internationalen Strafgerichtshofs aufgrund des Verdachts von Kriegsverbrechen in der Ukraine vor, der in Südafrika vollstreckt werden könnte. Eine gute Woche vor dem Gipfel sagte der chinesische Präsident Xi Jinping seine Teilnahme ab; er wird durch Ministerpräsident Li Qiang vertreten. US-Präsident Donald Trump hatte ursprünglich angekündigt, Vizepräsident JD Vance zu entsenden. Inzwischen vermeldete er jedoch, dass überhaupt kein Regierungsmitglied teilnehmen wird. Begründet wird dieser Boykott mit angeblichen Gräueltaten gegen Weiße in Südafrika, für die es keine Belege gibt. Trump hat sich aber auch kritisch über die inhaltlichen Prioritäten Südafrikas geäußert. Die für 2026 angekündigten Schwerpunkte der US-amerikanischen Präsidentschaft verdeutlichen den Bruch mit den Themen der vorhergehenden G20-Prozesse. Es soll vor allem um die Förderung konventionellen Wirtschaftswachstums und fossiler Energieträger gehen; eine sozial-, umwelt- oder entwicklungspolitische Flankierung ist nicht zu erwarten.
Folgen und Chancen der Abwesenheit der GroßmächteMit dem Fernbleiben der Spitzen der »Großen Drei« droht dem G20-Gipfel ein erheblicher Reputationsschaden, denn dies könnte in der politischen, medialen und öffentlichen Wahrnehmung als Bedeutungsverlust interpretiert werden. Gleichzeitig bietet sich jedoch eine Gelegenheit, globale Herausforderungen ohne die unmittelbare Prägung durch bestehende Großmachtkonflikte zu diskutieren. Die in Johannesburg versammelten Staats- und Regierungschefs sollten daher die Chance nutzen, um zentrale Zukunftsfragen der globalen Politik voranzubringen.
Das Programm der südafrikanischen Präsidentschaft bietet dafür eine Reihe von An-knüpfungspunkten: von wachsender Ungleichheit in und zwischen Staaten über die Herausforderungen einer nachhaltigen Transformation bis hin zur Stärkung von Global Governance. Deutschland sollte in seinem Selbstverständnis als verlässlicher Multilateralist dazu beitragen, dass diese Themen im Mittelpunkt des Gipfels stehen. Denn gerade unter Bedingungen von Multipolarität wird es wichtiger, Koalitionen mit Gleichgesinnten zu schmieden, wenn sich die Machtpole konstruktiver Zusammenarbeit entziehen.
Le gouvernement a autorisé ce mercredi 19 novembre 2025 en Conseil des ministres, des travaux d'entretien sur la section de route Échangeur Godomey-Akassato. Les travaux à réaliser tiennent compte également des contre-allées du carrefour Arconville à Akassato.
Bonne nouvelle pour les usagers de l'axe Echangeur Godomey-Akassato, dans la commune d'Aomey-Calavi. Des travaux d'entretien ont été autorisés ce mercredi 19 novembre 2025 en Conseil des ministres sur cet axe, longue de 15,640 Km. Les aménagements à réaliser tiennent compte également des contre-allées du carrefour Arconville à Akassato (5,300 km).
Ces travaux selon le communiqué du gouvernement, ont été autorisés en raison des dégradations superficielles de chaussée, et de l'état de la route qui ne serait plus compatible avec la densité de la circulation au niveau du carrefour Arconville à Akassato.
Au terme d'une évaluation, il est retenu dans un premier temps, le renouvellement de la couche de roulement avec un béton bitumineux pour l'adapter aux normes actuelles et favoriser le confort de circulation aux usagers, détaille le communiqué du gouvernement. Il précise qu'il sera procédé par la suite, à l'aménagement des contre-allées du carrefour Arconville à la sortie d'Akassato afin de réduire les accidents de la circulation tout en apportant une solution à la discontinuité du trafic local sur le tronçon Godomey-Allada. « Cet aménagement permettra la parfaite connexion avec la section Akassato-Allada, en cours de construction suivant le même schéma », renseigne le communiqué du gouvernement.
F. A. A.
Le gouvernement a approuvé, mercredi 19 novembre 2025, en Conseil des ministres, une nouvelle politique nationale de protection de l'enfant 2026-2035.
La nouvelle politique adoptée en Conseil des ministres fixe un cap jusqu'en 2035, avec une stratégie opérationnelle couvrant la période 2026-2030. Elle a pour objectif d' « accélérer les progrès vers la réalisation du droit de chaque enfant béninois à vivre à l'abri de la violence ».
Selon le Conseil des ministres, le précédent cadre est arrivé à son terme et « de nouvelles problématiques sont apparues ou se sont amplifiées ». Le gouvernement pointe notamment « la montée de l'extrémisme violent dans la sous-région et ses impacts sur les enfants ». Il évoque aussi « les défis liés à la protection des enfants dans l'environnement numérique » et « l'intensification des phénomènes migratoires impliquant des mineurs ».
Le gouvernement dit vouloir préserver les acquis enregistrés jusque-là. Mais il entend « les renforcer au regard de ce nouveau contexte », marqué par des risques accrus pour les mineurs.
Le document repose sur une approche « systémique, multisectorielle et ancrée dans les réalités locales ». Il ambitionne un système harmonisé, mobilisant familles, communautés et institutions.
La vision est explicitement formulée : « à l'horizon 2035, tous les enfants au Bénin, y compris ceux en situation d'urgence, grandissent dans un environnement familial, communautaire et institutionnel renforcé et protecteur contre toutes formes de violence, abus, exploitation et négligence dans un système de protection intégré ».
Le gouvernement a validé, mercredi 19 novembre 2025, l'organisation de nouvelles sessions de perfectionnement technique pour les artisans en 2025. L'annonce a été faite à l'issue du Conseil des ministres.
Les formations inscrites au volet renforcement des compétences du programme ARCH se poursuivent. Une nouvelle cohorte d'artisans bénéfiera de ces sessions après celles de 2023 et 2024 qui avaient « impacté respectivement 1.720 et 2.676 artisans ».
La nouvelle cohorte concernera « 1.273 autres » bénéficiaires, selon le Conseil desinistres du 19 novembre 2025. Les modules couvriront plusieurs métiers essentiels tels que « les énergies renouvelables photovoltaïques », « le froid et la climatisation », ainsi que la « transformation agroalimentaire ». S'ajoutent la « pâtisserie et boulangerie », la « plomberie », la « mécanique automobile » et la « transformation de lait de vache en fromage ».
Le gouvernement entend ainsi renforcer les compétences dans des domaines à forte demande. Il veut aussi améliorer la qualité des services offerts par les artisans, considérés comme un maillon essentiel du tissu économique.
Pour la mise en œuvre, le Conseil a donné son accord pour la « contractualisation avec divers centres de formation remplissant les conditions fixées ». Le ministre des Affaires sociales et de la Microfinance est chargé de « veiller au respect de leurs cahiers des charges ».
Mercredi 19 novembre, le Tribunal de l’UE a rejeté le recours du géant américain de l’e-commerce Amazon contre son assujettissement aux règles de l’Union européenne applicables aux grandes plateformes en ligne.
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Emmanuel Macron devrait ne pas se rendre à la Conférence de reconstitution du Fonds mondial de lutte contre le VIH, le paludisme et la tuberculose, qui doit se tenir le 21 novembre à Johannesburg, en marge du sommet du G20 en Afrique du Sud.
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