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Saudi Arabia’s Cruel Stranglehold

Foreign Policy - Thu, 21/05/2015 - 14:30
As the Yemen bombing campaign resumes, the wounded are piling up in Sanaa — but the hospitals are starved of supplies to staunch the bleeding.

Union européenne : Brexit* or not Brexit ?

Jeune Afrique / Politique - Thu, 21/05/2015 - 14:29
Apr�s son succ�s aux l�gislatives du 7 mai, David Cameron va devoir organiser l'an prochain un r�f�rendum sur l'�ventuel retrait de son pays de l'Union europ�enne. � partir de l�, tout est possible. M�me le pire. (*Contraction de British et d'exit - "sortie")
Categories: Afrique

Akademischer Dialog: Kommunale Selbstverwaltung und chinesische Experten

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 21/05/2015 - 14:28
Sechs Wissenschaftler der Hochschule des Zentralkomitees der Kommunistischen Partei Chinas informierten sich in München und Berlin über kommunale Selbstverwaltung.

Burundi : au moins deux manifestants tués par des tirs de la police à Bujumbura

Jeune Afrique / Politique - Thu, 21/05/2015 - 14:22
La police m�ne une op�ration muscl�e � Bujumbura pour reprendre le contr�le de certains quartiers, bastions des manifestants hostiles au pr�sident Pierre Nkurunziza. Le bilan de deux morts pourrait s'alourdir.
Categories: Afrique

Az Emberi Jogok Európai Bíróságához fordul az Erdélyi Református Egyházkerület a Mikó-ügyben

Erdély FM (Románia/Erdély) - Thu, 21/05/2015 - 14:17

Ma küldték el a beadványt, amelynek összeállításában francia jogászok is részt vettek. A beadványban többek között azt sérelmezik, hogy a nemrég lezárult perben, a kollégium visszaállamosításáról döntő bíróság nem vette figyelembe, hogy a polgári bíróságok korábban jogerősen kimondták, a Székely Mikó Kollégium az Erdélyi Református Egyházkerület tulajdona. Kató Bélát, az Erdélyi Református Egyházkerület püspökét hallják.

„A tulajdonjog sérelménél az áll fenn, hogy az államosítást elrendelő 1948. évi 176-os rendelet, amely alapján a Mikó Kollégiumot államosították, az államosítást a református egyházzal szemben rendelte el. Ha a református egyház megfelel mint tulajdonos akkor, amikor megvonják a tulajdonjogát, miért nem felel meg tulajdonosnak akkor, amikor az ingatlant vissza kell szolgáltatni?”

Kató Béla azt is megjegyezte, hogy a méltányosság és a tisztességes elbírálásmód elve is sérült a romániai jogorvoslatban. Az Erdélyi Református Egyházkerület püspöke szerint az ügy még éveken át elhúzódhat a strasbourgi bíróságon, de remélik, hogy az idősebb nemzedék is tanúja lehet az egyházi ingatlan visszaszolgáltatásának.

„Strasbourg nem ad vissza vagy vesz el ingatlanokat, de ha a döntése pozitív irányunkban, itthon kinyithatjuk a dossziét, és újrakezdhetjük a tárgyalást.”

- mondta Kató Béla püspök. Az Erdélyi Református Egyházkerület azért fordult jogorvoslatért a strasbourgi Európai Emberi Jogok Bíróságához, mert Romániában már nincs lehetősége fellebbezni a visszaállamosítási rendelet ellen.

Three Soyuz-2 Launch Pads to Be Built at Plesetsk Space Center by 2019

RIA Novosty / Russia - Thu, 21/05/2015 - 14:12
Three separate launch pads for Soyuz-2 rockets will be built at the Plesetsk space center in northwestern Russia after its renovation is over by 2019, a defense ministry spokesman said Thursday.






Categories: Russia & CIS

A Wizz Air Magyarországon nyitja meg 22. bázisát

JetFly - Thu, 21/05/2015 - 14:06
A Wizz Air, Közép- és Kelet-Európa legnagyobb diszkont légitársasága bejelentette, hogy 22. bázisát Magyarországon, Debrecenben nyitja meg december 16-án egy új Airbus A320 típusú repülőgéppel, valamint tovább bővíti debreceni útvonalhálózatát.
Categories: Biztonságpolitika

Sylvie Guillaume : "Le terme de quotas n'est absolument pas mentionné dans l'agenda sur les migrants"

Toute l'Europe - Thu, 21/05/2015 - 13:59
Après la présentation de l'agenda de la Commission européenne en matière de migration, Sylvie Guillaume, vice-présidente du Parlement européen revient sur les déclarations du gouvernement français à ce sujet. La députée européenne (S&D) fait le point sur les notions de quotas, de réfugiés et de demandeurs d'asile. "Je ne pense pas que la France soit opposée à la répartition des réfugiés dans l'Union européenne, cette position commence à s'affiner, et va dans le bon sens", explique Sylvie Guillaume.
Categories: Union européenne

Toute l'Europe en débat - Marché unique du numérique : quelle place pour les droits d'auteur ?

Toute l'Europe - Thu, 21/05/2015 - 13:57
Alors que les plus grands réalisateurs du monde entier sont réunis à Cannes, sur le tapis rouge du Parlement européen à Strasbourg le 7e art est également au menu des discussions de nos eurodéputés. Il y a quelques jours, la ministre de la Culture Fleur Pellerin et le Premier ministre Manuel Valls ont assisté à une rencontre à Cannes avec quelques députés européens en présence du commissaire européen chargé du Numérique qui vient de lancer une nouvelle stratégie sur marché unique du numérique. Au Parlement, le rapport de l’eurodéputée allemande Julia Reda, membre du Parti pirate a fait l’effet d’une bombe il y a quelques mois… A défaut de monter les marches, Toute l’Europe en débat vous propose une émission sur le cinéma et les droits d’auteur en Europe, en présence de Pervenche Berès (S&D) et de Constance Le Grip (PPE), membres de l'intergroupe sur les industries culturelles et créatives.
Categories: Union européenne

Asie centrale : la menace des néo-Taliban

IRIS - Thu, 21/05/2015 - 13:49

Les Taliban avaient promis leur « offensive de printemps » pour le 24 avril. En réalité, cette dernière a commencé dès le mois de mars, à un endroit où on ne l’attendait pas : le Nord de l’Afghanistan, seuil à majorité tadjiko-ouzbèke de l’Asie centrale, relativement épargné par la guerre jusqu’ici.

Est-ce l’indication d’un intérêt du mouvement insurrectionnel pour les islamistes centre-asiatiques qui, parfois, appellent son intervention ? L’état d’esprit des rebelles n’est pas si simple. Il apparaît en effet que les Taliban afghans seraient plutôt enclins à restreindre leur action à l’Afghanistan même, voire à négocier avec le gouvernement de Kaboul, « mais que les insurgés étrangers présents à leur côté ne leur permettront pas de participer aux négociations de paix » [1]. La forte connexion entre révoltés et trafic de drogues incite également à la projection du conflit vers l’Asie centrale.

Les néo-Taliban

Depuis 2013, l’arrivée de guérilleros étrangers dans les provinces du Nord, via le Nouristan et la Kunar, avait été remarquée, notamment du fait d’accrochages meurtriers avec les Gouvernementaux au Badakhshan. Le 19 mars 2015, nous avions signalé que « les islamistes du MIO (Mouvement islamique d’Ouzbékistan qui a fait allégeance à Daech), disposent dans le Badakhshan de près de 1000 guérilleros prêts à s’infiltrer vers le Ferghana, et de 2500 sur les confins turkmènes menaçant le gisement de gaz de Galkynych ». [2]

Ces premiers « étrangers » ont été renforcés, ces derniers mois, par différents groupes islamistes arrivés avec leur encadrement et, parfois, leurs familles « qui s’impliquent dans la propagande, la fabrication des explosifs et la préparation au combat » [3]. Taliban pakistanais du TTP (Tehreek-e-Taliban Pakistan), Ouzbeks, Tadjiks, Kazakhs, Ouighours, Turkmènes, de l’Asie centrale, mais aussi Arabes et Tchétchènes, ils seraient aujourd’hui plus de 5000 à s’adjoindre au noyau insurrectionnel originel composé de Pachtouns locaux, de trafiquants nord-afghans, mais aussi de Tadjiks : les « étrangers » apportent leur soutien mais aussi essayent, par la force s’il le faut, d’influencer les Taliban en imposant leur orientation et leurs méthodes, plus proches de l’Émirat islamique ou d’Al-Qaïda que des réalités afghanes [4]. Ainsi en est-il allé, semble-t-il, au Badakhshan où quelques escarmouches ont dénoté une résistance initiale aux arrivants.

D’où viennent-ils ? Selon Nourulhaq Ulumi, ministre de l’Intérieur afghan, « l’opération militaire pakistanaise dans la zone tribale du Waziristan a forcé les rebelles à se replier en Afghanistan. Ces derniers tentent maintenant de déplacer la guerre depuis le Sud du pays vers le Nord, ce qui représente une nouvelle pression pour les forces afghanes dans les régions septentrionales » [5]. En fait, la hiérarchie talibane semble avoir préféré éloigner ces redoutables trublions vers le Nord-afghan dans l’espoir de s’en débarrasser en direction de l’Asie centrale…

Les étrangers ou néo-Taliban, pour l’instant à peu près acceptés par les résistants locaux, se sont répartis dans les localités peu accessibles, voire les massifs montagneux [6] de l’intérieur des provinces, mais aussi à proximité du Pyandj (haut cours de l’Amou-Darya) et dans les régions les plus névralgiques : Badakhshan et Koundouz. Ils y font face aux routes tadjikes remontant vers Douchanbé et Bichkek (M 41) qui correspondent aux grands axes du trafic de drogue qu’il s’agit de maintenir. Ils sont aussi présents et actifs dans le Bagdis et surtout le Faryab, face aux gisements de gaz turkmènes et le long d’un autre circuit de la drogue. Un parlementaire de la région n’a-t-il pas déclaré, le 14 avril, au ministre de l’Intérieur : « Je tiens à vous dire que la province du Faryab n’est pas dans vos mains. 80% de son territoire est sous le contrôle des Taliban ». [7]
Fait totalement nouveau : toutes les autres provinces du Nord sans exception connaissent la présence de Taliban : des opérations de contre-insurrection y ont été menées en réponse aux actions terroristes de tout genre qui se sont multipliées de toutes parts ces derniers temps.

La nouvelle insurrection : un état de guerre d’un bord à l’autre du Nord-afghan

Le front ouest face au Turkménistan

Le 2 février, dans la province de Faryab, près de 1000 familles ont fui leurs maisons après qu’un civil a été tué et vingt autres blessés lors d’affrontements en cours dans le district de Qaisar. Trois villages de ce district tombent aux mains des insurgés le 9 avril « après d’intenses combats ». La province de Faryab et celle de Bagdis constituent sur la frontière turkmène un foyer d’agitation quasi permanent entretenu par les 2500 néo-Taliban qui y sont déployés à une centaine de kilomètres seulement du deuxième gisement gazier au monde, celui de Galkynych, approvisionnant notamment la Chine.

Le front central de Koundouz face au Tadjikistan du Sud et l’Ouzbékistan

Dès le 2 février, le gouverneur de la province de Koundouz, l’un des grands nœuds stratégiques de l’Asie centrale, a demandé que les militaires affrontent la présence d’éléments de Daech dans sa province. Le 14 mars, effectivement, l’armée afghane déploie à Koundouz une unité de 1000 hommes « destinés à opérer de nuit » : cela signifie qu’elle est composée de troupes spéciales suivies par les conseillers américains. La conjoncture n’en empire pas moins au point que le gouverneur menace, le 30 mars, de démissionner.
Le 27 avril, après un pourrissement de la situation, « de violents affrontements entre forces afghanes et Taliban font plus de trente morts autour de Koundouz et les insurgés menacent la capitale provinciale. A la suite de ces affrontements, plus de 1.800 familles se déplacent vers la ville de Koundouz » [8]. Le même jour, le chef du district d’Imam Sahib (au sud du Pyandj face à la frontière tadjike) annonce qu’il a perdu le contact avec 500 policiers engagés contre les Taliban.
2000 soldats afghans supplémentaires sont immédiatement déployés. L’armée de l’Air afghane apporte son soutien et l’aviation américaine intervient le 29 avril.
Ces violentes hostilités ont fait 154 victimes – dont trente étrangers – et 134 blessés parmi les rebelles, rien que dans la région de Koundouz. Dans ce premier combat d’envergure, l’Armée nationale afghane semble avoir bien tenu face aux Taliban.
Suivies d’une fragile rémission, ces opérations marquent certainement une pointe d’effort de la part des révoltés puisqu’elles s’étendent aussi aux provinces de Bagdis, Faryab, Djaozdjan, Balkh et surtout Badakhshan.

Le front oriental du Badakhshan face au Gorno-Badakhshan tadjik… et à la Chine

Les combats dans le Badakhshan ont aussi culminé fin avril mais ont été précédés par une action particulièrement violente, dès le 10 avril, à l’intérieur de la province. Près de 500 Taliban attaquent alors les postes militaires du district de Djourm, en conquérant une vingtaine. Trente-trois soldats afghans sont tués, quatorze pris en otage dont deux décapités. Vingt-sept insurgés, dont huit néo-Taliban, parmi lesquels sept seraient tadjiks, succombent.
Les combats reprennent le 27 avril et font dix-sept victimes parmi les Taliban, dont des étrangers. Mais la péripétie essentielle ce jour là concerne Ahmad Zia Massoud, frère cadet de feu Ahmad Shah Massoud et conseiller spécial du président Ghani : « Il échappe de justesse à une attaque à la roquette alors qu’il était en visite dans le district de Barak pour examiner la situation » [9].
Une prise de contrôle dans le Badakhshan (ou Pamir afghan) pourrait permettre aux Taliban de s’infiltrer dans le Pamir tadjik et le Wakhan, zones hautement stratégiques jouxtant la Chine. Elle leur donnerait aussi, outre des aéroports, le contrôle de l’amorce tadjike de l’axe M41 vers Och et le Ferghana, route importante, sinon essentielle du trafic de drogue.

La marge de manœuvre des néo-Taliban

L’énigme principale est de savoir si les « étrangers » néo-Taliban continueront de s’entendre peu ou prou avec les Taliban pachtouns, voire ouzbeks ou tadjiks qui combattent à leur côté. La communauté d’ethnies [10] et de religion (sunnisme rigoriste) aboutira peut-être à ce résultat.

Le trafic de drogue mené en commun pourrait aussi favoriser la cohésion. Les trafiquants ont besoin aussi bien d’une sécurisation des cultures que celle de la traversée du Pyandj et des itinéraires, notamment sur le territoire tadjik. Une guerre peut favoriser cette sécurisation mais aussi la compromettre, au moins dans un premier temps.

De l’autre côté du Pyandj-Amou Darya, les sympathisants des Taliban et néo-Taliban ne manquent pas, en particulier dans la jeunesse : ils sont surtout trafiquants au Turkménistan et Gorno-Badakhshan tadjik, plutôt religieux extrémistes et islamistes au Tadjikistan, Ouzbékistan, Kyrgyzstan, voire Kazakhstan du Sud et de l’Ouest. Leur aide à des guérilleros peut être considérable. Le recrutement de jeunes gens dans le cadre ou non d’une guerre civile semble assuré au Tadjikistan, Kyrgyzstan du Sud, Ferghana ouzbek et dans la région de Tchimkent, Tarass et Turkestan au Kazakhstan [11].

Avec le Turkestan oriental, ou Xinjiang, les filières terrestres sont beaucoup plus malaisées à installer, mais existent. Certaines, parfois liées à un trafic de drogues, transitent par le Wakhan, le Pamir, la vallée de Garm, le Nord-Pakistan, voire le Cachemire. Elles sont surveillées, notamment dans le Wakhan, par des postes militaires chinois installés sur le territoire tadjik. Il ne fait aucun doute qu’un début de guérilla islamique au Turkestan occidental (ex-soviétique) aurait un énorme retentissement au Turkestan oriental (Xinjiang), région turque la plus mûre avec le Tadjikistan indo-iranien pour une subversion islamiste. Mais le souvenir de la guerre civile sera un frein au Tadjikistan, tout comme l’isolement géographique en sera un autre au Xinjiang.

Néo-Taliban, voire Taliban, trafiquants et combattants de tout acabit auront de toute façon affaire à très forte partie au Nord de la frontière du Pyandj : la 201ème base militaire russe et ses 6000 soldats peut s’y déployer en 24 heures avec ses chars, canons et blindés, et mener une guerre classique [12]. Les gardes-frontières et l’armée tadjike sont en progrès mais ont des capacités moindres. En fait, comme c’est le cas actuellement dans le Donbass, une résistance expérimentée et assez solide pourrait surgir de toute l’ex-URSS de la part des afghantsi, anciens interventionnistes soviétiques en Afghanistan, adversaires redoutables, voici trente ans, des Moudjahidines… Par ailleurs, dans toute l’Asie centrale ex-soviétique, les apparatchiki (gens d’appareil), qui appartiennent surtout à une classe moyenne en plein essor proche de la civilisation russe, devraient organiser une riposte s’ils ne veulent pas perdre par une guerre civile leur mode de vie et les avantages acquis.

Mais le glissement possible vers une guerre islamique de toute l’Asie centrale ou d’une de ses parties nécessite une étincelle, le début d’un processus de désintégration. Ce pourrait être un problème de succession dû à l’effacement des vieux présidents Nazarbaev ou Karimov, une partition (celle du Sud) au Kyrgyzstan ou, tout simplement, une subversion narco-islamiste agencée par les néo-Taliban à partir du Nord afghan en direction du Tadjikistan, voire du Ferghana ouzbek, du Sud kyrgyz ou kazakh. Nous avions insisté en
2014 [13] sur l’importance à l’avenir pour l’Asie centrale de l’islam mafieux : le voici prêt à agir !

 

[1] Bulletin mensuel du CEREDAF n°328, 12/5/2015, p. 2. C’est le point de vue du Haut Conseil pour la paix du Badakhshan directement confronté aux Taliban.
[2] René Cagnat et Sergheï Massaoulov, « Entre Etats-Unis, Chine et Russie, l’enjeu eurasien », Observatoire stratégique de l’espace post-soviétique, IRIS, p.7. Galkynych, gisement de gaz turkmène, est le deuxième en importance au monde (voir ci-après p. 5).
[3] Bulletin du CEREDAF n° 328, p.9 (Tolo News 28/4). Ces groupes appartiennent à des mouvances très diverses ou djamoat ; citons les principales : outre le MIO ouzbek lié au Mouvement islamiste du Turkestan (surtout ouighour), le Djamoat Ansarullokh, surtout tadjik, le mouvement Salafia, le Djamoat Tablig et même le groupe Taliban, etc.
[4] Ibid, p. 2 (Pajhwok Afghan News 20/4).
[5] Ibid, p.6 (Khaama Press 14/04).
[6] On signale, le 30 avril, une opération dans la montagne Alborz de la province jusqu’ici assez calme de Balkh : une centaine de guérilleros s’y seraient réfugiés. (Tolo News, 30/4).
[7] RFELRL du 15/4
[8] Reuters 27/4.
[9] Bulletin du CEREDAF n° 328, p.8 (Khaama press, 27/4).
[10] Les « étrangers » ouzbeks, tadjiks, kirghizes, turkmènes, kazakhs, venus d’Asie centrale ont beaucoup en commun avec les représentants de ces nationalités, installés depuis des lustres en Afghanistan du Nord.
[11] Dans l’Emirat islamique combattraient actuellement 300 Tadjiks, 300 Kyrgyzs, 400 Ouzbeks et Ouighours, 200 Kazakhs, des Ouighours, Turkmènes et Caucasiens en nombre indéfini.
[12] L’effectif de cette grande unité – la plus importante implantation russe à l’étranger – en cours de modernisation pourrait atteindre 9 000 hommes en 2020.
[13] « Entre Chine, Russie et Islam, où va l’Asie centrale? », Diploweb, mai 2014.

Situation Report: Confusion in Iraq; the bin Laden data dump; losing the information war in the Mideast; and more

Foreign Policy - Thu, 21/05/2015 - 13:48
By Paul McLeary with Ariel Robinson Remember earlier this week when the New York Times and the Washington Post — going on information provided by unnamed U.S. officials — told us that the Islamic State used the cover of a sandstorm to avoid coalition airstrikes while taking Ramadi? It was a unique and fascinating narrative. ...

U.N. Announces Yemen Peace Talks as Ship Crisis Averted

Foreign Policy - Thu, 21/05/2015 - 13:34
U.N. Secretary General Ban Ki-moon announced that the United Nations will host peace talks on the conflict in Yemen in Geneva starting May 28. Unlike previous proposals to hold talks in Riyadh, diplomats will meet in a neutral city. The goal of the talks will be to “restore momentum towards a Yemeni-led political transition process,” ...

OSCE Programme Office supports event on public-private partnership in customs at VIII Astana Economic Forum

OSCE - Thu, 21/05/2015 - 13:30

ASTANA, 21 May 2015 – An OSCE-supported regional forum side event at the VIII Astana Economic Forum on developing a partnership between customs officials and the business community began today in Astana.

The two-day event is co-organised by the OSCE Programme Office in Astana with the State Revenue Committee of the Ministry of Finance, the World Customs Organization and the German Federal Enterprise on Co-operation (GIZ). It brought together over 130 leading international experts and high-ranking officials from the sphere of customs agencies as well as representatives of international organizations and foreign and local businesses. During the forum, participants will focus on the importance of interaction between the business sector and customs agencies by analysing the experience of co-operation as presented by national and international experts, inter alia, speakers from Moldova and the United Kingdom supported by the Programme Office who will share good practices.

“The government agencies’ activities should be maximally transparent with due account for international standards and aimed at improving public services and the elimination of administrative barriers for the further development of the overall investment climate in the country,” said Finance Minister Bakhyt Sultanov. “Today's forum is a logical continuation of this work and a further reflection of trust between Customs Service and the business community."

Deputy Co-ordinator of the OSCE Economic and Environmental Activities, Alexey Stukalo, said: “Transparency of customs regulations, wider use of Information and Communications Technologies, regular audits, the adoption and implementation of a code of conduct can decrease the risks of corruption, promote integrity and ethical values in the sphere of customs and make cross-border procedures friendlier for the business sector. These measures shall be combined with sound human resource management, motivation of staff and building customs-private sector partnerships through programmes such as Authorized Economic Operator / Trusted Trader."

The event is part of the Office’s joint activities to promote trade facilitation and good governance in Kazakhstan and the wider region.

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Categories: Central Europe

Article - Insolvabilité : accorder aux entreprises en difficultés une seconde chance

Parlement européen (Nouvelles) - Thu, 21/05/2015 - 13:23
Séance plénière : Chaque année en Europe, 1,7 million de personnes perdent leur emploi en raison d'une insolvabilité, c'est-à-dire lorsque l'entreprise ne peut plus faire face à ses obligations financières et risque d'être liquidée pour rembourser ses dettes. 400 000 de ces emplois perdus concernent des procédures transfrontalières. Les députés se sont penchés sur ces situations en adoptant mercredi des mesures pour couvrir le traitement de la faillite et prévoir des solutions avant l'insolvabilité.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
Categories: Union européenne

Top Chef version militaire

Le 7 mai dernier s’est déroulé au sein de l’Institut Paul Bocuse à Ecully (69) la finale du concours cuisine interarmées « Trident d’or ». Un événement haut en saveur organisé par le Service du commissariat des armées (SCA) en partenariat avec l’Economat des armées (EdA).
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Tensions Rise Ahead of Eastern Partnership Summit

RIA Novosty / Russia - Thu, 21/05/2015 - 13:22
European Union leaders are due to begin a tense summit on Thursday evening with their counterparts from Ukraine, Georgia, Moldova, Armenia, Azerbaijan and Belarus, 18 months after the last meeting triggered the crisis in Ukraine.






Categories: Russia & CIS

Elindult már az első zarándokvonat Magyarországról a csíksomlyói búcsúra

Erdély FM (Románia/Erdély) - Thu, 21/05/2015 - 13:18

A Boldogasszony zarándokvonat mintegy 800 utassal indult el reggel Budapestről, és a délután folyamán megáll Kolozsváron, majd este 6 óra 40 perckor befut Marosvásárhelyre, ahol Oláh Dénes főesperes köszönti a csíksomlyói búcsúba tartó zarándokokat. Az utasok este Gyergyószentmiklóson szállnak meg, holnap Gyimesbükkön, az ezeréves határnál lesz programjuk, szombaton pedig részt vesznek a csíksomlyói búcsún. A 4 napos zarándoklat a Gyergyószentmiklós főterén megrendezett szentmisével zárul, ezt követően a zarándokok hazautaznak Magyarországra. A Boldogasszony zarándokvonat mellett két másik vonattal is érkeznek zarándokok a búcsúra. A Csíksomlyó Expressz éjfélkor indul Szombathelyről, ehhez a járathoz holnap hajnalban hozzácsatolják a Székely Gyors szerelvényeit. A két járatot Össznemzeti zarándokvonatnak is nevezik, ezen mintegy 1000 utas érkezik a búcsúba, akiket Csíkszereda környéki falvakban szállásolnak el a zarándoklat idejére.

Christine Deslaurier : "Pierre Nkurunziza avait bien préparé ses arrières"

Jeune Afrique / Politique - Thu, 21/05/2015 - 13:17
Historienne � l'Institut de recherche pour le d�veloppement (IRD), rattach�e � l'Institut des mondes africains (IMAF), Christine Deslaurier, sp�cialiste du Burundi contemporain, a enqu�t� aupr�s de militaires issus des forces arm�es burundaises et de l'ex-r�bellion CNDD-FDD. Pour J.A., elle revient sur les lignes de force du putsch avort�.
Categories: Afrique

Közös rendezvényt szervez az RMDSZ és az MPP Marosvásárhelyen július 4-én, a nemzeti összetartozás napján

Erdély FM (Románia/Erdély) - Thu, 21/05/2015 - 13:16

Brassai Zsombor ma azt mondta, az esemény közös szervezése is azt igazolja, hogy erősödik Marosvásárhelyen a politikai összefogás. Az RMDSZ Maros megyei elnöke szerint nem lehet szó nélkül elmenni a magyarságot a történelem során és napjainkban ért igazságtalanságok mellett, ezekre a nemzeti összefogás a legjobb válasz.

„Ha Marosvásárhelyre gondolok, napjaink eseményeire, akkor nem tudok elmenni az aprónak tűnő csúsztatások révén történő igazságtalanságok mellett. Lásd az orvosi egyetemen történt eseményeket, ahol elvitatják az orvosi egyetemnek a magyar múltját, és a Mihály királynak emelt mellszobor is csak román nyelven tünteti fel az általuk egyetem-alapítónak nevezett fejedelmet. Sok más csúsztatás a kétnyelvűség kapcsán fogalmazódott meg az elmúlt időszakban.”

A nemzeti összetartozás napi rendezvényen részt vesz a Nemzeti Összetartozás Bizottság is, amelynek tagjait tájékoztatják a marosvásárhelyi magyarságot ért igazságtalanságokról. Az eseményre július 4-én kerül sor, a Maros Művészegyüttes előadótermében. Itt bemutatják a Maros Művészegyüttes Imádság Háború után első világháborús tematikájú előadását. Az eseményen való részvétel ingyenes. Július 4-ét 2010-ben nyilvánították a nemzeti összetartozás napjának. Az emléknap jelentőségéről Soós Zoltánt, a Maros Megyei Múzeum igazgatóját hallják.

„Július 4-nek a jelentősége az az 1920-as trianoni szerződés, aminek az elsődleges vesztese a magyar nemzet volt. A Trianon téma több mint 8 évtizedig egy tabutémának számított. Nagyon sok sérelem abból fakadt, hogy sosem volt megnyugtatóan tárgyalva. Ez egy elfojtott sérelem volt, ami a legrosszabb, emiatt nagyon pusztító is volt”

Soós Zoltán szerint ezért fontos, hogy 5 éve ünnepeljük a nemzeti összetartozás napját, amikor nyíltan lehet beszélni a történelmi esemény előzményeiről és következményeiről.

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