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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 months 6 days ago

Le PDAU d’Alger opérationnel dès la publication de son décret exécutif.

Sat, 03/12/2016 - 15:18

Embellissement de la capitale, fin de l’aménagement de la baie et les nouveaux centres urbain et la requalification de la périphérie de la wilaya d’Alger sont les grandes lignes du Plan directeur d’aménagement et d’urbanisme de la ville d’Alger (PDAU). Un plan, rapporte l’Agence de presse algérienne (APS) qui sera « opérationnel » dès la publication de son décret exécutif dans le journal officiel, signé récemment par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.

« Après la publication du décret exécutif du PDAU dans le Journal officiel, ce plan va redonner à Alger sa place méritée sur l’échiquier économique mondial ouvrant les opportunités d’investissements par des partenariats public-privé pour que le territoire devienne une ressource », a indiqué la direction de l’urbanisme de la wilaya d’Alger à l’APS.

Le nouveau PDAU, un véritable projet urbain?

Selon le directeur de l’urbanisme de la wilaya d’Alger, Mohamed Yazid Gaouaoui, cet instrument de gestion de l’espace dégage 82 projets structurants fonctionnant comme un levier du développement harmonieux et durable du territoire stimulant un processus effectif de régénération des centres urbain.

« Parmi ces projets figurent la protection de la zone humide de Réghaïa, l’aménagement du parc de Bainem, l’aménagement des berges d’El Harrach et la création de la ville de Sidi Abdellah », a-t-il dit.

Le PDAU comprend aussi l’aménagement « des terrasses du port, le grand aquarium d’Alger, la réhabilitation du centre historique et de la Casbah, la création de nouveaux pôles d’habitat intégrés, des écoles professionnelles, des piscines, figurent aussi parmi ses projets urbains », ajoute-t-on de même source.

M.Gaouaoui a relevé que ce PDAU a permis la réalisation de plusieurs opérations telles les opérations d’embellissements et d’aménagement d’Oued El Harrach et la promenade des Sablettes, ainsi que les aménagements des espaces verts et les axes routiers emblématique et aussi le relogement des habitants des bidonvilles et éradication de ces habitations précaires.

Le PDAU doit, à terme permettre aux habitants de la capitale, un déplacement aisé et un transport structuré et efficace.

la codification de l’utilisation de l’espace permettra surtout l’aménagement d’une grande ville polycentrique qui cherche à désengorger l’hypercentralité en la répartissant vers de nouveaux centres urbains structurés et structurants.

Ce PDAU comporte 27 projets structurants concernant l’habitat, la cohésion sociale et territoriale. Il comprend notamment le réseau routier fondamental appelé macro-maillage, le programme de réhabilitation du centre d’Alger et les différents pôles d’habitat intégrés, explique le responsable.

Un plan qui s’étale jusqu’à 2035

Les grandes étapes d’exécution du PDAU qui s’étale jusqu’à l’horizon 2035, sont définies comme suit:

La première étape qui a débuté en 2007 et s’étalera jusqu’à 2020 concerne l’embellissement de la capitale (plan stratégique du développement et d’embellissement de la wilaya d’Alger).

Entre 2020 et 2025 seront accomplis l’aménagement de la baie et les nouvelles polarités ou centralités urbaines.

Entre 2025 et 2030 l’accent sera mis sur la requalification de la périphérie c’est à dire la réalisation de la cohérence et l’équilibre urbain entre les 57 communes de la wilaya d’Alger.

Enfin entre 2030 et 2035 sera accomplie la consolidation de tout le territoire, c’est à dire l’achèvement du grand projet et la consolidation urbaine.

Categories: Afrique

DGSN: Six cent agents mobilisés pour le forum africain de l’investissement et des affaires.

Sat, 03/12/2016 - 15:13

La direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a mobilisé quelque 600 agents des différents services de police pour faciliter la circulation routière durant la tenue du forum africain de l’investissement et des affaires qui débutera samedi à Alger.

« Sur instruction du DGSN, M. Abdelghani Hamel, un plan spécial a été mis en place la veille de cet évènement et pas moins de 600 éléments ont été mobilisés pour faciliter le trafic routier durant la tenue de la rencontre », a indiqué vendredi le responsable de la cellule de communication de la DGSN, le commissaire divisionnaire Omar Laaroum.

Il a fait savoir que l’action des unités de police a été renforcée par des moyens technologiques à l’instar des caméra de surveillance fixes et mobiles à travers les patrouilles aéroportées de la sûreté nationale qui seront exploitées par les unités mobilisés sur le terrain en coordination avec le centre opérationnel de la sûreté de wilaya d’Alger pour assurer une haute fluidité du trafic routier, a-t-il expliqué.

Il a ajouté que toutes les mesures nécessaires ont été adoptées à partir de l’accueil au niveau de l’aéroport international Houari Boumediene pour faciliter l’accompagnement des délégations étrangères (2000 opérateurs économiques dont 600 étrangers) vers leur lieu de résidence.

La DGSN rappelle que son numéro vert 1548 et le 17 sur la ligne fixe étaient mis à la disposition des citoyens et de toutes les délégations nationales et étrangères qui prennent part à ce forum.

Categories: Afrique

Lamamra reçoit le nouvel ambassadeur de Namibie en Algérie.

Sat, 03/12/2016 - 15:08

Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a reçu, samedi à Alger, Mme Panduleni-Kiano Shigenge, qui lui a remis les copies figurées des lettres de créance l’accréditant en qualité d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République de Namibie auprès de la République algérienne, démocratique et populaire, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères. La Namibie a ouvert l’été dernier son ambassade à Alger, rappelle-t-on.

Lamamra reçoit le nouvel ambassadeur du Yémen en Algérie

Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a reçu, samedi à Alger, M. Ali Mohamed Aloui Abdullah El-Yazidi, qui lui a remis les copies figurées des lettres de créance l’accréditant en qualité d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République Yéménite auprès de la République algérienne, démocratique et populaire, indique un communiqué du ministère des Affaires  étrangères.

Categories: Afrique

Congrès de l’Union générale des travailleurs sahraouis: ouverture des travaux à Boudjedour.

Sat, 03/12/2016 - 15:06

Les travaux du 8e Congrès de l’Union générale des travailleurs sahraouis de Sakiet El-Hamra et ouad-Edhahab (UGTSARIO) ont débuté, samedi à Boudjedour (camps des réfugiés sahraouis), avec la participation de quelque 600 délégués représentant différents secteurs sahraouis et des syndicats étrangers.

Placé sous le slogan « la mobilisation de la main d’œuvre pour imposer la souveraineté totale », ce Congrès qui porte le nom du « martyr Ibrahim Saika » se veut comme une station historique dans la lutte des Sahraouis pour le recouvrement de leur droit à l’autodétermination et à l’indépendance, ont indiqué des responsables du syndicat sahraoui.

Les principaux objectifs de ces assises, selon le secrétaire général de l’Union, Mohamed Cheikh Lehabib, étaient de trouver les moyens de relever les défis rencontrés par les travailleurs sahraouis, tracer les stratégies de l’organisation pour les années à venir, mettre en place les plans d’action à même de promouvoir les travailleurs sahraouis, identifier les entraves à leur mise en œuvre et de lancer des initiatives en vue d’approfondir leurs acquis.

Au cours de ces assises, il est également question de l’élection d’une nouvelle instance dirigeante pour le syndicat pour les quatre années à venir.

Lors de la précédente édition du congrès, les congressistes avaient renouvelé leur confiance au secrétaire général de l’Union Mohamed Cheikh Lehabib, qui a été reconduit dans son poste pour un nouveau mandat.

Categories: Afrique

Déficit dans la collecte de lait à Ain Defla: les éleveurs mis en cause.

Sat, 03/12/2016 - 14:53

En dépit de son statut de « bassin laitier » de premier plan, Aïn Defla peine à développer cette filière en raison notamment du « faible taux » de collecte de ce produit stratégique, signalé depuis de nombreuses années, rapporte l’APS.

Selon la direction locale des services agricoles (DSA), seuls 8,81 millions de litres de lait ont été collectés en 2015, soit 13 % de la production réalisée (66,23 millions de litres), une situation on ne peut plus révélatrice du déficit enregistré dans ce domaine.

Au moment où la tutelle s’emploie à dynamiser la filière lait à la faveur notamment de mesures incitatives au profit des éleveurs, force est de constater que la faiblesse de la collecte empêche tout véritable « décollage » du secteur, exacerbant la tension sur ce produit de large consommation.

L’emprise » des maquignons

Faisant état de 7000 éleveurs bovins recensés sur le territoire de la wilaya, dont 100 agréés, le chargé des statistiques de la DSA de Aïn Defla a imputé la non collecte d’au moins 60 % de la production laitière de la wilaya à la « présence de nombreux maquignons au sein de cette corporation ».

« Il est clair que pour nombre d’éleveurs, seul l’aspect commercial des choses a droit de cité », soutient Amar Saâdi, affirmant que ces derniers s’empressent de vendre leurs cheptels à peine les premiers signes d' »essoufflement » apparus.

Plusieurs autres facteurs s’ajoutent à celui qui précède notamment ceux liés aux problèmes fonciers des éleveurs (9,3 %), à la vente directe aux crèmeries (6,2 %) et à la non livraison du lait aux centres de collecte pour des raisons liées aux traditions (3,1 %), a-t-il détaillé.

« Pour le lait, les choses se présentent évidemment de manière plus compliquée comparativement à d’autres créneaux tels que la pomme de terre », a-t-il observé, mettant en évidence l’importance des infrastructures de base, à l’instar notamment des bâtiments d’élevage.

Pour ce responsable, le « déclic » escompté ne pourra avoir lieu sans l’élargissement du partenariat public-privé (fermes pilotes et terre privées de l’Etat) dans le domaine de la réalisation d’étables modernes de grandes capacités.

Le « salut » pourrait également intervenir si, dans le cadre de l’investissement agro-industriel, la priorité est accordée aux opérateurs optant pour la production de l’aliment de bétail (maïs, luzerneà), a-t-il ajouté.

Absence d’aires d’élevage et cherté des aliments

Pour Abbas Boukira Mokhfi, un éleveur activant à Khémis Miliana, les problèmes dans lesquels se débat la filière y compris le volet lié à la collecte s’expliquent par l’absence de suivi des établissements agricoles collectifs (EAC) ayant bénéficié par le passé de vaches laitières.

En outre, la difficulté d’approvisionnement en aliments de bétail caractérisés par la cherté de leurs prix a contraint nombre d’éleveurs à vendre leurs vaches, a-t-il fait remarquer, relevant que cet état de fait a grandement influé sur la production.

Abordant le problème du foncier, il a noté qu’à l’exception des fermes pilotes, 90 % des éleveurs de la wilaya sont hors sols, c’est-à-dire qu’ils ne disposent pas de terrain pour s’adonner à leurs activités, affirmant que la cherté de la location (50 000 DA l’hectare parfois) fait dissuader les plus téméraires d’entre eux.

Pour cet éleveur averti (il a présidé aux destinées de l’association des éleveurs laitiers de la wilaya de Aïn Defla pendant plus de 20 ans), le litre de lait ne peut, dans les conditions actuelles, être cédé à moins de 70 DA, sachant que les charges de la même quantité (1 L) s’élèvent à 60 DA.

« Si je travaille à perte, comment pourrais-je remplacer une vache vieillissante ou accroître mon investissement ? », s’est-il interrogé, déplorant dans la foulée la suppression de l’aide (60 000 DA) accordée par le passé à l’élevage d’une génisse.

« Ce qui a été réalisé à Aïn Defla pour la pomme de terre (2ème position à l’échelle nationale en matière de production) peut l’être pour le lait pour peu que la filière soit optimisée en tous points de vue « , a-t-il assuré.

Categories: Afrique

La proposition de Mounia Meslem fait scandale dans la presse internationale.

Sat, 03/12/2016 - 14:50

Les propos de Mme Mounia Meslem, ministre de la solidarité nationale et de la condition féminine et néanmoins ancienne secrétaire générale de l’association féministe Rachda, sur les femmes-cadres qui doivent céder leurs salaires au trésor « car leurs maris pourvoient à leurs besoins » lui valent une soudaine renommée internationale mais pas en bien. Revue de presse.

Sa proposition de reverser les salaires des femmes mariées au trésor public fait scandale et pas qu’en Algérie. Les médias internationaux se sont vite fait l’écho de cette polémique. Sous le titre « En el Magreb, mujer contra mujer » (Dans le Maghreb, une femme combat la femme), le journal espagnol El Diario qualifie la déclaration de la ministre de « saugrenue ». Le journal n’omet pas de rappeler que « la ministre est un avocate de formation et une des fondatrices de l’association Rachda des droits des femmes ce qui accentuent la portée de ses déclarations »

Quant au grand journal El Pais, il souligne que cette controverse intervient à un mauvais moment. Pour l’auteur du papier, « la ministre ne pouvait pas plus mal choisir le moment de faire cette proposition qui coïncidait avec l’adoption au parlement algérien des augmentations de taxes auront un lourd impact sur les prix du carburant, l’électricité, l’eau et le gaz, entre autres produits ».

Les échos de la proposition de Meslem ne se sont pas limité à nos voisins européens. Le journal mexicain El Debate en a également parlé. Sous le titre « Polemica porpuesta de una ministra argelina » (la proposition controversée d’une ministre algérienne), le périodique mexicain souligne « l’énorme polémique suscitée par la proposition de Monia Meslem aux femmes mariées de renoncer à leurs salaires ».

La classant dans liste des personnalités en mauvaise posture, le journal espagnol el diraio de Cordoba, affirme que cette proposition est « le comble ».

Dans la presse française, le sujet n’a pas été boudé. Du journal Le Monde aux télévisions d’informations, chacun en a fait la lecture qui lui convenait. Sous le titre « En Algérie, une ministre appelle les femmes mariées à rendre leur salaire à l’Etat », Le Monde, note que « Mounia Meslem, qui a la charge de la solidarité nationale, considère que les femmes hauts fonctionnaires ont des maris pour…les entretenir ».

Le tollé provoqué par cette déclaration est également rapporté par le journal L’expresssous le titre « Algérie: la réflexion sexiste de la ministre de la Condition féminine passe mal ». Pour le journal, « Mounia Meslem, la ministre algérienne de la condition de la femme doit regretter amèrement ses propos ».

Quant aux sites RT, Russia Today, après avoir rapporté le tollé suscité par la proposition de Mme Meslem sur les réseaux sociaux, a rappelé que « en Algérie, ce n’est pas la première fois que la question du droit des femmes fait l’objet de polémiques ». Le site met, en exrgue les épisodes « de lycéennes non-voilées, qui auraient été refoulées à l’entrée de leur lycée le jour de la rentrée des classes » et la mise en garde de Amnesty International en septembre dernier « face à l’augmentation des violences faites aux femmes après la mort d’une Algérienne brûlée vive ».

La presse éditée en langue arabe a fait également sa lecture des déclaration de la ministre de la solidarité et de la condition féminine. Pour le site Iranien Al Alam, Mme Meslem n’a pas « mesuré la portée de ses propos ». Le site américain CNN en langue arabe relève le lexique utilisé par la ministre soulignant le terme « entretien » (Al Qawama) employé par la ministre de la condition féminine. Une déclaration considérée comme insultante pour les femmes algériennes relève encore le site qui note que des médias arabes, français et mexicains ont rapporté « cette affaire » qui coïncide avec « une hausse des taxes et une diminution des masses salariales ».

Categories: Afrique

« Condor Electronics » Partenaire Gold du Forum Africain d’investissements et d’affaires du 03 au 05 Décembre 2016 au Centre International des Conventions d’Alger.

Sat, 03/12/2016 - 14:38

Condor Electronics, le leader algérien des produits électroniques et technologiques annonce sa participation au premier forum africain d’investissements et d’affaires, du 03 au 05 Décembre 2016 au Centre International des Conventions d’Alger.

Cette manifestation économique réunira gouvernements, entreprises, institutions et médias africains pour le développement du potentiel économique du continent et contribuer ainsi, à l’élaboration d’un plan d’action pour l’intensification de la coopération économique intra-africaine.

Une opportunité que le géant algérien saisira, en tant que l’un des principaux sponsors de l’évènement, pour mettre en avant son savoir-faire affirmé sur le marché algérien mais surtout créer de nouveaux échanges, une démarche qui s’inscrit dans le cadre de sa stratégie d’internationalisation, déjà entamée dès le début de l’année en cours.

Avec un taux de croissance de près de 54 % du chiffre d’Affaire de 2014 à 2015 ; en 2016, Condor Electronics se place en position de leader sur le marché de l’électronique, du multimédias et de l’électroménager en Algérien brassant le chiffre d’affaire d’un milliard de Dollars à la fin de l’année en cours.

Après avoir acquis une grande expérience dans le secteur de l’électronique au niveau local, le leader Algérien aujourd’hui premier producteur africain en termes de quantités vendues, affirme avoir les connaissances, les moyens et les ambitions nécessaires au partage de son

savoir-faire avec les pays voisins ; une ambition logique, de par son appartenance continentale, mais aussi de par les échanges intra-africains, politiques et industriels qui ont toujours liés l’Algérie au reste des pays africains.

Dans son déploiement sur le continent africain et dans une stratégie axée en grande partie sur l’Afrique et le Maghreb, Condor Electronics marque le début de son expansion en 2016 par la pénétration du marché Mauritanien. En partenariat avec un distributeur local, l’acteur économique régional a lancé son premier Showroom au-delà des frontières Algériennes le 18 Novembre 2016, un choix judicieux, la Mauritanie étant la jonction du Maghreb et de l’Afrique de l’Ouest.

Les produits Condor sont aujourd’hui présents dans plusieurs pays africains, notamment le Sénégal, Le Mali, La Tanzanie et le Benin, une nouvelle ouverture de showroom est prévue en Tunisie très prochainement.

Condor Electronics exprime de grandes ambitions avec un objectif de 50% de chiffre d’affaire en provenance des exportations en 2022, trouvant dans les marchés extérieurs la même reconnaissance que celle acquise sur le marché algérien.

A l’occasion, Monsieur Reda HAMAI ; Directeur Général Adjoint chargé du développement à l’International a déclaré : « Nous avons aujourd’hui l’ambition de faire de Condor Electronics une marque internationale, nous sommes leader sur le marché Algérien et avons un savoir-faire affirmé dans le secteur de l’électronique, nos connaissances répondent à des besoins exprimés par les marchés voisins en produits mais aussi en emploi ou dans le secteur des énergies renouvelables».

Condor Electronics  est présente au côté d’autres filiales du  Groupe Benhamadi, qui vue l’importance de cette manifestation interafricaine, participe  avec   plusieurs de ces sociétés,  activant sur différents secteurs , notamment en agroalimentaire: GIPATES avec sa marque commerciale  EXTRA (Farine, Pates, Semoule et couscous) ; BORDJ STEEL: spécialisée en Charpente métallique, panneaux sandwich et galvanisation ; Condor DASAN: la filiale spécialisée en équipements réseaux et télécommunications ainsi que Condor SICPA , la nouvelle filiale spécialisée dans la traçabilité des produits pour la sécurité du consommateur et des produits nationaux.

Pour rappel, le Groupe BENHAMADI compte plusieurs filiales et plus de 14 000 employés. Un groupe qui a bâti son expansion sur une structure d’entreprise solide et une organisation humaine compétente,

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Congrès national du Mouvement populaire algérien : Benyounès dénonce la lenteur des réformes économiques et «l’incompétence» de certains responsables.

Sat, 03/12/2016 - 13:04

Les travaux du premier congrès national du Mouvement populaire algérien (MPA) ont débuté, hier, à Alger où le secrétaire général du parti, Amara Benyounès, n’a pas hésité à qualifier certains «responsables d’incompétents» qui sont à l’origine du blocage économique du pays.

Les congressistes ont dès le début des travaux plébiscité à main levée et à l’unanimité Amara Benyounès à la tête du parti pour un nouveau mandat. Le plébiscite a eu lieu en présence de plusieurs personnalités politiques, dont les secrétaires généraux du FLN et du RND, ainsi que d’autres formations politiques. Lors de son intervention, le patron du MPA, Amara Benyounès, a abordé plusieurs volets notamment politico-économiques où il s’est montré très virulent envers certains responsables.

En effet, Benyounes a eu des propos durs à l’adresse de certains cadres de l’Exécutif n’hésitant pas à les fustiger. Il a qualifié ces responsables, sans les nommer, « d’incompétents », accusant leur lenteur dans la mise en place de réformes économiques pour faire face à la gestion de la crise économique qui frappe le pays, soulignant que « ces derniers ont fait dans la manipulation et veulent conduire l’Algérie vers le chaos». L’ancien ministre veut aller très vite dans les réformes.

Il juge d’ailleurs assez long le rythme actuel dans la conduite de ces réformes, tout en réaffirmant son soutien au gouvernement actuel. «Aujourd’hui, ces réformes sont incontournables, il y va de notre souveraineté. Il faut réformer le secteur bancaire et le foncier industriel», souligne Amara Benyounes qui a appelé à la mise en place d’une économie de marché et à préparer avec «ardeur » l’environnement politique et économique, tout en plaidant pour des «débats constructifs». «Nous refusons les discours creux. Il faut des débats politiques et nous devons apporter des solutions aux problèmes que vit le pays sur tous les plans.

Il faut sortir avec un programme clair qui s’appuie sur des recommandations pertinentes», a-t-il estimé.
Abordant le secteur de l’éducation nationale, Amara Benyounes y a porté un regard très critique. Il dira que certains partis politiques « jouent la carte de l’avenir des enfants et exploitent la fibre émotionnelle des parents. Or, le véritable intérêt derrière tout ce manège est d’ordre politique et idéologique personnel». Pour lui, la recette miracle à proposer pour sauver l’école algérienne de la crise et du profond malaise est d’être ouverte sur le monde et qui surtout remplit sa première vocation : former une génération capable de relever les grands défis du savoir dont manque affreusement, aujourd’hui, l’Algérie, soulignant que cette «école doit être moderne et former des citoyens, des esprits libres et non des militants». A cet effet, il a adressé un message à l’opposition à laquelle il reproche d’avoir des visées et des intérêts souvent personnels sous prétexte de changement démocratique. «Ceux qui aspirent à occuper les postes de président de la République ou bien de responsables locaux n’ont qu’à attendre les élections de 2017 et 2019», a-t-il lancé.

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Béchar: Colère après la mort de deux employés de l’ENTP.

Sat, 03/12/2016 - 13:00

Naciri El Hachemi, un manœuvrier de 36 ans à l’Entreprise nationale des travaux aux puits (ENTP), est décédé dimanche dernier, victime de «négligence» et «d’exploitation» par son employeur. Il a été enterré vivant à plus de douze mètres de profondeur, lorsque les parois d’un puits de forage au niveau du chantier ENTP TP178, à Béchar, se sont effondrées.

Le lendemain, lundi, à minuit, le jeune Mhamdi Mohamed Saleh Ben Miloud, soudeur, âgé de 25 ans et originaire de la commune de Sedrata, dans la wilaya de Guelma, a subi une mort violente dans un accident survenu sur le chantier TP 226 à Hassi Messaoud. Selon le rapport de l’accident, portant la référence 05/16, dont nous détenons une copie, l’accident a eu lieu lors de l’opération de gerbage du BHA 6 – Bottom Hole Assembly, garniture et tubage d’un trou, quand la victime a été heurtée de plein fouet au niveau du thorax par la clé de forage.

Elle a été déclarée morte dès son arrivée à l’hôpital de Hassi Messaoud, rapporte le même rapport. Le défunt a été enterré le jour m ême à Sedrata. Ces deux accidents ont depuis enflammé les réseaux sociaux dans lesquels sont relayés des messages et témoignages de dénonciation des conditions de travail dans les chantiers pétroliers de l’ENTP, l’Enafor, l’ENTP Forage. Les internautes ont exprimé massivement leur colère face à la négligence et ce qu’ils qualifient «d’abus de pouvoir» de certains responsables et chefs de chantier accusés d’«exploitation inhumaine de simples manœuvriers», les «obligeant à exercer dans des conditions de travail dégradantes et dangereuses». D’ailleurs, des employés de l’ENTP ont appelé à travers les réseaux sociaux à une grève générale.

Ils ont menacé de paralyser leur entreprise si le chef de chantier TP178, responsable de ces accidents, n’est pas jugé. Tous les employés avec lesquels nous nous sommes entretenus ont évoqué avec amertume «les conditions lamentables» dans lesquelles ils travaillent et les risques qu’ils encourent à chaque opération effectuée. Le cas du jeune Naciri El Hachemi de Ouargla, orphelin de père, et seul responsable et soutien de sa famille, fait légion. Ce dernier a été forcé à descendre dans le puits malgré le danger, selon les témoins. Le tragique accident est survenu lorsque le chef de chantier a ordonné à la victime de descendre dans le puits et de récupérer une barre en fer tombée au fond.

Naciri a refusé catégoriquement de s’y engouffrer d’autant qu’un autre employé avait essayé mais dû remonter aussitôt pour des difficultés respiratoires suite à un début d’asphyxie dès les cinq mètres de profondeur. S’en est suivie une vive altercation à l’issue de laquelle le chef de chantier a insisté, obligeant le jeune à descendre et à récupérer la barre en fer, racontent ses collègues. Maintenu par une corde, le jeune est descendu dans le puits profond d’environ 12 mètres. C’est au moment où il a donné le signe pour le faire remonter que les parois du puits se sont effondrées, l’enterrant vivant.

«Il a fallu plus de 32 heures pour retrouver son cadavre», raconte un de ses proches, qui ajoute qu’«il a été dégagé mardi vers 5h du matin». La victime a été inhumée jeudi dernier. Selon des cadres de l’entreprise, il existe des moyens techniques et matériels pour retirer des barres ou tiges tombés dans un puits de forage, tels que les cloches ou les tarauds de repêchage. «Beaucoup d’employés dans cette société sont victimes de négligence et d’exploitation. Une enquête doit absolument être faite pour punir les coupables !», s’insurgent des employés rencontrés. A noter qu’aucun responsable n’a été présent sur le chantier au moment de l’accident, entre autres les chefs de projet et les spécialistes en HSE.

Il y a lieu de rappeler que des accidents graves ont été enregistrés en 2015 et ont coûté la vie à 3 employés, dont un chef de service mécanique, mort après avoir été écrasé par les fourches d’un Clark. Deux autres, dont un ingénieur, sont décédés suite à l’explosion dans un puits de pétrole, où s’affairait une équipe à son curage.

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Oran : 16 «harragas» interceptés au large des Andalouses

Sat, 03/12/2016 - 12:57

Seize candidats à l’émigration clandestine, «harragas», ont été interceptés hier vendredi, au large des Andalouses par les unités des gardes côtes d’Oran et de Beni-Saf, a-t-on appris auprès de ce corps de sécurité. Quatorze d’entre eux sont de nationalité algérienne, deux autres sont des ressortissants subsahariens.

Tous étaient à bord d’un pneumatique, une embarcation qui a été arraisonnée, à 8 heures du matin, à 4 milles, des Andalouses, par les gardes-côtes d’Oran et de Beni-Saf. Ces harragas qui s’apprêtaient à rejoindre les côtes espagnoles, profitant de la bonne météo, avaient pris la mer à 2 heures du matin à bord d’un pneumatique, à partir des côtes proches de Madagh.
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El Clásico sera l’affiche par excellence (16h15) : Camp Nou l’«atracción» du jour.

Sat, 03/12/2016 - 12:56

Barça – Real, c’est un match que les joueurs n’aiment jamais perdre. Une affiche que les amoureux de la balle ronde ne veulent aucunement rater. Peu importe le contexte ou le prétexte. Cet après-midi (16h15), les yeux seront rivés sur le New Camp. Balle au centre pour le 232e Clásico de l’histoire. Le 173e en Liga espagnole. Une rencontre qui n’est pas comme les autres. L’histoire, le prestige et la notoriété espagnols seront en jeu. Un seul mot sur les bouches: la victoire pour une opposition, comptant pour la 14e journée de Liga, qui cache tant d’enjeux.
Les années passent, les décennies défilent et les acteurs changent mais l’importance reste la même. Intacte pour le duel le plus salivant et l’affrontement le plus clinquant en termes de noms et de palmarès. Plus délicieuse que la Paella, tout autant « caliente » que la sauce Tabasco, l’opposition de cet après-midi est l’agape footballistique que tous les férus de la balle ronde aimeraient déguster.

Si parler du match dans le match entre Cristiano Ronaldo et Lionel Messi (tous les deux figurent dans le top 3 des buteurs historiques de ce classique), considérés comme les deux actuels meilleurs joueurs de la planète foot, est inévitable, pour le « Barça », la défaite peut déjà s’avérer irrémédiable. Les Madrilènes se rendent en Catalogne avec une avance de 6 longueurs qu’ils aimeraient certainement préserver à défaut de ne pas pouvoir la creuser plus. Toutefois, Zinedine Zidane, coach du Real Madrid, a évoqué l’enjeu de cette partie pas comme les autres au sortir du match de la Copa Del Rey mercredi Leonesa (6-1). « Nous sommes prêts pour le Clasico, nous allons affronter une grande équipe et nous verrons demain (jeudi).

Ce soir (mercredi), il faut surtout se reposer. Nous devons bien nous préparer pour le match, mais quoi qu’il arrive, il ne sera pas décisif », a minimisé l’ancien numéro 10 de l’équipe de France et ex-meneur de jeu du team de la capitale espagnole. Dans son subconscient et arithmétiquement, le résultat serait important. Surtout que le technicien Merengue et ses poulains qui restent sur une série de 31 rencontres sans défaite.

«Zizou» ne voudrait certainement pas voir la chaîne se briser à 3 pas du record d’invincibilité du club détenteur, d’égaler la meilleure série d’invincibilité de l’histoire du club, établie par l’entraîneur néerlandais Leo Beenhakker (1988-1989). Cela passera par un bon résultat, dans un stade où il s’était imposé avec ses ouailles le 2 avril dernier sur le score de 2 buts à 1, contre les « Blaugranas», qui se réjouissent du retour de blessure d’Andrès Iniesta.

En outre, depuis qu’il a été intronisé à la tête de la barre technique des « Los Blancos», Zidane n’a perdu aucun match à l’extérieur. Sacré perf’. Mais ce soir, il devra faire sans Gareth Bale, blessé et indisponible pour les 3 mois à venir. Le retour de Casemiro dans l’entre-jeu rassurera le coach et les fans du club tout comme la forme étincelante de Cristiano Ronaldo qui a retrouvé son niveau après un début de saison délicat. Le Portugais est l’actuel meilleur buteur en terre ibérique avec 10 réalisations en autant de rencontres.

Les buts, il y en a eu lors des 10 dernières explications toutes compétitions confondues entre les deux antagonistes du jour. Les filets ont tremblé par 36 reprises soit un average de 3,6 buts/match. Logiquement, le spectacle sera au rendez-vous sachant qu’il faut remonter au 23 novembre 2002 pour trouver le dernier score nul et vierge entre ces rivaux éternels. Espérons donc que la stérilité se tiendra encore loin de l’enceinte barcelonaise.

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Ouargla: Une nouvelle unité de stockage de produits agricoles bientôt opérationnelle à Sidi-Khouiled.

Sat, 03/12/2016 - 12:32

Une nouvelle unité de stockage de produits agricoles, d’une capacité de 4.000 m3, entrera bientôt en activité dans la daïra de Sidi-Khouiled (Est d’Ouargla), a-t-on appris auprès des services de la wilaya.

Fruit d’un investissement privé, ce projet contribuera à consolider les capacités locales en matière de stockage de produits agricoles, notamment les produits d’origine végétale (fruits et légumes), précise-t-on.
Réalisée sur une superficie totale de 2.500 m2 au niveau de la zone d’activités de la commune de Sidi-Khouiled, la nouvelle unité, composée d’une série de chambres froides dotées des installations et commodités requises, sera renforcée, dans la deuxième phase de projet, par une fabrique de conditionnement de produits agricoles, a-t-on fait savoir.

Cet investissement « ambitieux » générera, une fois opérationnel, environ 28 emplois directs, dont des administratifs, ouvriers et techniciens, en plus de nombreux emplois indirects, a-t-on ajouté.
Selon le directeur de wilaya de l’industrie et des mines (DIM), Abdelaziz Harrouz, la daïra de Sidi-Khouiled compte actuellement un total de 367 projets, répartis sur le territoire de la commune du chef-lieu (38 projets) et de celles de Hassi-Benabdallah (100) et Ain El-Beida (229).

Ces projets sont versés dans différents créneaux économiques, notamment l’industrie, l’industrie agro-alimentaire, la construction de matériaux de construction, l’habitat et la promotion immobilière, et le tourisme, a précisé M. Harrouz, ajoutant que la majorité de ces projets n’ont pas encore été mis en chantier.

Le DIM a fait savoir, en outre, que des mises en demeure ont été adressées aux bénéficiaires concernés au titre de l’opération d’assainissement des listes des bénéficiaires du foncier industriel, lancée au début de l’année en cours.

Le wali d’Ouargla, Abdekader Djellaoui, avait, lors d’une récente intervention concernant cette question, insisté sur l’importance de poursuivre l’opération d’assainissement pour récupérer l’assiette foncière non-exploitée et qui avait attribuée, entre 2011 et 2015, par l’ex-Comité d’assistance à la localisation et la promotion de l’investissement, et de la régularisation du foncier (Calpiref).

Au total, 1.596 hectares ont été octroyés par le Calpiref, durant la période précitée, pour réaliser 883 projets d’investissements dans les 21 communes que compte la wilaya d’Ouargla, totalisant un volume d’investissement estimé à plus de 251 milliards DA, sachant que le nombre de projets entrés en activité reste encore « faible », moins d’une vingtaine, comparativement aux facilités et avantages accordés par l’Etat aux investisseurs, signale-t-on à la DIM.

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Louiza Hanoune appelle les jeunes à participer à l’activité politique pour opérer un changement positif.

Sat, 03/12/2016 - 12:27

La secrétaire générale du parti des travailleurs Louiza Hanoune a appelé vendredi à Alger, les jeunes à participer fortement à l’activité politique pour défendre leurs droits et contribuer à un changement positif de la société.

Les jeunes doivent être associés aux différentes activités politiques et celles liées au développement pour qu’ils puissent être en mesure de défendre leurs droits légitimes et préserver l’unité nationale et les principes républicains et démocratiques, a estimé la responsable du PT lors d’une rencontre organisée par la coordination nationale de l’organisation des jeunes pour la révolution en préparation de son congrès national ordinaire prévu les 23 et 24 décembre.

Selon Mme Hanoune, il s’agira notamment de multiplier les initiatives et les campagnes de sensibilisation pour rechercher des solutions communes qui permettent de conforter la cohésion sociale et de relever les défis qui se posent à l’Algérie dans le contexte de recul des prix de pétrole.

Elle a souligné la nécessité d’élections législatives propres et honnêtes sans manipulation des listes électorale et en totale rupture avec les erreurs du passé.

Mme Hanoune a également mis en avant l’impératif de lutter contre la corruption, de soutenir les investissements nationaux, de remédier aux difficultés financières que vivent plusieurs communes pauvres ainsi et de combattre le chômage parmi les jeunes diplômés des universités notamment.

L’amélioration du niveau d’enseignement universitaire et la protection des droits des étudiants et des enseignants figurent parmi les nécessités soulignées par Mme Hanoune qui a insisté sur la lutte contre la pauvreté, la préservation du pouvoir d’achat, la lutte contre le terrorisme, le soutien aux entreprises publiques et la protection des acquis des travailleurs.

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M. Bah Keita représentant de l’OMS en Algérie : «L’Algérie leader dans le Maghreb et la région Mena».

Sat, 03/12/2016 - 12:25

En marge de la cérémonie de la célébration de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, le 1er  décembre, le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en Algérie, Bah Keita a déclaré que «l’Algérie au plan politique a été l’un des tous premier pays a avoir assuré la prise en charge de l’ensemble des malades porteurs du VIH sida et c’est un engagement très fort.» Et d’ajouter : «les résultats qui nous ont été présentés ont montré en tout ce qui concerne le dépistage, la réduction du taux d’infection, en termes de couverture d’ensemble des malades porteur de VIH, que l’Algérie au niveau des pays du Maghreb et région Mena est celui qui a fait des progrès, les plus remarquables.»

M. Keita a expliqué que «maintenant des efforts sont en train de se faire et il faut les booster pour que la transmission du VIH de la mère à l’enfant puisse être consolidée et étendue à l’ensemble du territoire.»

Selon lui, les défis sont de deux ordres : de un, comment faire en sorte que les personnes les plus vulnérables qui constituent en faite l’épicentre de la maladie, à savoir les professionnels du sexe, les relations homosexuelles masculines et les personnes utilisant des stupéfiants par voies ultra-veineuses, ce sont ces groupes à risque qui concentrent l’essentiel de l’épidémie ne soient pas stigmatisées et de deux  puissent avoir un accès aux médicaments.

«C’est ça le défi que nous devrions relever avec le ministère de la Santé, autres ministères sectoriels, les agences des nations unies mais aussi le monde associatifs. Tous ces efforts conjugués nous permettra de mettre fin à l’épidémie du VIH en Algérie d’ici 2030», a indiqué M. Keita.

En ce qui concerne la transmission mère enfant, le représentant de l’OMS en Algérie a déclaré que «le nombre de centre créés de 2013 à 2016 a été multiplié par deux. C’est bien, mais des efforts supplémentaires qui doivent être faits. On doit démultiplier ce type de centre qui permettent d’offrir aux femmes enceintes cette possibilité de pouvoir se tester et éventuellement, s’il y’a une positivé de pouvoir mettre leur enfant sous traitement antirétroviral pour que cet enfant ne puisse pas être infecté.»

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8e festival culturel international de musique symphonique : Des hommages et du Mozart “algérianisé” en ouverture.

Sat, 03/12/2016 - 10:43

Cette 8e édition du Festival culturel international de musique symphonique a un goût spécial. Un goût du raffiné rehaussé par le fait qu’il se tienne dans ce bel édifice nouvellement construit : l’Opéra d’Alger, baptisé au nom de l’illustre homme de culture, le défunt Boualem Bessaïh. Nombreux étaient les présents en cette somptueuse soirée inaugurale, le 30 novembre, qui a fait vibrer les murs de l’enceinte.

Des vibrations symphoniques certes, mais aussi de l’émotion et des hommages. Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, a d’abord tenu en ouverture à rendre hommage et à présenter ses condoléances suite au décès du chantre de la musique chaâbi, le regretté Amar Ezzahi qui vient de nous quitter mercredi dernier, et à demander également une pensée pour le défunt président ami de l’Algérie Fidel Castro.

Cette 8e édition  s’est voulue aussi dédiée à des artistes de talent qui ont marqué de leur empreinte la musique aussi bien en Algérie que dans le monde. Il s’agit de Tayssir Akla, compositeur syrien ayant vécu longtemps en Algérie et dirigé l’orchestre de la Radio algérienne dans les années 70, Mahboub Bati, Ennio Morricone et Miriam Makeba, d’illustres noms que l’histoire mémorisera à jamais.

Qui de nous ne connaît pas ou ne chantonne pas Thawrat el Ahrar, Ah ya entya, Ana hourra fil Jazaïr, Hakmet ; qui pourrait oublier la musique du générique du film culte La Bataille d’Alger qui nous a marqués tous et continue. Les talentueux musiciens de l’orchestre symphonique ont excellé dans l’interprétation de ces morceaux, arrangés par H. Bouifrou, pour s’attaquer ensuite à la musique du virtuose Mozart en jouant à merveille Les Noces de Figaro, La flute enchantée, Don Gionvanni, puis Veuve Joyeuse de Lehar, Orphée aux enfers d’Offenbach, Les Préludes de Liszt, somptueusement interprétés par la voix majestueuse de la Soprano algérienne Amel Brahim-Djelloul au summum de sa prestance et de sa grâce, en duo, avec l’artiste français, non moins talentueux, Thomas Dolié, un baryton à la carrière prometteuse.

Un duo de choc qui a ému l’assistance captivée par le talent de ces jeunes artistes guidés d’une main de maître, celle du maestro Amine Kouider, qui n’est plus à présenter et dont les capacités artistiques et la baguette “magique” ont atteint la notoriété mondiale. Une baguette on ne peut plus magique puisqu’elle a fait de Mozart un artiste “algérien”, un musicien arabe, en lui rajoutant des instruments nouveaux et en tintant sa 40e symphonie de sons algériens et de musicalité orientale. “D’habitude, dira le chef d’orchestre Amine Kouider, on joue des morceaux algériens auxquels on donne une touche classique, cette fois-ci, on fera l’inverse : on algérianise le classique, que Mozart ait pitié de nous du fond de sa tombe…” Hacène Benalioua Belkacem au ud et Ryad Boualem au luth ont été pour beaucoup dans cette belle prouesse réussie qui les a fait mériter un trophée et de longs applaudissements du public, ainsi que les deux interprètes et chef d’orchestre, également récompensés pour cette belle soirée.

Une soirée, en somme, qui a prouvé une fois de plus que la musique est universelle, que les sonorités peuvent être plurielles, mais que leur influence reste éternelle. A noter que le festival se poursuit jusqu’à demain, les tickets sont disponibles à l’Institut de musique d’Alger, et à l’Opéra (prix 300 DA).

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Réglementation du marché des devises: Sellal annonce la relance des bureaux de change.

Sat, 03/12/2016 - 10:38

Le Premier ministre a annoncé que le Conseil de la monnaie et du crédit vient de fixer de manière claire le statut de ces bureaux, leurs prérogatives, tout en élargissant leur intervention en matière d’opérations de change.

Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a relancé, jeudi dernier, la Banque d’Algérie (BA) pour passer à l’action pour instituer les bureaux de change afin d’organiser le marché des devises. Un marché totalement livré aux filières de l’informel. Dans sa réponse — lue en son nom par la ministre chargée des Relations avec le Parlement — à une question orale d’un député, Sellal a rappelé que la Banque d’Algérie a pris des mesures réglementaires visant à organiser le marché de change des devises et à la création de bureaux, et ce, conformément à la loi 95-08 de la Banque centrale, relative au marché de change et en vertu duquel a été créé le marché interbancaire où interviennent les institutions financières, les banques et les médiateurs agréés chargés de fixer les tarifs de change.

Mettant en avant “le rôle primordial” de la Banque d’Algérie, M. Sellal a précisé que cette démarche vise “à orienter et contrôler les opérations de répartition des crédits et à gérer les engagements financiers vis-à-vis de l’étranger en sus de la régulation du marché de change dans le but de réunir les meilleures conditions à une croissance rapide de l’économie et la réalisation de la stabilité monétaire aux plans interne et externe”.

À ce propos, le débat, relancé en avril dernier à l’APN, s’est soldé par un échec cuisant sur la nécessité de rouvrir les bureaux de change en Algérie pour combattre l’informel et renflouer les caisses de l’État en devises.

Pour cause, les personnes physiques et morales intéressées par ces bureaux refusent de s’impliquer à cause de la marge bénéficiaire fixée à seulement 1% par la Banque d’Algérie. D’ailleurs, sur les 46 agréments accordés, au milieu des années 1990, pour ouvrir des bureaux de change, 40 ont été retirés, dont 13 sur demande des bénéficiaires, et 27 autres ont été annulés. Résultats : des milliers de cambistes ont investi le marché informel et décident d’eux-mêmes des taux de change au détriment de l’économie nationale.

M. Sellal reconnaîtra, d’ailleurs, que “le manque d’intérêt des investisseurs quant à la création des bureaux de change s’expliquait, en premier lieu, par la petite marge bénéficiaire, notamment à la lumière du recul de l’offre de la devise forte par les non-résidents, en raison de la baisse du volume de l’activité touristique du pays”.
Pour faire face à cette situation, le Premier ministre a annoncé qu’une nouvelle démarche du Conseil de la monnaie et du crédit “a permis de fixer de manière claire le statut de ces bureaux, leurs prérogatives, tout en élargissant leur intervention en matière d’opérations de change”. Sur un autre plan, M. Sellal a affirmé devant les députés que “le système de convertibilité du dinar actuel a été mis en place de manière progressive en veillant à l’évolution de la situation financière extérieure du pays et, en particulier, la balance des paiements externes”.

Aussi, les opérations de convertibilité du dinar pour ce qui est des allocations à l’éducation, la santé et les voyages au profit des familles sont également assujetties, selon M. Sellal, “à la situation de la balance des paiements externes”. Et de conclure que l’Algérie a, récemment, adopté les dispositions de l’article 8 du statut du Fonds monétaire international en finalisant la convertibilité en cours du dinar.

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De grands pas ont été franchis dans la préservation de la stabilité de l’Algérie et de la Tunisie (Sellal)

Tue, 29/11/2016 - 16:23

Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a affirmé mardi à Tunis que l’Algérie et la Tunisie avaient franchi de « grands pas » dans la préservation de leur stabilité sous la « direction éclairée » des présidents des deux pays.

« L’Algérie et la Tunisie ont franchi de grands pas dans la préservation de la stabilité sous la direction éclairée des présidents des deux pays, une fierté pour nous », a déclaré M. Sellal à l’issue de l’audience que lui a accordée le président tunisien Béji Caïd Essebsi.

Représentant le président de la République Abdelaziz Bouteflika aux travaux de la conférence internationale sur l’investissement en Tunisie, le premier ministre a indiqué qu’il était porteur d’un message « d’espoir et de paix » exprimant son souhait de voir cette rencontre sanctionnée par des résultats positifs.

Le Premier ministre Abdelmalek Sellal est arrivé mardi matin à Tunis accompagné du ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, et du ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslem Bouchouareb.

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Sellal s’entretient à Tunis avec Manuel Valls

Tue, 29/11/2016 - 16:21

Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a eu un entretien mardi à Tunis avec son homologue français Manuel Valls. Cette rencontre, tenue à la demande de M. Valls, a eu lieu en marge de la conférence internationale sur l’investissement en Tunisie « Tunisia 2020 » qui regroupe mardi et mercredi plus de 2.000 participants d’une quarantaine de pays. Les discussions entre MM. Sellal et Valls se sont déroulées en présence, notamment du ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, et du ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslem Bouchouareb. Cette rencontre a permis d’aborder les relations bilatérales et les questions d’intérêt commun.

Sellal reçu à Tunis par l’émir du Qatar

Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a été reçu mardi à Tunis par l’émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani. L’audience s’est tenue en marge de la conférence internationale sur l’investissement en Tunisie « Tunisia 2020 » qui regroupe mardi et mercredi plus de 2.000 participants d’une quarantaine de pays. Les discussions entre M. Sellal et l’émir du Qatar se sont déroulées en présence du ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, et du ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslem Bouchouareb.

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Bouira: Des peines de 10 et 8 ans de prison ferme pour deux trafiquants

Tue, 29/11/2016 - 16:11

Poursuivant ses travaux, la cour de Bouira a eu à traiter, avant-hier dans sa session criminelle, de l’affaire d’un réseau de trafiquants de faux billets et de faux documents, ainsi que de vols de véhicules, dont le principal accusé a été arrêté en 2015 par la Gendarmerie nationale au niveau de l’autoroute près de Djebbahia, après le signalement d’un véhicule volé dont il était à bord.

L’affaire remonte à 2015, lorsque après plusieurs plaintes contre des vols de véhicules dans la région de Blida, la Gendarmerie nationale a arrêté un citoyen à bord d’un véhicule volé, qui venait de lui être signalé, dans la localité de Djebbahia sur l’autoroute Est-Ouest.

Le suspect qui s’avérera être un des trafiquants qui faisait partie d’un réseau qui s’étendait jusqu’à Blida, ne tardera pas à passer aux aveux et à dévoiler son identité et l’identité de ses deux complices, qui seront arrêtés à leur tour lors de la perquisition d’un logement loué dans la localité de Blida et dans lequel des micro-ordinateurs, plusieurs cartes grises contrefaites et des fausses pièces d’identité, ainsi qu’une somme importante de faux billets de banque, à savoir 91 millions centimes en faux billets de 2 000 dinars et 14 millions centimes en faux billets de 1 000 dinars, ont été saisis.

Lors de leur audition, le principal accusé, le dénommé K. B. M. a avoué avoir utilisé l’imprimerie de son père pour le tirage de ces faux billets, ainsi que les cartes grises et les pièces d’identité, alors que ses deux complices, les dénommés R. A. et A. M. s’occupaient, dans la maison louée, de la confection avec un logiciel de fausses identités et de fausses cartes grises pour les véhicules volés et dont les victimes sont souvent les agents de location de véhicules chez lesquels ils louent le véhicule pour prendre la copie de la carte grise ainsi que le double des clés, avant de les restituer et d’attendre qu’une autre personne loue ce véhicule pour le voler pendant la nuit, changer d’immatriculation et de carte grise préparée d’avance, et l’écouler tranquillement et rapidement sur la marché. Au total, onze véhicules ont été volés et écoulés de cette manière avec de faux documents.

Ce dimanche, lors du procès qui a duré plus de 10 heures, les deux principaux accusés, K. B. M. et R. A., ont essayé de nier les faits retenus contre eux, mais les témoins qui étaient appelés à la barre, le matériel saisi dans la maison louée par le deuxième accusé, ainsi que les faux documents retrouvés sur place et les fausses identités retrouvées dans la mémoire, ont plaidé contre eux, alors que le troisième, A. M. qui a été interpellé dans la maison louée au moment de la perquisition, en compagnie d’une fille, a avoué n’être au courant de rien sur les manigances de ses deux compagnons.

Lors des délibérations, alors que le procureur avait requis la perpétuité pour les trois prévenus, les deux principaux accusés, poursuivis pour des délits d’association de malfaiteurs, trafic de fausse monnaie, faux et usage de faux, vol et abus de confiance, ont été jugés coupables et condamnés à des peines de 10 ans de réclusion criminelle et 100 millions d’amende pour le dénommé K. B. M., dont le père, propriétaire de l’imprimerie, appelé à la barre a avoué n’être pas au courant des agissements de son fils, 8 ans de prison et 100 millions d’amende pour son complice, le dénommé R. A., alors que le troisième, le dénommé A. M., a été finalement acquitté.

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El Tarf: Arrestation d’une bande de malfaiteurs spécialisée dans le casse de locaux commerciaux

Tue, 29/11/2016 - 16:07

Les éléments de la police judiciaire ont réussi, avant-hier, un coup de filet magistral, en appréhendant une bande de criminels composée de 4 membres et spécialisée dans le casse de locaux commerciaux, à la faveur de la nuit, est-il indiqué dans un communiqué de presse émanant de la cellule de communication, relevant de la Sûreté de wilaya.

C’est suite à une plainte déposée par un commerçant sur le vol de son magasin de vente d’articles d’habillement dans le prêt-à-porter, sis au centre-ville d’El Tarf, que la brigade de la police judiciaire s’est déplacée sur les lieux. En utilisant le système de reconnaissance électronique des empreintes digitales (AFIS), elle a pu en un temps record déterminer avec exactitude les identités des auteurs de ce forfait.

Les 4 membres de la bande, âgés entre 20 et 30 ans et originaires d’El Tarf et d’Annaba, ont été arrêtés au cours de la même journée. En perquisitionnant leurs domiciles respectifs, les policiers ont pu récupérer les marchandises dérobées dont la valeur avoisine les 700 millions de centimes ainsi qu’un téléviseur et un terminal de jeux «XbOX».
Il est à signaler que de fil en aiguille, les policiers ont pu déterminer que 4 vols classés contre X qui se sont produits dans la ville d’El Tarf, il y a de cela plusieurs mois, sont aussi l’œuvre de la même bande.

Présentés devant le procureur près le tribunal d’El Tarf, pour les griefs de constitution d’une bande de malfaiteurs dans le dessein de commettre un délit, de vols durant la nuit et effraction en usant d’un véhicule, deux des membres de ladite bande ont été écroués alors que les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire.

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