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US Navy to commission newest Freedom-variant LCS, USS Milwaukee

Naval Technology - Fri, 20/11/2015 - 01:00
The US Navy is set to commission its newest Freedom-class littoral combat ship, USS Milwaukee (LCS 5), on 21 November at Veterans Park on Milwaukee’s waterfront.

South Korea seeks $110m sale of UGM-84L Harpoon Block II missiles from US

Naval Technology - Fri, 20/11/2015 - 01:00
The US Defense Security Cooperation Agency has notified Congress about a potential $110m foreign military sale (FMS) of UGM-84L Harpoon Block II missiles to the Republic of Korea (ROK).

US deploys AV-8B Harrier jets to support fight against ISIL

Naval Technology - Fri, 20/11/2015 - 01:00
The US has deployed AV-8B Harriers fighter jets to support Operation Inherent Resolve (OIR) in its fight against the terrorist group Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) in Iraq.

UK MoD awards £1.3bn contract to build Royal Navy’s fifth Astute submarine

Naval Technology - Fri, 20/11/2015 - 01:00
The UK Ministry of Defence (MoD) has awarded a £1.3bn contract to BAE Systems to build the fifth Astute-class attack submarine, Anson, for the Royal Navy.

USS Ronald Reagan CSG and JMSDF begin Annual Exercise 16

Naval Technology - Thu, 19/11/2015 - 01:00
The US Navy's Nimitz-class nuclear-powered supercarrier USS Ronald Reagan (CVN-76) Carrier Strike Group (RRCSG) has kicked off Annual Exercise 16 (AE16) with the Japan Maritime Self-Defense Force (JMSDF).

EMALS – launching aircraft with the power of the railgun

Naval Technology - Thu, 19/11/2015 - 01:00
The Electromagnetic Aircraft Launch System (EMALS) is a megawatt electric power system under development by General Atomics to replace the steam-driven catapults installed on US Navy aircraft carriers. A new contract will see EMALS launch jet fighter…

Construction begins on US Navy’s Arleigh Burke-class Thomas Hudner (DDG 116) destroyer

Naval Technology - Thu, 19/11/2015 - 01:00
Construction on the US Navy's future Arleigh Burke-class guided-missile destroyer Thomas Hudner (DDG 116) has started with a keel laying ceremony held at General Dynamics' Bath Iron Works shipyard, Maine, US.

HMS Defender to support French aircraft carrier in fight against ISIL

Naval Technology - Thu, 19/11/2015 - 01:00
The UK Royal Navy's Daring-class Type 45 destroyer, the HMS Defender, is set to provide air defence cover support for French aircraft carrier Charles de Gaulle, in the fight against the Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL).

Raytheon delivers modular scalable sonar system for DARPA’s ACTUV programme

Naval Technology - Thu, 19/11/2015 - 01:00
Raytheon has delivered its fifth-generation hull-mounted modular scalable sonar system (MS3), developed for the Defense Advanced Research Projects Agency's (DARPA) anti-submarine warfare continuous trail unmanned vessel (ACTUV) programme.

Dans l'Opinion : Autant d'effectifs dans la sécurité privée que dans la Police

Blog Secret Défense - Wed, 18/11/2015 - 18:50
Milipol, le salon international de la sécurité intérieure, se tient du 17 au 20 novembre à Paris Nord Villepinte. 

En 24 heures, une clarification stratégique sur 4 points fondamentaux. La fin d’une inconséquence

Bruxelles2 Blog - Wed, 18/11/2015 - 18:40

La Russie devient un allié. Un rapprochement engagé lors des discussions entre Obama et Poutine à Antalya (Crédit : Maison Blanche)

(B2) Jusqu’ici face à la crise en Syrie et dans le reste du monde, les Français et les Européens n’avaient pas de réelle stratégie. Ou plutôt ils en avaient plusieurs, souvent contradictoires. Elles s’annihilaient l’une et l’autre et empêchaient ainsi toute action conséquente (lire : Réfugiés, Russie, Bachar ? L’Europe va, vraiment, devoir choisir !). Après les attentats de Paris, le discours de François Hollande devant le Congrès lundi (16 novembre) et la discussion entre les ministres de la Défense mardi (17 novembre), des clarifications se sont faites, de façon notable, sur quatre points fondamentaux.

Première clarification : en Syrie, l’ennemi est bien Daech (alias l’organisation de l’Etat islamique ISIL ou ISIS selon les dénominations). La question de Bachar devient donc secondaire. François Hollande l’a confirmé dans son discours du congrès (lire : Terrorisme. François Hollande sonne les cloches aux Européens et réclame plus de solidarité). Paris a clarifié ses objectifs qui, du coup, permettent de clarifier la stratégie européenne. La France étant un des derniers pays à proclamer, urbi et orbi, son ambition de voir Bachar quitter le gouvernement.

Seconde clarification : la Russie n’est plus un adversaire. Moscou n’est pas devenu un ami. Mais c’est un allié. La volonté d’une coalition « unique » allant de la Russie aux Etats-Unis, englobant la Turquie et l’Iran, pourrait être discutée par certains alliés. Elle est cependant ipso facto entrée en vigueur. Les Russes frappant symboliquement, à la suite des Français, Raqqa, le fief de Daech en Syrie. Avec l’assentiment de Washington. C’est bien pour cela également que la France a choisi d’invoquer l’article 42.7 du traité européen et non l’article 5 de l’Alliance atlantique, pour permettre d’incorporer un maximum d’alliés dans la bataille. Cette clarification ferme la porte de presque deux années de tension, presque jour pour jour après la signature des accords d’association avec l’Ukraine qui avaient provoqué l’ire de Moscou. Certes la situation reste identique en Crimée et la question ukrainienne n’est toujours pas réglée. L’épreuve de vérité de cette nouvelle doctrine se situera en décembre, au moment de réviser les sanctions économiques et politiques envers la Russie.

Troisième clarification : on devra dépenser davantage sur la sécurité et la défense. Jusqu’à présent, il y avait deux objectifs contradictoires définis au niveau européen et euroatlantique. Il faut dépenser davantage pour la défense disaient les 28 de l’OTAN rassemblés à Newport au Pays de Galles, il y a un an, pour atteindre les 2% du PiB (seuls quelques pays dont la Grèce sont à ce niveau). Il faut économiser à tous les niveaux de l’Etat pour entrer dans les critères du Pacte de stabilité disaient les 28 (de l’UE) et la Commission européenne. Aujourd’hui, ce dilemme est résolu. Et la phrase de François Hollande, le pacte de sécurité l’emporte sur le pacte de stabilité devient de fait la règle non écrite. Mais il faudra encore définir la nature de cette exception, sa durée, et son intensité. L’invocation de l’article 42.7 fournit là un motif « objectif », d’ordre juridique à la Commission européenne, lui permettant d’octroyer à la France ce qu’elle pourra refuser à d’autres pays demain. La question qui se pose désormais officiellement est de savoir s’il ne faut pas exonérer plus généralement certaines dépenses de défense du pacte de stabilité. Bien plus complexe.

Quatrième clarification : la solidarité militaire est à double détente. Jusqu’ici, personne ne remettrait en doute la primauté de l’OTAN pour assurer la défense face à un ennemi commun, étatique ou semi-étatique de préférence. L’OTAN avait un concept du « Tous ensemble », dans une version « guerre froide. Tous ensemble contre la Russie. Tous ensemble en Afghanistan… Le semi-échec de l’opération en Afghanistan (1), a remis les pendules à l’heure. Aujourd’hui, la doctrine devient plus réaliste c’est chacun « selon ses moyens » et sa posture de défense (neutre / pas neutre, …). Et l’effort de solidarité est assurée selon une coordination des moyens faite par l’Union européenne, et non dans une mission européenne. L’OTAN est laissée de côté (2), reléguée (pour l’instant) à la fonction de défense territoriale du territoire européen, au sens strict.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Déclenchée par les Etats-Unis sous l’article V, après les attentats de 2001

(2) On peut remarquer que les Américains qui dirigent la coalition internationale en Irak n’ont jamais demandé l’implication de l’OTAN (pour mieux impliquer les pays arabes). Ce qui devrait inquiéter au bd Leopold III, le siège de l’Otan.

Reeling Cable for Maritime Use

Naval Technology - Wed, 18/11/2015 - 17:43
Cable manufacturer SAB Bröckskes presents a new marine cable on the market.

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