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The 50USV - Unmanned Surface Vessel

Naval Technology - Fri, 27/11/2015 - 01:00
The 50USV - Unmanned Surface Vessel has an all-composite construction.

Spanish Navy conducts annual exercise Flotex-15

Naval Technology - Fri, 27/11/2015 - 01:00
The Spanish Navy is set to conduct its annual Flotex-15 exercise in the Gulf of Cadiz, Strait of Gibraltar, Alboran Sea, and Western Mediterranean.

Arrested development: has Australia’s naval shipbuilding strategy stalled?

Naval Technology - Fri, 27/11/2015 - 01:00
A Cabinet reshuffle has thrown into doubt the Australian Government’s 20-year plan to rejuvenate its naval shipbuilding industry. Julian Turner breaks down the $89bn investment in surface ships and advanced submarines, and asks if the nation’s federa…

Syrie : l'Allemagne va s'engager militairement aux côtés de la France

Blog Secret Défense - Thu, 26/11/2015 - 18:43
Sans toutefois participer directement aux frappes

La mort de «Giro» du CPA-10

Blog Secret Défense - Thu, 26/11/2015 - 18:09
Le sergent-chef Alexis Guarato est décedé des suites de ses blessures en octobre.

La gestion de crises du lockdown de Bruxelles : une improvisation totale sans explication réelle (maj)

Bruxelles2 Blog - Thu, 26/11/2015 - 17:55

(B2) La gestion de crises du gouvernement belge après les attentats de Paris parait totalement surréaliste quand on la regarde avec un peu de recul. Des mesures très fortes arrivant à un état d’urgence atteint dans aucune capitale en Europe, pourtant touchée plus directement et plus gravement par des attentats que la Belgique. Sans aucune explication… La mise à l’arrêt de la capitale belge, et européenne, n’est pas vraiment un gage de sérieux dans la gestion de crises. La façon dont cette alerte a été levée ressemble à une vraie débandade et jette comme un doute sur la pertinence des mesures prises…

Premier temps : éviter de tomber dans la peur

Le premier message délivré par le Premier ministre juste après les attentats de Paris de vendredi 13 novembre est pourtant clair : « Nous demandons aux concitoyens d’éviter d’aller à Paris si ce n’est pas indispensable. Les contrôles seront renforcés dans les événements publics. Je lance un appel à ne pas tomber dans le piège de la peur. Tous les démocrates doivent se tenir debout face au terrorisme. »

Deuxième temps : la mise à l’arrêt

Ensuite, tout s’accélère. Les décisions se succèdent à un rythme formidable dans la nuit du vendredi à samedi : déclenchement de l’alerte de niveau 4, fermeture des établissements accueillant du public (cinéma, théâtre…), du métro (et de certaines lignes de bus et de tramway), puis des commerces un par un le samedi, maintien de toutes ces mesures le dimanche, et enfin, fermeture de toutes les écoles dans les 19 communes belges sur deux jours lundi et mardi. Sans vraiment d’explication publique autre que d’annoncer : il y a une menace « imminente ». Les militaires, venant des unités d’élite de l’armée belge, plus habitués aux terrains extérieurs qu’à patrouiller en ville, débarquent de leurs camions, casqués, armés, dans la capitale et se positionnent dans tous les points de Bruxelles mais pas tous. Des véhicules blindés Dingo sont même déployés aux endroits stratégiques (gares, institutions européennes, certaines ambassades…). Lire : Et Bruxelles devint noire… Des opérations de police sont menées tambour battant. Avec des résultats nuancés.

Des exceptions… ubuesques

Les trains continuaient de circuler mais pas les métros. L’aéroport, situé en bordure de la région de Bruxelles, à deux pas de l’OTAN continuait de fonctionner comme si rien n’était. Les magasins du centre étaient fermés. Mais ceux de quartier restaient ouverts sans désemplir d’ailleurs. Les villes aux alentours en région wallonne comme flamande, tels Malines (Mechelen), Halles, Waterloo restaient non concernées par les mesures. Une situation totalement ubuesque…

Troisième temps : le retour à la normale

Le descrescendo est tout aussi brutal. Le retour à un niveau 3 est annoncé de façon soudaine jeudi (26 novembre) dans l’après-midi. Il prend même de court le Centre de crises qui annonçait toujours il y a quelques instants le maintien des mesures jusqu’au 30 novembre comme les responsables politiques bruxellois et fédéraux, qui auront bien des difficultés alors à justifier le maintien des mesures.

Une mesure brutale totalement insolite en Europe

Nombre d’Etats ont vécu un niveau de menaces aussi important. Madrid en 2004, Londres en 2005, Paris en 2015. Rien de similaire n’a été prévu. Même lors des évènements de janvier à Paris, en janvier 2015, alors que certains terroristes couraient toujours, aucun lockdown de ce type n’a été mené. Idem pour les attaques les plus récentes du Bataclan et du Stade de Saint Denis. Passé la stupeur et l’effarement, la vie a repris son cours, en prenant quelques précautions. Certains théâtres ont interrompu leur représentation les premiers jours. Mais c’était plutôt que le coeur n’y était pas. Les écoles et les commerces n’ont pas été fermés, sauf raison particulière. Les métros, bus… ont continué de circuler.

Une mesure anxiogène

Bloquer de cette façon là une capitale est relativement délicat. La menace était forte, voire très forte. Certes. Mais ce n’est pas la première fois. Est-ce suffisant pour tout bloquer ? Prendre une mesure de précaution à un moment donné – le samedi – pouvait être compréhensible. Ne serait-ce que pour des raisons d’économie de force. En prolongeant cet état d’urgence au-delà de 24 heures, le gouvernement a commis une erreur. Il a créé, inutilement, un climat anxiogène dans la population, laissant croire qu’il ne maitrise pas la situation. Il n’a pas vraiment prévu de solution de sortie, improvisant chaque jour de nouvelles mesures.

Un défaut patent d’explication

Ce qui est notable en Belgique est l’absence d’explication politique, importante, détaillée. En France, dans une situation autrement plus grave et plus exceptionnelle, le président de la République, François Hollande est rapidement intervenu sur les ondes radio et télévision avec un premier message, assez clair. Puis le Parlement a été convoqué solennellement. Et un nouveau message délivré publiquement à la Nation. Une explication de texte sur la menace – assez limité mais de manière compréhensible – a été délivré. Rien de ceci en Belgique. Le message délivré à l’issue d’une réunion du Premier ministre, Charles Michel, au sortir des réunions d’un Conseil national de sécurité, l’a été presque en catamini, et est resté très succinct. On a parlé d’une menace identique à Paris sans plus de détails. Il y a bien eu une intervention devant la Chambre, le 19 novembre (lire ici). Mais là encore aucune information sur la réalité de la menace. Juste une grande liste des mesures prises. Un discours davantage destiné à montrer que le gouvernement réagit plutôt qu’à expliquer ces mesures.

Aucun message à la population solennel

Aucun propos élaboré, de message à la nation, au peuple belge, et même à la représentation parlementaire, n’a été développé. Le Roi — qui est tout de même officiellement le Chef de l’Etat et dont cela aurait pu être le rôle —, n’est pas intervenu non plus. Au moins pour délivrer un message rassurant. La seule information concrète l’a été par le ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, sur la chaîne américaine CNN ! Cette manière de gérer la crise, vu l’importance des mesures prises, est révélateur d’une erreur patente dans la gestion de crises. On sentait bien que le gouvernement avait peur d’être pris en défaut en cas d’attentat. Il a préféré agir de la même manière qu’en médecine, on plonge le patient dans le coma le temps de réaliser les opérations nécessaires.

Une plongée dans le coma, faute de moyens

La vraie raison de cet état d’urgence, c’est qu’il n’y a pas d’effectif suffisant. Durant des années, il y a eu un désinvestissant croissant à la fois dans la police comme dans les forces armées (Lire : L’armée belge en manque de gilets pare-balles puise dans les stocks de l’Oncle Sam). Ce n’est pas, contrairement à ce qui est écrit (en France notamment reprenant des arguments utilisés par les nationalistes flamands), le millefeuille administratif de Bruxelles qui est particulièrement en cause. Dans le dispositif policier et sécuritaire, il a été singulièrement réduit tout de même depuis l’affaire Dutroux. Ce qui fait défaut, c’est un manque patent d’effectifs. Il manque 600 policiers dans le cadre d’effectifs bruxellois. Et dans les communes les plus sensibles, il en manque plus de 125 comme relatait sur la RTBF, le chef de police de la Zone ouest (dont fait partie Molenbeek), le commissaire Johan De Becker.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Dans l'Opinion : « La gauche ressort tout l’appareil patriotique et martial», estime Eric Deroo

Blog Secret Défense - Thu, 26/11/2015 - 17:53
Un entretien avec l’historien à l’occasion de l’Hommage national aux victimes du 13 novembre.

L’armée belge en manque de gilets pare-balles puise dans les stocks de l’Oncle Sam !

Bruxelles2 Blog - Thu, 26/11/2015 - 11:10

(crédit : MOD Belgique / Composante Terre Daniel Orban & Garrett P. Jones)

(B2) Faute d’assez de gilets pares-balles nouvelle génération, l’armée belge a été obligé de recourir … aux stocks de l’armée américaine. Comme au bon vieux temps de l’après-guerre…. La Défense belge avait, en effet, conclu un accord avec les autorités américaines présentes en Belgique afin de se prêter mutuellement du matériel à la demande, comme nombre d’armées européennes (*). Cet accord a été actionné mercredi (25 novembre) « avec le prêt d’un stock de gilets pare-balles américains, que la Défense peut utiliser aussi longtemps que nécessaire ».

Des gilets en stock mais inutilisables en opération

Explication : l’armée belge dispose bien de gilets pare-balles en stock, des pare-éclats plutôt utilisés en Afghanistan. Mais ils sont un peu anciens, lourds et peu ergonomiques. Le genre qui pèse près d’une quinzaine de kilos et vous donne un air de statue mécanique. Ils ne se prêtent pas vraiment à un déploiement opérationnel, encore moins en zone urbaine, qui demande une certaine agilité. « Ce dernier fournit une excellente protection mais, vu son poids, il pêche par défaut d’ergonomie. Pour les militaires qui doivent les porter durant leurs patrouilles, cette charge physique est loin d’être négligeable » reconnait-on à la défense belge. Autrement dit on perd en opérationnalité ce qu’on gagne en protection. Avec l’élévation du niveau de la menace terroriste, les militaires ne veulent pas se faire prendre à revers. « À ce jour, tout notre personnel en poste dans nos rues est équipé de ce matériel des plus moderne. » Mais « si des soldats supplémentaires devaient être déployés dans les rues, il devrait être fait usage de stocks de matériel plus ancien » avertit le commandement de la composante Terre. D’où le recours aux stocks américains.

Un certain désengagement financier

L’armée paie ainsi un désengagement financier certain qui voit les matériels renouvelés au compte-goutte. Ce qu’on ne nie pas du côté militaire. « Du matériel opérationnel, dont des gilets pare-balles et pare-éclats est régulièrement acheté ». Mais « dans les proportions nécessaires pour satisfaire les besoins. Cela signifie qu’il est avant tout tenu compte de l’engagement dans les opérations à l’étranger et des besoins du personnel de garde, du service de déminage SEDEE, etc. » Pas plus. Logique avec un budget qui frôle la barre du 1% du PIB, la Défense belge se retrouve « en queue du peloton de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) en ce qui concerne les investissements en matériel majeur » affirmait ainsi récemment une note de réflexion sur la Défense publiée en 2014 sous l’autorité du général Guido Andries, sous-chef d’État-Major Stratégie.

Des années de rigueur budgétaire

Le décrochage budgétaire belge ne date pas d’hier, comme le montre ce schéma. Que ce soit par rapport à l’évolution du Produit intérieur brut (PIB) ou des dépenses publiques, on note une phase descendante, lent d’abord au début des années 2000, avec un premier décrochage en 2004, une stagnation du budget jusqu’à 2009, et un plongeon dans ces années de crise financière.

Evolution du budget en Euros constants (base 2002, hors retraites)

« En ces temps de rigueur budgétaire, la Défense belge doit faire prendre conscience à la collectivité de ce qu’elle peut lui apporter. Elle ne peut pas être perçue comme un poste sur lequel on épargne facilement. » remarque le rapport de G. Andries. On ne peut mieux dire. Le ministre de la Défense, le N-VA (autonomistes flamands), Steven Vandeput promettait récemment, dans nos colonnes, vouloir renverser la tendance et opérer un tournant par rapport aux engagements gouvernementaux de diminuer le budget de la défense (Lire : Il faut réinvestir dans la défense, explique Steven Vandeput et Un budget triplé en 15 ans pour l’armée belge ?), celui-est désormais urgent.

Commentaire : cette annonce montre à quel point les armées européennes (l’armée belge n’est pas seule dans ce cas-là) ont délaissé leur mission première : la protection du pays. Et que leur équipement est loin de correspondre à une activité opérationnelle. Mais juste bon à être comptabilisé dans des rapports qui font bien et donnent l’illusion d’une certaine de sécurité. Au premier coup dur, la réalité éclate au grand jour… Elle oblige à une réflexion plus générale sur la comptabilisation plus large (2) des dépenses de défense dans le Pacte de stabilité. Une réflexion que ne pourra pas s’économiser la Commission européenne

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Cet accord – signé avec plusieurs armées européennes – n’était pas prévu à l’origine pour du prêt de matériel aussi basique que des gilets pare-balles.

(2) De façon assez discrète, les règles de comptabilité européenne ont été aménagées pour déduire certaines dépenses de recherche et d’investissement. Lire : Dépenses de défense et pacte de stabilité ? Une certaine souplesse

US Navy awards $103m contract to GD for Virginia-class submarine services

Naval Technology - Thu, 26/11/2015 - 01:00
The US Navy has awarded a $102.8m contract modification to General Dynamics (GD) Electric Boat to deliver services for Virginia-class nuclear-powered attack submarines.

New flight deck training simulator installed at RNAS Culdrose

Naval Technology - Thu, 26/11/2015 - 01:00
A new Flight Deck Training Simulator has been installed at UK Royal Naval Air Station (RNAS) Culdrose to train crews to operate the new naval assets that will join service in the near future.

US and UK marines conclude Exercise Blue Raptor

Naval Technology - Thu, 26/11/2015 - 01:00
The US Marine Corps (USMC) and the UK Royal Marines have successfully completed Exercise Blue Raptor, which has been designed to enable them to enhance their capabilities during joint operations.

Japan may submit its bid next week for Australia’s future submarine programme

Naval Technology - Thu, 26/11/2015 - 01:00
Japan is reportedly planning to submit its bid next week for Australia's SEA1000 future submarine competitive evaluation process (CEP).

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