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Herzoginnen-Streit bringt Palast zur Verzweiflung: Meghan und Kate ernten im Netz Hass-Kommentare

Blick.ch - Tue, 01/29/2019 - 10:59
Um die Beziehung zwischen Herzogin Kate und Herzogin Meghan soll es nicht gut stehen. Die jeweiligen Fan-Lager der beiden hinterlassen fiese Online-Kommentare und lassen damit den Palast verzweifeln.
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Auf verschneiter Strasse: Piranha-Radschützenpanzer kracht in Fläsch GR in Auto

Blick.ch - Tue, 01/29/2019 - 10:56
Ein Piranha der Armee ist am Dienstagmorgen auf der verschneiten Strasse ausgerutscht und mit einem Privatauto kollidiert.
Categories: Swiss News

New Transparency Report Gives Balkan Countries Poor Scores

Balkaninsight.com - Tue, 01/29/2019 - 10:52
The watchdog organisation Transparency International's latest annual report on perceived corruption around the world has given the Balkan countries low scores.
Categories: Balkan News

Brasilien: Schlammprotest gegen Bergbaukonzern nach Dammbruch in Brasilien

Blick.ch - Tue, 01/29/2019 - 10:46
Mit einer morbiden Kunstperformance haben Demonstranten in Rio de Janeiro an die Opfer der Schlammlawinen-Katastrophe im brasilianischen Brumadinho erinnert. Sie erhoben schwere Vorwürfe gegen den Bergbaukonzern Vale.
Categories: Swiss News

Mesures répressives contre les enseignants grévistes : Les syndicats dénoncent un «abus de pouvoir»

Algérie 360 - Tue, 01/29/2019 - 10:46

Dans une circulaire adressée aux académies, le ministère de l’Éducation aurait instruit les responsables locaux de sévir contre les enseignants ayant participé à la grève du 21 janvier dernier initiée par le collectif des syndicats autonomes du secteur. En plus des ponctions sur salaires, les grévistes auront un avertissement dans leur dossier ce qui risque de les priver de promotions.

Pour le secrétaire général du SATEF, Boualem Amoura, le ministère a pour but à travers l’application de ces mesures répressives, d’avorter la prochaine action de contestation prévue pour le mois de février prochain. Joint hier par téléphone, Amoura, qui est également représentant de l’intersyndicale, a accusé les responsables du ministère de vouloir gérer le secteur par la terreur, soulignant que face à cette attitude les syndicats ne comptent pas se taire. Selon lui : « priver un enseignant de promotion parce qu’il a fait grève est une transgression de la loi». Sachant, a-t-il rappelé, que «la grève est un droit reconnu par la Constitution».

Aussi notre interlocuteur a accusé le département de Benghebrit d’abuser de son pouvoir en appelant les chefs d’établissements des écoles primaires de ne pas répondre à l’appel de grève. « Le directeur est avant tout un fonctionnaire comme les autres, et lui dire de ne pas faire grève est tout simplement un abus de pouvoir », a déclaré à ce propos le SG du SATEF. Il convient de souligner que selon certaines sources, une circulaire a été en effet envoyée par le ministère aux différentes académies du pays afin d’appliquer des sanctions strictes contre les enseignants ayant répondu à la grève de l’intersyndicale du 21 janvier dernier ainsi qu’aux rassemblements organisés dans l’après-midi du mardi 22 janvier.

Dans cette circulaire, le ministère aurait demandé l’élaboration d’une liste des enseignants et les fonctionnaires ayant en effet participé à la grève afin d’appliquer des ponctions sur leurs salaires et les priver des primes de rendement. Mais pas que; le ministère a également décidé de mettre des avertissements dans les dossiers des contestataires; ce qui les privera d’emblée des promotions aux grades. Devant cet état de fait, il faut dire que le bras de fer entre le ministère de l’Éducation et les contestataires n’est pas prêt de connaître son épilogue, sachant que l’intersyndicale prévoit de se réunir vers la mi-février pour fixer une date de sa prochaine grève.

Ayant qualifié les dernières rencontres de concertation avec la tutelle de superficielles, le collectif des syndicats autonomes de l’éducation avait également exprimé des réserves quant au contenu des PV ayant sanctionné ces rencontres. à rappeler que la plateforme de revendications de l’intersyndicale porte essentiellement sur des aspects socioprofessionnels et pédagogiques, à l’instar de la reclassification du personnel du service économique, celui de l’orientation scolaire et professionnelle, ainsi que les laborantins et les superviseurs, outre le maintien de la retraite proportionnelle sans condition d’âge et la mise en place de mécanismes rétablissant l’équilibre du pouvoir d’achat.

Sur le plan pédagogique, les représentants des syndicats revendiquent, notamment la révision des programmes scolaires en fonction du niveau des apprenants et particulièrement ceux de l’école primaire, l’amélioration de la formation, des conditions de travail et de scolarisation, la réalisation d’un enseignement de qualité, la réduction du volume horaire pour l’ensemble des paliers en respectant le volume de travail et les tâches assignées, la préservation du pouvoir pédagogique des enseignants et la liberté d’exercer le travail syndical.

Ania Nait Chalal

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Le gouvernement français invité à agir en faveur de produits plus durables

Euractiv.fr - Tue, 01/29/2019 - 10:46
Thierry Libaert a donné une liste de moyens d’action pour une consommation durable au ministère de la transition écologique. Au menu: extensions de garantie, meilleure réparabilité et lutte contre l’obsolescence programmée. Un article de notre partenaire, le Journal de l’environnement.
Categories: Union européenne

Branche setzt neues System um: Künstliche Intelligenz hält Einzug im Bahnverkehr

Blick.ch - Tue, 01/29/2019 - 10:44
Die Digitalisierung hält Einzug im Schweizer Bahnverkehr: Die Branche setzt das Programm «smartrail 4.0» um, das beispielsweise bei einer Fahrplanabweichung innert Kürze mehrere Lösungsvarianten generiert und diese an die anderen Systeme kommuniziert.
Categories: Swiss News

[Ticker] Canada trade deal in line with EU law, court advisor says

Euobserver.com - Tue, 01/29/2019 - 10:44
An adviser to the EU's top court said on Tuesday the dispute settlement contained in the free trade deal with Canada was in line with EU law. Advocate general Yves Bot said the 2016 agreement does not "adversely affect" the autonomy of EU law or question the ECJ's exclusive right to interpret EU law. Belgium's Wallonia backed the trade deal, on condition that the European Court of Justice checked it.
Categories: European Union

Brexit, le coût exorbitant du scénario de la sortie sans accord

Euractiv.fr - Tue, 01/29/2019 - 10:44
Des économistes du CEPII estiment qu’en cas de non-accord, les PIB du Royaume-Uni et de l’Union européenne pourraient respectivement reculer de 2,8 % et 0,8 %. Une opinion de notre partenaire, La Tribune.
Categories: Union européenne

Boumerdès : Vers la réactivation du marché alimentaire de gros de Kharrouba

Algérie 360 - Tue, 01/29/2019 - 10:44

Le marché régional de gros des produits alimentaires de Kharouba, à l’Ouest de Boumerdès, fermé depuis plusieurs années, verra bientôt le règlement des situation, grâce à l’intégration d’une nouvelle formule pour sa gestion et organisation, susceptible de le réactiver et d’arrêter sa dégradation, a-t-on appris auprès de la wilaya.

«Il est impératif de réactiver le rôle de cet espace commercial d’importance dans les plus brefs délais», avait déclaré à l’APS le wali de Boumerdès, Mohamed Selmani, lors d’une récente visite d’inspection de ce lieu. Il a, à ce titre, fait part de la tenue d’une rencontre «programmée prochainement» avec toutes les parties concernées, en vue d’élaborer une «étude détaillée» de la situation de cet espace de 17 ha englobant 550 carrés commerciaux, et de la «prise des mesures d’urgence pour sa réactivation dans les plus brefs délais», a-t-il dit.

Parmi les propositions émises en vue de la réactivation de ce marché, dont l’assiette a bénéficié d’un reclassement l’ayant intégré dans le domaine de l’Etat, la directrice du commerce de la wilaya, Ababssa Samia, a cité celle relative à sa gestion par un operateur privé, a qui il sera exigé «la présentation d’un plan d’investissement à son propos», a-t-elle précisé. Une autre proposition, devant ultérieurement être soumise à examen au titre d’une commission ad hoc, recommande la concession de la gestion de cet espace au profit d’opérateurs privés pour une durée de 30 ans , conformément à la législation en la matière.

Des réserves à l’origine de l’inexploitation du marché
Toujours selon Mme Ababsa, des réserves réglementaires formulées par la commission de wilaya chargée de l’activité commerciale, qui avait conseillé leur levée avant le règlement de la situation juridique et l’exploitation de cet espace commercial, ont conduit à la suspension officielle de toute activité à son niveau, depuis 1996, ce qui a engendré une totale anarchie en son sein, a-t-elle estimé . Parmi les réserves formulées, il est fait état de la destruction de 38 locaux et carrés commerciaux, réalisés sur des conduites d’eau potable en provenance de la commune voisine de Keddara, dont une partie (de ces commerces) a été déjà détruite. à cela s’ajoute le reclassement de l’assiette du marché, relevant à l’origine du domaine agricole.

Il s’agit, également, de la fermeture des devantures de locaux commerciaux donnant sur le chemin de wilaya 222 (CW 222), mitoyen à ce marché de gros, pour «non-respect de la distance réglementaire les séparant de la route», a ajouté la même responsable, outre la nécessité pour les services de la Protection civile de la wilaya d’exprimer leur avis sur la question. Ce n’est qu’une fois ces réserves levées qu’il sera procédé à la réhabilitation et au réaménagement de ce marché, dont il est attendu «une importante contribution à la dynamique de développement de toute la partie-Ouest de la wilaya, tout en assurant des revenus pour la commune», a souligné la même responsable. Elle a fait part d’une enveloppe de près de 40 millions DA affectée à cette opération en 2014, au titre des Plans communaux de développement, mais «elle a été jugée insuffisante et l’opération fut gelée», a-t-elle fait savoir, relevant qu’une étude technique de ce projet de réaménagement a fait ressortir que l’enveloppe necessaire pour ce faire est d’au moins 100 millions de dinars.

Cet espace commercial relevant de la commune de Kharrouba, unique en son genre dans le centre du pays, était auparavant un marché de gros de fruits et légumes, avant d’être promu en marché régional de gros de produits alimentaires. Il devrait générer, une fois sa mise en exploitation effective, quelque 10.000 emplois directs et indirects, selon des estimations de la direction du commerce de la wilaya. Outre son importante surface pouvant contenir un grand nombre de véhicules, lourds et légers, cette infrastructure est située dans une place stratégique, mitoyenne deswilayas d’Alger et Blida, et des routes nationales principales.

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Categories: Afrique

Le candidat Les Républicains est-il trop à droite?

Euractiv.fr - Tue, 01/29/2019 - 10:44
Le jeune philosophe, adjoint au maire à Versailles, pourrait être désigné tête de liste LR pour les élections européennes. Peu expérimenté, conservateur, il ne fait pas l’unanimité dans son propre camp. Profil de notre partenaire, Ouest-France.
Categories: Union européenne

Ali Hamani, président des producteurs algériens de boissons au forum du « Courrier d’Algérie »: «Les alertes doivent être prises avec rigueur et attention !»

Algérie 360 - Tue, 01/29/2019 - 10:44

Après avoir fait parler des associations consuméristes sur les dernières affaires en date, faisant apparaitre des alertes sur un certain nombre de produits dont la qualité est mise en doute, le Forum du Courrier d’Algérie a reçu, hier, l’Association des producteurs algériens de boissons pour écouter sa version des faits.

Ainsi, son président Ali Hamani, tout en invitant les consommateurs à faire preuve de prudence dans la consommation, il déplore l’imprudence avec laquelle sont lancées ces alertes. Quoiqu’il dise être d’accord avec ce système, lequel est à même d’attirer l’attention de tout le monde sur un danger à la santé publique, le représentant des producteurs de boissons relève une mauvaise communication de l’autorité du Commerce. Mais surtout les approximations, voire les rumeurs, sur lesquelles sont basés les rapports des directions locales.

Et comme la dernière affaire est liée à une marque d’eau minérale, Hamani fait un exposé sur une filière qui compte 63 entreprises qui sont en activité sur un total de 97 autorisations délivrées pour des opérateurs. «Comme l’eau est une source stratégique et sensible, cette filière est la plus contrôlée dans le domaine. Le contrôle se fait de façon stricte et rigoureuse par l’institut Pasteur et les laboratoires assermentés de l’Hydraulique», s’est défendu le président de l’APAB comme pour faire peu de cas de l’affaire de l’eau de marque «Texenna». Mais pendant qu’en y est, il a révélé que les opérations de contrôle et l’enquête diligentée pour élucider l’affaire se poursuivent toujours et l’activité de l’usine demeure gelée pour le moment. Si maintenant il dit être d’accord qu’il y ait des alertes, il appelle surtout à prendre le sujet avec tact et prudence, tant les conséquences s’avéreront préjudiciables pour l’image de marque du produit.

C’est le cas aussi de l’autre affaire des plus édifiantes qui ont fait couler beaucoup d’encre, notamment le jus de marque «Amila», dont l’activité d’une ligne de production de l’usine est gelée et est soumise donc au contrôle. Ce qui pose surtout problème aux yeux du représentant des industriels de la filière boissons, c’est surtout le «défaut de communication» des autorités du secteur. «J’ai moi-même interpellé le ministère du Commerce sur ces alertes qui portent préjudice aux producteurs. Je suis d’accord avec les alertes, mais faisons-le avec attention ! », Soutient Hamani, qui plaide pour plus de rigueur dans la communication et l’action dans pareille situation d’alerte.

«Nous pourrons exporter jusqu’à 30 millions de dollars»
Pourtant, dans le feu de l’alerte, des preuves mettant en avant des résultats de laboratoires ont accompagné les signalements de ces produits de boisson dont la teneur en certains composants et la qualité sont mis en doute. Il n’en est pas le cas pour notre invité. Preuve en est, l’APAB qu’il dirige n’a réagi qu’une fois le nuage est passé par souci d’attendre les résultats des enquêtes menées sur les cas soulevés. Un cheveu dans la soupe, pour ainsi dire, qui tombe dans une filière en pleine croissance comme l’a fait savoir Hamani.

En effet, selon lui, la production algérienne de boissons arrive en deuxième position dans le secteur industriel en matière de croissance (8%), quoiqu’elle ait régressé entre 2017 et 2018 ainsi située entre 2 et 4%. Au titre du nombre des opérateurs, il y a 1 767 opérateurs inscrits sur le fichier national du Registre de commerce, alors que l’Office national des statistiques parle de 800 entreprises dans cette filière. Si maintenant il défend une productions capable d’exporter pour une valeur marchande de 30 millions de dollars en 2019, Hamani déplore l’anarchie qui règne dans la filière des boissons alcoolisées.

Selon un constat qu’il a établi, il dit que sur 67 producteurs avancés, il n’ y a à vrai dire que quelque sept qui exercent dans la régularité. «Il faut procéder à un toilettage et établir des statistiques exactes car on n’arrive plus à suivre les choses», dénonce-t-il tout en restant optimiste quant à ce que les choses évoluent dans le bon sens avec l’arrivée du Registre de commerce électronique qui permettra plus de traçabilité. Reprenant avec le domaine de l’exportation, Hamani fait le bilan de l’APAB : «En 2016 et 2017, nous avons exporté à raison de 35 millions de dollars, 20 millions en 2018 et nous tablons jusqu’à 30 millions en 2019», a-t-il annoncé tout en appelant les autorités, le Commerce dans le viseur, à faciliter la procédure aux opérateurs algériens, pour conquérir davantage les marchés étrangers, de surcroît pour une orientation économique qui commande d’étendre son assiette production à l’exportation.

Le produit local couvre «95%» de la consommation nationale
Preuve à l’appui de ce potentiel des «boissonneurs» algériens à relever le défi à l’exportation, Hamani fait savoir qu’il y a des producteurs qui tâtent déjà le terrain du marché africain, dans la foulée des opérations d’exportations faites récemment en Mauritanie, comme ouverture vers le marché africain. Toutefois, Hamani relève le problème de la mise en place de représentants des opérateurs au niveau des pays visés par l’exportation. Ainsi déplore-t-il un «refus des autorités du Commerce» de délivrer une autorisation pour permettre aux opérateurs algériens d’aller dans ce projet alors que leurs compères étrangers sont autorisés à le faire en Algérie.

«Les producteurs algériens sont prêts à relever le défi de l’exportation. Laissez-les travailler et permettez-leur d’ouvrir des représentations à l’étranger, créer des showrooms, payer leurs agents sur place… etc.», plaide le patron de l’APAB. Il fait noter que le problème ainsi soulevé par l’APAB concernant également d’autres filières dont les opérateurs ont maintes fois interpellé les autorités sur la nécessité d’aller vers cette idée, qui permettra une présence de représentants des opérateurs sur les marchés étrangers.
Autre sujet sur lequel l’attention de notre invité a été attirée, il s’agit du texte de loi qui impose l’étiquetage sur le produit permettant au consommateur de connaître la liste des composants, surtout la teneur en sucre. Il s’agit surtout de connaître le niveau de conformité des producteurs de boissons à cette loi. «Il faut savoir que nous sommes en avance par rapport à cette loi qui entrera en vigueur en mars prochain. Nous sommes déjà dans le texte. Car un délai de 5 à 6 ans nous a été accordé pour se conformer à cette exigence», répond le conférencier qui émet toutefois des réserves quant à la réalisabilité «difficile» de cette tâche. Et pour cause, selon lui, pour pouvoir réduire le taux de sucre dans un produit, cela équivaut à changer la recette. Mais, la loi reste la loi, et Hamani défend, au contraire, le respect du cadre de la loi, car, et avant tout, «cela va de l’intérêt du producteur, qui doit axer son produit sur la qualité».

Interrogé justement si l’Association qu’il dirige reste de garde sur tous «opérateurs véreux» susceptibles de porter atteinte à l’image des producteurs de boissons, Hamani reste formel. «Nous n’avons pas le droit d’avoir dans nos rangs ceux qui ne respectent pas les normes de production», a-t-il répondu. Une discipline à laquelle s’astreint l’APAB, ou mieux encore, pour reprendre son président, «une grande responsabilité car 95% des boissons que nous consommons sont fabriquées localement». Enfin, Hamani, qui renvoie au marché informel des boissons, met en garde les consommateurs qu’il invite à «ne pas acheter la maladie pour leurs enfants».

Farid Guellil

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Categories: Afrique

Un Suisse sur deux avoue avoir déjà volé

24heures.ch - Tue, 01/29/2019 - 10:43
Que ce soit au travail, au resto, dans le bus ou les magasins, les Suisses chapardent. Seuls 51% des adultes affirment n'avoir jamais volé, selon un sondage.
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Formation professionnelle à Tlemcen : Neuf nouvelles spécialités lors de la rentrée de février

Algérie 360 - Tue, 01/29/2019 - 10:42

Neuf nouvelles spécialités seront ouvertes à travers les centres de formation professionnelle de Tlemcen lors de la rentrée de février prochain, a-t-on appris dimanche de la direction du secteur. Il s’agit des spécialités d’installation de plaques photovoltaïques énergétiques et thermiques, pose du béton armé, élevage des ruminants, la gestion des travaux de restauration du patrimoine l’emballage de produits agroalimentaires, l’hôtellerie et restauration (options services de café et services hôteliers) et patrimoine et topographie, a indiqué la conseillère à la direction précitée, Asma Brahimi.

Ainsi, 4 485 nouveaux postes de formation sont offerts au titre de la prochaine rentrée professionnelle répartis sur la formation de premier niveau couronnée par un diplôme d’état en modes résidentiel (525 postes), apprentissage (1.147 ), formation par passerelles (75), cours du soir (135), en milieu rural (25) et formation en entreprises privées (166). Le deuxième niveau de formation couronné par un diplôme de qualification concerne 395 postes, en milieu rural (505), la femme au foyer (520), la formation des détenus aux établissements pénitentiaires (123) , la formation en écoles agréées (332), les cours du soir (450) et la formation contractuelle (87).

Il est également prévu, à la rentrée de février prochain, l’inauguration du pavillon des applications de la spécialité d’hôtellerie et du tourisme à l’institut spécialisé de formation professionnelle d’artisanat et hôtellerie et tourisme de Tlemcen d’une capacité de 50 places pédagogiques et doté de moyens nécessaires, a-t-on fait savoir. Les inscriptions se poursuivent au secteur de la formation professionnelle jusqu’au 16 février prochain. Il a été recensé, jusqu’au 27 janvier en cours, 3.140 nouveaux inscrits à travers les CFPA de la wilaya.

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Migration: Zwei Drittel der Ausländer reisen mindestens ein Mal im Jahr heim

Blick.ch - Tue, 01/29/2019 - 10:40
Einwohner mit Migrationshintergrund haben eine starke Bindung zu ihren Herkunftsländern. Zwei Drittel reisen mindestens einmal jährlich in die alte Heimat, viele kommunizieren einmal pro Woche per Telefon oder Internet mit Verwandten im Herkunftsland.
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Rencontre contre l’émigration clandestine à Ouargla : Nécessité d’impliquer tous les acteurs

Algérie 360 - Tue, 01/29/2019 - 10:40

Les participants à une rencontre sur l’émigration clandestine organisée samedi à Ouargla ont plaidé pour l’implication de tous les acteurs dans la lutte contre ce phénomène.

L’implication de l’ensemble des acteurs concernés, notamment les jeunes et les institutions de la société civile, s’avère «indispensable» pour endiguer le phénomène de l’émigration clandestine qui n’a pas cessé de s’accroître ces dernières années, dont des dizaines de jeunes ont trouvé la mort noyés en Méditerranée, en tentant de rejoindre les côtes européennes, sans oublier aussi les migrants subsahariens disparus ou morts de soif en plein désert dans leurs tentatives de rejoindre l’Algérie, devenue leur destination privilégiée, ont souligné des intervenants lors de cette rencontre tenue à l’institut de formation supérieure des cadres de la jeunesses Mechri Ahmed.

Ils ont mis l’accent également sur la nécessité de coordonner les efforts pour connaître les causes de ce phénomène dans tous ses aspects socioéconomiques et psychologiques notamment, afin de trouver des solutions adéquates. Animée par des chercheurs et enseignants issus des universités du pays, cette rencontre d’une journée a été une occasion pour insister sur la nécessité de multiplier les efforts pour faire face à ce phénomène, en coordination avec la communauté internationale à travers une approche commune basée sur le respect des droits de l’Homme.

Initiée par la Ligue algérienne de la pensée et de la culture, en collaboration avec le secteur de la jeunesse et des sports (DJS) sous le thème «Le phénomène de l’émigration clandestine des jeunes algériens vers l’étranger – réflexions et solutions’’, cette rencontre entre dans le cadre d’un programme qui prévoit l’organisation d’une série de rencontres régionales à Alger, Constantine, Oran et Ouargla, selon les organisateurs. La rencontre s’est articulée autour de quatre thèmes principaux, à savoir «L’émigration clandestine, concept, motifs et raisons», «L’immigration clandestine en Algérie et ses impacts politiques, sécuritaires, économiques, sociaux et psychologiques», «Les efforts menés par l’Algérie, les mécanismes de prévention, de réduction du phénomène, les campagnes de sensibilisation et d’accompagnement psychologique et du système juridique» et enfin «Les démarches entreprises par l’Etat algérien à l’échelle international dans le cadre de la lutte contre ce phénomène».

La rencontre s’est déroulée en présence des autorités de la wilaya d’Ouargla, des élus locaux et des représentants de la société civile.

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Bahreïn : La condamnation à vie du chef de l’opposition chiite confirmée

Algérie 360 - Tue, 01/29/2019 - 10:36

La Cour suprême de Bahreïn a confirmé hier en appel la peine de prison à perpétuité du chef de l’opposition chiite, cheikh Ali Salmane, ainsi que celle de deux de ses collaborateurs, pour «intelligence avec le Qatar», selon une source judiciaire.

Il s’agissait du dernier recours de cheikh Salmane, qui est déjà emprisonné. A la tête du mouvement Al-Wefaq, cheikh Salmane, 53 ans, avait été condamné le 4 novembre pour «intelligence avec le Qatar (…) dans le but de renverser l’ordre constitutionnel du pays» et «actes d’hostilité envers le royaume de Bahreïn». Ce jugement avait aussitôt été dénoncé comme politique par des organisations de défense des droits humains, Amnesty International le qualifiant de «parodie de justice». Un groupe d’opposition, The Bahrain Institute for Rights and Democracy (Bird), a fermement condamné le verdict de lundi, aboutissement d’un processus «biaisé». «C’est une vengeance politique et une insulte à la justice», a affirmé son directeur, Sayed Ahmed Alwadaei, dans un communiqué, ajoutant que cette décision faisait «honte aux dirigeants de Bahreïn et à leurs alliés, les Etats-Unis et le Royaume-Uni».

Résidants hors de Bahreïn, deux collaborateurs de cheikh Salmane, Hassan Sultan et Ali al-Aswad, avaient été condamnés à la même peine par contumace. Ils étaient poursuivis aussi pour «intelligence» avec le Qatar, pays du Golfe boycotté par Manama et d’autres alliés de l’Arabie saoudite. L’inculpation de cheikh Salmane était intervenue après l’embargo décrété en juin 2017 contre le Qatar par l’Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis et l’Egypte. Ces pays ont accusé le Qatar de soutenir des mouvements islamistes radicaux, ce que Doha a démenti, et de se rapprocher de l’Iran chiite. Le Qatar a accusé en retour ses adversaires de chercher à mettre sa politique étrangère sous tutelle.

«Prisonnier de conscience»
Lors de son inculpation, cheikh Salmane purgeait déjà une peine de quatre ans de prison pour «incitation à la haine confessionnelle», dans un pays à majorité chiite dirigé par une monarchie sunnite. Lors de ce deuxième procès, les accusations contre lui étaient fondées, selon Manama, sur une conversation téléphonique datant de 2011 entre l’opposant chiite bahreïni et l’ancien Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem Al-Thani. Doha a récusé tout lien avec cheikh Salmane, dont la condamnation à la perpétuité était intervenu 20 jours avant la tenue de législatives, le 24 novembre, boycottées par son mouvement.

Le scrutin s’est déroulé en l’absence d’Al-Wefaq, dissous sur ordre des autorités qui ont également interdit l’Action nationale démocratique (Waad), un mouvement d’opposition libéral. Le petit royaume du Bahreïn a été secoué par des troubles à partir de 2011, lorsque les forces de sécurité ont réprimé un grand mouvement de protestation de la majorité chiite qui réclamait des réformes démocratiques. Les autorités de Bahreïn, siège de la Ve Flotte des Etats-Unis, ont accusé l’Iran d’être responsable des troubles, ce que Téhéran a démenti. Depuis 2011, les procès d’opposants se sont multipliés à Bahreïn. Des centaines de dissidents sont actuellement emprisonnés, jugés ou déchus de leur nationalité.

Le royaume a également approuvé en 2017 un amendement constitutionnel donnant à la justice militaire la possibilité de juger des civils accusés de «terrorisme». Pour Amnesty International, la condamnation à la perpétuité de cheikh Salmane est «une preuve des efforts illégaux déployés sans relâche par les autorités de Bahreïn pour museler toute opposition». «Cheikh Ali Salmane est un prisonnier de conscience, détenu pour le seul exercice pacifique de son droit à la liberté d’expression», avait déclaré en novembre Heba Morayef, directrice régionale d’Amnesty.

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Categories: Afrique

Départ de la 3ème caravane commerciale algérienne vers Nouakchott

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/29/2019 - 10:35
ALG24 - Les services de la wilaya de Tindouf ont indiqué lundi que la troisième caravane commerciale algérienne a pris la route de Tindouf à...
Categories: Afrique

SAG Awards : «Black Panther», Glenn Close et Rami Malek honorés

Algérie 360 - Tue, 01/29/2019 - 10:34

Le prestigieux casting du film « Black Panther », Glenn Close et Rami Malek ont été dimanche les principaux lauréats des Screen Actors Guild (SAG) Awards, récompenses considérées comme un indicateur majeur en vue des Oscars, en particuliers pour les comédiens.

Egalement en lice pour les Oscars, « Black Panther », film Marvel qui a dominé le box-office mondial en 2018 (1,3 milliard de dollars de recettes), a reçu le SAG du « meilleur ensemble d’acteurs », au détriment du drame romantique « A Star Is Born », pourtant donné favori, et à « BlacKkKlansman » du vétéran Spike Lee, lui aussi bredouille. Le casting de « Black Panther », en grande majorité composé d’acteurs noirs, était en effet des plus impressionnants: Angela Bassett, Chadwick Boseman, Danai Gurira, Michael B. Jordan, Lupita Nyong’o, Andy Serkis, Forest Whitaker… « On sait tous ce que ça fait de s’entendre dire qu’il n’y a pas de place pour soi dans une oeuvre, alors qu’on est jeune, doué et noir », a lancé sur la scène de l’auditorium Shrine Chadwick Boseman, qui incarne le super-héros africain.

« Nous savions que nous avions quelque chose de spécial, qu’on pouvait être des êtres humains à part entière dans les rôles que nous interprétions », a-t-il souligné « Black Panther » n’était sélectionné dans aucune autre catégorie hormis celle des cascades, où son équipe forte de plusieurs dizaines de professionnels l’a également emporté. Dans les catégories individuelles, le jury des SAG Awards a largement confirmé les choix des Golden Globes décernés au début du mois. Considéré comme un outsider, Rami Malek a une nouvelle fois créé la surprise en étant élu « meilleur acteur » pour son rôle de Freddie Mercury dans « Bohemian Rhapsody », damant le pion au grand favori Christian Bale, méconnaissable en vice-président américain Dick Cheney pour « Vice ».

Chez les femmes, c’est encore Glenn Close qui a gagné pour « The Wife », face à une autre lauréate des Golden Globes (catégorie « comédie »), Olivia Colman qui incarne la reine Anne dans « La Favorite », film en tête des nominations aux Oscars (dix catégories). Moins en vue que les Golden Globes, les SAG sont considérés comme un indicateur plus fiable pour les Oscars car leurs membres votent à l’Académie des arts et sciences du cinéma. S’ils ne pointent qu’une fois sur deux vers le « meilleur film » aux Oscars (48 % de correspondance), ils sont en revanche bien plus significatifs pour les comédiens: 79 % chez les hommes et 75 % chez les femmes pour les rôles principaux.

Gaga et Cooper grands perdants
Bradley Cooper et la popstar Lady Gaga, qui semblaient pourtant avoir de bonnes chances après le succès populaire et critique de « A Star Is Born », font figure de grands perdants de la soirée. Autre fait marquant de cette 25e édition, le film « Roma » d’Alfonso Cuaron, célébré par la critique et en pole position pour les Oscars avec dix nominations, était quant à lui totalement absent de la course aux SAG Awards… Actuellement à l’affiche de la nouvelle saison de « True Detective », Mahershala Ali a reçu le prix du « meilleur second rôle » pour « Green Book », où il incarne le pianiste noir Donald Shirley qui osa en 1962 une tournée dans le Sud des Etats-Unis encore régi par la ségrégation raciale, sous la protection d’un garde du corps d’origine italienne (Viggo Mortensen). Il avait lui aussi reçu un Golden Globe pour sa performance.

« Je suis reconnaissant de faire partie de cette confrérie de gens et d’artistes qui ont la chance de se frotter à la condition humaine, et qui essayent de le faire de manière responsable », a dit Ali en recevant son prix, saluant particulièrement son camarade Viggo Mortensen, encore malchanceux dimanche soir. La statuette du « meilleur second rôle féminin » est allée à Emily Blunt pour le thriller fantastique « Sans Un Bruit », réalisé par son époux John Krasinski. « Merci de m’avoir donné ce rôle… Tu aurais été en très mauvaise posture si tu ne l’avais pas fait », lui a-t-elle lancé. Côté télévision, également célébrée par les professionnels des SAG, c’est l’équipe de la série « La Fabuleuse Mme Maisel » qui a raflé les trois prix dans la catégorie « comédie » (Tony Shalhoub, Rachel Brosnahan et l’ensemble d’acteurs).

Pour les séries dramatiques, Sandra Oh a elle aussi confirmé son Golden Globe pour son rôle d’agent pas si secret dans « Killing Eve », tandis que Jason Bateman a été primé chez les hommes pour « Ozark ». La récompense du « meilleur ensemble d’acteurs dans une série dramatique » est allée au casting de « This Is Us ».

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Wohin reisen?: Beste Reiseziele im Januar

Blick.ch - Tue, 01/29/2019 - 10:34
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