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Les employés genevois de la banque absorbée par UBS accusent le coup. Les incertitudes sur leur futur sont nombreuses.

Après quatre jours de négociations entre le Conseil fédéral, les banques, la FINMA et la Banque nationale, la Suisse n’a plus qu’une seule grande banque.

L’Office fédéral de la statistique a annoncé lundi une baisse de 1,2% en 2021 soit 34 millions de francs.

Les réparations ponctuelles ne suffisent plus. L’ouvrage construit il y a soixante ans doit subir de lourds travaux de rénovation.

Les employés du commerce ont été menacés et ligotés. Un complice présumé des malfaiteurs a été arrêté à proximité.

Le parlement devra se pencher sur rôle de la Confédération dans le sauvetage de la banque. Et notamment sur les milliards qu’elle engage.

La multiplication des tablettes dans les classes suscite un vif débat. Doit-on s’inquiéter pour la santé des élèves? Des acteurs de l’éducation se prononcent.

Le mariage pour toutes et tous est entré en vigueur le 1er juillet dernier. Selon les statistiques, 2234 couples ont également converti leur partenariat enregistré en mariage.

Favorite de la complémentaire au Conseil des États, la Saint-Galloise d’adoption pourrait réussir là où son compagnon, Toni Brunner, a échoué.

Le groupe allemand, qui a racheté les canons Oerlikon Contraves et produit des munitions, explose en Bourse. Mais se détourne de la Confédération.

Après plusieurs séances de crise, le Conseil fédéral acte la reprise du numéro deux bancaire helvétique pour 3 milliards de francs. Et donne une garantie de 9 milliards.

C’est un mauvais scénario, prévisible mais qui n’a pas été anticipé à temps. Une erreur, une de plus dans la gestion de cette crise.

À droite comme à gauche, la disparition de la deuxième banque suisse pose des questions en termes de concurrence et d’emplois.

De Brady Dougan à Urs Rohner, le management historique de la deuxième banque helvétique a failli. Les autorités de régulation se sont fait berner.

Credit Suisse compte 17’000 employés en Suisse. Entre 8000 et 10’000 postes pourraient faire les frais d’une absorption pure et simple par UBS.

Ce sera la première fois qu’on saura qui dépense combien lors des élections fédérales. Pour les partis, c’est davantage un crash-test qu’une sinécure.

Le Conseil fédéral et le parlement ne veulent pas assouplir la loi sur le matériel de guerre. Voici quatre conséquences négatives à prendre en compte.

L'offre publique d'achat faite par UBS aurait été rejetée. Le Conseil fédéral doit communiquer ce dimanche soir. Suivez en direct les discussions.

La conférence des gouvernements devrait afficher un soutien clair au Conseil fédéral vendredi. De quoi affaiblir la fronde des syndicats.

Il y a une grande confusion sur la nature du sauvetage par l’État d’une banque. Cela mérite quelques explications.