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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Chlef: Un douar sans énergie électrique depuis 7 ans

Sun, 06/24/2018 - 16:44

Quelque 60 familles vivant dans la zone rurale du douar Abdallah-Bouazza dans la localité de Ghebal au nord-est du chef-lieu de la wilaya, Chlef, ne bénéficient pas encore de l’électrification rurale.
On peut s’imaginer l’inconfort dans lequel vivent ces familles sans éclairage public, sans climatisation, sans réseau d’électricité et ce, depuis 7 ans, dans cette région de la wilaya où les températures sont infernales durant l’été.
Selon les dires de certains des chefs de famille, ils n’ont pas manqué d’adresser des doléances aux responsables de la SDC ex-Sonelgaz. Pour toutes réponses à leurs doléances «on nous répond votre problème est à l’étude», affirment-ils.
Pourtant, ajoutent-ils, «nous avons saisi toutes les autorités locales et les avons informées du calvaire auquel nous sommes confrontés depuis si longtemps mais en vain, nos doléances et nos sollicitations n’ont reçu aucun écho, et en ce début d’été, la vie dans notre douar devient insoutenable ».
On nous a expliqué et ils ne s’en cachent pas, que pour faire face à cette situation, ils n’ont qu’à installer leur propre réseau, anarchiquement, en reliant les foyers l’un à l’autre avec des câbles de fortune, ce qui n’est pas sans danger, ou en établissant des branchements directement à des poteaux.
«Dans l’espoir que notre SOS reçoive un écho, nous interpellons pour la nième fois les responsables de la SDC et les hautes autorités de la wilaya afin qu’il soit mis fin à cette situation douloureuse», ajoute-t-on.
Karim O.

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Parution de «de nos frères blessés»: Un livre traduit en langue arabe

Sun, 06/24/2018 - 15:48

Cette semaine paraîtra en Algérie, aux éditions Barzakh, la traduction en arabe du roman «De nos frères blessés» de Joseph Andrès. Cette traduction a été réalisée par Salah Badis. La traduction a été présentée hier lors d’une rencontre-débat qui a eu lieu au café littéraire «Le Sous-Marin» initié par le Mouvement démocratique et social (MDS) et situé au niveau du boulevard Krim Belkacem (Télemly), à Alger. La rencontre fut animée par les deux journalistes Saïd Djaffar et Omar Zelig. Le roman retrace la vie du militant communiste européen Fernand Iveton durant la guerre de Libération nationale algérienne.
Iveton était un fervent défenseur de l’indépendance de l’Algérie et militait aux côtés du Front de Libération nationale (FLN) avant d’être emprisonné pour avoir placé une bombe qui n’a pas explosé et exécuté quelques mois plus tard. Cet événement fera le premier Européen mis à mort par la France dans une affaire en rapport avec la guerre d’Algérie.
Cependant, le roman va au-delà de cette dimension. En 160 pages, il retrace les mois de prison de Fernand Iveton ainsi que ses mois de bonheur avec son épouse, la Polonaise Hélène Ksiazek qui l’a suivi en Algérie, en racontant cette histoire d’amour entre deux prolétaires dans l’Algérie des années cinquante. Joseph Andrès est né en 1984 dans le nord de la France. «De nos frères blessés», son premier roman paru en 2016 en Algérie et en France, lui a valu le prix Goncourt du premier roman la même année.
Cependant, Joseph Andrès a refusé le prix comme il a refusé de se déplacer à Paris pour rencontrer la presse en répondant: «Un écrivain, c’est comme un boulanger. Il fait son travail et c’est tout.»

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Transports et TP : 135 milliards de dollars d’investissements en 20 ans

Sun, 06/24/2018 - 15:45

Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane a indiqué samedi à Alger que le volume d’investissements dans le secteur avait atteint près de 135 milliards de dollars durant les deux dernières décennies.

S’exprimant à l’occasion du lancement d’un portail électronique pour le service public dans son secteur mis en place au profit des citoyens, des professionnels et des différents opérateurs, M. Zaalane a affirmé que cette enveloppe avait été consacrée à son secteur dans le cadre des différents programmes quinquennaux initiés par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Ces investissements ont permis la réalisation d’un réseau routier, la modernisation des ports et aéroports, métro, tramway et le réseau ferroviaire qui ne dépassait pas les 1.000 km en 2000. Ce dernier atteint aujourd’hui  4.200 Km et ira jusqu’à 6.300 Km à l’horizon 2022, a-t-il précisé.

L’objectif escompté à travers la réalisation d’un réseau ferroviaire est d’atteindre à l’horizon 2020-2022 une capacité de transport de 17 millions de tonnes de marchandise et 60 millions de voyageurs par année, a-t-il soutenu.

S’agissant du réseau routier, l’accent a été mis sur la dimension sociale à travers le désenclavement des habitants des régions montagneuses ainsi que sur la dimension économique du pays.

Nous comptons 36 aéroports aujourd’hui, a-t-il fait savoir, ajoutant que les grandes villes ont vu la réception de nouvelles aérogares internationales à l’image de celle d’Alger dont la réception aura lieu fin 2018 avec une capacité de 10 millions de passagers par année, outre les 6 millions passagers de l’ancien aéroport. Quant à l’aéroport d’Oran, ajoute M. Zaalane, il sera mis en service début 2019.

En ce qui concerne les ports, le nombre de ports en Algérie a grimpé de 28 en 1999 à 48 actuellement, a souligné le ministre, mettant en avant le rôle actif de ces structures en matière d’exportation des produits algériens dont le ciment, le fer, le phosphate et les produits agricoles et alimentaires.

Il a fait état, dans ce cadre, des travaux d’expansion des ports de Djendjen (Jijel), Oran et Alger, affirmant que le pays misait sur les moyens de transports modernes et sur la numérisation du secteur.

Lors d’une conférence de presse, le ministre a fait état de la réception prochaine de plusieurs projets du secteur des transports et des Travaux publics qui constitue « le carburant » de l’économie nationale à travers la mise en place d’infrastructures de base en vue d’impulser l’activité économique.

A ce titre, M. Zaalane a relevé qu’en dépit des conditions financières difficiles, le président de la République a décidé de poursuivre les investissements dont ceux à portée sociale et économique.

Il a rappelé, dans ce cadre, la décision du président de la République relative à la finalisation du dernier tronçon de l’autoroute est-ouest jusqu’à la wilaya d’El Taraf tout en prévoyant différentes stations d’entretien et de service outre les stations de péage.

Il a également souligné que « si la longueur de l’autoroute est de 1200 km, il existe 13 échangeurs d’une longueur de 1009km, lesquels constituent des autoroutes qui relient les différentes régions notamment celle disposant de ports.

Elargissement du métro à Bab el Oued et Baraki

Il a souligné, a ce titre, que 12 nouvelles rames allaient être acquises avec une moyenne d’une rame par mois, révélant que la première rame sera réceptionné samedi.

Concernant les ports, le ministre a indiqué qu’il a été procédé à la réalisation de 10 bateaux remorqueurs dans les ateliers espagnols dont 6 seront réceptionnés avant la fin de l’année en cours.

S’agissant du renouvellement de la flotte du transport aérien, M. Zaalane a souligné qu' »à l’horizon 2021, la moitié de la flotte (30 avions) atteindra 25 ans d’âge, ce qui nécessitera une opération de renouvellement pour acquérir de nouveaux avions ».

Il a indiqué, à ce propos, que le président de la République a donné pour instructions de renouveler la flotte aérienne de 20 à 25 avions aux horizons 2024-2025, outre la diversification des destinations programmées par la compagnie aérienne nationale Air Algérie coïncidant avec l’inauguration du nouvel aéroport à la wilaya d’Alger pour en faire un aéroport d’escales.

Par ailleurs, M. Zaalane s’est félicité de la réalisation de 7 lignes de tramways au niveau de 7 villes intérieurs.

500 milliards de centimes pour la maintenance de l’autoroute est-ouest

Répondant à une question sur les travaux de maintenance au niveau de l’autoroute est-ouest, le premier responsable su secteur a révélé que cette opération avait débuté depuis près de deux mois au niveau de plusieurs, notamment au niveau de Lakhdaria, Boumerdès et la rocade sud d’Alger, précisant qu’un budget de 500 milliards de centimes avait été consacré à cet effet.

Soulignant la nécessité d’accorder davantage d’intérêt au transport maritime interne de voyageurs, le ministre a rappelé l’entrée en service des dessertes Oran-Ain turc et Alger-Tamenfoust, outre l’ouverture de deux autres prochainement à Alger et Béjaia.

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Palais de la culture: Dzaïr Manga Matsuri

Sun, 06/24/2018 - 15:44

Les passionnés de la culture manga peuvent se réjouir! Le premier festival dédié au genre se tiendra à Alger du 21 au 22 juillet prochain. Prévu au niveau du Palais de la culture Moufdi Zakaria (Les Annassers), le festival, nommé Dzaïr Manga Matsuri, entend ravir les fans du genre. Pour ce faire, des ateliers culturels, des concours, des cosplays, des espaces jeux vidéo ainsi que des concerts seront au programme. Mis en place par le HB Manga Kissa, le premier manga café de la capitale, aux côtés de la maison d’édition spécialisée HB Editions, le Festival comptera également sur les exposants, entre écoles, designers, maisons d’éditions ou encore magasins spécialisés. Côté concours, on retient celui des mangakas. Il permettra à ces derniers de se faire éditer et commercialiser. Pour avoir la chance d’être l’heureux/heureuse élu(e), il suffit d’envoyer les 10 premières pages du manga (qui doit obligatoirement être composé d’au moins 50 planches) et le synopsis (en français) à l’organisation, à l’adresse email suivante: dzairmangamatsuri@gmail.com et ce, avant le 15 juillet prochain. Les jeunes talents ne sont pas en reste et ont également un concours pensé pour eux. Qu’ils soient Youtubers, scénaristes en herbe, dessinateurs ou encore auteurs, ils peuvent envoyer leurs oeuvres à la même adresse email et avant la même date butoir.

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«Long… est le chemin» de Mohamed Djaàfar: Une histoire à dimension humaine

Sun, 06/24/2018 - 15:40

L’écrivain invite ses lecteurs à découvrir une période méconnue de l’histoire authentique et hautement humaine des Algériens dans les années 1930.

Dans son roman «Long… est le chemin», l’écrivain Mohamed Djaafar invite ses lecteurs à découvrir une période méconnue de l’histoire authentique et hautement humaine des Algériens dans les années 1930 à travers le prisme de personnages haut en couleur aux prises avec un quotidien des plus difficiles. Ce roman de 420 pages, publié récemment à compte d’auteur, relate des tranches de vie entrelacées de plusieurs familles luttant pour leur survie dans une bourgade imaginaire de l’Algérie, colonisée depuis un siècle. Ce deuxième ouvrage de l’auteur plante le décor d’une région se remettant à peine des grandes campagnes militaires coloniales tout en allant, sans le savoir, au-devant d’un nouveau drame et des grands chamboulements causés par la Seconde Guerre mondiale. Dans le village de Webbane, le récit s’articule autour de la famille de Slimane, ouvrier du chemin de fer se tuant à la tâche, malgré une petite invalidité, avec la hantise de voir ses trois enfants manquer de nourriture ou de voir son aîné Bouzid abandonner l’école. Lahlali, le frère de Slimane, obtient une autorisation pour aller travailler dans les houillères du nord de la France. Son voyage et son parcours restituent l’univers des premiers ouvriers algériens émigrés débarquant dans un pays où tout leur est étranger. Une année avant de passer son certificat de fin d’études primaires, le jeune Bouzid devient l’écrivain public du village rédigeant des lettres aux maris, frères, et pères partis travailler en France, ce qui en fait le confident de tous les habitants du village. Bouzid se retrouve impliqué dans une ancienne liaison amoureuse entre son oncle et Rita la gitane, dans la vie de Bariza abandonnée avec deux enfants et qui ne trouve de salut que dans la prostitution, ou encore dans la rédaction d’affiches et de messages pour les militants du Parti du peuple algérien. Le diplôme de Bouzid se révèle être une solution aux problèmes de nombreux habitants du village, le jeune garçon est sollicité pour différents emplois et apporte une aide considérable au foyer et à ses proches.
C’est également par Bouzid, seule personne sachant lire, que le village apprend l’arrivée de la guerre avant que le crieur public n’annonce la mobilisation générale, avant que les événements du roman ne s’enchaînent relatant la guerre, le militantisme pour l’indépendance de l’Algérie et la révolution de Novembre vue par les villageois de Webbane.
En plus des récits qui mettent au jour une période méconnue et des «générations oubliées» de l’histoire «coincées entre la colonisation et la Seconde Guerre mondiale», ce roman renseigne sur un univers et un mode de vie ancré dans l’imaginaire collectif algérien. «Long…est le chemin» plonge le lecteur dans l’habitat et le mode de vie authentique d’un village qui ne connaissait pas encore l’électricité et où l’agriculture vivrière nourrit des habitants qui comptent chacun sur un métier artisanal pour subvenir aux besoins des siens. S’il évoque clairement les déboires de la population avec les autorités coloniales, la discrimination et l’exploitation, l’auteur a réussi à dissoudre les affres de la colonisation dans le quotidien des habitants, axe principal du récit, tel qu’ils l’ont vécu. Né à Bordj Bou Arréridj en 1955, Mohamed Djaâfar avait suivi des études de droit à Alger avant de poursuivre son cursus en Belgique. L’auteur avait publié en 2014 son premier roman «Les oiseaux de la nuit».

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Les importations en médicaments en nette hausse sur les 5 premiers mois

Sun, 06/24/2018 - 15:39

ALGER – La facture d’importation des médicaments a nettement augmenté sur les cinq premiers mois de 2018 en se chiffrant à 922,54 millions de dollars contre 671,26 millions de dollars à la même période de 2017, en hausse de plus de 251 millions de dollars (+37,43%), a appris l’APS auprès des Douanes.

Pour rappel, la facture d’importation des médicaments s’est établie à 1,89 milliard de dollars en 2017 contre 2,02 milliards de dollars en 2016 (-6,4%).

Sur une demande nationale en médicaments de l’ordre de 4 milliards de dollars annuellement, l’industrie pharmaceutique nationale produit pour l’équivalent de deux (2) milliards dollars actuellement.

Quelque 80 unités productives dans le domaine pharmaceutique sont en activité au niveau national.

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Tizi a son Salon de l’étudiant

Sun, 06/24/2018 - 15:37

La première édition du Salon régional de l’étudiant «Afaqoukoum» (Votre horizon) aura lieu à Tizi Ouzou du 26 au 28 juin. Organisé par Media-Starup, une boîte évènementielle, en collaboration avec des acteurs économiques et organismes et institutions étatiques de la wilaya, la rencontre qui se tiendra à la bibliothèque principale de lecture publique, regroupera des étudiants de cinq wilayas, en l’occurrence Tizi Ouzou, Alger, Boumerdès, Bouira et Béjaïa.
Plusieurs communications traitant du savoir-faire, l’emploi, la formation et de l’entrepreneuriat, ainsi que des ateliers de formation animés par des spécialistes, sont prévus au programme de cette rencontre qui sera animée par des universitaires, des spécialistes et formateurs en ressources humaines, qui aborderont plusieurs aspects liés à la thématique de ce salon.

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Benzine, un film tunisien, évoque le trafic de carburant venant d’Algérie

Sun, 06/24/2018 - 15:32

Par Amira Soltane.

C’est connu, la Tunisie et le Maroc sont plus ouverts et audacieux en matière de traitement de film sociaux. L’Algérie, qui avait réalisé le Charbonnier et Omar Gatlato continue de faire des films sur tout et évite de parler des fléaux sociaux qui rongent la société. Pour preuve, la Tunisie participe en force au retour du Festival des cinémas arabes de l’IMA à Paris. Six cinéastes et documentaristes tunisiennes participeront à la première édition du Festival des cinémas arabes qui se tiendra du 28 juin au 8 juillet prochain à l’Institut du Monde arabe (IMA) à Paris. La cinéaste Sarra Abidi participera à la compétition des fictions avec son long-métrage Benzine, produit en 2017.
Et Benzine (essence en arabe) revient sur le commerce clandestin du carburant, un trafic très répandu en Tunisie sur les routes qui mènent en Libye. L’essence est achetée clandestinement en Algérie et montre la filière du trabendo qui s’est répandue comme une traînée de poudre après la fin de la dictature de Ben Ali en Tunisie.
Tourné en novembre 2015 au village El-Menji au gouvernorat de Gabès, Benzine évoque le vécu des habitants d’un village abandonné du Sud tunisien: la contrebande de l’essence, mais aussi les réseaux de solidarité, le marché, les petits boulots, la désertification, l’émeute provoquée par des mères qui ont perdu leurs fils et celle des jeunes chômeurs qui exigent du travail. Une Tunisie loin du tourisme et des hôtels cinq étoiles.
Ce genre de films traduit une liberté dans le choix des sujets et l’absence d’une véritable censure dans la lecture des scénarios. En Tunisie et au Maroc, les fléaux sociaux sont souvent évoqués avec force dans des films et même dans des documentaires. En Algérie, ces sujets sont évités par nos cinéastes qui préfèrent parler du terrorisme, de la liberté de la femme et éviter d’évoquer des fléaux qui touchent réellement notre société: la drogue, le problème du logement, la misère et la pauvreté.
Même dans les courts-métrages, ce genre de sujets n’est pas évoqué. La Tunisie sera en force dans cette compétition à l’IMA, avec Khadija Lemkacher, qui sera en compétition pour le meilleur Prix des courts-métrages avec Bolbol, ainsi que Amal Guellaty, réalisatrice de Black Mamba et Emna Najjar réalisatrice de Valse de l’aube.
Au-delà de l’ombre de Nada Mezni Hafaiedh et The man behind the microphone, de Claire Belhassine, seront en compétition dans la catégorie long-métrage des documentaires.
Organisé par l’Institut du Monde arabe (IMA), la première édition du Festival des cinémas arabes à Paris sera marquée par la projection de plus de 70 films et documentaires.
Cette première édition se compose de trois sections: une section compétitive pour les longs, moyens et courts-métrages, fictions et documentaires produits en 2017-2018, deux hommages aux cinéastes Jean Chamoun et Mahmoud Zammouri, et un regard sur le cinéma saoudien.

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Festival arabe de Djemila: La 14e édition programmée à partir du 2 août

Sun, 06/24/2018 - 15:27

L’ouverture de la 14 ème édition du Festival arabe de Djemila est programmée, cette année, à partir du 2 août prochain, a annoncé jeudi le commissaire du festival, Khaled Mehanaoui.

Cette édition, qui se tiendra du 2 au 6 août (5 jours), aura lieu comme pour les éditions précédentes sur le site romain de Cuicul (60 km à l’est de Sétif), a indiqué le responsable à l’APS, précisant que ce festival aura un cachet national par excellence avec la participation d’une pléiade de stars de la chanson algérienne.

Ces derniers, dit-il, animeront également des concerts dans certaines régions reculées de la wilaya, dont les habitants ne peuvent faire le déplacement pour assister au festival.Il a ajouté qu’au début de chaque soirée du festival, certaines figures de la chanson algérienne seront honorées,que ce soit des défunts de la scène artistique ou ceux encore vivants.Aussi, il a révélé que les éditions prochaines verront le retour à Djemila d’artistes arabes et ce, en coordination avec les pays arabes dans le cadre des échanges culturels afin de préserver le caractère arabe de cette manifestation.

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Ambassade d’Espagne: Expo d’artisanat et conférence sur Cervantes

Sun, 06/24/2018 - 15:20

L’ambassade d’Espagne en Algérie et l’institut Cervantes d’Alger, en collaboration avec Tiny Tours vous convient à l’inauguration de l’exposition «Artisanat Touareg et M’Zab» qui aura lieu le mardi 26 juin 2018 à 11h00 au siège de l’Institut, sis 9 rue Khelifa Boukhalfa, Alger. Cette exposition se prolongera jusqu’au 11 juillet 2018. Avant cela et en en collaboration avec le ministère de la Culture, l’ambassade d’Espagne en Algérie et l’Institut Cervantes d’Alger, organisent «la conférence annuelle sur Miguel Cervantes», ce dimanche 24 juin 2018 à 9h30 à la Bibliothéque nationale du Hamma. Cette rencontre verra la participation de nombreux spécialistes espagnols, algériens et internationaux dont l’hispaniste japonais Norio Shimizu, professeur à l’université de Waseda et professeur émérite de l’université Sophia de Tokyo. Norio Shimizu est considéré comme l’un des spécialistes les plus connus de la littérature espagnole.

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Triche au bac: 4 tentatives éventées à Ghardaïa

Sun, 06/24/2018 - 15:18

Quatre tentatives de triche au bac ont été déjouées à Ghardaïa durant les deux premiers jours des épreuves, selon l’APS, citant, hier la direction de l’Éducation de la wilaya (DEW).

Précisant que ces ont été enregistrés dans la commune d’El-Atteuf, dans un centre d’examen pour candidats scolarisés et trois autres dans un centre pour candidats libres, la DEW a expliqué que les candidats ont tenté de tricher en utilisant des smartphones, interdits dans les salles d’examens et introduits illégalement en classe.

Elle ajoute que « les candidats ont enregistré les leçons de chaque matière d’examen dans les smartphones afin de copier à partir de ces moyens technologiques de communication et répondre aux questions ».Elle a conclu, enfin, que pris en flagrantdélit en plein examen, les mis en cause, ont été disqualifiés, leurs portablesonfisqués et « feront l’objet de mesures disciplinaires à caractère pédagogique », indique-ton.

Par : R. N.

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Gestion des foules durant la campagne du Hadj: « Bouteflika avait vu juste! »

Sun, 06/24/2018 - 15:15

Par Walid Ait Said.

L’expérience algérienne dans la gestion des délégations des pèlerins a été plébiscitée par le monde. L’Organisation mondiale de la Protection civile et le Conseil des ministres arabes de l’Intérieur ont décidé de s’en inspirer en intégrant le dispositif «made in bladi» dans toutes les délégations Hadj. Le chef de l’Etat avait 10 ans d’avance…

La Protection civile algérienne fait des émules! Cette institution qui a connu une véritable révolution depuis l’arrivée du chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika au pouvoir en 1999 continue de faire parler d’elle à travers le monde. Le président Bouteflika ne s’est pas trompé en confiant la lourde tâche de remise à niveau de nos pompiers à l’un de ses camarades de lutte et militaire de formation, le colonel Mustapha El Habiri. Ce dernier a réussi à faire de nos anges en noir une véritable référence mondiale. Les distinctions internationales sont là pour le prouver! En effet, grâce aux efforts méritoires qu’elle n’a cessé de consentir sur tous les plans, la direction générale de la Protection civile est devenue un acteur majeur et incontournable en ce qui concerne I’ensemble des missions qui I’intéressent, que ce soit au niveau interne ou bien à l’échelle du Bassin méditerranéen ou encore au niveau mondial. Le sérieux et la persévérance ayant marqué ses choix en même temps que ses priorités en matière de développement et enfin, son acceptation quant au relèvement du défi de la mise à I’épreuve de la conformité aux normes internationales, concluante au bout de deux années, chargées en termes d’actions à entreprendre (tests, manoeuvres, exercices…), liées aux missions de protection des personnes, des biens et de I’environnement, en sont les meilleures preuves. Aujourd’hui, par la voix de son secrétaire général, l’Organisation internationale de la Protection civile, exprime, encore une fois, sa reconnaissance à ceux qui continuent de faire l’événement et font avancer les choses, présentement, en matière de gestion des foules, en l’occurrence, les éléments du détachement de la Protection civile, à l’occasion de leur mobilisation en vue de la sécurisation de la mission du Hadj, depuis 2008. La décision prise par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, relative à I’incorporation d’un détachement de la Protection civile dans la mission du Hadj, avec pour mission d’en garantir la sécurisation, grâce au travail patient de sensibilisation, d’accompagnement et d’orientation devant être effectué par ses éléments, gradés et agents réunis, au profit des hadjis algériens, allait constituer une première en même temps qu’un véritable coup de maître, lequel en contribuant au renforcement des capacités d’approche et d’exécution d’une mission parmi les plus importantes échues au corps, à savoir, celle de la gestion des foules, servir les intérêts suprêmes du pays, à travers la préservation de la dignité et de l’honneur de ces citoyens lors de leur présence sur les Lieux saints de l’islam pour I’accomplissement des rituels du pèlerinage.
Sous El Habiri, les distinctions internationales pleuvent…
Les experts présents lors du Séminaire international sur la gestion des foules organisés, hier, au niveau de l’école de la Protection civile de Dar El Beïda ont plébiscité l’expérience algérienne. «Bouteflika a vu juste», ont-ils déclaré à l’unanimité. Il faut dire que l’Organisation mondiale de la Protection civile et le Conseil des ministres arabes de l’Intérieur ont décidé de s’en inspirer en intégrant le dispositif «made in bladi» dans toutes les délégations de Hadj. L’analyse faite par les experts et le jugement qu’ils portent sur les actions réalisées par la Protection civile, à plus forte raison lorsqu’il est question de secours et de sauvetage des vies, ne peuvent, souffrir de quelque complaisance. Ils ne sont, en fait, que l’expression d’une réalité et ne révèlent que les résultats d’une évolution objective et impartiale, autrement ils ne seraient d’aucun apport positif aux opérations de secours. Bien au contraire, ils porteraient de la sorte un préjudice certain à leur bon déroulement. Ainsi, les appréciations qui en émanent doivent-elles conforter le secteur dans ses choix et priorités ainsi que dans les actions qu’il entreprend à l’effet d’en assurer la concrétisation. Celles, plus ré»centes, exprimées à la veille du début de la campagne du Hadj, résultent d’un constat fort avantageux quant au niveau de professionnalisme et de conscience atteint par les agents de la Protection civile, tous grades confondus dans l’accomplissement de diverses missions. L’expérience algérienne par ces résultats probants n’a donc pas laissé indifférents les experts dans la gestion des foules.
Le SG de l’Oipc: «Le modèle algérien est une référence mondiale.»
L’accord auquel sont parvenus le conseil exécutif de l’Oipc et les ministres arabes de I’Intérieur devant permettre d’entériner la décision relative à l’intégration pleine et entière de la Protection civile dans le dispositif du Hadj, constitue, à n’en point douter, un événement unique au monde pour ce qui concerne ladite gestion. Seul pays musulman à fournir à ses citoyens hadjis et ce, depuis une dizaine d’années, le soutien d’un détachement de secouristes sauveteurs de la Protection civile, chargés de la prévention des divers risques et de la réalisation d’un travail de proximité, I’Algérie voit son option plébiscitée, «(…)-Le modèle algérien est devenu une référence mondiale dans son ensemble», a tenu à souligner le secrétaire général de I’Oipc. «Et son apport a été pleinement apprécié durant cette dernière décennie, comme en témoignent les nombreux rapports élogieux et reçus de la part de leurs homologues saoudiens ainsi que de ceux de très nombreux pays», a-t-il ajouté. Dans ce contexte, et en accord avec les autorités saoudiennes, l’Organisation internationale de la Protection civile, entend lancer une vaste campagne de sensibilisation sur ce thème précisément, afin d’encourager tous les pays musulmans à adopter une décision similaire et suivre I’exemple de la Protection civile algérienne. Cette campagne sera précédée par l’organisation, à Alger, depuis vendredi dernier jusqu’à mercredi prochain, d’un séminaire portant sur le thème de «La Protection civile et la gestion de la foule», animé par des officiers de la défense civile saoudienne dont la délégation sera conduite par son directeur général, Ie général de corps d’armée Sulaiman Ben Abdullah Al-amro. Un événement qui démontre la vision à long terme du chef de l’Etat. Comme a tenu à le souligner un participant étranger, Bouteflika avait 10 ans d’avance…
W.A.S.

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Le secrétaire d’état adjoint américain jeudi prochain à Alger: La part du lion au dossier sécuritaire

Sun, 06/24/2018 - 12:27

Par Brahim Takheroubt.

Washington agirait-IL de sorte que la puissance militaire algérienne intervienne directement dans le bourbier sahélien?

La 5ème session du dialogue bilatéral algéro-américain qui se tiendra à Alger le 28 juin prochain, réservera la part du lion au dossier sécuritaire dans la région du Maghreb et au Sahel. Abdelkader Messahel, ministre des Affaires étrangères et John Sullivan secrétaire d’Etat adjoint des Etats-Unis procèderont à l’ouverture officielle des travaux de cette session qui porteront sur «un échange de vues et d’analyse sur la situation politique et sécuritaire au Maghreb et au Sahel ainsi que sur la coopération en matière de lutte contre le terrorisme, y compris les menaces que font peser l’extrémisme violent, le retour des combattants terroristes étrangers et le crime organisé transnational», a indiqué un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le secrétaire d’Etat adjoint américain rencontrera de hauts responsables algériens pour aborder, en plus des questions économiques, le crucial dossier sécuritaire au Sahel. La migration illégale et des dangers qu’elle véhicule feront également l’objet d’un examen approfondi à cette occasion, ajoute le communiqué du MAE. Les travaux seront précédés d’un entretien entre MM. Messahel et Sullivan au cours duquel ils aborderont des questions précises, croit-on savoir. Aussi, les Américains viennent-ils entendre le son de cloche d’Alger? Washington agirait-il de sorte que la puissance militaire algérienne intervienne directement dans le bourbier sahélien? Certes, l’Algérie a toujours considéré le Sahel comme une zone stratégique et veillé aux équilibres politiques de la région grâce à une présence vigilante de ses services spéciaux, mais elle fait de la non-intervention de son armée en dehors de ses frontières un sacro-saint principe. Cela étant entendu et admis, quelles concessions chercheront alors les Américains qui ne semblent pas lâcher prise? Quoi qu’il en soit, pour de nombreux observateurs, ce rapprochement avec les Américains vient stopper un semblant isolement de l’Algérie dans la région à travers l’initiative du G5 Sahel. Parrainée essentiellement par la France, cette opération a été lancée en 2014 regroupant la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad. Fidèle à sa doctrine de non-intervention militaire en dehors de ses frontières, l’Algérie a refusé de participer à cette initiative qu’elle a jugée franchement interventionniste. Mais il serait inconvenant de prétendre lutter contre le terrorisme dans la région du Sahel sans associer l’Algérie qui a le double avantage d’avoir l’armée la plus forte dans la région et qui jouit d’une très grande expérience dans la lutte contre le terrorisme. C’est exactement la thèse développée dans un dernier rapport de trois parlementaires français. Le document affirme clairement que les 4 500 soldats français déployés au Sahel aux côtés des 300 membres des forces spéciales n’arrivent pas à chasser les djihasites du Mali et à grandir une stabilité dans la région. Dressant un bilan désastreux de la situation au Sahel, le document des experts français conclut que «rien ne se réglera au Sahel sans l’Algérie et son armée. Seule l’Algérie, prétendent-ils, détiendrait les clés d’une stabilité», insistent les parlementaires français qui se sont rendus sur le terrain au Sahel. Voilà donc qui justifierait «l’ingérence» américaine dans la plate-bande française.
Alger et Washington entretiennent le dialogue et l’échange de renseignements sécuritaires depuis de longues années. Pas plus tard qu’il y a deux mois, c’est le commandant de l’Africom, le général Thomas D. Waldhauser qui s’est déplacé à Alger où il a rencontré plusieurs responsables politiques et militaires algériens. Il s’est entretenu avec le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel et le vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah. «Nous sommes impatients d’explorer les futures activités de coopération en matière de sécurité avec l’Algérie», a indiqué le général Waldhauser à l’issue de l’audience que lui a accordée le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel. Il a affirmé que sa visite en Algérie «est une bonne opportunité pour discuter directement avec les dirigeants algériens de nos préoccupations communes en matière de défense et de sécurité».

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Dans une série de Raids Irakiens à l’est de la Syrie: 45 terroristes tués dont des chefs de Daesh

Sun, 06/24/2018 - 12:20

Par Chaabane Bensaci.

Parmi les terroristes tués figurent un haut responsable «du ministère de la guerre» de l’EI, son adjoint, le «responsable militaire d’al-Jazira», nom donné à la région désertique qui s’étend entre la Syrie et l’Irak, un haut cadre chargé de la propagande et des médias, le «messager» (porte-parole) du chef de l’EI, Abou Bakr al Baghdadi, ainsi que le «chef de la police».

A en croire le communiqué diffusé hier par le commandement conjoint des opérations militaires (JOC), à Baghdad, c’est une opération d’envergure que celle menée la veille par des F16 de l’armée de l’air irakienne contre des bases de repli du groupe autoproclamé Etat islamique à l’est de la Syrie. En effet, l’état-major irakien revendique l’élimination de 45 membres de Daesh, dont un bon nombre de responsables. Le fait que dans le communiqué, on mentionne jusqu’aux noms et qualités de ces chefs du groupe terroriste en dit long sur la qualité et l’efficacité de l’opération, menée à partir de «renseignements précis». Les Irakiens parlent de raids qui ont ciblé opportunément une réunion importante de chefs du groupe Etat islamique, dans la région de Hajine, opération lancée sur ordre du Premier ministre Haider al-Abadi, selon le commandement conjoint des opérations militaires.
Les chefs terroristes tenaient leur réunion secrète dans trois habitations, reliées par un tunnel, lesquelles ont toutes étaient détruites, comme le précise le communiqué. Faisaient partie des terroristes tués un haut responsable «du ministère de la guerre» de Daesh, son adjoint, le «responsable militaire d’al-Jazira», nom de la région désertique qui s’étend entre la Syrie et l’Irak, un haut cadre chargé de la propagande et des médias, le «messager» (porte-parole) du chef de l’EI, Abou Bakr al-Baghdadi, ainsi que le «chef de la police» du groupe extrémiste. Cette liste dressée par le JOC n’a pas encore été confirmée de manière irréfutable, aucune source autre qu’irakienne n’ayant dans l’immédiat confirmé son authenticité.
Mais le fait que l’aviation irakienne ait mené sans discontinuer, depuis plus de deux mois déjà, de nombreux raids en territoire syrien, avec l’aval des autorités de Damas, plaide pour une véracité des informations, sachant que le 24 mai dernier, des F-16 irakiens avaient déjà effectué des raids spectaculaires sur un bâtiment et un dépôt d’explosifs dans cette même région de Hajine, située dans la province de Deir Ezzor, à une cinquantaine de km de la frontière syro-irakienne où se déroule un bras de fer entre l’armée régulière syrienne et les FDS kurdes soutenues et armées par la coalition internationale conduite par les Etats-Unis dont plusieurs milliers de soldats sont d’ailleurs présents sur le terrain.
Depuis avril dernier, en effet, l’aviation irakienne ne cesse de multiplier les frappes aériennes sur ces zones en territoire syrien, tout au long de la frontière commune entre les deux pays, dont de larges pans ont été sous le contrôle de l’EI pendant au moins deux ans. C’est ainsi que Baghdad a pu révéler dernièrement l’envoi d’un certain nombre d’officiers du renseignement en Syrie qui, grâce à leur infiltration, sont parvenus à identifier puis capturé cinq hauts responsables de Daesh.
Il faut se rappeler qu’en 2014, la déferlante du groupe terroriste lui avait permis de s’emparer d’un tiers du territoire irakien et d’une partie tout aussi importante du territoire syrien avant que la contre-offensive, née de l’intervention russe en octobre 2015, d’abord à Tartous, puis Hmeimim et enfin sur la majorité des fronts ouverts par l’armée syrienne, ne lui fasse barrage et ne sonne la fin de sa présence en ces pays.
Baghdad a confirmé en décembre 2017 que Daesh était officiellement «vaincu» et qu’il était «chassé» de tous les centres urbains du pays. Mais les forces irakiennes poursuivent sans relâche des opérations, le long de la frontière poreuse et désertique avec la Syrie, où les terroristes conservent encore quelques poches, des éléments de Daesh s’efforçant de maintenir quelques résidus dans la région pétrolière de Deir Ezzor pourtant largement reprise par l’armée syrienne qui fait face aux FDS kurdes, soutenus par la coalition internationale et principalement par les Etats-Unis.

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L’Opep augmentera sa production de 757.000 barils/jour L’Algérie satisfaite

Sun, 06/24/2018 - 12:12

Juste avant la décision de la 9ème réunion du comité conjoint de monitoring OPEP et non-OPEP (JMMC), ainsi que le 7ème séminaire international de l’OPEP à Vienne, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a déclaré que  » la réunion s’est déroulée hier tard dans la nuit, il y a eu des discussions. Aujourd’hui nous reprenons cette réunion et je suis très optimiste pour que nous parvenions à un accord qui puisse contenter tous les membres de l’OPEP et les non-membres participants ».
Lors de cette réunion,  » nous avons œuvré pour rapprocher les points de vue de chacun des ministres des pays de l’OPEP, pour les ramener à un consensus. Nous continuons à travailler dans ce sens pour arriver à un accord qui puisse arranger d’une part le consommateur et contenter en suite le producteur », a souligné le ministre.
Et voilà que les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui conviennent vendredi à Vienne de limiter à 100% leur niveau de respect des engagements pris dans le cadre de l’accord de baisse, ce qui va ramener à une augmentation effective de 757.000 barils/jour.
C’est ainsi que le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a expliqué que  » Cet accord nous ramène à réaliser 100 % de la production (fixée par l’organisation). En mai 2018, nous avons réalisé un taux de conformité de 152 % par rapport aux quotas mis dans l’accord (de la baisse). Les 52% de plus, soit 757.000 barils/jour qui n’a pas été produite, vont être repris ».
Pour M. Guitouni, il s’agit d’un « accord satisfaisant qui agrémente tous les membres de l’Opep et qui sauvegarde, à la fois, les intérêts des consommateurs et ceux des producteurs ».
« Nous sommes très contents de cet accord qui marque la stabilité de notre organisation et qui assure l’équilibre entre l’offre et la demande », s’est-il réjoui.
Ce qui démontre si besoin est que le travail de titan et les efforts fournis par l’Algérie durant ces deux derniers jours pour rapprocher les points de vue entre les membres de l’organisation, en particulier l’Iran et l’Arabie saoudite, a bien réussi.
Le ministre saoudien de l’Energie Khaled al-Faleh a donc affirmé que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a décidé à l’unanimité d’augmenter sa production de pétrole d’environ un million de barils par jour.
« Nous nous sommes accordés autour du chiffre d’un million de barils que nous avions proposé », a affirmé le ministre à l’issue de la réunion semestrielle de l’Organisation.
« Je pense que cela va contribuer de façon significative à répondre à la demande supplémentaire que nous prévoyons au second semestre », a-t-il ajouté.
L’Arabie saoudite, soutenue par la Russie et les Etats-Unis plaidait pour une telle augmentation dans un contexte de hausse des prix et de tensions potentielles sur le marché pétrolier.
Ryad et Moscou voulaient pour cela amender l’accord de limitation de la production qui lie l’OPEP à d’autres producteurs et a contribué à la hausse des cours depuis fin 2016.
Mais l’Iran, dont les capacités de production et d’exportation sont limitées en raison notamment des sanctions américaines, s’opposait jusqu’à vendredi matin à l’objectif d’un million de barils par jour, ne souhaitant pas subir de pertes de revenus et de parts de marché face notamment à son rival régional saoudie
Le ministre de l’Energie, M. Guitouni a bien précisé que « Nous avons aussi discuté avec nos frères koweitiens et irakiens, ainsi qu’avec nos amis vénézuéliens pour qu’ils puissent rapprocher leurs points de vue, et c’est ce qui a été fait » avec l’Arabie Saopudite, la Russie et l’Iran.
Mieux encore et pour mieux comprendre la détermination de l’Algérie à une satisfaction totale sur le sujet, il est important de noter que les pays producteurs comptent discuter des évolutions du marché pétrolier suite à cette décision, septembre prochain à Alger. Cette réunion rentre dans le cadre de la réunion du Comité ministériel conjoint de suivi de l’accord de réduction de la production pétrolière des pays Opep-non Opep (JMMC).

« Répondre » à la demande mondiale
Les ministres de l’Opep sont convenus vendredi d’une hausse de la production de pétrole pour « répondre » à la demande mondiale dans un contexte de hausse des prix, comme le souhaitaient la Russie et l’Arabie saoudite, sous pression américaine.
« Nous nous sommes accordés autour du chiffre d’un million de barils que nous avions proposé », a affirmé le ministre saoudien Khaled al-Faleh à l’issue d’une réunion du cartel à Vienne. « Je pense que cela va contribuer de façon significative à répondre à la demande supplémentaire que nous prévoyons au second semestre », a-t-il ajouté.
L’objectif d’un million de barils par jour, qui concerne l’Opep et dix autres producteurs dont la Russie, n’est toutefois pas mentionné dans le texte signé par le cartel, qui doit encore se réunir avec ses partenaires samedi.
Les objectifs de limitation de production établis fin 2016 par l’Opep et ses partenaires, soit 24 producteurs de pétrole représentant plus de 50% de l’offre mondiale, ont contribué à un redécollage des prix, au plus bas il y a deux ans.
L’Arabie saoudite et la Russie estiment toutefois que la marché est aujourd’hui en risque de « surchauffe », alors que la demande s’accélère.
Ryad et ses alliés ont toutefois eu fort à faire pour convaincre l’Iran de donner son feu vert à une hausse de production alors que la République islamique est sous le coup de sanctions américaines qui compromettent ses capacités d’extraction et d’exportation.
Jeudi soir, le ministre iranien du Pétrole, Bijan Namar Zanganeh, avait quitté une réunion technique, affirmant qu’il n’y aurait « pas d’accord », l’unanimité étant requise pour les décisions de l’Opep.

Réallocations
Mais l’Arabie, premier exportateur mondial, a réussi à faire valoir que l’accord de 2016 laisse des marges de manœuvre, ses plafonds n’étant pas tous atteints.
L’Opep demande ainsi désormais à ses membres de considérer les volumes de production de façon globale plutôt que de fixer des objectifs par pays, ouvrant notamment la voie à des réallocations de quotas d’un pays à l’autre. « Tous les pays ne font pas les mêmes efforts de baisse de production, certaines baisses sont dues à des manques d’investissements », a reconnu Souhail al-Mazrouei, ministre de l’Energie des Emirats arabes unis dont le pays assure la présidence tournante de l’Opep, un propos visant notamment le Venezuela.
Le ministre iranien a assuré après la réunion que le consensus dégagé vendredi correspondait à ce qu’il avait « proposé et accepté », à savoir « respecter l’accord à 100%, rien de plus ». L’Opep se base sur le fait que l’accord initial, qui visait une réduction de 1,8 million de barils par jour, a mené à une baisse réelle de 2,8 millions. Concrètement, les producteurs ayant les moyens d’augmenter leur production pourront désormais accélérer leurs extractions pour compenser les déficits virtuels des autres pays.
Meneur des pays non membres de l’Opep, Moscou est un fervent partisan d’une hausse de production alors que ses entreprises pétrolières privées ont de plus en plus de mal à justifier auprès de leurs actionnaires de retenir leurs extractions et de ne pas profiter pleinement des cours élevés.

Injonction de Trump
Certains analystes présents à la conférence de l’Opep ont toutefois déploré de ne pas voir de chiffres de hausse de production dans le communiqué final.
« Ils ne peuvent pas se permettre d’être aussi vagues qu’ils l’ont été aujourd’hui (vendredi) », s’est étonné Joe McMonigle, de chez Hedgeye. Malgré ce flou, les cours du pétrole ont grimpé à l’annonce de la décision, de 2,08% à 74,67 dollars pour le Brent européen et de 2,99% à 67,50 dollars pour le WTI américain à 14H45 GMT. « J’espère que l’Opep va augmenter son débit de manière significative. Il faut garder les prix bas ! » a de son côté tweeté le président américain Donald Trump au moment où l’Organisation publiait sa décision, après avoir récemment accusé le cartel d’être responsable de la hausse du coût de l’essence aux Etats-Unis. Téhéran avait répliqué en accusant Washington d’avoir « créé les difficultés du marché en multipliant les sanctions contre deux membres fondateurs de l’Opep », l’Iran et le Venezuela. Depuis 2016, la baisse de production établie par l’Opep et de ses partenaires a fait rebondir les prix de l’or noir, brièvement passés sous les 30 dollars début 2016 avant de dépasser les 70 dollars au deuxième trimestre 2018. L’Organisation, qui réunissait 14 pays, a par ailleurs annoncé vendredi l’arrivée d’un nouveau membre, la République du Congo.
Saïd B.

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Mila: Collision entre deux camions, deux morts et trois blessés

Sun, 06/24/2018 - 12:10

 R.N.

  Deux personnes ont trouvé la mort et trois autres ont été blessées dans un accident de la circulation survenue samedi sur un tronçon de la route nationale (RN) 5A, dans la commune d’Oued Athmania (Sud de Mila), a-t-on appris auprès des services de la protection civile (DPC). L’accident s’est produit plus exactement à la mechta de Bouigour, suite à une collision entre deux camions, provoquant la mort sur place de deux personnes, âgées de 39 et de 8 ans, a précisé la même source.

Trois autres personnes, âgées entre 36 et 60 ans, ont été blessées dans ce même accident, a-t-on encore relevé de même source, indiquant que les blessés ont été acheminés par les éléments de ce corps constitué vers l’hôpital des frères Boukhecham, à Oued Athmanie, après les premiers secours prodigués sur les lieux.

Une enquête a été diligentée par les services de sécurité territorialement compétents afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame.

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Ould Abbès à Oran : Bouteflika «n’a pas besoin d’une campagne électorale pour être élu»

Sun, 06/24/2018 - 11:58

par Mokhtaria Bensaâd

Après l’appel du secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia au président de la République à se représenter, en 2019, Ould Abbès, secrétaire général du FLN est revenu sur le sujet pour soutenir, âme et cœur, le chef de l’Etat pour un 5ème mandat. Une position claire et renforcée qui dessine les grandes lignes des prochaines présidentielles dont la campagne a déjà démarré. Tout comme Ouyahia, Ould Abbès a exprimé, hier, lors du regroupement régional des cadres du parti des wilayas de l’Ouest, organisé au cinéma ‘Saâda’, son soutien indéfectible au président de la République, soulignant que : «Abdelaziz Bouteflika est le président du FLN et qu’il n’a pas besoin d’une campagne électorale pour être élu». Pour le n°1 du FLN, la réunion des secrétaires généraux des mouhafadha, au mois de mars dernier et celle de la coordination du parti, composée du Bureau politique, des présidents des commissions des deux chambres parlementaires, des ministres FLN qui sont dans le gouvernement, tenue au mois d’avril dernier, ont été suffisantes pour exprimer la position du parti, en appelant le président, «de manière civilisée», dira Ould Abbès, «pas pour un 5ème mandat et une continuation de ce qu’il a déjà réalisé dans le pays en terme de sécurité et stabilité». «Mais le dernier mot, a insisté le patron du FLN, revient au président de la République, lui seul peut décider de la question. Quant il donnera sa réponse, le secrétaire général du FLN vous la communiquera». Il a ajouté que son parti a appelé à la candidature du président de la République pour la prochaine présidentielle, avant tout le monde. Un vœu qui a été exprimé par 700.000 militants. «Nous souhaitons que sa décision soit une réponse à notre volonté», a insisté le secrétaire général du FLN. Poursuivant son discours, Ould Abbès fera l’éloge de toutes les réalisations du président de la République, depuis son élection en 1999, sur le plan sécuritaire, et développement économique et social et de son parcours politique exemplaire.

Il profitera de cette occasion, aussi, pour présenter, devant une salle comble, les membres du Bureau politique, récemment renouvelé qui ont fait le déplacement avec lui, à ce regroupement à Oran. Il a souligné que «ces membres du Bureau politique ont pour mission de renouveler les ‘kasmas’ et mettre fin à toute l’anarchie qui a régné». Pour conclure, c’est le représentant des cadres de l’Ouest qui a lu une motion de soutien au président de la République et un appel à se présenter pour un 5ème mandat.

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Grève à Air Algérie: Le Syndicat de la maintenance aérienne se prononcera le 2 juillet

Sun, 06/24/2018 - 11:57

Par Moncef Wafi.

  Grève ou non, c’est le 2 juillet prochain que devront se prononcer les adhérents au Syndicat national des techniciens maintenance avions (SNTMA), appelés à une assemblée générale extraordinaire, à la salle de restauration de la base de maintenance. Le communiqué du Syndicat, mis en ligne, vendredi dernier, appelle le collectif des mécaniciens à prendre une décision concernant leurs revendications «à travers un scrutin à bulletin». Ils doivent notamment se positionner par rapport aux revendications salariales, sanctions abusives et contrats de travail, entre autres doléances soulevées auprès de l’Administration d’Air Algérie.

Joint par téléphone, le président du SNTMA, Ahmed Boutoumi, est revenu pour ‘Le Quotidien d’Oran’ sur cette plate-forme revendicatrice qui reste, jusqu’à maintenant, insatisfaite. Aucune augmentation de la fiche de paie à l’horizon mais le plus grave, selon notre interlocuteur, est cette terrible pression exercée sur les mécaniciens, dans l’exercice de leurs fonctions. Il prend comme exemple les délais standards estimé à un mois pour une révision de l’appareil alors qu’on met la pression sur les mécanos pour finir le travail au bout de dix jours, au détriment de la sécurité des passagers et des aéronefs. Des ordres verbaux, qui ne laissent place à aucune traçabilité, d’où le refus de certains de travailler dans la précipitation. Une situation, selon Boutoumi, qui conduit, irrémédiablement, à des sanctions « abusives », des mutations internes, sous le couvert d’« actes de gestion ». Pour lui, cette pression est, également, exercée pour discréditer le Syndicat aux yeux de ses adhérents.

L’autre point de discorde, pourtant discuté lors de la Convention collective, a trait au congé où il est, systématiquement question de paie réduite. « Je viens de recevoir des appels de plusieurs mécaniciens qui dénoncent toujours cette pratique», explique Boutoumi. Quant aux contrats de travail, le Syndicaliste est clair puisque leur métier ne peut pas être géré avec des CDD. Un manquement imputé à l’Inspection du Travail, estime le SNTMA.

Pour rappel, un précédent communiqué du Syndicat soulignait que l’Inspection du travail d’Alger avait été «saisie par diverses correspondances, pour l’application des dispositions de la loi, concernant deux sujets, à savoir : le refus de la notification, à la direction générale d’Air Algérie de deux infractions, vis-à-vis de la loi et le non-respect des procédures de recrutement des mécaniciens et ingénieurs d’avion». Et de citer la loi n°90-11 du 21 avril 1990, relative aux relations de travail, les articles 12, 12 bis (ordonnance 96-21 du 9 juillet 1996) et l’article 14 relatif aux contrats à durée déterminée (CDD) et qui «ne s’applique, en aucun cas, à ce personnel». La même source a expliqué que «la direction générale avait mis fin aux premiers contrats de tous les mécaniciens et ingénieurs, ayant été recrutés depuis une année à trois ans, puis les a reconduits avec de nouveaux contrats toujours en CDD, et cela pour une durée de seulement six mois». Le deuxième sujet concerne l’application de la Convention collective, notamment le chapitre ayant trait à la hiérarchisation des métiers et des salaires. Si le Collectif opte pour la grève, «nous allons respecter la loi à travers les dispositions légales», conclut-il.

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Grâce au concours des écoles, des administrations et des citoyens: 58.000 tonnes de papier recyclable, collectées en 3 mois

Sun, 06/24/2018 - 11:56

Par J. Boukraâ.

  La récupération est un vecteur de développement et d’économie. Une stratégie de promotion du recyclage du papier est en cours de développement, pour encourager les jeunes à investir dans ce secteur. À Oran, les choses commencent à évoluer vers le positif, et ce n’est pas une simple impression puisque des actions concrètes bien qu’encore timides mais réelles, sont entreprises par les autorités locales. Selon un bilan, communiqué par l’EPIC du Centre d’enfouissement technique CET, 58.000 tonnes de papier ont été collectées, durant le 1er trimestre de l’année en cours contre 60.000 tonnes, en 2017 et près de 16.300 tonnes en 2016. Selon l’EPIC, «l’opération de collecte et de recyclage du papier usagé est en bonne voie et on observe un développement significatif, dans notre wilaya, grâce au concours des établissements d’enseignement, des administrations, de divers organismes et des citoyens en général, dans cette opération de recyclage du papier et surtout grâce à la proximité du Centre urbain de tri sélectif de M’dina J’dida, nouveau centre de tri sélectif, ce qui aide les citoyens à amener les feuilles et journaux utilisés pour leur recyclage et réutilisation au niveau local ». Aussi, par le biais d’un communiqué, rendu public, l’EPIC CET lance un appel aux citoyens pour adhérer à cette politique.

«Dans ce contexte, nous demandons à tous les citoyens de la wilaya d’exercer l’esprit de la citoyenneté et le maintien du bien public et de fortement contribuer à relever ce défi, sachant qu’une grande partie du papier est importé de l’étranger» peut-on lire dans le communiqué.

Et d’ajouter : «encore une fois, nous appelons les citoyens à déposer les papiers utilisés, au cours de l’année scolaire, dans les écoles et au nouveau centre de tri urbain de M’dina Jdida, pour que notre entreprise soit en mesure de les recycler et que tous ensemble participions au développement de ce type d’économie ».

Pour rappel, l’opération de tri sélectif, à la source et la récupération des déchets pour les revaloriser, lancée, il y a près de 3 années, par l’Epic Centre d’enfouissement technique CET, semble avoir un bon écho, ce qui a encouragé les initiateurs du projet à lancer d’autres actions. L’établissement est conventionné avec une soixantaine d’établissements scolaires des 3 cycles. L’Epic a ainsi doté les classes des écoles primaires de bacs de couleur verte pour la collecte du papier.

Des affiches explicatives sur l’importance du tri sélectif ont été, également, posées près des bacs pour sensibiliser les enfants.

L’Epic CET d’Oran a aussi, établi des conventions avec 26 entreprises économiques dans 03 zones industrielles de la wilaya d’Oran (Arzew, Es-senia, Hassi Ameur). Cette action entre dans le cadre des actions visant la récupération des déchets secs recyclables (carton, plastique, déchets ferreux). La récupération et le recyclage des déchets sont une activité importante pour l’économie et une véritable source d’énergie pour beaucoup de pays. La valorisation de la récupération et du recyclage des déchets, dont le papier, le carton et le verre, permettra aux entreprises spécialisées d’engranger des revenus supplémentaires et contribuer à la propreté de l’environnement. Dans le cadre de l’élaboration d’un plan d’action, pour le tri sélectif des déchets, dans les établissements hôteliers et touristiques de la wilaya d’Oran, une première expérience de tri sélectif des déchets a été, aussi, lancée à travers plus de 20 établissements hôteliers de la wilaya d’Oran, classés de 3 à 5 étoiles, (Sheraton, Four points, Méridien, Chaîne EDEN, Ibis, Liberté, Complexe les Andalouses… ). Des entreprises spécialisées vont accompagner cette action, qui sera, ensuite, généralisée pour toucher tous les établissements hôteliers.

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Béjaia: L’échangeur et la gare maritime opérationnels

Sun, 06/24/2018 - 11:27

Par Arezki Slimani.

La ville de Béjaïa accueillera ses visiteurs avec deux nouvelle infrastructures qui ont vocation d’améliorer les conditions d’accueil tant par voie terrestre que maritime.

L’échangeur des «Quatre Chemins» a été réceptionné hier. Cette infrastructure, qui a fait couler beaucoup d’encre est désormais en service, désengorgeant plus au moins l’entrée de la ville de Béjaïa, en cette période de saison estivale.
Prévue initialement pour la fin du mois d’avril passé, la livraison de ce projet structurant a été retardée par le mauvais temps qui a sévi des jours durant, dans la région. Depuis la démolition et la délocalisation le mois de mars dernier, des locaux commerciaux situés aux alentours du chantier, le rythme des travaux a connu une cadence plus accélérée. Inscrit en 2010 dans le cadre du plan national de consolidation de la croissance économique, le projet de cet échangeur des «Quatre Chemins» n’a démarré qu’en 2012 pour une enveloppe financière de deux milliards de dinars avec un délai de réalisation initial de 24 mois. L’Entreprise nationale des grands ouvrages d’arts (Engoa), en charge du projet, n’a livré au bout de ce délai, qu’un seul pont en 2014, appelé communément le «plus grand dos d’âne «. Depuis hier, le projet est en service. Est-ce la fin des embouteillages au niveau de l’intersection de l’entrée de Béjaïa? Certains observateurs en doutent. Le problème des bouchons sera tout juste déplacé, affirme un usager de la route habitué a se rendre vers la ville de Béjaïa à partir d’Aokas. Les automobilistes qui viendront de la région est de la wilaya, trouveront toutes les peines du monde pour dépasser le nouveau point noir qui se formera au pont Skala, un carrefour qu’empruntent des milliers d’habitants du grand quartier Sid Ali Labhar et ceux venant de la côte est de Béjaïa et les régions est du pays. A noter que ce projet a coûté deux fois plus cher que prévu. A sa livraison, le coût de réalisation est estimé à 400 milliards de centime. C’est le deuxième grand projet inauguré au courant de ce mois à Béjaïa, si on compte la nouvelle gare maritime, elle aussi en chantier depuis mai 2013. Sa mise en service a coïncidé avec l’accostage au port, du premier car-ferry de la saison estivale, «Le méditerranéen» de la Compagnie Française «Corsica linéa» avec à son bord, plus d’une centaine de passagers et une soixantaine de véhicules.
L’ouvrage, un équipement d’escale complet, est conçu pour accueillir à pleine capacité un million de voyageurs et 100.000 véhicules par an et entend offrir «les meilleurs standards mondiaux en termes de fiabilité et de qualité de service tant pour les passagers que pour les personnels opérant sur le site. Réalisée par le bureau d’architecture «AXXAM «, la gare maritime se décline comme une infrastructure moderne et fonctionnelle. Elle est répartie sur deux sites, l’un à l’intérieur du port, l’autre en zone extra-portuaire, sur une superficie de l’ordre de 30 000 m2 et s’élevant sur trois niveaux, reliés les uns aux autres par des passerelles vitrées, elle offre tant aux citadins qu’aux visiteurs de passage, un spectacle idyllique de l’harmonie chatoyante, unissant l’armature urbaine, le paysage marin et les massifs du Parc national de Gouraya.

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Categories: Afrique

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