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Updated: 3 days 16 hours ago

Tour du Rwanda (8e et dernière étape): Lagab vainqueur, le Rwandais Mugisha en jaune

Sun, 08/12/2018 - 18:28

KIGALI – Le coureur algérien Azzedine Lagab du GS Pétroliers a remporté la huitième et dernière étape du Tour cycliste du Rwanda, courue dimanche à Kigali sur une distance de 82 km, alors que le Rwandais Samuel Mugisha a été sacré du maillot jaune de la 10e édition.

Après avoir remporté la première étape courue sur le circuit de Rwamagana, l’Algérien a récidivé en franchissant la ligne d’arrivée de cette dernière étape avec un temps de 2h06:20, devant l’Espagnol David Lozano (Team Novo Nordisk) et le Rwandais Didier Munyaneza, crédités du même temps.

Au classement général de la 10e édition, Lagab a terminé à la 4e place avec 1min 20sec de retard sur le vainqueur final, le Rwandais Mugisha (Dimension Data).

C’est la 4e victoire d’étape de l’Algérien Lagab pour sa 4e participation au Tour du Rwanda.

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Categories: Afrique

Constantine – Une autre opération de nettoiement à la cité Ciloc

Sun, 08/12/2018 - 15:17

Par A. E. A.

Une énième campagne de nettoyage de la cité Ciloc battait son plein, hier, mobilisant d’importants moyens humains et matériels.

C’est que l’état derrière les bâtiments de ladite cité est déplorable, toujours jonché d’ordures jetées par les fenêtres, malgré les améliorations en matière de cadre de vie qu’elle a connues et ce, surtout après la réalisation du moyen de transport qu’est le tramway, qui la traverse de part en part, lui donnant ainsi une touche de modernité.

En effet, les ordures et déchets de toute sorte sont jetés par les fenêtres des logements des bâtiments, composés de 12 étages. Mauvaise habitude, qui a finalement la peau dure et qui ne veut pas disparaître en dépit du lancement, à intervalle régulier, de campagnes de nettoyage de la cité et visant plus particulièrement l’enlèvement des ordures en question.

Il est à indiquer qu’en général, celles-ci sont menées tambour battant par des habitants, des volontaires de la cité, mais aussi avec la participation des autorités locales, qui fournissement les moyens d’enlèvement et un certain nombre de leurs agents.

Cependant et malgré ces campagnes à répétition, le côté derrière les bâtiments laisse toujours à désirer.

Cette décharge, qui finit par dégager des mauvaises odeurs mais parce que située du côté caché des bâtiments, ne semble pas déranger outre mesure les fautifs pour abandonner cette habitude.

Tout jeter par les fenêtres est devenu à la longue un réflexe, selon certains des volontaires eux-mêmes, qui désespèrent de pouvoir changer un jour ce comportement.

Pourtant, des améliorations ont été apportées à la cité et à son environnement immédiat, à commencer par la peinture et le ravalement des façades des bâtiments du Ciloc, mais également les autres de la cité Kaddour Boumedous, dont le fameux bâtiment Nedjma.

Les améliorations ont concerné aussi l’aménagement d’espaces verts, de réhabilitation du jardin situé en face des bâtiments et sur l’itinéraire du tramway.

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Categories: Afrique

Un rassemblement réprimé à la place des martyrs

Sun, 08/12/2018 - 15:16

De nombreuses personnalités politiques du mouvement Mouwatana ont été interpellées et relâchées par les forces de l’ordre, aujourd’hui à la Place des Martyrs à Alger.

Parmi eux, Sofiane Djilali, président du parti Jil Jadid, la porte-parole du mouvement Mouwatana, Zoubida Assoul, les avocats Salah Debbouz, Abdelghani Badi et le journaliste écrivain Saad Bouakba …

Les personnalités étaient sur le point de brandir des banderoles appelant au refus du 5ème mandat du président Abdelaziz Bouteflika lorsque les forces de l’ordre sont intervenues.

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Categories: Afrique

Tébessa: Dilapidation de deniers publics, 11 interpellations

Sun, 08/12/2018 - 15:15

Par Ali Chabana

Selon un communiqué de la sûreté de la wilaya de Tébessa, l’unité économique et financière, relevant du service de la police judiciaire, vient de traiter une affaire de dilapidation de deniers publics et conclusion de marchés publics, sans tenir compte de la réglementation énoncée dans le code des marchés. Après une enquête approfondie au niveau de la commission de wilaya des œuvres sociales du secteur de l’Éducation. Plusieurs dépassements avaient été enregistrés dans les activités de ladite commission durant le 2e semestre de l’année 2016. Ainsi, pas moins de 11 personnes (40-53 ans) dans l’affaire sont citées, celles-ci sont notamment mises en cause dans la conclusion de contrats avec des agences touristiques, des contrats suspects sont passés avec les agences de voyage sans le recours aux délibérations d’usage, au sein de la commission des œuvres sociales. Concernant le volet financier, les investigations policières ont conclu que les mis en cause agissaient sans les documents comptables exigés, les bénéficiaires des œuvres sociales payèrent leurs apports en espèces, pour ce qui est des voyages organisés au profit des employés de l’Éducation affiliés à cet organisme. Le même procédé étant utilisé pour le payement des agences touristiques. Les services de sécurité parvinrent aussi à élucider le cas de chèques libellés au nom de membres de la commission des œuvres sociales, et des cotisations remises en argent liquide, ce qui est contraire à la loi, en dépit de l’existence d’un compte bancaire (versement des cotisations et remise des reçus) à l’administration concernée. Autre grief retenu à l’encontre des mis en cause auditionnés, ceux-là s’étaient servis de l’argent public pour pouvoir bénéficier de prises en charge complètes, des colonies de vacances et voyages. Plus grave encore, de l’appareillage pour handicapés avait été octroyé sans étude des dossiers et sans noms précis de bénéficiaires. En conclusion, les présumés fautifs seront traduits devant les instances judiciaires pour les chefs d’inculpation de conclusion de marchés contraire au code des marchés publics, dilapidation de deniers publics et non-dénonciation de crime dans la gestion des affaires de la commission des œuvres sociales du secteur de l’Éducation.

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Categories: Afrique

L’Amérique risque de perdre sa guerre commerciale contre la Chine

Sun, 08/12/2018 - 15:13

Par Joseph E. Stiglitz

NEW YORK – Ce qui apparaissait dans un premier temps comme une simple escarmouche commerciale – après l’imposition de droits de douanes par le président américain Donald Trump sur l’acier et l’aluminium – semble s’être rapidement changé en une guerre commerciale totale contre la Chine.

Si la trêve convenue entre l’Europe et les États-Unis est maintenue, l’Amérique se retrouvera principalement en conflit avec la Chine, plus qu’avec le reste du monde (le litige commercial avec le Canada et le Mexique étant bien entendu voué à perdurer, compte tenu d’exigences américaines qu’aucun des deux pays ne peut ou ne devrait accepter).

Au-delà de l’assertion exacte, mais désormais commune, selon laquelle tous les acteurs risquent de finir perdants, que pouvons-nous affirmer quant aux conséquences potentielles de la guerre commerciale menée par Trump ? Premièrement, la macroéconomie l’emporte toujours : si l’investissement intérieur de l’Amérique continue d’excéder son épargne, le pays sera contraint d’importer des capitaux et d’enregistrer un déficit commercial important. Pire encore, en raison des réductions d’impôts adoptées en fin d’année dernière, le déficit budgétaire américain atteint de nouveaux sommets – récemment estimé à plus de 1 000 milliards $ d’ici 2020 – ce qui signifie que le déficit commercial se creusera très certainement, quelle que soit l’issue de la guerre commerciale. L’Amérique ne pourra y échapper que si Trump plonge son pays dans la récession, et que le revenu chute à tel point que l’investissement et les importations s’effondrent.

La « meilleure » issue de l’accent étroit placé par Trump sur le déficit commercial vis-à-vis de la Chine consisterait en une amélioration de la balance bilatérale, associée à une augmentation de même ampleur du déficit vis-à-vis d’un autre pays (ou de plusieurs autres). Les États-Unis pourraient vendre davantage de gaz naturel à la Chine et lui acheter moins de machines à laver, mais ils vendraient alors moins de gaz naturel à d’autres pays, et achèteraient davantage de machines à laver en Thaïlande ou dans un autre État ayant échappé à la colère instable de Trump. Or, l’Amérique ayant interféré avec le marché, elle est vouée à payer plus cher ses importations – et à obtenir moins pour ses exportations – que cela aurait pu être le cas dans d’autres circonstances. Autrement dit, même dans le meilleur des cas, les États-Unis se retrouveront dans une situation plus défavorable qu’aujourd’hui.

Le problème des États-Unis ne se situe pas du côté de la Chine. Le problème est d’ordre intérieur : l’Amérique n’épargne pas suffisamment. Comme un grand nombre de ses compatriotes, Trump adopte une vision de trop courte vue. S’il comprenait un tant soit peu l’économie et la nécessité d’une vision à long terme, il se serait efforcé d’accroître l’épargne nationale, ce qui aurait permis d’atténuer le déficit commercial multilatéral.

Des correctifs rapides et évidents existent : la Chine pourrait acheter davantage de pétrole américain, puis le revendre à d’autres. La différence produit serait infime, avec peut-être une légère augmentation des coûts de transaction. Mais Trump pourrait au moins se targuer d’avoir éliminé le déficit commercial bilatéral.

En réalité, une réduction véritablement conséquente du déficit commercial bilatéral s’avérera difficile. À mesure de la diminution de la demande en produits chinois, le taux de change du renminbi s’affaiblira – même sans aucune intervention du gouvernement. Ceci compensera partiellement les effets des droits de douanes américains, en renforçant dans le même temps la compétitivité de la Chine vis-à-vis des autres pays, et cela même si la Chine n’utilise pas les autres instruments dont elle dispose, tels que le contrôle sur les salaires et les prix, ou qu’elle n’œuvre pas activement pour des hausses de productivité. Comme celle des États-Unis, la balance commerciale globale de la Chine est déterminée par la macroéconomie.

Si la Chine intervient plus activement et riposte plus agressivement, l’évolution de la balance commerciale Amérique-Chine pourrait se révéler encore plus infime. La douleur infligée par un camp à l’autre est difficile à déterminer. La Chine exerce un plus grand contrôle sur son économie, et entend évoluer vers un modèle de croissance axé davantage sur la demande intérieure que sur l’investissement et les exportations. Les États-Unis ne font qu’aider la Chine sur cette voie. En revanche, les manœuvres américaines interviennent à l’heure où la Chine s’efforce de gérer son excès d’endettement et de capacité ; à tout le moins dans certains secteurs, l’Amérique ne devrait pas lui faciliter la tâche.

Une chose est sure : si Trump entend empêcher la Chine d’appliquer sa politique « Made in China 2025 » – adoptée en 2015 pour progresser dans son objectif sur 40 ans consistant à réduire l’écart de revenu entre la Chine et les pays développés – le président américain échouera très certainement. En effet, les démarches de Trump ne pourront que renforcer la volonté des dirigeants chinois consistant à dynamiser l’innovation et à atteindre la suprématie technologique, puisqu’ils réaliseront ne pas pouvoir compter sur autrui, et comprendront que l’Amérique leur est activement hostile.

Lorsqu’un pays entre en guerre, qu’elle soit commerciale ou autre, il lui faut s’assurer de la présence de généraux compétents à ses côtés – aux objectifs clairement définis, à la stratégie viable, et recueillant le soutien de la population. C’est ici que les différences entre la Chine et les États-Unis apparaissent le plus manifestement. L’incompétence de l’équipe économique de Trump est sans équivalent au niveau mondial, et la plupart des Américains ne soutiennent pas la guerre commerciale.

Le soutien populaire diminuera encore davantage à mesure que les Américains réaliseront être doublement perdants dans cette guerre : des emplois disparaîtront non seulement en raison des mesures de représailles chinoises, mais également parce que les droits de douanes américains élèveront le prix des exportations américaines et les rendront moins compétitives, de même qu’augmenteront les prix des produits qu’achèteront les Américains. Ceci pourrait provoquer la chute du taux de change du dollar, et accentuer encore davantage l’inflation aux États-Unis, le tout suscitant toujours plus d’opposition. La Fed rehausserait alors probablement les taux d’intérêt, conduisant à moins d’investissement, moins de croissance et plus de chômage.

Nous savons désormais comment Trump réagit lorsque ses mensonges sont exposés, et que ses politiques échouent : il double la mise. À plusieurs reprises, la Chine a proposé à Trump des options permettant au président américain de quitter le champ de bataille sans perdre la face, et de proclamer la victoire. Il les a toutes refusées. Peut-être l’espoir réside-t-il dans trois de ses traits de personnalité : sa préférence pour le paraître plutôt que la substance, son imprévisibilité, et son amour pour la politique des « grands hommes ». Peut-être qu’à l’occasion d’une rencontre majeure avec le président Xi Jinping, il déclarera le problème résolu, avec quelques ajustements mineurs ici et là en matière de droits de douanes, et quelque geste inédit en direction d’une ouverture du marché déjà annoncée dans les plans de la Chine, de sorte que chacun puisse rentrer satisfait chez lui.

Dans une tel scénario, Trump aura alors « résolu » de manière imparfaite un problème créé par le président américain lui-même. Mais le monde issu de cette guerre stupide n’en demeurera pas moins différent : plus incertain, moins confiant dans l’État de doit à l’international, et présentant des frontières plus dures. Trump a changé le monde de manière définitive, et pour le pire. Même dans le meilleur des cas, seul Trump en sortira gagnant – son égo surdimensionné encore un peu plus gonflé.

Traduit de l’anglais par Martin Morel
*Lauréat du prix Nobel 2001 de sciences économiques. Son ouvrage le plus récent s’intitule Globalization and its Discontents Revisited: Anti-Globalization in the Era of Trump.

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Hennaya: Entre canicule et méchants moustiques

Sun, 08/12/2018 - 15:08

Par Khaled Boumediene

  L’été est insupportable cette année à Hennaya (10 kilomètres au nord de Tlemcen). En l’absence de structures nautiques et de piscines pour se rafraîchir durant la journée, les habitants et notamment les jeunes n’ont qu’une seule solution pour survivre à cette fournaise, celle de s’octroyer chez eux une sieste plus longue l’après-midi. Cette canicule qui met à rude épreuve les nerfs des riverains est synonyme de souffrance notamment quand il fait chaud jour et nuit, car beaucoup de familles n’ont pas de clim. Pour leur part, les moustiques font des misères aux habitants cet été. Plus nombreux, plus virulents, ils pullulent depuis plusieurs semaines dans la ville. Sans compter les autres insectes piqueurs ou mordeurs qui leur tournent autour, tels que les mouches hématophages, taons et autres guêpes.

« Cet été on n’arrête pas de se faire piquer, ça devient insupportable ! », déplore Omar qui habite tout près d’Oued Galliane dont le cours d’eau est très infesté par les rejets d’égouts publics. Son voisin Saïd est sur la même ligne. Ce handicapé hennaoui est couvert de boutons : « Je ne suis jamais piqué d’habitude mais cette année ça démange sans arrêt ! Elles sont nombreuses ces bestioles. Mais, on se demande où sont les responsables concernés pour éradiquer la prolifération de ces petites bêtes dans l’agglomération de Hennaya », s’interroge-t-il. Selon un médecin des urgences médico-chirurgicales du CHU de Tlemcen, « les moustiques sont très virulents cet été. Beaucoup d’habitants de Hennaya sont victimes des piqûres agressives et intensives. Parfois, l’on constate des réactions allergiques impressionnantes chez ces gens ».

La population craint surtout les moustiques tigres qui semblent s’être installés dans certaines localités du pays. Sid-Ahmed, trentenaire, avoue que « cette année il fait très chaud ! C’est vraiment compliqué pour les habitants qui font ce qu’ils peuvent pour ne pas trop souffrir de la canicule étouffante qui écrase la ville depuis juillet dernier. De plus, l’humidité des barrages environnants de Sekkak, Hammam Boughrara et Sidi Abdelli est venue s’ajouter ces dernières années à la chaleur dans la région.

Le taux d’humidité de l’air est très élevé et vraiment on suffoque. Certes, certains jeunes partent à la mer. Les plages de Rechgoun, Madrid, El-Ouardania, M’khaled, Tafessout, Sidi Youchaa, Bider et Marsa Ben M’hidi deviennent même leurs destinations privilégiées. Mais il y en a beaucoup qui restent, et malheureusement ils n’ont pas où se baigner ».

De nombreux habitants prennent les crémeries d’assaut le soir, pour siroter une glace ou des boissons fraîches. En effet, non loin du siège de l’APC au centre-ville, les deux crémeries de Brixi et Khemmar animent le grand boulevard de l’Indépendance. Ces boutiques constituent d’ailleurs le seul vrai moment de détente et de plaisir qui s’offre à tout le monde. « Nous n’avons pas de choix, la seule solution pour nous est de faire suffisamment de sieste pour veiller longtemps la nuit, prendre de la glace aux saveurs multiples, boire beaucoup d’eau froide et veiller à l’extérieur le plus longtemps possible pour ne pas subir la chaleur qui règne à l’intérieur de nos habitations », souligne Abderrazek, un sportif de Hennaya.

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Mobilité des cadres dans le monde: L’Algérie attire de plus en plus de cadres internationaux

Sun, 08/12/2018 - 15:07

Les talents internationaux sont de plus en plus attirés par l’Algérie selon les résultats d’une enquête mondiale de 366 000 personnes dans 197 pays menée par Boston Consulting Group BCG, premier cabinet international de conseil en gestion et stratégie d’entreprise en collaboration avec   THE NETWORK , le réseau mondial qui regroupe les plus grands sites de recrutement, dont Emploitic le leader de l’emploi en ligne en Algérie.

L’enquête fait ressortir qu’en terme d’attractivité des talents, l’Algérie fait un bond de la 114 ème place en 2014 à la 83 ème en 2018 parmi 197 pays concernés par ce classement.

Les talents qui convoitent l’Algérie viennent des quatre coins du monde. Les Tunisiens viennent en tête des nationalités qui souhaitent venir travailler en Algérie. D’autres pays comme le Benin, la France, l’Arabie saoudite ou encore la Norvège font partie de la liste des pays dont les travailleurs souhaitent tenter une expérience professionnelle en Algérie.

Cette étude nous offre toutefois un autre enseignement : 84% des algériens sont prêts à s’expatrier pour un emploi.

Qu’est- ce qui motive les algériens à s’expatrier ? 

Parmi les candidats algériens déclarés à l’expatriation, 84% sont des jeunes de moins de 30 ans. Ils sont 86 % dans la communauté des  universitaires  (Licence, Master  doctorat ou équivalent,) à avoir répondu favorablement à la question du départ à l’étranger.

Les opportunités d’apprentissage et de formation, les possibilités offertes pour le développement de la carrière et la stabilité financière des employeurs sont citées parmi les premières raisons qui poussent ces cadres à s’expatrier. D’autres motivations d’ordre personnelles sont évoquées : découvrir d’autres horizons, , une nouvelle culture ou un nouveau mode de vie

 Où est ce que les Algériens voudraient s’expatrier ?

Le Canada est la destination préférée des algériens souhaitant s’expatrier

Les algériens prêts à tenter la mobilité, placent en tête de leur choix de destination le Canada, la France et l’Allemagne. Viennent ensuite les Emirats arabes unis, le Royaume Uni, la Belgique. Trois autres destinations sont citées : le Qatar, la Suisse et l’Espagne.

Qui sont les algériens touchés par l’étude de BCG ?

Les données sur les interviews en Algérie ont été recueillies auprès de 27% de femmes, et 71% d’hommes.  Les personnes  de 27 ans à 37 ans ont participé en majorité à l’étude

Les interviews ont visé une population cible majoritairement universitaires et diplômés, des bacheliers et  étudiants  ont aussi participé au sondage

Les employés dans les filières industrielles et manufacturières, ceux du secteur public ou ceux travaillant dans l’administration des affaires sont plus fortement représentés dans l’enquête de Boston Consulting Group

Téléchargez ici la présentation complète de l’enquête « Global Talent Survey »

A propos d’Emploitic.com : Crée en avril 2006 à travers le dispositif ANSEJ, Emploitic.com se positionne aujourd’hui comme le leader du recrutement sur Internet en Algérie. Emploitic est un organisme de placement des travailleurs agrée par l’Etat et l’ANEM. Il est aussi membre d’une alliance Internationale «The Network » regroupant les plus importants sites emploi dans 135pays.

 

À propos du Boston Consulting Group : Le Boston Consulting Group (BCG) est un cabinet international de conseil en gestion et le premier conseiller mondial en stratégie d’entreprise. Il travaille en partenariat avec des clients du secteur privé, public et à but non lucratif de toutes les régions. Fondée en 1963, BCG est une société privée avec des bureaux dans plus de 90 villes et 50 pays. Pour plus d’informations, visitez bcg.com.

À propos de The Network : Le réseau est une alliance mondiale de plus de 50 sites parmi les plus grands sites de recrutement, engagés à trouver les meilleurs talents dans plus de 130 pays.

Fondé en 2002, The Network est devenu le leader mondial du recrutement en ligne, au service de plus de 2 000 entreprises mondiales. Les sites de recrutement de The Network attirent près de 200 millions de visiteurs uniques chaque mois. Pour plus d’informations, visitez    www.the-network.com.

 

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Trump et la croissance économique à long terme

Sun, 08/12/2018 - 15:07

Par Kenneth Rogoff

CAMBRIDGE – Le président Trump se flatte régulièrement d’être à l’origine du regain de croissance de l’économie américaine. Néanmoins, l’influence des présidents américains sur l’économie se fait bien plus sentir à long terme que dans l’immédiat. Il est vrai que sa décision de baisser les impôts et d’augmenter les dépenses stimule l’économie à court terme. Il en est de même du comportement des acheteurs étrangers de soja par exemple qui font des stocks avant que la guerre commerciale n’atteigne son paroxysme. Mais même avec un déficit budgétaire de presque 1 000 milliards de dollars, il n’est pas facile d’accélérer la croissance d’une économie qui pèse 20 000 milliards de dollars. Les fluctuations à court terme des stocks des entreprises freinent la croissance, tandis que d’autres facteurs la stimulent sur une courte période.

Dans un environnement politique agité, il n’est pas facile de penser à long terme. Mais grâce à la magie des taux d’intérêt composés, les mesures qui n’ont que peu d’effet sur la croissance à long terme peuvent néanmoins avoir un impact important. Ainsi la déréglementation du secteur des transports sous la présidence de Jimmy Carter à la fin des années 1970 a facilité le développement des achats sur Internet. Les baisses d’impôts massives sous la présidence de Ronald Reagan dans les années 1980 ont favorisé le retour de la croissance dans les décennies qui ont suivies (tout en creusant les inégalités). Les mesures prises par Barak Obama (et avant lui par George W. Bush) pour effacer les dégâts de la crise financière de 2008 sont en grande partie à l’origine du regain de croissance d’aujourd’hui que Trump porte à son propre crédit.

Quels seront les effets de la politique économique de Trump dans 10 ans ? Au-delà du vacarme politique, il est difficile de répondre à cette question.

Commençons par les éléments en sa faveur. La réforme de l’impôt sur les sociétés de fin 2017 constitue l’un des rares occasions où le Congrès américain a amélioré le système fiscal américain d’une complexité byzantine, même s’il aurait mieux valu fixer le taux de l’impôt sur les sociétés à 25% plutôt qu’à 21%.

Obama aurait sûrement aimé faire voter une loi du même genre. Mais durant sa présidence, le Congrès à majorité républicaine exigeait que toute loi concernant la fiscalité soit sans incidence sur les recettes, même à court terme, ce qui rendait difficile toute réforme d’ampleur. Les mesures dérégulatoires de Trump, notamment celles concernant les PME, auront probablement un effet positif sur la croissance à long terme, car elles annulent certaines décisions malencontreuses prises à la fin du mandat d’Obama – même si Trump abroge les réglementations utiles avec toutes les autres.

On n’a guère porté d’attention à un domaine dans lequel le gouvernement américain cherche actuellement à innover. Il s’agit de la reconversion professionnelle des travailleurs licenciés et de l’amélioration de la formation professionnelle au niveau de l’enseignement secondaire. En principe, grâce à la technologie et aux grandes bases de données, l’Etat fédéral peut mieux informer les lycéens et les travailleurs quant aux qualifications les plus demandées et à la répartition géographique des emplois.

Certains critiques disent qu’il s’agit d’une excuse pour réduire ou supprimer les budgets destinés aux programmes de reconversion déjà en place. Il est facile d’être cynique, pourtant l’idée qu’Internet puisse améliorer considérablement la formation et la reconversion professionnelle est bonne. Il est à noter que la fille du président, Ivanka Trump, soutient activement ce type de programme.

Trump a sans doute renforcé le potentiel de croissance de l’économie américaine à long terme, mais beaucoup d’éléments de sa politique économique font pencher la balance du mauvais coté. Ainsi, de nombreuses études (de feu l’économiste David Landes à celles plus récentes de Daron Acemoglu du MIT et de James A. Robinson de l’université de Chicago) montrent que les institutions et la culture politique sont les facteurs clés de la croissance à long terme. Il faudra sans doute des années pour que les USA se relèvent des dommages infligés par Trump à leurs institutions et à leur culture politique – et le coût économique sera considérable.

Par ailleurs, méprisant à l’égard de la science, le gouvernement de Trump voulait réduire considérablement le budget consacré à la recherche, notamment celui des Instituts nationaux de santé et de la Fondation nationale pour la science, mais heureusement le Congrès a refusé ces coupes. Il tend aussi à mettre en veilleuse l’application des lois antitrust. Cela creusera encore davantage les inégalités à long terme. Il ne reste à Trump que les mines de charbon et les droits de douane pour tenter de réparer les dégâts, mais ce n’est là qu’un plâtre sur une jambe de bois.

Enfin, priver l’Agence pour la protection de l’environnement de ses moyens d’agir et se retirer de l’Accord de Paris sur le climat ne favorisera la croissance à long terme, car la lutte ultérieure contre les dégâts de la pollution dépassera largement celui de mesures de prévention que l’on cherche à mettre en œuvre aujourd’hui.

En ce qui concerne la régulation financière, la masse de nouvelles règles adoptées après la crise financière de 2008 a été une aubaine pour les avocats. Plutôt que de faire du micromanagement bancaire, il serait préférable de veiller à ce que les actionnaires soient moins protégés, de manière à ce qu’ils interviennent pour que les grandes banques prennent moins de risque. Par contre, s’affranchir de la législation en place sans rien mettre à la place ouvre la voie à une nouvelle crise financière.

Aussi, bien que l’économie américaine soit en rapide croissance, il faudra attendre au moins une dizaine d’années pour évaluer tous les effets de la politique économique de Trump. En attendant, si une crise survient ce ne sera pas de sa faute… au moins à ce qu’il dira, puisqu’il a déjà commencé à critiquer la Réserve fédérale pour avoir augmenté les taux d’intérêt, ce qui nuit selon lui à l’économie américaine et à tout ce qu’il a fait en sa faveur.

Traduit de l’anglais par Patrice Horovitz
*Professeur d’économie et de sciences politiques à l’université de Harvard. Il a été économiste en chef du FMI

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Chlef: Trop cher le poulet-frites !

Sun, 08/12/2018 - 15:05

Par Bencherki Otsmane

En dépit du dispositif mis en place, appelé Syrpalac (Système de régulation des produits agricoles à large consommation), qui faisait que les structures étatiques achetaient d’énormes quantités de pomme de terre à des prix garantis pour les stocker

pour être injectées graduellement dans les circuits commerciaux pour protéger le producteur, d’une part, et pour maintenir les prix dans une fourchette raisonnable, on assiste ces derniers jours à une envolée des prix de ce tubercule.

Pour rappel, il y a à peine un mois le kilo de pomme de terre était cédé à 30 voire 25 DA. Aujourd’hui au niveau des marchés de détail de la wilaya, la pomme de terre a atteint et même dépassé le cap des 70 DA le kilo. Les consommateurs n’en reviennent pas d’autant plus que leur wilaya occupe une place respectable parmi les régions productrices de pomme de terre avec des pics qui peuvent atteindre les 3 millions de quintaux par saison. On est tenté de dire que le système Syrpalac mis en place il y a quelques années a atteint ses limites et bon nombre de producteurs sont réticents quant à y adhérer préférant nettement un système de régulation des prix à eux, en mettant sur le marché juste suffisamment de quantités pour maintenir les prix au niveau qui les arrange.

Toutefois les ménages pourront toujours se rabattre sur les autres produits de saison tels que la tomate cédée à 40 DA, l’oignon à 25 DA, la carotte à 30 DA, le poivron à 50 DA. Quant aux pastèques et melons, c’est l’abondance et le prix est à la portée de tout le monde. Le raisin quant à lui en ces premiers jours de récolte est cédé entre 120 DA et 200 DA pour le muscat. Par ailleurs, un autre produit qui défraye la chronique ces derniers jours est le poulet dont les prix ont atteint des pics jamais égalés. De 280 dinars le kilo en plein mois de ramadhan, aujourd’hui il est proposé à plus de 430 dinars. Là également chacun donne sa version. Certains imputent cette envolée des prix au fait que l’offre qui est inférieure à la demande du fait que de nombreux aviculteurs préfèrent faire « le pont » en cette période de canicule redoutant des pertes sèches. D’autres par contre attribuent cette frénésie des prix à la cherté du poussin (à 120 DA l’unité contre 40 DA auparavant) conjuguée à celle de l’aliment de la volaille.

Quoi qu’il en soit, le consommateur lambda continuera de voir son porte-monnaie se rétrécir telle une peau de chagrin tellement les prix commencent à lui faire appréhender un spectre d’une hausse des prix d’autres produits d’ailleurs relevée à l’approche de chaque Aïd El Adha, y compris le mouton qui se négocie à partir de 35.000 dinars pour une bête à peine de 12 kilos.

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L’Arba: Les commerçants du marché couvert veulent des arrêts de bus à proximité

Sun, 08/12/2018 - 15:02

Par Tahar Mansour

Depuis l’ouverture de la nouvelle gare routière et le déplacement de l’arrêt menant vers Bougara et Blida vers cette gare, les commerçants du marché couvert se disent lésés par la perte de nombreux clients. Pour rappel, la gare routière pour les bus menant vers Ouled Slama, Bougara et jusqu’à Blida se trouvait collée au marché couvert de L’Arba et de très nombreux citoyens demeurant essentiellement à Ouled Slama et Bougara s’y rendaient pour leurs emplettes quotidiennes ou hebdomadaires. « Depuis le déplacement de la gare routière, nos clients éprouvent mille difficultés pour transporter leurs achats jusqu’à la nouvelle gare située à près d’un kilomètre de là », nous confie Ali, un vendeur de poulets à l’intérieur du marché couvert. Les commerçants demandent au moins un arrêt à proximité du marché pour aider les citoyens, surtout ceux âgés ou malades, pour arriver jusqu’à la nouvelle gare routière. « Nous avons sollicité les autorités locales qui nous ont répondu que ‘Fiha El Khir’ mais rien n’a été fait jusqu’à maintenant », ajoute notre interlocuteur.

Il y a aussi lieu de noter que de nombreux citoyens réclament l’ouverture de lignes urbaines avec des microbus pour relier les quartiers éloignés de la nouvelle gare routière qui se trouve quand même à près de trois kilomètres de certains d’entre eux.

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Mascara: Vers l’élargissement de la voie ferrée

Sun, 08/12/2018 - 15:01

Par Mohamed Belkecir

La wilaya dispose actuellement dans certains endroits d’un réseau ferroviaire obsolète nécessitant une rénovation, précisément entre les villes de Mascara, Mohammadia et vers Saïda qui sont reliées par une vieille voie ferrée étroite datant des années 30.

Cette voie est empruntée par des trains adaptés aux petits rails qui ne permettent pas de rouler rapidement, en surplombant le barrage de Fergoug et en se faufilant à travers les montes de Beni Chougrane. Pour cela, la direction des transports annonce que bientôt ce tronçon sera aménagé en voie large et l’étude est en phase d’achèvement pour laisser place aux travaux de réalisation qui s’effectueront en deux lots, Mohammadia-Mascara et Mascara-Saïda.

Durant l’ère coloniale, Mascara avait sa gare et sa voie étroite. Avec le temps, tout a disparu ne laissant que le pont de Khessibia et le beau viaduc du faubourg de la gare.

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Meftah: Encore une mort par noyade

Sun, 08/12/2018 - 14:59

Par Tahar Mansour

  Malgré les SMS envoyés par l’Agence nationale des barrages (ANB), les mises en garde des diverses autorités et les informations qui leur parviennent quant à la dangerosité de la baignade dans les eaux des barrages, de jeunes hommes continuent de perdre leur vie en bravant le danger et en faisant preuve de grande imprudence en allant se baigner dans tout endroit où ils trouvent de l’eau.

Cette fois, c’est dans une retenue collinaire située à Sidi Hammad, dans la commune de Meftah, qu’un jeune homme âgé de 25 ans est mort noyé vendredi dernier. Alertée, l’unité de la Protection civile dépêcha ses éléments renforcés par des plongeurs et la dépouille du malheureux fut retirée de la retenue collinaire aux environs de 18h05 et transférée vers la morgue de l’hôpital de Meftah pour les formalités d’usage.

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Arrêtés au port de Castellón: Cinq Marocains et un Algérien passent 48 heures dans un container

Sun, 08/12/2018 - 14:57

Par Moncef Wafi

Cinq Marocains et un Algérien ont été arrêtés, dans l’après-midi de mercredi dernier, par la police espagnole, à bord d’un navire arrivé du Maroc. Selon le compte rendu de la presse ibérique, ils sont restés enfermés dans un conteneur pendant 48 heures.

Après l’alerte donnée par le bateau, affrété par la compagnie maritime anglaise ‘Borchard’, et qui a accosté au port de Castellón, dans l’est de l’Espagne, plusieurs agents du département fiscal de la ‘Guardia Civil’ ont embarqué, empêchant les six passagers clandestins de débarquer jusqu’à l’arrivée de la police nationale. Ces derniers avaient embarqué à Casablanca et le navire a continué sa route, à destination de l’Algérie, accumulant ainsi un léger retard, dans son départ à cause du travail que devaient faire les agents de l’immigration, explique-t-on.

Les passagers clandestins étaient cachés dans un conteneur, à bord du navire venu de Casablanca et amarré dans le port de Castellón, pour y charger des tuiles. Ils ont été identifiés par la police et expulsé vers leurs pays d’origine.

Si cette manière de voyager n’est pas nouvelle, chaque jour on enregistre un ou deux cas de voyageurs clandestins, il n’en demeure pas moins que cette fois-ci le nombre étonne. En effet, et après le ‘11 Septembre’, la sécurité dans les ports et aéroports a été renforcée, rendant tout accès clandestin à ces infrastructures presque impossible. Voyager dans les cales des navires en partance vers l’Europe a été l’un des moyens les plus prisés par les ‘harraga’ algériens qui payaient leur droit de traversée à des membres d’équipage qui les faisaient embarquer. D’autres déjouaient la sécurité pour se cacher, à l’abri de l’équipage, et prendre le risque de se faire arrêter en pleine mer, dans les eaux internationales. Parfois, on signalait des ‘harraga’ jetés, tout bonnement, par-dessus bord.

Le 14 août 2002, un bateau battant pavillon philippin, ‘Le Marina’, quitte le port d’Oran, transportant du blé à destination de la Yougoslavie. Trois jeunes originaires de la ville d’Es Senia embarquent, clandestinement et seront découverts, une fois au large, par l’équipage philippin, dans la cuisine du navire. Ils ont alors été présentés au commandant de bord qui aurait ordonné de les jeter à la mer. Les trois jeunes Algériens tenteront, tant bien que mal, de convaincre l’équipage du ‘Marina’ de leur donner des bouées de sauvetage afin de regagner les côtes, en vain. Après plusieurs heures de négociation, on leur a accordé juste une bassine flottante pour qu’ils regagnent les côtes. Le plus jeune d’entre eux, se jette à l’eau et s’accroche à la grande bassine. Les deux autres n’ont pas voulu quitter le navire, ils se sont accrochés aux cordes. Ils seront attachés à l’aide des cordes et jetés à la mer. Selon l’article publié, en 2012, dans une revue en ligne de géographie politique et de géopolitique, on apprend que le sujet des passagers clandestins embarqués sur les navires de marine marchande et les conséquences de leur présence au sein du monde maritime et portuaire ont peu été étudiés jusqu’alors. « Phénomène invisible par définition et peu médiatisé, il entraîne pourtant, lorsque le passager est découvert à bord, des situations humainement insoutenables et révèle des pratiques complexes où les considérations économiques priment, souvent, sur les droits humains», lit-on. La présence et le traitement des passagers clandestins, à bord des navires de marine marchande, ne sont pas des phénomènes nouveaux. En 1957, l’Organisation maritime internationale (OMI) rédige une convention internationale relative aux passagers clandestins afin de faciliter, entre autres, le débarquement de ces derniers. Novateur, ce texte se propose de régler le sort de ces passagers avec beaucoup d’humanité et de précision en définissant, notamment, une obligation d’accueil à la charge des pays signataires.

Adoptée par la Conférence diplomatique sur le droit maritime, mais inapplicable car insuffisamment ratifiée, cette convention envisage, frontalement, le règlement de situations aussi complexes qu’événementielles : au problème, une fois posé, le texte offre des solutions. Le passager clandestin est un accident ; il s’agit alors d’organiser et de systématiser la gestion de l’aléa, alors même qu’il se réalise. En ce sens, cette convention allège les devoirs du capitaine, alors et encore juridiquement responsable du passager clandestin en couvrant son droit à «livrer» ledit passager clandestin, à l’autorité compétente du port d’un État contractant.

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Aïd El Adha sera célébré mardi 21 août

Sun, 08/12/2018 - 14:35

ALGER – L’Aïd El Adha sera célébré le mardi 21 août, a indiqué dimanche le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs dans un communiqué.

Le Dimanche 12 août 2018 coïncidera avec le 1er Dhou el Hidja 1439 de l’hégire, précise le communiqué, ajoutant que le rassemblement sur le Mont Arafat interviendra lundi 9 Dhou el Hidja, correspondant au 20 août.

Les musulmans peuvent jeûner en ce jour conformément à la sunna. À cette occasion, le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs présente ses meilleurs vœux à tout le peuple algérien.

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BMS: Pluies et grêle sur six wilayas

Sun, 08/12/2018 - 14:32

Office national de météorologie annonce un bulletin météo spécial pour ce dimanche, en effet l’Ouest de l’Algérie sera touché par de fortes pluies sous forme d’averses orageuses et grêle.

Les wilayas concernées sont: El Bayadh, Laghouat, Djelfa, Tiaret, M’sila et Biskra, les pluies prendront fin le soir à 21H.

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Nouveaux forfaits Roaming de Ooredoo: Avec Ooredoo, restez connectés et joignables à l’étranger et bénéficiez de jusqu’à 1 Go de connexion et des appels en illimité

Sun, 08/12/2018 - 13:00

Ooredoo, leader technologique, accompagne ses clients durant la saison estivale lors de leurs déplacements à l’étranger et lance, pour la première fois et en exclusivité, des nouveaux forfaits Roaming leur permettant de bénéficier d’une multitude d’avantages en appels, SMS et Data.

Durant la période des vacances, et à travers ces forfaits, les clients de Ooredoo peuvent effectuer des appels vers Ooredoo Algérie jusqu’en illimité et en recevoir de tous les pays du monde, d’envoyer des SMS et de bénéficier de jusqu’à 1 Go de connexion Internet et ce, pour 2000 DA seulement.

Ces forfaits Roaming, valables durant 07 jours, sont accessibles via le code            * 160 # pour les 07 destinations suivantes : France, Maroc, Arabie Saoudite, Espagne, Tunisie, Turquie et Italie, selon les détails suivants :

  • France: pour 2000 DA seulement le client bénéficie de 120 Min d’appels vers Ooredoo Algérie, de 1 Go d’Internet, de 20 Min de réception et de 20 SMS offerts.
  • Maroc: pour 2000 DA seulement le client bénéficie de 120 Min d’appels vers Ooredoo Algérie, de 20 Min de réception et de 20 SMS offerts.
  • Arabie Saoudite: pour 2000 DA seulement le client bénéficie d’appels illimités vers Ooredoo Algérie, de 200 Mo d’Internet, de 60 Min de réception et de 20 SMS offerts.
  • Espagne (Telefonica) : pour 2000 DA seulement le client bénéficie d’appels illimités vers Ooredoo Algérie uniquement, de 200 Mo d’Internet, de 20 Min de réception et de 20 SMS offerts.
  • Espagne (Vodafone) : pour 2000 DA seulement le client bénéficie de 1 Go d’Internet.
  • Tunisie: pour 2000 DA seulement le client bénéficie de 120 Min d’appels vers Ooredoo Algérie, de 1 Go d’Internet, de 20 Min de réception et de 20 SMS offerts.
  • Turquie: pour 2000 DA seulement le client bénéficie de 30 Min d’appels vers Ooredoo Algérie, de 200 Mo d’Internet, de 20 Min de réception et de 20 SMS offerts.
  • Italie : pour 2000 DA seulement le client bénéficie d’appels illimités vers Ooredoo Algérie uniquement, de 1 Go d’Internet, de 20 Min de réception et de 20 SMS offerts.

Avec cette nouvelle offre, Ooredoo enrichit l’expérience de ses clients en leur offrant la possibilité de rester connectés avec leurs proches durant leurs séjours à l’étranger.

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Haï Sabah: La réalisation d’une annexe de CEM provoque l’ire des habitants

Sun, 08/12/2018 - 12:58

Par Houari Barti

Le projet de construction d’une annexe de CEM (en préfabriqué) à Haï Sabah sur une parcelle de terrain censée abriter un espace vert conformément au plan d’occupation des sols (POS) crée la polémique et suscite une vive réaction de la part des associations et comités de quartiers.

Ces derniers ont, en effet, protesté hier devant le chantier du projet, exigeant l’arrêt immédiat des travaux. «Nous ne sommes pas contre le projet de réalisation de l’annexe du CEM. Nous sommes contre le choix du site devant l’abriter, car le terrain choisi est un espace vert selon ce que prévoit le POS. Nous sommes également contre la forme qu’on veut donner au projet : des classes en préfabriqué. Nous demandons des classes en dur, selon les normes d’usage», ont affirmé au Quotidien d’Oran des membres de l’Association El Wouroud wal El Hayet, qualifiant ce genre de solutions de «bricolage» pour un problème qui a été pourtant soulevé «depuis près de cinq années». Les mêmes sources soulignent que leur quartier dispose d’un seul et unique CEM avec un effectif de près de 1.500 élèves. Et avec la prochaine rentrée des classes et les quelque 400 nouveaux élèves devant rejoindre cette année le cycle moyen au niveau du quartier, le problème de surcharge des classes va s’accentuer davantage.

Pourtant, affirment les membres du mouvement associatif, «nous ne cessons depuis au moins cinq années de revendiquer un nouveau CEM pour nos enfants. Mais les autorités locales sont restées, tout ce temps, sourdes à nos doléances préférant affecter le peu de terrains inoccupés dont disposait le quartier à des privés pour la réalisation de promotions immobilières. Et ce n’est qu’aujourd’hui que les pouvoirs publics semblent enfin se réveiller et prendre conscience qu’il y a nécessité d’un nouveau CEM pour les élèves du moyen». Après avoir «bradé» le plus gros du patrimoine foncier du quartier, «ils se rabattent aujourd’hui sur un espace vert. Et devant l’urgence de la situation, ils optent pour la solution du préfabriqué», ont-ils affirmé. «Voilà donc la situation à laquelle on est arrivé. Il est temps que chacun assume sa responsabilité», disent-ils.

Les représentants de la société civile sollicitent aujourd’hui le wali d’Oran pour d’une part délocaliser le projet sur un site autre que celui réservé à l’espace vert, et d’autre part à revoir la qualité du projet, en optant pour un CEM en dur pas en préfabriqué. Une réunion des représentants des associations de quartiers avec le secrétaire général de la wilaya qui assure actuellement la fonction de wali par intérim, est prévue aujourd’hui, a-t-on appris par ailleurs.

Les membres du mouvement associatif ont par ailleurs mis l’accent sur la nécessité pour les pouvoirs publics de revoir le découpage administratif qui, selon eux, est en grande partie responsable du marasme général dans lequel évolue le quartier de Haï Sabah. Distant de moins de 2 kilomètres du chef-lieu de la commune de Bir El Djir et d’à peine 800 mètres de l’USTO, le quartier de Haï Sabah, à l’est d’Oran, dépend pourtant de la commune lointaine de Sidi Chahmi (10 kilomètres de distance). Un « non-sens du point de vue géographique, mais aussi social et économique », affirment les membres des associations de quartiers qui se battent depuis plusieurs années déjà pour donner écho aux aspirations des quelque 40.000 âmes qui y vivent. Un quartier dont les jeunes ne disposent pas de stades de proximité comme quasiment tous leurs concitoyens des autres quartiers.

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D’autres projets prévus sur le site: 1.800 logements LPA projetés aux «Planteurs»

Sun, 08/12/2018 - 12:56

Par Houari Saaïdia

La décision d’injecter aux ‘Planteurs’ le gros d’un programme de logements déjà notifié à la wilaya, celui du LPA sous sa nouvelle version, d’une consistance de 1.800 unités, actera la naissance d’un nouvel ensemble urbain peu consommateur d’espace, qui émergera de dessous les décombres.

Ce paquet de logements publics se veut être le premier élément structurant du POS, partie haute, de Sidi El-Houari, phase post-débidonvillisation. Cet ensemble d’habitats, autrement dit, aura pour fonction de jeter les premiers jalons d’un aménagement urbain ciblant ce périmètre à flanc de montagne. L’idée-force de ce processus initié par le wali et pour lequel il a eu déjà l’aval des instances centrales, c’est de procéder par étapes, d’aménager par partie, pour ré-urbaniser, restructurer et revitaliser le site. Passer à l’action, doucement et modérément, et ne pas attendre l’hypothétique éradication intégrale du bidonville. Les éléments se juxtaposeront, les pièces s’emboîteront, les unes dans les autres, donnant corps au POS au fur et à mesure. «Plus facile à dire qu’à faire», diront certains. «Trop beau !», diront d’autres. Sur le plan technique, ce terrain en relief, fort accidenté, très remblayé puisque le bon sol se trouve à -10 m par endroits, pose un sérieux problème de surcoût de l’acte de construction, a fortiori quand il s’agit d’un programme plafonné financièrement comme c’est le cas du LPA, avec un risque plus que théorique que la facture de réalisation excède, au final, le crédit budgétaire alloué à cet effet. Plus problématique encore, c’est la nature juridique de la majeure partie de la zone, qui relève du domaine forestier, frappé des trois fameux ‘i’: incessible, inaliénable et imprescriptible. A l’évidence, ces détails de taille n’ont pas échappé aux pouvoirs publics locaux.

Les contraintes «nature juridique» du terrain et «nature du sol»

Pour mieux comprendre le contexte et cerner la problématique lié à ce dossier, il est intéressant de revenir à l’interview accordé par le wali au ‘Quotidien d’Oran’ (voir notre édition du 2 janvier 2018) « Dès mon arrivée à Oran, j’ai chargé l’Agence foncière et l’OPGI de mener une étude au sujet des terrains pouvant être récupérés après les démolitions. J’ai, en effet, requis cette étude car la meilleure façon d’occuper ces assiettes, c’est de les restructurer, les aménager et les aménager. Je suis très sceptique à l’idée d’un reboisement du site après sa débidonvillisation. Ça fait dix ans qu’on parle d’opération de plantation. Mais où est cette opération de reforestation ? Je suis un amoureux de la verdure et un fervent défenseur de la nature. Je voudrais bien qu’il ait, au lieu et à la place de ces horreurs architecturales, une forêt urbaine. J’ai à cœur de voir celle-ci régénérer, renaître de ses cendres. Mais je crois au concret, à l’action. Où est cette opération ? Inama taatou bil maarouf : L’obéissance doit être par la raison. A l’impossible nul n’est tenu. Après déménagement, j’ai demandé à l’Agence foncière de mener une étude pour projeter des petits ensembles immobiliers, du semi-collectif et du collectif pour ré-urbaniser le site. J’étais confronté malheureusement au problème du domaine forestier. Il faut passer par un conseil ministériel. J’ai fait une démarche en ce sens. Les petites poches foncières ne présentant aucune contrainte juridique, elles sont insignifiantes. Il est impossible de convaincre un promoteur immobilier en lui disant : allez venez, je vous donne 500 m². Si c’est à meubler, il faut meubler le tout. Pas des petites cases, ça et là. On va voir comment donner une suite à ce dossier, surtout avec les promoteurs publics », avait déclaré Mouloud Cherifi. Six mois plus tard, une solution a été trouvée, celle qui consiste à implanter, sur site, un nouveau programme LPA, de petite-moyenne taille, en le scindant en plusieurs îlots épars, lequel dispositif a été rendu possible par le dégagement d’un bon nombre de petites réserves foncières éparpillées dont la superficie totale répond aux besoins.

Des petites poches, par-ci par-la, à défaut d’un site d’un seul tenant

Ainsi, un programme LPA de 1.800 unités dont l’Agence foncière et l’OPGI se taillent une part de 300 chacun, a été domicilié dans le site des ‘Planteurs’, précisément dans les endroits déjà évacués de leurs occupants, au gré des opérations de relogement vers le pôle urbain de Oued Tlélat et tout de suite rasés et délimités. Les études géotechniques ont été même déjà accomplies et un cahier de charges a été approuvé par la Commission technique DL-DUAC (direction du Logement et direction de l’Urbanisme, de l’Architecture et de la Construction). Des bureaux d’études ont été désignés par voie d’appel d’offres, également. Une procédure qui sera suivie par le lancement, prochainement, d’un avis d’appel d’offres pour le choix des entreprises de réalisation de ce programme LPA. Quatre sur les cinq sites, composant le programme à l’indicatif de l’Agence foncière, sont déjà projetés à ce POS, celle-ci a proposé le même emplacement pour le 5ème site. Pour satisfaire cette demande, il va falloir dénicher une poche foncière libre et sans contrainte. Néanmoins, selon les dernières informations recueillies auprès du directeur de l’Agence foncière, deux sites se sont avérés inadéquats après étude géotechnique plus poussée, puisqu’il s’agit de terrains à forte couche de remblais, le bon sol se trouvant à une profondeur de 12 m. Une demande de remplacement de ces deux sites a été formulée par l’Agence foncière auprès de la wilaya. Peu à peu, on y voit donc un peu plus clair. La ré-urbanisation de l’espace bidonvillisé, perché à flanc de montagne, surplombant le quartier de Sidi El-Houari, à hauteur des ‘Planteurs’ et dont les tentacules s’étendent à Ras El-Aïn, Couchet El-Djir et El-Hassi, n’étant plus une « option » dans les projections des pouvoirs publics, mais une décision prise, un projet approuvé, le processus se fera par phasage.

Deux cents hectares dont 3/4 à urbaniser et 1/4 à sauvegarder

« Reboiser tout le terrain récupéré, cela serait un sinistre retour à la case de départ, puisque ce faisant, nous mettrons en place, de nos propres mains, les conditions favorables à une résurgence du phénomène baraquement. L’idée, c’est de restructurer ce secteur, de le ré-urbaniser spécifiquement tout en respectant ses caractéristiques, ses singularités, dont en prime son entourage immédiat par Sidi El-Houari », avait affirmé, par ailleurs le wali, en marge d’une « énième » opération de relogement, ciblant un pan de ce site d’habitats précaires. Le wali se voulait pragmatique, loin de l’idéalisme des adeptes de l’écologisme et de la ville verte ainsi que du passéisme des nostalgiques qui se souviennent, encore et toujours, des jardins et des sources d’eau douce du ravin de Ras El-Aïn, lequel élément structurait, jadis, une logique d’aménagement basés sur l’activité majeure d’exploitation terrienne, assortie d’activités liées aux moulins, lavoirs et fontaines qui ponctuaient les rythmes des pratiques sociales dans le temps et l’espace. Réalisée par le ‘BET Buvor’, l’étude du POS, approuvée en 2001, prévoit surtout de meubler les 3/4 de ce périmètre-site, s’étendant sur une superficie de 203 ha en habitats collectifs et équipements publics, d’aménager un terrain à boiser ainsi que quelques espaces verts et aires de détente et de loisirs, tout en sauvegardant une parcelle de 51ha, entre patrimoine historique et site naturel.

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La gendarmerie sensibilise contre les accidents de la route

Sun, 08/12/2018 - 12:50

Par K. Assia

Sous le slogan ; «ensemble pour un été sans accidents de la route», une campagne de sensibilisation a été lancée, dans l’après-midi de vendredi, au parc d’attractions d’El Hamri, par le groupement de la gendarmerie d’Oran. Cette action, initiée en collaboration avec le mouvement associatif activant dans le domaine de la Sécurité routière, a ciblé, principalement, les enfants, considérés comme les automobilistes de demain. Les éléments de la gendarmerie ont insisté sur le respect du code de la route, en appelant les familles à s’impliquer, davantage, dans la prévention pour éviter le pire. La lutte contre la criminalité de la route interpelle tous les acteurs pour minimiser les dégâts et les pertes humaines occasionnées à la suite de ces accidents de la route dont la principale cause demeure le facteur humain. Notons que cette campagne de sensibilisation se poursuivra jusqu’au 20 août prochain et ciblera les localités balnéaires, les places publiques et toutes les zones relevant de la compétence de la gendarmerie d’Oran.

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48e année du raï: La fête annulée!

Sun, 08/12/2018 - 12:30

Par Wahib AïT OUAKLI 

Les organisateurs de la 48e année du raï accusent le ministère des Affaires étrangères.

Coup d’épée dans l’eau. La festivité dédiée à la célébration de la 48e année du raï n’aura pas lieu. La rencontre artistique a été annulée. Une telle mesure a été décidée par l’association Art et Culture et la protection du patrimoine musical oranais lors de la réunion de son comité directeur ayant jugé que les préparatifs sont truffés de blocages et d’entraves administratifs. «A ce jour, aucune suite n’a été donnée, négative ou positive», ont expliqué les cadres de l’association responsabilisant la direction de la culture d’Oran «d’avoir programmé, à la dernière minute, le festival de la chanson oranaise a la même période de notre évènement au théâtre régional d’Oran». Or «nous avons déposé un dossier de partenariat et une demande d’exploitation de cette infrastructure pour un cycle de conférences, tables rondes et projections des documentaires sur l’histoire du raï», a-t-on affirmé ajoutant que «une autre demande a été déposée au directeur du théâtre avec plusieurs lettres de rappel». «Aucune suite ne nous a été formulée», a-t-on déploré.

Les organisateurs de la 48e année du raï mettent à l’index le ministère des Affaires étrangères l’accusant de se figer dans son silence en n’intervenant pas auprès des consulats d’Algérie a l’étranger pour l’octroi des visas d’entrée pour les artistes à titre gratuit pour se produire en Algérie en animant des spectacles aussi bien à Oran que dans d’autres wilayas à titre gratuit. Ce n’est pas tout. L’association Art et Culture indique que «certains consuls ont exigé le paiement des visas qui s’élève à 80 euros par personne, chose qui a poussé certaines formations artistiques à se retirer». La même association met dans le même panier d’oeufs le maire d’Oran l’accusant «d’avoir signifié un niet catégorique quant à mettre à notre disposition le théâtre de verdure Chekroune Hasni pour les soirées officielles des 48 ans du raï ainsi que le jardin ibn Badis -ex- Promenade de l’étang». L’enfonçant davantage, les responsables de l’association Art et Culture déplorent le silence du P/APC sur le premier Salon des associations de tourisme et artisanat, plats traditionnels ainsi que d’autres aides». «Il n’a même pas répondu à notre demande d’installation d’un drapeau géant et le portrait du président de la République au stade Ahmed Zabana -ex- 19 Juin, pour le concert non-stop spécial de la clôture où un duplex était prévu d’Oran vers l’Europe par la chaîne beur Fm et France Maghreb». Les déboires de l’association Art et Culture sont innombrables à commencer par l’imbroglio régnant autour de l’octroi de la salle de cinéma devant abriter le spectacle des medahette. «A Oran pour avoir la salle du cinéma le Maghreb ou Saâda il faut avoir l’accord de la direction de l’Onci à Alger et que ces salles appartiennent a l’Apc d’Oran et se trouvent au centre-ville d’Oran! s’exclame-t-on.

Et pourquoi déposer la demande a Alger? s’interroge t-on. «Hélas», soupire-t-on alors que «l’on a voulu, a travers cette manifestation, rendre hommage à plusieurs défunts artistes oubliés et remettre des trophées et diplômes de reconnaissance pour tout ce qu’ils ont fait pour la musique». Il s’agit des hommages à rendre aux défunts Ahmed Wahby, Cheikh Zargui-Cheikha Remiti, Cheikh Fethi, Saim El Hadj-Cheb Djalal, Cheb Hasni, Cheb Aziz, Cheb Yassine, Djillali Raïna Raï-Cheikh Senhadji, cheikh Bouteldja Belkacem et autres. Pour les cadres de l’association, seules les directions de la jeunesse et du tourisme d’Oran ont mis leur patte. La première a accordé la tenue du grand gala de cloture dans le stade alors que la deuxième a mobilisé ses guides touristiques devant accompagner les participants étrangers dans les différents sites touristiques à visiter. L’enjeu est, selon les organisateurs de la fête annulée, de taille. La réussite de la célébration, à Oran, de la 48e année du raï était synonyme du retour au bercail du festival du raï dont la première édition a été tenue en 1985 avant qu’il ne soit délocalisé vers la ville de Sidi Bel Abbès à partir de l’année 2008.

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