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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Ooredoo Algérie annonce son bilan financier du 3ème trimestre 2018

Wed, 10/31/2018 - 16:38

Le groupe de télécommunications Ooredoo a rendu public, ce mardi 30 octobre 2018, son bilan financier du 3ème trimestre 2018.

Au 30 septembre 2018, Ooredoo Algérie a enregistré des revenus de l’ordre de 66,7 milliards de dinars algériens.

Le résultat avant intérêts, taxes, dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations (EBITDA) a atteint 25,5 milliards de dinars algériens au 3ème trimestre 2018.

Quant au nombre d’abonnés, celui-ci a atteint au 3ème trimestre 13.8 millions d’abonnés à fin septembre 2018.

Par ailleurs, Ooredoo Algérie a investi près de 12,3 milliards de dinars algériens au 3ème trimestre de l’année 2018, orientés principalement vers l’installation et la modernisation de son réseau 4G.

Au sein du groupe Ooredoo, Ooredoo Algérie représente 12 % du nombre d’abonnés et 13 % des investissements globaux du groupe.

Ooredoo poursuit la consolidation de sa position de leader dans le segment du digital, de l’internet mobile haut débit et de son réseau 4G de qualité, le premier opérateur à couvrir les 48 wilayas du pays.

Les résultats du 3ème semestre 2018 confirment l’engagement de Ooredoo dans la démocratisation des nouveaux usages mobiles auprès de ses clients algériens à travers des offres de connectivité innovantes et des services digitaux à la pointe de la technologie.

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Ooredoo signe un partenariat de sponsoring avec le Mouloudia Club d’Alger

Wed, 10/31/2018 - 16:34

Ooredoo, partenaire par excellence du football algérien, annonce aujourd’hui, mardi 30 octobre 2018, la signature d’un contrat de sponsoring avec le doyen des clubs du football algériens, le Mouloudia Club d’Alger (MCA).

L’accord de sponsoring a été paraphé conjointement par le Directeur général de Ooredoo, M. Abdullatif Hamad Dafallah et le Président du Conseil d’Administration de la SSPA / MCA, M. Baghdad Hirèche lors d’une cérémonie organisée au niveau du siège de Ooredoo à Alger en présence des cadres de la Sonatrach et de Ooredoo  et de M. Kamel Kaci-Saïd, Directeur général sportif du MCA.

En cette occasion, le Directeur Général de Ooredoo, M. Abdullatif Hamad Dafallah a déclaré : « Nous sommes honorés de signer un partenariat de sponsoring avec le Mouloudia Club d’Alger, un club historique qui jouit d’une large popularité et qui rassemble des millions de supporters. En mon nom et au nom de Ooredoo, je souhaite la bienvenue au MCA dans la famille de Ooredoo et je lui souhaite plein succès Inchallah dans son parcours. Nous sommes fiers d’accompagner ce prestigieux club qui continue d’honorer les couleurs de l’Algérie lors des compétitions nationales et régionales. »

Pour sa part, le Directeur général sportif du MCA, Kamel Kaci-Saïd a affirmé : « Nous sommes heureux de conclure ce contrat de sponsoring avec Ooredoo et sommes convaincus que ce partenariat donnera un nouveau souffle à notre Club. Ce partenariat nous aidera, j’en suis convaincu, à réaliser une saison sportive accomplie. En mon nom et au nom des joueurs et de tout l’encadrement du MCA, je remercie Ooredoo pour sa confiance et son engagement à nos côtés. »

A noter que le MCA, fondé en 1921, est le club le plus ancien dans l’histoire du football national et le troisième club le plus titré en Algérie avec 20 titres officiels. Il a été 07 fois Champion d’Algérie et a remporté 08 Coupes d’Algérie, 03 Coupes maghrébines, 02 Super-coupes d’Algérie et une Coupe d’Afrique des Clubs Champions.

Il y a lieu de rappeler que Ooredoo a signé, récemment au niveau de son siège à Alger, deux Conventions de sponsoring avec deux prestigieux clubs à savoir l’Entente Sportive de Sétif (ESS) et la JSK.

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Ghardaïa: La caravane du «Raid des Sables» chaleureusement accueillie à la vallée du M’zab

Wed, 10/31/2018 - 16:19

Écrit par O. Yazid

A coups de klaxons, de feux de détresse et de phares allumés, ils sont entrés dans le K’sar de Bounoura, reçus aux sons des karkabous et zernadjia, sur le seuil de l’APC par son président Abdellah Bennacer, entouré de quelques élus et notables de la commune éponyme. Comme le veut la tradition, ils ont été «gavés» de dattes de la meilleure variété, à savoir Bentekhbala, et de lait.

Ravis et tout contents de la chaleur de l’accueil, ils ont donné libre cours à leur expression corporelle, dansant sans retenue, créant une ambiance à laquelle les riveraines ont participé par des youyous, lancés à partir des fenêtres et des balcons. Le long cortège, composé de 17 véhicules de Raideurs et Raideuses et de voitures de l’organisation, a ensuite pris le chemin de la palmeraie de Beni Izguène, lieu de leur hébergement. Ce n’est que vers les coups de 18 heures que les
31 participants au Raid des sables, version 2018, dont 20 femmes, ont enfin franchi l’entrée de Beni Izguène où ils ont posé leurs bagages dans le splendide caravansérail de l’agence Mzab Tours, propriété de Toufik Boughali, l’organisateur du raid et infatigable défenseur du tourisme saharien, en particulier, et de l’Algérie, en général. «Je suis époustouflée par tant de beautés naturelles. Ce sont des paysages merveilleux que nous avons traversés tout au long de ces 600 km de parcours. Et dire que ce n’est que la 2e étape. Les organisateurs affirment que par rapport à ce qui nous attend, nous n’avons encore rien vu», déclare une participante au Raid, un rallye sans vitesse ni concurrence, en fait une caravane de 17 véhicules, conduits par des pilotes venus de divers horizons et de plusieurs nationalités, dont une Marocaine. La majorité des participantes et participants sont, en fait, des Franco-Algériens, des représentants de la diaspora algérienne en France. Il y a même un couple français qui a tenu à faire partie de cette 3e édition qui, au vu de la parfaite organisation, tant au niveau de la logistique que de la prise en charge des concurrents, se dirige vers une incontestable réussite. «Ghardaïa est une magnifique ville, c’est la première fois que je viens dans la région et je peux vous assurer que je reviendrai», ajoute une émigrée, chef d’entreprise, subjuguée par le riche patrimoine architectural de cette ville classée au patrimoine universel de l’humanité par l’Unesco en 1982.
Ayant pris le départ d’Alger, vendredi matin, les 31 participants à cette longue balade sont arrivés à Ghardaïa le lendemain soir, après avoir parcouru, en deux étapes, avec un chrono cumulé de près de 10 heures, la distance séparant la capitale de la vallée du M’zab, avec comme première étape la capitale des Ouled Naïls, Djelfa. Accueillis et hébergés au fond de la merveilleuse palmeraie du magnifique Ksar de Beni Izguène, dans la superbe résidence traditionnelle de l’agence M’zab Tour, appartenant au doyen des agences de tourisme de la région, Tewfik Boughali, l’organisateur unique de ce 3e Raid, ils ont été agréablement surpris par l’hospitalité dont ils ont été entourés tout au long de leur passage à Ghardaïa. Avant de repartir au petit matin du lundi pour une troisième étape, qui devrait les conduire, sur une distance de 270 km, vers El Goléa. Le dimanche étant quartier libre pour la découverte des superbes ksour de la vallée du Mzab, ces charmantes visiteuses ne se feront certainement pas prier ni se sentiront gênées pour «dévaliser» les boutiques de tapis, d’artisanat et de bibelots de Ghardaïa, en souvenir impérissable de leur passage dans la capitale des Rostémides. Selon le programme qui nous a été remis, la traversée entière du pays du Nord au Sud, par la Route nationale N° 1, d’Alger vers Tamanrasset sur près de 2 200 km, se déroulera en 7 étapes et atteindra son point d’orgue après avoir passé une nuit sous une constellation d’étoiles dans un bivouac à la Zaouïa de Moulay Lahcène à 400 km au sud d’In Salah, aux alentours du Hoggar et de l’Assekrem, véritables merveilles de la nature.

Après avoir «avalé» l’asphalte sur 600 km entre Alger et Ghardaïa, nos courageux participants embarqueront successivement pour les étapes entre Ghardaïa et El Goléa, 270 km, puis El Goléa-In Salah 400 km, In Salah-Moulay Lahcène 401 km et, enfin, Moulay Lahcène-Tamanrasset sur une distance de 299 km. Pour ce qui est de l’intendance, en sus d’un médecin, qui assure la couverture sanitaire du Raid, et une ambulance avec équipe médicale, pas moins de 10 véhicules pour l’encadrement, 4 véhicules pour la presse qui en assure la couverture médiatique, 1 camion Catéring, 1 camion-citerne d’eau de 5 000 litres, 2 groupes électrogènes, 1 camion sanitaire (toilettes) , un équipement complet pour le bivouac, 1 véhicule atelier mécanique avec mécanicien accompagnent la procession. C’est dire que pour assurer une réussite parfaite le paquet est mis par Toufik Boughali, l’organisateur. Par ailleurs, chapeau pour les services de sécurité qui ont, jusqu’ici, parfaitement assuré le parcours de toute la caravane concurrents, accompagnateurs et véhicules. Ils ont réussi, grâce à la parfaite organisation dont ils ont fait preuve, à mettre les concurrents et leurs accompagnateurs dans les meilleures conditions possibles. Et c’est parfaitement réussi.

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Tissemsilt : Premières journées du court-métrage à partir d’aujourd’hui

Wed, 10/31/2018 - 15:35

Les premières journées nationales du court métrage débuteront aujourd’hui à Tissemsilt sous le thème «L’Algérie au regard du cinéma», ont annoncé lundi les organisateurs. Initiée par la Maison de la culture «Mouloud Kacem Nait Belkacem» de Tissemsilt en collaboration avec l’association de wilaya «culture et arts» à l’occasion de la célébration du 64e anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale, cette manifestation prévoit la projection d’une vingtaine de courts métrage de cinéastes amateurs de 17 wilayas du pays ainsi que sept documentaires mis en scène part des amateurs des wilays de Laghouat, Boumerdès, Tissemsilt, Annaba, Relizane et Alger, a indiqué le président de l’association organisatrice, Wahid Metahr.

Les courts métrages et les documentaires seront évalués par un jury composé d’universitaires de Sidi Bel-Abbès et de Mostaganem ainsi que de cinéastes. Les trois meilleurs de la première catégorie et les deux meilleurs de la deuxième seront primés, a-t-on fait savoir. Deux courts métrage hors compétition, à savoir «la dernière projection» du réalisateur Abdelhakim Chakhchoukh de Sétif et «Message de M’hamed à M’hamed» de Bentamra M’hamed de Tissemsilt, seront également présentés, a-t-on ajouté. Le programme de cette manifestation de quatre jours comporte aussi des expositions d’archives du cinéma algérien, d’appareils photos anciens et de livres sur la Guerre de libération nationale, outre des ateliers de formation sur la mise en scène, tournage et écriture de scénarios. Des communications sur l’histoire et l’anthologie du cinéma algérien, et les courts métrages en Algérie seront animées par des universitaires. Une soirée musicale oranaise sera animée par l’artiste Tarik Chebli, dit Ahmed Wahbi junior, cheilkh Miloud El Vialari. Des récitals poétiques en melhoun seront également au programme. Le comédien Ahmed Benaissa, qui a pris part à plusieurs films de guerre et la cinématographe retraité de la cinémathèque d’Alger Dahane Khadra seront honorés à cette occasion.

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Crée, hier, à la réunion du COMEFA, entre l’Algérie et la France : Un Fonds pour faire décoller les investissements

Wed, 10/31/2018 - 15:29

L’institution d’un Fonds propre commun à l’Algérie et la France, s’apparente comme une intention réelle des deux parties de faire bouger les choses, de faire décoller les projets qui bloquent. Des mois durant pour certains, voire des années pour d’autres, après la signature des accords inhérents à des investissements touchant à des secteurs générateurs de richesse.

La réunion du Comité mixte économique franco-algérien (COMEFA), s’est tenue hier à Paris, au Quai d’Orsay, sous la co-présidence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, côté algérien, et du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, pour la partie française. Cette rencontre économique par excellence, a vu la participation du ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi et du ministre de l’Economie et des Finances français, Bruno Le Maire. Devant son homologue, Messahel a été clair au sujet des attentes de l’Algérie en termes des investissements français dans notre pays, souhaités à forte valeur ajoutée, tirée essentiellement par une assise productive diversifiée.
L’occasion a été donnée aux deux parties de faire le point sur les partenariats économiques, notamment dans cinq secteurs jugés générateurs de richesse. Il s’agit de l’automobile, l’agroalimentaire, la transition énergétique, la mobilité urbaine et le numérique. D’ailleurs, les discussions ont abouti à la création d’un Fonds d’investissements commun aux deux pays, dont la déclaration d’intention a été signée entre les deux MAE, algérien et français. Ce Fonds repose essentiellement sur un apport financier du secteur privé, qui sera représenté par des partenaires issus des deux pays.
Intervenant à la veille de la célébration de la date du 1er Novembre, représentant le déclenchement de la Révolution algérienne, cette rencontre se sent les relents d’une «réconciliation économique», sachant que bon nombre d’investissements entre les deux pays, français surtout, battent de l’aile.
À présent, Jean-Yves Le Drian dresse la situation de l’investissement économique français en Algérie et les échanges commerciaux entre les deux pays. «Ce sont plus de 8 milliards d’euros d’échanges commerciaux chaque année avec plus de 7000 entreprises françaises travaillant avec l’Algérie. Ce sont aussi près de 500 entreprises françaises implantées en Algérie qui emploient 40 000 personnes et qui génèrent 100 000 emplois indirects dans les domaines stratégiques pour nos deux pays que ce soit l’automobile, le transport, la santé, l’agriculture», a-t-il détaillé, comme pour parler des relations exceptionnelles du point de vue économique, liant les deux rives.
Farid Guellil

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Crée, hier, à la réunion du COMEFA, entre l’Algérie et la France : Un Fonds pour faire décoller les investissements

Wed, 10/31/2018 - 15:24

L’institution d’un Fonds propre commun à l’Algérie et la France, s’apparente comme une intention réelle des deux parties de faire bouger les choses, de faire décoller les projets qui bloquent. Des mois durant pour certains, voire des années pour d’autres, après la signature des accords inhérents à des investissements touchant à des secteurs générateurs de richesse.

La réunion du Comité mixte économique franco-algérien (COMEFA), s’est tenue hier à Paris, au Quai d’Orsay, sous la co-présidence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, côté algérien, et du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, pour la partie française. Cette rencontre économique par excellence, a vu la participation du ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi et du ministre de l’Economie et des Finances français, Bruno Le Maire. Devant son homologue, Messahel a été clair au sujet des attentes de l’Algérie en termes des investissements français dans notre pays, souhaités à forte valeur ajoutée, tirée essentiellement par une assise productive diversifiée.
L’occasion a été donnée aux deux parties de faire le point sur les partenariats économiques, notamment dans cinq secteurs jugés générateurs de richesse. Il s’agit de l’automobile, l’agroalimentaire, la transition énergétique, la mobilité urbaine et le numérique. D’ailleurs, les discussions ont abouti à la création d’un Fonds d’investissements commun aux deux pays, dont la déclaration d’intention a été signée entre les deux MAE, algérien et français. Ce Fonds repose essentiellement sur un apport financier du secteur privé, qui sera représenté par des partenaires issus des deux pays.
Intervenant à la veille de la célébration de la date du 1er Novembre, représentant le déclenchement de la Révolution algérienne, cette rencontre se sent les relents d’une «réconciliation économique», sachant que bon nombre d’investissements entre les deux pays, français surtout, battent de l’aile.
À présent, Jean-Yves Le Drian dresse la situation de l’investissement économique français en Algérie et les échanges commerciaux entre les deux pays. «Ce sont plus de 8 milliards d’euros d’échanges commerciaux chaque année avec plus de 7000 entreprises françaises travaillant avec l’Algérie. Ce sont aussi près de 500 entreprises françaises implantées en Algérie qui emploient 40 000 personnes et qui génèrent 100 000 emplois indirects dans les domaines stratégiques pour nos deux pays que ce soit l’automobile, le transport, la santé, l’agriculture», a-t-il détaillé, comme pour parler des relations exceptionnelles du point de vue économique, liant les deux rives.
Farid Guellil

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Plaintes de la FEA contre un journaliste et un cavalier près le tribunal de Mostaganem : Metidji cité à comparaitre pour le 13 novembre prochain

Wed, 10/31/2018 - 15:22

Les procès opposant le président de la Fédération équestre algérienne, Metidji M’hamed Zoubir, au journaliste Mentouri Djamel, pour diffamation, et au cavalier Djenane Naïm, pour comparution, lui aussi, sont passés hier, au tribunal de Mostaganem.

Absent de cette audience, le président de la FEA, Metidji, était représenté par son avocat. Il avait introduit une plainte pour diffamation contre le directeur du mensuel Filaha Agro-news, estimant avoir été accusé dans un post publié sur Facebook.
L’article (post sur Facebook) en question incriminait la gestion de Metidji à la tête de la Fédération équestre algérienne et énumérait les motifs d’une dilapidation expliquée par les faits, les chiffres et les images.
L’avocat de Mentouri, Maître Kerzazi Kamel, s’appuyant sur la complexité des faits et le souci de clarification affirmant que cette affaire n’est que l’arbre qui cache la forêt, a demandé que la partie plaignante soit présente. Demande à laquelle a répondu favorablement la présidente du tribunal, en exigeant la présence de Metidji pour une seconde audience, programmée pour le 13 novembre prochain. L’autre procès était intenté par le même Metidji, cette fois-ci contre Djenane Naïm, un cavalier émérite de longue expérience, qui avait écrit un autre post dans lequel il ne s’attaquait pas directement à Metidji, mais répondait au journaliste Abderrahmane Semmar à propos d’un article très laudatif et élogieux sur Metidji écrit et publié sur le site électronique Algériepart.
Dans cet article-réponse, Djenane Naïm traitait Abdou Semmar de « menteur » et énumérait les motifs de critique de la gestion de Metidji concernant notamment le bilan moral et financier, les suspensions abusives de présidents de clubs équestres, la dilapidation de 2,6 milliards pour l’édition commerciale d’un livre sur la fantasia (publication onéreuse imprimée en Chine et éditée sur du papier de luxe acheté en Suisse), livre qui n’a jamais eu le retour des finances consenties… etc.
Faits complexes et enchevêtrés qui exigeaient de toute évidence la présence indispensable du président de la FEA, M’hamed Zoubir Metidji. D’où le renvoi des deux affaires pour le 13 novembre et lesquelles, sans aucun doute, connaitront d’autres rebondissements et concerneront le MJS.
Correspondance particulière de Mostaganem O. Fayçal

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A la veille de la célébration du 1er novembre 54 : Zitouni relance les dossiers qui fâchent

Wed, 10/31/2018 - 15:21

Au terme de son inauguration de l’exposition « Mémoire », organisée au sanctuaire du martyr, marquant la célébration du 64ème anniversaire du déclenchement de la Révolution de libération nationale, du 1er Novembre 1954, le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a qualifié la sauvegarde de la mémoire nationale de «socle (…), un véritable ciment en mesure de maintenir l’unité nationale » a-t-il déclaré. En marge de l’exposition «Mémoire» qui s’inscrit dans le cadre des festivités du programme spécial pour les célébrations, à travers le pays, du 1er Novembre 1954, placés cette année sous le thème «L’Algérie, un message de gloire et Novembre l’étendard de ses principes et valeurs», le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a affirmé, lundi, dernier, à Alger, que «la sauvegarde de la mémoire et la fidélité au message des moudjahidine et martyrs» constituaient a-t-il soutenu «le véritable ciment  en mesure de maintenir l’unité nationale.» a-t-il affirmé.

Sur l’Exposition en question, à laquelle participent l’ensemble des musées régionaux du pays, pour marquer le 64ème anniversaire du déclenchement de la révolution du peuple algérien, contre le système colonial français, en Algérie, le ministre dira que cet espace ouvert au grand public « vise la commémoration des sacrifices de la génération de Novembre». D’autant, a-t-il poursuivi que cette exposition consacre «des espaces rappelant les VI wilayas historiques» dans le but «de vulgariser l’information historique auprès des visiteurs», a-t-il soutenu. Par ailleurs, il est à rappeler, que dans le cadre de la célébration de cette date historique, pour le peuple algérien, des visites dans différents sites historiques sont prévus, à travers le pays et notamment la tenue de plusieurs conférences thématiques ayant trait à cet évènement, qui se dérouleront au niveau des musées régionaux et de wilayas. Il sera notamment question de la poursuite de l’opération d’enregistrement de témoignages vivants des moudjahidine.
K. B./APS

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Au 1er jour du SILA 2018: un intérêt particulier pour les livres historiques et scientifiques

Wed, 10/31/2018 - 15:16

Le 23e Salon international du livre d’Alger (Sila 2018) a ouvert ses portes au public, hier, au Palais des expositions des Pins-Maritimes. L’événement a drainé un nombre important de visiteurs, jeunes en majorité, issus de plusieurs régions du pays, en quête d’ouvrages dans différents domaines. En effet, les premiers visiteurs rencontrés se sont intéressés à la littérature , mais surtout aux livres historiques et scientifiques. Lors de notre visite, au premier jour de ce salon , nous avons bien remarqué ce grand interêt du public pour les ouvrages historiques et scientifiques.

De même, la plupart de ces visiteurs ont investi le pavillon central, l’espace le plus attractif du salon qui accueille les exposants spécialisés dans les livres scolaires, universitaires et les ouvrages scientifiques et historiques. «Le Sila est un évènement culturel le plus attendu par les Algériens», nous dira Lamine, un jeune étudiant en archéologie, rencontré au salon. Et d’ajouter : «ce lieu est considéré également comme un espace d’échange et d’information sur les derniers romans et les nouvelles publications de certains romanciers. De même, le salon est une occasion où chaque écrivain aura l’occasion de rencontrer son public». Son ami, Djallal, 36 ans, diplômé aussi en archéologie, estimera, toutefois, que  «cet espace de lecture me permet de découvrir et de lire la panoplie complète de livres dont j’ai besoin …». Avant de poursuivre : «moi j’étais toujours attiré par les livres d’histoire et de la préhistoire».
Un autre visiteur estimera, pour sa part, que le salon en question présente au public une vraie richesse en livres, notamment les ouvrages scientifiques.

Un représentant de l’OPU : «Le livre universitaire a besoin de sa promotion»
Aussi, lors de notre visite au salon, nous avons remarqué une affluence notable pour le livre universitaire: «le livre universitaire revêt aussi une importance considérable pour les visiteurs, notamment pour les étudiants», a affirmé, Kherrouba Ahmed, un représentant de l’Office des publications universitaires (OPU). Notre interlocuteur soulignera, d’autre part, que ce livre a besoin de sa promotion.
À propos de la participation de l’OPU au salon, Kherrouba notera que  pour cette année l’OPU participera au salon avec 1400 titres dans tous les domaines à des prix qui varieront entre 300 et 700 DA.

Gérante de « El Warsam » : «le livre parascolaire toujours en tête des ouvrages demandéS par les visiteurs»
Parmi les maisons d’éditions présentes à ce salon, la maison d’édition «El Warsam», spécialisée dans les livres parascolaires. Selon sa gérante, le livre parascolaire est toujours en tête des ouvrages demandés par le visiteur : «Certains visiteurs ou certains parents choisissent notre stand pour acheter des livres pour leurs enfants», nous a-t-elle fait savoir, également.

Directrice de «El Kalima Édition» : «Le Sila apporte une dynamique à l’édition»
Pour sa part, la directrice de «El Kalima Édition», Mme Naïma Beldjoudi,  a mis la lumière sur l’importance de cet espace comme lieu de rencontre et d’échange entre le lecteur, l’auteur et l’éditeur, soulignant également que le Sila apporte une dynamique à la lecture et à l’édition.
Reportage réalisé par Mehdi Isikioune

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Le gouvernement se passera-t-il de la planche à billets en 2019? les recettes pétrolières comme baromètre

Wed, 10/31/2018 - 15:15

Face à un prix du baril de pétrole, plus ou moins stable, à l’origine de la hausse des recettes fiscales pétrolières ainsi que la bonne tendance prise par les recettes ordinaires, le gouvernement n’a pas jugé utile d’aller encore une fois vers la planche à billets. Toutefois, la décision d’émission, à partir de janvier 2019, de nouveaux montants bancaires n’est pas exclue, pour peu que les indicateurs économiques à relever pour les deux prochains mois affichent de bonnes notes.

Sur orientation du président Bouteflika, dont la politique tranche avec tout recours à l’endettement extérieur auprès du FMI pour lui préférer le financement à l’interne, le gouvernement a décidé, fin 2017, d’actionner la planche à billets. En proie à une crise financière aigüe, l’Algérie devait couvrir les dettes publiques et renflouer les caisses du Trésor dont les besoins exprimés, fin septembre dernier, étaient de 570 milliards de dinars.
Cette option financière d’exception a pris effet au lendemain de l’entrée en vigueur de la loi sur la monnaie et le crédit telle que révisée. Cette mesure a été fixée pour une période de 5 ans, soit rendue possible jusqu’à fin 2021. Depuis lors, et jusqu’à fin mai 2018, un montant de 3 585 milliards de dinars a été émis par la Banque d’Algérie.
Aujourd’hui, et à la lumière des nouvelles donnes financières, rien n’obligerait les autorités à faire appel à l’émission de nouveaux billets à partir de janvier 2019, croit savoir le Directeur général du Trésor, Fayçal Tadinit. Toutefois, annonce le même responsable, il serait possible d’aller à nouveau vers la planche à billets si besoin est. C’est-à-dire dans le cas où les indicateurs économiques, qu’il conviendrait à relever pour les mois de novembre et décembre prochains soient de bonne augure.
Si maintenant l’option au financement non conventionnel serait à même de rétablir l’équilibre budgétaire, il se présente comme une solution à double tranchant. En d’autres termes, le recours à la planche à billets ne devra pas être systématique au risque de subir le contrepoids de l’inflation avec tout l’impact qu’on lui connaisse sur le pouvoir d’achat du citoyen. Au plan réglementaire, le texte de loi amendé au Parlement en octobre 2017 est clair : L’émission de titres par la Banque d’Algérie qui vise à participer à la couverture du déficit du Trésor et du Fonds national d’investissement (FNI) devra être une «procédure d’exception» et valable pendant cinq ans. Les montants tirés sont destinés au financement de la dette publique interne et au rachat du dû des entreprises Sonatrach et Sonelgaz contractés auprès des banques.
Le DG du Trésor, qui s’est exprimé sur la question lors de son entretien de lundi avec les membres de la Commission des finances et du budget de l’Assemblée nationale, le sait et est conscient des conséquences d’un recours excessif à la planche à billets sur les plans économique et social. C’est sur quoi il a été interpellé par les membres siégeant au sein de la Commission de l’APN.
Farid Guellil

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Manchester City : Riyad Mahrez, la preuve par quatre

Wed, 10/31/2018 - 15:15

Après un début de saison laborieux, où il était souvent confiné au banc des remplaçants, l’ailier droit international algérien, Riyad Mahrez, est en train de retrouver ses sensations pour s’installer dans le onze de départ de Manchester City, offrant lundi soir la victoire à son équipe en déplacement face à Tottenham (1-0), en clôture de la 10e journée du championnat anglais de football.
Engagé l’été dernier en provenance de Leicester City pour un chèque de 68 millions d’euros, Mahrez a conforté son entraîneur espagnol Pep Guardiola dans le choix de son recrutement, réussissant à se distinguer au sein d’un effectif constellé de vedettes à l’image de Kevin De Bruyne, Leroy Sané, Sergio Agüero ou encore Raheem Sterling. Titularisé pour la quatrième fois de suite, toutes compétitions confondues, Mahrez s’est mis en évidence dès la 6e minute face aux Spurs en ouvrant la marque de l’intérieur du pied gauche, sur une passe décisive de Sterling. Mahrez (27 ans), sur une courbe ascendante, parvient donc à marquer son deuxième but de suite, après celui signé la semaine dernière à domicile face à Burnley (5-0).

Il s’agit de la quatrième réalisation pour l’international algérien en Premier League avec City. Le N.7 de l’équipe nationale a célébré son but en levant les mains vers le ciel, en hommage à son ancien président de Leicester City, le Thaïlandais Vichai Srivaddhanaprabha, décédé tragiquement samedi dans un crash d’hélicoptère. L’ancien joueur du Havre AC (France) a cédé sa place dans le temps additionnel (90e+2). «Je suis très, très triste. Quand j’ai marqué, j’ai levé mes mains au ciel pour lui. Il a beaucoup fait pour moi et Leicester. Il était comme un père. Le président Vichai était quelqu’un de très spécial pour moi. J’’y ai passé quatre ans et demi et j’ai beaucoup de souvenirs avec lui. C’était quelqu’un de bien», a affirmé Mahrez à l’issue de la partie. A l’issue de cette victoire, Man City préserve sa position en tête en compagnie de Liverpool avec 26 points chacun, soit deux unités de plus que leur poursuivant direct Chelsea.

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Algérie- égypte, des vagues toujours et un séisme de 4,1 sur l’échelle de Saâdane : E-cheikh et mât

Wed, 10/31/2018 - 15:09

Le doyen des entraîneurs algériens se fait-il vraiment trop vieux ? Ne sait-il plus de quoi il parle au point de franchement «divaguer» ? Des vérités, ses «vérités», diversement accueillies et mal interprétées, mais à prendre très au sérieux car émanant d’une personnalité connue pour ne pas trop aimer s’imposer dans les médias. En décidant de parler, savait-il qu’il allait faire mal et entraîner, dans son sillage, du monde en visant très haut ? En pointant un doigt accusateur sur les hautes sphères des deux pays à une époque où, du côté du Caire, la rue grondait avant de finir par exploser et emporter le pouvoir en place dont la (présumée) demande, acceptée (par qui du côté algérien ?) devait le maintenir en place. Peine perdue et l’occasion, 9 ans plus tard, pour l’ancien maître à penser de l’E.N. de confondre un peu tout le monde. Sans nommer personne. On parle de vrai délire

Par Azouaou Aghiles

La drôle de casserole
Saâdane a dit. Et il y est allé très fort. Pas de main morte en provoquant un déluge de réactions. Un véritable tsunami qui n’épargnera finalement personne. En Algérie, comme ailleurs. Et la riposte des Égyptiens, où les révélations du vénérable cheikh ont eu l’effet d’une bombe, ne s’est pas fait attendre en soulignant la supériorité écrasante (un succès éclatant de 4-1 inscrit en lettres d’or sur les bords du Nil, dit-on chez le « frère-ennemi» ou «ennemi intime» avec lequel les confrontations resteront éternellement frappées du sceau de l’émotion pour ne pas dire du chauvinisme exacerbé) du onze national des «Pharaons» dans un match revanche néanmoins terni par un arbitrage camerounais scandaleux, les critiques du monde entier ne retenant, pour rappel, que la prestation du 23e homme et le naufrage en règle de «Verts» déjà pas au mieux de leur forme à l’occasion et jouant la majorité de la rencontre en infériorité numérique après que le sinistre Koffi Kodjia eut usé à volonté de la sanction suprême (des cartons rouges comme s’il en pleuvait) en renvoyant trop tôt trois éléments clefs de la défense algérienne aux vestiaires.

Neuf ans plus loin ou plus tard, le N°1 de la barre technique nationale, Rabah Saâdane, décidément dans la tourmente et tirant sur tout ce qui bouge, sort l’artillerie lourde en prenant à témoin l’opinion publique sur une présumée combine qu’il ait tue, pour des raisons que lui seul connaît, durant près d’une décennie avant de la servir froide (ne dit-on pas que «la vengeance est un plat qui se mange froid» comme le dit si bien ou mal le dicton populaire ?) quitte à provoquer, au-delà d’un tollé quasi-généralisé et aux résonnances internationales, une intoxication difficile à soigner. Saâdane a parlé. Fait beaucoup de mal en mettant le doigt dans une drôle de casserole qui ne sert personne, alors que le monde entier (pas spécialement sportif) a le regard tourné sur notre football (en attendant les autres disciplines où les choses ne semblent pas mieux tourner, la violence et la corruption prenant également possession de lieux où les combinards de tous bords dictent leur loi et enfoncent chaque jour un peu plus le clou, alors que les résultats techniques, toujours en déclin, ne rassurent guère au plus fort d’une crise morale persistante), les révélations, tendancieuses ou pas (il n’y a pas de fumée sans feu, n’est-ce pas) se succèdent (pas seulement dans nos murs, de gros titres de la presse mondiale prenant le relais) à un rythme effréné au détriment de la réputation d’un sport national (le titre – «bienvenu au pays de la corruption» en Une de «France Football»- s’il fait sûrement très mal, en dit long sur le pourrissement et a cette faculté de réveiller les consciences, alors que de tous les côtés des voix s’élèvent pour exiger de réserver la réponse que mérite un tel dossier, parce qu’il s’agit de la crédibilité des hautes autorités du pays invitées à regarder de près un phénomène en nette progression et emportant les dernières illusions du public quant à une prochaine remise en ordre, pour ne pas dire moralisation dans un secteur où il ya à boire et à manger et tellement d’enjeux) à l’image définitivement ternie et relégué aux fins fonds d’une hiérarchie universelle en constante remise en cause.

Des raisons … politiques ?
Le monde nous regarde et Saâdane, une des boîtes noires de la vitrine de notre football, a décidé de se mettre à table en livrant à l’opinion quelques vérités qui ne l’épargnent pas, lui qui n’avait, en 2010, et alors que ses «Verts», forts d’une qualification historique au Mondial sud-africain, peinant toujours à redescendre de leur gros nuage d’Oum Dourmane, en laissant passer, en Angola (étrillés par l’Égypte avec la bénédiction d’un arbitre aux idées noires et totalement acquis à sa cause), une des plus belles occasions, depuis le seul et unique sacre de 1990 à Alger, de remonter à nouveau sur le toit de l’Afrique, rien trouvé à redire sinon de pointer un doigt accusateur sur le directeur de jeu l’accusant de partialité. Point de suggestion quant à un possible jeu en coulisses où, entre autres (la principale raison nous assène-t-il à demi-mots), la raison, politique l’aurait emporté sur l’aspect sportif. Ce que les statuts de la Fifa, qui a toutes les raisons de se pencher sur une «affaire» grave pour bien des raisons, ne laisse jamais sans suite. Saâdane a, pour les rares fois où il s’exprimait publiquement, jeté un pavé dans la mare où il s’agit d’une ½ finale de CAN (ni plus ni moins et c’est rare à ce niveau d’une compétition qui fait courir beaucoup de monde et à la limite de l’inaccessible pour bien de grosses cylindrées du continent et l’Algérie, mise à part le triomphe de 90, y figure en bonne place) arrangée.

Grossièrement, l’argent n’étant pas (selon un des acteurs principaux de cette lourde punition) la source principale, les pouvoirs en place à l’époque au Caire et à Alger, ayant décidé de s’échanger des cadeaux d’un genre diplomatique nouveau (c’est l’interprétation, la seule, que l’on peut faire des propos de Saâdane et il doit assumer, en plus de traîner dans la boue des joueurs qui ont procuré tant de joie à leurs fans, sous sa direction en 2010, puis en 2014 sous le coaching de Vahid, et qui demandent, à l’image de Yahia qui s’invite dans le débat en porte-voix de ses camarades, à connaître la vérité et le mettent devant ses responsabilités de clarifier les choses en les appelant par leur nom) au moment où le régime Moubarak, en fin de règne, s’apprêtait à tomber sous les coups de boutoir d’une contestation signant la fin d’une époque. Une certaine idée de la politique que Saâdane nous livre froidement. Avec le sourire même. Sans se soucier des retombées et des dégâts collatéraux. Algérie – Égypte était combiné à la demande de personnes haut-placées dans l’État. Des deux côtés. En évitant d’en dire plus sur un «arrangement» à la limite du burlesque. Il dira, par exemple, que «l’élimination était préméditée à 100%», avant de préciser qu’«après avoir été éliminés de la course à la Coupe du monde, nos frères Égyptiens avaient besoin de gagner la CAN 2010 pour atténuer la désillusion et détendre l’atmosphère politique pesante en Égypte à l’époque. Et nous on allait disputer le Mondial donc on nous a demandé de les laisser passer en finale de la CAN.» Sans préciser toutefois la portée de ce «nous» où il suggère, indirectement et sans le savoir (,,,), qu’il a été mis au parfum. Que, par conséquent, il était partie prenante d’un déni où sa responsabilité semble entièrement engagée.

Entre étonnement et pure … affabulation ?
Et c’est tout naturellement, mais le cœur lourd, dans l’étonnement qu’on peut comprendre, que le super héros du Soudan, l’auteur du but de la qualification des «Fennecs», ira d’un tweet résumant l’ambiance du moment en exigeant que lui, ses anciens coéquipiers et tous les Algériens «connaissent la vérité complète de ces faits.» Des joueurs qui, dit-il, ne savaient rien de ce qui se serait tramé dans leur dos. «Nous encourageons le cheikh à dire ce qu’il sait, si bien sûr il aurait quelque chose à ajouter. Et je le répète encore, connaissant notre attachement au pays et à la sélection, on n’est au courant de rien. J’espère qu’on pourra avoir plus d’éclaircissements de la part du coach.» Saâdane a dit et savait sûrement la portée des ripostes qui ne se feront pas attendre. À l’exemple de Hamada, fils de Samir Zaher (président de la Fédération égyptienne à l’époque et aujourd’hui décédé), qui répond avec un gros point d’interrogation. Étonnement en trouvant la sortie de Saâdane totalement dénuée de fondement. Avec des mots justes, en s’arrêtant aux deux seuls responsables des deux fédérations (point de référence à une quelconque immixtion politique), en déclarant, avec des propos à la mesure d’accusations qu’il trouve étranges. On lit : «Accord entre Raouraoua et mon père ? Apparemment Saâdane a vieilli, c’est un vrai délire.

C’était un match important pour l’Égypte. Un match de revanche. Il n’y a eu aucun accord. La personnalité des joueurs algériens (merci pour le respect et Yahia et ses camarades ne devraient qu’apprécier, ndlr) ne cautionnerait pas un tel accord. C’est de la pure démence.». La conclusion, c’est un membre du staff technique égyptien qui l’apporte en revenant sur les péripéties d’une confrontation qui revient aux devants de la scène par la lucarne de supputations laissant pantois. Il dira en substance, sûr de ses précisions, en assurant «n’avoir conclu aucun accord avec eux (ndlr, Algériens). C’est un pur mensonge. La preuve, si on s’était mis d’accord avec eux, comme le prétend Saâdane, on les aurait battus par un ou 2 buts. Je me souviens bien de ce match, l’Algérie a joué avec une grande agressivité, et le résultat : expulsion de 3 de ses joueurs. Je ne vois pas où sont ces buts qui ont dérangé leur sélectionneur».

Qui dit vrai, qui déforme la réalité ? À Saâdane d’aller au fond de sa pensée en libérant une fois pour toutes sa conscience ou de se taire pour de bon. Le mal étant fait, force est de reconnaître (sauf rebondissements et preuves tangibles) que la thèse défendue par nos amis égyptiens est la plus proche de la réalité. La plus plausible. En attendant, du côté algérien (l’actuel président de la Faf, Zetchi, qui marque au passage son étonnement, ne veut pas, et il a raison, se mouiller sur un sujet qu’il ne maitrise pas, à charge, encore une fois, pour Saâdane d’apporter la preuve de ses dires et d’éclairer l’opinion alors que notre football, en crise, est frappé de plein fouet par une série d’affaires dont il faudra faire toute la lumière), on croise les doigts. Et on sait pourquoi. Ça craint sérieusement pour tout dire. Il y aura des suites mais pas une fin proche. Des remous en perspective. Aussi sûrement que ni la Caf, et encore moins la Fifa, aux aguets, ne se laisseront conter. Merci Saâdane pour le service rendu. Merci de nous apprendre que tout n’est pas beau. Même dans nos exploits.
A. A.

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Équipe nationale: Sofiane Hanni de retour face au Togo

Wed, 10/31/2018 - 15:03

L’attaquant international du Spartak Moscou Sofiane Hanni est convoqué par le sélectionneur national Djamel Belmadi en vue du match en déplacement face au Togo, le 18 novembre prochain à Lomé, dans le cadre de la 5e journée (Gr.D) des qualifications de la Coupe d’Afrique des nations CAN-2019, a annoncé lundi le club moscovite sur son compte Twitter. La dernière apparition d’Hanni (27 ans) chez les Verts remonte à mars dernier, à l’occasion des deux matchs amicaux disputés face à la Tanzanie à Alger (4-1) et devant l’Iran en Autriche (défaite 2-1). L’ancien buteur d’Anderlecht (Belgique) compte six apparitions en championnat russe depuis le début de la saison, dont cinq titularisations, sans pour autant parvenir à inscrire le moindre but. L’équipe nationale qui reste sur une défaite (1-0) face au Bénin à Cotonou, tentera de sceller sa qualification face au Togo, et surtout éviter un deuxième revers de suite. Au terme de la 4e journée, l’Algérie et le Bénin se partagent le fauteuil de leader avec 7 points, devant le Togo (5 points).

Adam Ounas a reçu sa convocation
L’attaquant international algérien de Naples, Adam Ounas, est convoqué pour le match des Verts contre le Togo prévu le 18 novembre prochain au stade municipal de Lomé, dans le cadre des éliminatoires de la CAN-2019, a indiqué lundi le club de Serie A sur son site officiel. Le joueur algérien avait manqué les deux derniers matchs des Napolitains contre le Paris Saint-Germain (2-2) en Ligue des champions mercredi dernier et face à l’AS Rome (1-1) dimanche soir en championnat d’Italie. En revanche, le défenseur Fouzi Ghoulam, qui n’a pas joué le moindre match cette saison avec son club mais qui a été convoqué dans le groupe napolitain contre Rome, n’est pas concerné par le déplacement de la sélection algérienne à Lomé. Ounas avait pris part au match de la sélection algérienne contre le Bénin (1-0) de la 4e journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations CAN-2019. Il avait été incorporé par l’entraîneur Djamel Belmadi en fin de partie.

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Ligue 2 : Plusieurs chocs au menu de la 12e journée

Wed, 10/31/2018 - 15:03

Plusieurs matchs intéressants sont inscrits au programme de la 12e journée du Championnat de Ligue 2 de football, prévue mercredi et jeudi, avec en tête d’affiche les chocs ASO Chlef – ES Mostaganem et US Biskra – MC El-Eulma pour l’accession, au moment où l’USM Blida et l’USM El-Harrach, actuels dernier et avant-dernier, en découdront dans un duel direct pour le maintien. Le leader ASO Chlef, qui a creusé l’écart à quatre points mardi dernier, en remportant son match en retard contre la JSM Skikda (2-0), partira avec les faveurs des pronostics, surtout qu’encore une fois, il bénéficiera de l’avantage du terrain et du soutien du public, au stade Mohamed-Boumezrag. Autre duel au sommet qui vaudra probablement le détour, le choc US Biskra – MC El-Eulma, soit le 4e qui reçoit le dauphin, avec l’obligation de gagner pour chacun des deux clubs, afin de rester au contact du leader chélifien et éviter ainsi de compromettre les chances d’accession, surtout que les prétendants à cet objectif sont relativement nombreux. Parmi eux, le WA Tlemcen (2e/19 pts) qui, cependant, aura probablement fort à faire à Alger, où le mal classé RC Kouba l’attendra de pied ferme, avec l’objectif de gagner pour s’éloigner de la zone rouge.

Le Raed est, en effet, l’actuel premier relégable avec un seul point d’avance sur l’avant-dernier, l’USM El Harrach qui, au cours de cette 12e journée, est appelé à en découdre avec la lanterne rouge Blida. Un match à six points dont le vainqueur pourrait se relancer dans la course à la survie en Ligue 2, car outre les précieux points qui seront mis en jeu, il devrait procurer au vainqueur un ascendant psychologique qui l’aidera peut-être à mieux négocier les matchs restants. Les quatre autres matchs inscrits au programme de cette 12e journée sont : Amel Boussaâda – RC Relizane, USM Annaba – ASM Oran, MC Saïda – NC Magra et JSM Béjaïa – JSM Skikda. Des duels entre clubs du milieu de tableau où l’enjeu reste important. Toujours est-il que ces équipes devront quand même réussir de bons résultats pour éviter d’éventuelles mauvaises surprises, surtout qu’avec des victoires à trois points, elles pourraient vite se voir supplantées par les actuels mal classés. L’ASM Oran et la JSM Skikda semblent être les plus concernées par cet éventuel retournement de situation, car ne disposant actuellement que de 4 et 5 points d’avance sur le premier relégable, le RCK, qui pourrait donc facilement les recoller, s’il arrive à l’emporter face au WAT. Cette 12e journée devait se dérouler le week-end dernier, avant d’être décalée à la dernière minute par la Ligue de football professionnel (LFP). L’instance dirigeante de la compétition a justifié dans un communiqué ce report par l’»extrême importance» de l’assemblée générale extraordinaire de la Fédération algérienne de football tenue samedi à Alger.

Le programme
Aujourd’hui :
A Blida (Stade des Frères-Brakni) : USM Blida – USM El Harrach (15h00)
A Alger (Stade Mohamed-Benhaddad) : RC Kouba – WA Tlemcen (15h00)
A Béjaïa ( Stade de l’Unité Maghrébine) : JSM Béjaïa – JSM Skikda (17h00)
A Chlef (Stade Mohamed-Boumezrag) : ASO Chlef – ES Mostaganem (17h00)
A Biskra (Stade OPOW El Alia) : US Biskra – MC El Eulma (18h00)

Jeudi :
A Saïda (Stade du 13-Avril-1958) : MC Saïda – NC Magra (15h00)
A Boussaâda (Stade Mokhtar-Abdelatif) : Amel Boussaâda – RC Relizane (15h00)
A Annaba (Stade du 19-Mai-1956) : USM Annaba – ASM Oran (16h00)

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Huawei lance le roi des smartphones Huawei Mate 20 Series au Moyen-Orient et en Afrique

Wed, 10/31/2018 - 14:58

La série HUAWEI Mate 20 offre des fonctionnalités extraordinaires, notamment le premier appareil photo triple grand angle Leica au monde, le chargement inversé et des fonctionnalités plus intéressantes en collaboration avec le département de tourisme et marketing commercial de Dubaï (DTCM).

Dubaï, Émirats arabes unis – 24 octobre 2018 – Le Huawei Consumer Business Group (CBG) a dévoilé la très attendue série HUAWEI Mate 20 aux utilisateurs de la région du Moyen-Orient et de l’Afrique lors du lancement qui a eu lieu à Burj Park. Huawei a projeté un spectacle de lumière sur le monument le plus grandiose de Dubaï, le Burj Khalifa.

«Huawei est fier d’être un pionnier de l’intelligence artificielle sur périphérique, transformant l’évolution des smartphones en outils intelligents qui comprennent les utilisateurs pour les assister. Grâce à des fonctionnalités innovantes telles qu’un système de caméra Matrix révolutionnaire, une batterie longue durée et le chargement inversé révolutionnaire, la série HUAWEI Mate 20 vise à responsabiliser les utilisateurs en répondant à leurs besoins quotidiens et en leur permettant de s’immerger complètement dans le monde numérique d’aujourd’hui », a déclaré GENE JIAO président de Huawei CBG, Moyen-Orient et Afrique.

Après une animation fascinante et une projection de lumière sur le Burj Khalifa, GENE JIAO a donné une présentation informative sur les performances de la marque dans la région et sur la manière dont Huawei est devenue la deuxième plus grande marque de smartphones au niveau régional et mondial. Saeed Hareb, secrétaire général du Conseil des sports de Dubaï, a été accueilli sur le podium pour annoncer la deuxième année de collaboration entre Huawei et le Conseil des sports de Dubaï. Huawei sera le partenaire officiel de la Coupe intercontinentale de beach soccer qui se déroulera à Dubaï à partir du 6 au 11 novembre. Gene Jiao et H.E Saeed Hareb ont ensemble dévoilé la nouvelle série Huawei Mate 20 sur scène.

Selon les nombreux journalistes venus du Moyen-Orient et Afrique du Nord ayant rejoint DUBAI, le HUAWEI MATE 20 PRO est le roi des smartphones de l’année à venir, le géant chinois a trouvé la recette du succès et compte bousculer le monde de la téléphonie mobile.

Et selon l’influenceur britannique « Supersaf tv » qui jouit de plus d’1 million de followers avec plus de 204 236 635 vues. Cet influenceur a déjà testé le téléphone et en a fait une vidéo sur youtube en disant : « Le Mate 20 Pro est un téléphone du futur, ce qui me plait le plus dans le Mate 20 Pro c’est le chargement inversé sans fil, les 40w de chargement ultra rapide (70% de chargement en 30 min), l’empreinte intégrée à l’écran directement ainsi que les 03 appareils photos LEICA qui me permettent de prendre des photos comme si j’avais en main un vrai appareil ».

Le HUAWEI Mate 20 Pro est équipé de trois appareils photo (principal 40MP, ultra grand angle 20MP et téléobjectif 8MP). Ensemble, le trio d’objectifs imite les résultats obtenus avec des appareils photo professionnels. En utilisant l’IA, la série HUAWEI Mate 20 peut isoler des sujets humains et alléger les couleurs qui les entourent pour mettre en valeur la personne de façon spectaculaire.  Outre des performances exceptionnelles, la série HUAWEI Mate 20 offre également une amélioration révolutionnaire de la durée de vie de la batterie. Il abrite une grande batterie haute densité de 4200mAh et prend en charge 40W HUAWEI SuperCharge, ce qui donne à l’appareil 70% de charge en 30 minutes.  De plus, HUAWEI Mate 20 Pro prend en charge 15W HUAWEI Wireless Quick Charge, la solution de chargement sans fil la plus rapide du marché, et Wireless Charge, qui permet à l’appareil de fonctionner comme une banque de puissance pour certains appareils électroniques prenant en charge le chargement sans fil. (Disponible sur Mate 20 pro uniquement) Collaboration avec PORSCHE : HUAWEI Mate 20 Pro et PORSCHE DESIGN HUAWEI Mate 20 RS prennent en charge le déverrouillage du visage en 3D. La solution authentifie rapidement et en toute sécurité les utilisateurs dans un délai de 0,6 seconde à un taux d’acceptation erroné inférieur à 1/1 000 000. En utilisant le système de caméra de détection de profondeur 3D situé à l’avant, les deux appareils peuvent lire avec précision les traits du visage d’un sujet et reconnaître même les plus petits détails.   Outre l’authentification des utilisateurs, cette suite de capteurs permet également de réaliser les effets d’embellissement de portraits de manière plus naturelle et plus efficace.  La série HUAWEI mate 20 comprend également un capteur d’empreintes digitales intégré à l’écran. La société a amélioré la conception de son capteur d’empreintes digitales intégré à l’écran afin d’accroître sa vitesse et son taux de réussite. Il peut localiser l’emplacement du doigt d’un utilisateur sur l’écran et supprimer l’invite à l’écran immédiatement lorsqu’un utilisateur retire son doigt.  Le SoC au cœur des smartphones joue un rôle déterminant dans les performances et l’efficacité d’un appareil. Fabriqué avec le processus de pointe de la technologie   7 nm, le SoC convient à 6,9 milliards de transistors dans une matrice de la taille d’un ongle. Le Kirin 980 est le premier SoC commercial au monde à utiliser les noyaux à base de Cortex-A76. Le Kirin 980 est également le premier SoC de l’industrie à être équipé d’une double NPU, ce qui lui confère une capacité de traitement de l’AI sur périphérique supérieure pour prendre en charge toutes les applications d’IA.  La série HUAWEI Mate 20 est fournie avec EMUI 9.0, un système d’exploitation intelligent basé sur Android P. Grâce aux algorithmes d’auto-apprentissage de l’intelligence artificielle, le système d’exploitation offre une expérience «continue» – il reste fluide même après une utilisation prolongée.  PORSCHE DESIGN HUAWEI Mate 20 RS est le quatrième combiné à rejoindre la gamme exclusive, L’élément de design automobile emblématique est intégré à l’arrière du PORSCHE DESIGN HUAWEI Mate 20 RS. Les motifs à rayures de course de course PORSCHE DESIGN HUAWEI Mate 20 RS sont composés de cuir et de verre entièrement naturels.  Le service de musique Huawei est également disponible, il propose le mode Party permettant à 8 appareils de lire la même musique en même temps.

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Il s’agit d’un moyen tant réclamé pour éradiquer la violence: Le stade de Bologhine se dote de plusieurs caméras de surveillance

Wed, 10/31/2018 - 14:54

Le dossier de la violence revient au devant de la scène pour occuper tous les esprits. C’est que tout le monde craigne que le fléau prenne des proportions encore alarmantes au fil des journées. On croise même les doigts en vue de la fin de la saison où l’enjeu devient vital aussi bien pour les clubs jouant les premières places ou ceux aspirant à éviter la relégation.
En tout cas, le fait que la bête immonde frappe d’entrée, donne matière à réfléchir. Le phénomène a même secoué la direction générale de la sûreté nationale, qui n’a pas hésité à diligenter une enquête après les incidents ayant émaillé la fin de la rencontre CABBA-MCA. Mais les efforts consentis par le service d’ordre risque de ne pas suffire seuls pour ramener le calme dans nos stades. A ce propos, les spécialistes sont unanimes à conseiller l’installation rapide des caméras de surveillance dans les stades. Un projet datant du temps de l’ancien ministre de la jeunesse et des sports, Mohamed Tahmi, mais qui n’a jamais vu le jour. L’exception peut être nous vient en particulier du stade Omar-Hamadi. La Direction de l’USMA, qui gère ce stade, s’est précipité cette saison pour installer les caméras en question dans pratiquement toute l’infrastructure.

C’est la meilleure façon pour pousser les fauteurs de troubles et les énergumènes des stades de réfléchir par deux fois avant de commettre leurs ignobles actes. Il s’agit là sûrement des nouvelles recommandations que la DGSN a promis de transmettre incessamment aux différentes instances, chargées de la programmation et de la direction des matchs de football, pour « éviter des incidents similaires à ceux qui avaient suivi le match de samedi dernier, entre le CA Bordj Bou-Arréridj et le MC Alger (0-1) » comptant pour la 11e journée de Ligue 1 Mobilis, comme annoncé en début de semaine par ce corps de sécurité. On rappelle à ce propos que le Directeur général de la sûreté nationale, Mustapha El Habiri, s’était immédiatement saisi de ce dossier, dépêchant une commission d’enquête dès le lendemain de la rencontre à Bordj Bou-Arréridj, pour mener une investigation, et c’est sur la base de son rapport d’enquête que ces nouvelles recommandations ont été émises.

La fin de la rencontre CABB-Arréridj – MC Alger avait connu plusieurs actes de violence et d’agressions, dont ont été victimes des joueurs du MCA, à l’image du capitaine Abderrahmane Hachoud, blessé à la main droite, ainsi qu’un certain nombre de supporters de l’équipe visiteuse. Des jets de pierres avaient éclaté entre les supporters des deux équipes, ayant conduit à l’intervention des services de la protection civile, qui ont transporté nombre de blessés vers l’hôpital. Selon un communiqué de la DGSN, le rapport de la commission d’enquête fait état de l’arrestation de douze personnes dont trois sont des repris de justice. Pour rappel, 31 policiers ont été blessés et 17 engins et voitures avaient été endommagés. Suite à ces actes de violence, le CABBA a écopé de quatre matchs à huis clos, dont deux à l’extérieur, et devra s’acquitter d’une amende de 400 000 dinars.

Hakim S.

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Ksar Boussemghoun (El Bayadh) : Un site qui résiste aux aléas du temps

Wed, 10/31/2018 - 14:50

Ksar Boussemghoun, plus connu sous le nom de «Ksar El Asâad», reste le site historique le plus connu de la wilaya d’El Bayadh. Il a résisté aux aléas du temps et aux vicissitudes de l’Homme et demeure aujourd’hui une source de fierté des populations locales, témoin d’un passé glorieux.

Le ksar Boussemghoun se situe à l’extrême sud d’El Bayadh en direction des wilayas de Naama, Béchar, Adrar isolé entre une chaine de montagnes formant un décor de pierre, ces même montagnes d’où proviennent les pierres qui ont servi à construire le palais. Selon le chef de service patrimoine de la direction de la Culture d’El Bayadh, Ammari Abdelkrim, les sources historiques indiquent que le ksar de Boussemghoun fut édifié depuis 17 siècles dans une zone géographique en amont entourée d’une chaine de montagnes à relief accidenté à proximité de l’oued, source de vie et de stabilité pour les riverains. Le même responsable explique que le choix d’édification du ksar n’était pas fortuit mais répondait à des considérations stratégiques et de sécurité notamment pour les caravanes commerciales et le passage des pèlerins dont il fallait assurer la protection. Selon les récits oraux, le ksar a porté plusieurs noms comme «Oued El Asnam» ou «Oued Essafaih», en référence aux pierres avec lesquelles le site a été édifié.

D’autres récits parlent de conflits entre habitants de ce ksar à cause de la délimitation des territoires et du partage des eaux d’irrigation. Le saint patron Sidi Boussemghoun est intervenu à maintes reprises pour régler ses conflits. A sa mort, il fut enterré dans ce lieu qui porta désormais son nom. L’architecture du ksar est en harmonie avec l’esprit du bâtiment saharien qui assure une harmonie avec l’environnement saharien et sécurité pour les habitants en accord avec les traditions et les valeurs morales de la région. Pour le bâti, il a été question d’utiliser des matériaux naturels pour lutter contre les aléas climatiques dont l’argile, la pierre, les troncs de palmier et autres moyens puisés du milieu naturel des habitants. Le ksar épouse les caractéristiques du bâti type islamique, avec une répartition judicieuse des ruelles, des entrées au ksar et aux habitations ainsi qu’à la cour centrale, «Djemâa» ou «Tadjmaât» La population de Boussemghoun, selon les sources historiques, est issue des tribus amazighes de Zenata. A Boussemghoun, la cellule famille est restée fortement attachée à ses traditions ancestrales et cela se manifeste lors de la célébration des fêtes nuptiales et religieuses ou encore dans les manifestations et les actions de solidarité pour le bien collectif et la société. Le ksar a regroupé sur le pan social, un grand nombre de tribus d’origine proche et réparties en sept quartiers composant la société de Samghoun dont les cités «Aghram Akdim», «la place», «Aghram Jdid», «Lemcharef» et autres.
La vieille mosquée, située au centre du ksar, est en elle-même un chef d’úuvre dont l’édification remonte au début de la conquête islamique de la région. C’est un site attirant la population du Ksar. Ce lieu de culte est entouré de maisons enchevêtrées et sur son flanc sud se trouve l’école coranique. La zaouïa Tidjania, du saint patron Sidi Ahmed Tidjani, fondateur de cette confrérie soufie, est l’un des sites présents au ksar de Boussmeghoun. Il a attire, chaque année, un grand nombre de disciples de cette confrérie résidant en Egypte, en Tunisie, au Maroc, au Nigéria, au Sénégal, au Mali et dans d’autres pays, qui viennent visiter le mausolée de ce saint patron et se recueillir à sa mémoire.

Un paradis sur terre
La visite de ce ksar ne peut être complète que par une promenade dans les vergers verdoyants et les palmeraies avec leurs 4.000 palmiers composant l’oasis du ksar. Ces espaces verts permettent à la population locale de vivre des produits de la terre, dont l’orge, les maraichers, les fruits notamment les dattes et les grenades. Ces palmeraies constituent également une ressource importante pour l’approvisionnement de la cité en divers matériaux de construction comme le bois et les troncs de palmiers. Le ksar devait constituer une destination touristique par excellence mais son état de détérioration, suite aux glissements de terrain dus à des facteurs climatiques, le rend «peu fréquentable», d’où la nécessité urgente de sa restauration pour le préserver. Dans ce sens, une opération d’urgence a été inscrite, l’année dernière, pour restaurer les parties endommagées de la zaouia Tidjania, au sein du Ksar. C’est une première étape en attendant une grande opération de restauration de ce ksar, assurent les responsables du secteur de la culture. Cette opération urgente intervient dans le cadre des démarches des services de la wilaya pour la protection de cet édifice religieux, historique, culturel et touristique qui constitue un symbole de l’identité de la région.

Le problème du manque d’une main úuvre locale qualifiée et spécialisée dans le domaine de la restauration des bâtis historiques est un des facteurs ayant retardé le lancement des travaux de réhabilitation du ksar en plus du nombre très limité des bureaux d’études spécialisés agréés par le ministère de la culture pour prendre en charge de telles opérations de restauration. Pour sa part, la direction de la culture úuvre pour classer le ksar de Boussemghoun et autres sites similaires de la wilaya au titre du patrimoine national protégé. Des dossiers ont été déposés dans ce sens au niveau du ministère de tutelle pour permettre au secteur d’obtenir des subventions devant contribuer à restaurer ces sites et leur donner leur éclat d’antan avec une protection juridique. Quant aux responsables locaux du secteur du tourisme, ils úuvrent aussi, à leur tour, pour la promotion des sites archéologiques dans la wilaya en élaborant des programmes, des circuits touristiques en faveur des visiteurs nationaux et étrangers et en incitant les agences de voyage et de tourisme à inscrire ces sites dans leurs circuits et formules proposées à leurs clientèles.

Dans cette optique, les gérants de plus de 25 agences touristiques ainsi que des hommes d’affaires ont séjourné auparavant dans la wilaya pour une tournée de prospection des sites de la wilaya, dont Ksar Boussemghoun. Ce site a été très apprécié par ces touristes, a-t-on assuré. La région a enregistré dernièrement le lancement des travaux de réalisation d’un village touristique par un investisseur privé, à proximité du ksar Boussemghoun, sur une surface de deux hectares. L’infrastructure est dotée de 40 chambres conçue dans le style architectural saharien pour préserver la dimension historique et culturelle de la région. La durée des travaux est fixée à 33 mois pour un investissement de 60 millions DA, a-t-on indiqué à la direction locale du tourisme.

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Tizi Ouzou : Lancement du tri sélectif à travers les villages de la commune de Boudjima

Wed, 10/31/2018 - 14:48

La commune de Boudjima (30 km au Nord-Est de Tizi Ouzou) a décidé de se mettre au tri sélectif des déchets à travers l’ensemble de ses villages, a-t-on appris lundi du président de l’Assemblée populaire communale (APC), Smail Boukharoub.

«La décision a été prise à l’issue d’une réunion tenue avec les représentants des associations écologiques et des comités des 14 villages de la commune» , a indiqué l’édile communal, ajoutant que l’opération «fera l’objet d’une évaluation mensuelle», a-t-il déclaré, l’APC «se chargera de fournir le matériel nécessaire en distribuant, à cet effet, dans un premier temps quelque 53 nacelles en fonction du nombre d’habitants de chaque village». Citant l’exemple du village Tharihant, qui s’est déjà mis à ce procédé et «réussi à réduire sa production de déchets», le même responsable, affirme tabler sur «une réduction à hauteur de 20 à 30% de la production journalière de déchets qui est actuellement de 10 tonnes, dont la collecte est assurée par seulement quatre ouvriers municipaux». Deux entreprises de récupération de déchets en plastique et papier, créées dans le cadre du dispositif de l’Agence nationale du soutien à l’emploi des jeunes (Ansej) ont déjà été retenues pour s’occuper de la collecte en opérant des rotations à raison d’une fois par semaine.

Par ailleurs, et s’agissant des déchets en verre, leur récupération devra «attendre le lancement d’un projet de récupération au niveau de Tala Athmane (commune de Tizi-Ouzou)», a déclaré Boukharoub, précisant que «l’emballage des boissons alcoolisées est déjà récupéré par des jeunes récupérateurs venus des autres wilayas». Pour leur part, les deux associations écologiques de la commune, Garoura et thazemourth igoujilen (l’olivier des orphelins), se chargeront du travail d’information et de sensibilisation en direction des ménages sur l’importance de l’opération et la nécessité de s’impliquer pour sa réussite. Cette décision, souligne par ailleurs, Boukharoub, n’est qu’une «suite logique de notre engagement en faveur de l’écologie et de l’environnement», rappelant, à ce propos, la décision prise par la commune de Boudjima, en septembre dernier, d’investir dans la production de l’énergie solaire. «Nous avions décidé l’acquisition de panneaux solaires qui seront installés sur les locaux abritant les services municipaux, notamment le siège de la mairie, avant de les généraliser à d’autres équipements publics de la municipalité», a-t-il fait savoir .

Une démarche, a ajouté le responsable communal, qui a «un double objectif réduire la facture d’énergie de la commune qui atteint annuellement les 2.6 millions dinars et inciter les citoyens à l’utilisation des énergies renouvelables, moins coûteuses et plus propres». A cet effet, une première enveloppe financière pour la réalisation de ce projet, de 2 millions de DA , a-t-il précisé, «a été dégagée de la vente du matériel roulant réformé de la commune», assurant que les services de la commune s’attèlent à présent «à l’élaboration des fiches techniques pour lancer une consultation pour l’acquisition du matériel».

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Pour stopper les migrants : Plus de 5 000 soldats américains déployés à la frontière mexicaine

Wed, 10/31/2018 - 14:44

Plus de 5 000 militaires américains vont être déployés à la frontière mexicaine pour empêcher l’entrée sur le territoire d’une caravane de migrants centraméricains fuyant la violence et la misère dans leurs pays, a annoncé lundi le Pentagone.

«D’ici à la fin de la semaine, nous allons déployer plus de 5 200 soldats à la frontière sud-ouest» qui s’ajouteront aux quelque 2 000 membres de la Garde nationale déjà sur le terrain, a affirmé lors d’une conférence de presse le général Terrence O’Shaughnessy. «Nous ne permettrons pas à un large groupe d’entrer aux Etats-Unis d’une façon dangereuse et illégale», a pour sa part assuré Kevin McAleenan, le patron du service des douanes et de la protection des frontières.
Le président américain Donald Trump a répété à plusieurs reprises ces dernières semaines que des troupes supplémentaires étaient nécessaires à la frontière américano-mexicaine, se servant de cette caravane de milliers de migrants pour défendre sa politique anti-immigration dans la perspective des élections législatives du 6 novembre, qui pourraient être favorables à ses opposants démocrates. «De nombreux membres de gangs et de très mauvaises personnes se sont mélangés à la caravane qui se dirige vers notre frontière sud», a tweeté le président américain lundi matin, réitérant des affirmations non étayées déjà tenues la semaine dernière. «S’il vous plaît, faites demi-tour, vous ne serez pas autorisés à entrer aux Etats-Unis, à moins de suivre la procédure légale», a-t-il ajouté, dénonçant une «invasion». En avril, face à la progression d’une autre caravane de migrants, il avait ordonné l’envoi d’un maximum de 4.000 membres de la Garde nationale. Environ 2.100 ont été déployés. Les autorités mexicaines ont indiqué avoir reçu 1.743 demandes d’asile depuis l’entrée de cette caravane de 7.000 personnes, pour la plupart honduriennes, sur le sol mexicain. La caravane a pris le départ du Honduras le 13 octobre.

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100 meurtres à l’hôpital : Procès hors norme en Allemagne

Wed, 10/31/2018 - 14:43

Le procès d’un ex-infirmier s’est ouvert mardi en Allemagne avec pour objectif de «faire la lumière» sur le meurtre d’au moins cent patients dont il est accusé, une affaire sans précédent depuis la guerre.

Entrant dans la salle d’audience, l’accusé Niels Högel a caché son visage barbu des photographes derrière un dossier bleu. Puis après une minute de silence, à la mémoire des victimes, il a écouté, tête baissée, sans expression, l’acte d’accusation et les noms des 100 personnes tuées qu’égraine la procureure, Daniela Schiereck-Bohlmann. Cet homme de 41 ans, qui purge déjà une peine de prison à perpétuité depuis près de dix ans pour six crimes similaires, fait face dans la salle à des dizaines de proches de défunts réunis dans le centre polyvalent d’Oldenbourg, dans le nord-ouest de l’Allemagne, faute de place suffisante au tribunal. Tous veulent que justice soit rendue et achever leur deuil, mais aussi comprendre comment l’infirmier a pu tuer de 2000 à 2005 dans les hôpitaux où il travaillait sans que ses employeurs, la police ou la justice ne réagissent. «Tous les éléments étaient là, tout était connu. Pas besoin d’être Sherlock Holmes» pour comprendre qu’un meurtrier était à l’oeuvre, martèle à l’AFP le petit-fils d’un défunt, Christian Marbach. «Pour moi, il s’agit avant tout d’avoir des éclaircissements, de la justice», explique de son côté le fils d’une autre victime présumée, Frank Brinkers.

200 victimes ?
Car pendant cinq ans, d’abord dans l’hôpital d’Oldenbourg puis dans celui de la commune voisine de Delmenhorst, Niels Högel a injecté, selon l’accusation, intentionnellement, à des patients des médicaments pour provoquer un arrêt cardiaque avant de tenter de les ranimer, le plus souvent sans succès. Ses motifs: son désir de briller devant ses collègues en montrant ses talents de réanimation, et «l’ennui», selon le parquet. Il choisissait arbitrairement ses victimes, âgées de 34 à 96 ans. Jamais il n’a exprimé de réels remords. Et selon des co-détenus, il se satisfait d’être le plus grand criminel depuis la dernière Guerre en Allemagne. Comprendre ce dossier sans précédent, c’est la promesse formulée par le juge Sebastian Bührmann au début de ce procès qui doit durer au moins jusqu’en mai: «C’est comme une maison dont les pièces sont plongées dans le noir. Nous voulons faire la lumière dans le noir». Car si le procès porte sur 100 meurtres présumés, 64 à Delmenhorst et 36 à Oldenbourg, Niels Högel n’a pas tout avoué et garde bien des secrets. Ainsi, les enquêteurs évaluent le nombre réel de ses victimes à plus de 200, mais impossible de le prouver car de nombreux patients ont été incinérés.

Responsabilité des hôpitaux
Le chemin fut long avant d’arriver à ce procès hors du commun. Surpris en 2005 en train d’injecter un produit non prescrit à un patient à Delmenhorst, Niels Högel est condamné en 2008 à 7 ans de prison pour tentative de meurtre. Il entre en prison en 2009, et y est resté depuis. Car un deuxième procès suit en 2014/2015, sous la pression de proches de victimes. Il est reconnu coupable de meurtres et tentatives de meurtres sur cinq autres personnes, et condamné cette fois à la prison à vie avec une peine de sûreté de 15 ans. Il avoue alors à son psychiatre au moins 30 meurtres de plus à Delmenhorst. Les enquêteurs étendent ensuite leurs recherches à l’hôpital d’Oldenbourg et procèdent à plus de 134 exhumations.
C’est alors que l’ampleur de la série de meurtres apparaît au grand jour et choque le pays. L’affaire soulève aussi la question de la responsabilité des hôpitaux qui n’ont pas su l’arrêter, malgré la fréquence des réanimations et des décès quand Niels Högel travaillait aux soins intensifs.
Des anciens collègues et supérieurs hiérarchiques devront aussi s’expliquer devant la justice, une fois le procès de Niels Högel bouclé. S’il avait murmuré une excuse lors de son premier procès, il était resté muet lors du second. L’expertise psychiatrique a révélé des troubles narcissiques et une peur panique de la mort.

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