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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 days 21 hours ago

Assurances: La CAAR liquide les préjudices en suspens

Mon, 12/17/2018 - 11:44

Hier, lors du séminaire de la prise en charge des sinistres, organisé à l’hôtel El Aurassi par la Compagnie algérienne d’assurance, et de réassurance (Caar), Zohir Laïche, son directeur général adjoint technique et commercial, a indiqué que «les provisions techniques de la compagnie sont passées de 23,5 milliards DZD en 2014 (20% des provisions de l’ensemble du secteur des assurances) à 18,8 milliards DZD en 2017 (14% des provisions de l’ensemble du secteur».

Provisions techniques ? Ce sont les charges à prévoir pour faire face à la sinistralité déclarée mais non encore réglée et la sinistralité non encore déclarée mais prévisible des contrats en cours. Zohir Laïche a, ainsi, expliqué que «cette tendance à la baisse des provisions techniques de sa compagnie s’explique par l’indemnisation des sinistres en suspens». Et de préciser que «les provisions techniques du secteur des assurances dans son ensemble ont plutôt augmenté, passant de 120 milliards DZD en 2014 à 137 milliards DZD en 2017».

Outre l’intervention de Zohir Laïche, le séminaire a vu Samir Guemmar, directeur des grands risques en exploitation, Ahmed Isikioune, directeur des assurances transports, et Nour El-Fidah Mehiaoui, directeur des assurances automobiles, entre autres cadres, communiquer sur les bonnes pratiques pour une prise en charge optimale des sinistres.
En gros, ils ont plaidé pour des contrats de «bonne foi», recommandant la déclaration de la valeur réelle des biens, ainsi que le respect des délais de rigueur dans la déclaration des sinistres.
L. H.

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Que se passe-t-il ?

Mon, 12/17/2018 - 11:43

Des sources affirment qu’un certain malaise règne du côté d’Algérie Télécom Satellite (ATS). Ce malaise serait dû à la gestion de cette entreprise où l’on enregistre, selon nos sources, des décisions arbitraires. Un climat de craintes et de soupçons règne, désormais, dans cette entreprise publique.

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Basket-ball: Relance de la sélection nationale dames

Mon, 12/17/2018 - 11:38

Après quatre années d’hibernation, la sélection algérienne séniors dames de basket-ball reprend du service à l’occasion du premier stage organisé du 13 au 16 décembre à la salle de Staouéli. «Un premier rendez-vous de prise de contacts», nous a précisé M. Zaki Lahmar, directeur technique national qui regrette toutefois l’absence des basketteuses du GS Pétroliers.
«Hormis une seule athlète qui a répondu présent, cinq autres basketteuses retenues pour ce premier stage n’ont pas honoré leur convocation. A la DTN, on attend le rapport de l’entraîneur sur le déroulement de ce premier stage qui s’est achevé dimanche pour prendre les décisions qui s’imposent. Honnêtement, jusqu’à présent, je n’ai pas plus de détails», nous a précisé M. Zaki.
Et suite aux absences des internationales du GSP à ce premier regroupement, nous avons pris attache avec le GSP qui explique que sur les six basketteuses convoquées, «une est blessée et a présenté un certificat médical à l’entraîneur et elle devait être auscultée par le médecin fédéral, mais celui-ci étant absent, une autre joueuse se trouve à l’étranger. Elle a profité du repos d’une semaine accordé par le staff technique pour partir en voyage, deux joueuses, qui sont universitaires, sont en plein examen et ont même informé l’entraîneur national de leur situation tandis que la 5e s’est excusée en raison de sa situation actuelle qui ne lui permet pas de répondre à la convocation. Par ailleurs, la 6e a pris part au regroupement », nous-a-t-on indiqué au GS Pétroliers.

Nouveau regroupement samedi
Ainsi, après ce premier stage, l’entraîneur national Bennadir Djamel, secondé par Yakhlef Rahima, a programmé un second stage du 22 au 26 décembre à l’hôtel Beau-Fayet, à l’ouest d’Alger. Ces regroupements permettront au staff technique national de relancer la sélection en vue des prochaines échéances internationales notamment le tour qualificatif pour l’Afrobasket 2019 de la zone 1 qui regroupera les quatre équipes : l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et la Libye. Les matchs qualificatifs auront lieu entre janvier et avril 2019 avec à la clé la qualification d’une seule sélection pour la phase finale.
Ce premier stage n’est qu’un premier contact où le travail s’est axé sur la préparation technique. «Les blessures de quelques joueuses et les examens ne nous ont pas permis de regrouper l’ensemble de la sélection, mais notre but est de bâtir une équipe compétitive à moyen terme et bien préparer les qualifications de l’Afrobasket 2019», a souligné l’entraîneur Bennadir sur le site de la Fédération algérienne de basket-ball (FABB).
Ah. A.

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Blocage des investissements en Algérie: “Du jamais vu, même dans les sociétés dirigistes”

Mon, 12/17/2018 - 11:35

“Il faut que les cercles de décision économique ne soient pas occultes et qu’ils n’agissent plus selon le fait  du prince”, souligne-t-il.

L’expert financier Ferhat Aït Ali s’est longuement étalé sur la problématique des investissements en Algérie. Des investissements sur lesquels le gouvernement avait fait des promesses fortes en inscrivant le droit d’entreprendre au crayon feutre dans la loi fondamentale du pays.
Estimant que leur concrétisation laisse à désirer, Ferhat Aït Ali s’est dit, hier, scandalisé par la manière par laquelle est traité l’acte d’investir dans le pays. “C’est du jamais vu, même dans les sociétés dirigistes et autoritaires ! L’acte d’investir dépend, soit du bon gré de l’administration, soit de cercles occultes qui ont la mainmise sur la décision économique”, tempête-t-il. “C’est aussi du jamais vu qu’une administration économique refuse d’appliquer la décision de la justice en faveur d’un investisseur”, regrette l’invité du Forum de Liberté, faisant allusion aux déboires que l’on fait subir au groupe Cevital.

“Il faut que les cercles de décision économique ne soient pas occultes et qu’ils n’agissent plus selon le fait du prince. Nous ne pouvons pas décider unilatéralement et de manière discrétionnaire sur qui doit faire quoi, comment, quand et où”, souligne-t-il, allusion faite aux blocages érigés sur le chemin des investisseurs. “Je ne vois pas d’ailleurs l’utilité du Conseil national de l’investissement, encore moins certains des critères imposés aux investisseurs dont cette récente notion de secteur en saturation qui n’est autre qu’un acte de dissuasion”, estime l’analyste financier qui croit dur comme fer que l’une des portes de sortie de crise réside dans la facilitation de l’acte d’entreprendre, pourtant garanti et renforcé par les dernières réformes apportées à la Constitution du pays. “Une société qui pense pouvoir faire l’impasse sur le droit n’a aucune chance de construire une économie”, estime Ferhat Aït Ali.

À l’aune des modifications apportées à la loi fondamentale du pays, élevant officiellement et opportunément l’acte et le droit d’investir et d’entreprendre au rang d’une priorité aux fins de construire une économie dépendante des hydrocarbures, ce plaidoyer n’est visiblement suivi d’aucune velléité de bien faire. Sur le chemin de l’investisseur, qui s’apparente à un vrai parcours du combattant, se dressent plusieurs écueils, dont “une administration bureaucratique et dirigiste”, un secteur informel qui n’est autre qu’une “mutation génétique du régime dit formel”, et une “emprise bureaucratique sur les moyens de financement de l’investissement”. Deux regrets pour Ferhat Aït Ali : l’un sur la manière par laquelle sont traités les investisseurs, aussi bien au niveau des administrations que par ces cercles occultes qui ont la mainmise sur la décision économique, et l’autre sur l’absence de toute réforme en mesure d’inverser la tendance et redonner à l’acte d’entreprendre ses lettres de noblesse. D’autant plus que sur ce point, le gouvernement, tout en vantant son intention de rendre l’acte d’investir plus simple et plus accessible, ne s’attaque pas aux problèmes bureaucratiques et extra-administratifs qui pénalisent l’entrepreneuriat et qui réduisent les promesses de l’Exécutif à leur plus simple expression.
Clairement, on ne peut pas prétendre quêter une sortie de crise en mettant aux investisseurs des bâtons dans les roues. Il y a absence de cap qui fausse toutes ces intentions de bien faire, estime Ferhat Aït Ali. Pour lui, ce que propose le gouvernement c’est tout, sauf un modèle économique. Encore moins une stratégie.

Ali Titouche

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Unilever inaugure sa deuxième unité de production en Algérie

Mon, 12/17/2018 - 11:34

Le Directeur Général du Développement Industriel et Technologique au Ministère de l’Industrie et des Mines Monsieur Mustapha Abdelkrim accompagné du Secrétaire Général de la Wilaya d’Oran Monsieur Si Ali Meddah, de Son Excellence Monsieur Robert van Embden, Ambassadeur des Pays-Bas, de Madame Philippa Rogers, Ambassadeur adjoint du Royaume-Uni, et du Directeur de l’Industrie et des Mines Monsieur Khaldoun Abderrahim, ainsi que du Président Directeur Général d’Unilever Afrique du Nord Monsieur Rana Sengupta ont présidé aujourd’hui à Oran la cérémonie d’inauguration d’une importante unité de production de produits cosmétiques et d’hygiène corporelle.

Cette nouvelle unité de production vient s’ajouter à la première unité mise en place en 2002 pour la production de produits détergents en poudre, propulsant ainsi le site industriel d’Oran au rang de plus grand site industriel d’Unilever dans la région.

Fruit d’un investissement de plus de 1.35 milliards de dinars et s’étalant sur une surface de plus de 26 000 m2, cette nouvelle unité génère plus de 800 emplois directs et indirects. Répondant à une demande nationale croissante, celle-ci permettra à Unilever Algérie d’atteindre un objectif de production locale de 80% de sa gamme de produits, une gamme jusqu’ici importées.

Rana Sengupta, PDG d’Unilever Maghreb a déclaré : « Notre stratégie d’investissement sur le territoire reflète l’importance que nous accordons au marché algérien, un marché à grand potentiel. Nous sommes aujourd’hui très fiers d’élargir notre gamme de produits « Made in Algeria» réalisés au sein d’unités de production répondant aux plus hauts standards d’excellence industrielle et de durabilité, en parfait alignement avec notre programme environnemental global ‘zero waste to landfill’ soit zéro déchet envoyé à la décharge depuis 2015. »

Hamid Boumesbah, Directeur Général d’Unilever Algérie a quant à lui souligné : « Cette nouvelle unité de production est un objectif majeur inscrit dans notre stratégie de développement à l’échelle nationale. Une stratégie qui a débuté en 2002 avec la création de notre unité de production de produits détergents à Oran, et en alignement avec les initiatives gouvernementales visant à encourager la production nationale. C’est pour nous une grande fierté de contribuer à la croissance économique de notre pays à travers la création d’emplois, le développement d’un important réseau de fournisseurs de matières premières ainsi qu’à travers les partenariats mis en place avec nos distributeurs et nos clients. »

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Natation – FAN : jumelage de deux compétitions

Mon, 12/17/2018 - 11:33

La Fédération algérienne de natation (FAN), annonce le jumelage de deux compétitions nationales à savoir le Championnat national (minimes-juniors) avec l’Open hivernal (bassin de 25m), regroupés en une compétition intitulée : Championnat national hivernal 2019, bassin de 25m qui aura lieu du 27 au 31 janvier 2019 à la piscine Baha-Mohamed de Bab Ezzouar. Une décision prise par le bureau fédéral de la FAN «suite à la demande de plusieurs clubs évoquant des problèmes financiers». Les règlements et le programme du championnat seront élaborés incessamment par l’organisation sportive de la FAN.
Ah. A.

Championnat national interclubs (Benjamins)
Le GS Pétroliers  sacré du titre

Le GS Pétroliers a été sacré du titre national interclubs de natation, réservé à la catégorie des benjamins, (petit bassin de 25 m) à l’issue de la 2e et dernière journée de la compétition disputée vendredi et samedi à la piscine Mohamed-Baha de Bab Ezzouar (Alger) à laquelle ont pris part 350 nageurs venus de 27 clubs. Les Pétroliers ont conservé leur 1re place acquise à l’issue de la 1re journée, affirmant leur suprématie en totalisant 15 010 points, devant le SN El-Biar (12 358 pts) et le NR Dély-Brahim (11 791 pts).
La nageuse du GSP, Romaïssa Hamdaoui a déclaré à l’APS «que le sacre n’a pas été facile, surtout que l’équipe s’est préparée depuis deux mois et demi. J’ai pris part à mes deux spécialités (dos et brasse), en aidant mon équipe à engranger des points», alors que sa co-équipière Naïla Bougheloum, spécialisée dans la nage libre a estimé «qu’elle aurait pu mieux faire et que son principal objectif reste le titre national».
De son côté, l’entraîneur du Sahel nautique d’El-Biar, Naïl Rouane, s’est déclaré satisfait de cette 2e place pour son équipe réputée pour sa formation. «La lutte a été rude avec les autres clubs. Nous avons dû attendre la 3e et dernière séance pour assurer notre 2e place et ce, grâce aux efforts de nos nageurs et surtout de nos nageuses. Nous avons amélioré notre classement par rapport à la saison passée (3e).
Le club d’El-Biar possède désormais un grand réservoir de jeunes talents, malgré que cette compétition était à caractère collectif. Nous avons enregistré l’émergence de talents à l’image des sœurs Rania et Imane Belokbi et Lina Mehdi chez les filles, et Adem Oularbi (brasse) chez les garçons. Chose inhabituelle, l’absence parmi le trio de tête, de l’USM Alger qui s’est contentée de la 5e place avec un total de 10 253 pts, en raison du départ massif de ses éléments. Le club usmiste a dû prendre part à cette compétition avec un effectif composé de 80 % des nageurs nés en 2007, et issus directement de l’école de natation, ce qui constitue une excellente performance pour l’USMA, au moment où cette compétition est réservée aux nageurs nés en 2006 et 2007, alors que les «autres clubs ont engagé des nageurs nés en 2006», selon l’entraîneur de l’USM Alger.

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Cyclisme – Tropicale Amissa-Bongo: 6 Algériens au Gabon

Mon, 12/17/2018 - 11:32

La 14e édition de la course cycliste la Tropicale Amissa-Bongo, qui aura lieu du 21 au 27 janvier 2019 au Gabon, verra la participation de six coureurs de la sélection algérienne. 15 équipes dont dix africaines et cinq formations européennes prendront part à cette 14e édition qui se disputera en sept étapes sur un parcours total de plus de 800 km.
Pour la première fois depuis le début de sa création en 2006, cette édition fera un tour en Guinée-Equatoriale lors de la 5e étape Bitam-Mongomo, en passant par la ville de Kyé-Osi au Cameroun, ce qui donne une dimension internationale à la Tropicale qui se veut désormais être le point de départ de toutes les courses de l’Union cycliste internationale.
Les coureurs algériens engagés sont Lagab Azzedine, Reguigui Youcef, Bechlaghem Abderrahmane, Abdellah Benyoucef, Hamza Abderrahmane et Mansouri Abderrahmane.

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Handball – Coupe arabe (messieurs): Dix clubs présents dont la JSE Skikda et l’IC Ouargla

Mon, 12/17/2018 - 11:29

Dix clubs dont la JSE Skikda et l’IC Ouargla seront présents à la 34e Coupe arabe de handball (messieurs), prévue du 19 au 29 décembre à Sfax (Tunisie), a indiqué l’Union arabe de la discipline (UAHB) sur son compte twitter. Outre la JSE Skikda et l’IC Ouargla, il y aura les formations de Sakiet Ezzit (Tunisie), de l’ES Tunis (Tunisie), du Sporting Moknine (Tunisie), d’Al-Khaleedj (Arabie Saoudite), d’Al-Arabi (Qatar), d’Al-Salimiya (Koweït), d’Al-Koweït (Koweït) et d’Al-Ittihad (Libye).
Quant à la 3e édition de la Coupe arabe des clubs dames, seul le Club Africain (Tunisie) a confirmé sa participation au tournoi, alors que l’instance arabe avait fixé au 3 décembre le dernier délai aux équipes pour confirmer leur présence.

La Ligue des champions d’Europe passe à 16 clubs à partir de 2020/21
La Ligue des champions de handball, chez les messieurs et les dames, passera à 16 clubs répartis en deux groupes de huit à compter de la saison 2020-21, supprimant ainsi les poules basses de la compétition masculine, a annoncé la Fédération européenne. Actuellement, la Ligue des champions messieurs se déroule avec 28 équipes réparties en deux poules hautes de huit équipes avec les meilleurs clubs européens, et deux poules basses de six équipes. Avec la nouvelle formule, les deux premiers des deux poules seront directement qualifiés pour les quarts de finale, alors que les équipes classées de la 3e à la 6e place disputeront un barrage pour accéder aux quarts.

Le principe du Final Four  est maintenu
Ce nouveau format s’appliquera également à la Ligue des champions féminine. Jusqu’à présent, 16 équipes étaient réparties en quatre groupes, les trois premières accèdent à une seconde phase de poule. A l’issue de ce tour, les quatre premières des deux groupes se qualifient pour les quarts de finale, avant le Final Four.

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Le coordonnateur du Centre opérationnel des migrations: l’Algérie se refuse à créer des centres de rétention de migrants sur son sol

Mon, 12/17/2018 - 11:26

Le flux de migrants sur le continent Africain est un phénomène qui a tendance à prendre de l’ampleur, notamment vers l’Algérie où, comparativement à l’année 2017, sa pression, même si elle est moins importante, n’en continue pas moins de perdurer.

S’exprimant, lundi, sur cette question, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 Radio Algérienne, le coordonnateur du Centre opérationnel des migrations au ministère de l’Intérieur relève que si les pays Européens sont légitimement préoccupés par ce problème, il en va de même pour Alger qui, dit-il, tente de le prendre en charge et de le réguler.

Concernant l’accueil et la protection des populations de migrants, M. Hassan Kacimi signale que l’Algérie a, de tous temps, inscrit son action dans le respect des conventions internationales, relevant cependant que sur ce dossier, il n’existe pas de consensus entre les nations qui y sont confrontées.

Des appels pressant de pays Européens à l’Algérie d’accepter l’ouverture de « Plateformes migratoires » de rétention, qu’il identifie à des « marchés aux esclaves où on prend les meilleurs», le représentant du ministère de l’Intérieur considère que cette question doit être réglée « autrement et non en la déplaçant ailleurs ». Il pousse plus loin en observant que la politique de « migration choisie », adoptée par ces derniers est une démarche qui ne contribue en rien à solutionner cette épineuse question.

Du flux migratoire auquel fait face le pays, il note que celui-ci est en train d’évoluer différemment par rapport au passé. Alors qu’en Europe, dit-il, les voies migratoires sont en train de se fermer, il en va autrement pour ce qui concerne le continent où, signale-t-il, le nombre de migrants est en train d’augmenter en direction de l’Afrique du Nord, particulièrement vers l’Algérie, à partir du Mali, du Niger, le Tchad, et le Soudan, en particulier.

M. Kacimi estime que concilier les aspects humanitaires et sécuritaires du flux migratoire s’avère une problématique « difficile à mettre en œuvre », assurant que les autorités Algérienne tentent, malgré tout, de les appréhender au mieux.

Notant que la population des cinq pays du Sahel est constituée de 80 millions d’habitants et que dans 30 ans elle va pratiquement doubler, « qu’en sera-t-il, s’inquiète-t-il, s’il n’y existe pas d’assises économiques pour répondre à ses besoins. Pour lui, « nous allons assister à une migration  qui va se diriger vers le Maghreb, l’Algérie, puis l’Europe », des enjeux auxquels il appelle à faire face par une démarche réfléchie au niveau mondial.

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Conseils de classe: Benghabrit interdit les sanctions

Mon, 12/17/2018 - 11:21

La ministre de l’Education nationale interdit aux enseignants d’infliger des sanctions aux élèves lors des conseils de classe. Les mentions avertissement et blâme sont désormais à bannir sur les bulletins trimestriels des élèves, selon une instruction du ministère de l’Education nationale qui interdit des mentions outre que excellent, félicitation, encouragement et tableau d’honneur. Les enseignants doivent se contenter de décerner des observations pour les élèves n’ayant pas le profil pour ces mentions.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Les enseignants sont sommés de rester positifs dans leurs appréciations des élèves. L’instruction ministérielle numéro 68 publiée le 12 juillet 2018 relative aux conseils des classes dans les cycles moyen et secondaire interdit formellement aux enseignants de noter sur le bulletin d’un élève la mention avertissement ou blâme.
«Le conseil de classe peut décerner, au vu des résultats trimestriels obtenus, des récompenses aux élèves brillants en décernant des mentions : excellent, félicitation, encouragement et tableau d’honneur», stipule l’instruction.
Et de préciser que concernant les élèves n’ayant pas le profil d’obtenir les mentions citées, l’enseignant doit donner des appréciations ou des observations leur permettant d’améliorer leur niveau. Une énième aberration, selon les syndicats.
Boualem Ammourra, président du Satef, estime que c’est inacceptable. Selon lui, «nous ne vivons pas en Suisse, la majorité des élèves sont turbulents et on nous demande, avec cette instruction, de les gâter et de leur donner beaucoup plus de liberté en nous interdisant de leur donner des sanctions. Je suis d’accord pour le blâme, mais pour un avertissement c’est une alerte pour l’élève et ses parents».
Le président du Satef souligne que l’on ne peut pas prendre ce genre de décision derrière un bureau loin de la réalité du terrain.

Selon lui, actuellement, l’enseignant et l’administration n’ont aucun moyen ni pouvoir sur l’élève pour le pousser à travailler ni à être discipliné. «Ils ont interdit les châtiments corporels et nous avons été d’accord, mais nous ne comprenons pas pourquoi interdire aussi les avertissements, comment allons-nous pouvoir punir les élèves d’autant que même les parents sont démissionnaires, nous devons sanctionner car nous ne sommes pas dans un milieu favorable et calme, nous sommes devant des élèves qui manquent d’éducation et autant rentrer chez nous si nous n’avons pas les moyens de pression sur l’élève», s’insurge le syndicaliste qui dit que les élèves ont déjà le pouvoir sur beaucoup de choses actuellement. Il estime qu’«en désarmant l’enseignant des sanctions, l’élève sera plus indiscipliné et rentrera encore plus dans la provocation des enseignants».

Meziane Meriane, coordonnateur du Snapest, estime que l’élève doit être secoué et remis à sa place lorsqu’il ne respecte pas les lois établies par son établissement. Il explique que l’enseignant attribue un blâme lorsque l’élève obtient une moyenne inférieure à 5 et un avertissement lorsque la moyenne est inférieure à 8. C’est donc une manière, dit-il, de tirer la sonnette d’alarme pour que les parents sachent que leur enfant risque de redoubler ou d’être exclu. «Si le ministère de l’Education estime que donner un blâme c’est blessant, il doit trouver une autre formule mais nous ne pouvons pas le supprimer sans le remplacer, c’est une erreur, car nous devons avertir les parents et tirer la sonnette d’alarme sur les résultats de l’enfant et si cette mention porte préjudice à l’élève, nous devons, tout de même, trouver un moyen d’avertir les parents que leur enfant risque d’être exclu ou de redoubler», suggère M. Meriane.
S. A.

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La formule LPA propose des F2 pour les célibataires

Mon, 12/17/2018 - 11:05

D’après les informations du quotidien Ennahar, le cahier des charges de la formule Logement Promotionnel Aidé (LPA) a définitivement été finalisé. Ainsi, des logements de types F2 seront destinés aux célibataires.

En effet, les célibataires sont programmés dans tous les sites incluant des logements du programme LPA à travers le territoire national qui seront lancés dés l’année prochaine (2019).

Pour rappel, pas moins de 70 000 logements de cette formule ont été enregistrés. Le ministre de l’Habitat Abdelwahid Temmar, a indiqué que 50 000 nouveaux logements ont été inscrits à l’exercice 2019.

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Après avoir hypothéqué ses chances de qualification en coupe de la CAF : L’USMBA exposée à une véritable saignée

Mon, 12/17/2018 - 11:05

Vainqueur de la précédente édition de la coupe d’Algérie, l’USMBA vit la période la plus délicate de son histoire ces dernières années. L’équipe, qui a terminé comme troisième relégable la phase aller, risque de connaitre une véritable saignée à l’occasion du mercato estival qui a officiellement débuté hier. En tout cas, certains joueurs de l’USMBA ne sont pas allés par le dos de la cuillère pour mettre en garde leurs dirigeants qu’ils allaient quitter le club dès la semaine prochaine si on ne venait pas de leur régulariser leur situation financière.

Ces propos ont été faits à l’issue du nul concédé à domicile avant-hier contre les Nigérians d’Unugo Rangers dans le cadre des 16es de finale retour de la Coupe de la Confédération. Un nul vierge qui n’arrange sûrement pas les affaires de la formation de la Mekerra en vue du match retour prévu pour le 23 de ce mois. D’ailleurs, parmi les causes de cette contre-performance, c’est cette situation d’ambiguïté régnant dans le club, étant donné que la préparation de ce rendez-vous continental s’est faite dans la difficulté, en raison de l’absence de plusieurs joueurs aux entrainements précédant le match, alors que d’autres, à l’image de Zouari, ont carrément quitté l’équipe en attendant qu’ils soient libérés par la CRL.

C’est ce qui explique du reste la satisfaction affichée par l’entraineur de l’USMBA, Youcef Bouzidi, à l’issue du match, car conscient que les conditions régnant depuis plusieurs semaines dans le club ne permettaient pas aux siens d’évaluer sur leur véritable valeur. «Je suis satisfait de mes joueurs qui, en dépit des nombreux problèmes auxquels ils font face, ont tout donné dans ce match, même si à l’arrivée on s’est contentés d’un nul qui n’arrange certes pas nos affaires mais qui ne nous élimine pas de la compétition car il reste encore une deuxième manche à jouer durant laquelle tout peut se passer », a déclaré d’emblée l’ex-coach de la JSK. Et d’ajouter : «Il faudrait savoir que j’étais dans l’obligation d’aligner des joueurs qui manquaient de préparation sachant que les entrainements ayant précédé la partie étaient sérieusement perturbés par tous les problèmes extra-sportifs que nous avons vécus».

Aux yeux de Bouzidi aussi, son équipe a été lésée par l’arbitrage qui lui a privés «d’au moins deux penalties», a-t-il tonné. Et même s’il est conscient de la difficulté de la tâche qui attend son équipe au Nigeria lors du match retour, le technicien algérois refuse de jeter les armes. «Un nul vierge reste tout de même un résultat piège. Le fait de n’avoir pas encaissé de but à domicile nous permet de garder nos chances intactes en vu du match retour, qui sera certes difficile mais cela ne nous empêche pas de nous donner à fond dans l’espoir de revenir avec le billet de qualification. Ce que je souhaite, en revanche, c’est que les responsables du club trouvent cette semaine des solutions aux problèmes des joueurs pour ne pas se rendre au Nigeria avec un effectif limité en nombre et en qualité», a-t-il conclu.
Hakim S.

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En 2017, l’Algérie en a exporté pour environ 50 millions de dollars: Le label de deglet nour se cherche une extension à l’export

Mon, 12/17/2018 - 11:02

Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a appelé, hier lors de l’ouverture du 4eme Salon international des dattes de Biskra, en présence de 140 exposants nationaux et étrangers, à augmenter les quantités exportées de dattes pour répondre à la demande croissante sur ce fruit au niveau des marchés internationaux, rappelant ainsi les facilités offertes en la matière aux producteurs et exportateurs.

Bouazghi relève aussi dans son intervention que la branche  » datte » reste l’un des systèmes de production les plus importants de nos régions désertiques, occupant maintenant une place importante dans la politique de développement agricole et rural, en raison de ses avantages différenciés et de son poids dans l’économie nationale, et aussi grâce à son développement et ses revenus à l’exportation, son rôle dans la nutrition et la consommation ainsi que ses multiples utilisations dans le domaine des industries agroalimentaires, des industries traditionnelles ou même dans l’alimentation de bétail.

Par ailleurs, il a estimé nécessaire de reconsolider la richesse des palmiers, dans le cadre de l’agriculture « Oasis » à travers de nouvelles implantations et l’expansion de leurs zones dans le appelant, dans ce sillage à la maîtrise et à l’amélioration des techniques de production et ce dans le but de valoriser ses composants et une meilleure utilisation des techniques de mécanisation et de modernisation. Plus concrètement, le ministre a insisté, en outre, sur l’amélioration du rendement et la qualité des dattes, en particulier celles ayant une valeur ajoutée dans l’économie nationale. évoquant l’exportation des dattes, Bouazghi est revenu sur la nécessité de promouvoir l’exportation de ce fruit en diversifiant les marchés et en fournissant un environnement économique aux producteurs et exportateurs grâce au soutien qui leur est destiné et en accompagnant les agriculteurs dans la réalisation de leurs activités de développement dans des conditions appropriées. Il a, par la même occasion, affirmé que l’Etat a apporté tout son soutien au développement de la culture du palmier-dattier.

Egalement, le ministre a soutenu que cette initiative est devenue une tradition de la région pour déterminer ce qui a été réalisé dans le domaine de la mise à niveau et du développement de la richesse des dattes et des produits à base de dattes, aux niveaux local et national. Il est à noter, dans ce sillage, que ce salon a vu la participation de 140 exposants nationaux et étrangers, dont plus de 30 ambassadeurs et représentants de missions diplomatiques en Algérie (Hongrie, Venezuela, Vietnam, Corée du Sud, Indonésie, Tunisie et Sénégal) qui ont également assisté à l’ouverture.
M. I.

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Filière phoenicicole à Biskra : Installation du Conseil national interprofessionnel

Mon, 12/17/2018 - 10:55

Le Conseil national interprofessionnel de la filière phoenicicole a été installé samedi, à Biskra, en présence du ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi. Lors de la cérémonie tenue à l’amphithéâtre de l’université Mohamed Khider, le ministre a affirmé que la politique de développement de l’agriculture vise la sécurité alimentaire, la satisfaction des besoins alimentaires grandissant et l’accroissement de l’offre agricole nationale par la modernisation du système de production et la mise en valeur de nouvelles terres agricoles. Les évolutions palpables incitent à consentir davantage d’efforts pour diversifier l’économie nationale hors hydrocarbures et réduire les importations au travers de la mise en place d’approches participatives, a assuré M. Bouazghi, soulignant que dans ce contexte, 20 conseils nationaux et 525 conseils interprofessionnels ont été créés à l’échelle nationale.

Le conseil national interprofessionnel de la filière phoenicicole est composé de plusieurs intervenants dont des producteurs, exportateurs, des entreprises de transformation, de stockage et de commercialisation, en plus de représentants des structures de régulation et d’importation des intrants. Le conseil aura pour mission « de corriger les dysfonctionnements qui freinent le développement de la filière et de favoriser la concertation en vue de réaliser un bond qualitatif » surtout que la datte représente après les hydrocarbures le deuxième produit exporté ayant atteint, cette année, onze millions de quintaux, a-t-on appris au cours de la cérémonie. En marge de la cérémonie, des arrêtés de concession de terrains ont été remis à quatorze jeunes diplômés des établissements de formation professionnelle porteurs de projets de création d’entreprises d’aquaculture.

Dans l’exploitation agricole Tahraoui, dans la commune de Meziraâ, le ministre a donné le coup d’envoi du chargement de dix huit tonnes de légumes précoces destinés à l’exportation vers la France. Il a salué l’initiative et exprimé son encouragement. Auparavant, le ministre de l’Agriculture avait présidé l’ouverture du 4e salon international de la datte de Biskra en présence 140 opérateurs nationaux, de tunisiens, d’égyptiens et d’émiratis. Plus de 30 ambassadeurs et représentants de missions diplomatiques en Algérie (Hongrie, Venezuela, Vietnam, Corée du Sud, Indonésie, Tunisie et Sénégal, entre autres) ont assisté à l’ouverture de cette manifestation à l’école régionale des sports olympiques.

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Cross-country / Challenge des Zibans (28e édition) : Domination de l’AS Protection civile d’Alger et Sétif

Mon, 12/17/2018 - 10:50

L’AS Protection civile d’Alger chez les seniors dames et la wilaya de Sétif chez les hommes ont été sacrées à la 28e édition du Cross des Zibans, deuxième étape du Challenge national de cross-country, disputée samedi à Biskra.

L’AS Protection civile d’Alger a comme à l’accoutumée dominé le cross des seniors (dames), en plaçant notamment deux athlètes sur le deux premières marches du podium, Riham Senani et Bouadjaib Saâdia, tandis que la wilaya de Sétif s’est imposée chez les hommes grâce à Kamel Dali vainqueur de la course seniors . Les clubs de Chlef ont essentiellement dominé chez les juniors et les cadets, où ils ont également placé deux athlètes sur chaque podium. De leur côté, les athlètes de la sélection nationale militaire ont manifesté leur présence chez les seniors (messieurs), en prenant la troisième place, grâce à Hamza Yousfi, au moment où les formations représentant les wilayas de Tizi-Ouzou, Oum El-Bouaghi, M’Sila et Tissemsilet se sont distinguées dans d’autres catégories.

Au total, 977 athlètes, dont 201 féminines, représentant 16 wilayas ont participé à cette 28e édition du cross des Ziban, marquée également par la présence de plusieurs personnalités connues sur la scène de l’athlétisme national, à leur tête, le président de la FAA, Abdelhakim Dib. Des représentants du Comité olympique et sportif algériens, notamment Amar Brahmia et Rabah Chebah ont suivi cette compétition, ainsi que les techniciens de la FAA Abderrahmane Morceli (DTN), Abdelkrim Sadou (DEN) et Mourad Abdenouz (DOS), sans oublier le directeur des jeunes talents sportifs, Trek Kessaï, qui ont tous relevé « la bonne organisation » de ce cross. « Le niveau des juniors et des cadets a été particulièrement appréciable. Les vainqueurs ont vraiment réalisé de bonnes prestations », a estimé le directeur de l’organisation sportive de la FAA, Mourad Abdenouz.

De leur côté, et même s’ils étaient globalement satisfaits des conditions dans lesquelles a été disputé ce 28e cross des Zibans, certains athlètes ont souligné « la difficulté du parcours à certains endroits », surtout que cette situation a eu pour effet de compliquer leur course. « Le parcours était sablonneux par endroits, et très dur dans d’autres. Il y avait aussi ces fortes rafales de vent, qui soulevaient le sable et qui réduisaient donc la visibilité » ont indiqué certains crossmen. Il est à rappeler que la région de Biskra a enfanté des grands champions en athlétisme, à l’image des frères Hecini, Brahim Badi ou encore Abdelaziz Djabourabi, qui avaient dignement représenté les couleurs nationales.

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Ryad Boudebouz : «Je suis bien au Bétis Séville»

Mon, 12/17/2018 - 10:46

Le milieu offensif international algérien du Bétis Séville (Liga espagnole de football) Ryad Boudebouz a affirmé qu’il se sentait bien au sein du club andalou, infirmant les informations le donnant partant à l’OGC Nice (France), en dépit d’un faible volume de jeu.  » Je ne suis pas dans l’optique d’un départ, les infos concernant Nice, Nantes ou le club de Taïder (Impact Montréal) ne sont que des rumeurs, je ne suis pas trop au courant. Je suis bien à Séville et je veux jouer. Je dois régler ma situation au club. J’ai envie de rejouer. Il y’ aura une discussion avec mon coach », a affirmé le joueur au micro de Mondial TV.

Ayant rejoint le club andalou durant l’été 2017 en provenance de Montpellier (France) pour un contrat de quatre saisons, Boudebouz (28 ans) n’a pu exprimer pleinement son talent avec le Bétis. Il compte dix apparitions (612 minutes) depuis le début de la saison, toutes compétitions confondues. « Je ne suis pas là pour contester les choix de l’entraîneur, il faut accepter et travailler, je dois bosser et gagner ma place maintenant on verra ce qu’il y a plus tard », a-t-il ajouté. Interrogé sur la récente décision de la Confédération africaine (CAF) de retirer l’organisation de la CAN-2019 au Cameroun, l’ancien sochalien a réagi : « Nous les joueurs, on aime plutôt jouer dans un pays où il ne fait pas trop chaud, où on pourra pratiquer tout ça.

A nous de bien se préparer parce que on a une très bonne équipe avec le nouveau sélectionneur (Djamel Belmadi, NDLR) qui constitue une force, parce qu’il nous comprend bien, ça commence à être bien en place ». Boudebouz (25 sélections avec l’E.N/ 2 buts) avait quitté la France en 2017 après neuf saisons (301 matchs, 45 buts et 53 passes décisives) où il avait eu à porter également les couleurs de Bastia et Sochaux.

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Oléiculture à El Tarf : Nécessité de respecter les normes pour le développement de la filière

Mon, 12/17/2018 - 10:44

Le strict respect des normes en vigueur par les producteurs oléicoles est une condition pour le développement de la filière, a souligné une experte en agronomie, au deuxième jour d’une rencontre dédiée à l’importance de l’accompagnement dans le cadre de la qualité et l’innovation des PME/PMI dans la wilaya d’El-Tarf.

Dans une intervention portant sur les perspectives de développement de la qualité au niveau des unités oléicoles, Nora Benrachou, du département des sciences agronomiques de l’Université Chadli Bendjedid est revenue sur les conditions nécessaires pour parvenir à une huile d’olive de «bonne qualité’’ en mesure de rivaliser avec la production de pays concurrents. «La filière huile d’olive accuse un retard en matière de développement en amont et en aval’’, a-t-elle ajouté, expliquant que les retards enregistrés sont dus, non seulement aux facteurs climatiques (sécheresse et les incendies de forêts), mais également à des conditions de production (culture de l’olivier, le savoir-faire, les structures d’appui), qui font actuellement défaut de façon criante, selon elle.

L’intervenante a ajouté que l’absence de laboratoires spécialisés et d’unités de conditionnement, notamment, font que «notre huile n’arrive pas encore à concurrencer les productions des autres pays’’, et d’assurer une offre concurrentielle sur le marché international dont l’exigence est le respect des «normes strictes’’ du Conseil oléicole international (COI). Elle a cité comme conditions préconisées pour garantir une production oléicole de qualité, le stockage des olives dans des cuves en inox, à l’abri de la lumière et des variations de température, le suivi rigoureux des différentes étapes d’extraction de l’huile d’olive, l’inutilisation de scourtin (filtre) qui est souvent source de contamination et le stockage des huiles au niveau des unités d’extraction.

De son côté, Kamel Fergani, représentant de l’Institut algérien de la normalisation (IANOR), sis à Alger, a évoqué les missions de cet institut qui a publié, selon lui, pas moins de 9 000 normes algériennes ciblant différents secteurs confondus, à ce jour. Il a également présenté aux participants, des représentants de divers services (Chambres de commerce et d’industrie, commerçants, artisans, association de protection des consommateurs, étudiants, enseignants), le système algérien de normalisation, les résultats des travaux de comités techniques sur la normalisation tout en insistant sur les rencontres de sensibilisation organisées dans ce contexte. Une exposition de produits artisanaux divers (huiles essentielles, savons, parfums, bijoux en corail et pierres précieuses…) a été organisée en marge de cette rencontre, tenue depuis mercredi, à l’Université Chadli Bendjedid.

Selon le directeur local de l’Industrie et des Mines, Abdelhak Meziani, cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre du programme du ministère de tutelle dédié à la normalisation et à la créativité, vise essentiellement la promotion du produit national.

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Université Djillali Liabès de Bel Abbès : Un pôle scientifique d’excellence

Mon, 12/17/2018 - 10:36

L’université Djillali Liabès de Sidi Bel- Abbès, qui souffle ses 40 ans d’existence, est en plein essor en termes d’infrastructures et de spécialités, devenant un pôle scientifique par excellence pour 30 000 étudiants issus de différentes wilayas et encadrés par 1400 enseignants.

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a présidé, samedi dernier, en compagnie des ministres de la Formation et de l’Enseignement professionnels, de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, respectivement Mohamed Mebarki et Imene Houda Feraoun, les festivités marquant ce 40e anniversaire de la création de cette université, en organisant plusieurs manifestations scientifiques, sportives et artistiques.
Cet établissement d’enseignement supérieur a connu une évolution notable en quatre décennies, après sa promotion en université, le 1er janvier 1989, comptant six instituts pour atteindre, six années plus tard, 10 instituts de différentes spécialités. En 1998, avec la mise en place du système des facultés, l’université a abrité les facultés de lettres, des sciences économiques et de gestion, de droit, d’ingéniorat, de médecine et des sciences, a rappelé son recteur, Meghachou Mourad. Trois autres trois facultés ont été ajoutées à ce réseau, à savoir celles des sciences de la nature et de la vie, des technologiques et des sciences appliquées. Sa salle de conférences de 600 places, équipée de tous les moyens, a été ouverte pour l’organisation de manifestations scientifiques et culturelles.
Cette infrastructure a bénéficié d’un projet structurant visant la réalisation d’un pôle universitaire s’étendant sur une superficie de 90 ha. Ce qui a permis de la hisser au rang de grande université au niveau national, a souligné le recteur.
Ce pôle universitaire compte trois facultés : celles des lettres, des langues et des arts, la faculté du génie électrique et la faculté des sciences humaines et sociales, outre un bloc administratif, composé de cinq étages abritant le rectorat , une bibliothèque, une maison de l’entreprenariat, un siège des œuvres sociales et des infrastructures sportives. L’université dispose aussi de laboratoires de recherche de pointe.
Leur nombre a atteint les 49 laboratoires versés dans différentes filières. Ils sont encadrés par 90 équipes et 370 enseignants en plus de
2 000 étudiants post-graduation pour les diplômes d’études supérieures. Les efforts déployés dans le domaine de la recherche scientifique ont permis à cette université de décrocher, en 2016, selon le classement du site web « Metric Ranking », la première place au niveau national et maghrébin, et la 27e place au niveau africain et enfin la 1 725eplace parmi 27 000 universités au niveau mondial.
L’université de Sidi Bel-Abbès a été baptisée, en 1996, du nom du professeur Djillali Liabès, natif de Sidi Bel-Abbès et docteur en sciences humaines. Il occupa plusieurs postes dont celui de ministre des universités (1991) puis ministre de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique (1992) avant d’être nommé directeur de l’institut des études stratégiques globales. Djillali Liabès a été assassiné le 16 mars 1993 à Alger.

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Yémen : Les armes parlent toujours à Hodeida malgré la trêve

Mon, 12/17/2018 - 10:35

La ville de Hodeida, port stratégique de l’ouest du Yémen et principal front du conflit, reste le théâtre de violents combats et raids aériens qui mettent en péril la trêve conclue en Suède sous l’égide de l’ONU entre forces loyalistes et rebelles Houthis.

Hier, des échanges de tirs sporadiques étaient rapportés par des habitants de cette cité des rives de la mer Rouge qui constitue le point d’entrée des opérations humanitaires au Yémen, pays pauvre ravagé par des années de guerre. «On entend les bruits de raids et d’échanges de tirs sans pouvoir les localiser», a dit un des habitants joints par téléphone, sous le couvert de l’anonymat. Mais ce sont surtout les affrontements et raids aériens de la nuit, les plus violents depuis l’annonce du cessez-le-feu jeudi, qui inquiètent, les belligérants s’accusant d’en porter la responsabilité. Au moins 29 combattants, dont 22 rebelles Houthis, ont été tués dans ces combats, a affirmé à l’AFP un responsable pro-gouvernemental. Ce bilan n’a pu être confirmé de source indépendante jusqu’à présent. Sept rebelles ont en outre été capturés lors d’une offensive des Houthis contre la localité d’Al-Douraihimi, à environ 20 km au sud de Hodeida, a ajouté la même source. L’agence de presse Saba contrôlée par les Houthis a de son côté affirmé que l’aviation de la coalition menée par l’Arabie saoudite continuait de procéder à des raids aériens dimanche dans la province de Hodeida. Elle a accusé les forces pro-gouvernementales d’avoir bombardé samedi soir des quartiers résidentiels de la ville. Tout en notant que les combats avaient baissé d’intensité à l’aube, un habitant de Hodeida a confirmé le caractère «violent» des affrontements de la nuit. Il a noté que le bruit d’avions survolant la ville avait été entendu toute la nuit.

«Réussite»?
Des combats sporadiques avaient été signalés dès vendredi soir dans les quartiers est et sud de Hodeida, au lendemain même de l’annonce du cessez-le-feu conclu en Suède entre les rebelles et les forces loyales au président Abd Rabbo Mansour Hadi. Selon les termes de cet accord, le cessez-le-feu devait pourtant entrer «immédiatement» en vigueur à Hodeida, ville tenue par la rébellion et qui constitue le principal point de fixation du conflit depuis des mois. Le retrait des combattants est lui prévu dans les «prochains jours». Même si la fragilité du processus est connu de tous, les rebelles Houthis avaient qualifié samedi de «réussite» l’accord conclu en Suède au terme des premiers pourparlers depuis 2016. Outre une trêve à Hodeida, cet accord prévoit un échange de quelque 15.000 combattants faits prisonniers ainsi que des mesures pour faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire à Taëz (sud-ouest), ville aux mains des loyalistes et assiégée par la rébellion.

«Premier pas vital»
Les pourparlers inter-yéménites doivent par ailleurs reprendre fin janvier pour tenter de définir un cadre de négociation en vue d’un règlement global. Depuis 2014, la guerre au Yémen a fait au moins 10.000 morts et des millions de personnes sont menacées de famine dans ce pays où sévit «la pire crise humanitaire du monde», selon l’ONU. La guerre oppose les partisans du gouvernement soutenus depuis 2015 par une coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite aux rebelles Houthis soutenus par l’Iran, le grand rival chiite de Ryad. Conscient de la fragilité de l’accord, l’émissaire de l’ONU au Yémen, Martin Griffiths, a réclamé dès vendredi le déploiement au plus vite d’observateurs internationaux à Hodeida et dans des ports de la province. «Permettre à l’ONU d’avoir un rôle dirigeant dans les ports est un premier pas vital. Nous devons voir cela arriver dans les jours qui viennent», a argué M. Griffiths lors d’une liaison vidéo avec le Conseil de sécurité depuis ses bureaux établis en Jordanie. Selon des diplomates, quelque 30 à 40 observateurs pourraient être déployés à Hodeida, ville d’environ 600.000 habitants. Dans le conflit yéménite, d’autres points de blocage persistent, notamment celui concernant l’aéroport de Sanaa. La capitale elle-même est entre les mains des rebelles Houthis depuis 2014. Lors des pourparlers de Suède, aucun accord n’a été trouvé sur cet aéroport international dont l’ouverture est réclamée avec insistance par les rebelles et qui est soumis à un embargo de fait de la coalition.

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Etats-Unis: La couverture santé d’Obama, objet d’une nouvelle bataille

Mon, 12/17/2018 - 10:34

Les démocrates américains ont promis samedi de contester en justice et au Congrès la décision d’un magistrat fédéral qui a déclaré inconstitutionnelle la couverture santé de Barack Obama, un jugement applaudi par Donald Trump, féroce détracteur de ce système ayant permis d’assurer des millions d’Américains.

Le président républicain a vivement salué cette décision de justice qu’il a qualifiée de «bonne nouvelle pour l’Amérique!». «Comme je l’ai toujours prédit, l’Obamacare a été démoli comme étant un désastre inconstitutionnel, », a écrit Donald Trump sur Twitter vendredi soir, peu après la décision du juge. «Nous allons avoir un bon système de santé», a-t-il encore promis samedi, devant des journalistes. «Nous allons devoir négocier avec les démocrates pour cela mais je suis sûr qu’ils veulent aussi le faire», a ajouté le président républicain, alors que l’opposition va prendre le contrôle de la Chambre des représentants au Congrès en janvier. La Maison Blanche a toutefois souligné que la loi de Barack Obama restait en vigueur puisque l’affaire sera certainement portée en appel jusque devant la Cour suprême. L’incertitude pèse sur ce que pourraient décider les neuf juges de la Cour suprême.

Cinq des neuf magistrats avaient décidé en 2012, dans une affaire distincte, de maintenir l’Obamacare («Affordable Care Act», ACA, de son nom officiel). Ils siègent encore. Cette loi emblématique de la présidence de Barack Obama, promulguée en 2010 et qui a permis à quelque 20 millions d’Américains de s’assurer, est la bête noire des républicains. Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump n’a eu de cesse de tenter de démanteler l’Obamacare. Mais il avait essuyé en 2017 un échec cuisant au Congrès, lorsque la tentative d’abroger Obamacare avait échoué de justesse, malgré une majorité républicaine. Son camp tente depuis de saper cette couverture, à coups de mesures fiscales et recours en justice. La décision vendredi d’un juge fédéral conservateur du Texas est le fruit de ces efforts.

Le magistrat, Reed O’Connor, avait été saisi par les procureurs généraux de plusieurs Etats et un gouverneur, tous républicains. Dans son jugement, il estime la loi inconstitutionnelle dans son intégralité en raison de l’élimination par le Congrès, à l’occasion d’une réforme fiscale républicaine l’an dernier, d’une amende infligée aux personnes non-assurées qui ne s’inscriraient pas à ce programme. Or cette pénalité constitue «la clef de voûte» de la loi qui doit donc être déclarée inconstitutionnelle, selon le juge. Le jugement est tombé juste avant l’expiration du délai, samedi, pour souscrire à cette assurance santé pour 2019. Craignant que la nouvelle ne décourage les Américains retardataires, qui se retrouveraient donc sans aucune couverture santé, les démocrates ont multiplié les messages appelant à s’inscrire samedi. «Il n’y a aucun impact» pour l’instant, a également souligné l’administratrice des assurances pour les plus pauvres et les personnes âgées, Seema Verma, pourtant nommée par Donald Trump.

«Jugement cruel»
Les démocrates ont dénoncé «l’offensive» des républicains contre un système de santé «abordable» et annoncé qu’ils feraient «immédiatement appel». «Les républicains sont totalement responsables de ce jugement cruel», a écrit Nancy Pelosi, future présidente de la Chambre des représentants. C’est justement avec un message fortement axé sur la protection de cette couverture santé et des personnes souffrant d’antécédents médicaux que les démocrates ont remporté une solide victoire en novembre à la chambre basse du Congrès. Les républicains, eux, ont renforcé leur majorité au Sénat. «La Chambre des représentants agira rapidement pour intervenir formellement dans le processus d’appel», a promis Nancy Pelosi.

Pour le chef des sénateurs démocrates, Chuck Schumer, «si ce jugement affreux était maintenu par les cours supérieures, cela serait un désastre pour des dizaines de millions de familles américaines». Des procureurs généraux démocrates de 17 Etats, menés par celui de la Californie, ont affirmé que les modifications fiscales n’impliquaient pas qu’Obamacare était inconstitutionnelle et ont promis de défendre le système. «Notre combat pour sauver l’Obamacare est loin d’être fini», a affirmé Xavier Becerra, chef des autorités judiciaires de la Californie. Samedi, l’indignation ne retombait pas chez les démocrates. «Les Américains veulent que l’on protège leur système de santé, pas qu’on l’attaque», a tweeté le sénateur démocrate Sheldon Whitehouse.

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