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Updated: 1 day 17 hours ago

L’Algérie digitale : mieux vaut s’y préparer que de se laisser surprendre !

Thu, 01/17/2019 - 14:59

Publié par Farid Farah

La stratégie de la politique numérique de l’Algérie a besoin d’atouts supplémentaires et surtout de partenariat international. La construction d’une économie des services dans le domaine des technologies du digital nécessite un soutien massif des compagnies internationales. Ce soutien doit débuter obligatoirement par une présence réelle en Algérie des compagnies d’internet les plus connues comme Google, Apple et Amazon. Une question se pose donc : pourquoi ces entreprises ne veulent toujours pas introduire leurs activités sur le marché algérien ? A notre avis, les raisons sont multiples…

Le pays n’a toujours pas fait l’effort financier nécessaire pour bien promouvoir les nouvelles technologies et dispenser ainsi ce secteur des restrictions budgétaires drastiques. Il est temps de promouvoir l’impact des technologies sur les organisations en tenant compte des enjeux environnementaux, de renforcer la pénétration du digital au sein des PME/PMI, des administrations et collectivités locales et contribuer à l’accessibilité des technologies au plan de la santé, de l’éducation et de la formation.

L’accès facile et multicanal au «vrai» internet haut débit devra être généralisé à tous les foyers résidentiels, et les efforts utiles à la facilitation de la mise en œuvre d’une authentique société de l’information doivent être élargis aux plans administratif, financier, juridique et universitaire.
Le débat sur l’Algérie numérique demeure absent. Le secteur des finances en général et des banques en particulier a besoin d’un nouveau plan et d’une réglementation souple afin qu’au moins 50 % de la population puissent acheter en ligne d’ici à 2020.

Côté régulation, l’absence d’une législation stricte sur l’usage des données des internautes par les représentants du Web algérien plane toujours. La régulation ne concerne pas les éditeurs de contenus électroniques. La question de l’adéquation du contenu au support mobile se pose encore et les règles de sa mise en exécution ne sont pas rédigées. La régulation devra aussi s’accompagner d’une batterie de réformes en faveur des consommateurs dont la possibilité de se faire indemniser en cas de dysfonctionnements continus des services offerts par les opérateurs de la chaîne digitale.

Les acteurs algériens du digital, banques et administrations y compris, sont donc appelés à jouer un rôle de plus en plus important dans le développement d’infrastructures flexibles, basées sur le Cloud qui s’appuient sur l’interopérabilité, la souplesse et l’optimisation des coûts.

F. F.

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Categories: Afrique

À la découverte des laboratoires et usines du n°2 mondial des smartphones et leader des équipements de télécommunications: Voyage au cœur de l’empire Huawei

Thu, 01/17/2019 - 14:57

De notre envoyé spécial en Chine, Azedine Maktour
Elle n’en finit pas de prendre de la dimension, la position du géant chinois Huawei dans le monde, Algérie comprise. Une dimension qui, depuis plusieurs mois maintenant, lui a permis de supplanter l’américain iPhone, à la seconde place dans la hiérarchie des fabricants et distributeurs mondiaux  de smartphones, après le leader sud-coréen Samsung, tout en se plaçant comme le plus grand fabricant d’équipements de télécommunications au monde, présent dans 170 pays.

Partenaire de haute volée déjà avec plusieurs entités algériennes, en tout premier lieu Algérie Télécom et ses filiales, ainsi que des ministères névralgiques tels ceux de l’Intérieur et des Collectivités locales ou encore celui de l’Energie, Huawei devrait atteindre, cette année, une autre importante étape dans son intégration dans l’écosystème algérien, en pleine mutation, avec le lancement effectif de sa ligne de production de smartphones, une de plus, qui viendra s’ajouter aux 35 déjà en activité de par le monde avec, au total, chaque mois, deux millions de nouveaux smartphones destinés à une clientèle répartie à travers plus de 200 pays.
Des chiffres qui donnent un peu une idée sur le gigantisme de Huawei qui, il faut le souligner, s’appuie sur la vingtaine de laboratoires de recherche implantés en Chine et à travers le monde, dont les plus importants sont établis à Pékin et surtout dans cette véritable ville qu’il s’est construit en plein dans la nouvelle capitale mondiale des technologies de l’information et de la communication, la ville ultramoderne de Shenzhen qui, avec les huit autres grandes villes de la province du Guangdong, dans le delta de la rivière des Perles, dispute le statut de paradis des TIC à la Silicon Valley, à l’autre bout du monde, au sud de la baie de San Francisco.

Sécurité, recherche et développement (R&D)
Huawei c’est, comme qui dirait, une petite planète qui élague ses satellites à partir de Shenzhen d’abord, dans le delta de la rivière des Perles, puis de Pékin, la capitale de l’Empire du Milieu totalement transformée depuis une quarantaine d’années jusqu’à rattraper et même dépasser certaines capitales et grandes métropoles occidentales sur tous les plans.
Une mue qui se confond un peu avec l’histoire de Huawei, et d’autres géants locaux ainsi que d’autres incontournables de l’économie mondiale qui s’y sont établis, notamment à partir de la fin des années 1990 et du début des années 2000. Le leader des équipements destinés aux technologies de l’information et de la communication, comme on peut l’imaginer, ne s’est pas fait du jour au lendemain pour devenir une des success stories les plus marquantes de la révolution technologique qui n’en finit pas de transformer la face du monde. Le géant qu’il est aujourd’hui est né en 1987, quelques années après l’ouverture économique décidée par le régime, avec l’objectif de se faire une place dans le monde fermé des fournisseurs de solutions pour les naissantes — à l’époque — technologies de l’information et de la communication, avant de connaître le début de son apogée surtout au tout début du nouveau millénaire, notamment en mettant le cap sur la recherche et le développement (R&D) dans le domaine de la cybersécurité, antivirus et solutions les plus pointues, pour ensuite développer de nouveaux axes, aujourd’hui majeurs, dans ses activités comme la téléphonie mobile, les technologies de stockage de l’information et l’intelligence artificielle. Ainsi, du cœur de la mégalopole pékinoise, à quelques kilomètres de l’impressionnant China Business District, l’immense quartier d’affaires de la capitale chinoise, une savante reproduction de la city londonienne en plus large et de Manhattan et ses immeubles, et à l’écart de la multitude de skyscrapers, ces gratte-ciel à perte de vue plantés sur le long des infinies avenues qui n’ont rien de l’austère Pékin des plus dures années communistes, Huawei se déploie comme par enchantement à partir d’une des banlieues de la ville millénaire, en bordure de campagne, avec ses immeubles «frappés» à leur sommet de cette fleur à huit feuilles rouges, le logo de l’entreprise.
Là, dès le seuil du premier building franchi, ça respire très fort la Hitech, et quelle technologie ! En effet, c’est à partir des impressionnants laboratoires dédiés à la sécurité informatique que l’immersion dans le monde de Huawei commence.
Est-il utile de dire combien ces lieux sont sensibles, donc hautement sécurisés, et auxquels – grand privilège – la délégation composée d’une quinzaine de journalistes algériens a pu accéder pour voir «en live», entre autres prouesses technologiques dans le domaine de la sécurité des réseaux, le très précis traçage de l’origine de la multitude d’attaques quasiment simultanées dirigées contre les terminaux et centres portant le logo Huawei, en Chine comme partout ailleurs dans le monde.
La réplique s’opère pratiquement au moment où ces attaques sont déclenchées, et aussitôt se met en branle un processus qui aboutira en un temps record à la mise au point d’une solution qui annihilera l’attaque et pouvant aller jusqu’à la prévoir. Huawei détient dans son enviable escarcelle plusieurs centaines de brevets dédiés à la sécurité des réseaux, tel celui dont est équipé le très sensible Centre d’information à Pékin d’où sont interconnectées l’ensemble des institutions publiques, et d’autres solutions sorties des laboratoires de la capitale donc, de Shenzhen, la ville intelligente par excellence, et Hangzhou, l’autre pôle dédié à la recherche et le développement.
Des réalisations à la pelle qui valent à Huawei, depuis plusieurs années maintenant, une croissance qui donne le vertige, surtout à ses rivaux occidentaux, comme l’illustrent les prévisions sur le revenu global de l’année 2018 qui devrait atteindre les… 100 milliards de dollars !
Une récompense pour le deuxième plus gros distributeur de smartphones au monde et leader en innovation technologique, résultat de ses investissements en R&D qui ont atteint les 45 milliards de dollars sur les dix dernières années avec des pics comme ce fut le cas il y a deux ans, lorsqu’il a été consacré une enveloppe de plus de 13 milliards de dollars à ce département qui, il faut le savoir, s’accapare 80 000 sur les 180 000 membres du personnel de l’entreprise.

A Shenzhen, le futur c’est déjà aujourd’hui
Huawei a donc étendu son filet jusque partout dans le monde, à partir de Pékin, mais c’est à environ deux mille kilomètres au sud-est de la capitale de l’Empire du Milieu que la grandeur de l’entreprise se révèle encore un peu plus dans toute sa splendeur : la ville de Shenzhen, celle qui illustre peut-être le mieux l’histoire de Huawei parce qu’elle se confond avec ce qu’il est advenu de la région du delta de la rivière des Perles — dans la province du Guangdong— dont fait partie la métropole de Shenzhen, une partie du monde où l’on enregistre un des taux de croissance économique les plus stratosphériques. Shenzhen est une des neuf villes les plus importantes du delta de la rivière des Perles, là où tout a commencé il y a exactement 40 ans, lorsque la ville a reçu le statut de «zone économique spéciale», décrété par le président Den Xiaoping, foulant aux pieds des principes purs et durs du communisme en accordant aux potentiels investisseurs privés des terrains pour ériger des manufactures et surtout en leur octroyant la possibilité de lever des fonds. Une orientation de l’économie chinoise qui allait permettre de voir naître une floraison d’entreprises, des manufactures et quelques pionniers dans l’innovation dont Huawei, moins d’une dizaine d’années plus tard, en 1987.
Comme on peut l’imaginer, le fabricant de smartphones qui a chassé iPhone il y a quelques mois de l’enviée seconde place mondiale derrière Samsung ne s’est pas fait du jour au lendemain pour devenir une des success stories les plus marquantes de la révolution technologique qui n’en finit pas de transformer le monde.
Le géant qu’il est aujourd’hui est né avec l’objectif de se faire un nom dans le monde fermé des fournisseurs de solutions pour les technologies de l’information et de la communication, avant de connaître le début de son apogée au tout début du nouveau millénaire en mettant le cap sur la recherche et le développement (R&D) dans le domaine des technologies de sécurité, parmi lesquelles les solutions les plus pointues, pour ensuite développer plusieurs axes d’activité, dont la téléphonie mobile, et d’autres parmi lesquels deux branches aujourd’hui majeures : le stockage de l’information (le cloud) et l’intelligence artificielle. C’est surtout il y a près d’une quinzaine d’années que Shenzhen voyait la constitution d’un écosystème qui va bouleverser le monde, composé de fabricants de composants électroniques, d’incubateurs, et de laboratoires dédiés aux nouvelles technologies.
Shenzhen, quelle ville ! C’est en fait la parfaite illustration de l’histoire de ces trente dernières années de la Chine avec les technologies de l’information et de la communication.
Trois décennies en arrière, le delta de la rivière des Perles, dans cette région du Guangdong où Shenzhen tout comme plusieurs autres villes y sont rattachées, entamait son entrée dans une dimension qui n’a pas fini de prendre de l’ampleur.
Shenzhen est l’une des métropoles au cœur du plan décliné en 2008 par les autorités chinoises pour la création d’une zone urbaine, de la taille d’un pays, autour des neuf villes de la rivière des Perles, Macao et Hong Kong que l’on peut rejoindre de Shenzhen en un petit quart d’heure en TGV.

Selon un agent de l’immigration, ils sont ainsi plus d’un demi-million de personnes à voyager entre Shenzhen et Hong Kong quotidiennement et donnent une envergure ahurissante à ce qu’a subi comme transformations la région après la crise qui a emporté un tas d’usines manufacturières ayant vu le jour il y a quelques années après les largesses accordées en 1979 par le régime en classant Shenzhen «zone économique spéciale».  Une transformation qui se voit à travers tous les recoins de cette métropole, comme par exemple dans le quartier de Quianhai où le long d’immenses boulevards ont «poussé», comme des arbres ailleurs, des dizaines d’immeubles en verre où se sont installés quelques géants tels Microsoft, ZTE, DJI (le leader mondial dans la fabrication des drones miniatures) ou encore Tencent aux côtés d’une multitude de start-up et de petites entreprises toutes versant dans les nouvelles technologies et… celles du futur. Dès lors, on comprend qu’à Shenzhen et dans le delta de la rivière des Perles, le futur, on est déjà en plein dedans. Ils ne traînent pas pour s’offrir les infrastructures qui vont avec leurs ambitions, comme ce pont inauguré il y a moins de trois mois, le plus long au monde (55 km) pour relier Hong Kong, Macao et le pôle industriel de Zhuhai, en attendant celui, en construction, qui permettra de connecter Shenzhen à Zhongshan. C’est dans cet environnement que trônent les installations de Huawei, dont le siège de l’entreprise.

Le campus de Huawei : une ville dans la ville
En parallèle aux plans quinquennaux menés par les autorités du pays pour doter celui-ci d’infrastructures adéquates, Huawei s’est engagé de son côté à se donner des moyens pour son développement afin d’arriver et surtout se maintenir à une place de choix dans le monde hermétiquement fermé jusqu’à il y a quelques années par des «monstres» de la technologie issus de l’Occident. Sans trop se forcer, on comprend dès le début de cette immersion dans le monde de Huawei que l’entreprise fondée par Ren Zhengfei en 1987 doit son arrivée dans le gotha des fournisseurs de solutions en technologies de l’information et de la communication  et de la téléphonie mobile à son pari sur la recherche et le développement (R&D). Au cœur de ce département, il y a l’homme, un capital qui prend toute sa signification dès les premiers pas effectués dans les entrailles de cette ville dans la ville qu’est l’extraordinaire Campus de Huawei, au nord de Shenzhen, où s’étendent sur plus de 2 km² des répliques à couper le souffle de merveilles architecturales comme les châteaux de Heidelberg et de Versailles, des restaurants et cafétérias, dont une «copie» du Café de Flore, le tout étendu sur un cadre verdoyant «entrecoupé» de lieux conviviaux pour les plus de 30 000 étudiants ou stagiaires et leurs enseignants afin de se relaxer après des heures d’études et de travail dans ces immenses bâtiments répartis sur d’authentiques arrondissements avec des rues aux noms célèbres telles la  AG Bell Road  ou la  M. Curie Road,  pas loin du cœur du campus constitué de plus d’une centaine de salles où sont dispensés les cours par des enseignants dont nombre d’entre eux sont considérés comme les véritables héros de l’institution Huawei, leurs immenses portraits ornant des murs du campus qui abrite un centre destiné à des tests des produits, notamment de l’AI, tel cet appartement «intelligent» destiné à faciliter comme peu pourraient l’imaginer à faciliter la vie dans un futur proche. C’est une véritable ville, ce campus où ont trouvé place également des partenaires de Huawei, issus de start-up et autres laboratoires impliqués dans le développement d’applications, produits de l’imagination débordante de spécialistes en intelligence artificielle (AI), dont quelques-unes ont fait l’objet de démonstrations qui ont laissé sans voix la délégation de journalistes algériens encore plus que ce fut le cas lors de la visite à l’Exhibition Center de Pékin où, pourtant, l’on croyait avoir atteint le sommet de l’émerveillement et des… regrets. Les regrets de ne pas avoir vu l’Algérie miser, lorsque les moyens le permettaient, sur un modèle de développement en s’inspirant de ce qu’a accompli la Chine ou d’autres pays n’ayant jamais eu les moyens qui étaient les nôtres il n’y a pas longtemps.

Les ambitions de Huawei en Algérie
C’est dans les locaux du luxueux Huawei Executive Briefing Center qu’une conférence de presse a été animée par M. Alexandre Tian Jia, le maître de cérémonie et directeur des relations publiques de Huawei Algérie. L’occasion pour l’accompagnateur et le co-organisateur avec Algérie Télécom de ce voyage pas ordinaire de s’étaler sur les relations et les ambitions de l’entreprise dans notre pays qu’elle accompagne depuis plusieurs années, notamment dans la grande œuvre consistant à généraliser le FTTX en Algérie, c’est-à-dire faire parvenir la fibre optique au plus près de l’utilisateur, afin d’augmenter la qualité de service, en particulier le débit. Des projets, Huawei en a en Algérie, mais ce qui semble lui tenir le plus à cœur c’est la formation des personnels entre ingénieurs et techniciens. Selon M. Tian Jia, 80% du personnel employé par la filiale algérienne de Huawei sont des ingénieurs auxquels l’entreprise a dispensé des formations. L’on saura, également, que parmi les 120 projets de smart cities répartis à travers une quarantaine de pays, l’Algérie y figure et Huawei compte participer pleinement à la création de l’écosystème parfait en Algérie pour arriver à une plateforme impliquant de nombreux partenaires, dont 130 ont déjà adhéré. Un autre projet devrait également être matérialisé lors des tout prochains mois, il consiste en le lancement effectif de la ligne d’assemblage de téléphones.
«On compte y aller crescendo», a confié le directeur des relations publiques de Huawei Algérie, en précisant que l’usine en question commencera par la production de smartphones d’entrée de gamme.
Ceci en parallèle avec son implication dans le lancement de la 5G avec Algérie Télécom et sa filiale Mobilis. En tous les cas, ce qui est certain, c’est que l’Algérie intéresse au plus haut point Huawei où, d’abord, il entend mettre le paquet sur la formation.
A. M.

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Categories: Afrique

Usages Internet en Algérie: En déclin, les PC dominent et les terminaux mobiles avancent

Thu, 01/17/2019 - 14:48

Publié par Abdelkader Zahar

Un peu plus que la moyenne mondiale, l’usage des ordinateurs personnels domine encore le paysage des connexions internet à partir d’Algérie. Ainsi, plus d’une connexion sur deux a été effectuée à partir d’un PC de bureau ou laptop en 2018. Le taux est en baisse par rapport à 2017. Mais cette domination risque rapidement de changer, courant 2019, puisque le taux d’usage des terminaux mobiles (smartphones et tablettes) est en forte hausse.

A fin 2018, les terminaux connectés à internet à partir de l’Algérie représentaient 52,68%, en baisse par rapport à un taux de 55,86% enregistré en 2017, selon les chiffres de StatCounter. Les connexions mobiles (smartphones et tablettes) représentaient 47,32% en 2018, contre 44,14% en 2017. Par type de terminal, les smartphones représentent 45,66% (41,2% un an plus tôt) et les tablettes en baisse à 1,66% (2,94% en 2017). La moyenne mondiale, en 2018, était de 48,44% pour les ordinateurs, 47,89% pour les smartphones et 3,67% pour les tablettes.

Par système d’exploitation (ordinateurs et terminaux mobiles), les données de StatCounter montrent que la part de marché d’Android en Algérie est de 45%, contre 42,3% pour Windows, 2,1% pour OS X, 1,65% pour iOS, 0,62% pour Linux. Dans la famille des OS Android de Google, toujours en Algérie, c’est la version 6.0 «Marshmallow» qui était en tête avec 24,04% en 2018, contre 28,39% en 2017. Seuls deux versions Android ont vu augmenter leurs parts de marché en 2018. Il s’agit de «Nougat» 7.0, avec 21,61% contre 9,73% un an plus tôt, et de «Oreo» 8.0 avec 6,34% contre 0,05% à fin 2017. Android «Lollipop» 5.1 a vu sa part de marché en Algérie dégringoler à 19,83%, contre 27,61% en 2017. «KitKat» 4.4 a également chuté à 9,32% (contre 16,98% un an plus tôt).

Smartphones Android qui datent
Près d’un smartphone sur quatre utilisé en Algérie fonctionne sous Android «Marshmallow» 6.0, un OS sorti en 2015. Cette version équipe des smartphones mis en vente entre 2014 et 2015. Il s’agit, à titre d’exemple, des : Galaxy Note 4 (2014), le Galaxy Note Edge (2014), le Galaxy S6 Active (2015), Xperia M4 Aqua (2015), Xperia Z3 (2014), Xperia Z3 Compact (2014), Huawei P8 (2015), Huawei P8 Lite (2015), HTC One M8 (2014), ou encore LG G3 (2014). L’OS «Nougat» 7.0 sorti en 2016 équipe plus de 21% des smartphones en Algérie. Cette version équipe des smartphones relativement plus récents, comme : Galaxy A3 et Galaxy A5 (sortis en 2014 et 2015), Galaxy Note 5 (2015), Xperia Z5 (2016), Huawei P9 (2016), Huawei P9 Lite (2017), HTC One A9 (2015), LG G5 (2016) et LG G4 (2015). Le plus récent des OS Android en Algérie est «Oreo» 8.0. Il équipe 6,34% des smartphones à fin 2018, contre 0,05% à fin 2017. Des smartphones plus récents fonctionnent sous Oreo. Il s’agit, entre autres, de : Galaxy S8, Galaxy S8 Plus, de la famille Xperia XZ, X, et X Compact, et de Huawei P10.

iPhone : iOS 12 à plus de 40%
Dans la famille iOS, le système d’exploitation mobile d’Apple, la part de marché la plus importante en 2018 revient à la version la plus récente, à savoir iOS 12.0 et iOS 12.1 qui totalisent plus de 40% des terminaux mobiles de la firme de Cupertino. Cette prédominance de la version 12 au sein la famille iOS indique qu’il s’agit d’iPhone (et à moindre mesure d’iPad) très récents. Ainsi, iOS 12.1 représente 31,9% du parc iPhone en Algérie en 2018, suivi de iOS 10.3 avec 11,29% (contre 18,21% en 2017), iOS 11.4 avec 11.09%, iOS 9.3 (9%), iOS 12.0 (8.37%), et iOS 7.1 avec 5.9%. Les plus récents iOS (versions 12 et 11) représentent au total 51,36% du parc Apple des terminaux mobiles (essentiellement l’iPhone). iOS 12 fonctionne sous : iPhone 6S et 6S Plus, iPhone 7 et 7 Plus, iPhone 8 et 8 Plus, iPhone X. Quant aux tablettes Apple, l’iOS 12 est compatible avec : iPad Pro 11 et 12,9 pouces, les iPad (6e gen), iPad Pro 9,7 et 10,5 pouces.

Samsung en tête des ventes en Algérie
Toujours selon les données de StatCounter, Samsung est en tête des terminaux mobiles les plus utilisés en Algérie avec 31,48% (contre 29,93% en 2017), suivi de Condor avec 21,14% (22,93% un an plus tôt), Huawei 6,05% (contre 5,67% en 2017), LG 5,56% (5,55%), Oppo 5,47% (5,26%), et des marques inconnues (selon StatCounter) avec 16,39% (12,05% l’année d’avant).
Plusieurs marques de smartphones ont enregistré une baisse de leurs parts de marché en 2018 en Algérie. Il s’agit de Lenovo 2,74% (3,19% en 2017), Apple 2,84% (contre 3,79%), Wiko 2,32% (3,48%), et Sony Ericsson 1,21% (1,94%). Concernant les résolutions d’écran les plus populaires en Algérie, il s’agit de : 360×640 (35,81%), 720×1280 (14,69%), 480×855 (7,97%), 320×570 (5,31%), 480×801 (3,5%) et 320×534 (3,31%).
A. Z.

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Categories: Afrique

Des mesures pour le parachèvement des travaux du projet du stade de Bordj Menaïel

Thu, 01/17/2019 - 14:42

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab a indiqué, mardi à Boumerdès, que des mesures avaient été prises pour trouver une solution au problème du financement, faisant état de la relance de la réalisation de la tranche restante du nouveau stade de football de Bordj Menaïel, d’une capacité de 10.000 places.

«Des mesures sont en examen en vue de relancer les travaux du stade de 10.000 places à travers une étude menée, conjointement avec le secteur des finances, par un groupe de travail après l’inscription du projet parmi les projets clés du secteur qui connaitront un dégel financier», a indiqué le ministre lors d’une déclaration à la presse au cours de son inspection du stade communal Salah-Tkdjerad en marge de sa visite de travail et d’inspection au niveau d’un nombre de projets de jeunes et de sports à travers la wilaya de Boumerdès. Et d’ajouter : «Le stade de Bordj Menaïel, dont le lancement de la réalisation de certaines infrastructures et d’environ 5000 places a été entamé, constitue l’une des priorités, tant sur le plan local que sectoriel. Un intérêt particulier est accordé à ce projet en vue de le réinscrire et de fournir son financement sectoriel dans le but de parachever la réalisation de la tranche restante.»

Il est à rappeler que les travaux de la 1re tranche du projet accomplie consistent en le terrassement de ce stade et la réalisation des piliers et des tribunes (5 000 places). Le montant pour la réalisation de la 2e partie restante du projet s’élève à près de 2 milliards DA et comprend la réalisation de 5 000 places, d’une pelouse naturelle et une clôture de sécurité ainsi que de différentes commodités annexes.

Inscrit en 2006, le projet a bénéficié d’une enveloppe préliminaire de près de 500 millions DA, déjà consommée, avant d’être complétée par une dotation supplémentaire de 1,6 milliard de dinars, au titre du programme complémentaire 2014, dans le cadre d’une réévaluation de la première tranche. Cependant, cette enveloppe avait été gelée pour cause d’austérité. Les travaux de réalisation de ce stade n’ont démarré qu’en 2012, pour des problèmes de foncier, puis arrêtés en 2014, pour des considération financières. L’infrastructure est implantée sur une superficie de plus de 10 ha, à la sortie nord de la ville, à hauteur de la RN 12 reliant Tizi-Ouzou et Boumerdès.

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Tébessa: Saisie de plus de 12 millions de dinars tunisiens

Thu, 01/17/2019 - 14:30

par Ali Chabana

Lors d’une patrouille effectuée sur la route reliant Tébessa à Souk Ahras, les gendarmes ont intercepté une voiture, sa fouille a permis la saisie d’une somme d’argent évaluée à 12 millions et 290 mille dinars tunisiens. Le convoyeur de la cagnotte a été arrêté pour transfert illégal d’argent.

Par ailleurs, les éléments de la Gendarmerie nationale ont récupéré une quantité de boissons alcoolisées, sur le tronçon routier de la RN 16 entre la localité de Boulhaf Dyr et Tébessa, soit 1.320 unités. Là également, le conducteur de la voiture a été arrêté, selon le communiqué de la Gendarmerie nationale.

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Constantine – Les 2.500 bénéficiaires de logements sociaux connus: La daïra prise d’assaut par les protestataires

Thu, 01/17/2019 - 14:28

par A. El Abci

Le siège de la daïra a été pris d’assaut, hier matin, par des citoyens demandeurs de logements sociaux, qui ne se sont pas retrouvés dans la 2ème liste des 2.500 bénéficiaires de logements sociaux, qui a été affichée, très tôt, dans la journée de ce mercredi, aux 10 secteurs urbains de la commune de Constantine et sur le site de la wilaya.

Il s’agit, surtout, de protestataires détenteurs de décisions de pré-affectation et d’autres qui n’en possèdent pas, et qui dénoncent, en commun, le fait que leurs noms ne figurent pas sur cette liste de bénéficiaires. « Cela, ajoutent-ils, malgré les promesses du chef de daïra, qui nous demandait, à chaque fois, de patienter et vous ne serez pas déçus, disait-il. « On peut lui répondre, donc, que nous avons patienté, mais nous sommes encore déçus », raillent des manifestants. Un groupe de femmes brandissant des pancartes, portant la date du dépôt de leurs dossiers et d’autres demandant « le départ du wali », ont affirmé être à ce sit-in, avant 8h et ont trouvé, déjà, beaucoup de policiers sur place. Quoi qu’il en soit, aussi bien les bénéficiaires de pré-affectations que les non bénéficiaires, se sont mis d’accord pour descendre en flamme le wali et le chef de daïra, dont ils sont mécontents et qu’ils considèrent comme responsables de leur « exclusion » de cette liste.

Peut-être même des autres, si c’est vrai qu’il y en a d’autres, renchérit un habitant Sidi Mabrouk, qui se présente comme faisant partie de ceux qui ont les pré-affectations en poche, mais qui sont « oubliés », à chaque fois, et sûrement « exclus » du logement social. «C’est de la ‘hogra’, j’ai déposé mon dossier, en 1990, alors que d’autres l’ont fait en 2002 et 2003, et ils figurent sur la liste des bénéficiaires », dira-t-il.

Un autre protestataire affirme que les noms de gens habitant hors de la wilaya ont été affichés, mais pas le sien ni ceux d’autres personnes originaires de Constantine.

Le chef de daira, Azzedine Antri, dans une déclaration faite à la radio, hier, a précisé que des instructions fermes ont été données à ces 10 secteurs, pour accueillir tous les recours, car c’est seulement à leur niveau que l’opération doit se faire, en sus, du nouveau centre installé à la salle Ahmed Bey (ex Zénith). Rappelant que le délai pour le dépôt de ces recours est de 8 jours, à compter d’hier, 16 janvier.

Le wali a rassuré, pour sa part, que la dernière liste comportant les détenteurs des pré-affectations, sera affichée, dans 2 mois et à laquelle seront intégrés également les anciens bénéficiaires de ‘bons’ de l’OPGI.

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Tiaret: Les logements sociaux inoccupés ou sous-loués seront récupérés

Thu, 01/17/2019 - 14:24

par El-Houari Dilmi

«Les logements sociaux vides ou sous-loués seront récupérés et mis à la disposition du wali», c’est ce qu’a déclaré lundi le directeur général de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) non sans susciter une certaine inquiétude chez ceux qui sont dans cette situation. En effet, le premier responsable de l’OPGI a expliqué que «des équipes ont été constituées pour recenser les logements sociaux inoccupés ou sous-loués afin de les mettre à la disposition du wali». «Les logements ainsi récupérés seront redistribués à ceux qui les méritent», a encore indiqué le DG de l’OPGI. Toujours selon ce dernier, «même les logements distribués durant cette année, comme à la cité des 1900 logements, n’ont pas encore été occupés. Leurs bénéficiaires ont pourtant pris possession de leurs clefs», a-t-il révélé.

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Colère a Hai Derb: Des mal-logés bloquent le Bd Maâta et le tramway

Thu, 01/17/2019 - 13:18

par D. B.

Des dizaines de familles du quartier Hai Derb’ ont investi, tard dans la soirée de mardi, la rue en bloquant le boulevard Maâta à hauteur de l’intersection menant vers la place Bendaoud et le Bd Hammou Boutlelis, ainsi que le tramway.

Selon les protestataires cette action a été initiée par les familles non encore relogées, pour dénoncer la non prise en charge de leurs doléances qui s’articulent principalement autour du logement. Les contestataires réunis en petits groupes n’avaient qu’une idée en tête, faire aboutir leurs revendications et inciter les responsables locaux à prendre des mesures urgentes pour leur relogement. Les protestataires ont usé de pierres et de bacs à ordures pour fermer cet axe très fréquenté et brûlé des pneus. Un important dispositif policier a été déployé sur les principales artères menant au Bd Maâta pour éviter tout débordement. Les automobilistes, évitant cette artère qui donne sur la place d’Armes, étaient contraints d’emprunter d’autres ruelles pour arriver à bon port.

Le mécontentement se lisait sur les visages des contestataires dont certains attendent un relogement depuis plusieurs années. «Des promesses nous ont été faites pour que nous soyons relogés avant la fin de l’année écoulée mais en vain», clamait une mère de famille. D’autres, au contraire, avaient introduit des demandes de recours et attendaient, toujours, une réponse de la part de la Commission chargée d’examiner les dossiers. En interpellant, hier, les instances locales et à leur tête le wali d’Oran, les protestataires avaient tenu à afficher leur ras-le-bol suite au retard enregistré dans la prise en charge de leurs cas. Ces familles habitent, selon leurs représentants, des maisons en ruine et ont été recensées par la commission de daïra, apprend-on. «Certains demeurant dans les mêmes conditions que nous ont été relogés, alors que nous, nous attendons toujours ce jour où nous aurons enfin droit à un toit décent», signale-t-on. Les services de la Sûreté de la wilaya, appelés en renfort, ont vite bouclé le périmètre et tenté par la même de calmer les protestataires. Tard dans la soirée les protestataires se sont dispersés.

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Les corps communs de l’Education renouent avec la protestation: Une grève de 2 jours, les 28 et 29 janvier et un sit-in devant la wilaya

Thu, 01/17/2019 - 13:16

par S. M.

Le bureau local du Syndicat national des corps communs et des ouvriers professionnels de l’Education nationale (SNCCOPEN) a décidé, mardi, à l’issue d’une AG extraordinaire d’observer une grève de 2 jours, les 28 et 29 janvier en cours, ponctuée d’un rassemblement de protestation devant le siège de la wilaya.

Le bureau local justifie le recours à la grève, par la perte du pouvoir d’achat des corps communs qui continuent de percevoir des salaires, parfois en-dessous du SNMG, les promesses non tenues par la tutelle, l’exclusion de cette frange de toutes les hausses de salaires et la déception suite à la publication de la loi de Finances 2019.

Dans une déclaration, rendue publique à l’issue de cette AG extraordinaire, le syndicat réclame la révision de la grille de salaires pour préserver le pouvoir d’achat des travailleurs, l’abrogation des articles 19 et 22 du statut général de la Fonction publique, la titularisation des contractuels, la majoration de la prime de rendement à 40% au lieu de 30% actuellement, l’intégration effective des laborantins dans le secteur et enfin la représentativité des corps communs dans les commissions des oeuvres sociales. Il est à rappeler que les articles 19 et 22 du statut général de la Fonction publique stipulent que «les emplois correspondant à des activités d’entretien, de maintenance ou de service, dans les institutions et administrations publiques, sont soumis au régime de la contractualisation (…) les agents visés sont recrutés, selon le cas et en fonction des besoins des institutions et administrations publiques, par voie de contrat à durée déterminée ou indéterminée, à temps plein ou à temps partiel.

Les emplois qu’ils occupent ne leur confèrent ni la qualité de fonctionnaire, ni le droit à une intégration dans un grade de la fonction publique». Le Syndicat autonome dénonce la spoliation des acquis sociaux des corps communs réduits par le statut général à la précarité de l’emploi. Il exige la titularisation automatique de toutes les recrues.

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Oran : 23 quintaux de kif et plus de 20 grammes de cocaïne saisis en 2018

Thu, 01/17/2019 - 13:06

Les services de la Gendarmerie nationale ont traité, durant l’année 2018, quelque 401 affaires de trafic de stupéfiants ayant conduit à la saisie de plus de 23 quintaux de résine de cannabis et plus de 20 grammes de cocaïne ainsi que plus de 25.000 comprimés psychotropes, a-t-on appris mercredi du commandant du groupement territorial de la gendarmerie d’Oran.

Le Lieutenant-colonel Ababssa Miloud a indiqué, lors d’un point de presse consacré au bilan des activités 2018 à Oran, que les unités du groupement ont enregistré 401 affaires de trafic de stupéfiants ayant conduit à la saisie de 2.305,54 kilos de kif traité et 20,4 grammes de cocaïne, ainsi que 25.239 comprimés psychotropes. En outre, 312 personnes ont été placées sous mandat de dépôt, dans le cadre de ces affaires.

Le même responsable a signalé une augmentation dans le nombre d’affaires et dans la quantité de kif traité saisie, contre une baisse de la quantité des comprimés psychotropes, en comparaison avec l’année 2017. « Au cours de l’année d’avant, 352 affaires ont été enregistrées et une quantité de 1.240,42 kilos de kif traité saisis, ainsi que 0,8 grammes de cocaïne et 20.927 comprimés psychotropes », a-t-il détaillé.

M. Ababssa a attribué l’augmentation des affaires traitées et des quantités de stupéfiants saisis aux « grands efforts fournis par les unités dans la protection des citoyens et de l’économie nationale contre ces poisons », indiquant que « l’exploitation d’informations, quelque soit sa nature et sa source, et la célérité des éléments des différentes unités de son groupement a permis de réaliser ces chiffres ».

D’autre part, le commandant du groupement a estimé que les opérations d’intervention menées par anticipation par les unités de la gendarmerie dans les milieux du crime et de vol se sont avérées « très efficaces » dans la lutte contre la criminalité, conduisant à une baisse de son taux à Oran.

Les opérations menées dans plusieurs bidonvilles, considérées comme les fiefs de la criminalité en tous genres, notamment à Sidi Bachir, ont contribué en grande partie dans la baisse du taux de criminalité.

A titre d’exemple, le même responsable a indiqué que l’opération de relogement de plus de 1.600 familles du bidonville de Sidi Bachir, réalisée par les services de la wilaya, s’est déroulée sans problèmes, après que les services de la gendarmerie aient mené, plusieurs jours avant, des opérations au niveau dudit bidonville qui se sont soldées par l’arrestation de plusieurs individus jugés dangereux, suspectés de pouvoir créer des problèmes lors du relogement.

Par ailleurs, les mêmes services ont mené 89 opérations dans les milieux de la criminalité, qui ont permis d’arrêter 77 personnes et la saisie de 216 grammes de kif et 276 comprimés psychotropes ainsi que 72 armes blanches, selon la même source.

D’autre part, les services de la Gendarmerie nationale ont enregistré, en 2018, en matière de police judiciaire, quelque 4.549 affaires, dont 239 crimes, 3.591 délits et 719 infractions durant lesquelles 7.370 suspects ont été arrêtées dont 961 ont été internées.

Les mêmes services ont également enregistré, en 2018, quelque 999 affaires d’agressions contre des biens et 1.548 affaires d’agressions contre des personnes et 726 autres affaires concernant les familles et de mœurs.

Concernant la sécurité routière, les services de la gendarmerie nationale ont enregistré, en 2018, une baisse de 26,15% du nombre des accidents de la route par rapport à l’année 2017, ayant causé la mort de 77 personnes et des blessures à 299 autres, alors que l’année 2017 a vu la mort de 75 personnes sur les routes et 380 blessés.

L’élément humain constitue, selon le même officier supérieur, la cause principale dans les accidents de la route, avec un taux de 96%.

Dans le même contexte, 14.126 infractions au code de la route ont été enregistrées en 2018 ayant entrainé 7.015 contraventions et 51.250 contraventions forfaitaires, en plus de 17.099 retraits de permis de conduire.

Concernant les rapts d’enfants, le même responsable a indiqué qu’aucune affaire de rapt n’a été enregistrée en 2018, à l’exception de quelques disparitions d’enfants, notamment durant les périodes des résultats scolaires, mais ces affaires ont toutes été solutionnées.

Evoquant la couverture sécuritaire du territoire de la wilaya, estimée à 88,46%, soit l’équivalent d’un gendarme pour 1.442 citoyens, le commandant du groupement a estimé que cette couverture était « suffisante ». Il a signalé l’existence de projets d’ouverture de nouvelles unités en 2019, notamment dans les zones où le besoin se fait ressentir, ainsi qu’une nouvelle unité d’intervention.

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Ain Temouchent : Temmar préside une cérémonie d’attribution de 2.000 unités de logements de différentes formules

Thu, 01/17/2019 - 13:03

Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar a présidé, mercredi à Ain Témouchent, une cérémonie de d’attribution de 2.057 logements de différentes formules.

« Je suis dans cette wilaya pour partager avec les citoyens et citoyennes d’Ain Témouchent, la joie de plus de 2.000 familles ayant bénéficié de logements, grâce au programme du président de la République, qui concerne tous les coins du pays », a indiqué M. Temmar.

« Nous espérons maintenir la même cadence en matière de distribution des logements, afin d’alléger au maximum, l’ampleur de la crise de logement, avec ces différentes formules, à savoir le logement public, rural et promotionnel », a-t-il soutenu.

 » Une enveloppe budgétaire considérable a été affectée pour l’achèvement de tous les logements, en termes d’aménagement », a révélé M. Temmar qui a ajouté « nous accompagnerons la wilaya, au cours de l’année 2019, avec cette dynamique qui connaîtra d’autres étapes dans la distribution des logements ».

Supervisée par le ministre, l’opération de distribution du quota de 2.057 unités, a porté sur l’attribution de 1.287 unités de type LPL ( Logement public locatif), ayant bénéficié aux communes de Hammam Bou Hadjar, El Amria et de Hassi El Ghella.

La même opération a également porté sur l’attribution de 420 logements de type LPA (Logement promotionnel aidé), au profit des communes d’Ain Témouchent, de Sidi Ben Adda, Béni Saf et d’Ain Tolba, ainsi que de 350 aides pour la construction de logements ruraux, dans toutes les communes de la wilaya.

Le wali d’Ain Témouchent, Mme Ouinaz Labiba a rassuré que  » l’opération de distribution des logements se poursuivra en 2019 et concernera l’attribution de 938 unités de type LPL et de 1.104 de type AADL, au cours du 1e trimestre de la même année ».

S’adressant à un nombre de demandeurs de logement de type LPL, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, a souligné que  » le travail est en cours pour assainir la liste des bénéficiaires du quota de 250 unités de type LPL, au profit de la commune d’Ain Témouchent, avant le 31 janvier.

A ce titre, le ministre a fait état d’un programme supplémentaire au profit de la wilaya, englobant 1.000 aides supplémentaires pour le logement rural, 500 unités de type LPA, en sus des programmes en cours de réalisation dans la wilaya.

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Education: Guide des bonnes pratiques des réseaux sociaux voit le jour

Thu, 01/17/2019 - 12:56

Le ministère de l’Education nationale a annoncé, mercredi, la parution d’un guide de bonnes pratiques pour l’utilisation des réseaux sociaux, visant la mise en garde des jeunes et mineurs contre la « mauvaise » utilisation de ces moyens de communications, à l’instar de l’application « Tik Tok ».

« A mesure que la popularité de ces médias sociaux grandit notamment, l’application « Tik Tok », les risques liés à leur utilisation augmentent aussi. Les pirates, les spammeurs, les auteurs de virus et les voleurs d’identité, et autres criminels suivent également cette tendance », a fait savoir le ministère de l’Education nationale dans un communiqué, appelant les internautes à faire preuve de vigilance et de prudence en suivant les bonnes pratiques.

« Tik Tok », étant une plateforme médiatique sociale qui, à l’image des autres plateformes connues comme Facebook, Twitter et Instagram, constitue un danger surtout pour les mineurs, elle permet le partage des représentations artistiques (chants, danses, clowneries, imitations, défis…) sous forme de courts extraits vidéo.

Organisé autour de quatre (4) chapitres, ce guide est axé sur la protection du compte, de la vie privée, contre les logiciels malveillants, et contre les Spams, abus et harcèlement. Pour le ministère de tutelle, la prévention des mineurs et des jeunes utilisateurs contre ces applications passe par un travail de sensibilisation. « Une sensibilisation qui doit les concerner, eux et leurs parents, sur les dangers que pourrait provoquer une mauvaise utilisation des technologies numériques en général et des réseaux sociaux en particulier ».

Le département de Nouria Benghabrit appelle à définir, à titre d’exemple, un mot de passe fort combinant lettres, chiffres et signes spéciaux, un mot de passe différent de celui utilisé sur les comptes des réseaux sociaux. Il préconise, également, la protection des Smartphones afin d’empêcher son utilisation par un tiers.

Aussi, le guide élaboré par le secteur de l’Education nationale met en avant l’impératif de vérifier régulièrement les paramètres de confidentialité de son profil et effectuer les modifications nécessaires, de ne pas divulguer d’informations personnelles ou professionnelles sur les réseaux sociaux, de ne pas partager de photos, ou d’informations concernant les membres de sa famille, des ses amis ou d’autres personnes sans leur consentement. Vérifier les autorisations requises par les applications avant de les associer à son compte, a également été souligné.

En cas de menace, de harcèlement ou de soupçon qu’on est victime d’escroquerie ou d’abus, il y a lieu d’en informer immédiatement les services de police ou de gendarmerie, a précisé le guide qui met l’accent sur l’importance pour l’utilisateur d’apprendre à distinguer les messages authentiques des messages de phishing.

Pour rappel, ce guide s’inscrit dans le cadre d’une correspondance du ministère de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, numéro 22, du 9 janvier 2019.

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Tourisme : des contrats de performance dans la gestion des hôtels et structures touristiques

Thu, 01/17/2019 - 12:49

Le Groupe public Hôtellerie, Tourisme et Thermalisme (HTT) et les différents hôtels publics, ont signé, mercredi à Alger, des contrats de performance portant sur l’amélioration de la gestion de ces structures afin qu’elles contribuent au développement touristique à travers l’amélioration du niveau des prestations et de performance ainsi que le soutien de la formation et la diversification du produit touristique conformément aux normes internationales en vigueur.

Ces contrats visent à pallier les lacunes enregistrées en matière de gestion par la généralisation de l’utilisation des TIC, outre la consécration de l’esprit d’initiative et d’innovation pour faire face à la concurrence touristique sur les plans national, régional et international.

Présidant la cérémonie de signature des contrats, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud a estimé que « l’évaluation des réalisations du secteur touristique public n’est pas une finalité mais plutôt un point de départ d’une nouvelle dynamique pour faire face aux enjeux actuels ».

Ces établissements hôtelières sont une réelle locomotive et un miroir qui reflète les efforts et les moyens fournis par les pouvoirs publics pour la promotion du développement du tourisme d’ou la nécessité de mobiliser tout un chacun afin d’atteindre les objectifs tracés dans ce sens, a-t-il poursuivi.

Il a souligné par la même, l’importance de mobiliser tous les moyens humains et financiers pour le parachèvement de la modernisation des structures touristiques publiques dans les délais impartis tout en améliorant la qualité de prestation.

Dans le même contexte, le ministre a exprimé son rejet de « de toute justification concernant les retards accusés dans la réalisation des travaux d’aménagement », ajoutant que « des mesures fermes seront prises en cas de dépassements ».

Le ministre a appelé à faire de 2019, l’année de la réalisation de l’objectif de la qualité et des services excellents au profit du consommateur, mettant l’accent sur l’impératif de mettre en œuvre le schéma de qualité pour concrétiser ces objectifs au niveau des établissements hôteliers publics.

Il a également insisté sur la nécessité d' »influer sur le marché à travers des programmes de communication et l’utilisation des réseaux sociaux pour faire connaitre le produit touristique et les services proposés tout en faisant preuve d’innovation et d’initiative conformément aux attentes des clients.

Il s’agit également, selon le ministre, d’intensifier les échanges avec les tours opérateurs pour proposer des produits intégrés et compétitifs et maitriser la gestion à travers le recours aux technologies de pointe.

Pour sa part, le directeur général du groupe Hôtellerie, Tourisme et Thermalisme (HTT), Lazhar Bounafaa, a mis en avant « l’importance de la signature des contrats de performance afin d’améliorer le niveau de gestion hôtelière et de permettre à ces établissements de réaliser des bénéfices et le développement économique et commercial ainsi que de renforcer la viabilité du groupe ».

Par ailleurs, le même responsable a mis l’accent sur l’importance « des opérations de qualification auxquelles sont soumises ces établissements à l’effet d’adapter le produit touristique aux exigences des clients ».

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Relizane : saisie de plus de 150 kg de kif traité et 1569 psychotropes en 2018

Thu, 01/17/2019 - 12:48

Les unités de la gendarmerie nationale de la wilaya de Relizane ont procédé, en 2018, à la saisie de plus de 150 kg de kif traité et de 1.569 comprimés de psychotropes, a-t-on appris mercredi du commandant du groupement territorial de ce corps constitué, le Lieutenant-colonel Yazid Sekour.

Lors de la présentation du bilan 2018 des activités de la gendarmerie nationale de la wilaya, le Lieutenant-colonel Sekour a indiqué que ses services avaient traité 88 affaires de drogue dont 42 ayant nécessité le recours à l’équipe cynotechnique. Ces affaires élucidées avaient permis l’arrestation de 150 individus.

La justice avait ordonné d’écrouer 82 mis en cause et de relaxer 68 autres. S’agissant de l’activité des unités du groupement territorial dans le domaine de crime organisé, le groupement de la gendarmerie avait traité 147 affaires dont les affaires de drogue avec 88 affaires, suivis de 34 autres concernant le vol de bétail et 24 affaires de trafic de véhicules.

Par ailleurs, les unités de ce groupement avaient traité 430 affaires liées à la vente illégale de boissons alcoolisées ayant permis la saisie de 2.915 unités de spiritueux. Il a été relevé 22 affaires de réalisation et le fonçage de puits sans autorisation et 12 autres concernant l’irrigation de surfaces agricoles à l’aide d’eaux usées.

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Alger : plus de 7.500 apprenants en classes d’alphabétisation dans les écoles coraniques

Thu, 01/17/2019 - 12:46

Plus de 7.500 apprenants, majoritairement des personnes âgées, ont été inscrits dans plus de 240 classes d’alphabétisation pour l’année scolaire d’enseignement coranique (2018-2019) à Alger, a indiqué mercredi Farida Djebali, vice-président de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) d’Alger.

7.549 apprenants, majoritairement des personnes âgées, ont été inscrits en classes d’alphabétisation, a déclaré Mme Djebali à l’APS en marge d’une sortie sur le terrain des membres de la commission des affaires sociales et des wakfs à l’APW d’Alger dans plusieurs écoles coraniques à Alger.

Lors de cette visite, les membres de la commission ont relevé certaines défaillances, à l’instar du manque des appareils de chauffage et de climatisation, des infiltrations de l’eau, de l’endommagement des toitures, le manque de chaises et de bureaux outre les outils d’enseignement, a indiqué Mme Djebali mettant l’accent sur l’impératif de revoir à la hausse le budget consacré à l’équipement des écoles coraniques qui accueilleront plus de 100.000 apprenants des différents cycles d’enseignement coranique pour assurer les meilleures conditions d’enseignement.

Cette visite sur le terrain a conduit les membres de la commission à l’école coranique Hamza Abdelkrim à la Mosquée de Dely Brahim, à la Mosquée Abi Dher Al Ghafari ainsi que l’école coranique Al Wancharissia à la Mosquée Mouadh Ibn Djabel à Beni Messous.

Dans ce cadre, Mme Djebali a insisté sur l’impératif d’élaborer un code pour la gestion des écoles coraniques et de définir la tutelle pour éviter les défaillances enregistrées, notamment en ce qui concerne les salaires des enseignants, dont la plupart sont des bénévoles. En 2017, la wilaya d’Alger a accordé 50 postes permanents au profit de ces enseignants qui percevaient leurs salaires à partir des cotisations des parents d’élèves, a fait savoir la responsable.

Pour sa part, Ali Alia, inspecteur principal à la direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya d’Alger a déclaré à l’APS que les enseignants qui prennent en charge 240 classes d’alphabétisation dans les écoles coraniques d’Alger, majoritairement des femmes, perçoivent 80 % de leurs salaires à partir des dons des bienfaiteurs et des cotisations des parents d’élèves. Le reste est couvert par l’Office national d’alphabétisation.

Durant l’année scolaire d’enseignement coranique (2018-2019), plus de 40.000 élèves âgés de moins de 6 ans ont été inscrits dans les classes d’enseignement coranique préscolaire, alors que 60.000 élèves sont inscrits dans les différents cycles de l’enseignement coranique à travers 49 écoles coraniques, dont 13 écoles avec intranet qui comptent un total de 1080 classes coraniques.

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Bilan 2018 du contrôle commercial : le défaut d’hygiène représente près de la moitié des infractions constatées

Thu, 01/17/2019 - 12:42

Les services de contrôle du ministère du Commerce ont enregistré 37.330 infractions aux règles commerciales et de protection des consommateurs. Le défaut d’hygiène représente près de la moitié des dépassements de la loi.

« En 2019, le défaut d’hygiène reste la première infraction et occupe 48,43% des 37.330 constatations d’infractions que nous avons effectués. Vient en deuxième position les tromperies et tentatives de tromperies sur les produits avec 10.594 infractions. Le défaut d’étiquetage qui était la deuxième infraction occupe aujourd’hui l’avant dernière position », a annoncé, jeudi matin, le directeur de la qualité et de la consommation au ministère du Commerce, Sami Kolli, qui était L’Invité de la rédaction de la Chaine 3 de la Radio Algérienne.

Le ministère du Commerce fait des efforts, M. Kolli avance pour preuve le recul net du défaut d’étiquetage, dans le classement des infractions, « cela veut dire, ajoute-t-il, que les opérateurs économiques respectent beaucoup plus les dispositions du décret 13/378 relatif à l’information du consommateur ».

Réels dangers et fausse alerte

Abordant les mesures prises à l’encontre de la poudre de jus Amila et de l’eau minérale Texanna, qui ont fait l’objet d’une suspension de production et retrait du marché de plusieurs lots de produits, M. Kolli a expliqué que ces mesures ont été prises après vérification du danger de ces produits sur la santé des consommateurs, conformément au décret 12/203 relatif à la sécurité des produits.

Toutefois, le représentant du ministère du Commerce a tenu à démentir l’information diffusée par la direction de la santé et de la population (DSP) de Djelfa qui a alerté, dans un communiqué émis le 6 janvier dernier, sur un danger de commercialisation de « produits contenant des aditifs alimentaires cancérigènes ».

« Cette information est anonyme parce qu’on s’appui sur des sources inconnues », a répliqué M. Kolli, précisant que les aditifs en question sont « des produits qui sont suspendus d’importation en Algérie depuis une année, ça veut dire qu’ils n’existent pas en Algérie et je défie quiconque de me ramener au moins un de ces produits ».

C’est pourquoi, il a été décidé, annonce M. Kolli, que « dorénavant, toutes les informations qui seront diffusées doivent êtres vérifiées, étayées, argumentées techniquement et scientifiquement, et il faut avoir l’autorisation de son administration de tutelle ». Qui doit valider ? « Tout ce qui est lié à la protection du consommateur relève du ministère du commerce », répond-t-il.

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Début des travaux de construction de la chaîne d’assemblage A220 d’Airbus aux États-Unis

Thu, 01/17/2019 - 12:26

Airbus a franchi aujourd’hui une nouvelle étape dans le développement de ses sites de production aux États-Unis avec le lancement officiel de la construction de sa chaîne d’assemblage A220 à Mobile, Alabama, lors d’une cérémonie d’inauguration des travaux.

Cette chaîne d’assemblage permettra de répondre à la demande élevée et croissante des États-Unis pour les appareils de la famille A220, la nouvelle gamme de produits proposée par Airbus dans la famille des avions civils.

Tom Enders, CEO d’Airbus, et Guillaume Faury, Président d’Airbus Commercial Aircraft, ont présidé l’événement et accueilli quelque 700 invités parmi lesquels des dirigeants d’Airbus et d’autres industries, des employés de la production d’Airbus, des dignitaires de l’état et de la nation, ainsi que des responsables de la communauté locale.

Cette nouvelle chaîne d’assemblage, second site de production d’avions civils de l’entreprise aux États-Unis, sera située sur le site Mobile Aeroplex de Brookley, à proximité de la chaîne d’assemblage de la famille A320.

Ce site sera dédié à l’assemblage des A220-100 et A220- 300 destinés aux clients américains. La production des avions doit démarrer au 3e trimestre 2019 et la livraison du premier A220 assemblé à Mobile est prévue en 2020. La nouvelle chaîne d’assemblage A220 sera terminée d’ici l’année prochaine.

Airbus entretient des relations fortes et durables avec les États-Unis et les avions d’Airbus sont exploités par les plus grandes compagnies américaines. En outre, Airbus est un partenaire majeur des entreprises et des professionnels de l’industrie aéronautique et spatiale américaine. Au cours des trois dernières années, Airbus a dépensé 48 milliards de dollars aux États-Unis auprès de centaines de fournisseurs américains dans plus de 40 états, ce qui se traduit par plus de 275 000 emplois américains soutenus par Airbus.

Parmi ses sites aux États-Unis, Airbus compte notamment des centres d’engineering au Kansas et en Alabama, un grand site de formation en Floride et un autre qui ouvrira prochainement au Colorado, un centre de support matériel et le siège en Virginie, une chaîne d’assemblage dédiée à la famille A320 qui assure également les livraisons en Alabama, une cellule de réflexion innovante (A3) en Californie, une entreprise d’analyse de données de drones (Airbus Aerial) à Atlanta en Géorgie, des sites de production et d’assemblage d’hélicoptères au Texas et dans le Mississippi, et un site de production de satellites (OneWeb) en Floride.

L’A220, seul appareil fabriqué sur mesure pour le marché des 100 à 150 sièges, affiche une consommation de carburant inégalée. Il offre le confort d’un véritable gros porteur dans un monocouloir. L’A220 conjugue des caractéristiques aérodynamiques avancées, l’utilisation de matériaux innovants ainsi que des moteurs de nouvelle génération PW1500G Geared Turbofan de Pratt & Whitney, qui permettent de réduire la consommation de carburant d’au moins 20 pour cent par siège par rapport aux avions de la génération précédente. Avec un rayon d’action pouvant aller jusqu’à 3 200 nm (5920 km), l’A220 offre des performances comparables à celles d’un appareil monocouloir de plus grande capacité.

Avec un carnet de commandes de plus de 500 appareils à ce jour, l’A220 a toutes les qualités requises pour gagner une grande part du marché des avions de 100 à 150 sièges, qui, d’après les estimations, devrait représenter au moins 7 000 appareils dans les 20 prochaines années.

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Ses activités sont réduites au strict minimum/ APN : une institution en hibernation

Thu, 01/17/2019 - 11:37

Par Ali Boukhlef

Réceptions d’ambassadeurs, questions écrites et orales aux membres du gouvernement et journées parlementaires, voilà de quoi est faite la vie parlementaire depuis quelques semaines. L’Assemblée populaire nationale tourne au ralenti.

En pleine session parlementaire, les députés sont en congé forcé. Depuis la fin des débats sur la loi de finances 2019, les membres de l’Assemblée populaire nationale sont dans une période de chômage qui ne dit pas son nom. Pis encore, depuis la reprise de l’activité parlementaire en septembre dernier, seuls 9 projets de loi ont été examinés et, bien sûr, adoptés sans changement. Ce qui dénote d’une activité au ralenti d’une institution qui, pourtant, doit être au cœur de l’activité institutionnelle. Sur le site de la Chambre basse du Parlement, les rares informations disponibles ont trait à la diplomatie parlementaire.

Le président de l’APN, Moad Bouchareb, reçoit quelques ambassadeurs, tandis que le président de la commission des affaires étrangères et de la coopération, Abdelhamid Si-Afif, a constitué le groupe d’amitié algéro-turc, pendant que deux de ses collègues se trouvaient mardi à Strasbourg pour rencontrer leurs homologues du Parlement européen. Rien de plus.

Dans la journée d’hier, le bureau de l’Assemblée, réduit lui aussi à gérer les affaires administratives courantes, informe qu’une session plénière sera organisée, ce jeudi matin, pour poser huit questions orales à 4 ministres, ceux des Moudjahidine, des TIC, de la Solidarité et des Travaux publics. Ce sont souvent des questions adressées depuis longtemps aux membres du gouvernement. Cette indigence de l’activité parlementaire s’ajoute à la mauvaise image qui se dégage de cette institution depuis bien longtemps. Outre l’absence d’initiative venant de ses membres, l’APN s’est totalement arrimée à l’activité gouvernementale. Et en l’absence de projets de loi venant de l’Exécutif, la Chambre basse tourne à vide. C’est ce qui se passe en ce moment.

Pourtant, lors de l’ouverture de la session du Parlement, qui s’achèvera en juillet prochain conformément à la Constitution révisée en  2016, le président déchu, Saïd Bouhadja, avait énuméré un nombre important de lois à faire adopter. Ce dernier a dû plier bagage, victime d’une destitution à la hussarde. En octobre, au lieu d’une activité parlementaire ordinaire, c’est à un scandaleux bras de fer auquel les Algériens ont assisté durant plusieurs semaines. Le clou de ce spectacle désolant a été la fermeture des portes de l’institution parlementaire à l’aide de cadenas. Bouhadja a été “chassé” par la violence, ouvrant la voie à Moad Bouchareb.

Depuis son arrivée à la tête de la Chambre basse, l’homme n’a présidé que quelques plénières, dont l’essentiel a été consacré aux débats, expéditifs, sur la loi de finances. Attendue comme un grand moment politique de la fin de l’année dernière, la présentation du rapport d’activité du gouvernement n’a pas eu lieu. Les services du Premier ministre ont expliqué cette défection, pourtant prévue par la Constitution, par la densité des activités d’Ahmed Ouyahia. Mais d’aucuns ont vu dans ce geste le manque d’intérêt qu’accorde l’Exécutif à une activité parlementaire réduite à sa plus simple expression.

Ali Boukhlef

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Deux passeurs arrêtés à Aïn El-Turck

Thu, 01/17/2019 - 11:26

par Rachid Boutlélis

Deux passeurs ont été appréhendés, hier, par les éléments de la police judiciaire relevant de la Sûreté de daïra d’Aïn El-Turck, qui ont également saisi un semi-rigide et différents équipements de navigation, apprend-on de sources policières. Les enquêteurs de la PJ ont agi suite à une plainte déposée par des ressortissants du Yémen qui auraient été escroqués d’une somme d’argent en euros par les deux mis en cause.

Ces derniers auraient promis aux Yéménites une traversée pour rallier les côtes de la péninsule ibérique à partir d’une plage d’Aïn El-Turck, indiquent nos sources.

Les mis en cause dans cette affaire de tentative d’émigration clandestine et d’escroquerie seront présentés aujourd’hui, jeudi, devant le tribunal correctionnel d’Aïn El-Turck.

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Boufarik: Un mort dans l’incendie d’un marché couvert

Thu, 01/17/2019 - 11:25

par Tahar Mansour

Il a fallu, outre celle de Boufarik, l’intervention de l’unité principale de la Protection civile de Blida, celle d’Ouled Yaich et celle de Soumaa, pour venir à bout d’un important incendie qui s’est déclaré au marché couvert de fruits et légumes connu sous la dénomination de marché Gaoua avant-hier mardi aux environs de 21 h. Les efforts fournis par les sapeurs-pompiers ont permis d’éteindre le feu et de l’empêcher de s’étendre à tout le marché d’une superficie de 700m2 ainsi qu’aux habitations et locaux avoisinants.

Lors de l’intervention, les agents de la Protection civile ont découvert à l’intérieur du marché un cadavre humain complètement carbonisé qu’ils ont évacué vers la morgue de l’hôpital de Boufarik. Une importante quantité de marchandises et des étals ont été détruits par les flammes. Une enquête est ouverte par les services de sécurité concernés pour déterminer les causes exactes de ce sinistre.

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