500 g de semoule fine, 350 ml d’eau, levure fraîche, 1/2 sachet de levure chimique, 100ml d’huile d’olive, 2 c. à s. de beurre, sel, 250 g de fromage aux herbes, 50 g d’olives noires en rondelles
Dans un saladier, mettre la semoule, le sel, le sucre, la levure, l’huile, le beurre, puis sabler la pâte avec les mains. Ajouter l’eau et mélanger le tout. Chauffer une poêle, former une petite boule, l’aplatir un peu, mettez le fromage, les olives, retravailler la pâte, saupoudrer de semoule fine et faire cuire. Saupoudrer le dessus avec de la grosse semoule et cuire l’autre face.
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Neuf (9) personnes ont trouvé la mort et 31 autres ont été blessées dans 11 accidents de la circulation enregistrés lors des dernières 48 heures à travers le territoire national, selon un bilan établi samedi par la Protection civile.
Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Sétif, avec 3 morts et 5 blessés suite à 3 accidents de la circulation, le plus important ayant causé un mort et 4 autres blessés, suite à une collision entre un camion et un véhicule léger, survenue le chemin wilaya n0 14, commune d’Aïn Abessa, précise la même source.
Les secours de la Protection civile sont intervenus également suite aux chutes de pluies qui se sont abattues durant les dernières 24 heures notamment au niveau des wilayas de Tiaret et Bordj Bou Arreridj où plusieurs opérations d’épuisement des eaux pluviales ont été effectuées dans des habitations.
Par ailleurs, le bilan de la Protection civile indique que ses unités ont enregistré, durant la même période, 3.877 interventions, dans les différents types d’interventions pour répondre aux appels de secours, suite à des accidents de la circulation, accidents domestiques, évacuations sanitaires, extinction d’incendies et dispositifs de sécurité.
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Beaucoup de gens attendent impatiemment l’arrivée du mois sacré pour profiter des soirées animées et si particulières. Les propositions de sortie ne manquent pas : concerts, gaâdate, spectacles, cirque, animation dans le métro d’Alger… Ces soirées ont la cote chez la majorité des Algérois qui profitent de ces animations qu’ils qualifient de providentielles, vue que la capitale s’habille de morosité dès 19h, le reste de l’année.
Les «phobiques», eux, préfèrent s’enfermer chez eux, loin du brouhaha et de l’agitation de la ville. Les rues bondées de monde, les terrasses saturées de consommateurs, les klaxons intempestifs, les cris des enfants : très peu pour eux. Dans le cocon douillet de leur maison, ils dressent un mur entre eux et cette cacophonie qui les irrite au plus haut point. Les nuits survoltées et le charivari ambiant ne sont pas leur tasse de thé, au grand dam de leur entourage qui n’hésite pas à les traiter de sauvages et de rabat-joie.
Mouloud, 55 ans
«J’habite Alger-Centre et chaque Ramadhan est un calvaire pour moi, et pour cause : ma rue devient méconnaissable. Les bruits fusent de partout et agressent mes oreilles qui n’aspirent qu’au calme. Klaxons, cris des enfants jouant au ballon, éclats sonores des adultes qui discutent au pied de l’immeuble, flots de consommateurs déambulant sur les boulevards… Je déteste sortir.
Les gens parlent d’ambiance des soirées du Ramadhan. Moi je n’y vois que de l’agitation. #Mon épouse a pris le pli. Elle sort avec les enfants pour profiter des spectacles et des visites familiales. Je suis peinard à la maison, sirotant un thé à la menthe, face à la télévision. Je monte le son pour couvrir les bruits extérieurs et je m’extrais de ce tumulte qui me tape sur les nerfs pendant 30 soirées.»
Nourhane, 39 ans
«Sortir au milieu de cette agitation avec des noctambules déchaînés ? Jamais de la vie. Je n’accepte que des invitations au f’tour chez des amis, bien au calme à la maison. J’ai la phobie des foules et je redoute les embouteillages des soirées du Ramadan. Je supporte difficilement les bouchons durant la journée alors en rajouter une couche la soirée, ne me viendrait pas à l’esprit. Dehors, ça grouille de monde partout. Ça gesticule, ça parle fort, ça s’excite. A mon sens, ce n’est pas cela qu’on appelle s’amuser. Je note qu’il y a beaucoup d’excès dans tout.
Pour ma part, j’aime inviter des amis ou des membres de ma famille à passer une soirée tranquille à la maison. Je peux veiller tard, en week-end, mais me joindre à la foule dehors, c’est impossible.
Il y a des concerts partout, des projections de films en plein air et des soirées dans des kheiymate… Mes proches s’y rendent souvent. Ils ne me proposent même plus de les accompagner car ils connaissent ma réponse par avance. Je profite de belles soirées mais en dehors du mois sacré. C’est ainsi !»
Mounira, 39 ans
«Mon époux fait un rejet total des sorties durant le Ramadhan. Il est tout mon contraire. Moi je dis qu’il faut profiter de l’animation exceptionnelle qu’offrent nos villes durant le mois sacré. Les boutiques, les terrasses de café, les théâtres, les salles de concert…, il y a tellement d’activités, qu’on s’y perd parfois. Une liberté à saisir également en tant que femme. C’est le seul mois où on peut sortir sans avoir peur d’être importunée le soir. Comme mon époux est récalcitrant à mettre le nez dehors, je profite des soirées à l’extérieur avec mes enfants et mes sœurs. On va prendre des glaces, faire du lèche-vitrine, ou marcher un peu. Même pour l’achat des vêtements de l’Aïd pour les enfants, mon époux fait de la résistance. Il me laisse me dépatouiller toute seule.
Là, j’aurais aimé qu’il m’accompagne pour me donner son avis, mais non, la rue et son brouhaha lui font peur. Il se retire dans sa coquille comme un sauvage et me nargue au retour ‘‘ça y est ! Madame a pris son bain de foule ?’’, me taquine-t-il. C’est un fait.
Certaines personnes, notamment en prenant de l’âge, préfèrent le calme de leur foyer à l’animation tous azimuts des rues qui agresse leurs oreilles et les met sous pression.
Pour rien au monde, ces ‘‘phobiques’’ de l’agitation n’échangeraient le confort de leur canapé aux soirées dites festives du Ramadhan. Un art de vivre qu’ils assument pleinement laissant les espaces publics aux déambulations des fêtards et autres couche-tard des soirées du Ramadhan.»
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Les éléments de la gendarmerie de Sidi-Bel-Abbès ont, dans la journée du mercredi dernier, intercepté 4,5 kg de kif traité dans un véhicule sur l’autoroute Est-Ouest dans la localité de Sidi-Ali-Boussidi.
Suite à des informations, les gendarmes ont érigé un barrage sur l’autoroute Est-Ouest lorsque les deux véhicules légers, un Master acquis dans le cadre du dispositif de l’Ansej, et une Renault Logan, ont été repérés et immobilisés. La fouille de l’un d’eux a permis la découverte de 4,5 kg de kif.
Les trois personnes qui ont été arrêtées ont donné le nom de leur fournisseur qui réside dans la wilaya de Tlemcen. Ce dernier a pris la fuite.
Les trois personnes ont été écrouées par le procureur de la République.
La quantité de kif et les deux véhicules ont été saisis.
Sidi Lahcen
Une mère et sa fille gravement brûlées après une fuite de gaz
Dans l’après-midi de mercredi dernier, une mère et sa fille résidant dans la localité de Sidi Lahcen ont été gravement brûlées et leur demeure détruite par le feu, suite à une fuite de gaz.
En effet, les deux victimes préparaient le f’tour, lorsqu’un incendie s’est déclaré dans leur demeure suite à une fuite de gaz de leur réchaud.
Les secours ont réussi à extraire les femmes du feu, mais malheureusement elles ont été brûlées au 3e degrés. Le domicile a été ravagé par les flammes.
Les victimes ont été évacuées vers le CHU de Sidi-Bel-Abbès.
Une enquête a été ouverte.
A. M.
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Bureaux de poste, sorties des banques ou des pharmacies, souks des fruits et légumes, gare routière, rues à grande circulation piétonne, tous les endroits où il y a foule, et où l’action caritative est susceptible d’être titillée, sont littéralement squattés. S’il y a bien un phénomène qui s’est caractérisé par une remarquable explosion à travers la wilaya de Mostaganem, c’est, à ne point en douter, celui de la profession de la main tendue.
Ce véritable fléau bat son plein partout, là où il y a foule. Le vendredi, au niveau de toutes les mosquées, difficile d’échapper au harcèlement inévitable. Idem aux alentours des hôpitaux, des commerces d’alimentation générale et des organismes financiers. Parfois, la pratique s’exerce au porte-à-porte.
Aussi bizarre qu’incompréhensible, certains hommes accompagnés d’enfants apparemment valides et en bonne santé semblent trouver leurs bénéfices, beaucoup plus que dans toute autre activité manuelle. La corporation semble bien organisée ; chacun ayant délimité son propre territoire d’intervention.
Les Subsahariens, qui viennent chaque matin d’Oran, opèrent juste à l’entrée de la ville, à la cité Zaghloul, en allant vers celle du 5-Juillet, et ciblent les voitures s’arrêtant aux feux rouges régulant la circulation. Les Syriens, majoritairement des femmes, sont accompagnés parfois d’enfants pour susciter davantage la générosité des passants en choisissant des emplacements des dos d’âne sur le réseau routier.
Concentrant toutes sortes de fléaux, le chef-lieu de la wilaya fourmille d’individus, dont la place n’est certainement pas dans la rue : des clochards, des vagabonds, des enfants ayant quitté trop tôt les bancs de l’école, parfois les trois à la fois ! Un métier «libéral», sans impôts ni horaires fixes et particulièrement lucratif.
A. B.
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Dans son souci de lutter efficacement contre les incendies de forêt ou du moins atténuer l’ampleur des dégâts, la Direction des forêts de la wilaya a mis en place un dispositif de lutte pour réagir dès les départs de feu.
Ce dispositif qui s’inscrit dans le plan de campagne 2018 sera lancé à compter du 1er juin au 31 octobre pour lutter contre les incendies de forêts afin de protéger le patrimoine forestier de la wilaya et éviter les dégâts enregistrés l’année dernière.
C’est dans la daïra de Mesra que s’est déroulée, en cette fin de semaine, l’installation de la commission de lutte contre les incendies de forêt à laquelle ont pris part les 32 présidents des communes de la wilaya sous la présidence du chef de daïra.
La wilaya a impliqué cette année davantage les collectivités locales en leur accordant de nouvelles prérogatives en matière de prévention et de gestion des catastrophes naturelles. Notant que ce phénomène peut parfois se déclencher spontanément mais que dans la majorité des cas, il est imputable à l’homme du fait soit de son insouciance, soit d’une intention criminelle.
Le représentant de la protection civile a souligné dans cette réunion la nécessité d’un réseau routier à l’intérieur des forêts permettant la circulation des engins et facilitant l’intervention rapide de ce corps dans des délais rapides.
La responsabilité de la lutte des incendies de forêt est mandatée à la protection civile, la direction des forêts de wilaya pour sa part est en charge des opérations de prévention et d’aménagement.
Concernant la prévention, le plan feu prévoit des actions à même de contribuer à réduire les risques de déclenchement et de propagation des feux de forêt par des actions de sensibilisation jusqu’au débroussaillement et désherbage des herbes sèches.
Il faut se conférer également à l’évaluation du risque météorologique qui permet de renforcer les mesures de sécurité et de déclencher un plan alerte en vue de prévenir les départs des feux et de permettre d’alerter les sauveteurs à temps.
A. B.
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Agissant sur une plainte déposée par un commerçant-grossiste à Saïda, faisant état d’une escroquerie de la part de deux individus, les éléments de la police judiciaire, relevant de la sûreté de wilaya de Saïda, n’ont pas tardé à mettre la main sur les deux escrocs.
II s’agit de malfaiteurs âgés de 41 ans et 54 ans qui se faisaient passer pour des bienfaiteurs chargés d’une association caritative sise à El-Bayadh portant assistance aux nécessiteux durant le mois de Ramadhan. Ces derniers disposaient de faux documents et de cachets falsifiés et sont impliqués dans des affaires de faux et usage de faux et usurpation d’identité.
En effet, les faits remontent au début du mois sacré, lorsque les deux escrocs ont arnaqué le commerçant des denrées alimentaires lui remettant des faux documents et un chèque falsifié contre 450 couffins de ramadhan pleins de denrées alimentaires, évalués à 260 millions de centimes.
L’enquête diligentée aussitôt a permis de retrouver la marchandise à Sidi-Bel-Abbès, sans doute, pour une éventuelle revente. Le premier suspect, résidant à Oran, a été arrêté en son domicile en possession des documents et un matériel compromettant, a-t-on appris.
Les deux mis en cause ont été présentés devant la justice pour répondre des griefs retenus contre eux.
B. Henine
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Fort du plébiscite dont il a été gratifié lors du 7e congrès du parti tenu le 10 mai dernier, Abderezzak Makri passe à l’acte en composant le bureau exécutif du mouvement.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Une composante qu’il a eu à présenter, hier vendredi, à l’occasion d’une séance extraordinaire du nouveau conseil consultatif national, suivie du traditionnel iftar annuel que le mouvement organise chaque mois de ramadhan.
Ceci dans une démarche purement organique prévue dans les statuts du parti, en sus d’autres menus points liés à la finalisation de tout ce qui a trait au dernier congrès. Ce nouvel exécutif devra s’atteler à mettre en pratique les principales résolutions politiques adoptées lors du congrès d’il y a une vingtaine de jours. Notamment donner suite au projet d’union avec le mouvement El Binaa et entamer la nouvelle démarche du parti portant consensus national.
Lors d’une conférence de presse animée au lendemain de sa réélection à la tête du mouvement, le président du MSP a annoncé l’entame prochainement de larges contacts avec l’ensemble des forces nationales pour parvenir au consensus national, y compris avec le pourvoir, «sans lequel il ne peut être réalisé».
Pour Makri, la première préoccupation du parti est de prendre contact avec l’ensemble des forces nationales pour «rassembler et passer à une situation meilleure à tous les niveaux», dans le cadre d’un consensus national de toutes les tendances. Des contacts qui n’excluront pas le pouvoir sans lequel, selon lui, le consensus ne peut être réalisé. Un choix «certain» qui répond à la réalité des équilibres politiques qui ne saurait être ignorée. Ceci non sans préciser que l’échec de la démarche de la défunte CNLTD portant transition démocratique était de la responsabilité de ce même pouvoir qui avait tourné le dos à cette initiative inédite de l’opposition réunie pour la première fois, le 10 juin 2014, comme elle ne l’a jamais fait auparavant.
Le président du MSP a également clarifié, pour la énième fois, ce qu’il estime être «claire» la vision du mouvement concernant la participation au gouvernement. Un point qui a de tout temps constitué le différend majeur d’avec le camp entriste incarné par Bouguerra Soltani. Pour Makri, le sujet est définitivement tranché dans le programme politique adopté lors du dernier congrès extraordinaire puisque, désormais, «fixé par la donne politique et électorale».
Ledit document fixe, en effet, dans son article 19, les conditions d’une participation au gouvernement ou d’un positionnement sur l’échiquier politique en tant que parti d’opposition». Dont notamment l’engagement du parti qui «remporte démocratiquement les élections», la relance du pays par une bonne gestion et gouvernance et par la justice» et «la garantie des libertés et la préservation des deniers publics».
M. K.
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«Les élus du FFS doivent être vigilants et ne pas répondre aux tentatives et manipulations de l’administration. (…) Vous êtes des élus du peuple, mais il ne faut jamais oublier que vous êtes surtout, des militants du Front des forces socialistes». Ce sont les deux messages clés que le FFS a voulu transmettre à ses élus locaux à l’occasion d’une conférence-débat organisée jeudi dernier au siège et intitulée : «Relation élus-Parti».
Abder Bettache – Alger (Le Soir) – La nouvelle direction nationale du FFS multiplie les sorties et les déclarations médiatiques pour un objectif bien précis : mettre le parti sur l’orbite du débat politique national. Jeudi passé, au siège du parti, une conférence – débat intitulée Relation élus-Parti a été organisée au profit des élus locaux. Une rencontre qui a permis aux responsables du parti de renouer dans un premier temps avec sa base locale à travers ses élus locaux, «dont le but est de renouer le contact avec nos élus, les écouter, recueillir leurs doléances».Pour le FFS, le thème de ladite conférence-débat «est très important» au «vu des multiples enjeux politiques». D’ailleurs, son premier secrétaire national, M. Hadj Djilani a entamé son discours en rappelant une des citations de feu Hocine Aït Ahmed. Ce dernier avait déclaré que «être élu librement à la tête d’une mairie, n’importe où en Algérie est plus sage que d’être un président désigné… ». A ce propos, l’intervenant a rappelé à l’assistance que «le FFS a pris part aux élections locales du 23 novembre 2017 en axant sa campagne électorale sur la solidarité locale et le consensus national».
Et c’est dans cette optique que M. Hadj Djilani rappelle à ses militants que «vous êtes des élus du peuple, mais il ne faut jamais oublier que vous êtes surtout, des militants du Front des forces socialistes». Un rappel soutenu par des arguments selon lesquels «l’élu local a des rôles et des missions conférées par la loi, mais il a également un rôle politique, organisationnel et social». «La charte de l’élu du FFS prône la prééminence du politique dans l’exercice du mandat. Le militantisme est donc le credo que nous voulons que vous donniez à votre mandat, la cohésion entre les élus est de mise dans la gestion de la collectivité locale, le respect et la probité doivent être sans faille», a-t-il dit et d‘ajouter : «L’élu local représente l’axe de la vie politique locale parce que d’un côté, il occupe le sommet du système politique à l’échelle locale, et d’un autre, il exerce des fonctions ayant un impact important sur la vie et le développement de la société politique. Les élus du FFS doivent être vigilants et ne pas répondre aux tentatives et manipulations de l’administration».
La nouvelle direction nationale du FFS qui mise pour un double objectif doit réinvestir à la fois le terrain politique et organique, dira son premier secrétaire national et ce, en s‘adressant à ses élus, que «vous êtes parfaitement conscients de votre devoir envers vos électeurs, vous devez les servir et non vous servir. Vous devez être à leurs côtés à tout moment, bien que vos prérogatives sont limitées par le code communal et de la wilaya». Il dira aussi que «le FFS a pris part aux élections locales du 23 novembre 2017 en axant sa campagne électorale sur la solidarité locale et le consensus national. Notre solidarité, nous la marquons avec les populations démunies, avec les jeunes, avec les femmes, avec les syndicalistes, avec tous ceux et toutes celles qui se battent chaque jour, pour une vie digne et décente des Algériennes et des Algériens».
Pour le FFS, «la solidarité reste notre cheval de bataille, elle est votre cheval de bataille. Elle exige de vous une proximité quotidienne avec la population, un dialogue inclusif avec les citoyens et les acteurs de la société civile, en impliquant les travailleurs, les femmes, les jeunes dans la gestion et la gouvernance locales. De son côté, le parti que vous représentez s’engage à vous assurer la défense et la protection politique et judiciaire, face aux abus de l’administration et de la justice. Il s’engage à vous accompagner par une formation permanente et de qualité, et à assurer une relation régulière entre les élus et les structures du parti ».
A. B.
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Une personne a trouvé la mort et deux autres ont été grièvement blessées, dans un carambolage impliquant plusieurs véhicules, vendredi en fin de soirée près de Berriane à 50 Km au nord Ghardaia, a-t-on appris auprès de la protection civile.
Ce carambolage qui s’est produit à deux Km à la sortie Nord de localité de Berriane a causé la mort sur le coup d’un chauffeur d’un véhicule et deux blessés graves souffrant de multiples traumatismes, précise la même source.
Le corps de la victime décédée sur place et les blessés ont été transféré respectivement vers la morgue et les urgences de la polyclinique de Berriane.
Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie nationale afin de déterminer les circonstances précises de cet accident.
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Ahmed Ouyahia a affirmé, le 8 mai dernier, que l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018 sera étudié en Conseil des ministres dans “un délai d’une semaine ou deux”.
Le Conseil des ministres qui devait se pencher, lors de sa réunion attendue pour jeudi, sur l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018, n’a pas eu lieu. Pourtant, apprend-on de sources sûres, les ministres du gouvernement Ouyahia ont bel et bien été contactés par la présidence de la République, au courant de la semaine, pour être conviés à cette réunion de travail présidée par Abdelaziz Bouteflika. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, avait, lui-même, d’ailleurs, indiqué, en marge de l’inauguration de la Foire internationale d’Alger, le 8 mai dernier, que l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018 sera étudié en Conseil des ministres dans “un délai d’une semaine ou deux”. C’est-à-dire au plus tard, jeudi 31 mai. Le Premier ministre confirmait alors un premier report, qui aurait été dicté par une demande du chef de l’État de procéder à une seconde lecture de l’avant-projet de loi en question. Les hautes autorités du pays, qui n’ont pas officiellement motivé le premier report, ont encore moins justifié le second.
Aussi, l’interrogation reste intégrale et ouvre la voie devant les conjectures. En effet, le seul motif évoqué l’est de manière officieuse. Il explique cet ajournement par le décès de la mère du président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci. Onze ministres ont, d’ailleurs, assisté aux obsèques de la défunte, jeudi, à Tlemcen. Mais qu’est-ce qui empêcherait, dans ce cas, la présidence de la République de communiquer, et expliquer ainsi, à l’opinion publique, les raisons de cet ajournement. Parce qu’il faut dire que ce Conseil des ministres était particulièrement attendu. Concernant l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018, qui avait subi une deuxième lecture en réunion du gouvernement, sur demande du président Abdelaziz Bouteflika, sans pour autant que les taxes sur les documents d’identité soient révisées, les citoyens gardaient l’espoir de voir le Conseil des ministres assouplir ce qu’il y a lieu d’appeler une véritable “surtaxation” des documents biométriques. L’autre explication trouvée au report du Conseil des ministres est liée à la santé de Bouteflika.
Les mauvaises langues parlent de la méforme du chef de l’État. Pour elles, le déplacement des ministres à Tlemcen ne convainc pas trop, arguant que, même si c’était vraiment le cas, le Conseil des ministres aurait pu se tenir en soirée, après la rupture du jeûne. Cela s’est déjà produit lors des précédents mandats présidentiels. Côté opposition, du moins pour le parti politique, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), les raisons de ces reports sont ailleurs. Elles sont à chercher dans la volonté du chef de l’État de soustraire le projet de loi au débat parlementaire.
En effet, le parti de Mohcine Belabbas soupçonne une volonté inavouée de promulguer le texte par ordonnance présidentielle durant l’intersession parlementaire. Cela étant, l’avant-projet de LFC-2018 ne fait pas encore consensus parmi les membres du gouvernement. En témoigne, d’ailleurs, la récente sortie du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, qui ne semblait pas totalement assumer les “taxes” que le texte propose d’instituer. Ceci, deux jours après la note publiée sur le portail du Premier ministère, et qui justifiait les taxes en question.
Mehdi Mehenni
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Selon des témoignages, certains passagers du vol devant rallier les Canaries à Amsterdam se sont mis à vomir. L’avion s’est posé à Faro, au Portugal.
« Une puanteur pire que celle d’un cadavre »Selon Transavia, plusieurs passagers sont tombés malades et certains ont été pris de vomissements. « A partir du moment où l’homme est entré dans l’allée, les gens ont commencé à crier et à plonger dans leurs sacs à la recherche de mouchoirs à garder devant eux », témoigne Piet Van Haut, toujours dans De Telegraaf. L’homme, qui semblait souffrir, a été envoyé à l’arrière de l’appareil pour tenter de contenir les effluves, mais cela n’a rien changé.
Transavia #HV5666 diverted to Faro after a man’s body odour caused passengers to vomit https://t.co/fqK5VzMsMU
— AIRLIVE (@airlivenet) 1 juin 2018
L’équipage a également tenté de vaporiser des bombes de parfum. En vain. « J’ai entendu quelqu’un dire que la puanteur était pire que celle d’un cadavre qui se décomposait depuis un mois. C’était une situation intenable », a ajouté Piet Van Haut. Le commandant de bord a alors annoncé qu’une escale allait être effectuée à Faro. Après le passage d’une équipe de nettoyage, le Boeing 737 a pu reprendre son envol.
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L’avènement du Ramadhan est, pour la Fondation de jeunes « Ness El Khir », synonyme de mobilisation renouvelée en faveur de l’action bénévole et caritative, en s’appuyant sur une « armée » de jeunes volontaires, tous mus par le don de soi, la générosité et le dévouement.
En plus de leur forte et remarquable présence, durant les deux premières semaines de ce mois sacré, dans les grandes surfaces et marchés, les « brigades » « Ness El Khir » se sont illustrées cette année par l’organisation d’une grande Kheima au niveau de la Place E Kittani à Bab El Oued, et qui se transforme à l’approche de l’heure de l’Iftar, à la faveur de l’invitation « Aji Teftar » (venez partager un Iftar), en un rendez-vous festif pour des gens de passage, des habitants du quartier, des familles démunies et nécessiteuses et parfois même pour des touristes, venus partager une expérience humaine hors du commun.
Le choix a été porté sur ce site, dira le Secrétaire général de « Ness El Khir », Mohamed Mounir Kourbi, d’accueillir les gens dans le respect des valeurs d’hospitalité ancrées dans le legs et les traditions de la société algérienne et de les recevoir en tant qu’invités et non nécessiteux.
Précisant que beaucoup de ces « invités » donnent un coup de main à l’organisation et au nettoyage aussi bien avant qu’après le Ftour, M. Kourbi a déclaré que « ces dernières années, nombreux sont les jeunes qui sont passés d' »invités » aux repas collectifs à membres actifs et cadres au sein de la Fondation ».
« Le Ramadhan est une occasion pour le renouvellement de la mobilisation en faveur de l’action bénévole et caritative, grâce aux différents projets programmés chaque année », a-t-il ajouté.
La Kheima de l’Iftar, d’une capacité de 1000 personnes, s’inscrit dans le cadre de la 8ème édition du programme spécial Ramadhan « Rana h’na » (nous sommes là), qui a trouvé un « très bon écho » auprès des différentes institutions officielles et plusieurs opérateurs économiques pour offrir des repas riches et variés préparés par un cuisinier professionnel.
Très calme la matinée, la Kheima se transforme, au fil des heures, en véritable ruche où s’activent les « brigades » avec beaucoup de professionnalisme pour accueillir, comme chaque jour depuis le début du Ramadhan « près de 900 personnes », entre sans abris, démunis, gens de passage, travailleurs des chantiers de bâtiment, étudiants, migrants de différentes nationalités africaines et arabes, et même des touristes européens, attirés par la curiosité et l’ambiance fraternelle. A tout ce monde s’ajoutent des familles qui préparent leurs repas et viennent le partager avec d’autres.
En plus un quota des repas préparés est acheminé par les bénévoles vers les catégories nécessiteuses qui ne peuvent faire le déplacement, a-t-on encore précisé.
Louée pour « environ 300 millions de centimes », dont la moitié est prise en charge par une société privée et l’autre grâce aux bienfaiteurs, la Kheima de « Ness El Khir » est approvisionnée par les dons collectés à travers les grandes surfaces et marchés de gros et même auprès des entreprises de l’agroalimentaire. Quotidiennement, 300 bénévoles sont mobilisés pour les opérations de collecte de dons, de préparation et distribution des repas et de nettoyage, et l’intervention de chaque équipe est orchestrée de manière précise et méthodique.
La Kheima de l’Iftar a reçu plusieurs personnalités nationales à l’instar du président du réseau Nada, Abderrahmane Arrar, et d’autres sont attendues comme le président de la Fondation Emir Abdelkader, le moudjahid Lakhdar Bouragaa ainsi que des figures sportives comme le sélectionneur national Rabah Madjer et l’ancien joueur Amar Amor.
Par ailleurs, la Fondation « Ness El Khir » a initié le programme « Khir Rabi » (les biens d’Allah) à travers la distribution de 5.000 couffins de plus de 7.000 DA de produits alimentaires.
Depuis le début du mois sacré, quelque 1.000 couffins ont été distribués dans les communes d’Alger alors que le reste est destiné aux différentes régions du pays à partir de trois points de distribution, à Oran, Biskra et Annaba.
Une convention signée avec la start-up de transport « Tem Tem » permet l’acheminement des dons, en utilisant une application intelligente, vers les points de ralliement.
Pour la deuxième moitié du mois, la Fondation a programmé également une opération de circoncision au profit de 200 garçons de familles démunies au niveau de la capitale et de 50 autres de chacune des quatre régions du pays alors que les préparatifs vont bon train pour l’opération de distribution de vêtements d’enfants à l’occasion de l’Aïd El Fitr.
Mettre à profit le potentiel de la jeunesse pour consacrer le professionnalisme de la société civile
Depuis sa création, il y a 8 ans, la Fondation « Ness El Khir » s’emploie à la consécration du principe de professionnalisme de la société civile à travers la promotion de son action en tant qu’acteur de la société civile, l’adoption du professionnalisme dans l’élaboration de ses programmes, la présence sur le terrain et la coordination avec les différents partenaires en matière d’humanitaire, d’environnement et de social, tout au long de l’année.
Le président de « Ness El Khir », Tarek Zerrouki, également et l’un de ses fondateurs a expliqué que tout a commencé par un groupe de jeunes sur les réseaux sociaux, dont la première action de solidarité a été l’affaire de la vieille dame « El-Hadja Rahma » de la wilaya de Laghouat, et dont le nom est désormais celui du programme humanitaire de la Fondation.
Suite à l’écho de cette affaire, les jeunes ont convenu de poursuivre leur action de solidarité sous l’appellation de « Ness El Khir », puisé dans le legs social, avec un slogan, un organigramme et un programme d’action pour 2010, a-t-il ajouté rappelant que la première action d’envergure a été l’opération de volontariat pour le nettoyage des plages tout le long du littoral national, à la faveur de « Blue Day » (la journée bleue).
S’appuyant sur la Constitution qui stipule que le bénévolat est un droit consacré par la loi, « Ness El Khir » est devenue en 2016 une Fondation légale à caractère caritatif et a gagné en professionnalisme. Désormais, son action fait appel au sponsoring et au partenariat avec des opérateurs économiques.
Constituée d’une Direction générale chapotant sept Sous-directions animées par des groupes de travail spécialisés qui se réunissent périodiquement au nouveau siège social à Ben Aknoun, la Fondation compte trois programmes d’action, à savoir humanitaire « Rahma », de protection de l’environnement « Blue Day » et social « Chaabi ». Des programmes qui traduisent sa ligne de conduite et constituent le cadre général pour tout bénévole désirant rejoindre le Fondation, qui dit « se démarquer de toute personne activant en dehors de ce cadre ».
S’appuyant largement sur les réseaux sociaux, « Ness El Khir » possède 48 pages web à travers l’ensemble du territoire national et compte plus d’un (1) million de bénévoles et d’adhérents, dont 90% âgés entre 15 et 35 ans.
Après le mois de Ramadhan, la Fondation, très active tout au long de l’année, lancera l’opération « Blue Day » et des actions sont d’ores et déjà en préparation en prévision de la prochaine rentrée sociale et de l’Aïd Al-Adha.
Les responsables de « Ness El Khir » souhaitent impliquer les jeunes cadres au sein d’instances officielles de la société civile dans l’élaboration d’une vision et d’une stratégie d’avenir pour promouvoir les différents secteurs dans le pays, bénéficier de plus de facilités au niveau administratif et voir les entreprises publiques s’engager davantage dans leurs actions. Ils ont affirmé œuvrer à mettre leurs actions de bénévolat à l’abri de toute instrumentalisation politique, soutenant que « l’Algérie est leur seule et unique appartenance ».
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L’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.
L’État algérien a consenti beaucoup d’efforts en matière de promotion et de protection de l’enfant, à se fier à l’organisation non-gouvernementale (ONG) britannique Save the Children (sauvez les enfants), qui a publié, ce week-end, son rapport mondial intitulé “Les multiples visages de l’exclusion” qui a touché 175 pays. Ce document rendu public à l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance a, en effet, classé l’Algérie à la 65e place en termes de prise en charge des besoins de l’enfant, notamment la nutrition, la lutte contre la violence, l’éducation, l’intégration et l’épanouissement.
Selon ledit rapport, l’Algérie est classée parmi les pays où les enfants sont le moins confrontés aux risques, affirmant que “plus de 1,2 milliard d’enfants dans le monde, soit plus d’un sur deux enfants, notamment en Afrique, sont menacés par la pauvreté, la discrimination ou encore les conflits, d’une part, et que 240 millions d’enfants vivent dans des pays en guerre”. Et si le Singapour et la Slovénie sont les deux pays les mieux classés, devant la Norvège, la Suède et la Finlande, cette ONG déplore, encore une fois, que le bas du tableau soit toujours occupé par 10 pays du continent noir, dont le Niger classé à la 175e et dernière position. Cela étant dit, les grandes puissances, à l’image des États-Unis (36e place), la Russie (37e place) et la Chine (40e place) arrivent derrière tous les pays d’Europe occidentale dans ce classement, malgré, précise l’ONG, “leur puissance économique, militaire et technologique”. Autre source de violence qui épargne l’Algérie, mais qui touche 20 pays dans le monde, comme la Somalie, l’Afghanistan, le Yémen ou le Soudan du Sud, “les préjugés sexistes qui touchent 575 millions de filles”. Face à cette situation dégradante, Save the Children a interpellé les gouvernements du monde à faire preuve de diligence et à mener “une action urgente (…) sans cela, les promesses faites par tous les pays à l’ONU en 2015 de permettre à chaque enfant de vivre, d’apprendre et d’être protégé ne seront pas tenues”.
En ce sens, l’Algérie poursuit actuellement ses efforts pour le parachèvement de la promulgation des textes d’application issus de la loi 12-15 du 15 juillet 2015, relative à la protection de l’enfant, notamment les aspects qui devront régir les centres de protection des enfants en détresse et les services d’action éducative en milieu ouvert pour renforcer la protection et la promotion de l’enfance. L’objectif est d’arriver à instaurer durablement d’un nouveau plan d’action national sur la protection de l’enfant et son bien-être, le gouvernement algérien est tenu de garantir la protection des droits des enfants sans famille et d’épargner cette frange vulnérable de la déperdition scolaire, des exploitations abusives sur le marché informel et la contrebande, des fléaux sociaux et des phénomènes émergents sur le cyberespace.
Si les chiffres avancés par les pouvoirs publics et ceux avancés par la société civile diffèrent, il n’en demeure pas moins que l’Algérie a encore du chemin à faire quand on sait que plus de 64 000 enfants sont nés sous X et que l’exploitation sur le marché noir touche plus de 200 000 enfants âgés entre 6 et 18 ans. La déperdition scolaire étant un facteur majeur de cet état de fait déplorable, l’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.
En milieu rural, la situation est encore plus inquiétante. Raison pour laquelle il a été créé une Délégation nationale pour la protection de l’enfant, rattachée au Premier ministère, le lancement par la Sûreté nationale de 50 cellules d’écoute et de prise en charge des enfants en danger et la création de brigades de prise en charge des mineurs dans chaque wilaya par la Gendarmerie nationale.
FARID BELGACEM
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Lors de sa visite de travail dans la wilaya de Boumerdès, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a exhorté ses collaborateurs à faire des efforts nécessaires pour réaliser le programme de reconversion de 500 000 véhicules en sirghaz avant la fin de l’année 2021.
Il a, par ailleurs, donné instruction pour que désormais tout projet d’installation d’une nouvelle station de services, un atelier de reconversion soit également concrétisé. «A partir de Boumerdès, je vous le dis, dorénavant, vous mentionnerez obligatoirement dans le cahier des charges de chaque projet de construction de stations-services l’obligation d’ouvrir un atelier de reconversion de véhicules en sirghaz.»
C’est l’instruction qui a été adressée au DG de Naftal lors de l’inauguration d’une station de services au niveau de Seghirat sur la RN24.
Le ministre n’a pas manqué de rappeler que l’Etat finance une partie de cette reconversion. Sur la disponibilité régulière de ce carburant — ce n’est, en effet, pas toutes les stations de services qui disposent de distributeurs — le ministre n’a pas pris d’engagement mais a promis de faire plus d’efforts pour rendre sirghaz disponible partout.
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L’ambassade d’Algérie à Bruxelles a dénoncé vendredi le « détournement inacceptable » de symboles de l’Union européenne (UE) et du siège du Parlement européen pour « attenter à l’honneur et à la dignité des institutions » algériennes.
« A la suite de la publication, par une pseudo journaliste d’origine algérienne, d’une vidéo offensante attentant à l’honneur et à la dignité des institutions de la République algérienne, l’ambassade a effectué ce jour des démarches officielles pressantes auprès des responsables de différentes instances de l’Union européenne (…) pour dénoncer énergiquement le détournement inacceptable des symboles de l’UE et de l’espace réservé par le Parlement européen aux journalistes professionnels », a indiqué l’ambassade d’Algérie à Bruxelles dans un communiqué.
La représentation diplomatique de l’Algérie à Bruxelles a regretté que des symboles de l’UE et un siège de l’une de ses institutions aient « servi de cadre à cette misérable mise en scène qui rentre dans le cadre de ‘la feuille de route’ de cet agent invétéré de la subversion et de la sédition ».
Rappelant que cette ancienne correspondante de l’ENTV à Bruxelles a été congédiée à cause de son « incivisme » et de son « comportement bipolaire », l’ambassade d’Algérie à Bruxelles a déploré l’attitude de cette « pseudo-journaliste » qui a mis « servilement sa voix et sa plume mercenaires au service de puissances étrangères hostiles à l’Algérie ».
« Dans sa litanie de contrevérités suintant l’aigreur et la frustration, cette ancienne correspondante de l’ENTV à Bruxelles (…) a choisi, pour des considérations purement mercantiles et opportunistes, de vomir sa haine de l’Algérie, ses symboles et ses institutions », a-t-on ajouté.
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Algérie 2–3 Cap Vert (Terminé)
Stade : 5 juillet 1962 (Alger)
Affluence: faible
Buts : Bensebaini (5′), Bounedjah (29′) (Algérie), Gomes (13′), Ricardo (67′), Carlos Tavares (72′) (Cap Vert)
Arbitres: Mohamed Maaro Aid Mansour, Sami Gamal Saad Mohamed, Youcef ouahid youcef el bosati (Egypte)
Algérie: Chaouchi, Belkhiter, Mandi, Chafaï, Bensebaini, Ferhat, Bentaleb, Brahimi, Mahrez, Bounedjah, Soudani
Entraîneur: Madjer
Cap-Vert : Dias, Tavares Carlos, Pereira, Rodrigues, De Almeida, Lima Mailson, Elvis Marcedo, Tavares, Nuno Miguel Rocha, Gomes, Mendes.
Entraîneur: Rui Aguas
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A l’approche de l’ouverture de la saison estivale, la wilaya de Mostaganem va être dotée de 44 camps d’été d’une capacité globale de 18000 lits a-t-on appris auprès de la direction du tourisme et de l’artisanat.
En effet, la directrice du Tourisme et de l’Artisanat de la wilaya de Mostaganem Mme Hayat Maameri a déclaré que les mesures de concession concernant l’ouverture et l’aménagement de ces camps d’été sont en phase avancée de réalisation, notamment à Sidi Lakhdar qui compte plus de 15 camps’’. Ces camps d’été, qui s’ajoutent à six autres d’une capacité de 1 750 lits, permettront cette année l’accueil d’un grand nombre de familles et estivants dans des conditions propices et à des prix raisonnables, a-t-elle poursuivi. Ces structures permettront cet été d’augmenter la capacité d’accueil de la wilaya de Mostaganem à 28.000 lits, dont 4 800 au niveau des hôtels, résidences et complexes touristiques et 5 200 aux centres de vacances, auberges de jeunes et établissements de solidarité, a-t-elle ajouté. Par ailleurs, plus de 750 millions de DA ont été débloqués pour l’aménagement des espaces verts, revêtement des routes, réalisation de clôture pour le camp d’été et l’acquisition de matériel de nettoyage des plages. Parallèlement à ces projets, la concession est accordée pour la création de 5 forêts de divertissement et de repos en plus de l’équipement de 28 espaces au sein des forêts pour encourager le tourisme de montagne, a encore révélé Mme Maameri. Le wali de Mostaganem, M.Mohamed Abdennour Rabhi, a insisté de son côté lors de sa visite d’inspection des projets relevant du secteur du tourisme, sur la réception dans les délais impartis des camps réalisés à Bahara (commune d’Ouled Boughalem) et Ain Brahim (Sidi Lakhdar), ainsi que ceux des communes de Benadelmalek Ramdane, Ouréah (Mazagran) et Mactaa (Fornaka). Les responsables locaux ont été instruits par M.Mohamed Abdennour Rabhi, d’aménager des espaces boisés proches des plages, qui enregistrent en été une forte présence des familles et des estivants de la wilaya et d’autres régions. Pour rappel, la wilaya de Mostaganem a enregistré la saison estivale écoulée (2017), une affluence record d’estivants au niveau des 34 plages autorisées à la baignade avec plus de 16,5 millions d’estivants par rapport à 2016 qui a enregistrée une affluence de 11 millions d’estivants.The post Saison estivale a Mostaganém : Réception de 44 camps d’été prochainement appeared first on .
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