Par Wahida BAHRI .
Le shour en bord de mer, balades et discussions interminables tout le long de la corniche caractérisent les soirées des Annabis.
Jadis vécu dans la pure tradition, le mois du jeûne s’offre une petite escapade dans le monde du modernisme, avec les veillées ramadhanesques loin du carcan d’antan où, «essahra» à la maison était la tradition des familles annabies. Depuis quelques années les coutumes et traditions du mois de Ramadhan ont quelque peu évolué, pour ne pas dire changé à la faveur de nouvelles habitudes adoptées par les jeûneurs. C’est le cas de le dire pour Annaba où, en dépit de la conservation jalouse des rites et traditions du mois de Ramadhan, il y a tout de même ces inhabituels comportements intrus au «processus» ramadhanesque, le shour en bord de mer entre autres.
Le bord de mer, un restaurant grandeur nature.
Ainsi, au niveau de la plage Saint-Cloud ou Chapuis ou Aïn Achir, des familles entières avec leurs enfants, des couples et des groupes d’amis se réunissent tous les soirs pratiquement, autour de tables du shour improvisées. Le Front de mer attire de plus en plus de monde. Des jeunes, des moins jeunes et des enfants investissent, en effet, les lieux, une heure environ après le ftour. Les adultes sont chargés de glacières et de couffins de pique-nique où les mets sont gardés au chaud ou au froid. Pendant que ces derniers préparent la table dans une ambiance joyeuse, les enfants jouent au ballon ou sur le sable. Une fois les mets et les couverts disposés sur les tables, les adultes prennent place en papotant gaiement tout en admirant le va-et-vient des vagues. Vu que l’éclairage public n’éclaire pas suffisamment la plage, certains allument des bougies, les mettant dans des verres pour abriter les flammes du vent. Une ambiance très intime et chaleureuse enveloppe les jeûneurs, à peine perturbée par les cris excités des enfants. Au moment du shour, le cliquètement des couverts et les brouhahas ajoutent une note d’intimité. Une fois rassasiés, des groupes se constituent pour débarrasser les lieux avant de prendre un bon café chaud, et enfin reprendre le chemin du retour à la maison. En cours de route, on prend soin de ne pas oublier la dernière gorgée d’eau avant le dernier Adhan. Du Vidro jusqu’au cap de Garde, l’ambiance est de tous les instants. Des parties de jeux de société sont organisées, ici et là, par certains, tandis que d’autres se contentent de discuter en sirotant du thé et en fumant le narguilé. A quelques heures du shor, les jeunes, venus en groupe, préparent un barbecue à la plage pour préparer grillades et brochettes. L’odeur alléchante de la viande envahit aussitôt la plage. Assis parfois à même le sable, ils savourent tranquillement leur viande en profitant de la fraîcheur et des derniers moments de la nuit. Les trépidations de la vie nocturne se font sentir dans toutes les rues de Annaba, le centre-ville, notamment.
Après les premières heures du ftour, le majestueux Cours de la révolution, place emblématique de la ville des Jujubes, doté d’un nouveau look, fait le plein juste après la prière des «tarawih». Ses terrasses qui ont changé de décor et de commodités, sont investies par un public à la recherche de détente et de repos après une journée de jeûne. Les autres sites de la Coquette sont, eux aussi, animés. Les commerces activent sous l’oeil vigilant des services de sécurité, dont les éléments se confondent avec la foule, tel un caméléon qui change de couleur selon les circonstances. Leur présence assure la sécurité et la quiétude des veillées du mois de Ramadhan. Un mois qui semble remonter dans le temps pour transporter la ville des Jujubes vers un jadis pas aussi lointain.
Un passé où les veillées ramadhanesques de Annaba étaient renommées, avec les soirées de Aïssaouia et Hadra. Des soirées de psalmodies et de madaïh coraniques, entre autres traditions et rites du mois sacré.
Bien que ces dernières affichent un retour en force au sein de la société annabie, il demeure toutefois, que les nouveautés tentent de se frayer une place au sein de ces comportements des Annabis, comme la chicha. La chicha, a fini par s’incruster dans la société algérienne, à Annaba notamment où elle fait de plus en plus d’émules. En effet, le narguilé gagne chaque jour de nouveaux adeptes parmi les jeunes Annabis. Les fumeurs de la pipe à eau affirment que «c’est une source de plaisir et de détente». A Annaba, les soirées exclusives sont réservées à la «qaâda à la chicha» arrosées de café et de thé à la menthe, accompagnées de fruits secs, amandes et pistaches entre autres. L’usage de la chicha est presque général, mais un peu plus durant le mois sacré. En bord de mer, dans les salons de thé et café et même en bas des immeubles, les groupes de fumeurs du narguilé se partagent le plaisir de fumer la chicha entre amis. Ils se rassemblent autour d’une partie de cartes ou de dominos pour profiter des veillées du mois de Ramadhan, jusqu’au shour.
Le cas est le même dans les autres villes satellites de la métropole Annaba. El Hadjar, El Bouni, Sidi Amar et Berrahal entre autres, où la même ambiance est observée.
Le narguilé pour égayer les soirées ramadhanesques
Si pour certains habitants de ces localités, la Corniche est la destination familiale par excellence, pour d’autres, les adeptes des places et placettes publiques, celles-ci demeurent le point d’atterrissage pour converser du tout et de rien entre amis et copains du quartier. C’est pour dire que l’ambiance ramadhanesque est la même dans toute la wilaya de Annaba, où les veillées se poursuivent dans le calme. Ainsi Annaba by night in Ramadhan, observe des soirées exceptionnelles et spécifiques que l’on ne trouve nulle part ailleurs.
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Par Walid AÏT SAÏD.
La monotonie du Ramadhan vous ennuie? Pas de panique, on vous fait découvrir deux expériences qui vous feront voir le Ramadhan d’une autre façon, tout en gardant ses traditions. Appréciez-plutôt!
Les deux premières semaines du Ramadhan se sont écoulées, la chorba et le bourek vous sortent du nez, la routine commence doucement, mais sûrement à s’installer! Comment faire pour casser cette monotonie? Certains ont trouvé la solution en faisant de leur ftour une aventure…et pas seulement culinaire! C’est le cas de Sami et sa bande d’amis. Ces Algérois ont «enfourché» leur véhicule pour un ftour à 1478 m d’altitude! 146 km et deux heures de route, plus tard, ils arrivent à leur «restaurant» du soir qui n’est autre que le Parc national deTikjda. Comme le faisaient leurs ancêtres, il y a quelques siècles, ces citadins ont décidé de rompre le jeûne en pleine forêt, sous un feu de camp qui illumine leur belle soirée. Un campement de fortune y est ainsi installé. Ils commencent par ce qu’ils qualifient d’élément essentiel pour la réussite de leur soirée, à savoir un grand sac-poubelle où ils verseront leurs détritus ainsi que ceux des «campeurs» qui sont passés avant en faisant preuve d’incivilité. «On est venu se réconcilier avec la nature, pas l’agresser…», souligne Sami, avec philosophie. Après, cette étape primordiale commence le partage des tâches. Les hommes vont chercher du bois, pendant que les femmes s’occupent de préparer la cuisine. Plus d’une heure après, les apprentis «bûcherons» reviennent chargés de bois. «C’est du bois mort, on ne touche pas aux arbres», soulignent avec un large sourire les membres du groupe qui s’apprêtaient à «élever» cette flamme «ramadhanesque». Une belle braise reluit soudainement, sous un tonnerre d’applaudissements. L’élément incontournable du camping est là, on peut alors piquer un petit somme en attendant l’Adhan du maghreb. «Que demander de plus. On n’est pas au paradis là? Loin du bruit de la ville, de la pollution. Rien que cette petite sieste vaut de l’or. C’est un véritable moment de plaisir, où l’on se ressource. Un petit quart d’heure, et on est prêt pour affronter toute une autre journée», lance avec des yeux qui brillent, Youba, un autre membre du groupe. Aux alentours de 19h30, les campeurs du Ramadhan, se lèvent les uns après les autres, direction la source d’eau pour se laver le visage et remplir les bouteilles qui étancheront leur soif, pas celle de l’aventure…
Une randonnée pour bien digérer
Il est un peu plus de 20 h, quand les réveils commencent à sonner. C’est l’heure de l’iftar. On réchauffe les bons petits plats sur ce magnifique feu, dont la beauté s’accentue au rythme de la nuit! On mange à même le sol, autour du feu, on se raconte des blagues, on se rappelle des bons moments de la journée en dégustant une chorba qui n’a pas incontestablement le même goût que d’habitude. «C’est notre nourriture, c’est nous qui avons l’habitude de la préparer. On n’a rien changé aux recettes, mais je vous assure que le goût est complètement différent. Ce magnifique panorama nous fait apprécier autrement la nourriture…», assurent les cuisinières attitrées du groupe. Après ce bon moment de dégustation, il faut maintenant digérer! Quoi de mieux qu’une randonnée? Oui, oui vous avez bien entendu, une randonnée nocturne dans les montagnes du Djurdjura, et ce, en toute sécurité. «Un peu de sport ça ne fait pas de mal! On va à la rencontre de Dame nature qui est toute en beauté sous le ciel étoilé», précisent ces jeunes qui refusent d’aller perdre leur temps dans le café du coin. Sami et ses amis ne sont pas les seuls à avoir opté pour ce ftour des plus ludiques. D’ autres petits groupes, venant de plusieurs wilayas du pays ont fait de même. Néanmoins, ce ftour «forestier» reste minime par rapport à la tendance du ftour maritime! En effet, le déjeuner en bord de mer est une tendance qui est apparue ces dernières années avec le Ramadhan en plein été. Malgré, le fait que cette année il n’a pas fait aussi chaud que d’habitude, l’iftar en bord de mer est toujours aussi à la mode. C’est le cas des plages les Canadiennes et Déca -plage à Aïn Taya (côte est d’Alger) qui se transforment en véritables restaurants à ciel ouvert. On trouve de grandes tables dressées comme dans des restaurants étoilés. Elles sont occupées par les familles, des groupes d’amis ou des couples.
Ambiance et sécurité assurées
Les jeunes du quartier qui tiennent le parking proposent des chaises et des tables à louer: 800 dinars la table avec ses quatre chaises.
«Cela peut paraître cher, mais ce prix nous permet d’être tranquille. Car, ces jeunes sont aussi là pour assurer la sécurité», confie Zakaria, un père de famille accompagné de sa femme Narimane et de leurs deux enfants. C’est parfait de ce côté-là, tout comme pour l’éclairage! Une ambiance bon enfant règne au niveau de ces restaurants d’un autre genre. Pendant que les parents s’affairent à préparer la table, les petits en profitent pour aller piquer une tête. «Un bon bol d’air frais, des vagues qui bercent notre fftour, le tout dans une ambiance extraordinaire. Que demande le peuple?» se réjouit Linda, toute heureuse de pouvoir profiter du sable fin doré et de l’eau cristalline de cette magnifique plage des Canadiennes. Le soleil, se couche. El Adhan retentit, certains vont faire la prière alors que d’autres attaquent directement leurs assiettes. «C’est la troisième fois que l’on vient avec ma petite famille, je ne suis jamais déçue», assure Lamia qui s’affairait à chercher un peu de sel à remettre à la famille qui se trouvait à la table voisine. Car, les valeurs du Ramadhan que sont la convivialité, le partage et la bonne ambiance sont au rendez-vous. On échange des denrées qui manquent, on discute, on rigole, le tout dans une ambiance des plus conviviales. Il y a un respect total entre tous les amoureux du ftour maritime et ce quelle que soit leur idéologie. On est face à un vrai modèle du bien-vivre ensemble. Les djellaba font face aux maillots de bain. Certains vont piquer une tête, pendant que d’autres choisissent de préparer la table de la «sahra», où ils s’adonnent à des parties de dominos à même le sable, assorties de «moukasirate» (amuse-gueule), comme ils aiment les appeler. Outre les cacahuètes, il y a aussi la fameuse «chicha» et sa douce odeur que l’air marin colporte à travers la plage. Le temps passe, le shour arrive! Certains sont déjà rentrés chez eux, d’autres ont carrément choisi de continuer leur sahra jusqu’au bout de la nuit! Il y en a même qui ont opté pour des grillades nocturnes. Ils allument leur barbecue pour s’offrir un bon «chewa» en guise de shour. C’est ce que l’on peut appeler un Ramadhan pas comme les autres. Alors n’hésitez pas à «plonger» dans cette expérience…
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La ministre de la Poste et des Technologies de l’Information a déclaré, mercredi, que les réseaux sociaux, notamment Facebook, seront systématiquement bloqués pendant la première heure de chaque épreuve du baccalauréat.
S’exprimant en marge d’une visite officielle à Mila, Imane-Houda Faraoun a expliqué que cette mesure préventive s’inscrit dans le cadre du dispositif de sécurisation de l’examen du bac, en l’occurrence empêcher la publication des sujets sur Facebook. Ce dispositif, qui consiste à verrouiller les réseaux sociaux pendant la première heure de chaque examen, a montré cette année son efficacité, tant pour l’examen de cycle primaire que pour le BEM, puisque les épreuves n’étaient accessibles sur Facebook qu’après consommation d’une bonne partie du temps de l’épreuve.
Et du coup rendant vaine toute tentative de fraude. Conséquence de la décision de la ministre annoncée aujourd’hui à Mila : des désagréments inéluctables pour les accro des réseaux sociaux durant tout la période de l’examen du bac, qui va du 19 au 24 juin.Par ailleurs, l’Association nationale des parents d’élèves vient de renouveler son appel aux candidats en leur conseillant de se « concentrer sur leurs révisions et de ne pas se laisser distraire par des faux sujets qui seraient éventuellement publiés sur les réseaux sociaux ».
Par : RAHIMA RAHMOUNIThe post Examen du bac: Facebook sera « bloqué » appeared first on .
Par Tahar Mansour,
La circulation automobile dense en certaines heures de la journée et l’impatience d’automobilistes pressés d’arriver chez eux entraînent souvent des disputes qui peuvent se terminer par des drames. C’est ce qui est arrivé avant-hier sur le CW reliant Soumaa à Boufarik quand une altercation s’est produite entre deux conducteurs de véhicule et l’un d’eux se dirigea alors vers son adversaire pour lui porter des coups de couteau.Les témoins de la scène ont appelé le 1055 et une patrouille de la brigade de gendarmerie de Boufarik s’est rendue sur les lieux où gisait la victime dans son sang. Une enquête a été aussitôt diligentée qui a permis l’identification et l’arrestation du principal suspect ainsi que ses deux complices. Les trois mis en cause ont été présentés aux autorités judiciaires compétentes sous les chefs d’inculpation de constitution d’association de malfaiteurs et assassinat.
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Par Rachid Boutlelis,
Le projet des 500 logements sociaux de Aïn El Turck est en phase d’achèvement, a-t-on appris hier de sources proches de la commune. Un quota qui devrait atténuer un tant soit peu le problème du logement dans cette contrée. Toutefois, ces 500 unités ne pourront pas répondre à la forte demande de la population de Aïn El Turck. Nos sources indiquent que pas moins de 4.000 demandeurs attendent l’attribution d’un logement, certains depuis plus d’une décennie. Il est fort probable que la faible offre du quota de logements sociaux, face à la forte demande, constituera en toute vraisemblance un véritable casse-tête pour les responsables locaux. En effet, la demande s’amplifie encore au gré des familles sinistrées, venues de différentes régions du pays, notamment de l’Oranie, qui se sont installées dans les bidonvilles, essaimés à travers la contrée côtière d’Aïn El Turck et dont les plus importants sont répertoriés dans le chef-lieu.Le projet de réalisation d’une cité de 500 logements sociaux, dont les travaux ont été confiés à une entreprise chinoise, situé juste en face de l’entrée principale du village Filaoucène, communément appelé El Qaria, à la sortie ouest de la municipalité d’Aïn El Turck et dépendant administrativement de celle de Bousfer, ne sera vraisemblablement pas en mesure de satisfaire la demande considérable des familles postulantes. Cette éventualité, proche de la réalité, à travers le fait qu’un peu plus de 900 familles sinistrées, composant la population du bidonville Oued Namousse, en référence à une rivière desséchée, longeant ledit village, et auxquelles sont destinés, en principe, ces 500 logements sociaux.
Même constat pour les 250 logements sociaux dans le quartier Bahia, à mi-chemin du village de Cap Falcon où est répertorié un immense regroupement de constructions illicites, bordant la façade maritime, qui ne cesse de grossir au fil des jours, et, dont les familles occupantes attendent légitimement en toute évidence un hypothétique relogement. Il importe de signaler dans cette même optique qu’un choix de terrain a été établi récemment par la wilaya d’Oran, non loin du village de Cap Falcon, pour le lancement incessamment des travaux de réalisation d’un projet de 1.500 logements, de formule AADL. Toujours est-il qu’en toute vraisemblance l’opération de distribution du logement social ne sera pas une mission de tout repos dans ladite contrée, qui est confrontée à une démographie galopante depuis les deux dernières décennies.
Il faut signaler qu’outre les habitants des bidonvilles et les demandeurs de logement ayant déposé des dossiers il y-a plusieurs années, de nombreuses familles squattent des biens communaux notamment le théâtre de verdure de Trouville et des centres de colonies de vacances. Des familles qu’il faudrait aussi reloger pour permettre a la municipalité de récupérer ses biens. Pour cela, la daïra de Ain El Turck a un besoin pressant de nouveaux programmes de logement a même de prendre en charge une partie des demandeurs, dont certains attendent un logement depuis plusieurs années.
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Par A. Mallem,
Selon le chef du Bureau régional de la Communication et des Relations publiques, l’inspecteur divisionnaire de police de l’Est, Rachid Baaili, le taux de criminalité a baissé de 20 % dans les 15 wilayas de l’Est, durant les 15 premiers jours du Ramadan, par rapport à la même période de l’année passée. Il en est de même en ce qui concerne les accidents de la circulation dont le nombre enregistré a été de 144, dégâts corporels et dégâts matériels confondus où l’on a comptabilisé 3 morts. L’année passée, toujours à la même période du Ramadan, les services de police de la circulation de la région Est ont compté pas moins de 14 morts. « A titre indicatif et pour la wilaya de Constantine, a souligné M. Baaili, nous avons enregistrés 5 accidents qui n’ont pas occasionné de perte humaine, mais ont fait uniquement 4 blessés, 2 femmes et 2 hommes, et des dégâts matériels ». Et de faire remarquer que ces accidents se comptent pour ceux intervenus dans la circonscription dévolue à la police, en exclusion des accidents survenus dans celle couverte par la gendarmerie nationale.Dans une conférence de presse qu’il a animée, hier, au siège de l’Inspection régionale de la police de l’Est, située à la zone industrielle Boussouf, cet officier de police a communiqué le bilan des activités de la police de la région, réalisé durant les 15 premiers jours du Ramadan, en les insérant dans 4 domaines principaux : les dispositions prises pour sécuriser directement le mois de Ramadan, à l’Est, qui a nécessité la réquisition de 26.000 fonctionnaires de police. Ceci en plus d’une force d’appoint évaluée à 14.226 fonctionnaires de police. Les repas chauds servis aux voyageurs de passage au niveau des barrages et autres points de la circulation routière et dans les salles d’attente des centres de transit et ce, en collaboration avec les Scouts, l’Association Sécurité routière’, le Croissant-Rouge algérien et d’autres partenaires, et dont le nombre est monté à 3.119 repas, y compris aux postes frontaliers. « L’objectif principal visé par cette initiative de la DGSN est de diminuer les accidents de la circulation, durant cette période de pointe, précédant le f’tour’ où les conducteurs sont pressés et ont tendance à faire de la vitesse», a souligné M. Baaili. Ce dernier a parlé, aussi, des mesures prises par la direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) pour sécuriser les examens de fin d’année dans la région Est (6ème , BEM et BAC), opération qui a nécessité la réquisition d’une force constituée de 22.610 agents de police, répartis sur 3.474 centres d’examens, dans la circonscription couverte par la Sûreté nationale.
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L’abondance des pluies reste un élément déterminant dans les rendements de cette année.
En prévision de la campagne moissons-battage, la direction des services agricoles de Bouira et ses divers partenaires s’attellent à mettre en place le dispositif matériel et humain inhérent à cette opération saisonnière. Cet évènement est majeur pour la wilaya de Bouira dont la culture céréalière reste une activité dominante avec une couverture avoisinant les 37% de la surface agricole utile (SAU) et qui correspond à 70.000 ha. Pour rappel, la campagne labours -semailles pour l’exercice 2018 se résume à une surface emblavée totale de 65.695 ha et un programme de multiplication de l’ordre de 8 191 ha. 516 agriculteurs ont bénéficié du crédit Rfig dont le montant accordé s’élève à 420.000.000 DA. Concernant les semences et selon les chiffres de la DAS, 58 434 quintaux de blé dur des variétés: chene’s, simito et amar06 ont été livrés. Pour le blé dur, des variétés Arz et Aïn Abid, 5509 quintaux, 12.607 q d’orge Rihane et Saïda en plus de 414 q d’avoine.
L’abondance des pluies reste un élément déterminant dans les rendements de cette année. La wilaya a enregistré du mois de septembre 2017 au 20 mai 2018 une pluviométrie de 498 mm en 86 jours. Au mois de septembre, octobre et novembre, 124 mm sont tombés en moins de 11 jours, une pluie qui a favorisé les travaux du sol. A la période de germination, au mois de janvier il était tombé encore 86 mm. La période printanière qui coïncide avec le stade de tallage et le début de montaison a été favorisée par les mois de février et mars très humides avec une pluviométrie de 157 mm en 31 jours. Les mois d’avril et mai seront aussi suffisamment humides avec 129,3 mm, une eau aux incidences favorable aux céréales surtout que ces pluies coïncident avec le début de la formation du grain pour l’orge et les blés semés précocement. Cette abondance d’eau ne pouvait être sans incidence sur les récoltes. Dans le cadre des opérations d’entretien, deux opérations de désherbage et de fertilisation sont menées à la mi-janvier. Ainsi pour la première action, pas moins de 39 489 ha ont été ciblés et 43 410 ha sont touchés par la fertilisation. Toujours dans l’optique d’un meilleur rendement les agriculteurs de la wilaya ont eu droit à 26 journées de vulgarisation et de sensibilisation organisées en étroite collaboration avec les firmes Bayer, Syngenta, Profert. Les conditions climatiques actuelles sont en faveur des céréales et aucun incident pathologique n’a été enregistré par le comité de veille phytosanitaire installé dans ce sens, qui est encadré par les services de la DSA en étroite collaboration avec les instituts techniques à savoir l’Itcg de Beni Slimane, Inpv de Draâ Ben Khedda et la Ccls de Bouira.
Les préparatifs pour la campagne moissons-battage sont entamées depuis le mois de mars dernier avec la mise en place du comité technique chargé du suivi et de l’évaluation et qui regroupe la DSA,CAW, Ccls, Crma, Protection civile, la Conservation des forêts… Ces dispositions concernent aussi l’installation du guichet unique qui se chargera du paiement des productions et la mise en place des circuits de livraison. Une journée d’étude est prévue aujourd’hui le 6 juin et portera sur les dispositions à prendre en compte dans la préparation du matériel, moissonneuses, citernes, tracteurs, camions… et surtout sur la nécessité de raccourcir au maximum l’opération de récolte. Pour les besoins de cette campagne, les services en charge ont prévu 3 549 tracteurs, 267 moissonneuses-batteuses, 1763 remorques et 1328 citernes. Pour le volet stockage, les capacités de la coopérative de Bouira et ses antennes de Sour El Ghozlane et de Aïn Bessem sont de l’ordre de 978.000 q. Un nouveau point de collecte d’une capacité de 3000 q est prévu à Taguedit à l’extrême sud de la wilaya. Les prévisions de récolte tablent sur une production de 1.273.825 quintaux de blé dur, 183.410 q de blé tendre, 366 028 q d’orge et 25.312 q d’avoine. Le rendement à l’hectare tourne autour de 29 q/ ha pour le blé dur et 31 q/ha pour le blé tendre.
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Le prestigieux programme de bourses d’Excellence Eiffel a sélectionné 5 étudiants algériens pour la rentrée 2018/2019, parmi les 1 584 dossiers évalués dans le monde entier.
Le programme de bourses Eiffel est un outil développé par le Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères afin de permettre aux établissements français d’enseignement supérieur d’accueillir les meilleurs étudiants étrangers dans des formations diplômantes de niveau master et doctorat. Ce programme de prestige récompense les étudiants internationaux présentés par l’établissement français où ils poursuivront leurs études, et retenus par un jury d’experts. Il permet de former les futurs décideurs étrangers des secteurs privé et public, dans les domaines d’études prioritaires, et de stimuler les candidatures d’étudiants originaires de pays émergents.
Cinq brillants candidats algériens se sont distingués pour la rentrée 2018 !
Trois doctorants algériens ont bénéficié de cette bourse et effectueront leur thèse dans les universités françaises (Université Paul Sabatier Toulouse, Université Savoie Mont-Blanc Chambéry, Université de Technologie de Troyes). Deux autres étudiants ont obtenu une bourse de Master en « Sciences de l’Ingénieur » et « Economie et Gestion ». Ils rejoindront respectivement l’Université Paris-Sud et l’Université Paris-Dauphine.
Les lauréats Eiffel perçoivent une bourse annuelle équivalente à 20 000 euros (2 500 000 DA) comprenant une allocation mensuelle, (1 181 euros pour un niveau master, 1 400 euros pour un niveau doctorat). Ils bénéficient également de la prise en charge directe de plusieurs prestations (voyage aller/retour, couverture médicale et activités culturelles) et de l’allocation logement.
L’Institut Français d’Algérie et Campus France Algérie les félicitent et leur souhaitent une belle réussite dans leurs études et leurs futurs travaux de recherche. Le réseau France Alumni Algérie sera fier de les compter parmi ses membres !
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Le système de «permanence» mériterait d’être revu dans beaucoup de secteurs de la vie économique.
Si d’aucuns se félicitent et se réjouissent de la disponibilité des transports publics en cette période de Ramadhan, le jour et tard le soir après l’iftar, ceux qui doivent emprunter un transport public ou privé à l’approche du ftour ne sont pas hélas de cet avis.
Malgré les efforts déployés par les entreprises de transport public urbain des grandes villes, qui ont rendu le transport des voyageurs plus fluide et plus satisfaisant, des carences persistent cependant et sont difficiles à corriger. En effet, pouvoir prendre un bus de transport public, encore moins un bus privé, à l’approche de la rupture du jeûne est une gageure dont nombre de citadins ont pâti. Souvent, ces malchanceux, se rabattent alors sur les taxis, encore s’ils daignent s’arrêter et s’ils vont dans la même direction que l’usager demande!
Que faire dans ces cas-là? Nombre d’entre eux n’ont de choix autre que de se rendre dans un restaurant «proche» et y trouver place, car les tables sont occupées souvent une quinzaine de minutes, si ce n’est plus, avant l’iftar. Ils auront alors le choix de se rendre à un des restaurants de la «Rahma» qui sont déjà bondés et où le même scénario se répète avec des jeûneurs qui attendent leur repas depuis plus d’un quart d’heure, voire une demi-heure pour certains.
L’Etusa ne pourrait-elle pas étudier et asseoir un système de «permanence» avec quelques bus assurant le transport dans certains axes urbains importants où sont concentrés de nombreux pôles d’emploi? Il est certes difficile pour ce faire car les conducteurs et receveurs de bus observent également le jeûne et doivent être à l’heure devant leur «chorba» au moment de la rupture du jeûne. Il est à signaler que beaucoup de métiers et emplois nécessitent «impérativement» une présence «permanente» même pendant le ftour du Ramadhan, grâce à un système «judicieux» de présence à son poste. Cependant, cette obligation est-elle respectée partout où c’est nécessaire? Hormis quelques postes stratégiques comme la Défense, la Santé et l’aérien…peu de secteurs appliquent cette obligation qui ne dure en fin de compte que moins d’une heure.
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On dit que la nuit du 27ème jour du Ramadhan est celle où les voeux des pieux sont exaucés. Ce fait semble se concrétiser pour pas moins de 688 familles à travers plusieurs localités de la wilaya de Bouira. Les responsables locaux semblent avoir retenu cette date pour rendre le sourire aux bénéficiaires des logements sociaux en leur attribuant les clés. L’opération concernera particulièrement 168 bénéficiaires de la liste des 814. Les heureux élus sont ceux qui ont été affectés lors du tirage au sort, sur le site des 168 logements. Le reste des bénéficiaires auront leurs clés d’ici le 5 juillet prochain. L’opération de la nuit sacrée «Lailatou el Kadr» concernera aussi les localités de Bir Ghbalou avec 160 unités, Aït Laâziz (70 Lgts), Aomar (90), Taghzout (50), Raouraoua (50) Bechloul (50), Aïn Bessem (27), Bouderbala (23) soit un total de 688 logements. Le communiqué de la cellule de communication de la wilaya de Bouira précise aussi que la wilaya compte 4 060 logements sociaux dont 2081 ont fait l’objet d’une affectation préliminaire et les arrêtés et les clés seront remis dès la fin des travaux d’aménagement et de viabilisation achevés sur les divers chantiers.
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Par Aomar MOHELLEBI.
L’objectif recherché consiste à réitérer la «détermination inébranlable» des médecins résidents à mener leur combat jusqu’à satisfaction de leurs revendications.
Des centaines de médecins résidents, venus de plusieurs wilayas du pays, ont pris part, hier, à la marche prévue depuis une semaine dans la ville de Tizi Ouzou. Les manifestants se sont retrouvés dès le milieu de la matinée devant le Centre hospitalo-universitaire Nedir-Mohamed de Tizi Ouzou. Les médecins résidents ne sont pas arrivés en même temps mais ils atterrissaient progressivement à l’endroit où devait démarrer la marche. D’ailleurs, même après le coup d’envoi de la manifestation, d’autres médecins résidents en provenance de wilayas lointaines, y affluaient encore, au fur et à mesure que la marche avançait. Une grande partie des marcheurs était vêtue de blouses blanches, a-t-on constaté tandis que certains manifestants brandissaient des banderoles où étaient inscrits leurs slogans dans les deux langues arabe et française. Parmi les mots d’ordre que l’on pouvait lire sur les banderoles brandies et sur les affichettes, figuraient ceux-ci «Force dignité solidarité» et «halte à la répression»… Les médecins résidents qui ont pris part à cette énième marche ont traversé dans le calme la rue Lamali-Ahmed, puis le boulevard Abane-Ramdane, avant de poursuivre leur petit périple sur le boulevard «Larbi Ben M’hidi». Le point d’arrivée de la marche a été le carrefour Matoub-Lounès, en face de l’ancienne gare routière à l’entrée ouest de la ville. Tout au long du déroulement de la marche, des médecins résidents, munis d’amplificateurs de son, n’ont pas cessé de crier haut et fort leur colère et les marcheurs répétaient systématiquement les slogans entonnés. A noter qu’au cours de la marche, l’activité commerciale s’est poursuivie normalement, car la ville de Tizi Ouzou a l’habitude, ces derniers temps, d’accueillir des marches qui se déroulent fort heureusement dans le calme et sans aucun incident ce qui n’était pas le cas dans le passé.
A cette occasion, le collectif des médecins résidents autonomes ayant appelé à cette manifestation ont rendu publique une déclaration afin d’expliquer leurs préoccupations. Ce collectif rappelle dans sa déclaration, que cette semaine, les médecins résidents allaient boucler les sept mois de grève. Les concernés précisent que cette période de contestation a été faite de «résistance, d’union et de bravoure». «Sept mois durant lesquels les médecins résidents algériens n’ont ménagé aucun sacrifice pour défendre leurs droits les plus légitimes. Les tutelles quant à elles, ont préféré jouer la carte du mutisme et de l’indifférence», précise le collectif des médecins résidents dans le même communiqué. Et d’enchaîner: «Nous avons prouvé que la solidarité dont nous faisons preuve depuis le déclenchement de notre mouvement de protestation, a bravé toutes les manoeuvres de division et de discrédit.» Par ailleurs, le même collectif a tenu à dénoncer et à condamner «avec fermeté les mesures administratives sans fondement juridique prononcées par certains services à l’égard de plusieurs de nos confrères résidents». Le collectif ajoute: «Nous réaffirmons encore une fois que seule une volonté réelle et responsable pourra apporter des solutions pérennes et concrètes à cette impasse qui a tant duré, mettant en péril la santé du citoyen et prenant en otage l’avenir de 15.000 médecins». Et de conclure que par la marche de ce mercredi, l’objectif recherché consiste à réitérer la «détermination inébranlable» des médecins résidents à mener leur combat jusqu’à satisfaction de leurs revendications. «Nous voulons aussi arracher notre dignité tant bafouée», a conclu le collectif algérien autonome des médecins résidents. A noter qu’à la fin de la marche, les manifestants se sont dispersés dans le calme.
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Par Arezki SLIMANI.
Il n’est jamais trop tard pour bien faire, les élus locaux des deux Assemblées populaires communales de Tichy et d’Aokas viennent de mettre fin à leurs errements pour se consacrer enfin aux préoccupations citoyennes.
Il était temps que cela arrive. La saison estivale s’ouvrira dans quelques jours avec un nouveau rebondissement au niveau des deux communes côtières, Tichy et Aokas, qui viennent de voir leurs assemblées respectives renouer avec le fonctionnement normal. Ces deux communes étaient, jusque-là, parmi les neuf autres à vivre des situations de blocage presque une année après le scrutin des locales.
Leurs deux dernières sessions ont été plus que concluantes. A Aokas, un accord a été trouvé après de longues tergiversations, pour l’installation de l’exécutif communal, ce qui ne manquera pas de se répercuter positivement sur la bonne gestion de la collectivité. Le président de l’APC, d’obédience RCD, a proposé son colistier, les élus têtes de listes du FFS et du RND ainsi qu’un élu de la liste de l’alliance TAJ pour les postes de vice-présidents. Un vote a eu lieu et l’installation de l’exécutif a été adoptée à la majorité. L’APC d’Aokas sera dirigée par une alliance de conjoncture formée de quatre vice-présidents de l’APC issus du RCD, FFS, RND et alliance TAJ. La constitution des commissions et l’installation des délégués communaux sont attendues ces jours-ci. A Tichy, le FLN sort grand perdant dans cette bataille qui aura duré plusieurs mois.
Tichy connaît son exécutif. Il a été installé. Dans cette commune, le FLN avait fait une proposition, après son annulation de l’accord conclu avec les deux élus du RCD, en formant un bloc d’opposition, une de ses élues claque la porte de sa formation politique pour rejoindre les élus du FFS qui ont obtenu la majorité relative avec sept sièges sur 15. Avec l’appui de cette élue, le président de l’APC, d’obédience FFS et fort de ce huitième membre, n’a fait que proposer un exécutif constitué de ses colistiers et de cette ex-élue FLN.
En attendant sept autres Assemblées populaires communales sont toujours dans l’impasse à Béjaïa. Les présidents des assemblées sont certes élus sur des listes ayant obtenu la majorité relative. Ils ont été installés par la force publique, mais la constitution des exécutifs communaux n’a pas été une chose facile.
Les calculs mesquins et personnels de certains élus, qui n’ont de souci que d’arracher un poste de responsabilité équivalent à un poste de travail avec un salaire garanti pendant au moins cinq années, ont beaucoup changé la donne.
Les alliances se constituent et se reconstituent avec chaque fois des impondérables qui laissent encore traîner les choses. Les communes de Oued-Ghir, Darguina, Souk El Tenine, Taourirt Ighil, Adekar, El Flaye et Boudjellil, qui, elle, n’a carrément pas connu le vote du 23 novembre 2017, sont toutes dans une situation confuse. Les présidents de ces APC ont eu la majorité relative. Mais ils se sont retrouvés seuls en l’absence de consensus au sein des élus.
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Par Arezki SLIMANI.
Depuis son installation, le professeur Hanane Zouzou, avec son équipe, ont déjà posé 41 pacemakers sur des patients de Béjaïa et ses environs.
En dépit des locaux exigus et des conditions architecturales des plus inadéquates, le CHU de Béjaïa voit son activité progresser en attendant les nouveaux locaux, dont les travaux peinent à démarrer s’ils ne sont pas totalement gelés. Qu’à cela ne tienne! La volonté est là. Un service de cardiologie interventionnelle sera inauguré le 5 juillet prochain, à l’occasion de la célébration du 56e anniversaire de l’indépendance. C’est ce qu’a invoqué un communiqué de la cellule de communication du CHU précisant qu’après «avoir créé le service de cardiologie en 2014, dirigé par le professeur Hanane Zouzou, spécialiste en rythmologie, le CHU de Béjaïa a réussi à mettre en place le service de cardiologie interventionnelle. Ce service comprend une salle de cathétérisme avec exploration hémodynamique dotée d’équipements de pointe, une salle d’ECG Holter et une salle d’exploration électro-physiologique et pacemaker.» Les équipements de ce service sont acquis sur le budget de fonctionnement de l’année 2017 pour un montant de 15 milliards de centimes», souligne-t-on dans le même communiqué.
Le service vient essentiellement pour répondre à un besoin vital dicté par la transition épidémiologique d’où les affections cardiovasculaires représentent 95% des urgences médicales nécessitant un geste salvateur du praticien cardiologue. La cardiologie interventionnelle permet de réduire les risques de mort subite des affections dites cardio-vasculaires. À rappeler que le professeur Danoune Abdelmalek, directeur général du CHU de Béjaïa, s’était engagé lors de son installation en novembre 2012, à créer les deux services jugés extrêmement importants, à savoir la cardiologie et la cardiologie interventionnelle. Depuis son installation, le professeur Hanane Zouzou, avec son équipe, ont déjà posé 41 pacemakers sur des patients de Béjaïa et ses environs en leur évitant ainsi le transfert aux CHU d’Alger et de Tizi-Ouzou. A signaler que ce centre de référence sera baptisé du nom du médecin Abdelkader Belabbès, natif de la ville de Béjaïa.
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La Cnas Agence d’Alger lance un appel aux étudiants inscrits durant l’année scolaire 2017-2018 aux niveaux des universités et facultés d’Alger, ayant déposé des dossiers pour obtenir des cartes Chifa, de se présenter aux structures de paiement de l’Agence d’Alger en vue de récupérer leurs cartes. A noter que la carte Chifa va leur permettre de faire valoir leurs droits aux prestations en nature de sécurité sociale pour les risques suivants: assurance maladie, assurance maternité.
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Par O. HIND.
Regroupant plusieurs activités, ce grand espace qu’abrite le Cadc est ouvert jusqu’au 30 septembre.
Sous l’égide du ministère de la Culture, en partenariat avec le Cadc et à l’initiative de Jil Fm et du ministère de la Communication Medinatic est née. Medinatic 2018 un lieu de loisirs et de culture a été inauguré officiellement mardi soir en présence conjointement des ministres de la Culture, de la Communication et du Tourisme, respectivement Azzedine Mihoubi, Djamel Kaouane et Abdelkader Benmessaoud. «Medinatic est un espace familial pour les jeunes et les moins jeunes désirant passer un moment de détente, de divertissement ou encore de culture.» peut-on lire dans la présentation faite autour de cet espace qui englobe à la fois salle de concert, qaâda artistique, cinéma de plein air, librairie, galerie d’art, conférence-débat, salle de jeux, paintball, mur d’escalade et espace restaurant. Ouvert jusqu’au 30 septembre, Medinatic se trouve au Cadc (Centre algérien de développement du cinéma) à El Achour. Ce lieu étant censé être ouvert durant trois mois, il est destiné avant tout aux familles, indique Azzedine Mihoubi qui estimera que ce genre d’endroit de distraction et de culture manque à Alger. «Ce lieu est destiné aux grands comme aux petits, aux amoureux du cinéma, de la musique, etc. Quand on nous a proposé cette idée, on ne pouvait pas refuser une telle occasion ici. D’ailleurs, le Cadc servira bientôt à abriter des studios pour le tournage de production cinématographique, mais tant que cela n’est pas encore réalisé ou monté on s’est dit qu’il était aussi valable de profiter de cet espace vacant pour abriter le projet Medinatic. Je suis sûr qu’il va être fréquenté par beaucoup de monde» et de renchérir: «L’objectif premier est la détente et le divertissement. Ce sera un endroit de rencontres et de loisirs pour les jeunes et les familles.
Pour nous l’endroit est idéal. Si nous avions trouvé un autre à Riad El Feth nous l’aurions pris. Notre but plus tard est de mettre en place des studios comme je vous l’ai dit. En attendant on essaye de l’exploiter autrement. Il sera ouvert à tous ceux qui voudraient réaliser des séries télés, des émissions etc. Le film Ben Badis a été tourné ici. Une partie du film de Ahmed Bey va être tournée ici également.
L’essentiel pour nous est de développer chaque espace susceptible d’être exploité. C’est important que les familles puissent trouver des endroits où ils peuvent se retrouver, échanger.» En effet, il y a de tout dans ce parc. A l’intérieur une galerie d’art est visible, jouxtant la libraire Point Virgule qui est venue élire domicile. Non loin de là un espace est réservé pour les conférences-débats. A l’extérieur, à côté on retrouve un hangar qui servira de salle de spectacle. A notre arrivée le groupe Ifrikya Spirit y jouait. Dehors encore on pouvait distinguer un toboggan et une grande cafétéria /resto à ciel ouvert. Sans doute qu’il manquait encore d’autres aires de jeu pour enfants pour compléter le tableau, d’où notre sentiment mitigé. Mais gageons que tout cela sera renforcé et fréquenté surtout, sinon ce sera une perte de temps, mieux, voire d’argent…
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Par Khaled Boumediene,
Le professeur Abdellatif Benachenhou (ex-ministre des Finances) a plaidé, mardi, pour une implication de la Recherche scientifique dans les grands problèmes de développement de l’Algérie. Invité par la faculté des Sciences de l’Université Abou Bekr Belkaid’, de Tlemcen, pour animer une conférence sur le thème : «Urgences de développement et priorités de la Recherche scientifique», Benachenhou a estimé, devant un auditoire, composé des directeurs des laboratoires, des doyens des facultés des Sciences, du Droit et des Sciences politiques, ainsi que des Sciences naturelles et de la vie, que «la Recherche scientifique représente, pour notre pays, de grands enjeux car elle lui ouvre les voies de son avenir. La Recherche est, en fait, indispensable pour solutionner les grands problèmes de développement, en Algérie et réaliser des avancées décisives dans tous les secteurs. La Recherche est un outil, au service des autres politiques, qu’elles soient culturelles, sociales ou industrielles. Malheureusement, aujourd’hui, beaucoup de décisions liées à ces domaines ne sont pas du ressort des scientifiques. Les chercheurs doivent, donc, définir eux-mêmes leurs recherches et trouver les solutions adéquates pour leurs financements. Je ne conteste pas aux chercheurs ce qu’ils veulent mais de trouver les fonds, alors que la société s’est transformée et s’est enrichie. D’ailleurs, je n’ai jamais vu une société engager des financements pour la Recherche scientifique et le Développement des ressources. La croissance des ressources est en crise, il faut participer aux financements de la Recherche et accepter de discuter du statut juridique de la Recherche pour diversifier les sources de financement des recherches.Il faut explorer, intelligemment, car l’Algérie se dirige vers des années et des années de pénuries des ressources. La croissance des ressources est en crise ! Les sérieuses difficultés qui nous attendent sont des problèmes majeurs qui peuvent menacer l’unité même de la nation ! La situation est très sérieuse ! Il faut, donc, se poser des questions sur la diversification des recherches. L’Enseignement supérieur a mangé trop de ressources par rapport aux autres enseignements du système global et la part ne cesse de croître encore, et c’est le système éducatif classique qui reçoit le coup. Selon des spécialistes, plus on monte dans les études, plus on augmente les capacités intellectuelles et plus l’on est chômeur. Le hic est que 50% des financements de l’Enseignement supérieur ne vont pas à l’acte pédagogique, ils vont surtout à l’accompagnement des étudiants tels l’hébergement, le transport, la restauration, etc., alors que l’Université est interpellée sur l’acte pédagogique. Il faut revenir à la pédagogie avec un peu de fermeté et aussi de dialogue !».
Dressant un constat sur l’Economie algérienne, M. Benachenhou, a, par ailleurs, révélé que trois colossales erreurs d’investissements majeurs ont été commises, dans le système économique depuis l’indépendance de notre pays : «La première concerne l’industrie gazière, dans les années 1970 où l’Algérie a décidé d’être le chef de file dans cette industrie, et on est allé prêter de l’argent pour financer cette industrie, pour être les premiers et acquérir les marchés. Des accords commerciaux d’un montant de 25 milliards de dollars ont été conclus avec les Allemands et les Américains, mais suite à une décision irréfléchie interdisant de vendre le gaz algérien aux Américains, les choses n’ont pas marché, et ces grandes dettes ont compliqué la situation de notre économie. La deuxième erreur a trait à la politique de production énergétique, notamment, celle de l’électricité, sans donner à la société Sonelgaz, les moyens d’investissements, ce qui fait qu’aujourd’hui, cette société est non seulement très endettée, mais elle est confrontée au lancinant problème de financement de ses investissements. Il faut donner les moyens d’investissements, à cette société et aller au prix réel. Je suis favorable à la construction du marché, je suis contre le commandement des investissements !
La troisième erreur commise, c’est le projet de l’Autoroute de 18 milliards de dollars, entièrement financé par les deniers publics, et c’est l’une des raisons qui m’a poussé à démissionner du gouvernement». Le Pr Benachenhou a, dans ce cadre, mis en relief le développement des Ressources naturelles (énergies renouvelables, eaux et espaces), des ressources humaines (systèmes éducatif et universitaire), des ressources culturelles (les patrimoines, la culture et la création), et l’énergie numérique. Il a, en outre, incité les chercheurs de l’Université à développer l’économie numérique, car selon lui, l’Algérie est classée au 18ème rang dans ce domaine, en Afrique. L’ancien ministre des Finances s’est étalé sur de nombreux sujets d’actualité tels le problème de l’accélération des énergies renouvelables, l’effort de développement des énergies, l’effondrement du système public de régulation des naissances, le rebond démographique avec ses conséquences sur l’emploi, le logement et l’enseignement, la transition démographique, la réorganisation de la fonction de production, l’analyse précise des ressources, les actes d’investissements de Sonatrach qui doivent être étudiés, la lutte contre la jachère (plus de 1,2 million d’hectares), la question de l’offre internationale des céréales qui est posée, aujourd’hui, le problème d’irrigation agricole et la régression des recherches, et la lutte contre le cancer qui monopolise, actuellement, de plus en plus, de ressources au détriment des autres maladies.
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Cet argent doit servir à la construction de nouvelles voies ferrées et de rocades au profit du nouveau port centre de Cherchell, de l’augmentation de l’exploitation des mines de phosphate, ainsi que de la modernisation du port de Annaba en liaison avec ce même projet.
Chose promise, chose due! Dès que les finances du pays se sont stabilisées, les projets gelés ont été relancés.
En effet, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décidé de débloquer 500 milliards DA pour relancer des projets sociaux et des infrastructures en suspens, depuis l’éclatement de la crise financière en 2014. «Le projet de la loi de finances complémentaire de 2018 prévoit un ajout de 500 milliards DA en autorisations de programme pour le financement notamment de projets sociaux et d’infrastructures», a indiqué un communiqué rendu public à l’issue de la réunion du Conseil des ministres tenue mardi dernier sous la présidence du chef de l’Etat. «Dans sa partie budgétaire, le projet de loi se limite à l’ajout d’un montant de 500 milliards DA en Autorisations de programme, sans inscription de Crédits de paiements supplémentaires», note le communiqué. Mais qu’est-ce que ces autorisations de programme et ces inscriptions de crédits de paiements supplémentaires? On se noie un peu dans toutes ces notations. Eh bien, il faut savoir que les autorisations de programmes sont les montants maximum des dépenses budgétaires qui sont autorisées à être engagées pour l’exécution des projets pendant les années à venir et sont effectuées au rythme de la réalisation des travaux. Quant aux crédits de paiements, ce sont les dépenses qui sont effectuées pendant l’année pour la couverture des engagements contractés dans le cadre de ces autorisations de programme.
En termes plus clairs, cette nouvelle dotation de 500 milliards DA «permettra de relancer une série de projets, notamment sociaux, gelés ces dernières années du fait de la tension financière sur le budget de l’Etat. «Elle servira aussi à engager de nouvelles réalisations d’infrastructures qui seront financées en concours temporaires par le Fonds national d’investissement (FNI)», explique le communiqué. «Il s’agira notamment de voies ferrées et de rocades à réaliser ou à moderniser au profit du nouveau port centre d’El Hamdania (Cherchell) et de l’augmentation de l’exploitation des mines de phosphates, ainsi que de la modernisation du port de Annaba en liaison avec ce même projet», précise le communiqué.
Le Conseil des ministres a également examiné la réévaluation d’opérations d’équipements.
Ces opérations, qui sont à un stade «très avancé» de réalisation, portent sur le dédoublement et la rectification de la voie ferrée entre Khemis-Miliana et El Affroun ainsi qu’entre Oued Sly et Yellel, ainsi que du contournement routier, de la ville de Cherchell, indique le communiqué du Conseil des ministres. Il s’agit également de la valorisation du port de Djendjen, la réalisation d’un nouveau module à l’aéroport d’Oran-Es Senia ainsi que le tramway de Ouargla. Des projets donc d’une importance capitale pour le développement économique et social. Ils sont bien ciblés étant des investissements qui touchent directement au bien-être des citoyens et la prospérité économique du pays. «Si le gouvernement doit maintenir une gestion prudente des ressources financières du pays, cela ne doit pas empêcher la relance des projets sociaux gelés ces dernières années, ainsi que la consolidation du réseau des infrastructures de base, surtout lorsque celles-ci sont liées à des projets économiques dont la rentabilité est établie», a commenté le président Bouteflika à l’issue de l’adoption de ce projet de loi. Voilà donc que comme l’avait promis le président: «Dès que les caisses se remplissent, l’argent va directement aux citoyens en forme d’infrastructures sociales…»
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Par M. Kadiri,
Juste après l’engagement du nouvel entraineur du club Moez Bouakez qui a ciblé les joueurs répondant aux profils recherchés et qu’il a déjà supervisés, les négociations ont abouti sur le recrutement de trois nouveaux joueurs ciblés par le technicien tunisien. Il s’agit du jeune défenseur latéral du GC Mascara, Achour Fateh, qui est la première recrue, suivi par le duo Masmoudi Boualem, défenseur axial de l’ASMO, et le milieu de terrain relizanais, Aït Fergane Nabil, en attendant le retour à Sidi Bel-Abbès du gardien de l’O.M, Morcelli Abdelkader, dont la libération est, dit-on, en bonne voie.Par ailleurs, on nous signale le retour d’un enfant du cru de la catégorie espoir qui portait les couleurs de la JS Saoura, le défenseur latéral Mohammedi Imad qui est donc appelé à réintégrer son club formateur.
Le recrutement est donc bel et bien lancé et fait suite à la régularisation des salaires des joueurs cadres, au nombre de dix-sept, entreprise par l’actionnaire majoritaire, Hadj Hasnaoui Okacha, pour qui c’était la priorité des priorités. En effet, il faut préciser qu’il s’agit de joueurs sous contrat et maintenus pour éviter le risque d’un recours à la CRL. D’autres négociations sont en cours selon les vœux exprimés par Moez Bouakez. La prise de contacts avec la totalité de l’effectif se tiendra dès que les recrutements seront finalisés. Ce sera alors le coup d’envoi du cycle de la préparation qui sera ponctué par un stage à l’étranger, selon une source crédible.
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Samy Slama : «Je me suis engagé avec club le plus titré d’Algérie, une fierté pour moi»
Said D. et L.A.Il y a quelques jours, nous avons rapporté dans ces mêmes colonnes que la direction de la JSK était en contact très avancé avec deux Franco-Algériens, dont les noms ont été préservés. Mais avec insistance, nous avons fini par les avoir, il s’agit de l’arrière gauche, Samy Slama et l’ailier gauche, Kacem Amaouche. Très convaincu de leurs qualités, le manager Karim Doudane, qui a carte blanche, décide de passer la vitesse supérieure pour finaliser avec eux. D’ailleurs, après avoir préparé les contrats, il s’est envolé mardi après-midi pour Paris afin de passer à la signature et à la présentation. Et comme prévu, Samy Slama était le premier à être présenté vers 14h30 tandis que le second en fin d’après-midi, vers 17h. Les deux joueurs qui se sont engagés pour une durée de deux saisons arriveront à Alger dès le premier jour de la reprise. Ils intégreront directement le groupe pour entamer la préparation.
Avec Slama, la concurrence avec Chetti sera relancée
Après avoir été longuement marginalisé, l’arrière gauche, Lyes Chetti, profite de la blessure de Ferhani pour s’imposer et faire parler de lui. Il est devenu en un court laps de temps l’une des révélations de la saison. Ce dernier, qui a terminé la saison en force, devrait commencer à s’inquiéter puisque la JSK vient de lui trouver un concurrent solide et coriace qui possède d’énormes qualités. Le moins que l’on puisse dire est qu’à ce poste, l’équipe n’aura désormais aucun souci à se faire.
La direction confiante
De son côté, la direction de la JSK est confiante par rapport aux qualités des deux Franco-Algériens. D’après nos informations, le choix a été fait après mûre réflexion. Malgré le départ de plusieurs joueurs, la cellule de recrutement qui fait convenablement son travail devrait d’ici la fin du mois de Ramadhan en finir avec les nouvelles recrues.
Samy Slama : «Je me suis engagé avec club le plus titré d’Algérie, une fierté pour moi»Une fois le contrat signé, nous avons eu une discussion avec la nouvelle recrue de la JSK qui s’est dit heureuse de rejoindre le club le plus titré d’Algérie. Il a aussi parlé de son expérience avec la JS Saoura, un club avec qui il n’a joué aucun match pour des raisons que nous allons découvrir ensemble.
Félicitations, on vient d’apprendre que vous avez paraphé un contrat de deux saisons au profit de la JSK. Quelles sont vos impressions ?
Effectivement, je viens de signer mon nouveau contrat avec la JSK d’une durée de deux saisons. Je suis très content car je vais rejoindre l’équipe la plus titrée d’Algérie, c’est une grande fierté pour moi. N’importe quel joueur rêve de jouer pour l’équipe d’Algérie et pour la JSK. Je peux vous dire que je suis aux anges.
Pouvez-vous vous présenter aux supporters de la JSK ?
Je m’appelle Samy Slama et je suis un arrière gauche de métier. Je joue en Norvège et je suis actuellement libre de tout engagement. Ce qui m’a permis de rejoindre la JSK.
Dans quel poste évoluez-vous au juste ?
Je suis un arrière gauche, mais je peux jouer même ailier gauche. J’ai connu beaucoup de clubs où je me suis souvent imposé. Cette fois-ci, je vais jouer en Algérie, mon pays et j’en suis fier.
Comment se sont déroulées les négociations avec le manager Karim Doudane ?
Les négociations ont commencé il y a quelques jours. J’étais en contact avec Karim Doudane qui m’a proposé de jouer à la JSK. Et une fois tout réglé, il s’est déplacé en France où je l’ai rencontré pour la première fois. Nous avons discuté de plusieurs choses avant de nous mettre d’accord et passer à la signature du contrat.
Quelles sont les qualités de Samy ?
Même si je suis bon défensivement, je dirais que ma force réside dans le jeu offensif. Je suis quelqu’un qui aide beaucoup les attaquants et qui marque des buts. Même tactiquement, je lis convenablement le schéma de l’entraîneur. C’est une force qui me permet de me sentir bien sur le terrain.
Combien de matchs avez-vous joué cette saison ?
En Norvège, le championnat n’est pas encore fini puisqu’il prendra fin au mois d’octobre. Jusqu’à présent, j’ai joué, si je compte les matchs amicaux, environ 15 matchs et j’ai inscrit deux buts. Je crois que je suis toujours compétitif donc prêt à travailler directement avec la JSK.
Ne craignez-vous pas la fatigue ?
Non, je suis en vacances actuellement et j’aurais suffisamment de temps pour me reposer. L’essentiel, c’est que je serai au top d’ici la reprise des entraînements.
Donc vous n’allez pas poursuivre votre aventure avec le club norvégien…
Non, je ne poursuivrai pas l’aventure avec le club de la Norvège. Je suis libre, ce qui va me permettre de travailler avec la JSK dès qu’on m’appellera.
Quand allez-vous vous rendre en Algérie ?
Je suis disponible et dès qu’on fixe la date de la reprise, je serai le premier à rallier la ville de Tizi Ouzou. J’ai hâte de découvrir la Kabylie. Je suis un Algérien et fier de l’être. Je compte les jours pour découvrir l’ambiance en Algérie ainsi que la galerie. Je sais que les supporters de la JSK sont uniques. J’espère pouvoir leur apporter de la joie.
Nous avons appris que vous étiez sur le point de signer à la JSS, la saison passée. Pourquoi ça ne s’est pas fait ?
Sincèrement, je ne sais pas. Il est vrai que je me suis déplacé en Algérie et j’avais même entamé les entraînements, mais je ne sais pas ce qui s’est passé pour que je ne sois pas retenu. Je crois que c’est interne car ça n’avait rien à voir avec mes qualités.
La concurrence ne vous fait pas peur ?
Non, la concurrence ne m’a jamais fait peur et je suis quelqu’un qui aime relever les défis. Au contraire, je vais travailler d’arrache-pied pour convaincre l’entraîneur et essayer de gagner loyalement ma place.
Amaouche : «Je donnerai tout ce que j’ai pour réussir et faire plaisir aux supporters»
Quelques instants après la signature de son contrat pour deux saisons à la JSK, le milieu de terrain offensif Amaouche, a déclaré ceci : «Je suis très content d’avoir signé à la JSK, le club le plus titré d’Algérie et qui a une grande histoire. Je tâcherai de réussir dès ma première saison avec ce club, je me donnerai à fond pour être à la hauteur des attentes et de la confiance placée en moi par les responsables.»
«Ma famille à Bouzeguène sera ravie de me voir porter le maillot de la JSK»
Le nouveau milieu offensif kabyle ajoute : «Ma famille est originaire de Bouzeguène, je pense que ça va être un plaisir pour tous mes proches de me voir porter le maillot de la JSK. J’espère que je serai bien accueilli et que nous allons réaliser tous ensemble une grande saison.»
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Red by SFR enrichit son forfait 15 Go à 15 euros. En bonus, 4 heures d’appels vers les fixes en Algérie, au Maroc, en Tunisie et en Turquie, ainsi que les SMS en illimité vers les mobiles de ces pays.
L’offre est réservée aux nouveaux clients de l’offre RED en France métropolitaine. Qui ont jusqu’au 18 Juin pour profiter de ce forfait, avec Bonus Maghreb-Turquie pour 15 euros par mois. La souscription est possible sur le site de l’opérateur.
LDJ. Sarah
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