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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 1 day 12 hours ago

La loi sur les hydrocarbures modifiée sera prête début 2019

Thu, 06/07/2018 - 19:36

ALGER-Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a affirmé jeudi que la loi sur les hydrocarbures dans sa version modifiée, en cours d’élaboration, sera fin prête en janvier ou février prochains, précisant que cette loi requiert une étude approfondie en ce sens où elle « concerne l’avenir du pays ».

Lors d’une plénière du Conseil de la nation, consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que « cette révision est indispensable car cette loi n’est plus attractive pour les opérateurs et investisseurs algériens », ajoutant que tous les pays producteurs ont adapté leurs lois qui ont été reformulées en adéquation avec les changements que connaissent les cours du pétrole marqués par une baisse ces dernières années.

« Il est n’est plus possible de continuer à travailler avec une loi appliquée lorsque le prix du baril était à 140 USD alors qu’il est  actuellement de 30 dollars. Nous ne pouvons restés comme ça figés », a déclaré le ministre.

Le ministre a fait état, dans ce sens, de l’infructuosité de 5 à 6 appels d’offres internationaux, estimant que cette loi « manque d’attractivité ».

Rappelant que le secteur travaille avec les partenaires étrangers dans le cadre d’une relation « gagnant-gagnant », le ministre de l’Energie a déclaré: « nous ne céderons pas nos droits ».

A une question sur l’octroi de l’étude technique relative à la nouvelle loi sur les hydrocarbures à un bureau étranger (américain), le ministre a précisé que « l’octroi de l’étude à un bureau américain ne veut pas dire qu’il n y a pas de compétences en Algérie ». Cependant, « il est inconvenable que le pays se mette dans une situation d’isolement, car de telles lois requièrent une expérience nationale et étrangère », a-t-il ajouté.

Guitouni considère que la nationalité du bureau d’étude n’était pas importante. L’essentiel  est de parvenir à formuler des lois qui soient bénéfiques pour le pays, à attirer les investisseurs et à préserver les stocks nationaux.

« Le plus important est que le secteur bouge, d’autant plus que les investisseurs ont de nouveau confiance en l’Algérie », a soutenu le premier responsable du secteur.

Pour lui, il est essentiel d’œuvrer actuellement à l’attrait des investisseurs eu égard à la diversité des offres et de la concurrence au niveau du marché international.

« Le prix du pétrole change chaque heure et l’investisseur doit trouver un intérêt pour accepter de travailler avec nous. C’est pour cela que Sonatrach a entamé sa restructuration. Si nous n’accordons pas des garanties suffisantes aux investisseurs, ils n’accepterons pas de venir », a-t-il expliqué.

Des négociations en cours sur les accords du partage de la production

Concernant la demande formulée par des sociétés étrangères, dans le cadre des consultations en cours pour l’élaboration de la loi amendée sur les hydrocarbures, pour un retour au travail avec des contrats du partage de la production, le ministre a indiqué qu’il n’est pas pertinent de travailler avec une loi qui « muselle » le secteur, d’ou la nécessité pour cette loi de s’adapter avec toutes les problématiques posées.

Cette demande est en cours d’examen et de négociations avec les sociétés étrangères, et chaque partie défendra ses droits, a-t-il ajouté précisant que la loi qui s’applique au petit bassin ne peut pas s’appliquer au grand bassin au vue de leur rendement et les propositions présentées portent sur le partage de la production à raison de 66%/34% ou 60%/40%, mais elle sont toujours au stade de la négociation.

S’agissant de la règle 49/51 appliquée sur les investissements étrangers contenus dans la loi sur l’investissement en Algérie, le ministre a indiqué que cette règle restera de mise et « notre travail sera dans le cadre de celle-ci ».

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Energie solaire: appels d’offres pour la production de 200 mégawatts

Thu, 06/07/2018 - 19:21

ALGER-Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni a rappelé, jeudi à Alger, que le Conseil des ministres a approuvé, lors de sa réunion mercredi dernier, le lancement des appels d’offres programmés pour la réalisation des projets de production de 200 mégawatts en énergie solaire, dont 150 mégawatts seront proposés, pour la première fois, dans le cadre d’appels d’offres internationaux, auxquels participeront les entreprises locales, publiques et privées et des sociétés mixtes.

Dans une déclaration en marge de la séance plénière du Conseil de la Nation, consacrée aux questions orales, M. Guitouni a indiqué qu’il sera procédé, dans le cadre de cette opération, à la détermination d’un prix de départ précisant que le recours à ces techniques modernes de production de l’énergie permet une réduction des coûts de l’ordre 40%.

Sur l’ensemble des 200 mégawatts, 50 ont été réservés au Groupe Sonelgaz dans le cadre d’un programme dédié aux centrales à « fuel » dans le Sud, permettant de réduire de 50% les coûts de son importation et de son transport du nord vers le sud du pays.

Le cahier de charges relatif à ces appels d’offres est en cours d’élaboration pour qu’elles soient prêtes vers la fin 2018.

Affirmant que l’Algérie n’est pas en retard en matière d’investissement dans le secteur de l’énergie solaire, M. Guitouni a estimé que « c’est là, le bon moment pour investir dans ce domaine ».

Cette opération s’inscrit dans le cadre du programme du président de la République M. Abdelaziz Bouteflika, lancé en 2011 pour la production de 22.000 Mégawatts et dont un programme de 400 Mégawatt actuellement en réalisation à travers 24 wilayas relayées au réseau de Sonelgaz, outre 10 mégawatt en énergie éolienne mises à l’essai à la région de Taberkane (Adrar).

Le ministre estime que l’entrée des investisseurs privés dans la production de panneaux solaires permettra d’atteindre l’objectif tracé à l’horizon 2030 en faisant appel aux compétences nationales disponibles.

Il a ajouté que l’Etat s’oriente vers la production localement des panneaux solaires d’autant que leur prix est inclus dans les coût de production à hauteur de 40 à 50%, permettant un économie d’argent et la création de nouveaux postes d’emploi au profit de la main d’£uvre locale, outre sa formation.

La baisse des prix des panneaux solaires au niveau internationale fait que c’est « le bon moment » pour lancer ces projets, a indiqué M. Guitouni.

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Categories: Afrique

Conférence Afrique-Pays nordiques: Messahel se félicite du renforcement de cet espace

Thu, 06/07/2018 - 19:19

COPENHAGUE- Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, s’est félicité jeudi à Copenhague, du renforcement, chaque année, de l’espace de coopération de la Conférence ministérielle Afrique-Pays nordiques dans la vocation que les deux parties lui ont assignée, à savoir celle de cadre de dialogue, de concertation et d’échange sur les questions de paix, de sécurité et de développement durable entre l’Afrique et les Pays nordiques.

Chaque année, a poursuivi M. Messahel lors de son adresse à cette conférence, « il permet (l’espace) à l’Afrique de sensibiliser ses partenaires nordiques sur ses multiples priorités liées tant à la paix et la sécurité qu’à la promotion de son développement socioéconomique, comme il lui permet de faire connaître à ces mêmes partenaires combien sont nombreuses les opportunités d’investissements et d’échanges commerciaux générés par cette dynamique de croissance qui a distingué notre continent durant ces deux dernières décennies ».

Illustrant les réalisations de ce mécanisme de coopération, le ministre s’est référé à l’intérêt porté par les pays nordiques aux cinq axes prioritaires de la stratégie décennale de la BAD pour 2013-2022, à savoir « l’énergie, l’agriculture, l’industrie, l’intégration et l’amélioration des conditions de vie des populations africaines ainsi que leur participation  au Fonds Africain de Développement ».

« Il en est de même de l’appui de ces mêmes pays aux efforts de l’Afrique en matière de construction de sa propre architecture de paix et de sécurité », a soutenu le chef de la diplomatie algérienne.

Abordant les thématiques liées au développement, au commerce et à la promotion des jeunes et du dividende démographique, M. Messahel a souligné que « l’Afrique s’emploie à construire des sociétés moins vulnérables et ambitionnant légitimement de se donner les moyens d’être progressivement toujours plus fortes, et ce, dans un monde dominé par une globalisation porteuse à la fois d’opportunités et de défis ».

« Les dynamiques de démocratisation et de croissance économique enregistrées par notre continent durant les deux dernières décennies attestent de sa volonté de s’inscrire durablement dans cette voie » a-t-il ajouté.

Messahel a, dans le même temps, mis en exergue le fait que « la force des sociétés de demain réside dans la mise en œuvre de programmes qui prônent l’égalité, la promotion des droits de l’homme et des libertés individuelles, l’ancrage de la démocratie et des principes démocratiques tant dans les esprits des citoyens que dans les comportements et les actions des institutions, la promotion de la bonne gouvernance et de la reddition des comptes ainsi que dans la lutte sans répit et sans concession contre les fléaux sociaux dans leur diversité ».

S’appuyant sur l’expérience algérienne, le ministre a fait savoir que « le dialogue social impliquant les institutions publiques, les partenaires économiques publics et privés, les syndicats ainsi que les organisations de la société civile est une condition de la réussite des politiques basées sur ces valeurs ».

« C’est dans cet esprit que mon pays a mis en place, à l’initiative du Président Abdelaziz Bouteflika, d’abord en 2006 puis en 2014, un Pacte national économique et social prônant le dialogue et la concertation dans tous les domaines de la vie économique et sociale du pays et visant à contribuer concrètement au renforcement du processus démocratique dans lequel le pays s’est résolument engagé », a ajouté le ministre.

Ce pacte est venu conforter avec succès, a-t-il expliqué, la politique de concorde civile et de réconciliation nationale qui a permis au pays de « rétablir la paix et la stabilité et de consacrer ses efforts aux défis du développement socioéconomique ».

Messahel a également souligné que « la mise en œuvre de ces approches inclusives facilitent la mobilisation des ressources, des énergies et des moyens de la société dans le cadre d’alliances innovantes, tels que le partenariat public-privé sous ses différentes formules, construits autour d’objectifs communs guidés par la préservation de l’intérêt général dans une logique de gagnant-gagnant et prospérité partagée ».

A partir de cette conviction, l’Algérie, a-t-il déclaré, « a favorisé la signature, pour la première fois, le 23 décembre 2017 de la Charte instituant et organisant le Partenariat public-privé dans l’économie algérienne ».

« C’est aussi partant de cette conviction dans la nécessité d’encourager la société à mobiliser toutes ses ressources que l’Etat algérien a opté pour une approche volontariste de promotion du statut et du rôle de la femme, ce grand partenaire incontournable dans la construction du pays » a conclu le ministre.

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Categories: Afrique

OPEP: l’Algérie œuvrera avec ses partenaires à la stabilisation des prix

Thu, 06/07/2018 - 19:15

ALGER- Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a affirmé jeudi à Alger que l’Algérie œuvrera avec les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et les pays hors OPEP, durant la réunion qui se tiendra le 22 juin en cours à Vienne, à garantir l’équilibre entre l’offre et la demande pour préserver la stabilité des marchés pétroliers.

Répondant à la presse en marge d’une séance consacrée aux questions orales au Conseil de la Nation, le ministre a indiqué que des sous commissions suivaient actuellement de près le marché international et élaboraient des rapports qui seront examinés lors de la réunion de Vienne, à l’effet de prendre une série de mesures.

« Ce qui nous importe, c’est qu’il y est un équilibre entre l’offre et la demande pour préserver la stabilité des marchés pétroliers »

Guitouni a fait savoir qu’il y avait des problèmes géopolitiques connus qui ont été pris en compte lors des préparatifs de cette importante rencontre.

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Prise de mesures anticipées pour assurer la sécurité socio-économique du pays

Thu, 06/07/2018 - 19:11
ALGER- Le Premier Ministre, Ahmed Ouyahia a affirmé jeudi que le gouvernement « va de l’avant dans sa démarche pour la prise de mesures anticipées afin d’assurer la sécurité socio-économique du pays ».

Lors d’une séance plénière du Conseil de la Nation, consacrée aux questions orales et présidée par Abdelkader Bensalah, président de cette  instance, M. Ouyahia a indiqué, en réponse à la question du sénateur  Mahmoud Kissari, sur les mesures prises par le gouvernement pour créer des  centres d’études stratégiques, que « le gouvernement va de l’avant dans sa  démarche pour la prise de mesures anticipées et la mise en action de dispositifs et de mécanismes à même de garantir la sécurité socio-économique du pays ».

Ces mesures s’inscrivent dans le cadre « d’une démarche intégrée et cohérente qui veille à l’implication de toutes les parties concernées dans l’élaboration d’études analytiques et de recherches stratégiques et prospectives, au service du processus de développement national durable et de l’intérêt suprême du pays », a estimé M. Ouyahia.

« Les changements et les développements internationaux et nationaux dans les différents domaines, notamment sur le plan économique, ont souligné le besoin de procéder à des études prospectives, afin d’éclairer les centres de prise de décision », a précisé M. Ouyahia qui a dit que cela a « incité les pouvoirs publics à œuvrer à la réunion de toutes les conditions nécessaires à leur réalisation ».

Dans ce cadre, le Premier ministre a indiqué que les pouvoirs publics s’étaient attelés depuis 1984, à l’institution d’un dispositif de veille, appelé « Institut national d’études de stratégie globale (INESG) », chargé de l’observation de toutes les orientations socio-économique, financière, technologique et culturelle, pour leur permettre d’approfondir et de peaufiner leur vision générale du processus de développement national et d’être au diapason des évolutions afin de préserver l’intérêt suprême du pays ».

Crée par décret n84-392, l’INESG est une institution à caractère scientifique jouissant d`une personnalité morale et de l`autonomie financière, placée sous la tutelle du président de la République ».

Aussi, cet organisme tend « à identifier les facteurs et les mutations qui impactent la vie politique, économique, sociale et culturelle, pour les analyser, en coordination et en concertation avec les différents secteurs et instances concernées ».

L’institut a pour mission d’effectuer des études prospectives sur la société algérienne et son évolution, outre une évaluation globale du développement national, tout en réalisant des études et des recherches à même de contribuer au développement de l`environnement national et à la promotion des relations internationales, à travers l’actualisation de la stratégie nationale globale en matière de développement et des politiques adoptées par les différents partenaires de l’Algérie et l’évaluation de leurs résultats aux niveaux sécuritaire et économique du pays ».

L’Institut a pour rôle également « d’engager une réflexion dans le domaine des relations internationales et les questions de défense et de sécurité en ce qui concerne leur évolution et leur implication sur la politique nationale et internationale de l’Algérie ».

Les missions de cet Institut sont intégrées « dans une démarche globale destinée à déterminer les différentes possibilités ou moyens d’action permettant d’anticiper et de faire face aux événements. Et partant, impulser toute initiative visant à sauvegarder et renforcer l’intérêt national », a affirmé M. Ouyahia.

Il existe, selon le Premier ministre, plusieurs autres structures au niveau des différents départements ministériels, chargés de la mission de prospection et d’anticipation dans des domaines précis, à l’instar de la Direction générale de la prospection et des études au niveau du ministère des Affaires étrangères, chargée du développement des activités de recherche et de développement prospectif, et des évaluations favorisant la prise de décisions concernant les questions internationales d’actualité.

Ces missions consistent aussi à promouvoir la coopération avec les  instances  et institutions internationales, avec l’élaboration d’une stratégie et programmes de travail pour la diplomatie algérienne.

Parmi ces structures également la Direction générale de la prévision et des politiques relevant du ministère des Finances, chargée d’élaborer les prévisions de macroéconomie et une évaluation des politiques budgétaires et fiscales du pays.

Il s’agit aussi de la Direction générale de l’économie numérique relevant du ministère de la Poste, des télécommunications, de la technologie et du numérique qui veille à l’élaboration « d’une politique nationale de promotion de l’économie numérique et des nouvelles technologies » et de la Direction du développement et de la prospection au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique en charge des études prospectives visant à promouvoir les activités du secteur.

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Les cas d’agression contre les policiers en exercice sont « quasi inexistants »

Thu, 06/07/2018 - 19:07
ALGER-  Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, jeudi à Alger que les cas d’agression contre les agents de police dans l’exercice de leurs fonctions sont « quasi inexistants », précisant que les cas enregistrés sont « des cas d’agression verbale ».

Lors d’une plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation, M. Bedoui a indiqué que « les cas d’agression contre les agents de police sont quasi inexistants et ne constituent pas un phénomène ou une préoccupation », faisant état de quelque cas d’agression verbale, notamment lors de l’exercice des missions de maintien de l’ordre ».

En réponse à la question d’un membre du Conseil relative à la mis en place de mécanismes de protection des agents de police lors de l’exercice de leurs fonctions, le ministre a assuré que les agents de police disposent de toutes les garanties et exercent pleinement leurs fonctions », affirmant que les auteurs d’agression contre un agent de police sont poursuivis en justice ».

Il a rappelé, à ce propos, que les lois de la République et les dispositions réglementaires en vigueur « réunissent les garanties nécessaires pour l’accomplissement des missions des agents de police et les mécanismes leur permettant de se défendre et de défendre les autres le cas échéant », soulignant que « l’utilisation de la force et des moyens de contraintes ne peuvent avoir lieu qu’en cas de nécessité, notamment en cas d’autodéfense ou de défense de tiers et dans la limite des exigence de l’accomplissement du devoir professionnel en observant les règles du port et d’utilisation d’armes ».

Le ministre a expliqué, à ce propos, que les agents de sécurité doivent, avant le recours à la force et aux moyens de contrainte « privilégier le dialogue et épuiser les moyens le moins répressifs ainsi que stipulé par la Charte d’éthique de la Police de décembre dernier, qualifiant cette dernière de pas qualitatif et d’avancée dans la promotion du rôle de l’agent de police, qui jouit d’une place respectueuse auprès des citoyens.

Bedoui a fait savoir que la DGSN, « consciente du danger qui guette les agents de police lors dans l’exercice de leurs missions, a élaboré des plans sécuritaires en adéquation avec le développement de la criminalité et son modus opérandi afin d’assurer une couverture sécuritaire aux agents de police ».

Le ministre a fait état, en fin d’un plan d’action à même de préserver la sécurité et l’intégrité des agents de police et de développer tous les aspects de leurs compétences, y compris l’esprit de combat, citant, dans ce sens, la création de brigades spécialisées de haut niveau d’entrainement renforcées par des outils utilisés dans les pays développés.

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L’Algérie et le Royaume-Uni ont une « excellente » coopération sécuritaire

Thu, 06/07/2018 - 19:05

ALGER- L’Algérie et le Royaume-Uni entretiennent une « excellente » coopération dans le domaine de la sécurité, a affirmé jeudi à Alger, le secrétaire d’Etat britannique chargé de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, Alistair Burt.

Intervenant à l’issue de l’audience que lui a accordée le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, le ministre britannique a indiqué que les deux pays entretiennent une « excellente » coopération dans le domaine sécuritaire.

« Nous nous sommes entretenus sur les possibilités qu’offre notre partenariat qui existe déjà pour pouvoir l’élargir à d’autres domaines notamment le commerce, l’investissement et l’économie », a-t-il souligné.

M.Alistair a précisé qu’il aura d’autres discussions « plus détaillées » avec d’autres responsables algériens sur « l’excellente » coopération en matière de coopération sécuritaire entre les deux pays, relevant qu’à travers cette visite « nous pourrons également renforcer des liens dans d’autres domaines ».

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Dialogue stratégique algéro-britannique sur les questions de sécurité à Alger

Thu, 06/07/2018 - 18:59

ALGER- L’Algérie et le Royaume Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord tiennent, jeudi à Alger, la 8eme session du dialogue stratégique bilatéral sur les questions de sécurité sous la coprésidence du Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Noureddine Ayadi et le ministre d’Etat pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, Alistair Burt.

Les discussions porteront sur « l’état des relations bilatérales ainsi que sur l’évolution des conflits et crises qui persistent dans la région et les menaces que font peser les fléaux du terrorisme et du crime organisé transnational sur la stabilité et la sécurité régionales ».

Ce dialogue est un cadre informel que les deux pays ont mis en place pour promouvoir la concertation et la coopération bilatérale dans les domaines liés aux questions sécuritaires bilatérales, régionales et internationales d’intérêt commun.

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Examen de fin de cycle primaire 2018: Léger recul du taux de réussite

Thu, 06/07/2018 - 17:01

Par Massiva Zehraoui.

Les quelque 797 812 candidats qui ont été examinés le 23 mai dernier au niveau des différents établissements du pays, ont ainsi pu s’enquérir de leurs notes via Internet dans la soirée d’hier.

Les résultats de l’examen de fin de cycle primaire (5 e) ont été rendus publics hier. Le taux de réussite a atteint 87,25%, a annoncé la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, mardi soir, sur sa page Facebook officielle.
«Les résultats de l’examen de fin de cycle primaire pour la session 2018 seront annoncés mercredi 6 juin à partir de 17h00 sur le site http:cinq.onec.dz», a-t-elle indiqué.
Les quelque 797 812 candidats qui ont passé l’examen le 23 mai dernier au niveau des différents établissements du pays, ont ainsi pu s’enquérir de leurs notes via Internet dans la soirée d’hier. Notons par ailleurs, que le nombre d’élèves ayant réussi leurs épreuves, haut la main, a par le passé, constamment oscillé entre 80 et 90%. Toutefois, si l’on compare le taux de réussite de la session 2018 à celle de l’année écoulée, on remarquera qu’un léger recul a été enregistré.
En effet, en 2017, le taux de succès a atteint 89,38%. Ce même nombre s’était par la suite, établi à 93,91%, soit après le rachat sur la base de la fiche de synthèse. Encore faut-il souligner que cette année, le nombre de candidats à l’examen de passage en première année moyenne a été supérieur à la session précédente, avec une augmentation de près de 4, 8%. Pour ce qui est du déroulement de la 5e, le 23 mai dernier, quelques perturbations, rappelons-le, sont survenues au cours de cette journée. Il s’agit des fuites des sujets sur les réseaux sociaux, des deux matières principales, à savoir les mathématiques et la langue arabe. Cela est arrivé à peine 15 minutes après le début des épreuves dans la matinée. Pourtant, c’est un dispositif rigoureux qui a été installé ce jour là, afin justement de faire face à de tels imprévus. Certes, ce petit couac n’a pas eu d’incidences particulières sur l’examen, qui s’est finalement terminé de façon sereine, mais il a tout de même contribué à perturber le déroulement de ce dernier. Cela a été engendré par des personnes travaillant dans l’enceinte de l’établissement, lesquelles auraient pris des photos pour les diffuser ensuite sur Facebook. Précisons que le nombre des candidats concernés par la session 2018 a été de 797 812 élèves, lesquels ont été répartis sur 7 371 centres d’examens.
En ce qui concerne les résultats de l’examen du brevet de l’enseignement moyen (BEM), ils seront annoncés le 18 juin prochain. Une fois cette date passée, les services du département de l’éducation nationale se prépareront pour la tenue du dernier examen de fin d’année mais aussi le plus important; le baccalauréat qui débutera à partir du 20 juin.
Les derniers préparatifs se peaufinent, avec pour premier objectif, écarter tout risque de fraude. Nouria Benghebrit a ainsi assuré qu’un dispositif draconien est mis au point afin qu’aucun incident grave ne vienne impacter le déroulement des épreuves.

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La coquette à l’heure de l’après-iftar: Annaba ou le Ramadhan by night

Thu, 06/07/2018 - 16:55

Par Wahida BAHRI .

Le shour en bord de mer, balades et discussions interminables tout le long de la corniche caractérisent les soirées des Annabis.

Jadis vécu dans la pure tradition, le mois du jeûne s’offre une petite escapade dans le monde du modernisme, avec les veillées ramadhanesques loin du carcan d’antan où, «essahra» à la maison était la tradition des familles annabies. Depuis quelques années les coutumes et traditions du mois de Ramadhan ont quelque peu évolué, pour ne pas dire changé à la faveur de nouvelles habitudes adoptées par les jeûneurs. C’est le cas de le dire pour Annaba où, en dépit de la conservation jalouse des rites et traditions du mois de Ramadhan, il y a tout de même ces inhabituels comportements intrus au «processus» ramadhanesque, le shour en bord de mer entre autres.

Le bord de mer, un restaurant grandeur nature.
Ainsi, au niveau de la plage Saint-Cloud ou Chapuis ou Aïn Achir, des familles entières avec leurs enfants, des couples et des groupes d’amis se réunissent tous les soirs pratiquement, autour de tables du shour improvisées. Le Front de mer attire de plus en plus de monde. Des jeunes, des moins jeunes et des enfants investissent, en effet, les lieux, une heure environ après le ftour. Les adultes sont chargés de glacières et de couffins de pique-nique où les mets sont gardés au chaud ou au froid. Pendant que ces derniers préparent la table dans une ambiance joyeuse, les enfants jouent au ballon ou sur le sable. Une fois les mets et les couverts disposés sur les tables, les adultes prennent place en papotant gaiement tout en admirant le va-et-vient des vagues. Vu que l’éclairage public n’éclaire pas suffisamment la plage, certains allument des bougies, les mettant dans des verres pour abriter les flammes du vent. Une ambiance très intime et chaleureuse enveloppe les jeûneurs, à peine perturbée par les cris excités des enfants. Au moment du shour, le cliquètement des couverts et les brouhahas ajoutent une note d’intimité. Une fois rassasiés, des groupes se constituent pour débarrasser les lieux avant de prendre un bon café chaud, et enfin reprendre le chemin du retour à la maison. En cours de route, on prend soin de ne pas oublier la dernière gorgée d’eau avant le dernier Adhan. Du Vidro jusqu’au cap de Garde, l’ambiance est de tous les instants. Des parties de jeux de société sont organisées, ici et là, par certains, tandis que d’autres se contentent de discuter en sirotant du thé et en fumant le narguilé. A quelques heures du shor, les jeunes, venus en groupe, préparent un barbecue à la plage pour préparer grillades et brochettes. L’odeur alléchante de la viande envahit aussitôt la plage. Assis parfois à même le sable, ils savourent tranquillement leur viande en profitant de la fraîcheur et des derniers moments de la nuit. Les trépidations de la vie nocturne se font sentir dans toutes les rues de Annaba, le centre-ville, notamment.
Après les premières heures du ftour, le majestueux Cours de la révolution, place emblématique de la ville des Jujubes, doté d’un nouveau look, fait le plein juste après la prière des «tarawih». Ses terrasses qui ont changé de décor et de commodités, sont investies par un public à la recherche de détente et de repos après une journée de jeûne. Les autres sites de la Coquette sont, eux aussi, animés. Les commerces activent sous l’oeil vigilant des services de sécurité, dont les éléments se confondent avec la foule, tel un caméléon qui change de couleur selon les circonstances. Leur présence assure la sécurité et la quiétude des veillées du mois de Ramadhan. Un mois qui semble remonter dans le temps pour transporter la ville des Jujubes vers un jadis pas aussi lointain.
Un passé où les veillées ramadhanesques de Annaba étaient renommées, avec les soirées de Aïssaouia et Hadra. Des soirées de psalmodies et de madaïh coraniques, entre autres traditions et rites du mois sacré.
Bien que ces dernières affichent un retour en force au sein de la société annabie, il demeure toutefois, que les nouveautés tentent de se frayer une place au sein de ces comportements des Annabis, comme la chicha. La chicha, a fini par s’incruster dans la société algérienne, à Annaba notamment où elle fait de plus en plus d’émules. En effet, le narguilé gagne chaque jour de nouveaux adeptes parmi les jeunes Annabis. Les fumeurs de la pipe à eau affirment que «c’est une source de plaisir et de détente». A Annaba, les soirées exclusives sont réservées à la «qaâda à la chicha» arrosées de café et de thé à la menthe, accompagnées de fruits secs, amandes et pistaches entre autres. L’usage de la chicha est presque général, mais un peu plus durant le mois sacré. En bord de mer, dans les salons de thé et café et même en bas des immeubles, les groupes de fumeurs du narguilé se partagent le plaisir de fumer la chicha entre amis. Ils se rassemblent autour d’une partie de cartes ou de dominos pour profiter des veillées du mois de Ramadhan, jusqu’au shour.
Le cas est le même dans les autres villes satellites de la métropole Annaba. El Hadjar, El Bouni, Sidi Amar et Berrahal entre autres, où la même ambiance est observée.

Le narguilé pour égayer les soirées ramadhanesques
Si pour certains habitants de ces localités, la Corniche est la destination familiale par excellence, pour d’autres, les adeptes des places et placettes publiques, celles-ci demeurent le point d’atterrissage pour converser du tout et de rien entre amis et copains du quartier. C’est pour dire que l’ambiance ramadhanesque est la même dans toute la wilaya de Annaba, où les veillées se poursuivent dans le calme. Ainsi Annaba by night in Ramadhan, observe des soirées exceptionnelles et spécifiques que l’on ne trouve nulle part ailleurs.

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Forets et plages sont prises d’assaut: Un ftour pas comme les autres…

Thu, 06/07/2018 - 16:40

Par Walid AÏT SAÏD.

La monotonie du Ramadhan vous ennuie? Pas de panique, on vous fait découvrir deux expériences qui vous feront voir le Ramadhan d’une autre façon, tout en gardant ses traditions. Appréciez-plutôt!

Les deux premières semaines du Ramadhan se sont écoulées, la chorba et le bourek vous sortent du nez, la routine commence doucement, mais sûrement à s’installer! Comment faire pour casser cette monotonie? Certains ont trouvé la solution en faisant de leur ftour une aventure…et pas seulement culinaire! C’est le cas de Sami et sa bande d’amis. Ces Algérois ont «enfourché» leur véhicule pour un ftour à 1478 m d’altitude! 146 km et deux heures de route, plus tard, ils arrivent à leur «restaurant» du soir qui n’est autre que le Parc national deTikjda. Comme le faisaient leurs ancêtres, il y a quelques siècles, ces citadins ont décidé de rompre le jeûne en pleine forêt, sous un feu de camp qui illumine leur belle soirée. Un campement de fortune y est ainsi installé. Ils commencent par ce qu’ils qualifient d’élément essentiel pour la réussite de leur soirée, à savoir un grand sac-poubelle où ils verseront leurs détritus ainsi que ceux des «campeurs» qui sont passés avant en faisant preuve d’incivilité. «On est venu se réconcilier avec la nature, pas l’agresser…», souligne Sami, avec philosophie. Après, cette étape primordiale commence le partage des tâches. Les hommes vont chercher du bois, pendant que les femmes s’occupent de préparer la cuisine. Plus d’une heure après, les apprentis «bûcherons» reviennent chargés de bois. «C’est du bois mort, on ne touche pas aux arbres», soulignent avec un large sourire les membres du groupe qui s’apprêtaient à «élever» cette flamme «ramadhanesque». Une belle braise reluit soudainement, sous un tonnerre d’applaudissements. L’élément incontournable du camping est là, on peut alors piquer un petit somme en attendant l’Adhan du maghreb. «Que demander de plus. On n’est pas au paradis là? Loin du bruit de la ville, de la pollution. Rien que cette petite sieste vaut de l’or. C’est un véritable moment de plaisir, où l’on se ressource. Un petit quart d’heure, et on est prêt pour affronter toute une autre journée», lance avec des yeux qui brillent, Youba, un autre membre du groupe. Aux alentours de 19h30, les campeurs du Ramadhan, se lèvent les uns après les autres, direction la source d’eau pour se laver le visage et remplir les bouteilles qui étancheront leur soif, pas celle de l’aventure…

Une randonnée pour bien digérer
Il est un peu plus de 20 h, quand les réveils commencent à sonner. C’est l’heure de l’iftar. On réchauffe les bons petits plats sur ce magnifique feu, dont la beauté s’accentue au rythme de la nuit! On mange à même le sol, autour du feu, on se raconte des blagues, on se rappelle des bons moments de la journée en dégustant une chorba qui n’a pas incontestablement le même goût que d’habitude. «C’est notre nourriture, c’est nous qui avons l’habitude de la préparer. On n’a rien changé aux recettes, mais je vous assure que le goût est complètement différent. Ce magnifique panorama nous fait apprécier autrement la nourriture…», assurent les cuisinières attitrées du groupe. Après ce bon moment de dégustation, il faut maintenant digérer! Quoi de mieux qu’une randonnée? Oui, oui vous avez bien entendu, une randonnée nocturne dans les montagnes du Djurdjura, et ce, en toute sécurité. «Un peu de sport ça ne fait pas de mal! On va à la rencontre de Dame nature qui est toute en beauté sous le ciel étoilé», précisent ces jeunes qui refusent d’aller perdre leur temps dans le café du coin. Sami et ses amis ne sont pas les seuls à avoir opté pour ce ftour des plus ludiques. D’ autres petits groupes, venant de plusieurs wilayas du pays ont fait de même. Néanmoins, ce ftour «forestier» reste minime par rapport à la tendance du ftour maritime! En effet, le déjeuner en bord de mer est une tendance qui est apparue ces dernières années avec le Ramadhan en plein été. Malgré, le fait que cette année il n’a pas fait aussi chaud que d’habitude, l’iftar en bord de mer est toujours aussi à la mode. C’est le cas des plages les Canadiennes et Déca -plage à Aïn Taya (côte est d’Alger) qui se transforment en véritables restaurants à ciel ouvert. On trouve de grandes tables dressées comme dans des restaurants étoilés. Elles sont occupées par les familles, des groupes d’amis ou des couples.

Ambiance et sécurité assurées
Les jeunes du quartier qui tiennent le parking proposent des chaises et des tables à louer: 800 dinars la table avec ses quatre chaises.
«Cela peut paraître cher, mais ce prix nous permet d’être tranquille. Car, ces jeunes sont aussi là pour assurer la sécurité», confie Zakaria, un père de famille accompagné de sa femme Narimane et de leurs deux enfants. C’est parfait de ce côté-là, tout comme pour l’éclairage! Une ambiance bon enfant règne au niveau de ces restaurants d’un autre genre. Pendant que les parents s’affairent à préparer la table, les petits en profitent pour aller piquer une tête. «Un bon bol d’air frais, des vagues qui bercent notre fftour, le tout dans une ambiance extraordinaire. Que demande le peuple?» se réjouit Linda, toute heureuse de pouvoir profiter du sable fin doré et de l’eau cristalline de cette magnifique plage des Canadiennes. Le soleil, se couche. El Adhan retentit, certains vont faire la prière alors que d’autres attaquent directement leurs assiettes. «C’est la troisième fois que l’on vient avec ma petite famille, je ne suis jamais déçue», assure Lamia qui s’affairait à chercher un peu de sel à remettre à la famille qui se trouvait à la table voisine. Car, les valeurs du Ramadhan que sont la convivialité, le partage et la bonne ambiance sont au rendez-vous. On échange des denrées qui manquent, on discute, on rigole, le tout dans une ambiance des plus conviviales. Il y a un respect total entre tous les amoureux du ftour maritime et ce quelle que soit leur idéologie. On est face à un vrai modèle du bien-vivre ensemble. Les djellaba font face aux maillots de bain. Certains vont piquer une tête, pendant que d’autres choisissent de préparer la table de la «sahra», où ils s’adonnent à des parties de dominos à même le sable, assorties de «moukasirate» (amuse-gueule), comme ils aiment les appeler. Outre les cacahuètes, il y a aussi la fameuse «chicha» et sa douce odeur que l’air marin colporte à travers la plage. Le temps passe, le shour arrive! Certains sont déjà rentrés chez eux, d’autres ont carrément choisi de continuer leur sahra jusqu’au bout de la nuit! Il y en a même qui ont opté pour des grillades nocturnes. Ils allument leur barbecue pour s’offrir un bon «chewa» en guise de shour. C’est ce que l’on peut appeler un Ramadhan pas comme les autres. Alors n’hésitez pas à «plonger» dans cette expérience…

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Examen du bac: Facebook sera « bloqué »

Thu, 06/07/2018 - 16:36

La ministre de la Poste et des Technologies de l’Information a déclaré, mercredi, que les réseaux sociaux, notamment Facebook, seront systématiquement bloqués pendant la première heure de chaque épreuve du baccalauréat.

S’exprimant en marge d’une visite officielle à Mila, Imane-Houda Faraoun a expliqué que cette mesure préventive s’inscrit dans le cadre du dispositif de sécurisation de l’examen du bac, en l’occurrence empêcher la publication des sujets sur Facebook. Ce dispositif, qui consiste à verrouiller les réseaux sociaux pendant la première heure de chaque examen, a montré cette année son efficacité, tant pour l’examen de cycle primaire que pour le BEM, puisque les épreuves n’étaient accessibles sur Facebook qu’après consommation d’une bonne partie du temps de l’épreuve.

Et du coup rendant vaine toute tentative de fraude. Conséquence de la décision de la ministre annoncée aujourd’hui à Mila : des désagréments inéluctables pour les accro des réseaux sociaux durant tout la période de l’examen du bac, qui va du 19 au 24 juin.Par ailleurs, l’Association nationale des parents d’élèves vient de renouveler son appel aux candidats en leur conseillant de se « concentrer sur leurs révisions et de ne pas se laisser distraire par des faux sujets qui seraient éventuellement publiés sur les réseaux sociaux ».

Par : RAHIMA RAHMOUNI

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Soumaa: Un homme tué dans une altercation

Thu, 06/07/2018 - 16:28

Par Tahar Mansour,

  La circulation automobile dense en certaines heures de la journée et l’impatience d’automobilistes pressés d’arriver chez eux entraînent souvent des disputes qui peuvent se terminer par des drames. C’est ce qui est arrivé avant-hier sur le CW reliant Soumaa à Boufarik quand une altercation s’est produite entre deux conducteurs de véhicule et l’un d’eux se dirigea alors vers son adversaire pour lui porter des coups de couteau.

Les témoins de la scène ont appelé le 1055 et une patrouille de la brigade de gendarmerie de Boufarik s’est rendue sur les lieux où gisait la victime dans son sang. Une enquête a été aussitôt diligentée qui a permis l’identification et l’arrestation du principal suspect ainsi que ses deux complices. Les trois mis en cause ont été présentés aux autorités judiciaires compétentes sous les chefs d’inculpation de constitution d’association de malfaiteurs et assassinat.

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Le projet des 500 logements sociaux en phase d’achèvement: Plus de 4.000 demandes à étudier à Aïn El Turck

Thu, 06/07/2018 - 15:19

Par Rachid Boutlelis,

Le projet des 500 logements sociaux de Aïn El Turck est en phase d’achèvement, a-t-on appris hier de sources proches de la commune. Un quota qui devrait atténuer un tant soit peu le problème du logement dans cette contrée. Toutefois, ces 500 unités ne pourront pas répondre à la forte demande de la population de Aïn El Turck. Nos sources indiquent que pas moins de 4.000 demandeurs attendent l’attribution d’un logement, certains depuis plus d’une décennie. Il est fort probable que la faible offre du quota de logements sociaux, face à la forte demande, constituera en toute vraisemblance un véritable casse-tête pour les responsables locaux. En effet, la demande s’amplifie encore au gré des familles sinistrées, venues de différentes régions du pays, notamment de l’Oranie, qui se sont installées dans les bidonvilles, essaimés à travers la contrée côtière d’Aïn El Turck et dont les plus importants sont répertoriés dans le chef-lieu.

Le projet de réalisation d’une cité de 500 logements sociaux, dont les travaux ont été confiés à une entreprise chinoise, situé juste en face de l’entrée principale du village Filaoucène, communément appelé El Qaria, à la sortie ouest de la municipalité d’Aïn El Turck et dépendant administrativement de celle de Bousfer, ne sera vraisemblablement pas en mesure de satisfaire la demande considérable des familles postulantes. Cette éventualité, proche de la réalité, à travers le fait qu’un peu plus de 900 familles sinistrées, composant la population du bidonville Oued Namousse, en référence à une rivière desséchée, longeant ledit village, et auxquelles sont destinés, en principe, ces 500 logements sociaux.

Même constat pour les 250 logements sociaux dans le quartier Bahia, à mi-chemin du village de Cap Falcon où est répertorié un immense regroupement de constructions illicites, bordant la façade maritime, qui ne cesse de grossir au fil des jours, et, dont les familles occupantes attendent légitimement en toute évidence un hypothétique relogement. Il importe de signaler dans cette même optique qu’un choix de terrain a été établi récemment par la wilaya d’Oran, non loin du village de Cap Falcon, pour le lancement incessamment des travaux de réalisation d’un projet de 1.500 logements, de formule AADL. Toujours est-il qu’en toute vraisemblance l’opération de distribution du logement social ne sera pas une mission de tout repos dans ladite contrée, qui est confrontée à une démographie galopante depuis les deux dernières décennies.

Il faut signaler qu’outre les habitants des bidonvilles et les demandeurs de logement ayant déposé des dossiers il y-a plusieurs années, de nombreuses familles squattent des biens communaux notamment le théâtre de verdure de Trouville et des centres de colonies de vacances. Des familles qu’il faudrait aussi reloger pour permettre a la municipalité de récupérer ses biens. Pour cela, la daïra de Ain El Turck a un besoin pressant de nouveaux programmes de logement a même de prendre en charge une partie des demandeurs, dont certains attendent un logement depuis plusieurs années.

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Constantine – Première quinzaine du Ramadan: Baisse sensible de la criminalité dans les wilayas de l’Est

Thu, 06/07/2018 - 15:15

Par A. Mallem,

  Selon le chef du Bureau régional de la Communication et des Relations publiques, l’inspecteur divisionnaire de police de l’Est, Rachid Baaili, le taux de criminalité a baissé de 20 % dans les 15 wilayas de l’Est, durant les 15 premiers jours du Ramadan, par rapport à la même période de l’année passée. Il en est de même en ce qui concerne les accidents de la circulation dont le nombre enregistré a été de 144, dégâts corporels et dégâts matériels confondus où l’on a comptabilisé 3 morts. L’année passée, toujours à la même période du Ramadan, les services de police de la circulation de la région Est ont compté pas moins de 14 morts. « A titre indicatif et pour la wilaya de Constantine, a souligné M. Baaili, nous avons enregistrés 5 accidents qui n’ont pas occasionné de perte humaine, mais ont fait uniquement 4 blessés, 2 femmes et 2 hommes, et des dégâts matériels ». Et de faire remarquer que ces accidents se comptent pour ceux intervenus dans la circonscription dévolue à la police, en exclusion des accidents survenus dans celle couverte par la gendarmerie nationale.

Dans une conférence de presse qu’il a animée, hier, au siège de l’Inspection régionale de la police de l’Est, située à la zone industrielle Boussouf, cet officier de police a communiqué le bilan des activités de la police de la région, réalisé durant les 15 premiers jours du Ramadan, en les insérant dans 4 domaines principaux : les dispositions prises pour sécuriser directement le mois de Ramadan, à l’Est, qui a nécessité la réquisition de 26.000 fonctionnaires de police. Ceci en plus d’une force d’appoint évaluée à 14.226 fonctionnaires de police. Les repas chauds servis aux voyageurs de passage au niveau des barrages et autres points de la circulation routière et dans les salles d’attente des centres de transit et ce, en collaboration avec les Scouts, l’Association ‘Sécurité routière’, le Croissant-Rouge algérien et d’autres partenaires, et dont le nombre est monté à 3.119 repas, y compris aux postes frontaliers. « L’objectif principal visé par cette initiative de la DGSN est de diminuer les accidents de la circulation, durant cette période de pointe, précédant le ‘f’tour’ où les conducteurs sont pressés et ont tendance à faire de la vitesse», a souligné M. Baaili. Ce dernier a parlé, aussi, des mesures prises par la direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) pour sécuriser les examens de fin d’année dans la région Est (6ème , BEM et BAC), opération qui a nécessité la réquisition d’une force constituée de 22.610 agents de police, répartis sur 3.474 centres d’examens, dans la circonscription couverte par la Sûreté nationale.

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Filière Céréalière: une bonne saison attendue à Bouira

Thu, 06/07/2018 - 15:07

L’abondance des pluies reste un élément déterminant dans les rendements de cette année.

En prévision de la campagne moissons-battage, la direction des services agricoles de Bouira et ses divers partenaires s’attellent à mettre en place le dispositif matériel et humain inhérent à cette opération saisonnière. Cet évènement est majeur pour la wilaya de Bouira dont la culture céréalière reste une activité dominante avec une couverture avoisinant les 37% de la surface agricole utile (SAU) et qui correspond à 70.000 ha. Pour rappel, la campagne labours -semailles pour l’exercice 2018 se résume à une surface emblavée totale de 65.695 ha et un programme de multiplication de l’ordre de 8 191 ha. 516 agriculteurs ont bénéficié du crédit Rfig dont le montant accordé s’élève à 420.000.000 DA. Concernant les semences et selon les chiffres de la DAS, 58 434 quintaux de blé dur des variétés: chene’s, simito et amar06 ont été livrés. Pour le blé dur, des variétés Arz et Aïn Abid, 5509 quintaux, 12.607 q d’orge Rihane et Saïda en plus de 414 q d’avoine.
L’abondance des pluies reste un élément déterminant dans les rendements de cette année. La wilaya a enregistré du mois de septembre 2017 au 20 mai 2018 une pluviométrie de 498 mm en 86 jours. Au mois de septembre, octobre et novembre, 124 mm sont tombés en moins de 11 jours, une pluie qui a favorisé les travaux du sol. A la période de germination, au mois de janvier il était tombé encore 86 mm. La période printanière qui coïncide avec le stade de tallage et le début de montaison a été favorisée par les mois de février et mars très humides avec une pluviométrie de 157 mm en 31 jours. Les mois d’avril et mai seront aussi suffisamment humides avec 129,3 mm, une eau aux incidences favorable aux céréales surtout que ces pluies coïncident avec le début de la formation du grain pour l’orge et les blés semés précocement. Cette abondance d’eau ne pouvait être sans incidence sur les récoltes. Dans le cadre des opérations d’entretien, deux opérations de désherbage et de fertilisation sont menées à la mi-janvier. Ainsi pour la première action, pas moins de 39 489 ha ont été ciblés et 43 410 ha sont touchés par la fertilisation. Toujours dans l’optique d’un meilleur rendement les agriculteurs de la wilaya ont eu droit à 26 journées de vulgarisation et de sensibilisation organisées en étroite collaboration avec les firmes Bayer, Syngenta, Profert. Les conditions climatiques actuelles sont en faveur des céréales et aucun incident pathologique n’a été enregistré par le comité de veille phytosanitaire installé dans ce sens, qui est encadré par les services de la DSA en étroite collaboration avec les instituts techniques à savoir l’Itcg de Beni Slimane, Inpv de Draâ Ben Khedda et la Ccls de Bouira.
Les préparatifs pour la campagne moissons-battage sont entamées depuis le mois de mars dernier avec la mise en place du comité technique chargé du suivi et de l’évaluation et qui regroupe la DSA,CAW, Ccls, Crma, Protection civile, la Conservation des forêts… Ces dispositions concernent aussi l’installation du guichet unique qui se chargera du paiement des productions et la mise en place des circuits de livraison. Une journée d’étude est prévue aujourd’hui le 6 juin et portera sur les dispositions à prendre en compte dans la préparation du matériel, moissonneuses, citernes, tracteurs, camions… et surtout sur la nécessité de raccourcir au maximum l’opération de récolte. Pour les besoins de cette campagne, les services en charge ont prévu 3 549 tracteurs, 267 moissonneuses-batteuses, 1763 remorques et 1328 citernes. Pour le volet stockage, les capacités de la coopérative de Bouira et ses antennes de Sour El Ghozlane et de Aïn Bessem sont de l’ordre de 978.000 q. Un nouveau point de collecte d’une capacité de 3000 q est prévu à Taguedit à l’extrême sud de la wilaya. Les prévisions de récolte tablent sur une production de 1.273.825 quintaux de blé dur, 183.410 q de blé tendre, 366 028 q d’orge et 25.312 q d’avoine. Le rendement à l’hectare tourne autour de 29 q/ ha pour le blé dur et 31 q/ha pour le blé tendre.

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Cinq étudiants algériens parmi les lauréats de la bourse Eiffel 2018

Thu, 06/07/2018 - 15:04

Le prestigieux programme de bourses d’Excellence Eiffel a sélectionné 5 étudiants algériens pour la rentrée 2018/2019, parmi les 1 584 dossiers évalués dans le monde entier.
Le programme de bourses Eiffel est un outil développé par le Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères afin de permettre aux établissements français d’enseignement supérieur d’accueillir les meilleurs étudiants étrangers dans des formations diplômantes de niveau master et doctorat. Ce programme de prestige récompense les étudiants internationaux présentés par l’établissement français où ils poursuivront leurs études, et retenus par un jury d’experts. Il permet de former les futurs décideurs étrangers des secteurs privé et public, dans les domaines d’études prioritaires, et de stimuler les candidatures d’étudiants originaires de pays émergents.

Cinq brillants candidats algériens se sont distingués pour la rentrée 2018 !
Trois doctorants algériens ont bénéficié de cette bourse et effectueront leur thèse dans les universités françaises (Université Paul Sabatier Toulouse, Université Savoie Mont-Blanc Chambéry, Université de Technologie de Troyes). Deux autres étudiants ont obtenu une bourse de Master en « Sciences de l’Ingénieur » et « Economie et Gestion ». Ils rejoindront respectivement l’Université Paris-Sud et l’Université Paris-Dauphine.
Les lauréats Eiffel perçoivent une bourse annuelle équivalente à 20 000 euros (2 500 000 DA) comprenant une allocation mensuelle, (1 181 euros pour un niveau master, 1 400 euros pour un niveau doctorat). Ils bénéficient également de la prise en charge directe de plusieurs prestations (voyage aller/retour, couverture médicale et activités culturelles) et de l’allocation logement.

L’Institut Français d’Algérie et Campus France Algérie les félicitent et leur souhaitent une belle réussite dans leurs études et leurs futurs travaux de recherche. Le réseau France Alumni Algérie sera fier de les compter parmi ses membres !

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Le transport urbain pas totalement efficace: Tout s’arrête à l’approche du Adhan

Thu, 06/07/2018 - 15:03

Le système de «permanence» mériterait d’être revu dans beaucoup de secteurs de la vie économique.

Si d’aucuns se félicitent et se réjouissent de la disponibilité des transports publics en cette période de Ramadhan, le jour et tard le soir après l’iftar, ceux qui doivent emprunter un transport public ou privé à l’approche du ftour ne sont pas hélas de cet avis.
Malgré les efforts déployés par les entreprises de transport public urbain des grandes villes, qui ont rendu le transport des voyageurs plus fluide et plus satisfaisant, des carences persistent cependant et sont difficiles à corriger. En effet, pouvoir prendre un bus de transport public, encore moins un bus privé, à l’approche de la rupture du jeûne est une gageure dont nombre de citadins ont pâti. Souvent, ces malchanceux, se rabattent alors sur les taxis, encore s’ils daignent s’arrêter et s’ils vont dans la même direction que l’usager demande!
Que faire dans ces cas-là? Nombre d’entre eux n’ont de choix autre que de se rendre dans un restaurant «proche» et y trouver place, car les tables sont occupées souvent une quinzaine de minutes, si ce n’est plus, avant l’iftar. Ils auront alors le choix de se rendre à un des restaurants de la «Rahma» qui sont déjà bondés et où le même scénario se répète avec des jeûneurs qui attendent leur repas depuis plus d’un quart d’heure, voire une demi-heure pour certains.
L’Etusa ne pourrait-elle pas étudier et asseoir un système de «permanence» avec quelques bus assurant le transport dans certains axes urbains importants où sont concentrés de nombreux pôles d’emploi? Il est certes difficile pour ce faire car les conducteurs et receveurs de bus observent également le jeûne et doivent être à l’heure devant leur «chorba» au moment de la rupture du jeûne. Il est à signaler que beaucoup de métiers et emplois nécessitent «impérativement» une présence «permanente» même pendant le ftour du Ramadhan, grâce à un système «judicieux» de présence à son poste. Cependant, cette obligation est-elle respectée partout où c’est nécessaire? Hormis quelques postes stratégiques comme la Défense, la Santé et l’aérien…peu de secteurs appliquent cette obligation qui ne dure en fin de compte que moins d’une heure.

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Bouira: 688 logements sociaux distribués

Thu, 06/07/2018 - 14:58

On dit que la nuit du 27ème jour du Ramadhan est celle où les voeux des pieux sont exaucés. Ce fait semble se concrétiser pour pas moins de 688 familles à travers plusieurs localités de la wilaya de Bouira. Les responsables locaux semblent avoir retenu cette date pour rendre le sourire aux bénéficiaires des logements sociaux en leur attribuant les clés. L’opération concernera particulièrement 168 bénéficiaires de la liste des 814. Les heureux élus sont ceux qui ont été affectés lors du tirage au sort, sur le site des 168 logements. Le reste des bénéficiaires auront leurs clés d’ici le 5 juillet prochain. L’opération de la nuit sacrée «Lailatou el Kadr» concernera aussi les localités de Bir Ghbalou avec 160 unités, Aït Laâziz (70 Lgts), Aomar (90), Taghzout (50), Raouraoua (50) Bechloul (50), Aïn Bessem (27), Bouderbala (23) soit un total de 688 logements. Le communiqué de la cellule de communication de la wilaya de Bouira précise aussi que la wilaya compte 4 060 logements sociaux dont 2081 ont fait l’objet d’une affectation préliminaire et les arrêtés et les clés seront remis dès la fin des travaux d’aménagement et de viabilisation achevés sur les divers chantiers.

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Tizi Ouzou: Les médecins résidents ont marché dans le calme

Thu, 06/07/2018 - 14:57

Par Aomar MOHELLEBI.

L’objectif recherché consiste à réitérer la «détermination inébranlable» des médecins résidents à mener leur combat jusqu’à satisfaction de leurs revendications.

Des centaines de médecins résidents, venus de plusieurs wilayas du pays, ont pris part, hier, à la marche prévue depuis une semaine dans la ville de Tizi Ouzou. Les manifestants se sont retrouvés dès le milieu de la matinée devant le Centre hospitalo-universitaire Nedir-Mohamed de Tizi Ouzou. Les médecins résidents ne sont pas arrivés en même temps mais ils atterrissaient progressivement à l’endroit où devait démarrer la marche. D’ailleurs, même après le coup d’envoi de la manifestation, d’autres médecins résidents en provenance de wilayas lointaines, y affluaient encore, au fur et à mesure que la marche avançait. Une grande partie des marcheurs était vêtue de blouses blanches, a-t-on constaté tandis que certains manifestants brandissaient des banderoles où étaient inscrits leurs slogans dans les deux langues arabe et française. Parmi les mots d’ordre que l’on pouvait lire sur les banderoles brandies et sur les affichettes, figuraient ceux-ci «Force dignité solidarité» et «halte à la répression»… Les médecins résidents qui ont pris part à cette énième marche ont traversé dans le calme la rue Lamali-Ahmed, puis le boulevard Abane-Ramdane, avant de poursuivre leur petit périple sur le boulevard «Larbi Ben M’hidi». Le point d’arrivée de la marche a été le carrefour Matoub-Lounès, en face de l’ancienne gare routière à l’entrée ouest de la ville. Tout au long du déroulement de la marche, des médecins résidents, munis d’amplificateurs de son, n’ont pas cessé de crier haut et fort leur colère et les marcheurs répétaient systématiquement les slogans entonnés. A noter qu’au cours de la marche, l’activité commerciale s’est poursuivie normalement, car la ville de Tizi Ouzou a l’habitude, ces derniers temps, d’accueillir des marches qui se déroulent fort heureusement dans le calme et sans aucun incident ce qui n’était pas le cas dans le passé.
A cette occasion, le collectif des médecins résidents autonomes ayant appelé à cette manifestation ont rendu publique une déclaration afin d’expliquer leurs préoccupations. Ce collectif rappelle dans sa déclaration, que cette semaine, les médecins résidents allaient boucler les sept mois de grève. Les concernés précisent que cette période de contestation a été faite de «résistance, d’union et de bravoure». «Sept mois durant lesquels les médecins résidents algériens n’ont ménagé aucun sacrifice pour défendre leurs droits les plus légitimes. Les tutelles quant à elles, ont préféré jouer la carte du mutisme et de l’indifférence», précise le collectif des médecins résidents dans le même communiqué. Et d’enchaîner: «Nous avons prouvé que la solidarité dont nous faisons preuve depuis le déclenchement de notre mouvement de protestation, a bravé toutes les manoeuvres de division et de discrédit.» Par ailleurs, le même collectif a tenu à dénoncer et à condamner «avec fermeté les mesures administratives sans fondement juridique prononcées par certains services à l’égard de plusieurs de nos confrères résidents». Le collectif ajoute: «Nous réaffirmons encore une fois que seule une volonté réelle et responsable pourra apporter des solutions pérennes et concrètes à cette impasse qui a tant duré, mettant en péril la santé du citoyen et prenant en otage l’avenir de 15.000 médecins». Et de conclure que par la marche de ce mercredi, l’objectif recherché consiste à réitérer la «détermination inébranlable» des médecins résidents à mener leur combat jusqu’à satisfaction de leurs revendications. «Nous voulons aussi arracher notre dignité tant bafouée», a conclu le collectif algérien autonome des médecins résidents. A noter qu’à la fin de la marche, les manifestants se sont dispersés dans le calme.

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