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Updated: 2 days 6 hours ago

CR Village Moussa: Dans l’attente de l’assemblée générale

Thu, 06/21/2018 - 16:46

 A. Mallem.

Selon Mellit Mohamed, président du Chabab Riadhi Village Moussa de Jijel, l’AG ordinaire du club se tiendra la semaine prochaine. A partir de là sera enclenchée la préparation de la prochaine saison footballistique du CRMVJ. « Jusqu’à présent, nous n’avons rien fait. Nous avons préféré passer d’abord le Ramadhan avant d’entamer la préparation. Alors, autant vous dire que rien n’a été fait. Ni recrutement ni renouvellement des signatures des joueurs qui étaient avec nous la saison passée », nous a déclaré le président lorsque nous l’avions contacté en début de semaine.

A la question de savoir si la direction du club avait pris des précautions pour conserver au moins l’ossature de l’équipe de la saison passée dont plusieurs éléments sont convoités par la JSD, Mellit nous a répondu qu’il n’est pas inquiet à ce sujet. « Beaucoup de joueurs nous ont promis qu’ils vont rempiler avec le CRMVJ. Nous sommes constamment en contact avec eux, et ils attendent simplement un signal de notre part pour reprendre. Evidemment, si quelqu’un veut nous quitter, il est libre de le faire et nous ne chercherons pas à le retenir. Nous possédons un réservoir consistant de jeunes qui sont prêts à prendre la relève », a-t-il répondu en affirmant encore que le problème de son club ne s’est jamais posé à ce niveau.

La difficulté du CRVMJ, selon son président, se trouve ailleurs. Mellit l’a située au niveau des moyens financiers car le Chabab est un club pauvre qui manque de soutiens suffisants et de sponsors. Aussi, il compte sur l’aide des autorités locales et de la wilaya pour survivre dans la division nationale amateurs du groupe Est dans lequel il évolue. Aussi, après la tenue de l’assemblée générale ordinaire, compte-t-il entamer les démarches auprès de ces autorités locales pour demander l’aide au démarrage de la préparation de l’équipe pour le prochain championnat.

« S’il n’y a pas d’aide financière des autorités, je laisserais tomber et je quitterais le club, car je ne pourrais plus continuer à travailler dans des conditions difficiles comme je l’ai fait ces dernières saisons, surtout avec le fardeau de la dette qui nous empêche de progresser et d’assurer la survie de l’équipe. Chaque saison, le CRMVJ joue pour éviter la relégation. Cette situation ne peut continuer. Je suis fatigué et je pourrais alors passer le flambeau à d’autres », a affirmé sans ambages le président qui n’pas estimé nécessaire de nous communiquer le montant de la dette de son club.

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Categories: Afrique

Equipe nationale: Le limogeage de Madjer empoisonne la vie à Zetchi

Thu, 06/21/2018 - 16:45

Par Kamel Mohamed.

Le limogeage ou la démission de Rabah Madjer de l’équipe nationale tend à provoquer une polémique au sein de la FAF. Ce qui peut être appelé «affaire Madjer» va vers le pourrissement, puisque le sélectionneur national s’accroche à son poste, alors qu’une forte campagne contre lui veut qu’il jette l’éponge et facilite la tâche à la FAF pour engager un nouveau coach et préparer le prochain match contre la Gambie à Banjul (qualifications à la CAN-2019). Le président de la FAF, qui avait accepté l’injonction de désigner Madjer au poste de sélectionneur national, est en train de chercher des solutions pour l’amener à démissionner. Zetchi, qui a été lui-même imposé comme président de la FAF, n’a pas les coudées franches et peine à prendre des décisions souveraines. Aussi, l’erreur qu’il avait commise en engageant le sélectionneur espagnol Lucas Alcaraz pour le limoger au bout de six mois, continue de le hanter. Zetchi a peur de commettre une autre erreur avec Madjer, ce qui explique ses tergiversations quant à son limogeage. Il semble supplier Madjer pour trouver un terrain d’entente et aller vers une séparation à l’amiable. En parallèle, les membres du bureau fédéral sont «unanimes pour limoger Madjer», selon les propos de Zetchi, lequel a précisé que la décision sur l’avenir du sélectionneur national sera collégiale et prise par le bureau fédéral. Une manière pour Zetchi d’impliquer le bureau fédéral et de ne pas subir les conséquences de l’ire de ceux qui sont derrière la désignation de Madjer.

Le cas Madjer se complique davantage dès lors que sa sœur, Naima Madjer, qui est une ancienne speakerine de la télévision algérienne, a indiqué dans une interview qu’elle avait demandé à son frère de ne pas démissionner. Du coup, le cas de Rabah Madjer en tant que sélectionneur dépasse le cadre sportif, ce qui explique la gêne de Zetchi qui sollicite l’intervention du bureau fédéral pour clore de manière définitive le dossier Madjer. La réunion du bureau fédéral dimanche prochain devrait mettre fin à cette polémique qui fait perdre du temps à la FAF et à l’équipe nationale qui devrait se projeter sur ses prochaines échéances, notamment la CAN-2019. En attendant, le limogeage de Madjer empoisonne la vie du président de la FAF.

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Categories: Afrique

Code pétrolier : Pourquoi les amendements de la loi 2005 restent contre-productifs

Thu, 06/21/2018 - 16:43

Par Reghis Rabah.

Ce n’est pas, comme le laissent entendre certaines voix, que c’est l’amendement de 2013 qui n’a pas drainé d’investisseurs mais cela dure depuis la promulgation de la loi 2005 dont le contenu a été très controversé.

Ainsi, pour rappel depuis la promulgation de la loi 05-07 amendée en 2006 et 2013, l’Algérie a lancé quatre appels d’offres pour l’exploration et l’exploita tion des hydrocarbures qui se sont soldés par de maigres résultats. Le premier appel d’offres lancé en 2008 a débouché sur l’octroi de quatre blocs, le second organisé en 2009 s’est soldé par l’attribution de trois blocs, et seulement six blocs attribués pour le troisième appel lancé en 2011. En 2014, le 4e appel d’offres, le premier ayant été lancé dans le cadre de la nouvelle la loi sur les hydrocarbures promulguée en 2013 et autorisant l’exploitation du schiste, n’a permis d’accorder que quatre périmètres sur les 31 proposés. Au final, le constat est que les nouvelles découvertes de gisements de pétrole et de gaz de ces dernières années ont été surtout le fait de Sonatrach.

Ces multiples échecs ont poussé l’Alnaft à orienter le futur 5e appel d’offres, plusieurs fois reporté, sur des périmètres où des découvertes qui ont été réalisées c’est-à-dire des gisements existants. Des blocs orientés vers le développement et qui pourraient permettre une production rapide dès exploitation. Aujourd’hui, si un comité ad hoc composé de cadres de Sonatrach, de la direction juridique d’Alnaft dont la mission est l’élaboration et l’exécution des contrats pétroliers, d’une équipe du ministère de l’énergie qui n’est pas à son premier accord pétrolier, travaillant d’arrache pieds voilà prés de 7 mois ne sont pas sortis avec un semblant de résultat, c’est qu’il ya quelque chose qui ne va pas. Il est difficile de juger si le ministre de l’énergie a convaincu ou pas les membres du conseil de la nation qui selon toute vraisssemblance attendaient sa première mouture en juin comme il l’avait annoncé tout au début du lancement de la réflexion, de ce report à l’année prochaine et plus précisément à deux mois de l’échéance présidentielle. L’octroie de la partie technique à des bureaux d’étude américains semble selon de nombreux spécialistes une parade pour cacher justement un désaccord profond sur ce qu’il y a à changer ou éventuellement une méconnaissance totale de la défection des investisseurs du dernier amendement de 2013 en dépit des avantages fiscaux qu’il leur offre. Sinon, de quelles difficultés techniques ce comité a pu rencontrer pour faire appel à tant de cabinets américains spécialement pour lequel, notre ministre  » minimise  » l’aspect nationalité alors qu’elle est au cœur de la question. Il ne s’agit pas de compétence mais incontestablement une mauvaise orientation par manque de stratégie. On amende sans savoir ce qu’on veut. Puis après tout il s’agit d’un simple amendement d’une loi déjà mâchée et à deux fois rectifiée, le corps technique du contrat qui en découle ne change pas, c’est le régime de concession qui donne droit au concessionnaire de conduire et de financer l’exploration à son propre compte et en cas de découverte commerciale, il reçoit la totalité de la production après approbation du profil de production par Alnaft. Il est propriétaire des installations. Il paye les redevances et les impôts.

C’est aussi simple que cela. C’est la mouture originale de 2005 qui n’a pas drainé d’IDE. On sait aussi que des sociétés d’envergure multinationale comme ENI, BP, ExxonMobil, Total ont toutes manifesté leur intention de venir en avançant même de l’argent par coût de milliards semble t-il si l’on se réfère aux déclarations des uns et des autres. Le plus simple aurait été de les réunir et de leur demander ce qu’elles veulent puis on l’examine au lieu de faire appel à des cabinets qui ne resteront pas comptables de leur proposition une fois leur chèque encaissé.

C’est une simple fuite de responsabilité et tout le monde l’aurait compris. Lorsque la loi ainsi amendée ne ramène rien, on dira  » c’est pas moi, c’est eux  » Il faut souligner d’emblée que l’expérience mondiale a montré que lorsqu’un investisseur affiche son intention de s’embarquer dans ce domaine réputé aléatoire et très capitalistique, il évalue juste après le risque géologique, celui du pays. On entend par là, la stabilité politique qui pourrait affecter celle d’ordre fiscale. Donc la conception d’un code pétrolier représente la vitrine de cette stabilité recherchée.

Il devra décrire la stratégie pétrolière et gazière d’un pays et la gestion de son domaine minier dans la durée pour les générations présentes et celles futures. La fiscalité y est accessoirement présente avec une certaine flexibilité qu’une simple loi de finance et celle qui la complète ou un simple contrat pourraient assurer son évolution pour la rendre souple sans toucher au squelette de la loi cadre.

Le tout devra être teinté d’une certaine cohérence même si la mise en œuvre paraitra impopulaire et crée un malaise sociétal. L’expérience de nombreux pays pétroliers notamment africains montre que ces cabinets proposent des formules très longues et qui n’ont jamais trouvé une application effective sur le terrain. Si les objectifs de l’Algérie est la valorisation de ses ressources naturelles, l’augmentation des fruits de la rente par la vente des hydrocarbures jusqu’à son décollage économique pour une diversification de son économie qui assurera un développement durable, la question d’une nouvelle loi sur les hydrocarbures ne se pose même pas. Pourquoi ? Celle de 1986 qui instaure le partage de production clarifie amplement la relation contractuelle entre les acteurs et s’est avéré très productive.

3- la loi 05-07 est incompatible avec une économie totalement rentière

En effet, la loi sur les hydrocarbures de 2005 et son ordonnance modificatrice abrogent toutes les dispositions, notamment la loi 86-14 du 19 août 1986 instaurant le partage de production.

Par contre, l’ordonnance n° 06-10 du 29 juillet 2006, dans son article 02, confirme la concession mais modifie légèrement le terme concessionnaire en désignant Sonatrach SPA, et c’est là où commence cette ambiguïté.

Actuellement, dans le monde, il n’existe pas de régime de concession hybride spécifique à chaque pays. Le contour typique général est bien défini et exposé plus haut. Donc assimiler l’obligation du contractant de prendre Sonatrach SPA comme associé avec un minimum de 51% à un retour vers le partage de production, peut constituer une déviation du régime, voire même commettre une confusion contractuelle. Tout porte à croire que le président Bouteflika, en signant l’ordonnance en 2006, a voulu ménager son ministre et en même temps stopper la grogne autour de la privatisation de Sonatrach. C’est la raison pour laquelle on peut aisément constater, à la lecture de cette ordonnance, l’empreinte de Chakib Khelil et celle de Louisa Hanoune.

En effet, l’article 2, non amandé de la loi 05-07 du 28 avril 2005, précise « le principe de mobilité et d’adaptation qui caractérise l’action de l’Etat, et dès lors, à restituer à ce dernier celle de ses prérogatives autrefois exercées par Sonatrach SPA ». C’est ce même principe qui a constitué l’ossature de l’exposé des motifs de l’ancien ministre de l’Energie et des Mines.

Il reste incontestablement contradictoire avec les dispositions contenues dans l’article 32 de l’ordonnance n°06-10 du 29 juillet 2006 qui restitue à Sonatrach le droit exclusif d’agir pour le compte de l’Etat dans sa participation avec le concessionnaire devenu maintenant contractant. Cela ressemble à un partage de production mais ce n’en est pas un. Ce rafistolage dans une loi cadre devait quelque peu brouiller la vision stratégique de l’Algérie en matière de politique pétrolière. Il a peut-être fait douter les entreprises internationales, pourquoi ? Parmi les fondamentaux de l’industrie pétrolière et gazière, il y a l’importance des capitaux et le risque de les investir.

Le risque géologique étant favorable à l’Algérie et les entreprises pétrolières notamment françaises et, partant américaines, connaissent bien, même mieux que les Algériens, le terrain. Cela explique le taux appréciable de réussite en exploration, environ 2,5/5 contre un ratio moyen mondial de 1/5.

Par contre, ces compagnies sont à cheval sur le risque « pays », lié aux relations internationales, souveraineté, stabilité politique et surtout fiscale. Il est clair que l’article 101 bis, inséré au sein de la loi n°05-07 du 28 avril 2005, instaurant une taxe non déductible sur les profits exceptionnels, n’a pas été du goût des associés mais n’explique qu’en partie leur boycott actuel de l’application des nouvelles dispositions.

Il va de la crédibilité de l’Algérie d’assurer une cohérence de ces textes pour la clarté qui instaure une relation de confiance avec ses partenaires. Ils peuvent avoir un choix et dans des conditions meilleures.

C’est certainement ce déficit de cohérence qui a été à l’origine de la défection de nombreux investisseurs pour au moins deux raisons :

1- Où trouver cet « agneau » d’investisseur qui viendrait en Algérie risquer ses capitaux, et quand il découvre du pétrole et valide commercialement sa découverte, céderait la majeur partie de sa concession à Sonatrach SPA aux conditions validées par une agence de l’Etat Alnaft (article 48 de l’ordonnance 06-10 du 29 juillet 2006). Même si ces conditions sont fixées d’avance, elles restent étrangères à la pratique mondiale en la matière .

2- Au début de l’application de ces nouvelles dispositions, un appel d’offres, dit de manifestation d’intérêt, a été lancé pour apprécier, selon les propres termes de son initiateur, la capacité des futurs partenaires de transférer de la technologie. Lorsqu’on sait qu’à la moindre ouverture, les cadres de Sonatrach passent de l’autre côté de la barrière pour rejoindre les compagnies étrangères, on peut se demander qui capitalise, qui consolide et qui fertilise le savoir transféré.

De nombreux partenaires dans ces conditions n’arrivent pas à circonscrire avec précision la forme de ce transfert. Les experts, qui sont intervenus pour dénoncer la loi sur les hydrocarbures au moment même où son initiateur était sur place, avaient recommandé son retrait pur et simple, pourquoi ? Parce que le régime de partage de production est de plus en plus pratiqué en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique et il a donné ses fruits pour peu qu’on l’améliore, et c’est plus facile de le faire.

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Categories: Afrique

Agriculture : le nécessaire vrai coup dans la fourmilière

Thu, 06/21/2018 - 16:41

Par Slemnia Bendaoud.

L’agriculture algérienne souffre d’un grave problème de conscience quant à la considération de ses nombreux atouts à leur juste mesure.

Parent pauvre de l’économie du pays, l’agriculture ne reçoit les feux de la rampe que lorsque rien ne va plus dans le secteur des hydrocarbures. Mais dès que les prix du brut reprennent le mouvement vertical de l’ascenseur, tel un jouet dont l’enfant n’en a plus besoin, son dossier est expédié d’un jet distrait et de manière plutôt indifférente.

Elle ne veut plus servir d’alibi politique dans cette hypocrite alternative économique pour courir au secours d’une gouvernance en manque d’argent et surtout d’imagination. Elle se découvre à son monde dans sa grande générosité, féconde et pérenne, alors que ceux chargés de cueillir ses nombreux fruits ne croient vraiment qu’aux nombreux dividendes des énergies fossiles !

Ils la regardent de guingois, et elle ne sait pourquoi ! Ils la méprisent dans leur quotidien, et elle ne fait que comptabiliser leurs nombreuses bêtises à son sujet ! Ils l’ont déjà abandonnée à son triste sort, et elle est convaincue qu’ils y reviendront de sitôt y faire leurs nécessaires randonnées et y asseoir futurs projets !

La terre, cette mère de toutes nos mères, à laquelle on lui doit pourtant tout dans notre vie, n’est-elle pas celle qui mérite tous nos sacrifices ? Ne constitue-t-elle pas ce seul espoir en notre vrai Avenir ? Lui accorde-t-on finalement ce que réellement nous lui devons en retour de tous ses bienfaits ?

Nul besoin de chercher après une quelconque réponse à ces nombreux questionnements là où il vous semble les trouver ! Elle est plutôt sur la bouche de tout un chacun. Elle émerge de ce sol qui a besoin d’être travaillé. Elle se moque royalement de ces allures de fête qu’on tente de lui faire porter en costume de cérémonie lors de la tournée des officiels sur son périmètre.

Le rapport de l’homme à la terre est une relation viscérale, vraiment très sérieuse pour être considérée avec cette légèreté désinvolte qui trahit ce peu d’intérêt manifesté à l’endroit de ceux qui ont sacrifié leur vie pour la soutirer des griffes d’un colonialisme féroce et très puissant.

Les quelques réformettes en guise de rafistolage de sa grande vitrine ne produisent que l’effet des réverbérations d’un vernis plutôt trompeur. Sommes-nous vraiment inconscients du danger encouru pour céder nos terres en concession à des étrangers ? Manquons-nous à ce point de bras qui travaillent et de têtes qui pensent juste ?

A-t-on déjà fait de vrais bilans au sujet de fermes pilotes concédées dans leur forme de gré à gré ou d’enchères maquillées au profit de ces algériens privilégiés et autres agriculteurs au col blanc, en quête de biens supplémentaires à hypothéquer auprès de ces banques qui leur assurent avec de l’argent frais pour financer d’autres projets ?

A-t-on encore jugé que mêmes les étrangers pouvaient eux aussi avoir droit à leur part à ce grand gâteau, pour tenter de manière si osée ou à dessein de leur ouvrir la voie à une hypothétique concession sur notre foncier agricole ?

Au fait, où sont donc passés nos quelques 50.000 ingénieurs agronomes qui ont depuis déjà les premières années de notre indépendance quitté les bancs d’écoles de nos universités et autres Grandes Ecoles de l’agriculture du pays ? Travaillent-ils tous dans leur secteur d’origine et filière naturelle ? Ou alors sont-ils eux aussi au chômage ? Celui bien réel comme celui vraiment très déguisé ?

Et pourquoi ce grenier de Rome est-il devenu cette poubelle de l’Europe ? N’est-ce pas au regard de toutes ces considérations ? On ne peut indéfiniment jouer au charmeur de circonstances avec une aussi fertile terre qui nous assure notre pitance ! A l’image d’une femme aimée, notre terre a besoin d’être entourée, protégée, bêchée, sarclée, valorisée…

Si on venait à faire un constat exhaustif de notre secteur agricole sur ces cinquante cinq dernières années, c’est-à-dire depuis notre indépendance à ce jour, nous serons amenés à en faire une évaluation sur trois niveaux d’appréciation distincts que sont :

La période s’étalant de 1962 à 1999 ;

La tranche de temps s’écoulant entre l’année 2000 jusqu’aux temps présents ;

La projection à en faire dès l’année 2020.

Ainsi, sur un peu plus d’un demi-siècle, l’agriculture algérienne était passée par différentes phases et de nombreuses étapes liées à sa gestion, mode d’exploitation et surtout schéma d’organisation. D’où des résultats de performance dictés par des impératifs de chaque époque ci-dessus déterminée.

L’approche que nous menons ici -mélange de l’empirique et du scientifique- montre, cependant, que le secteur agricole, jugé comme peu générateur de capitaux devait être conditionné par une démarche globale qui accordait le prima à l’exploitation de nos ressources en hydrocarbures, même si au tout début de l’indépendance du pays la palme revenait au travail de la terre, comme pour se situer dans le prolongement de la mentalité propre à l’époque considérée (exemple de pratique très répandu).

1962 : Un pays en reconstruction, une agriculture en reconstitution :

Au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, tout était à refaire, à reconstruire, à reconsidérer au mieux de nos capacités à pouvoir bien en profiter.

Un bref rappel historique du développement économique de l’Algérie nous situe sur cette période cruciale de l’agriculture algérienne. En recouvrant son indépendance, l’Algérie devait hériter, dès 1962, d’une situation économique des plus catastrophiques, née de la politique coloniale où l’occupant français était beaucoup plus préoccupé par la recherche de rapatriement de ses richesses à son pays d’origine que par un investissement solide et durable au sein du pays hôte, lequel aura fait l’objet d’un pillage en règle de ses nombreuses ressources, cent trente deux ans durant.

Pas même les quelques centaines de milliers de Pieds-noirs et de propriétaires terriens autrefois déplacés de toute l’Europe et de la France métropolitaine notamment, qui, eux, vivaient pourtant en Algérie, en exploitant ses plus riches terres et grandes ressources, n’avaient durant toute cette longue période d’occupation, pensé à un moment ou à un autre à mieux valoriser son patrimoine économique en vue de permettre à ces indigènes de retrouver du travail chez eux et y vivre convenablement et dignement.

Conclusion : il fallait donc repartir à zéro et tout refaire pour jeter les jalons du futur schéma économique de l’agriculture du pays. Dans un pays complètement décimé par une guerre terrible contre l’occupant français, qui avait duré près de huit longues années de combats acharnés et sans relâche, durant lesquelles tout a été détruit ou brûlé. Du coup, l’impératif était de tout refaire et tout reconstruire pour que la vie reprenne ses droits et son cours normal.

De la nourriture à l’emploi, jusqu’à l’éducation et au logement, en passant par la santé et autres besoins fondamentaux des citoyens, tout manquait à cette population évaluée à l’époque à quelques huit millions d’habitants, tous aussi nécessiteux que démunis, les uns comme les autres.

Pour répondre sans tarder à tous ces impératifs, encore fallait-il d’abord concevoir un schéma de développement de l’économie du pays basée sur le travail de la terre, à travers une politique économique cohérente, bien avant même de s’engager dans la phase de reconstruction du pays.

De la période de l’autogestion à celle de la révolution agraire, en passant par les coopératives de la révolution agraire (CAPRA) et des anciens Moudjahidine (CAPAM) aux secteurs de développement agraire (SDA), tout y était et tout a été essayé et mis en œuvre pour donner une image forte de notre agriculture, à la mesure des ambitions politiques socialistes que nous affichions.

Il reste que dans l’aspect de sa modernisation, la voie prônée et empruntée à l’époque, celle qui consistait à singer intelligemment l’ex URSS de Staline et de Brejnev ou encore celle propre à la Yougoslavie de Tito, manquait fondamentalement de réussite dans sa conception et finalisation, dès lors que des facteurs, propres à notre climat et moyens d’irrigation assez particuliers, n’étaient pas suffisamment intégrés à l’équation conçue comme base de développement durable de notre agriculture.

Toute jeune Nation qu’elle fut alors, l’Algérie dut dans un second temps se raviser à faire d’abord dans la politique de ses moyens, en reconsidérant certains angles obscurs liées à son économie agraire pour la rendre en adéquation avec les préoccupations de nature à subvenir aux besoins premiers et indispensables de ses populations, plutôt que de s’inscrire dans ces clichés de schémas réussis au sein des pays du bloc socialiste d’antan.

Ce fut comme un prélude à la promulgation de la loi 87/19 du 08 décembre 1987 qui allait profondément réaménager le mode d’exploitation des terres agricoles du domaine national autrefois géré selon les dispositions de l’ordonnance 71/73 du 08 Novembre 1971.

Déjà, à un haut lieu de sphère de la gouvernance du pays, on était comme finalement bien convaincu qui fallait susciter sous d’autres formes et méthodes appropriées ce besoin impérieux de davantage intéresser le paysan au travail de la terre, afin de nouveau réanimer en lui cette relation indéfectible et viscérale que lie entre elles un but commun : prospérité et défense d’intérêts réciproques.

Pour opérer ce tournant décisif dans la gestion du secteur agricole relevant du patrimoine foncier public, cela s’explique en partie par des facteurs endogènes à notre agriculture résultant d’une maitrise insuffisante des données de l’équation qui lui a été longtemps adaptée sans résultats probants.

On en est d’ailleurs arrivé à ce recul important enregistré dans la production agricole (en cause les filières céréales, laits, produits maraichers et viandes) qui a eu pour conséquences directes, entre autres de la perturbation du marché intérieur de nos produits agricoles, ce renversement de tendance économique du secteur considéré dont le volume de production n’arrivait plus à couvrir comme il se doit les besoins du pays, après avoir été un moment donné excédentaire.

Cette nouvelle situation s’explique notamment par :

Une vaste opération d’arrachage de grandes superficies de vignobles héritées de la période coloniale dont la quasi-totalité était destinée à la production de vin haut de gamme pour les besoins de l’exportation de ce produit et leur reconversion dans la culture céréalière dont les rendements étaient plutôt très faibles, sinon insignifiants par manque de pluviométrie,

Un faible niveau de ressources hydriques emmagasiné à travers les peu nombreux barrages, presque tous érigés avant l’indépendance de l’Algérie, destinés à l’irrigation des quelques vergers situés dans la Zone Nord du pays, tous exploités dans le cadre du programme d’exportation des agrumes vers la France tout particulièrement ;

Une très forte migration d’une main d’œuvre d’origine essentiellement paysanne vers la France, attirée par des conditions salariales bien meilleures, proposées par des secteurs d’activités plus rémunérateurs tels ceux de l’industrie et des services ;

Une politique d’industrialisation à outrance de nature à susciter au sein des masses paysannes le besoin pressent de se convertir très rapidement en ouvriers professionnels dans le secteur de l’industrie en vue d’échapper aux conditions de travail difficiles du monde rural, et de s’installer par la même occasion dans les grands centres urbains ;

Un plutôt faible niveau de mécanisation et de modernisation de notre agriculture qui ne pouvait malheureusement permettre d’élever sensiblement et améliorer les niveaux de rendement du secteur, jugés autrefois peu performants, comparés à ceux des pays voisins, qu’il fallait relever grâce au recours de l’emploi des fertilisants mais aussi l’acquisition d’équipements nouveaux de production.

2000 : Une année charnière pour donner un coup dans la fourmilière ! :

Jugée comme ce parent pauvre d’un développement économique national, pourtant autrefois voulu comme harmonieux et équilibré, notre agriculture exprimait ce besoin pressent de rapidement se redéployer sur le terrain de vérité de sorte à assurer au pays sa sécurité alimentaire dont dépend sa souveraineté nationale.

Au regard du constat ci-dessus dressé, fait avec minutie et dextérité, il importait aux dirigeants du pays de venir au secours d’un secteur aussi stratégique mais qui trouvait manifestement de nombreuses difficultés à pouvoir décoller de ses propres ailes afin de suppléer celui des hydrocarbures dont les prix de ses produits à l’exportation faisaient perdre à l’Algérie les moyens de financement de son économie, dépendant dans une très large mesure des produits de son sous-sol.

Un sursaut économique au sein du secteur s’imposait à cette époque-là. Car compter seulement sur le secteur des hydrocarbures restait insuffisant. Ce coup dans la fourmilière devenait obligatoire. Et ce fut l’ère du PNDA (Plan National de développement Agricole).

A travers une profonde restructuration du territoire agricole, il est projeté un développement qualitatif et quantitatif de la production agricole nationale que sous-tendent des performances ciblées au niveau des filières jugées comme stratégiques du secteur agricole.

Désormais la nouvelle devise du secteur agricole devait impérativement répondre à un principe central autour duquel s’articule la triptyque suivante :  » Tout acte agricole inscrit et devant être exécuté dans le cadre du PNDA (Plan National de Développement Agricole) doit être économiquement viable, écologiquement durable et socialement acceptable « .

L’interprétation juste et surtout responsable de cette nouvelle donne en matière d’orientation et de gestion du secteur de l’agriculture implique nécessairement :

L’amélioration constante d’un niveau de performance graduel de notre sécurité alimentaire. Elle vise comme but de satisfaire les populations en produits agricoles nationaux selon les normes universelles et dans le rapport qualité/prix le plus intéressant possible. La conclusion à en tirer est de parvenir très rapidement à une meilleure couverture des besoins de consommation des populations à travers la seule offre nationale, en produits dits de première nécessité notamment ;

La performance de la production agricole nationale, grâce notamment au développement accéléré des capacités de production du pays et à l’utilisation scientifique des techniques de multiplication, de l’usage des intrants agricoles ainsi que du matériel de reproduction. Il en est tout logiquement découlé une valorisation accrue des potentialités agricoles du pays qui s’étaient traduits par une utilisation rationnelle et optimales des ressources humaines et naturelles du pays ainsi qu’une maitrise appréciable des techniques destinées à la lutte contre les contraintes naturelles telles : le sol, l’eau et le climat.

La préservation des éléments essentiels qui entrent dans le phénomène de la protection de l’environnement et de l’entretien du couvert végétal et forestier national, grâce à une meilleure prise de conscience des opérations liées à la valorisation de nos montagnes, au travers des campagnes de reboisement périodiques, lesquelles, en plus de lutter contre l’avancée du désert, génèrent cet apport économique nécessaire et utile au secteur ;

La création de potentielles niches d’emplois, visant à sensiblement améliorer le bien-être de l’agriculteur mais également un environnement qui incite à préserver ce nouveau cadre de vie de tous les acteurs du secteur considéré ;

La réorientation qui nous commande à immédiatement opérer à l’intérieur du schéma global de l’utilisation et de l’occupation du sol, en fonction des nouvelles techniques appropriées des systèmes d’exploitation, en vue d’aller vers une sélection utile et étudiée des plans de culture de nos différentes textures de sol et données climatiques locales assez particulières. La jachère prolongée de la terre n’est-elle pas une menace probable à sa fécondité et prospérité ? ;

La relance de l’investissement agricole multiforme et cohérent au niveau des branches génératrices de valeur ajoutée intéressante, comme gage de réussite de la pérennité de toutes ces actions engagées sur le terrain des opérations.

Entre autres, les programmes prioritaires des actions que suscite la mise en œuvre du PNDA (Plan National de Développement Agricole) se situent à plusieurs niveaux, en vue de répondre à différentes obligations et aux multiples soucis de performance et d’harmonisation du secteur, dont :

La préservation des filières agricoles grâce à des programmes de développement qui misent sur des cultures adaptées à tous les sols du territoire et qui utilisent des systèmes de production visant leur reconversion en cas d’enregistrement de résultats peu performants ;

Le reboisement comme facteur important dans la perspective de régénérer les sols et d’amélioration des éléments constitutifs d’un meilleur environnement dans leur exploitation ;

Le programme de mise en valeur des terres agricoles à travers les procédures propres à leur concession selon de nouvelles règles d’exploitation ;

La mise en valeur des terres du Grand Sud dans le cadre d’un programme de grand fermage intégré dans l’optique d’en faire de nouveaux pôles agricoles capables d’impulser toute une nouvelle dynamique au sein de zones rurales à rapidement élever en des zones pilotes du secteur, en raison des spécificités et caractéristiques liées à la qualité de leur sol, climat et luminosité de leurs environnement. il aura cette lourde charge d’assurer le passage du développement agricole au développement rural.

Outil nécessaire dans la mise en œuvre du PNDA (Plan National de Développement Agricole), le PNDAR (Plan National de Développement Agricole et Rural) s’articule autour de la mise à niveau des exploitations agricoles et des filières de production par le biais des plans de développement d’exploitations agricoles, soutenus par le FNRDA (Fonds National de Reconversion et de Développement Agricole) ainsi qu’à travers la revitalisation des espaces ruraux, aux fins d’améliorer les conditions de vie des populations rurales mais aussi la promotion de l’artisanat et des métiers ruraux, grâce en particulier au dispositif spécifique du PPDR (Projets de Proximité de Développement Rural).

Il en est tout logiquement résulté des contrats de performance pour chaque filière et chaque Wilaya afin de susciter parmi les agriculteurs une saine compétition au sein de la profession, mais aussi la création d’un organe central de la régulation du marché national des produits agricoles dont justement le SYRPALAC (Système de Régulation des Produits Agricole de Large Consommation), en plus d’un système de crédit bancaire sans intérêt (RFIG).

Au final, le PNDA (Plan National de Développement Agricole) aura eu lé mérite de sensiblement élever le niveau de productivité de certaines branches-clefs de notre alimentation quotidienne, et de motiver le monde paysan à mieux investir l’espace territorial à travers l’augmentation de la superficie irriguée.

Il sert également comme instrument juridique et plateforme organisationnelle de nature à encadrer le monde paysan dans l’exercice de son métier. Il constitue sans conteste ce lien ombilical entre le renouveau souhaité du monde rural et le développement attendu du secteur agricole national.

Comment atteindre ces nouveaux horizons en jetant les jalons du renouveau agricole ?

Dès lors que fut décrit le cadre naturel et général d’encadrement du nouveau paysage agricole algérien, il est d’une importance capitale de s’intéresser à son exploitation efficiente et féconde au profit du pays et du citoyen algérien.

Aussi, se fixer sur ces nouveaux horizons de notre agriculture ne revient-il pas à, dès à présent, jeter sans tarder les nouvelles bases, en posant les vrais jalons de nature à nous garantir ce renouveau agricole tant souhaité et longtemps rêvé ?

A cela, il s’agit de poser des préalables que sont :

Disposer d’une vision durable pour une stratégie globale de développement économique dont le secteur agricole constitue, à la fois, un segment de la sécurité alimentaire du pays, mais aussi un secteur grand pourvoyeur de matières premières pour des industries de transformation à ériger sur site de nos produits agricoles ;

Aller vers une exploitation rationnelle, judicieuse et surtout économiquement fiable et très rentable de notre potentiel agricole ;

Travailler sur la diversification ainsi que l’amélioration continue de la qualité des produits du terroir, jugés comme très puissants et pouvant assurer une vraie compétitivité sur les marchés à l’exportation ;

Intégrer la grande sphère économique des échanges commerciaux de la région à l’effet de produire selon des normes universelles en termes de standardisation et de compétitivité requises par toute la chaine de la profession ;

Se concentrer davantage sur nos métiers de base et cultures anciennes de nos produits de la maison susceptibles d’apporter une nette plus-value lors de leur transformation locale ou exportation en l’état à l’étranger au vue de tout le potentiel et des ressources naturelles très favorables à leur production en quantités industrielles ;

Raisonner en termes de projection à moyen horizon de manière à travailler pour la réalisation d’une agriculture moderne, sélective, compétitive, supplétive des autres secteurs grands pourvoyeurs d’emploi et de ressources financières dans le paysage d’un maillage d’ensemble ; chose qui lui confère ce rôle catalyseur dans l’approvisionnement en intrants des secteurs intervenant en aval de son intervention ;

Encourager l’investissement au sein du secteur agricole à travers des opérations de nature à motiver les grandes compétences et de favoriser l’appui logistique et matériel (en nature seulement) à la source ; c’est-à-dire aux véritables artisans de l’effort dans le secteur et aux vrais producteurs de richesses dans la sphère de l’agriculture ;

Cesser de financer au stade de la consommation finale certains produits agricoles qui profitent à présent aux revendeurs et autres transformateurs, sans vraiment toucher dans la même dimension le consommateur, en reportant le soutien de l’état en amont de la production des biens agricoles au profit des seuls agriculteurs, à l’effet de favoriser une saine compétition entre les différents acteurs économiques du secteur, et de trouver, sur un tout autre plan, les mécanismes à même d’épargner aux couches sociales défavorisées le fardeau des marge additionnelles qui grèvent sensiblement leur petit budget, grâce à l’institution de mesures compensatoires en la matière ;

Tisser les relations et autres liens de partenariat à grandes échelles et longues durées pour de gros investissements dans les domaines d’exploitation dits très stratégiques, à l’effet d’assurer au pays sa sécurité alimentaire et à l’entreprise algérienne des sources de revenus qui mettent à profit le potentiel humain et économique local.

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Vrai/faux: Le thé fait maigrir

Thu, 06/21/2018 - 16:29

Faux
Vert ou noir, le thé «ne fait pas maigrir». Par contre, l’une de ses caractéristiques nutritionnelles est sa richesse en eau. Or, au cours d’une cure d’amaigrissement, il est important de boire beaucoup, au moins 1 litre et demi de boissons. Le thé n’apporte pas de calories s’il est pris sans sucre, il est riche en fluor et en tanins, mais il contient également de la théine, aux effets excitants.

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Nutriments: Le poivron rouge, quel tonus !

Thu, 06/21/2018 - 16:25

Croquant, le poivron parfume les plats et égaye les salades. En plus, il est peu calorique.
*Vitaminé 
Le poivron rouge est riche en vitamine C (160 mg pour 100 g). 50 g de poivron cru couvrent les besoins journaliers de l’adulte (80 mg). Il contient 3 fois plus de vitamine C que l’orange. Autre atout : sa richesse en carotène (3 500 microgrammes/100 g), qui se transforme en vitamine A.
*Peu calorique 
Le poivron est aussi l’allié de celles qui veulent rester minces. Constitué à 90% d’eau, il n’apporte que 21 kcal pour 100 g. Dépourvu de lipides (0,2 g/100g), il est riche en glucides (6,4 g/100 g). Ses fibres (2 g/100 g) facilitent le transit intestinal.
*Parfois difficile à digérer 
Sa texture et ses flores peuvent le rendre difficile à digérer. Mieux vaut alors le cuire ou le peler. Pour l’éplucher plus facilement, déposez-le sous le gril du four : il se boursoufle et noircit. Laissez-le reposer quelques instants dans un torchon humide ou un sac plastique et vous retirerez facilement sa peau.

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Visites d’inspection de produits: LG aux petits soins de sa clientèle

Thu, 06/21/2018 - 16:19

Toujours dans le cadre de sa politique d’offrir le meilleur des services à sa clientèle, LG Electronics Algérie lance une série de Visites d’inspection de produits auprès de ses fidèles utilisateurs.

Quelque soit le produit LG qui se trouve chez vous, il sera l’occasion pour les équipes techniques de LG de venir frapper à votre pour un checking général (installation, branchement, alimentation…etc), mais aussi de revenir sur toutes les fonctionnalités et tous les services qu’il offre et ce en vue d’optimiser, au mieux, son utilisation.

Une démarche LG qui vise à se rapprocher davantage de ses clients privilégiés et de leur garantir qualité, facilité et confort chez eux.

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Peinture: L’Agneau mystique de Gand révèle son visage original

Thu, 06/21/2018 - 16:17

L’Agneau mystique, peint au début du XVe siècle par les frères Van Eyck, a révélé mardi en Belgique son visage original, «beaucoup plus expressif et intense», selon l’équipe chargée de la restauration de ce chef-d’œuvre de la peinture primitive flamande. C’est l’une des étapes importantes du vaste travail de rénovation entrepris fin 2012 par l’Institut royal du patrimoine artistique (Irpa) sur le célèbre retable de la cathédrale Saint-Bavon de Gand (nord-ouest).
Depuis quelques mois, ce travail, qui a pour cadre le Musée municipal des beaux-arts de la cité flamande, se concentrait sur le dégagement des surpeints de la partie centrale de l’œuvre, comprenant la tête de l’agneau. Et l’aboutissement de cette étape, présenté mardi à la presse, a révélé quelques spectaculaires surprises, de l’avis des restaurateurs.
«La tête est très différente de celle qu’on connaissait depuis le XVIe siècle. Il s’agit d’un agneau beaucoup plus intense, beaucoup plus expressif, qui a un contact direct avec le public, avec de grands yeux», a expliqué à l’AFP Hélène Dubois, cheffe de projet pour l’Irpa. «On ignorait à quel point ce retable était recouvert par des surpeints du XVIe siècle, on redécouvre l’art original des van Eyck», a-t-elle affirmé. Le chef-d’œuvre des frères Hubert et Jean van Eyck, inspiré de divers épisodes bibliques, achevé en 1432, est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Sa restauration panneau par panneau — le polyptyque en comporte 24 au total — doit porter, dans un premier temps, jusque «fin 2019-début 2020», sur les deux tiers de sa surface, selon Mme Dubois.
Après sept ans de travaux, la restauration doit s’interrompre en 2020 pour la célébration de l’année van Eyck et reprendra ensuite en fonction des financements publics qui auront été reçus pour soutenir le projet.

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Patrimoine: Réhabilitation de la mosquée El-Atik de N’goussa

Thu, 06/21/2018 - 16:14

La mosquée El-Atik de N’goussa (20 km de Ouargla) a rouvert ses portes aux fidèles, après l’achèvement de la première tranche d’une «vaste» opération de réhabilitation, a-t-on appris mardi auprès du bureau d’études chargé du suivi du projet.
Fondée depuis près de sept siècles, la mosquée El-Atik (antique), considérée comme l’un des plus imposants édifices de culte de la région, est appelée à jouer un rôle catalyseur dans le rayonnement religieux, éducatif, culturel, social et touristique, a-t-on souligné.
Une enveloppe de 22 millions DA a été consacrée à la réalisation de cette opération qui a concerné la remise en état de la mosquée occupant une superficie de plus de 852 m2 dans le vieux ksar de N’goussa (inscrit patrimoine culturel) et la restauration de son minaret (13,60 m) construit selon le cachet architectural maghrébin et d’où l’on a une vue panoramique sur les palmeraies et la ville.
Confiés à une entreprise privée, ces travaux ont permis d’augmenter la capacité de la salle de prière à 700 fidèles, en attendant le lancement prochain de la deuxième tranche de l’opération portant sur l’extension et la réalisation d’autres espaces, dont une salle de prière pour femmes ainsi qu’une aile pédagogique composée notamment de classes, d’une bibliothèque et d’une salle de lecture, a-t-on fait savoir.
Dans le cadre des efforts menés par le secteur des affaires religieuses et des wakfs, en collaboration avec les services de la wilaya, pour encourager l’apprentissage du Saint Coran et l’enseignement de la Sunna (conduite du prophète Mohammed QSSSL), surtout au profit des nouvelles générations, la commune de N’goussa a bénéficié aussi de la réalisation d’une nouvelle école coranique d’une capacité d’accueil de 160 places.
Réalisée sur un terrain wakf (bien communautaire) de 963,3 m2, dont 730,5 m2 bâtis au niveau du vieux ksar, cette école dispose de diverses installations, notamment des classes, un bloc administratif et une salle de conférences, signale-t-on.
La wilaya de Ouargla compte 415 mosquées, 20 écoles coraniques et une trentaine de zaouïas, dont celles des confréries El-Kadiri à Rouissait et Tidjania à Témacine, selon les données de la direction locale des affaires religieuses et des wakfs.

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Coupe du Monde (8e journée): Mannschaft et Albiceleste sur la corde raide, l’Afrique en quête d’oxygène

Thu, 06/21/2018 - 16:07

Les matchs de la deuxième journée du 1er tour, lancés mardi soir par Russie- Egypte, se poursuivent ce week-end avec des affiches dans les poules C, D, E et F. Des rendez-vous qui proposent à des favoris à l’exemple de l’Argentine ou l’Allemagne des explications déjà décisives quant à leur avenir dans cette compétition.
L’Albiceleste et la Mannschaft se mesureront, en effet, à des adversaires, la Croatie et la Suède qui, non seulement avaient bien lancé leur Mondial, présentent la particularité d’être des «durs à cuire». Moins préoccupés par l’adversité les Auriverdes qui croiseront demain le Costa Rica voudront bien se rassurer sur… l’état physique de leur vedette, Neymar Jr., que des informations donnent pour «forfait» et pour le match de ce vendredi et pour la suite de Russie-2018. Une manifestation qui pourrait à nouveau sourire aux Bleus de Didier Deschamps en opposition cet après-midi face aux Péruviens dont la vivacité n’a pas été récompensée en ouverture de l’épreuve devant le Danemark.
Des Danois qui, comme les français, pourraient prendre un ticket pour les huitièmes dès aujourd’hui à condition de passer l’écueil des Socceroos. Et les Africains dans tout ça ? Malmenés durant la première semaine de cette Coupe du monde, les représentants du continent noir ont déjà laissé au carreau deux outsiders, l’Egypte et le Maroc, lesquels pourraient être suivis ce week-end par le Nigeria, qui aura en face les fougueux Islandais, ainsi que la Tunisie qui, samedi, aura fort à faire face aux Diables rouges de Belgique. A moins d’un sursaut d’orgueil de ces teams, l’Afrique qui s’est réjouie du rayon de soleil offert par les Lions de la Téranga a tout à craindre du comportement de ces représentants qui accumulent les déceptions.
M. B.

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Tenue en échec par l’Islande: L’Argentine aux abois

Thu, 06/21/2018 - 16:07

«Crucial», «vital» : l’Argentine a été tenue en échec à la surprise générale par l’Islande pour ses débuts au Mondial-2018 (1-1) dans le groupe D et se retrouve déjà sous très haute pression face à la dangereuse Croatie ce soir (19h), si bien que le sélectionneur Jorge Sampaoli pourrait bouleverser ses plans en profondeur.
Elle n’est pas seule à ne pas avoir gagné parmi les favoris (Espagne, Brésil, Allemagne…). Mais toutes les places fortes du football mondial n’ont pas le même groupe, indécis et accroché, que l’Albiceleste. Et la Croatie, épouvantail du groupe D pour les Argentins, se profile à l’horizon.

Croatie «très dangereuse»
«C’est une équipe difficile, très dangereuse, nous le savions déjà quand nous avons connu notre tirage au sort, a expliqué lundi le défenseur de Séville Gabriel Mercado. On pense que ça va être un match serré, disputé.» La veille, le sélectionneur croate Zlatko Dalic avait expliqué que le nul inaugural de l’Argentine «leur mettait sans doute plus de pression qu’à nous», la Croatie étant en tête de son groupe après sa victoire 2-0 contre un Nigeria bien décevant. «La vérité est que ce match est crucial pour nous, d’autant plus en sachant que nous n’avons pas gagné les trois points» face à l’Islande, abonde Mercado, évoquant «un match vital, que nous devons gagner pour aller plus loin.» «Les grosses équipes ne s’effondrent pas sous la pression», estime toutefois Dalic. Une grosse équipe, l’Argentine ? Au vu de son histoire, de sa passion pour le foot, des grands joueurs qu’elle a vus naître, assurément.

Manque de repères collectifs
Mais si elle compte des cadors dans son effectif actuel, Lionel Messi bien sûr mais aussi Sergio Agüero, Paulo Dybala, Gonzalo Higuain, Angel Di Maria, voire Nicolas Otamendi ou Javier Mascherano, elle manque de cracks en défense, au milieu ou dans les buts. Elle manque aussi de repères collectifs, son sélectionneur Jorge Sampaoli n’ayant pris ses fonctions qu’en mai 2017, en pleine campagne de qualifications. Sa feuille de route était alors dictée par l’urgence : d’abord, se qualifier pour le Mondial, ce qui n’a longtemps pas été une évidence, et ensuite seulement préparer la Coupe du Monde. Mais la sélection n’a disputé qu’un match de préparation avant le voyage en Russie, face à une faible équipe haïtienne qui n’a rien à voir avec la Croatie par exemple. Un autre match, contre Israël, a été annulé pour cause de polémique internationale et Sampaoli a glissé que cela «a pu nous desservir un peu sportivement». «Plus que tout, l’Argentine doute d’elle-même. (…) L’Argentine doit se remettre sur les rails», a commenté Diego Maradona dans son émission De la Mano del Diez sur la chaîne TV vénézuélienne Telesur. «Voir l’équipe Bleue et Blanche entrer sur le terrain c’est merveilleux pour nous, mais les joueurs, eux, il faut qu’ils se demandent à eux-mêmes pourquoi suis-je là ? Qu’est-ce que je fais là ?».

Sampaoli à tâtons
L’ancien sélectionneur du Chili, critiqué par la star Diego Maradona après le match piteux contre l’Islande, n’a en tout cas pas fini de tâtonner pour sa composition d’équipe. Angel Di Maria, fantomatique contre l’Islande, devrait ainsi être mis sur le banc contre la Croatie, au bénéfice de l’ailier de Boca Juniors Cristian Pavon. Surtout, le surprenant 4-2-3-1 très défensif, avec deux milieux récupérateurs tout sauf constructeurs, Javier Mascherano et Lucas Biglia, pourrait bien être déjà abandonné au bénéfice d’une défense à trois laissant le Mancunien Marcos Rojo sur le banc. Elle serait composée de Gabriel Mercado, Nicolas Otamendi et Nicolas Tagliafico. «Je crois que chacun, surtout les sélectionneurs, doivent s’adapter aux adversaires qu’ils vont affronter, a plaidé mardi le défenseur Cristian Ansaldi. Bien sûr qu’il va faire des changements, qu’il va y avoir du turnover et je crois qu’un football qui se jouerait toujours de la même façon n’existe pas». Face à la solide Croatie de Luka Modric, Ivan Rakitic ou Mario Mandzukic, attention quand même à ce que ces essais ne se transforment pas en crash-test.

Au menu du week-end (en heure algérienne)
Jeudi 21 juin

A Samara (13h)
Danemark-Australie (groupe C)
A Ekaterinbourg (16h)
France-Pérou (groupe C)
A Nijni Novgorod (19h)
Argentine-Croatie (groupe D)
Vendredi 22 juin
A Saint-Pétersbourg (13h)
Brésil-Costa Rica (groupe E)
A Volgograd (16h)
Nigeria-Islande (groupe D)
A Kaliningrad (19h)
Serbie-Suisse (groupe E)
Samedi 23 juin
A Moscou Spartak-Stadium (13h)
Belgique-Tunisie (groupe G)
A Rostov-sur-le-Don (16h)
Corée du Sud-Mexique (groupe F)
À Sotchi (19h)
Allemagne-Suède (groupe F).

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JS Kabylie: Mellal toujours à la recherche d’un nouvel entraîneur

Thu, 06/21/2018 - 16:04

La JS Kabylie a pratiquement bouclé l’opération de renforcement de son effectif avec le recrutement de pas moins de 10 nouvelles recrues dont la dernière en date est celle de l’attaquant nigérian Uche Nwofor qui a signé mardi un contrat de deux saisons. Il ne reste que l’arrivée d’un nouvel entraîneur pour encadrer la nouvelle composante des Canaris et entamer la préparation de l’intersaison.
Un sujet que le président de la JSK Chérif Mellal n’arrive toujours pas à maîtriser, en témoignent ses nombreuses déclarations depuis quelques semaines sur l’identité de celui qui devrait remplacer Youcef Bouzidi. D’ailleurs, jusqu’à présent, toutes les pistes annoncées par le boss des Canaris ont été un échec au point qu’il déclare : «Désormais, je n’annoncerai le nom du futur nouvel entraîneur de l’équipe qu’une fois qu’on aura tout finalisé avec lui». Et pour calmer l’ardeur des supporters, Mellal leur demande d’être patients. «Que nos supporters soient rassurés, on engagera un coach capable de mener l’équipe à bon port», explique le président de la JSK qui selon des indiscrétions est toujours en contact avec les deux techniciens français Franck Dumas et Denis Lavagne. Deux entraîneurs contactés par la direction du club kabyle, mais qui sont sous contrat respectivement avec la sélection guinéenne et le club français Le Havre. Dumas a expliqué par ailleurs qu’il ne pourrait pas être libre avant le 1er juillet tandis qu’avec Lavagne les contacts sont toujours en cours dans l’espoir de convaincre le président du club français de libérer son technicien qui s’occupe, pour rappel, du centre de formation. «Les dirigeants de la JSK ont contacté mes responsables en vue de trouver un accord avec eux concernant mon éventuel départ. Je leur ai expliqué dès le départ que mon destin n’est pas entre mes mains et c’est pour cela qu’ils ont pris attache avec mes responsables (…) Les négociations entre les dirigeants de la JSK et ceux du Havre sont toujours en cours», a indiqué Lavagne sur les colonnes du quotidien sportif Compétition en réaffirmant : «Je suis intéressé par le challenge de la JSK. Je viendrai avec un grand plaisir en cas d’accord entre les deux parties. Je suis sous contrat avec Le Havre et c’est aux responsables de la JSK de faire le nécessaire pour que je vienne». Mellal promet ainsi de recruter un entraîneur rapidement !
Ahmed A.

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Volley-ball -tournoi international féminin «Noudjoum»: du beau monde à Constantine

Thu, 06/21/2018 - 16:02
L’ASU Constantine organise sous l’égide de la Fédération algérienne de volley-ball un tournoi international de volley féminin «Noudjoum» au niveau de la capitale de Cirta. La compétition qui a débuté, hier, par l’accueil des participants débutera aujourd’hui (9h30) et se poursuivra jusqu’au 23 juin 2018 au niveau de la salle omnisports INFS/CJS (ex-Creps du 17-Juin) de Constantine. Cette manifestation internationale regroupera les équipes féminines suivantes : l’EN, la sélection d’Alger, la sélection de Béjaïa, la sélection de Constantine, l’Olympique Kelibia (Tunisie) et le club organisateur, l’ASU Constantine. L’objectif de cet événement est la découverte des joueuses qui peuvent renforcer l’équipe nationale féminine pour les futures échéances internationales (2018-2020), selon le directeur du tournoi.

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Mostaganem: Un agriculteur confirme l’utilisation de pesticides dangereux

Thu, 06/21/2018 - 15:58

M. Krelifa Mohamed, un agriculteur dans la région de Aïn Tedelès, a réagi suite aux derniers soubresauts concernant la présence de pesticides dans les fruits et légumes écoulés dans nos marchés.
«Faut pas se le cacher, la plupart des fruits et légumes sont traités avec des produits phytosanitaires et en surdosage. En Algérie, il est vrai que les produits phytosanitaires apparaissent dans pas mal de fruits et légumes et la plupart des fellahs continuent à utiliser des molécules interdites. Les sociétés détentrices d’agrément de ventes de pesticides et des engrais font souvent appel à des rabatteurs moyennant une commission sur les ventes et qui se présentent en qualité d’ingénieurs agronomes pour proposer aux agriculteurs leurs produits  souvent périmés à des prix avantageux avec des facilités de paiement.
Certains fellahs crédules acceptent le deal, croyant faire une bonne affaire mais deviennent par la suite otages de ce subterfuge en payant rubis sur l’ongle le crédit consenti.
Après la récolte, ce même rabatteur exige du fellah une commission de 20 000 DA à l’hectare pour services rendus pour lui avoir permis de réaliser une surproduction et à laquelle ce fellah souscrit favorablement. De par mon métier d’agriculteur, je connais bien les fellahs qui, pour faire doubler voire même tripler leur production, utilisent une forte concentration de pesticides sachant que ces dits produits sont phyto-toxiques. Cela est aussi néfaste pour les pesticides de synthèse dont l’effet sur l’environnement est souvent redoutable.
C’est du pareil au même pour les engrais car si les fellahs dépassent la dose recommandée, ils brûlent la racine des végétaux et la récolte est compromise. Enfin je lance un appel aux autorités concernées pour mettre fin à ses fourberies qui rendent moins fertiles nos terres et surtout d’arrêter ces charognards qui nuisent à la santé des consommateurs».

Deux enfants périssent noyés dans un bassin d’irrigation
L’été est là et l’inconscience des parents aussi. On continue, malheureusement, de compter en pareille période les morts par noyade en mer, barrages et bassins, pour faire trempette. Deux enfants, âgés seulement de 2 et 3 années, ont perdu la vie mardi au douar El Kechaïria dans la commune de Souaflias, en se noyant dans un bassin servant à l’irrigation des terres agricoles, a-t-on appris de sources concordantes. Selon les renseignements fournis, les deux enfants ont échappé à la vigilance de leurs parents pour fuir la canicule qui sévit ces derniers jours pour prendre le risque de se jeter dans l’eau, et ce fut le drame. Les secours alertés se sont rendus immédiatement sur les lieux où le décès de ces deux enfants a été constaté. La gendarmerie a ouvert une enquête pour élucider les circonstances exactes de cet accident.
A. B

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Guelma: des accidents de la route font au moins 1 mort et 10 blessés graves en une journée

Thu, 06/21/2018 - 15:55

Au moins 11 personnes ont été victimes de 7 accidents de la route survenus à Guelma, en moins de 24 heures, selon un nouveau bilan communiqué hier par la cellule de communication de la Protection civile de la wilaya.
L’accident le plus grave est celui qui s’est produit sur le tronçon de la RN16, traversant le chef-lieu de commune de Boudharoua, dans la daïra de Bouchegouf. Ce terrible accident s’est produit dans la soirée de mardi vers 21h35.  Le bilan provisoire de cet accident est d’au moins cinq blessés graves, dont une femme, a annoncé le même communiqué, indiquant que «le bilan s’est malheureusement alourdi le lendemain, puisque la femme, une sexagénaire, évacuée au CHU de Annaba, a succombé à ses graves blessures, quelques heures après son transfert». Une source hospitalière a indiqué que les quatre autres blessés qui sont âgés de 22 à 66 ans et présentant des blessures graves «des traumatismes crâniens des fractures…» ont été admis au service des soins intensifs de cette structure de santé publique.
Le rapport de la Protection civile révèle qu’il s’agit d’un choc frontal d’une rare violence, entre deux voitures, une Peugeot 208 et une Ibiza.
Nous apprenons, par ailleurs, que les services de sécurité mènent des investigations dans le but d’élucider les circonstances exactes de cet accident et situer les responsabilités.
Noureddine Guergour

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Passeport algérien: Et si nous le laissions choisir pour une fois

Thu, 06/21/2018 - 15:53

Par Nassila Amrani.

Les vacances arrivent et vous vous demandez où vous pouvez bien aller cette année. C’est là où la quête à la destination parfaite pour vous relaxer commence. Plus beaucoup de temps… Vous vous précipitez dans les agences de voyages où l’on vous propose une multitude de séjours les uns plus séduisants que les autres. Vous vous y voyez déjà et vous pensez que la planète entière s’offre à vous. C’est ici que le mot ´´Visa´´ vient tout gâcher. Qui n’a jamais vécu cela? Maudite soit cette formalité!
Leur pays étant classé à la 171e place sur 199 au classement des passeports qui offrent à ses ressortissants le plus de liberté de circulation dans le monde, les Algériens s’avèrent restreints en termes de mobilité. En effet, selon le site Internet passportindex.org qui répertorie la puissance des différents passeports en s’appuyant sur leurs capacités à donner accès à d’autres pays sans visa ou avec visa à l’arrivée, l’Algérie a un score de 49. Ce score correspond au nombre de pays où un Algérien peut se rendre sans une demande d’entrée préalable. Parmi ces 49 pays, seulement 18 sont littéralement sans visa. Les 31 pays restants requièrent un visa à l’arrivée ou un visa électronique. Ces types de visa sont le plus souvent faciles à obtenir, mais ils nécessitent le payement des frais.
En Afrique, mis à part la Tunisie et le Maroc déjà bien connus des touristes algériens, des destinations très tendances ces dernières années s’offrent à nous. Vous pouvez vous rendre au Mozambique, au Zimbabwe, ou en Tanzanie pour des eaux turquoises, des plages paradisiaques, des savanes et des forêts ardentes. Pourquoi pas l’Afrique du Sud ou le Kenya pour un safari mémorable, des côtes éblouissantes, des régions de Bushveld sauvages et des canyons spectaculaires? L’Asie aussi compte quelques destinations très intéressantes ouvertes aux Algériens amoureux du dépaysement et de la découverte. Vous pouvez vous laisser séduire par Hongkong ou la Malaisie avec des gratte- ciels rutilants, une architecture moderne et des îles, véritables havres de paix. Le Cambodge ne manque, tout autant, pas d’atouts avec ses temples exceptionnels, ses paysages à couper le souffle et ses magnifiques côtes. Vous pouvez aussi aller à la rencontre du plus grand archipel du monde, l’Indonésie, à Bali particulièrement et incontestablement la meilleure destination pour voyager l’été dans cette région: des îles tropicales sublimes, rehaussées par des temples, parsemées de petits villages, aux paysages grandioses, et aux longues plages de sable blanc bordées de palmiers et des récifs coralliens incroyables. Parmi les îles accessibles sans visa préalable aux Algériens, on compte les deux stars du segment; les Seychelles et les Maldives pour un voyage sous le signe du luxe, du calme, de la volupté et du soleil. Aux Caraïbes aussi nous sommes les bienvenus, notamment à l’île Dominique et à Haïti: plages de sable fin, mer chaude et limpide, cocotiers et beaucoup de musique. De la musique vous n’en manquerez certainement pas en Amérique du Sud aussi! Les paysages légendaires de la Bolivie vous donneront immanquablement envie de visiter ce pays; entre les montagnes de la Cordillère des Andes, les lagunes, les canyons et le lac Titicaca, ce pays qui fait rêver est accessible aux voyageurs algériens avec un simple visa à l’arrivée. L’Equateur a autant à offrir, notamment des volcans impressionnants, une jungle amazonienne et une architecture singulière. En plus d’un accueil chaleureux, le Nicaragua sait plaire par les activités diverses qu’il propose: Surf, randonnées, plongée sous-marine ou canyonning. Il y en a pour tous les goûts. Les Algériens sont aussi, bien accueillis au Moyen-Orient. Le Liban nous invite à découvrir des sites archéologiques et architecturaux à profusion évoquant des civilisations ancestrales et qui retracent les racines d’un peuple façonné par un véritable bouillonnement culturel. De la mer aux cimes enneigées, le Liban ne manque pas d’étonner par ses trésors naturels.
La Jordanie, pour sa part, appâtera les amateurs de découvertes historiques et culturelles qui y trouveront sûrement leur bonheur grâce à la richesse de son patrimoine culturel. Petra vous éblouira avec les belles réalisations des Nabatéens. En Iran aussi, pas besoin de démarche de visa, le pays mythique des palais des Mille et Une Nuits, berceau des plus anciennes civilisations, offre des joyaux au voyageur curieux de l’histoire de l’humanité et des arts. En faisant abstraction des 149 pays qui contraignent à passer par la case visa, les Algériens ne manquent finalement pas de choix. Cette liste vous fera peut-être réfléchir à deux fois avant de vous précipiter aux portes des ambassades dont les délais de réponse sont souvent longs et les frais parfois plus onéreux qu’on ne l’imagine. Notre cher passeport vert peut très bien nous ouvrir les portes de notre prochaine destination de rêve.

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Recette: Escalopes de poulet aux olives

Thu, 06/21/2018 - 15:52

4 belles escalopes de poulet, 1 petit oignon émincé, 8 olives vertes dénoyautées et coupées en rondelles, 2 c. à s. de crème fraîche, 2 c. à c. d’huile d’olive, sel et poivre
Dans une poêle antiadhésive, faites dorer l’oignon préalablement pelé et émincé avec l’huile d’olive puis réservez. Séchez les escalopes à l’aide d’un papier absorbant puis passez-les à la poêle 5 minutes de chaque côté. Pendant que la viande dore, préparez la sauce : mélangez dans un bol la crème fraîche, le sel, le poivre, les rondelles d’olives. Dans la poêle, remettez les escalopes et la sauce, laissez cuire encore une minute et servez.

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L’Église d’Algérie retarde la béatification des 19 moines de Tibhirine

Thu, 06/21/2018 - 15:51

Depuis la publication samedi 27 janvier du décret de béatification de Mgr Pierre Claverie, ancien évêque d’Oran, et de ses 19 compagnons tués en Algérie dans les années 1990, l’Église d’Algérie s’interrogeait sur les modalités de la célébration proprement dite.

Réunis le 18 juin, les évêques et vicaires généraux ont reconnu que leur proposition d’une célébration « à Oran à l’automne 2018 » n’était plus réaliste, compte tenu des « délais d’organisation ». 

« Le choix de célébrer la béatification en Algérie a beaucoup de sens mais il est aussi plus compliqué », déclare l’évêque d’Oran, Mgr Jean-Paul Vesco.

Fin avril, l’ambassadeur d’Algérie à Rome, Abdelhamid Senouci Bereksi, avait annoncé à la chaîne  arabophone Echourouk que son pays avait « donné son accord » à ce sujet. « La visite du pape est importante et c’est pour cela qu’elle doit être saluée par l’ensemble des Algériens parce qu’elle porte en elle un caractère humanitaire et tolérant, de même qu’elle donnera une image positive de notre pays », avait-il également souligné.

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Musée Zabana: Les étudiants de l’Institut Cervantès présentent la pièce théâtrale « Les noces de sang »

Thu, 06/21/2018 - 15:38

Par Mokhtaria Bensaâd.

«Bodas de sangre», «les noces de sang», est la pièce théâtrale qui sera présentée aujourd’hui au musée Zabana, en langue espagnole, par des étudiants de l’Institut Cervantès d’Oran. Ils seront 12 étudiants, 5 garçons et 7 filles, qui vont interpréter les personnages de cette œuvre théâtrale choisie et mise en scène en collaboration avec l’artiste et scénographe Tomas Munoz Asensio et Smaïl Chergui, enseignant à l’université et dirigeant de groupe amateur de théâtre. Durant une heure et demie, le public va vivre le drame des familles espagnoles qui veulent organiser un mariage dans des conditions conflictuelles. Le spectacle aura une touche algérienne avec des extraits de musique du chanteur kabyle Idir. Selon la directrice de l’Institut Cervantès, qui a animé hier une conférence de presse avec le scénographe Tomas Munoz et Smaïl Chergui, cette initiative vient des étudiants de l’Institut eux-mêmes qui ont voulu vivre cette expérience comme un apprentissage de la langue espagnole et aussi se mettre dans la peau des personnages de cette société. Le projet a donc démarré au mois de février pour être enfin prêt au mois de juin. Il s’agit d’une expérience plus académique qu’artistique, a expliqué la directrice de l’Institut. Pour le scénographe, Tomas Munoz, «cette pièce théâtrale est universelle. Les artistes amateurs ont été confrontés à des mots difficiles mais qui en réalité étaient des mots d’origine arabe. De plus, cette expérience était un moyen direct de pénétrer dans la langue espagnole et la culture espagnole».

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Jazz manouche: Un concert prévu le12 juillet à Alger

Thu, 06/21/2018 - 15:35

La fin du Ramadhan ne signifie pas l’arrêt total des sorties culturelles. Preuve en est avec un concert de jazz manouche programmé en juillet à Alger.

L’Institut français d’Alger ous invite, jeudi 12 juillet à 20h30, à vous familiariseravec le son de MarcelLoeffler, l’un des « plusgrands spécialistes de l’accordéon jazz » en France.

Accompagné de son fils, Cédric, guitariste de formation,Marcel Loeffler promet une harmonie entre guitare et ,accordéon pour un jazz façon manouche. Pour assister à l’événement,qui promet de combler lesmélomanes, vous pouvezréserver vos places à l’adressesuivante : concertdejazzmanouche2018.alger@if-algerie.com . Né en 1957 dans le Bas-Rhin,Marcel Loeffler maîtrise plusieurssous-types de jazz (bebop, tango, moderne…) et apparaît dans le dictionnairedédié à ce genre depuis 10 ans.

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