You are here

Algérie 360

Subscribe to Algérie 360 feed Algérie 360
Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 3 days 18 hours ago

Raids israéliens sur Ghaza et manifestations palestiniennes: Encore deux martyrs de 15 et 20 ans

Sun, 07/15/2018 - 12:51

Selon le ministère palestinien de la Santé à Ghaza, un adolescent âgé de 15 ans a été tué et 220 autres Palestiniens ont été blessés vendredi par les tirs israéliens. Un autre manifestant palestinien, âgé de 20 ans, grièvement blessé par balle lors des manifestations, est décédé hier.

Israël a de nouveau mené des frappes aériennes tôt hier dans la bande de Ghaza en riposte à des manifestations la veille à la frontière, où deux Palestiniens ont été tués et plus de 200 blessés par les forces israéliennes. Des tirs de roquettes et d’obus de mortiers vers le sud d’Israël depuis la bande de Ghaza ont eu lieu quasiment simultanément aux raids israéliens. Depuis le 30 mars, l’enclave palestinienne est le théâtre de manifestations contre le blocus israélien et pour le droit au retour des Palestiniens sur les terres dont ils ont été chassés à la création d’Israël, en 1948. Au moins 141 Palestiniens ont été tués par des tirs israéliens depuis le début des manifestations.
Dans un communiqué, l’armée israélienne a dit avoir pris pour cible deux tunnels du mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Ghaza, «destinés à mener des actions terroristes» contre Israël. Les avions israéliens ont également ciblé des infrastructures et des sites destinés à préparer des ballons incendiaires utilisés ces dernières semaines contre des colonies juives implantées dans les territoires illégalement occupés par Israël, à en croire la même source. Selon des témoins dans la bande de Ghaza, les frappes n’ont pas fait de blessé mais ont endommagé des infrastructures et des maisons palestiniennes dans cette partie des territoires dirigée par le Hamas, au pouvoir à Ghaza depuis 2007.
«Les frappes ont été conduites en réponse aux actes pendant les violentes émeutes qui ont eu lieu le long de la clôture de sécurité hier et qui s’ajoutent aux attaques quotidiennes contre le territoire israélien via le lancement de ballons incendiaires depuis la bande de Ghaza», a tenté de justifier l’armée sioniste.
Les manifestations à la frontière séparant Israël de la bande de Ghaza ont été particulièrement émaillées de violences vendredi. Selon le ministère palestinien de la Santé à Ghaza, un adolescent âgé de 15 ans a été tué et 220 autres Palestiniens ont été blessés par les tirs israéliens.
Un autre manifestant palestinien, âgé de 20 ans, qui avait été grièvement blessé par balle lors des manifestations vendredi est décédé hier de ses blessures, a-t-on indiqué de même source. L’armée israélienne prétend que des grenades, des engins explosifs, des cocktails Molotov, des pneus enflammés et des pierres ont été lancées en direction des soldats sionistes, dont l’un aurait été blessé. Hier, elle a fait état de 31 tirs, la plupart de mortiers, depuis la bande de Ghaza, dont six ont été interceptés selon elle par le système de défense anti-aérien.
Un porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum, a revendiqué les tirs en expliquant dans un communiqué qu’il s’agissait d’une «réponse immédiate de la résistance». Ces tirs n’ont pas fait de blessé ni de dégât, selon les médias israéliens. Israël, accusé par la communauté internationale d’usage excessif de la force lors des manifestations à la frontière, prétend «tirer en dernier recours pour protéger ses soldats et sa population civile».

The post Raids israéliens sur Ghaza et manifestations palestiniennes: Encore deux martyrs de 15 et 20 ans appeared first on .

Categories: Afrique

5 jours après la mise en oeuvre de l’accord d’Alger à Asmara: Les dirigeants érythréen et éthiopien se retrouvent à Addis-Abeba

Sun, 07/15/2018 - 12:47

Le mois dernier, M. Abiy a annoncé la volonté de l’Éthiopie d’appliquer un accord de paix signé en 2000 à Alger avec l’Érythrée et les conclusions, deux ans plus tard, de la commission internationale indépendante sur la démarcation de la frontière.

Le président érythréen, Issaias Afeworki, a débuté hier une visite historique en Ethiopie pour cimenter la normalisation entre les deux voisins de la Corne de l’Afrique qui ont mis fin à 20 ans d’état de guerre il y a quelques jours à peine. Le chef de l’Etat érythréen a été accueilli avec les honneurs, garde militaire, danses traditionnelles et tapis rouge, par le Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, à son arrivée à Addis-Abeba, pour une visite officielle de trois jours. «Bienvenue à la maison, président Issaias!», a écrit le chef de cabinet de M. Abiy, Fitsum Arega, sur Twitter, à l’adresse du dirigeant d’un pays qui forma jadis une même nation avec l’Ethiopie. Des Ethiopiens étaient massés le long de la route menant à l’aéroport, vêtus de châles blancs et agitant des palmes, tandis que les rues étaient ornées de drapeaux des deux pays, de bannières et de photos des deux dirigeants. Ce déplacement inédit survient cinq jours seulement après que M. Abiy eut lui-même quitté l’Erythrée au terme d’une visite à Asmara venue concrétiser une initiative de paix lancée par le nouveau chef du gouvernement réformateur d’Addis-Abeba, arrivé au pouvoir en avril dernier. De 1998 à 2000, l’Éthiopie et l’Érythrée se sont livré une guerre conventionnelle, avec chars d’assaut et tranchées, qui a fait quelque 80 000 morts, notamment en raison d’un désaccord sur leur frontière commune. Le refus éthiopien d’appliquer une décision en 2002 d’une commission soutenue par l’ONU sur le tracé de la frontière a ensuite entretenu une longue animosité entre les deux pays. Mais le mois dernier, M. Abiy a annoncé la volonté de l’Éthiopie d’appliquer un accord de paix signé en 2000 à Alger avec l’Érythrée et les conclusions, deux ans plus tard, de la commission internationale indépendante sur la démarcation de la frontière. Annonçant vendredi la visite du président Issaias à Addis-Abeba, le ministre érythréen de l’Information Yemane Gebremeskel avait déclaré qu’elle «visait à cimenter, renforcer la démarche de paix et de coopération entreprise par les deux leaders».
Lundi, à l’occasion de la première rencontre en 20 ans des dirigeants des frères ennemis de la Corne de l’Afrique, ils avaient mis fin à deux décennies d’état de guerre en signant une «déclaration conjointe de paix et de coopération». Les communications par téléphone ont été rétablies aujourd’hui et les liaisons aériennes doivent reprendre mercredi. Selon la radio-télévision proche du pouvoir éthiopien Fana, M. Issaias doit assister, lors de sa visite, à la réouverture de l’ambassade de l’Erythrée à Addis-Abeba et visitera un parc industriel. Autrefois façade maritime del’Éthiopie avec les ports de Massawa et d’Assab, l’Érythrée a déclaré son indépendance en 1993 après avoir chassé les troupes éthiopiennes de son territoire en 1991, au terme de trois décennies de guerre.
L’indépendance de l’Érythrée a privé l’Éthiopie de tout accès à la mer et l’a forcée à s’appuyer presque exclusivement sur Djibouti pour son commerce maritime. L’accès de l’Éthiopie, deuxième pays le plus peuplé d’Afrique, aux ports érythréens devrait stimuler l’économie des deux Etats, tout en menaçant l’hégémonie de Djibouti.
La liberté de mouvement de part et d’autre de la frontière doit permettre la réunion de deux peuples, liés par une histoire, une langue et une ethnicité communes, et de familles séparées depuis plus de 20 ans. Amnesty International a aussitôt appelé à la fin du service militaire illimité, qui était justifié à Asmara par l’état de guerre avec l’Ethiopie et qui a provoqué l’émigration de centaines de milliers de jeunes Erythréens.

The post 5 jours après la mise en oeuvre de l’accord d’Alger à Asmara: Les dirigeants érythréen et éthiopien se retrouvent à Addis-Abeba appeared first on .

Categories: Afrique

Huit propositions pour la relance économique de l’Algérie

Sun, 07/15/2018 - 12:44

Dr Abderrahmane Mebtoul.

Les batailles futures certes difficiles mais pas impossibles ayant d’importantes potentialités, pour le développement en Algérie face aux bouleversements géostratégiques mondiaux entre 2018/2030 irréversibles tant dans le domaine politique, militaire, économique qu’énergétique, seront conditionnées par la bonne gouvernance et la valorisation du savoir.

Dans le cadre des nouvelles mutations, l’Algérie doit utiliser à bon escient ses réserves de change et a des potentialités afin de surmonter cette conjoncture difficile du fait du faible niveau d’endettement. Evitons donc le tout satisfaction et le tout sinistrose facteur de démobilisation en proposant des solutions concrètes loin des théories abstraite, de déclarations irresponsables et l’activisme stérile.
D’ une manière générale il s’agit de replacer l’économie algérienne par rapport aux mutations énergétiques mondiales. Rappelons que l’OPEP représente moins de 33% de la production commercialisée, le quota Algérie étant de 1,2 millions baril/jour sur plus de 30 millions. L’Arabie saoudite a des réserves de pétrole de 297 milliards de barils avec des réserves de change de près de 800 milliards de dollars, et inclus les pays du golfe totalisent plus de 60%, et 67% se faisant hors OPEP, étant impossible à l’heure actuelle de parler d’un OPEP gaz du fait que les canalisations représentent plus de 70% de la production commercialisée mais seulement d’une entente entre les producteurs.
Face aux mutations énergétiques mondiales dont l’efficacité énergétique prévue d’environ 30% de l’entrée en force de nouveaux producteurs, l’Algérie perd de plus en plus de part de marché arrivant à peine à exporter 50/55 milliards de mètres cubes gazeux, perte de 32% de part du marché européen en 10 ans assistant à une décroissance en volume physique depuis 2008. Le gaz algérien qui, dans les années 90, représentait 16% des besoins européens a reculé à 7 ou 8 %, loin proche du Qatar 8%, et loin derrière la Norvège 19% et la Russie (24 %) ambitionnant d’atteindre 30% malgré les tensions en Ukraine. Il y a lieu de tenir compte
– de la crise vénézuélienne première réserve mondiale de pétrole en semi-faillite,
– d’un éventuel accroissement des exportations éventuel de la Libye tant pour le pétrole léger comme celui de l’Algérie, réserves 48 milliards de barils , que le gaz ( 1500 milliards de mètres cubes gazeux non encore utilisées contre environ 3000 pour l’Algérie),
– de la stratégie russe ayant environ de 45.000 milliards de mètres cubes de gaz traditionnel de gaz, de la stratégie gazière du Qatar (15.000 milliards de mètres cubes de réserves en gaz),
– des exportations de l’Iran vers la Chine et l’Inde à cause des sanctions US mais à un prix inférieur à celui du marché pour contourner l’embargo ayant plus de 35.000 milliards de mètres cubes traditionnel de gaz
– dans un proche avenir avec la stabilisation au Moyen orient qui s ‘annonce de l’Irak 140 milliards de barils de réserve à un coût inférieur à 20% par rapport à ses concurrents, de l’entrée du Mozambique 3ème réservoir d’Afrique,
– de la découverte en méditerranée orientale de plus de 20.000 milliards de mètres cubes gazeux expliquant les tensions géostratégiques dans cette région et la réunion récente pour la résolution du confit en Syrie,
– la révolution du pétrole/gaz de schiste américain qui en 2016/2017 après l’aval du congrès ont commercialisé en Europe,
– une croissance mondiale timide notamment des pays émergents dont la Chine.
Ainsi, l’Algérie risque de se trouver confrontée à une forte concurrence expliquant également les sous utilisation des canalisations notamment celui du Transmed et où bon nombre de fournisseurs poussant actuellement l’Algérie à réduire ses prix. Quelles réponses pour éviter les impacts de la chute des cours du pétrole de 1986, sur la société algérienne : crise financière, crise économique, crise sociale et crise politique, cessation de paiement fin 1993 et rééchelonnement en 1994. Sonatrach, autant que Sonelgaz, a besoin d’un nouveau management stratégique afin de réduire ses coûts devant se concentrer sur ses métiers de base évitant la dispersion dans diverses activités. L’Algérie doit d’ores et déjà repenser son modèle de consommation énergétique devant s’orienter vers la transition énergétique et donc vers un Mix énergétique.

1.-Au préalable, je fais trois constats
Premièrement, la politique socio-économique depuis l’indépendance politique rentrant dans le cadre du programme de Tripoli a été menée exclusivement par l’Etat avec plusieurs variantes De 1965 à 1979, avec une orientation exclusive vers l’investissement productif. Celle-ci s’est effectuée autour de l’Etat omniprésent sur l’ensemble du cycle: planification, financement, réalisation de l’investissement et production. De 1980 à 1990 orientée essentiellement vers les infrastructures BTPH et les activités commerciales. De 1991 à 2000, du fait de la situation particulière qu’a connu l’Algérie avec l’avènement du terrorisme et la cessation de paiement on ne peut à proprement parler de politique de développement mais avec la cessation de paiement des ajustements macro-économiques et macro sociaux extrêmement douloureux du fait des exigences du FMI. Et de 2000 à 2017 du fait que la demande sociale a été compressée et des destructions massives entre 1990-2000, une politique orientée essentiellement vers les infrastructures.
Deuxièmement, paradoxalement, les paramètres macro-économiques de l’Algérie apparaissent comme positifs mais éphémère sans réformes structurelles Car, les tendances relatives aux grands agrégats révèlent une macro-économie sous contrôle relatif fonction des aléas de la rente des hydrocarbures qui représente 97/98% des exportations totales. C’est que l’Algérie tente difficilement sa transition d’une économie publique vers une économie plus libérale. Et le comportement actuel est de type «semi-rentier» et ne recherche pas la réforme en profondeur de l’économie.
Aussi, en dépit de certaines réformes timides –paradoxe plus le cours des hydrocarbures est faible plus on ressent le besoin de réformes, et ralentit lorsque le cours est élevé qui fait que le salaire au sein certaines branches est déconnecté de la productivité du travail avec la dominance des emplois rentes et des fonctionnaires. La rente pétrolière génère plusieurs effets pervers de l’économie à son seul profit, ce qui renforce encore davantage la monoculture énergétique du pays. L’économie algérienne reste donc encore une économie essentiellement publique devant dédiaboliser le secteur privé local et international supposant une mutation culturelle.

Car l’héritage socialiste est fortement présent dans la philosophie et les pratiques de la vie économique et sociale et dans celui de la pérennité de l’entreprise publique, qui a pourtant des cadres de valeur, dans la majorité des cas, n’est pas soumise à l’efficacité économique pour des considérations politiques. Par ailleurs une partie de l’industrie publique est largement obsolète et concentre des pertes totales malgré des assainissements répétés, nécessitant sa restructuration et sa modernisation. Globalement le secteur industriel représente moins de 5% du PIB malgré de nombreux codes d’investissements et de nombreuses organisations de l’indépendance politique à nos jours, faute de vision stratégique devant investir au sein de sous segments de filières internationalisées.
Si les ressources du pays sont significatives, elles sont basées sur des rentes qui contribuent à anesthésier les volontés de changement et les entreprises privées sont présentes surtout dans le secteur des services avec prédominance du commerce de détail, dans les petites entreprises de BTPH et du secteur manufacturier traditionnel. Excepté les hydrocarbures, de certains segments des télécommunications, de quelques sociétés mixtes, le secteur étranger productif est marginal. Paradoxalement, l’Algérie fait alors massivement appel à l’assistance technique et aux firmes étrangères( entre 10/11 de dollars de services par an entre 2010/2017) en même temps qu’elle les encadre dans le cadre de la règle des 49/51% instauré par la loi de fiances 2009, généralisée aux banques en 2010.
Troisièmement, la gestion actuelle du commerce extérieur, héritée du système passé entrave le fonctionnement de l’industrie, y compris à l’exportation .On décèle plusieurs facteurs bloquants. Le poids historique de la lourdeur bureaucratique caractérise l’ensemble des organismes qui interviennent dans le cycle de la vie de l’entreprise est une entrave constante au fonctionnement efficient de celle-ci. Ceci est probablement aggravé par un système judiciaire lent, peu transparent et non adapté à une économie moderne.

Le modèle à dominance étatique à taux d’intégration verticale élevé va à l’opposé des nouvelles mutations mondiales. Les lourdeurs bureaucratiques (délais de négociation et de mise en place) et l’incertitude juridique (taux douaniers, fiscalité, réglementations) ont encore renforcé l’image d’un marché difficile et fermé, isolant l’Algérie des nouvelles mutations mondiales. L’objectif de protection de l’industrie naissante a généré une gestion bureaucratique des procédures d’importation qui est devenu un terreau pour de nombreuses praiques non conformes.
L’OMC représente 97% du commerce mondial et plus e 85% de la population mondiale après l’adhésion de la Russie et de l’Arabie Saoudite- l’Algérie pouvant profiter des accords de Doha qui prévoit une période de transition pour mettre à niveau son potentiel économique. L’adhésion de l’Algérie à l’OMC serait un signal fort pour simplifier ce système obsolète mais les habitudes prises ont généré des monopoles lucratifs et puissants qui seront lents à disparaître ou à contourner. Les formalités de contrôle des changes restent encore largement interprétées par le personnel des banques qui garde la nostalgie de la puissance de son rôle de contrôleur.
Concernant l’investissement étranger, les multinationales recherchent classiquement des avantages comparatifs pour produire de façon compétitive pour un marché local solvable mais aussi vers un marché régional et/ou mondial, en intégrant leurs capacités commerciales et productives, d’où l’importance de l’intégration du Maghreb pont entre l’Europe et l’Afrique où l’Algérie pourrait trouver des avantages comparatifs. Or la majorité des rapports internationaux 2010/2017 notent un climat des affaires bloquant les initiatives créatrices, que l’économie algérienne demeure dominée par l’État, notamment avec la règle 49/51% qui contrairement à certaines affirmations démagogiques n’a pas permis de renforcer l’indépendance économique (doublement de la valeur des importations depuis 2009), protège des intérêts de rente, cette règle étant déficiente en matière d’efficacité économique, devant imaginer d’autres critères, balance devises, technologique et managériale positive pour l’Algérie et pour les PMI/PME instaurer la minorité de blocage(pour plus de détail sur ces rapports -voir notre contribution sur www.algerie1.com). Dès lors que faire ?

2.- J’émets huit propositions
Proposition 1: réorganiser les corps d’Etat. Les transferts de compétences de l’État vers les collectivités territoriales doivent être accompagnés d’un abandon effectif de la mission correspondante par les services de l’État et du redéploiement de l’intégralité des agents de l’État concernés, pour éviter les doublons entre les actions de l’État et des collectivités territoriales. Dans le cadre de la réforme des grands corps de l’Etat, les grands corps d’inspection – économique, financier et technique doivent être regroupés selon des lignes de métiers correspondant aux exigences de l’économie moderne : finances, énergie, infrastructures numériques, santé,. La réforme des partenariats public-privé pourra offrir un cadre juridique complémentaire aux formes classiques (concessions de service public, bail emphytéotique). L’État devra ainsi concentrer au niveau régional l’essentiel de ses cadres décentralisés.
A terme, une loi organique devra fixer le nombre de ministres au nombre d’une douzaine au minimum et d’une vingtaine au maximum. Un gouvernement pourra ensuite compter autant de ministres délégués et de secrétaires d’État que souhaité. Il est essentiel de limiter le nombre de ministères et le nombre de compétences partagées entre ministres afin de réduire les procédures interministérielles inutiles. le développement futur de l’Algérie, devra reposer sur l’initiative locale pour protéger à la fois l’environnement et initier des activités productives notamment non polluantes, car toute action centralisatrice est vouée à l’échec sans implication des acteurs locaux. Je propose de créer un institut national d’études du territoire littoral. Cela doit entrer dans le cadre d’une réelle volonté politique de décentralisation, à ne pas confondre avec la déconcentration, qui induit une bureaucratie locale plus néfaste que la bureaucratie centrale. L’on pourrait imaginer une véritable régionalisation économique, à ne pas confondre avec l’avatar négatif du régionalisme.
Dr Abderrahmane Mebtoul, professeur des universités, expert international

The post Huit propositions pour la relance économique de l’Algérie appeared first on .

Categories: Afrique

L’Iran envoie un signal « radioactif » à l’Europe

Sun, 07/15/2018 - 12:42
Le leader suprême iranien Ali Khamenei a déjà ordonné à l’Organisation iranienne de commencer les préparatifs de l’élargissement de l’enrichissement de l’uranium. Il a pourtant précisé que ce projet ne serait mis en œuvre que dans le cas ou les autres pays signataires de l’accord – la Russie, la Chine, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne – ne seraient pas en mesure de garantir à la République islamique les avantages économiques prévus par ce texte. « Le projet de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique d’élargir l’enrichissement d’uranium reste dans le cadre du Plan d’action global commun, et il n’y a donc aucune violation, estime Vladimir Sajin, directeur de recherches de l’Institut des études orientales de l’Académie des sciences de Russie. Pourquoi agissent-ils ainsi? Je pense qu’ils veulent envoyer un message aux Européens. Le sort du Plan a été remis en cause. Les Américains envisagent de lancer la mise en œuvre des sanctions le 6 août, mais il est possible de trouver des solutions avant cette date. L’Europe – notamment la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne – veut des échanges économiques et des relations normales avec l’Iran, mais on ne sait pas si elle sera en mesure de résister à la pression américaine. A mon avis, les Iraniens l’ont fait pour rappeler aux Européens que s’ils cédaient, le Plan s’écroulerait et l’Iran rétablirait son programme nucléaire ». Dans tous les cas, les sanctions unilatérales des États-Unis se sont avérées suffisantes pour que les entreprises européennes décident de quitter le marché iranien. Ainsi, le constructeur français PSA Group a lancé les préparatifs de son retrait de la République islamique. Selon les données de l’entreprise, elle avait commercialisé 444 000 automobiles en Iran en 2017. Le ministre français de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire a déjà prédit que ces limitations unilatérales de la part des États-Unis influeraient directement sur un nombre d’entreprises françaises et européennes collaborant avec l’Iran. Selon lui, « cela transforme l’Amérique en gendarme économique du monde », ce qui est « absolument inacceptable » à ses yeux. Le Premier ministre israélien veut lui aussi persuader l’Europe des avantages du renoncement au « deal » nucléaire iranien. Il a même lancé cette semaine une tournée européenne consacrée à ce problème. Lors de la conférence de presse suite à ses négociations avec la chancelière allemande Angela Merkel à Berlin, il a notamment déclaré qu’en cas de mise en œuvre du Plan d’action global commun, Téhéran aurait assez d’uranium pour créer des armes de destruction massive.

The post L’Iran envoie un signal « radioactif » à l’Europe appeared first on .

Categories: Afrique

Portes ouvertes sur l’Ecole supérieure de l’administration militaire d’Oran

Sun, 07/15/2018 - 12:37

La manifestation «Portes ouvertes» sur l’Ecole supérieure de l’administration militaire (Esam) d’Oran, lancée jeudi, permet aux visiteurs de découvrir les différentes spécialités assurées par cet établissement relevant de la 2ème Région militaire. Le commandant de l’Esam, le général-major Hamid Meftah, dans l’allocution qu’il a prononcée, a estimé que cette manifestation est une opportunité pour mettre en exergue les missions dévolues à l’établissement qui forme des officiers de l’active et faire connaître les différentes spécialités qu’elle assure et les installations pédagogiques, sportives et culturelles dont elle dispose. Le même responsable a déclaré que ces «portes ouvertes» sont un prélude à l’opération d’inscription et d’incorporation au sein de l’école, devant être lancée dès la proclamation des résultats de l’examen du bac 2018. Cette opération se fera par le biais d’un site Internet qui «facilitera les inscriptions et assurera une égalité des chances aux candidats désirant rejoindre l’école», a-t-il ajouté.

The post Portes ouvertes sur l’Ecole supérieure de l’administration militaire d’Oran appeared first on .

Categories: Afrique

Ould Abbès à partir de Aïn Defla: « La Présidence n’est pas un bien vacant »

Sun, 07/15/2018 - 12:33

Par Mohamed Boufatah.

«Le FLN agréera toute décision prise par le président de la République…»

Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès a affirmé hier, lors de sa conférence de presse tenue en marge d’une rencontre régionale des cadres du parti tenue à Aïn Defla que «le président de la République n’a pas encore pris la décision de se présenter ou non à l’élection présidentielle de 2019». «Nous avons saisi le président de la République par un long courrier avec les motions de soutien des 48 wilayas et des 120 mouhafedhs, au nom des 700 000 adhérents, pour exprimer le souhait de toute la base militante de voir le président poursuivre sa mission à la tête de l’État. Le courrier lui est parvenu, le dernier mot lui revient. Il n’a pas encore répondu…», a-t-il déclaré devant les cadres du parti des wilayas de Aïn Defla, Médéa, Tipasa et Chlef. «Si le président décide de se présenter, nous allons le soutenir et lui faire campagne. S’il prend une autre décision, nous allons l’exécuter parce que nous ne voulons pas faire un saut dans l’inconnu après 2019», a-t-il encore ajouté. D’après le patron du vieux parti, «quelque 27 formations politiques et organisations de masse, ont exprimé leur souhait de faire de l’actuel chef de l’Etat, un candidat du consensus». Il a rappelé que le FLN a été le premier parti à demander au président, en mars et avril derniers, «de continuer sa mission dans l’intérêt du pays et dans l’intérêt général». «Nous avons été suivis par l’Ugta, le RND, le TAJ, l’ANR, les organisations estudiantines et les enfants de chouhada. C’est notre initiative mais le FLN n’a pas le monopole. Il faut qu’il y ait un consensus. «Le président de la République est le président du FLN, mais il est aussi le président de tous les Algériens. Il ne sera pas le candidat du FLN. Nous avons donc espoir pour qu’il y ait un consensus. Mais le dernier mot revient au président», a-t-il insisté. Ould Abbès semble réajuster son discours: «Bouteflika est le président du parti, mais il est aussi le président de tous les Algériens», a-t-il indiqué. «Nous parlons de la poursuite de la mission du président. Sans monopole de notre part, nous ferons un travail collectif autour d’un candidat du consensus», a-t-il indiqué.
S’il a toujours revendiqué la place de locomotive, le SG du vieux parti, semble changer de ton. «Que les choses soient claires, le FLN ne prétend pas avoir un quelconque monopole sur la scène politique, car nous sommes égaux et partenaires avec d’autres partis sur cette initiative de candidat du consensus»,
a-t-il également soutenu. Il a ajouté que «l’époque des alliances était révolue». En fait, l’autre message qu’a voulu délivrer hier Ould Abbès est relatif aux sénatoriales prévues en décembre prochain. «Le FLN accorde un intérêt particulier aux sénatoriales pour donner la majorité parlementaire à la chambre haute, au président», a-t-il soutenu, en faisant remarquer. que «l’ère du népotisme ou des désignations arbitraires y afférents est révolue», en faisant allusion à la montée au créneau d’anciens membres du bureau politique, qu’il avait limogés, il a fait observer qu’«au sein du FLN, nous n’avons pas tendance à regarder dans le rétroviseur dans le but de dénigrer les gens».
Il a lancé qu’«au FLN, nous ne présentons qu’un seul candidat. Celui qui veut mettre le burnous du FLN pour nous faire le coup comme en 2004, c’est terminé! J’ai entendu dire que dans une wilaya, pas loin d’ici, l’un d’eux a présenté à un groupe, «le futur président de la République». La présidence de la République n’est pas un bien vacant. Elle n’est pas un souk el fellah ni un prisunic», a-t-il indiqué. M. B.

The post Ould Abbès à partir de Aïn Defla: « La Présidence n’est pas un bien vacant » appeared first on .

Categories: Afrique

De bons chiffres pour les premiers mois de 2018

Sun, 07/15/2018 - 12:25

Par Lakhdar. A.

Le groupe Sonatrach a enregistré à l’exportation une hausse de 14,3% de son chiffre d’affaires qui est passé de 14 milliards de dollars entre janvier et fin mai 2017 à 16 milliards de dollars durant la même période de 2018, alors que la fiscalité pétrolière a atteint 1.190 milliards de dinars à fin mai 2018 contre 995 milliards de dinars durant la même période de 2017, en hausse de 20%.

Ces indications ont été données lors d’une Journée d’information sur le bilan énergétique national, jeudi à Alger, par le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, cité par l’APS. Quant à l’activité d’exploration, le ministre a précisé que 17 nouvelles explorations ont été enregistrées à fin mai 2018 contre 14 à fin mai 2017, ce qui confortera les réserves en pétrole et en gaz. On sait, d’après un communiqué diffusé au début de ce mois par Sonatrach que ce groupe a réalisé un montant global des investissements en Algérie de 8,2 milliards de dollars équivalents, en 2017, dont 87% concernent le développement des activités d’exploration et de production d’hydrocarbures.
Autre chiffre significatif : le groupe a réalisé un résultat net de l’exercice de 326 milliards de dinars, en augmentation de 57% par rapport à 2016. Sonatrach a précisé que son Assemblée générale ordinaire, tenue en juin dernier pour examiner le bilan d’exécution du budget annuel, le rapport de gestion, les états financiers et le rapport des commissaires aux comptes, a approuvé les comptes sociaux clos au 31 décembre 2017. D’autre part, selon la même source, les travaux d’exploration, en effort propre, ont permis de mettre en évidence 33 découvertes d’hydrocarbures dont le potentiel est en cours d’étude pour évaluer les réserves en place et leur commercialité, a souligné Sonatrach.
Quant à la production primaire d’hydrocarbures, elle a été de 196,5 millions de TEP, en augmentation de 2,18% par rapport à 2016. Cette augmentation est liée à la progression de la production de gaz naturel, selon l’explication fournie par Sonatrach. Rappelons que les exportations d’hydrocarbures, tous produits confondus, ont été de 106,2 millions de TEP en 2017, correspondant à un chiffre d’affaires de 33,2 milliards de dollars.
Quant aux ventes d’hydrocarbures sur le marché national, elles ont été de 50,1 millions de TEP, pour un chiffre d’affaires de 253,5 milliards de dinars, soit une baisse de 1,24 milliard de dinars par rapport à l’année 2016. Pour ce qui est des importations de carburants effectuées pour combler le déficit de l’offre nationale, leur volume a été de 3 millions de tonnes pour un montant de 1,6 milliard de dollars. Selon Sonatrach, ces importations des carburants ont connu une baisse grâce à la réhabilitation des raffineries de Skikda et d’Arzew. Pour arrêter le recours à ces importations, et en attendant la réalisation de nouvelles raffineries de pétrole brut, Sonatrach rappelle avoir engagé, depuis février 2018, une opération de processing de pétrole brut.
Concernant le montant global de la fiscalité pétrolière versé par Sonatrach au Trésor public, il s’est chiffré à 2.228 milliards de dinars, soit une augmentation de 20% par rapport à l’exercice 2016 (rappelons que ce même indicateur -la fiscalité pétrolière- a été de 1.190 milliards de dinars à fin mai 2018). Sonatrach s’est assigné, dans sa nouvelle stratégie pour la période 2020/2030, des objectifs ambitieux qui exigent une conjugaison de tous les efforts pour les atteindre.

The post De bons chiffres pour les premiers mois de 2018 appeared first on .

Categories: Afrique

Redoutant une envolée des cours du pétrole: Washington relance la « guerre » des prix

Sun, 07/15/2018 - 12:24

Par Mohamed Touati.

Ils n’excluent pas avec d’autres pays occidentaux de recourir à leurs réserves stratégiques pour faire baisser les cours de l’or noir jugés trop élevés pour leurs économies.

Une croisade contre le baril? Ce n’est pas exclu. Son niveau actuel n’arrange toujours pas la première puissance mondiale. Le Brent, qui a pourtant laissé des plumes, pointe à plus de 75 dollars. Un seuil qui peut être satisfaisant pour les pays producteurs Opep-non Opep, mais pas au point de rallier à leur cause les pays consommateurs, à commencer par les Etats-Unis qui redoutent une envolée des cours du pétrole.
Ils n’excluent pas avec leurs partenaires occidentaux de recourir à leurs réserves stratégiques pour les faire baisser car jugés trop élevés pour leurs économies. Ils prendraient même la tête de cette «coalition» encore en gestation. «Les Etats-Unis et des responsables occidentaux envisagent d’avoir recours aux réserves stratégiques de pétrole si une augmentation de la production par l’Arabie saoudite et les pays de l’Opep ne suffisait pas à contenir la hausse des prix de l’or noir», rapporte le Wall Street Journal. Le président américain avait sollicité Riyadh pour compenser les productions iranienne et vénézuélienne frappées d’embargo suite aux sanctions qu’il a décrétées contre ces pays et les menaces proférés contre ceux qui les transgresseraient.
Donald Trump a appelé le roi Salmane d’Arabie saoudite pour lui demander d’augmenter la production de 2 millions de b/j pour y faire face. «Je viens de parler au roi saoudien Salmane et j’ai demandé à l’Arabie saoudite de relever sa production pétrolière jusqu’à peut-être deux millions de barils pour compenser les pertes causées par les troubles et les dysfonctionnements en Iran et au Venezuela… Il l’a accepté», avait écrit le dirigeant américain sur sa page Twitter. Le O.K. du souverain saoudien est loin d’être acquis. Comme il ne peut résoudre à lui seul l’équation du locataire de la Maison-Blanche. Les spécialistes confirment. «Il ne faut pas oublier que l’Arabie saoudite n’a pas promis de déployer la totalité de ses 2 millions de barils quotidiens, et que même s’ils le voulaient, il leur faudrait plusieurs mois pour produire à ce rythme», a indiqué Tamas Varga, analyste chez PVM. Il faudra ajouter à ce paramètre, une offre qui s’annonce en déclin alors que les Etats-Unis ont menacé de sanctions les importateurs de pétrole iranien à partir du mois de novembre. Pas seulement. «Ces risques viennent s’ajouter à une industrie vénézuélienne en baisse constante tandis que des problèmes d’infrastructures empêchent le pétrole du Sud des Etats-Unis et du Canada d’atteindre le marché international», ont prévenu les analystes de Morgan Stanley, qui soulignent que le marché «épuise ses capacités de production sans augmenter son niveau réel d’extraction».
Ce sont tous ces indicateurs qui ont été pris en considération par les responsables US pour agiter le spectre des réserves stratégiques, qui constituerait la réponse adéquate à leur souci. «L’administration Trump débat activement sur la question de piocher dans les réserves stratégiques du pays, selon des personnes proches du dossier», assure le Wall Street journal. «Les discussions font partie d’un effort plus large pour s’assurer que les marchés pétroliers restent bien approvisionnés dans un contexte de ruptures de production à travers le monde et d’un accroissement de la demande mondiale», affirme le quotidien économique américain.
Certains conseillers de Donald Trump sont fermement opposés à cette idée, ses collaborateurs entendent surtout avoir différentes options ouvertes, croit savoir l’influent média de la presse spécialisée américaine. La conjoncture actuelle au moins à moyen terme semble plutôt favorable à une hausse des prix du pétrole.
L’Agence internationale de l’énergie, bras énergétique armé des pays de l’Ocde, a fait état dans un rapport, cette semaine, que les risques de perturbations de la production mondiale sont avérés. L’hypothèse d’une «croisade» contre le baril s’esquisse. Donald Trump serait à la manoeuvre. Ce qui laisse penser que tous les coups sont permis dans cette «guerre» des prix qui ne dit pas son nom.

The post Redoutant une envolée des cours du pétrole: Washington relance la « guerre » des prix appeared first on .

Categories: Afrique

Vidéo : Ali Haddad au domicile de Matoub Lounès

Sat, 07/14/2018 - 22:39

Le président du (FCE), Ali Haddad a assisté ce samedi, à la cérémonie d’ouverture de la fête de la poterie d’Ath Khir à Mekla, Tizi Ouzou. En cette occasion Ali Haddad a également visité le domicile du chanteur Lounès Matoub où il s’est entretenu avec sa mère ainsi que sa sœur Malika Matoub.

The post Vidéo : Ali Haddad au domicile de Matoub Lounès appeared first on .

Categories: Afrique

Algérie Poste adapte ses horaires à la période estivale et les conditions climatiques

Sat, 07/14/2018 - 22:31

Algérie Poste adapte ses horaires aux conditions climatiques de cette période de grandes chaleurs en fonction des zones Nord et Sud.

Au Nord, les principaux bureaux de poste resteront ouverts jusqu’à 19h, alors qu’au Sud ils ouvriront plus tôt, à savoir dès 7h et jusqu’à 13h, comme c’est le cas dans la wilaya d’Adrar, et ce, en raison de la canicule qui y sévit ces derniers jours. Mais même à cette heure-ci, le mercure affiche déjà les 35°C.

Qu’en pensent les citoyens ? Réponses dans les correspondances de Mohamed Safi de Adrar et de Amina Hadjiet d’Alger.

The post Algérie Poste adapte ses horaires à la période estivale et les conditions climatiques appeared first on .

Categories: Afrique

Weekend noir à Mostaganem : Deux morts par noyade et un jeune porté disparu

Sat, 07/14/2018 - 22:17
Ces nouveaux drames surviennent après une semaine noire où plusieurs personnes ont été secourues de la noyade dans la wilaya de Mostaganem alors que d’autres ont succombé. En effet, deux jeunes  sont morts noyés vendredi au large de la plage de Hadjadj. Ces deux nouveaux drames interviennent après une semaine particulièrement agitée par une série de noyades. Ce vendredi après-midi, un jeune originaire de Ouarizane dans la wilaya de Relizane a été emporté par les vagues. Malgré l’intervention très rapide des plongeurs de l’équipe territoriale de la protection civile, le malheureux a été retrouvé mort trente minutes plus tard. Un peu plus tard dans la soirée, un autre jeune de la même wilaya, recherché depuis le signalement de sa disparition, a été retrouvé mort dans une zone non surveillée au large de Hadjadj. Le garçon, originaire de Oued Rhiou, passait ses vacances dans la région et était parti nager dans cette plage. Signalons aussi, qu’une personne, âgée d’une trentaine d’années  est portée disparue depuis vendredi à la plage de Bahara, dans la commune d’Ouled Boughalem, toujours dans la wilaya de Mostaganem. Chaque année, entre juin et septembre, plus d’une dizaine de personnes perdent la vie par noyade, selon le décompte des services de la protection civile de la wilaya de Mostaganem. Soit plus de trois morts par semaine. Ismain

The post Weekend noir à Mostaganem : Deux morts par noyade et un jeune porté disparu appeared first on .

Categories: Afrique

Crimes de guerre contre les Palestiniens : Hamdallah dévoile les plans d’Israël et interpelle la communauté internationale

Sat, 07/14/2018 - 22:16

Le Premier ministre palestinien, Rami Hamdallah a appelé samedi la communauté internationale à opter pour des mesures concrètes afin de mettre fin aux crimes de guerre israéliens à l’encontre de la communauté bédouine de Khan Al-Ahmar, à l’est d’El-Qods et d’autres régions palestiniennes.  

«Israël tente d’éradiquer la communauté bédouine et de dénier son existence afin de séparer la ville d’El Qods occupée du reste de la Cisjordanie et également de construire une colonie dans cette région» s’est-il indigné lors de sa visite aux habitants du ce village, selon l’agence de presse palestinienne Wafa.

Le Premier ministre a qualifié ces agissements israéliens de «violation flagrante des lois et des conventions internationales (…) Après toutes ces décennies de dispersion, de vols de terres, de ressources et d’expansion coloniale, nous avons absolument besoin de voir les résolutions des Nations Unies mises en œuvre et nos peuples protégés contre la répression de l’occupation militaire israélienne», a t-il insisté.

M. Hamdallah a fait savoir que l’attaque israélienne contre les communautés palestiniennes à l’Est d’El Qods fait partie intégrante d’un plan israélien visant à changer les faits sur le terrain et à mettre fin à la solution de deux Etats et de toute chance d’établir d’un Etat palestinien indépendant, souverain et contigu.

Le ministère palestinien des Affaires étrangères a mis en garde dimanche dernier, contre un nouveau plan de colonisation ciblant les plages de la mer Morte, interpellant la communauté internationale à agir au plus vite, selon Wafa.

«Le soutien illimité des Américains à l’occupation, à ses politiques et à ses plans de colonisation, incitent les autorités d’occupation à accélérer et appliquer leurs programmes visant à judaïser une grande partie de la Cisjordanie occupée et à entraver la solution finale, afin de détruire la solution à deux états», avait cité le ministère dans un communiqué rapporté par l’agence palestinienne.

Selon Wafa, la diplomatie palestinienne a appelé la communauté internationale «à agir rapidement pour empêcher (Israël) de mettre en £uvre ses plans coloniaux».

Selon les médias, des mobile-homes (maisons mobiles) avaient été installées par les autorités de l’occupation israélienne près du village bédouin d’Al-Iziriya à l’est d’El-Qods occupée en vue d’évacuer les habitants palestiniens de Khan al-Ahmar.

APS

The post Crimes de guerre contre les Palestiniens : Hamdallah dévoile les plans d’Israël et interpelle la communauté internationale appeared first on .

Categories: Afrique

Pénurie d’eau à Skikda : l’éternelle sécheresse

Sat, 07/14/2018 - 22:15

Cette ville vit un paradoxe. L’hiver elle a les pieds dans l’eau et la gadoue du fait des innondations et l’été elle agonise par son manque d’eau. Autant tenter de nettoyer les écuries d’Augias que d’espérer  voir un jour cesser les submerssions et l’eau couler  du robinet à Skikda !  Travail Herculéen ou simple incompétence ? La question vaut son seau d’eau et gênera sûrement tous les responsables locaux qui risquent de sécher comme ils semblent le faire face à leurs devoir envers le citoyen. Mais qu’est ce qui empêche les habitants de cette ville de jouir de cette denrée pourtant pas rare dans cette wilaya connue pour sa très fortes pluviométrie ? Rien, justement puisque Skikda dispose d’un important arsenal d’infrastructures. Que l’on juge ! Durant les années 60, le barrage de Zerdezas situé dans la daïra d’Azzaba alimentait toute la ville grâce à ses quelque 20 millions de m3. L’évolution de la population et la présence de la zone industrielle pétrochimique ont imposé la construction de deux autres barrages, celui  de Guenitra, qui est d’une capacité de 125 millions de millions de m3 et celui de Barrage de Béni Zid dans la région de Collo permettant le stockage de 50 millions de m3. Un quatrième barrage est venu voir le jour, celui de Zit Emba destiné à alimenter grâce à ses120 millions de m3 les plaines de Ben Azzouz, aux limites de la wilaya d’Annaba. Ces quatre infrastructures n’arrivent pourtant pas à régler le problème des incessantes pénuries d’eau qui touche la région, notamment le chef lieu de la wilaya qui continue à suffoquer de soif. Cela a donc emmené les décideurs à installer trois unités de dessalement d’eau de mer d’une capacité de 100.000 m3 /Jour. Une solution qui ne semble pas en être une puisque la crise d’eau continue à sévir, notamment au centre ville de Skikda ou les gens sont rationnés et doivent veiller très tard pour  profiter des lâchers programmés au compte goutte.

Azzedine Belferag

The post Pénurie d’eau à Skikda : l’éternelle sécheresse appeared first on .

Categories: Afrique

‘’Mathématiques et vivre ensemble’’ : Le 70ème congrès international s’ouvre aujourd’hui, à Mostaganem

Sat, 07/14/2018 - 22:11
Après la retentissante célébration de la Journée Internationale du vivre ensemble en paix, le 16 mai 2018, et poursuivant dans la même dynamique la CIEAEM, Commission Internationale pour l’Étude et l’Amélioration de l’Enseignement des Mathématiques, organise son 70ème Congrès, a indiqué un communiqué. L’organisation de cet événement scientifique qui se déroulera à partir d’aujourd’hui 15 Juillet  et se clôturera  le 19 juillet 2018 , à l’université Ibn Badis de Mostaganem, se fera en partenariat avec la Fondation Méditerranéenne du Développement Durable, Djanatu Al-Arif, AISA ONG Internationale et l’Université et sous le Haut patronage de Son Excellence le Président Abdelaziz Bouteflika, sur le Thème « Mathématiques et vivre ensemble : processus social et principe didactique ». L’ouverture de ce Congrès international de la CIEAEM sera assurée par le Professeur Tahar Hadjar, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique en présence de chercheurs et d’enseignants de tout niveau, provenant de plus de 20 pays des cinq continents ainsi que d’une centaine d’inspecteurs de l’Education Nationale représentant l’ensemble des wilayas d’Algérie, ajoute le communiqué. Il s’agit d’une première pour la CIEAEM, en décidant de choisir l’Algérie, pays initiateur de la Journée Internationale du Vivre ensemble en Paix et surtout, pays riche du potentiel de sa jeunesse et de possibilités dans le domaine de l’éducation. « Ce choix s’inscrit totalement dans l’esprit humaniste du Vivre ensemble et d’un renouveau de l’enseignement des mathématiques qui a initié la CIEAEM »,  a ajouté le communiqué. L.Ammar

The post ‘’Mathématiques et vivre ensemble’’ : Le 70ème congrès international s’ouvre aujourd’hui, à Mostaganem appeared first on .

Categories: Afrique

Affaire de « transfert illicite de devises vers l’étranger et trafic de conteneurs de produits contrefaits » au port de Annaba : huit douaniers sous contrôle judiciaire

Sat, 07/14/2018 - 22:06

Le tribunal de Annaba vient d’ordonner la mise sous contrôle judicaire de huit douaniers exerçant au port de la ville. Ils sont accusés de transfert illicite de devises vers l’étranger et de trafic de conteneurs de produits contrefaits. Valeur de la marchandise déchargée au niveau de ce port : 5 milliards de dinars.

L’affaire remonte à février dernier et concerne 54 suspects dont 8 douaniers de différents grades. Elle a été dénoncée par un agent de douanes qui avait été licencié par le directeur régional avant d’être réintégré à son poste sur intervention de la Direction générale des douanes.

Après la constatation de preuves « irréfutables », dont des séquences filmées par les caméras de surveillance, et les différentes auditions, le juge d’instruction a ordonné la mise sous contrôle judiciaire de la majorité des accusés dont le directeur régional de Annaba et neuf (09) inspecteurs principaux.

Tout le récit de l’affaire par le correspondant de la Radio à Annaba, Abdelbaki Djabali.

https://www.algerie360.com/wp-content/uploads/2018/07/annaba-douanes.mp3

The post Affaire de « transfert illicite de devises vers l’étranger et trafic de conteneurs de produits contrefaits » au port de Annaba : huit douaniers sous contrôle judiciaire appeared first on .

Categories: Afrique

51ème Festival nationale du théâtre amateur de Mostaghanem : que de potentialités !

Sat, 07/14/2018 - 22:04

Le festival du théâtre amateur se poursuit à la maison de la culture Abderrahmane Kaki dans la wilaya de Mostaghanem et se trouve cette année à sa 51ème édition.

Véritable pépinière de comédiens, cette manifestation annuelle reste aussi un moyen de perpétuer cet attachement au quatrième art qui est le symbole de l’expression libre sur les planches et la traduction des aspirations des peuples de par le monde.

Au sein dudit festival, se tient un Symposium intitulé « Théâtre amateur entre réalité et futurisme » qui se trouve ce samedi à sa deuxième journée et où l’accent a été particulièrement mis sur l’aspect de la formation.

Au programme des représentations, deux pièces de théâtre sont au menu pour cette journée. La première à 17h de Bordj Bou Arréridj, et la seconde à 22h30 de la formation culturelle de Sidi Bel Abbès.

Compte rendu de Sid Ali Farès, envoyé spécial de la Radio chaine 3 à Mostaghanem

The post 51ème Festival nationale du théâtre amateur de Mostaghanem : que de potentialités ! appeared first on .

Categories: Afrique

Mila : approbation d’un plan permanent de sauvegarde du Vieux Mila

Sat, 07/14/2018 - 22:01

MILA – La commission nationale des biens culturels du ministère de la Culture vient d’approuver un plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé (PPSMVSS) du Vieux Mila.

Le dossier de ce plan a été approuvé au ministère de tutelle « la semaine passée sans réserve aucune » conformément aux dispositions légales notamment la loi relative à la protection du patrimoine et au décret portant modalités d’élaboration des PPSMVSS, a précisé le chef service de protection du patrimoine de la direction locale de la culture, Cheyaba Lezghad.

Ce PPSMVSS constitue un « mécanisme légal et technique » pour la protection du Vieux Mila qui s’étend sur 38 hectares et permet « l’inscription future d’une opération de restauration de la cité », selon la même source qui a indiqué que ce plan sera publié dans le journal officiel pour application.

Ce plan, élaboré par la direction de la culture conjointement avec l’association des Amis du Vieux Mila, prévoit les trois phases de diagnostic et mesures d’urgence, analyse historique et typologique et du projet préliminaire.

The post Mila : approbation d’un plan permanent de sauvegarde du Vieux Mila appeared first on .

Categories: Afrique

Russie: Abbas et Poutine discutent de la question palestinienne à Moscou

Sat, 07/14/2018 - 21:54
MOSCOU – Le président russe Vladimir Poutine et président de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas ont discuté samedi de la question palestinienne.

« Je suis ravi de pouvoir vous informer de nos contacts avec vos voisins et avec les dirigeants des autres pays de la région », a déclaré M. Poutine, cité dans un communiqué du Kremlin. « Je sais que la situation dans la région est difficile, mais je vous suis reconnaissant d’avoir profité d’une occasion comme la Coupe du Monde pour venir à Moscou », a-t-il souligné.

Pour sa part, Mahmoud Abbas a exprimé sa « vive préoccupation » à propos des projets de l’occupant israélien de mettre en place de « nouvelles colonies », estimant qu’il s’agissait du « plus grand problème » des autorités palestiniennes, selon les agences de presse russes. Il a également dénoncé une nouvelle fois le transfert de l’ambassade des Etats-Unis à El-Qods occupée.

« Nous résistons aux tentatives des Américains d’imposer leurs propres solutions des problèmes les plus sensibles » pour la Palestine, a souligné M. Abbas, cité par l’agence de presse TASS. M. Abbas a exposé au président russe les derniers développements en Palestine, surtout, les mesures entamées à l’encontre du village bédouin de Khan al-Ahmar à l’est d’El-Qods occupée et les tentatives israéliennes d’exiler ses habitants autochtones, a rapporté l’agence de presse palestinienne Wafa.

Selon la même source, M. Abbas a loué les relations palestino-russes, souhaitant la réussite de l’organisation de la Coupe du monde de 2018 en Russie. Un présumé plan de paix dit « accord du siècle » pour le Moyen-Orient (Deal of the Century), que le président des Etats-Unis, Donald Trump, veut imposer aux Palestiniens, sera prochainement rendu public selon des médias. Le plan de paix américain a toutefois été catégoriquement refusé par les Palestiniens et de nombreux pays.

« Nos frères arabes nous affirment qu’ils sont contre « l’accord du siècle », et des pays en Europe, en Asie et en Afrique ont commencé à montrer que l’accord du siècle ne passera pas » a indiqué lundi dernier le président palestinien. Le haut responsable du mouvement palestinien Hamas , Mahmoud Zahar, a récemment indiqué être opposé à l' »accord du siècle ». « Dans notre dictionnaire, il n’y a rien qui s’appelle ‘accord du siècle’ ou même des deux siècles », a indiqué Mahmoud Zahar devant des dizaines de Palestiniens qui se sont rassemblés pour manifester vendredi après-midi dans la ville de Khan Younès, à l’est de la partie méridionale de la bande de Ghaza.

« L’accord de paix » de Trump, est en cours de préparation par les Etats-Unis qui excluent les questions liées à El-Qods occupée et des réfugiés palestiniens, a-t-il souligné. Fin juin dernier, le président de la Fédération palestinienne de football Jibril Rajoub, avait annoncé selon Wafa, que M. Abbas allait assister à la coup du monde en Russie « aux côtés de nombre de présidents et de leaders du monde, à l’invitation du Gianni Infantino, président de la Fédération internationale de football (FIFA) ».

The post Russie: Abbas et Poutine discutent de la question palestinienne à Moscou appeared first on .

Categories: Afrique

Ahd 54 appelle à bâtir un pays de droit pour un développement durable

Sat, 07/14/2018 - 21:53

CONSTANTINE – Le président du parti « AHD 54 », Ali Faouzi Rebaïne , a appelé samedi à Constantine à œuvrer pour bâtir un Etat de droit assurant le principe de chances égales pour tous et garantissant un développement durable.

S’exprimant lors d’une rencontre avec des militants et sympathisants de son parti, tenue à la maison de la culture « Ahmed Saâdi », M. Rebaïne a souligné la nécessité de conjuguer les efforts pour « l’édification d’un Etat de droit garantissant l’égalité pour tous, en matière de travail notamment ». « L’Algérie est un pays riche, en mesure d’évoluer sans compter sur ses ressources en hydrocarbures », a estimé le président de AHD 54, appelant au développement des secteurs de l’agriculture, l’industrie et le tourisme notamment, considérés comme « névralgiques » dans le développement durable des pays.

Dans ce sens, l’intervenant a mis en exergue la nécessité d »’abolir » les contraintes administratives, particulièrement celles entravant l’évolution de ces secteurs créateurs de richesse et de  »rompre » avec l’économie de rente qui, selon lui,  »continue de freiner le processus de développement en Algérie ». « Il est temps de fixer l’ordre de mérite de tout un chacun, selon l’effort déployé dans le cadre du développement du pays et loin de toute tendance de complaisance », a-t-il encore estimé.

Evoquant le pouvoir d’achat  »en chute », M. Rebaïne a appelé à l’organisation et à la restructuration des marchés de gros des fruits et légumes jusque là, a-t-il ajouté,  »monopolisés par une minorité qui cherche à gagner au détriment des autres ». Aussi, le président de AHD 54 a insisté sur la consolidation de la « communication entre citoyens et pouvoirs publics », appelant à des décentralisations administrative et économique pour donner davantage de prérogatives aux élus locaux, qu’il a qualifiés d' »acteurs principaux » dans l’équation du développement durable.

The post Ahd 54 appelle à bâtir un pays de droit pour un développement durable appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.