A. El Abci
La révision exceptionnelle des listes électorales, qui s’étale du 23 janvier jusqu’au 8 février, se déroule dans de bonnes conditions, notamment les nouvelles zones urbaines, qui ont connu des opérations de relogement lors des derniers mois, selon le directeur de la réglementation et des affaires générales (DRAG) de Constantine, Chellali Dekkiche. Cette révision exceptionnelle des listes vise, souligne ce responsable, à permettre aux citoyens de s’inscrire ou de procéder à une opération de radiation de leurs noms et leur réinscription, suite à un changement d’adresse. Situation qui concerne particulièrement, fait-il savoir, les familles qui ont été transférées au niveau des nouvelles villes d’Ali Mendjeli et de Massinissa, dans la commune d’El Khroub. Et d’indiquer, dans ce sillage, que pas moins de 12.370 cartes de vote ont été imprimées à l’occasion, dont la distribution aux nouvelles adresses des concernés a été prise en charge par plusieurs groupes d’agents administratifs.Evoquant la question du corps électoral, le 1er responsable de la direction de la réglementation et des affaires générales, le situera à exactement 585.052 électeurs, après l’opération de révision ordinaire du mois d’octobre des listes électorales, et de 557.057 électeurs avant l’opération. Et notre interlocuteur de signaler, par ailleurs, que le scrutin se déroulera à travers 1.457 bureaux et 214 centres de vote. Changement induit par les vagues de relogement des habitants de plusieurs cités de la ville de Constantine à Ali Mendjeli et Massinissa, fait-il observer.
Et d’indiquer encore que des commissions administratives locales, composées d’un juge comme président, du président de l’APC, du secrétaire général et deux électeurs, chargés du suivi des opérations d’inscription et de radiation, ont été installées. Et d’ajouter que ses services suivent de près cette opération et il est dans leurs prérogatives d’intervenir à n’importe quel moment en cas de nécessité.The post La révision des listes électorales suit son cours appeared first on .
A. Z.
Un enfant de onze ans découvert mort dans des conditions douteuses, dans la soirée du samedi, à l’intérieur d’une pièce du domicile familial, sis à Ali Mendjeli, a été enterré, hier, après la prière d’El Assar, en présence d’une foule de proches et voisins dans une atmosphère de grande tristesse.L’enfant, élève de la classe de 5e, est rentré des cours particuliers, en fin d’après-midi du samedi 26 janvier, dans un état très normal, selon des proches. Une fois chez lui, il a pris le téléphone portable de sa mère et s’est enfermé dans une pièce, d’où il ne ressortira plus vivant.
Voyant que leur fils ne donnait aucun signe de vie, après s’être enfermé de l’intérieur dans une pièce de l’appartement, on finira par casser la porte et tomber sur le corps sans vie de l’enfant derrière la porte, étranglé à l’aide d’une sangle arrachée du sac de sa sœur, selon des proches de la famille.
On soupçonne qu’il s’agit d’un drame provoqué par un jeu macabre du genre « la baleine bleue », mais il faut attendre la fin de l’enquête en cours pour déterminer avec exactitude les causes du décès, indiquent des sources des services de sécurité en charge de cette affaire.The post Ali Mendjeli: Un enfant de 11 ans découvert étranglé chez ses parents appeared first on .
A. Z.
Sans répit face au «tueur silencieux», les sapeurs-pompiers ont sauvé, dans la soirée du samed,i 26 janvier, 6 membres d’une famille, âgés entre 12 mois et 45 ans, qui ont été intoxiqués au monoxyde de carbone. Lors de leur intervention, à 22h 04, dans un appartement situé à Ali Mendjeli, Cnep Immo ((UV 13), les sapeurs-pompiers de l’Unité principale, ont découvert à l’intérieur de la maison, les 6 victimes souffrant de difficultés respiratoires, ainsi que d’autres symptômes provoqués par l’inhalation du monoxyde de carbone, comme les vomissements et les étourdissements, indique un communiqué de la protection civile. Ajoutant que ce gaz qui se dégageait du chauffe-bain a failli décimer toute la famille. Les 6 victimes ont reçu les premiers soins sur place avant leur évacuation à l’hôpital d’Ali Mendjeli.Dans le même registre, 2 autres interventions, à Ali Mendjeli (UV 1) et à Aïn S’mara (cité Boukercha Hacène), ont permis de sauver 2 autres familles ; la première composée de 5 membres, âgés entre 3 et 35 ans, et le seconde de 2 membres, âgés de 22 et 59 ans. Notons que le monoxyde de carbone se dégageait également du chauffe-bain dans ces 2 derniers cas.
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Khaled Boumediene
Le wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, a annoncé dans son allocution devant les cadres et fonctionnaires des Douanes que d’importantes décisions sur l’allègement des contrôles et la levée du passavant douanier (titre pour l’introduction de marchandises dans la zone terrestre du rayon des douanes) dans les zones frontalières avec le Maroc, seront prises prochainement par les hautes instances du pays. Ces mesures viseront, selon le chef de l’exécutif, à mettre fin aux lenteurs dans les transactions commerciales et la perturbation de l’approvisionnement en produits divers des populations de ces régions frontalières, qui ne cessaient de monter à chaque fois au créneau pour exiger la levée du passavant douanier. Instauré depuis le mois de juillet 2005 pour lutter contre la contrebande, le passavant impose un contrôle et une autorisation délivrée par les services des douanes pour toute une liste de marchandises à destination des communes frontalières, ce qui a généré un vrai casse-tête pour les commerçants et grossistes, ainsi qu’une flambée des prix de l’ensemble des produits et le mécontentement des habitants des localités de Maghnia, Bab El-Assa, Marsat Ben M’hidi, Béni-Boussaid, Souahlia, Sidi-Medjahed, Souani, Sidi-Boudjenane, Bouihi, Béni-Snous et Sidi-Djillali. Ce dispositif oblige les commerçants et autres à déclarer leurs marchandises au niveau de la brigade mixte, composée des services des impôts, de la douane et du commerce et dont le siège est situé sur la route nationale 35 menant à Maghnia.The post Tlemcen: Du nouveau pour le commerce dans les zones frontalières appeared first on .
A. Z.
Deux (2) individus, âgés de 24 et 45 ans, ont été arrêtés par les éléments de la 4e sûreté urbaine d’Ali Mendjeli pour leur implication dans deux affaires distinctes de possession et commercialisation illégale de drogue et de psychotropes. Les policiers ont, dans deux actions différentes menées suite à des renseignements faisant état de l’activité suspecte des deux individus, l’un au niveau de l’UV n° 19 et le second à l’UV n° 20, neutralisé les deux dealers, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya. Les policiers ont procédé à l’arrestation du premier suspect près de son domicile, à l’UV 20, et la perquisition de son domicile permettra de découvrir une quantité de psychotropes et de kif cachés derrière un tableau de peinture accroché au mur du salon. Ajoutant qu’un autre suspect, dans une affaire différente, a été arrêté à l’UV 19, et la perquisition de son domicile permettra aux policiers de découvrir 6 morceaux de kif destinés à la vente. Au total, dans les deux affaires, les policiers ont procédé à l’arrestation de deux individus et à la saisie de 217 comprimés psychotropes, ainsi qu’une quantité de kif d’un poids de 17 g. A l’issue des procédures pénales dans les deux différents dossiers, les deux mis en cause ont été présentés devant le parquet local, indique la même source.The post 217 comprimés psychotropes saisis, deux arrestations appeared first on .
K. B.
L’officier de la brigade mobile des douanes de Honaine (35 kilomètres au nord du chef-lieu de la wilaya de Tlemcen), Houcini Boubekeur, a reçu à l’occasion de la Journée mondiale des Douanes célébrée samedi dernier, le Certificat de mérite décerné par l’Organisation mondiale des Douanes (OMD) en reconnaissance de ses services exceptionnels rendus à la communauté douanière internationale et de l’excellent travail fait dans l’exercice de sa fonction durant ces dernières années où il a réussi à saisir à lui seul près de 10 quintaux de kif traité à Honaine et à démanteler plusieurs réseaux de narcotrafiquants.Présent lors de cette cérémonie de remise du Certificat, son chef hiérarchique, Brahim Mohamed (Chef d’inspection divisionnaire de Ghazaouet), a tenu à exprimer toute sa satisfaction pour cette belle distinction. « Cette haute distinction revient aux efforts déployés et à l’engagement dont a fait montre dans le domaine de lutte contre la drogue notre fonctionnaire, qui a été distingué par le Certificat de l’OMD, mais aussi, ce sont les éléments de la brigade mobile de Honaine et de la direction régionale de Tlemcen qui sont honorés à travers lui », indiquera M. Brahim Mohamed.
Lors de cet évènement, la direction régionale des douanes de Tlemcen a également honoré les brigades mobiles de Ghazaouet, Maghnia, Sidi Bel-Abbès, Saïda et Tlemcen.
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Par Aomar MOHELLEBI
L’immense ciseleur de mots, Slimane Azem, est décédé le 28 janvier 1983. 36 ans après, il demeure toujours là. Sa voix mélodieuse retentit encore un peu partout et ses poèmes ont gardé la même fraîcheur et la même profondeur.
Plus encore, ils sont toujours d’actualité. Quand on veut revisiter la Kabylie d’antan, quoi de mieux que de tendre l’oreille à la voix succulente de Slimane Azem afin de s’en ressourcer à satiété en écoutant les chansons immortelles de Slimane Azem. Ecouter par exemple une chanson exceptionnelle évoquant la nostalgie comme «aâssas n tala» (le gardien de la fontaine) en est un exemple édifiant parmi une infinité d’autres. L’amour de la patrie, de l’Algérie en général à la Kabylie en particulier, a été l’un des thèmes les plus récurrents de l’oeuvre poétique de Slimane Azem. Un thème que Slimane Azem n’a jamais ou presque jamais dissocié de celui de l’exil qui l’avait tant hanté au point d’être qualifié à juste titre de poète ou de chanteur de l’exil.
Privé de sa terre natale, Slimane Azem en a certes souffert, mais c’est aussi dans cette privation qu’il a puisé sa foisonnante inspiration lui ayant permis d’écrire des dizaines et des dizaines de poèmes immortels sur l’émigration forcée et sur l’amour du pays. Slimane Azem a toujours trouvé les mots, les vers et les métaphores qu’il faut pour déplorer sa condition d’exilé sans jamais se redire ou tomber dans la redondance. Et c’était l’une des facettes de son talent de poète. Parler de la même chose, de mille et une belles et différentes manières, était l’un de ses atouts. Ce n’est pas du tout évident et Slimane Azem disait l’exil à chaque fois avec une nouvelle fraîcheur, un autre vocabulaire qui faisait de chaque texte dédié à l’amour de la patrie et à l’exil un chef-d’oeuvre. Chez Slimane Azem, le thème de l’exil et de sa déchirure n’est jamais épuisé. Le poète est hanté par les images de son village natal Agouni Gueghrane qu’il n’a pas revu depuis des décennies. Il est hanté par d’autres «sites ensoleillés, les mirages et les décors» de sa Kabylie natale.
Le pays natal le taraudait
Il le dit même en langue française dans un sublime poème qu’il a intitulé tout simplement: «Algérie, mon beau pays». Dans ce texte destiné et dédié aux enfants des émigrés algériens nés en France, Slimane Azem fait le serment à cette Algérie inaccessible, mais tant adulée: «Algérie, mon beau pays, je t’aimerai jusqu’à la mort, loin de toi, moi je vieillis, rien n’empêche que je t’adore.» Le désir d’exprimer cette souffrance d’être coupé de sa terre natale était donc tellement profond chez Slimane Azem qu’il avait voulu le faire entendre à un maximum de mélomanes. Une douleur qu’il n’était pas seul à vivre puisqu’elle était partagée par tous les Algériens d’outre-mer.
Même ceux qui sont partis et restés volontairement. Slimane Azem a su dépeindre la douleur de toute cette génération d’Algériens dont il faisait partie. Il est incontestablement le poète-chanteur algérien qui a, et de loin, chanté le plus sur le thème de l’exil et l’amour de la patrie. Slimane Azem avait beau surfer sur une infinité d’autres sujets, mais il rebondissait inéluctablement et toujours sur le sujet qui taraudait tant son esprit: «tamurt» ou le pays natal.
En kabyle d’ailleurs, on n’a pas besoin de dire «mon» pays car «pays» (tamurt) veut dire systématiquement sa terre natale. Dans «tamurt-iw aâzizen», la complainte de Slimane Azem donne les larmes aux yeux. Il y parle de l’Algérie comme on parlerait d’une femme aimée qu’on a abandonnée au bled pendant de longues années sans l’avoir vue et sans avoir obtenu de nouvelles d’elle. Il y décrit son chagrin: «Mon pays bien aimé / Que j’ai quitté involontairement / Ce n’est pas moi qui ai choisi / C’est le destin et mon triste sort / Je vis dans un pays étranger / Mais ta silhouette ne quitte jamais mes yeux.» Bien sûr, toute traduction est trahison en poésie et ici, on est loin de retrouver toute l’émotion que dégage le texte, en kabyle de Slimane Azem. Surtout quand il est déclamé sur son support musical. Mais on a quand même une idée de ce que pouvait être la douleur de Slimane Azem par le fait qu’il vivait dans un pays qui n’était pas le sien.
«A Muh a Muh»…
Peu importe les raisons, mais la réalité est là et si on avait enseigné aux enfants d’Algérie qui sont aujourd’hui des jeunes, les textes de Slimane Azem sur l’amour de la patrie et sur l’amertume de l’exil, ils auraient hésité bien longuement avant de passer à l’acte de la «harga» très en vogue actuellement. Au lieu de cela, on a injustement censuré Slimane Azem des espaces publics parce qu’on n’a pas su voir en lui l’aspect positif de son oeuvre en se focalisant uniquement sur des considérations superflues qui, au fil des décennies, s’avèrent ne revêtir aucune importance.
Pour qu’ils ne cherchent pas à tout prix à quitter le pays pour s’exiler dans l’inconnu, même au prix de leur vie, les jeunes Algériens auraient sans doute une autre vision s’ils avaient été imprégnés et abreuvés des poèmes de Slimane Azem qui sont des hymnes à la patrie comme: «Ldzair a taâzizt-iw», «Daghriv dabarani», «A Muh a Muh», «Anetsruhu netsughal», «Ayafrux ifirilès», «Ur iruh, ur yeqqim», «Algérie mon beau pays», «Tamurt-iw Tizi Ouzou», «A yaâssas n tala» et la liste est loi d’être exhaustive. Il y a de quoi faire un véritable manuel sur l’amour de la patrie et la douleur de l’exil, mais Slimane Azem, à l’instar de bien d’autres grands artistes algériens a été, durant toute sa vie, victime de préjugés aberrants.
En tout cas, le temps finit toujours par rendre à César ce qui appartient à César. Ce n’est qu’à partir de 1988 que ses chansons ont été autorisées à être diffusées pour la première fois après l’indépendance au niveau de la Radio nationale Chaîne 2. Avant, elles y étaient tout simplement censurées et indésirables. Même en exil, Slimane Azem savait qui étaient les instigateurs de cette machination qui le visait. Il a répondu aux trois compères qui étaient les artisans de la censure qui l’avait frappé dans sa célèbre chanson intitulée péjorativement: «Tlata yeqjan» (les trois chiens). Mais que pouvait faire la censure devant le talent gigantesque de Slimane Azem? rien sinon lui conférer encore plus de crédibilité et d’estime de la part d’un peuple qu’on pouvait certes tromper pendant un temps, mais pas tout le temps.
Aujourd’hui, en 2019, 36 ans après son décès, Slimane Azem est la locomotive de la chanson et de la poésie kabyles. Malgré l’avènement de nombreux au-tres monuments de la chanson thématique kabyle, Slimane Azem reste le maître. Tous les autres, aussi talentueux et immenses soient-ils, ne sont que des élèves devant lui. Ils le reconnaissent d’ailleurs tous. A l’unanimité.
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Belkecir Mohamed
La circulation automobile à Mascara continue à faire parler d’elle. Les automobilistes qui expriment leur ras-le-bol, se plaignent de l’arrêt de beaucoup de feux tricolores dans de nombreux carrefours. Le dysfonctionnement de cet équipement de régulation de trafic automobile perdure depuis plusieurs semaines. Conséquence, une anarchie est ainsi créée au niveau des intersections devenant le théâtre, pendant les heures de pointe, d’interminables coups de klaxon, d’inobservation de la priorité, de cris de conducteurs. Des bouchons se forment bloquant la circulation et contraignant les policiers à intervenir pour réguler la circulation. Aussi, ce brouhaha de nuisances incommode les riverains des carrefours en question qui se plaignent, à leur tour, de bruits insupportables à cause de la panne de ces feux tricolores, pour manque d’entretien.The post Mascara: Les feux tricolores en panne créent la pagaille appeared first on .
El-Houari Dilmi
En grève de la faim depuis dimanche dernier, deux employés de la ferme pilote Chérif Eddine’ de Sougueur, dans la wilaya de Tiaret, ont été évacués, vendredi soir, dans un état grave à l’hôpital Guermit Nacer’ de Sougueur, apprend-on de source hospitalière. En effet, en grève de la faim depuis huit jours à l’intérieur d’une tente érigée en face du siège de l’administration de la ferme, dans la zone de Sid El Abed, « quatre travailleurs sont un état critique dont deux ont été hospitalisés vendredi », selon un représentant du collectif, contacté par Le Quotidien d’Oran’.Pour rappel, les travailleurs ont entamé une action de protestation depuis le début du mois en cours pour dénoncer l’extrême précarité dont ils sont victimes. S’étendant sur une superficie de plus de 1.300 ha, les travailleurs de la ferme pilote, qui ont saisi par écrit toutes les autorités locales, sont sans salaire depuis 29 mois. Le collectif des travailleurs se plaint, également, de « l’extrême pauvreté » dont souffrent les employés avec leurs familles. Dans une énième lettre adressée au ministre de l’Agriculture et du Développement rural, les travailleurs en grève de la faim menacent de se laisser mourir si aucune solution urgente n’est trouvée pour sauver leurs familles de ce qu’ils appellent « une mort programmée ».
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E. H. D.
C’est une agression ressemblant à un film hollywoodien que celle survenue samedi en plein centre-ville de Sougueur, quand un homme s’est vu délesté de son véhicule de marque Citroën «Berlingo» sous la menace d’une arme de blanche.En effet, et selon l’enquête en cours menée par la sûreté de daïra, l’homme, en compagnie de son petit enfant, s’est arrêté, moteur en marche, pour faire des courses quand des individus ont volé le véhicule avec l’enfant à bord. L’enfant sera abandonné dans la rue quelques centaines de mètres plus loin par les trois individus, qui seront pris en chasse par les policiers. Jusqu’à hier dimanche matin, le véhicule n’a toujours pas été retrouvé et une véritable chasse à l’homme a été lancée pour retrouver les agresseurs qui auraient pris la fuite en direction de la ville d’Aflou, dans la wilaya de Laghouat.
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S. M.
Placé sous l’égide du ministère de la Culture et patronné par le wali d’Aïn Temouchent, le premier salon national de la photo consacré à la promotion des sites touristiques et autres aires culturelles a débuté au complexe culturel de la ville.Prévu du 18 janvier au 06 février prochain, cet événement, le premier du genre en Algérie, est un large panorama des richesses touristiques que recèle notre pays. Des plans de paysages magnifiques sont exposés à la vue des visiteurs qui pourront ainsi découvrir l’immense potentiel naturel qui s’étend sur un littoral de plus de 12OO km. « Mon pays, la plus belle vitrine touristique » a été choisi comme slogan de ce rendez-vous haut en couleurs et surprenant par ses aspects oniriques.
Il est vrai que les paysages exceptionnels qu’offre le vaste continent qu’est l’Algérie incitent à la découverte et à l’évasion. La wilaya d’Aïn Temouchent avec une façade maritime longue de 80 km reste à cet égard une destination privilégiée à en juger par le nombre de touristes qui ont visité la vingtaine de stations balnéaires existantes. Près de 12 millions d’estivants, selon les statistiques. Voilà un salon qui mérite le déplacement.
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Olivier Giroud a reconnu que sa situation à Chelsea n’était pas la plus simple possible même si sa priorité est de rester en Premier League :
« Le coach met Hazard en 9, ce qui se fait au détriment des attaquants. Mais c’est le meilleur joueur avec lequel j’ai joué. i le club souhaite prendre un autre attaquant, comme Higuain, c’est sûr que mon avenir s’sbscurcit à Chelsea. On verra quelle est la meilleure décision à prendre. Un retour en France, je ne l’ai jamais exclu. Lyon et Marseille sont deux grands clubs mais ma priorité est de rester en Premier League. » Des propos relayés par Goal.
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Après avoir porté le maillot de l’équipe de France des moins de 20 ans, le défenseur central de Naples Kalidou Koulibaly (27 ans) a finalement choisi de représenter le Sénégal. Un choix influencé par son entourage :
« J’ai eu la chance de jouer une Coupe du monde avec les moins de 20 ans. J’y ai côtoyé Alexandre Lacazette et Antoine Griezmann, a rappelé le Napolitain au Canal Football Club. Mais par la suite, je pense que je n’étais pas au niveau de la sélection française donc je me suis fait un peu oublier. Il a fallu faire un choix : attendre l’équipe de France ou jouer avec le Sénégal. En parlant avec ma famille et mes proches, j’ai décidé de jouer pour le Sénégal. En voyant les yeux de mes parents briller, c’est un choix que je ne regretterai jamais. » Des propos relayés par Maxifoot.
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Dans son antre de San Mamés, l’Athletic Bilbao, de retour en forme après un début de saison catastrophique, accueillait le Betis, une des équipes à la mode en ce moment. Les Basques ont dominé leur sujet, s’imposant 1-0 comme le souligne Footmercato. Iker Muniain, d’un très joli but, offrait la victoire aux siens (1-0, 21e), globalement bien supérieurs. L’Athletic est maintenant onzième, le Betis huitième.
Si Aïssa Mandi a joué l’intégralité de la rencontre, Boudebouz, pour sa part, ne figurait pas sur la feuille de match.
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Au micro du Canal Football Club, le défenseur central de Naples est revenu sur ces incidents :
« C’est difficile d’en parler. C’est désolant de voir du racisme comme ça en 2019. Pendant le match j’ai compris qu’il y avait des chants racistes contre moi et j’ai eu un geste déplacé envers l’arbitre, je m’en excuse. Je pense aux gens qui me soutienne, pas à ces imbéciles qui veulent me faire péter les plombs. Dans le vestiaire, la première parole que j’ai eu, c’était Mertens et Ghoulam, ils m’ont dit que je m’étais trompé et ils avaient raison », a-t-il indiqué tel que le rapporte Goal.
« Je pense que maintenant, si ça devait encore se passer, j’aurais une autre réaction. Je pense que la plupart des joueurs étaient prêts à quitter le terrain », a-t-il fait savoir.
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Les directeurs des établissements, tous paliers confondus sont tenus à faire preuve de neutralité vis-à-vis des mouvements de grève et des rassemblements ou bien, ils risquent des sanctions sévères allant jusqu’à le licenciement, a souligné le ministère de l’Education nationale dans une note.
En effet, le département de Benghabrit a ordonné aux directeurs d’éducation de mieux se préparer en prévision de la prochaine étape, sachant que l’intersyndicale a menacé de renouer avec la contestation fin février prochain d’autant plus que sa première action a été largement suivie. Dans un courrier adressé aux DE, la tutelle a exhorté ces derniers de veiller à l’application d’un certain nombre d’instructions, entre autres la tenue le plus tôt possible des réunions avec les directeurs des établissements et l’obligation de ceux affiliés à des sections syndicales de signer une “déclaration sur l’honneur” quant à la “neutralité totale” envers les mouvements de grève, ne pas inciter les enseignants à suivre le débrayage et ne pas demander aux élèves de ne pas venir en classe à la veille de chaque mouvement de grève sous peine de sanctions. Outre les DE, les inspecteurs d’éducation sont appelés à multiplier les visites sur le terrain auprès des établissements et de prendre les mesures punitives à l’encontre des enseignants en cas d’absence ou de manquement à leurs engagements, à travers notamment l’octroi d’une note peu appréciable, la programmation des sessions de formation pendant la période de grève. Par ailleurs, les inspecteurs sont également invités à empêcher les enseignants ayant pris part à la dernière grève d’être membres d’une des commissions exerçant au sein de leurs établissements respectifs, à l’image de celles de nomination et d’encadrement…The post Education : Benghabrit met à rude épreuve les directeurs appeared first on .
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La nouvelle convention relative à l’extradition de criminels entre l’Algérie et la France, signée dimanche à Alger, est « conforme » aux principes du respect des droits de l’Homme et garanties des libertés fondamentales ainsi que la protection des données personnelles, ont estimé le ministre de la Justice et Garde des sceaux Tayeb Louh et son homologue française, Nicole Belloubet.
Saluant la signature de ce type de convention qui « intervient dans un contexte de modernisation du cadre conventionnel liant les deux pays dans le domaine juridique et judiciaire, conclut dans les années soixante », les deux ministres ont qualifié cette étape de « très importante » qui scelle l’aboutissement de six ans de négociations.
Dans une déclaration prononcée à l’issue de la signature de la convention et les entretiens qu’ils ont eus, M. Louh a indiqué que cette convention est conforme au principe du « respect des droits de l’Homme et la garantie des libertés fondamentales » et stipule que « les parties s’engagent à se livrer réciproquement, les personnes poursuivies ou condamnées par leurs autorités judicaires compétentes ».
La convention « a également abordé les motifs de refus d’extradition, y compris ce que prévoit l’article 3, qui empêche l’extradition des citoyens », a-t-il déclaré, citant les autres nouveautés apportées dans ce document, à savoir « l’introduction de dispositions relatives à la protection, au cours de l’enquête, des données à caractère personnel et de leur utilisation seulement dans les limites autorisées par la convention ».
M. Louh n’a pas manqué de rappeler le « développement rapide » de la criminalité organisée et transnationale, qui est aujourd’hui une menace, a-t-il insisté, pour le monde, notamment le terrorisme.
« La lutte contre la criminalité, en particulier le terrorisme, exige une véritable solidarité internationale pour faire face aux menaces qui pèsent sur la paix, la sécurité et la stabilité des sociétés et même sur l’évolution des démocraties », a averti le ministre, rappelant la souffrance et la lutte qu’a menée l’Algérie dans les années 90, contre les affres du terrorisme.
Il a dans ce cadre, souligné l’importance d’une coopération judicaire à même de garantir, a-t-il fait remarquer, les libertés fondamentales et le respect de la diversité des cultures et des civilisations.
Tout en rappelant que la première étape de la modernisation du cadre juridique et judicaire entre l’Algérie et la France a été la signature de la convention sur l’entraide judiciaire en matière pénale le 5 octobre 2016, entrée en vigueur le 1er mai 2018, Louh a qualifié de « très fructueux » les entretiens qu’il a eus avec son homologue française et qui ont porté sur plusieurs dossiers, notamment la question de la mise en œuvre des commissions rogatoires émanant des autorités judiciaires des deux pays, la coopération dans le domaine institutionnel et l’échange d’expérience tel que les programmes de jumelage.
De son côté, la ministre française a rappelé que la convention d’extradition qu’elle a qualifiée de « très importante, scelle l’aboutissement de six ans de négociations, précisant que cette durée s’explique par « la complexité et la sensibilité des questions juridiques soulevées ».
Tout en saluant dans ce contexte la « très bonne coopération » des deux pays dans le domaine de la justice, Mme Belloubet a fait savoir que les liens entre les deux Etats s’illustrent également par « la participation nombreuse de magistrats aux actions de formation de l’Ecole nationale de la magistrature, par le jumelage entre nos deux juridictions et nos administrations pénitentiaires ».
A noter par ailleurs, que les deux ministres ont fait savoir que le projet des conventions judicaires en matière civile et commerciale est en cours de négociations entre les experts des deux pays.
Un projet qui viendra compléter, a déclaré M. Louh, l’arsenal juridique et judiciaire dans le domaine de la coopération internationale entre les deux pays.
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Le groupe parlementaire d’amitié Algérie-Ghana a été installé dimanche au siège de l’Assemblée populaire nationale (APN), en présence de l’ambassadeur du Ghana à Alger, Nana Kwesi Arhin et d’un représentant du ministère des Affaires étrangères, a indiqué un communiqué de l’APN.
Supervisant la cérémonie d’installation du groupe parlementaire, le vice-président de l’APN, Abderrezak Terbeche a passé en revue « l’état des relations historiques, solides et distinguées, unissant les deux pays », se réjouissant du rapprochement des vues entre les deux pays vis-à-vis de différentes questions soulevées », a ajouté le communiqué.
M. Terbeche a souligné en outre « la nécessité de hisser la coopération au plus haut niveau, afin de parvenir à une coopération permettant la relance du développement, la lutte contre le terrorisme, l’extrémisme violent, la criminalité transnationale organisée, la traite des êtres humains, le trafic de stupéfiants ainsi que la migration clandestine ».
Le même responsable a appelé, à ce titre, « la partie ghanéenne au développement des relations de coopération entre les deux institutions législatives à travers la création de nouveaux mécanismes de communication permettant d’encourager les divers échanges parlementaires et dynamiser la diplomatie parlementaire à laquelle l’Algérie ne cesse d’accorder une place distinguée dans sa Constitution qui a couronné les réformes initiées par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika ».
L’ambassadeur du Ghana à Alger a, pour sa part, exprimé sa satisfaction pour les efforts consentis en vue de promouvoir la coopération bilatérale », appelant à « sa diversification pour inclure d’autres domaines ».
Il s’est félicité en outre « du progrès réalisé par l’Algérie » et qui lui a permis d’accéder à des perspectives économiques prometteuses, affirmant que le groupe d’amitié donnerait un élan aux relations de coopération dans divers domaines ».
De son côté, le président de ce groupe parlementaire, le député Mourad Taous a estimé que « ce mécanisme se veut un trait d’union entre les deux pays dans le but de renforcer les relations de coopération et réaliser davantage de rapprochement », a conclu le communiqué.
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