Les performances enregistrées par EMS Algérie, filiale Courrier et Colis express d’Algérie Poste, ont connu durant l’année 2018, une progression «substantielle» pour l’ensemble des indicateurs, lui permettant d’être classé à la 63e place parmi les 198 pays membres de la coopérative EMS pays, indique dimanche, un communiqué du ministère de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique.
Les efforts «considérables» déployés pour l’amélioration de la qualité de service vis-à-vis de ses clients, ont permis à EMS Algérie de devancer encore sept (7) pays durant le dernier trimestre de l’année 2018, note la même source, citant le dernier rapport de l’Union postale universelle (UPU). EMS Algérie a gagné 33 places au classement mondial durant l’année 2018, et 99 places durant les trois dernières années, soit de 2015 à 2018, rappelle la même source, relevant que, désormais, EMS Algérie est classé à la première 1re place en Afrique du Nord, 5e Pays arabe et 5e en Afrique, «une position très honorable pour l’Algérie».
«Ces performances se traduisent par un taux dépassant 99 % en matière de respect des délais à la livraison, le taux est valable sur l’ensemble du territoire national, un indicateur en forte progression», souligne le communiqué, ajoutant que EMS Algérie «enregistre également un taux de 94% de réponses à temps pour le service clients EMS, le taux est mesuré à travers des requêtes des clients et partenaires sur les bases de données de l’UPU». «Pour l’année 2019, EMS Algérie s’est fixé l’objectif d’être parmi les 50 pays les mieux classés dans le monde, un nouveau challenge pour l’entreprise», conclut la même source.
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Des transporteurs privés de voyageurs de la wilaya de Tizi-Ouzou ont organisé, dimanche, un mouvement de protestation pour contester l’idée d’organisation d’un brevet professionnel pour pouvoir assurer leurs activités.
La quasi totalité des transporteurs exerçant sur des lignes urbaines et suburbaines a répondu à l’appel leur demandant d’observer à la journée de grève lancé par un collectif de leur profession et le bureau local de l’Union des commerçants et artisans.
Selon des protestataires, pour disposer de ce brevet de conduite, les transporteurs devront désormais suivre une formation qui devrait, selon eux, débuter dans le courant de 2019.
Par suite de cet arrêt inopiné des dessertes assurées par ces transporteurs, des usagers ont du avoir recours au transport par rails ou bien à des taxis.
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Écrit par Souhila Hammadi
Une délégation de 20 professeurs en médecine et administrateurs du Conseil d’affaires de santé, formé dans le Conseil des relations économiques étrangères turc, est en visite en Algérie du 8 au 11 février courant.
Dans une conférence de presse, les coordinatrices de l’organisme ont expliqué les objectifs assignés à ce déplacement. Il s’agit, selon Aygen Yenigün, d’animer, d’une part, des séminaires académiques au profit de médecins algériens dans huit branches médicales, à savoir la greffe d’organes, la gastro-entérologie-hépatologie, l’hématologie pédiatrique, la chirurgie cardiovasculaire, la neurochirurgie, la chirurgie thoracique, la chirurgie générale, l’oncologie et, enfin, la greffe de la moelle osseuse. À terme, sera constituée une coopération médicale pour faciliter le transfert de technologie et de savoir-faire entre les deux pays.
De l’autre, les représentants du Conseil d’affaires turc devront rencontrer, ce dimanche, des hauts responsables au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, ceux de la Caisse nationale des travailleurs assurés sociaux et visiter des hôpitaux dans l’Algérois. “Nous cherchons à renforcer le partenariat entre les deux pays dans le domaine de la santé”, a indiqué, pour sa part, Bazak Canbulat. “Des producteurs de produits pharmaceutiques turcs veulent s’installer en Algérie. Puis, nous savons qu’il y a des besoins en formation médicale”, a-t-elle précisé.
Interrogée sur la nature des investissements qui seront éventuellement consentis dans le pays, la conférencière a affirmé qu’il faudra attendre l’issue des entretiens avec les autorités sanitaires pour avoir une idée plus claire des projets à entreprendre. “Dans un premier temps, les opérateurs turcs investiront dans des cliniques de radiologie de petite taille et des laboratoires d’analyse. Nous passerons, ensuite, à des partenariats stratégiques selon les besoins exprimés”, a-t-elle poursuivi. Les réunions avec la direction de la Cnas aboutiront-elles sur la signature d’une convention pour le transfert d’Algériens pour des soins dans des hôpitaux turcs ? “Nous ne nous sommes pas assigné cet objectif”, a répondu Aygen Yenigün, soulignant que le nombre de malades, qui se déplacent en Turquie pour se soigner, n’est pas élevé. Ils sont à peine 280 patients qui vont à Istanbul, chaque année, pour des consultations de check-up essentiellement, a-t-elle soutenu.
Souhila H.
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Les travaux de dédoublement de la RN-3, dans la région d’Oued-Righ, wilaya déléguée d’El-Meghaier, ont été lancés dimanche, dans leur premier tronçon de 27km.
Plusieurs entreprises de réalisation ont été mobilisées pour cette première tranche de 27 des 127 km programmés de cette route nationale qui traverse le territoire de sept (7) communes de la région d’Oued-Righ, a indiqué le wali d’El-Oued, lors du lancement du projet.
Une enveloppe globale de huit 8) milliards DA est prévue pour cette opération (127 km), a ajouté M.Abdelkader Bensaid, en précisant que le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire (MICLAT) a donné l’accord de principe pour une première enveloppe de trois (3) milliards DA afin de couvrir la première tranche du projet, en attendant la finalisation prochaine des procédures de financement de la totalité du projet dont les travaux seront réalisés par étapes.
Les procédures de lancement des travaux du projet de dédoublement de la RN-3 ont été accélérées sur instruction du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, ouredine Bedoui, qui a insisté sur le démarrage au plut tôt des travaux au vu de la grande importance de cette opération au plan économique mais aussi pour la préservation des usagers de la route des risques d’accidents, a indiqué M.Bensaid.
Le wali d’El-Oued a salué, par ailleurs, l’élan de solidarité des responsables d’entreprises de réalisation qui se sont dits prêts à réaliser bénévolement des tronçons du dédoublement de cette route nationale, dans les conditions prévues dans les cahiers des charges.
Le lancement de ce projet intervient dans le but de la prise en charge des préoccupations des citoyens de la région en en réponse à leurs doléances appelant au dédoublement de cette route nationale, en raison de la hausse du nombre d’accidents mortels qui s’y produisent du fait de l’intense circulation de véhicules, quelques 7.200 quotidiennement, dont 55% de poids lourds.
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Le ministre de l’Industrie et des mines, Youcef Yousfi a réuni dimanche au siège de son département ministériel, l’ensemble des industriels nationaux (publics et privés) de l’électronique et de l’électroménager à l’effet d’examiner l’évolution du secteur en Algérie, a indiqué un communiqué du ministère.
Lors de cette réunion de concertation, plusieurs questions ont été débattues parmi lesquelles les potentiels et capacités de l’industrie nationale de l’électronique, les taux d’intégration atteints dans cette
filière, les difficultés rencontrées par les opérateurs ainsi que les suggestions et propositions des industriels, a ajouté la même source.
Il a été convenu de créer un institut de formation commun dans les métiers des industries électroniques et une association regroupant les différents acteurs de la filière.
Après avoir écouté les interventions, M. Yousfi s’est engagé à accompagner davantage les industriels de cette branche et alléger les procédures administratives liées aux processus de fabrication et délais d’examen des dossiers SKD/CKD, a conclu le communiqué.
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Des dizaines de personnes, entre artistes (plasticiens, comédiens de théâtre et du cinéma), écrivains, acteurs de la société civile, élus et citoyens lambda, se sont rassemblés hier matin devant l’entrée de la bibliothèque principale de Béjaïa en solidarité avec les animateurs du Café littéraire de la ville. “La culture, ça rassemble”, affirmera Ouali, venu de la commune de Boudjellil apporter un soutien aux animateurs du Café littéraire.
Après avoir observé une minute de silence à la mémoire de deux artistes dont notre consœur, Imène Chibane, du site d’information Algérie Direct et de son mari, Fahim Khellal, qui ont péri, dans la nuit de vendredi à samedi, asphyxiés par le monoxyde de carbone, Kader Sadji, l’un des principaux animateurs du Café littéraire de Béjaïa, a pris la parole pour situer les responsabilité dans les blocages que subit le Café littéraire. “On s’est heurté à des refus inexplicables de la part du directeur de la bibliothèque principale. Mais on s’est vite rendu compte que le blocage se situait au niveau de la Direction de la culture”, a-t-il indiqué.
Le Café littéraire est, au fil des années, devenu un espace de débats critiques. Et c’est à ce titre, que l’association dérange. “Il y a des débats un peu trop critiques, nous a déclaré, il y a quelques mois, le directeur de la culture de Béjaïa”, confiera Kader Sadji avant de donner la parole aux autres intervenants. C’est aussi l’avis de Zoubir Lainceur, un ancien député de Béjaïa. La raison, c’est “parce que le Café littéraire réhabilite le politique. Et cela le pouvoir politique ne le tolère pas. D’ailleurs, tous les cafés littéraires sont ciblés. C’est cela, selon moi, qui a motivé ces interdictions”. Noureddine Saïdi, artiste peintre, a rappelé avec regret que Béjaïa compte trois écoles de musique. Et au moment où on allait avoir enfin une annexe de l’École supérieure des beaux-arts, un projet qui date depuis le milieu des années 1990 — un décret ministériel existe depuis le milieu des années 2000 —, on le bloque pour mettre en place une école de musique. “Et on leur refuse une annexe de l’École supérieure des beaux-arts d’Alger pour y installer une annexe de l’école régionale de musique de Bouira”, déclarera aussi Djamel Bouali, artiste plasticien et organisateur du Salon des arts plastiques, qui en est à sa 4e édition.
“En 2018, on nous a empêchés d’organiser, la 5e édition.” Il ne comprend pas comment Béjaïa, qui est véritablement une pépinière d’artistes, soit ainsi “spoliée, car c’est un abus de pouvoir, d’une annexe de l’École supérieure des beaux-arts”. L’ancien président de l’APW, Rabah Naceri, a confirmé que des démarches avaient été entreprises avec le wali de l’époque, Rachid Fatmi, afin que l’ancien tribunal de Béjaïa abrite un institut supérieur des beaux-arts. Pour lui, ce qui vient d’être fait par la Direction de la culture de Béjaïa est “un acte de sabotage”. Et pour cause : “Le gros des effectifs dans les écoles des beaux-arts est originaire de Béjaïa.”
M. Ouyougoute
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Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, a annoncé, dimanche à Alger, la tenue, mercredi prochain, d’un Conseil interministériel pour désigner l’instance multisectorielle qui sera chargée de la gestion de la Mosquée d’Alger.
Invité du Forum du quotidien El Moudjahid, M. Aissa a indiqué que ce Conseil interministériel « se tiendra sous la présidence du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, pour l’examen de la composante et la nature de
l’instance qui sera en charge de la gestion de la Mosquée d’Alger », ajoutant que le choix se pose, actuellement, entre un établissement public à caractère administratif (EPA), une Entreprise publique à caractère industriel et commercial (EPIC), ou encore une Entreprise privée.
Ces différentes propositions s’expliquent par le fait que « la Mosquée d’Alger soit une infrastructure religieuse, culturelle et muséale comprenant des espaces gérés par des micro entreprises, d’où notre proposition d’être placée sous la houlette de la Présidence, du Premier ministère ou du département des Affaires religieuses », a-t-il expliqué ajoutant que le conseil d’administration « sera formé de tous les secteurs concernés ».
D’autre part, le ministre a précisé que la Mosquée d’Alger aura un staff de quatre (04) Imams au moins, représentant l’ensemble des tendances du pays, et qui se relieront au Minbar (tribune) », soulignant que « le Adhan reflètera l’identité nationale ».
A ce propos, M. Aissa a fait état de l’invitation du célèbre Muezzin de la Mosquée Al-Haram (La Mecque), Ali Ahmed Mulla, pour le premier Adhan en tant que symbolique du caractère universel de la Mosquée d’Alger.
Concernant les biens Wakfs, le ministre a déclaré avoir pris, récemment, une décision permettant d’investir dans les biens Wakfs aménagés, en vue de capter les gros investisseurs qui « refusent de traiter avec les banques », évoquant le lancement de « six grands investissements au niveau de la capitale portant sur la création d’une banque islamique, d’un hôpital, deux hôtels, un Centre d’affaires et deux immeubles », en sus de « 15 autres investissements, bientôt lancés dans d’autres régions ».
Affirmant que le parc national de biens wakfs « a doublé après la décision des autorités françaises de laisser les cimetières chrétiens », M. Aissa prévoit encore une hausse du nombre de biens restitués une fois arrêtés certains biens wakfs dans la capitale à partir « de documents turcs reçus récemment par le Centre national des archives », en sus d’autres biens « en cours de récupération par voie de justice, et qui seront bientôt annoncés », a-t-il observé.
Par ailleurs, le ministre a annoncé « le lancement d’un processus national d’accompagnement des victimes de la pensée de propagande terroriste et d’explication que le fondement religieux auquel ils se sont appuyés était faussé en se référant à une terminologie sortie de son contexte ».
« Des imams et des docteurs universitaires algériens ont rencontré des éléments de groupes terroristes armés dans les prisons algériennes et ont eu avec eux des discussions dans ce sens », a-t-il dit apportant un démenti à « une quelconque rencontre de ce genre avec des membres de l’Organisation terroriste autoproclamée « Etat Islamique » (EI/ Daech) ».
Estimant que le projet de l’Observatoire national de lutte contre l’extrémisme sectaire n’a pas connu d’avancement en raison de « la tergiversation de certains secteurs », le ministre des Affaires religieuses a fait état d’une modification du caractère de cet organe public en « Fondation » de lutte contre l’extrémisme religieux et les dérives sectaires. Cette dernière, a-t-il dit, sera créée avant la fin du plan quinquennal actuel, après une Conférence internationale qu’abritera la ville d’Oran regroupant tous les courants et toutes les doctrines.
D’autre part, le ministre a évoqué la réunion qu’il avait présidée samedi à Dar El Imam avec le secrétaires des 48 Conseils scientifiques, il a précisé qu’elle avait pour objectif de définir les principes généraux de la loi d’orientation du secteur, en réponse à des questions soulevées par le ministère et qui préoccupent la société concernant la doctrine, l’exclusion et le takfirisme, précisant que les réponses de ces conseils seront encadrées dans « des textes généraux protégeant la pratique religieuse des Algériens sans exclusive ».
En réponse à une question sur les Caisses de la Zakat dans les mosquées, le ministre a déclaré qu’aucune décision n’avait été prise encore quant à leur retrait (des mosquées) suite aux agressions ayant ciblées des Imams, ajoutant avoir présenté une proposition qui est en cours d’examen par la commission ministérielle du Fond de la Zakat et commissions de wilayas et « la décision appropriée sera prise après écoute de tous les avis »,a-t-il ajouté.
En réaction aux déclarations de la ministre de l’Education nationale sur l’interdiction de la prière à l’intérieur des établissements éducatifs, M. Aïssa a fustigé « les réseaux sociaux qui interprètent les propos », soutenant que « les constantes nationales sont indiscutables » et « les instances de l’Etat solides et veillent à la pratique religieuse saine ».
En conclusion, le ministre des Affaires religieuses a annoncé l’adhésion de son secteur à une campagne de sensibilisation sur le don d’organes, qui sera lancée « prochainement » par le ministère de la Santé, faisant état du recours à l’aide de médecins spécialistes pour accompagner les Imams dans leurs prêches de vendredi.
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Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, et le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le colonel Mustapha El Habiri, ont assisté dimanche à Bouira aux funérailles du pompier Mohamed Achour dont le corps inerte a été retrouvé et repêché à Oued D’Hous après 18 jours d’intenses recherches.
Le Directeur général de la Protection civile (DGCP), le colonel Boualem Boughellaf, était lui aussi présent à l’enterrement du pompier qui a eu lieu au cimetière M’zara, dans la localité de Chéraga relevant de la commune d’El-Hachimia (sud de Bouira). Sur place, le ministre Bedoui, le colonel El Habiri et le colonel Boughellaf ont présenté leurs condoléances à la famille du martyr du devoir national décédé à l’âge de 27 ans.
Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a remis le drapeau national au père du pompier décédé Omar Achour, avant de le consoler et de solidariser avec toute la famille de la victime qui a sacrifié sa vie pour accomplir le devoir national.
L’agent de la protection civile Mohamed Achour, âgé de 27 ans, a trouvé la mort après avoir été emporté par de fortes eaux pluviales, à la cité des 250 logements de la ville de Bouira. Après 18 jours de recherches lancées par des équipes de la Protection civile composées de près de 1000 éléments, les unités d’intervention ont pu retrouver et repêcher son corps dimanche matin à Oued D’Hous, à la sortie Sud-est de la ville de Bouira.
« Le beau temps et la baisse des eaux pluviales nous ont permis de travailler davantage pour le retrouver, nous avons consentis de gros efforts pour retrouver le défunt, c’est un grand soulagement », a expliqué le chargé de la communication à la Direction générale de la Protection civile, le capitaine Nassim Bernaoui.
Des milliers de personnes, venus des quatre coins de la wilaya de Bouira, ainsi que d’autres wilayas limitrophes pour assister aux funérailles du pompier Mohamed Achour et se solidariser avec sa famille. L’enterrement de la victime a eu lieu dans un climat de deuil et de consternation.
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Dans sa lettre de candidature à l’élection présidentielle, le président Bouteflika est revenu sur son état de santé. Retour en image sur ces principales déclarations à ce propos.
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Le torchon brûle entre le chef de daïra de Thénia, dans la wilaya de Boumerdès, et les citoyens de la commune d’Ammal, qui fait partie de sa circonscription administrative. La semaine dernière une pétition adressée au wali de Boumerdès et signée par les représentants de 13 associations locales, dénonçait les pratiques du chef daïra de Thénia qui occupe ce poste depuis 2012. En effet ce responsable est accusé par les citoyens d’Ammal d’entraver le développement de cette région en usant de bureaucratie. “Notre commune a bénéficié, il y a 4 ans, d’un lot de projets visant à la désenclaver, pour un montant évalué à plus de 40 milliards de centimes, mais à cause de la daïra qui a usé de moyens bureaucratiques, de nombreux projets ont été annulés”, nous dira un adjoint du P/APC.
Pour cet élu, le chef de daïra en question est à l’origine du marasme dans lequel baigne la commune d’Ammal, car les projets retardés étaient destinés particulièrement aux villages ruraux et consistaient en l’ouverture de pistes, le bitumage et le raccordement de ces localités aux différents réseaux vitaux.
La dernière affaire qui a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, remonte à la semaine dernière quand le chef de daïra a refusé de valider une fiche technique émise par l’APC concernant un projet de restauration des écoles primaires. D’après le président de l’APC, ce chef de daïra ne rate pas une occasion de manifester son mépris envers la population locale. “Nous avons réalisé une étude pour la restauration de nos écoles primaires dans le respect des normes en vigueur, pour une meilleure scolarité de nos enfants, mais le chef de daïra a refusé de les valider car, selon lui, le montant est très élevé et on devrait se contenter de refaire la peinture et l’étanchéité”, nous a-t-il confié.
Lors des inondations qui ont touché plusieurs villages d’Ammal à la fin du mois de janvier, un accueil des plus froids a été réservé par les habitants au chef de daïra, lorsqu’il s’est rendu sur le lieu des dégâts, car ils estimaient que cette catastrophe était prévisible vu l’état de l’oued. Le projet de nettoyage et de curage de l’oued et du barrage à l’origine de ces inondations qui aurait dû être fait bien avant cette date, continue d’être reporté. “Le 24 janvier dernier au lendemain des importantes inondations, nous avons veillé jusqu’à une heure tardive de la nuit pour réaliser une fiche technique pour le nettoyage et le curage de l’oued, mais hélas, à ce jour, aucune suite nous a été donnée par la daïra”, nous dira le P/APC.
Dans la lettre adressée au wali, les associations reprochent également au chef de daïra son refus de recevoir les représentants de la société civile dans son bureau et son immobilisme face aux souffrances qu’endurent les résidents des chalets d’Ammal, qui, contrairement à ceux des autres communes, ne sont toujours pas fixés sur leur sort.
N. OUHIB
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Considérant que son meeting n’est rien d’autre qu’une action parmi les activités de son parti, le président du MSP dira que cette rencontre avec la population à partir de Médéa sera le prélude de “notre montée à destination d’El-Mouradia”. Mais pour cela, dira-t-il, il faudra que les Algériens se mobilisent le jour j contre la fraude.
Et au leader du parti de poser la question aux détenteurs de la décision sur leur gestion depuis plus d’une vingtaine d’années, pervertissant les règles du jeu par la force et la peur pour garder le pouvoir sans faire évoluer le pays vers le développement. “Vous avez tout détruit, dilapidé les ressources du pays sans rien laisser aux générations futures, dépensé
1 000 milliards de dollars pour permettre l’enrichissement d’une catégorie d’hommes d’affaires”, dira-t-il à l’endroit du pouvoir.
Pour corroborer ses propos, il fera appel aux rapports publiés par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international et les différents autres organismes internationaux et nationaux sur la gabegie ayant caractérisé la gestion des réserves de changes qui ne cessent de fondre depuis 2014. “En 2021, il n’y aura plus dans les caisses qu’environ 30 milliards de réserves de changes, alors que l’économie a besoin de 25 milliards de dollars par an.” “Pis encore, en 2025, il n’y aura pas beaucoup de pétrole à exporter, mettant le pays dans une trajectoire menant à la situation qui se vit au Venezuela actuellement. Si les Vénézuéliens ont pu aller vers les pays voisins, nous autres n’avons que des voisins plus pauvres que nous, par la faute d’un système qui ne sait agir que par la fraude.”
Pour le leader du MSP, les perspectives seront sombres “si nous ne nous donnons pas la main pour empêcher le pays de sombrer. C’est au prix du consensus que nous pourrons mettre les conditions de création de la richesse et des emplois via de petites entreprises et non pas de grandes qui ne profitent qu’à une catégorie de citoyens”. Il prédira que l’élection d’avril 2019 ne permettra pas d’espérer si le personnel politique qui occupe les différentes instances actuelles reste toujours en place. “Notre initiative pour un consensus n’a pas recueilli l’adhésion des autres formations politiques pour des raisons de leadership. Mais nous les avons avertis sur la maladie du président de la République et son incapacité à se porter candidat, et que son ère est bien révolue”, expliquera-t-il.
M. EL BEY
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Le porte-parole de l’instance présidentielle du FFS, qui a mis en exergue la complexité de la conjoncture que vit le pays actuellement, a appelé les jeunes et les diplômés universitaires à contribuer à imposer le changement.
“En 2006, nous avions dit que le système était dans l’alternance clanique et capable même d’aller vers un mandat à vie, et aujourd’hui, nous sommes dans cette situation. C’est donc pour cela que nous boycottons activement et pacifiquement ce scrutin, et il faut que les consciences se réveillent, parce que ce ne sont plus des élections, et leur candidat passera comme une lettre à la poste”, a estimé, hier, à Sidi Bel-Abbès, Ali Laskri, coordinateur de l’instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS).
Pour ce responsable du FFS qui a présidé, à la salle Benghazi-Cheikh, une réunion régionale avec les cadres et militants de son parti des wilayas d’Oran, de Mascara, de Saïda, de Relizane, de Chlef, d’Aïn Defla et de Sidi Bel-Abbès, “cette présidentielle fait planer de graves incertitudes sur la cohésion nationale, la stabilité et la sécurité du pays, et si des situations très graves apparaissent demain, ils devront les assumer”.
À ce propos, Ali Laskri a promis de “se battre” pour préserver l’État démocratique et social comme dans la déclaration du 1er Novembre 1954 et “contre ce système qui est aujourd’hui dans le libéralisme autoritaire et sauvage”. Et d’ajouter : “Cela explique qu’il n’y a pas de volonté politique pour aller vers un changement et nous nous dirigerons vers un mandat à vie. Donc, il ne nous reste que la rue, qui, il faut le rappeler, est dangereuse, mais ce sont eux qui poussent les gens vers cette voie. Même au sein des médias lourds, notamment la télévision publique, le débat libre et démocratique est absent. Normalement, les candidats potentiels pour cette joute électorale, notamment ceux des partis politiques ou autres personnalités nationales, nous aurions dû les connaître un an avant, pas deux mois.”
En ce sens, le porte-parole de l’instance de présidence du FFS, qui a mis en exergue la complexité de la conjoncture que vit le pays actuellement, a appelé les jeunes et les diplômés universitaires à apporter le changement, et non pas l’exil, la harga, la drogue, le suicide ou la criminalité. “Il ne leur reste qu’une seule voie pour sortir de ce cauchemar, pour transformer cette haine du pouvoir en place en adhérant aux forces politiques démocratiques d’opposition et aux mouvements sociaux autonomes pour mettre fin à ce système qui vous marginalise. La mondialisation n’est pas compatissante et les libéraux ont pris le dessus sur tout. Dès lors, pour contribuer à la sauvegarde de l’Algérie, il faudrait imposer une vraie réconciliation nationale, une idée éternelle de Si L’Hocine qui a été relancée récemment par la proposition du FFS pour la reconstruction d’un consensus national et populaire qui pourrait permettre à notre pays de sortir de la crise multidimensionnelle qui menace sa cohésion sociale et son unité territoriale”, a-t-il affirmé.
Dans un autre registre, Ali Laskri a estimé que le patronat en Algérie n’est pas une bourgeoisie traditionnelle, car selon lui, les surcoûts des projets structurants sont aujourd’hui une catastrophe et un gouffre financier, que ce soit pour les autoroutes ou les autres projets, notamment les stades et l’habitat, et pour lesquels, “les enveloppes financières, les délais et les garanties ne sont pas respectés”.
A. BOUSMAHA
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La justice tunisienne a condamné hier à la prison à vie sept terroristes reconnus coupables d’implication dans des attentats qui ont tué en 2015 en Tunisie 60 personnes, en majorité des touristes étrangers, a annoncé le parquet.
Au total, 51 Tunisiens sont jugés dans les deux procès des attentats au musée du Bardo à Tunis le 18 mars 2015 (21 touristes et un agent de sécurité tunisien tués) et dans une station balnéaire de Sousse le 26 juin 2015 (38 touristes tués dont 30 Britanniques).
Dans le procès de l’attaque du Bardo (22 accusés en détention et trois en liberté), trois terroristes ont été condamnés à la prison à vie pour “homicide volontaire”, “participation dans un homicide volontaire” et “agression visant à changer l’aspect civil de l’État”. Des peines de prison d’un an à 16 ans ont aussi été prononcées et une dizaine d’accusés ont été acquittés, selon M. Sliti.
Dans le procès de l’attaque contre un hôtel à Sousse, quatre terroristes ont été condamnés à la prison à vie pour les mêmes motifs. Cinq Tunisiens ont été condamnés à des peines allant de six mois à six ans de prison et 17 ont été acquittés, a précisé M. Sliti. Au total, 26 personnes sont jugées dans cette affaire, 18 en détention et huit en liberté.
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Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a rejeté vendredi un document publié la veille à Montevideo (Uruguay) par le Groupe de contact international (ICG) sur le Venezuela, dénonçant le “parti pris” des pays signataires qui ont appelé à une élection présidentielle libre au Venezuela, ont rapporté hier des médias locaux.
“Nous rejetons le parti pris du document du Groupe de contact, mais je suis prêt et disposé à recevoir tout envoyé de ce bloc de pays européens et latino-américains”, a déclaré le chef de l’État lors d’une conférence de presse à Caracas, ont ajouté les mêmes sources. “Le document, signé par la majorité du groupe, à l’exception du Mexique et de la Bolivie qui se sont abstenus, est biaisé dans ses recommandations sur la façon de dénouer la crise politique au Venezuela”, a souligné le Président vénézuélien. “Je suis totalement en désaccord avec sa partialité”, a indiqué M. Maduro qui a par ailleurs invité l’émissaire du groupe à venir à Caracas pour des entretiens.
L’ICG, qui rassemble l’Union européenne et 13 pays d’Amérique du Sud et d’Europe, a publié une déclaration à l’issue de sa première réunion jeudi dans laquelle il dit soutenir une nouvelle élection présidentielle au Venezuela, comme le demande l’opposition vénézuélienne de droite. “Vendredi, la Chine a appelé à un règlement pacifique de la crise vénézuélienne, affirmant soutenir tous les efforts de la communauté internationale en vue de résoudre la question du Venezuela par la voie politique”, ont rapporté des médias locaux.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying, a indiqué vendredi que “la Chine soutient tous les efforts de la communauté internationale en faveur de la résolution de la crise vénézuélienne”, insistant sur “le règlement politique et le dialogue entre les différentes parties”, a indiqué vendredi l’agence de presse Chine Nouvelle.
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Les autorités néerlandaises ont comptabilisé l’an dernier 42 entreprises qui ont déménagé du Royaume-Uni vers les Pays-Bas ou prévoient de le faire en raison des incertitudes liées au Brexit, selon des chiffres publiés hier. Cela représente 1923 emplois et quelque 291 millions d’euros d’investissements, a annoncé l’Agence néerlandaise des investissements étrangers (NFIA), qui dépend directement du ministère des Affaires économiques, dans ses résultats annuels.
Parmi les entreprises ayant annoncé l’an dernier l’ouverture de bureaux aux Pays-Bas en raison du Brexit, figurent les fournisseurs internationaux de services financiers MarketAxess et Azimo ainsi que l’assureur maritime UK P&I. Londres a également perdu l’Agence européenne du médicament (EMA), qui va bientôt quitter la capitale britannique pour s’installer à Amsterdam. La banque d’investissement japonaise Norinchukin et le groupe de médias britannique TVT Media ont pour leur part signalé l’expansion de leurs bureaux aux Pays-Bas, a indiqué la NFIA.
La NFIA a signalé, fin janvier, être en contact avec plus de 250 entreprises étrangères envisageant de s’installer aux Pays-Bas pour la même raison. Il s’agit principalement d’entreprises britanniques, mais aussi d’organisations américaines et asiatiques qui repensent leur structure européenne en raison des incertitudes causées par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, prévue le 29 mars, précise la NFIA.
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L’opération Goût de/Good France est un événement gastronomique de renommée internationale qui est l’occasion de célébrer l’excellence de la cuisine française dans un esprit de partage et de convivialité. La 5ème édition se déroulera le 21 mars 2019, en Algérie comme partout dans le monde.
Organisé à l’initiative du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères, Goût de/Good France est un véritable trait d’union entre les chefs du monde entier. Les restaurateurs algériens sont chaleureusement invités à participer à cet événement. Pour ce faire, ils doivent impérativement s’inscrire avant le 15 février sur le site www.goodfrance.com qui précise les modalités de participation.
En 2019, Goût de France mettra en valeur la région de Provence qui s’est proposée comme partenaire principal de l’opération. Chaque chef sera libre de choisir les plats français à servir le 21 mars et invité à donner à son menu une touche provençale. La thématique 2019 portera également sur le développement durable à travers la gastronomie responsable et l’engagement des chefs pour la préservation de la planète qui se traduit entre autres par la réduction du plastique.
Plusieurs chefs algériens ont d’ores et déjà confirmé leur participation, soyez nombreux à les rejoindre ! La liste des restaurants participants sera dévoilée par le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères lors de la conférence de presse officielle à la mi-février à Paris. Une carte interactive des restaurants participants sera mise en ligne sur le site www.goodfrance.com pour accroître la visibilité de l’opération à l’échelle globale.
Par ailleurs, l’Institut français d’Alger proposera de nombreuses activités tout au long de la journée Goût de France du 21 mars qui permettront au public de découvrir, pratiquer et savourer la gastronomie française : ateliers gastronomiques, projections de films, rencontres avec des chefs, etc.
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ALGER – Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a désigné dimanche, Tayeb Belaïz, à la tête du Conseil constitutionnel, en remplacement du défunt Mourad Medelci.
Cette nomination intervient conformément à l’article 183 de la Constitution de 2016 qui stipule que « Le président de la République désigne, pour un mandat unique de 8 ans le président et le vice-président du Conseil constitutionnel ».
M. Bélaïz avait occupé déjà ce poste avant d’être nommé, entre 2013 à 2015, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales.
Né le 21 août 1948 à Maghnia (Tlemcen), M. Bélaïz a débuté sa carrière professionnelle au sein des services extérieurs du ministère de l’Intérieur, avant de rejoindre le secteur de la justice en occupant d’abord le poste de magistrat pendant 25 ans, puis celui de président de la Cour d’Oran et de Sidi Bel Abbès ainsi que celui de conseiller à la Cour suprême.
En 2002, M. Bélaïz est nommé ministre de l’Emploi et de la Solidarité nationale, et en 2003, ministre de la Justice.
Avant cette nomination à la tête du Conseil constitutionnel, il occupait le poste de ministre d’Etat, conseiller spécial du président de la République.
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ALGER- L’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a été désigné officiellement directeur de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, ainsi que Amara Benyounes, président du Mouvement populaire algérien (MPA), chargé de la commission de communication, en prévision de l’élection présidentielle du 18 avril 2019, a-t-on indiqué dimanche auprès de la permanence du candidat.
M. Sellal avait déjà occupé ce poste successivement lors de l’élection présidentielle de 2004, 2009 et 2014, quand il avait conduit la campagne du Président Bouteflika.
M. Sellal et Benyounes seront assistés d’un staff composé de militants de l’alliance présidentielle dont d’anciens cadres dirigeants.
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Le bras de fer entre le ministère de l’Education nationale et le collectif des syndicats autonomes continue. Ces derniers rejettent les contenus des projets des procès-verbaux de la tutelle. Selon eux, ces contenus ne reflètent pas les discussions tenues avec la commission de négociation du ministère. Les syndicats qui se réuniront, samedi prochain, pour décider des actions à prendre, appellent à des solutions concrètes.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Le ministère de l’Education nationale n’est pas encore arrivé à un arrangement avec les six syndicats autonomes qui menacent de lancer de nouvelles actions de protestation. Benghabrit a expliqué que les syndicats ont reçu les projets des P-V de réunions bilatérales organisées suite au préavis de grève du 21 janvier dernier.
La ministre de l’Education nationale qui a déclaré que son département a répondu point par point à près de 90% des revendications soulevées par les syndicats, a indiqué que son département attend les réponses de ces derniers par rapport à ces P-V. M. Chaïb Draâ, conseiller au ministère de l’Education, qui préside ces réunions de discussion a également expliqué qu’il attend les réponses des syndicats pour pouvoir reprendre à nouveau les discussions. Il ne s’agit, dit-il, que de projets de P-V pour le moment.
«Nous avons tenu des rencontres bilatérales avec les syndicats pendant une dizaine de jours, nous avons établi des projets de P-V, nous leur avons demandé de réagir à ces projets et de nous donner leurs observations par écrit, le dernier délai était fixé pour le jeudi 7 février, et nous allons les appeler pour nous concerter sur les différends qui restent en suspens pour régler définitivement les problèmes posés et pouvoir revenir à la sérénité et ramener le secteur à la sérénité», a indiqué M. Chaïb Draâ. Et la réponse des syndicats a été publiée jeudi via un communiqué pour annoncer leur rejet des contenus des P-V.
«Après avoir reçu les projets de P-V, et après lecture, nous avons observé que les contenus des P-V ne reflètent pas les discussions que nous avons eues dans le cadre des réunions bilatérales, et ce, pour la plupart des dossiers. Comme si la partie qui a rédigé ces procès-verbaux n’était pas la même que celle avec qui nous avons discuté», lit-on dans le communiqué signé par l’Unpef, le SNTE, le Snapest, le CLA et le Satef. Devant ce constat, poursuivent ces syndicats, «nous rejetons ces projets de P-V dans leur contenu actuel». Les syndicats ont souligné avoir remis toutes leurs observations au ministère de l’Education. Ils accordent un délai d’une semaine à la tutelle «pour apporter des solutions concrètes à leurs revendications sur la base d’un calendrier clair de mise en œuvre».
Autrement, samedi prochain, les six syndicats autonomes se réuniront pour décider de leurs futures actions de protestation.
S. A.
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Le ministère de l’Education nationale va lancer dans quelques jours les discussions sur la réforme du cycle secondaire, avons-nous appris de bonne source. Une étape obligatoire pour pouvoir passer à la réforme générale de l’examen du bac.
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