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(B2) Depuis que le système de validation par un vote du président de la Commission européenne existe, le candidat élu a connu des scores différents
Les règles de vote ont changé au fil du temps, le Parlement européen gagnant en puissance au fil des modifications du traité. Le traité de Maastricht instaure le principe d’un vote de confiance obligatoire, mais à la majorité simple. Le traité de Lisbonne renforce le vote le faisant passer à la majorité absolue.
Première phase : majorité simple
En 1994, le Luxembourgeois Jacques Santer passe au ras des pâquerettes, avec 260 voix pour, 238 voix contre et 23 abstentions (567 députés). Il paie la mauvaise humeur des eurodéputés qui manifestent contre le veto britannique contre le Premier ministre belge Jean-Luc Dehaene.
En mai 1999, l’Italien Romano Prodi est élu avec une large majorité 392 voix pour, 72 voix contre et 41 abstentions (626 sièges).
Deuxième phase : la majorité absolue
En juillet 2004, le Portugais José-Manuel Barroso est élu avec 413 voix sur 711 suffrages exprimés : 251 contre, 44 abstentions et 3 nuls (732 sièges, 367 voix nécessaires).
En septembre 2009, José-Manuel Barroso est élu avec 382 voix pour sur 718 suffrages exprimés : 219 voix contre et 117 abstentions (736 sièges).
En juillet 2014, Jean-Claude Juncker est élu avec 422 voix pour sur 729 suffrages exprimés : 250 contre, 47 abstentions, 10 votes non valides (751 députés, 376 voix nécessaires).
En juillet 2019, Ursula von der Leyen est élue avec 383 votes sur 733 votes exprimés (51,3%) : 327 Contre, 22 Abstentions et 1 bulletin nul (751 inscrits sur un effectif de 751 membres, 374 voix nécessaires)
Le meilleur élu et le moins bien…
Depuis le traité de Maastricht, le mieux élu a été Romano Prodi (62,6% en ratio de majorité absolue) et le moins bien élu est Jacques Santer (qui n’a que 45,8% en ratio de majorité absolue et n’aurait donc pas été élu dans le système actuel).
De façon plus récente, c’est José-Manuel Barroso I qui est le meilleur élu en 2004, devançant de peu Jean-Claude Juncker en 2014 (respectivement 56,4% et 56,2% des membres). Le plus mal élu est le même José-Manuel Barroso, à son second mandat en 2009, qui passe la rampe de justesse (51,9% des membres). Un score identique ou inférieur ne serait pas pour Ursula von der Leyen un très bon signe indiquait-on au moment de la rédaction de l’article. Le score a été en effet inférieur : 51,3%.
En résumé : du mieux élu au moins bon
(Nicolas Gros-Verheyde)
La règle de la majorité absolue
Pour rappel, le Parlement doit approuver le nouveau Président de la Commission à la majorité absolue (la moitié des députés en fonction, plus un) des « membres ». C’est-à-dire des députés enregistrés à ce moment-là. L’effectif ‘théorique’ n’est pas toujours atteint, soit parce qu’un député n’a pas reçu la validation de son élection dans son État membre (c’est le cas pour les députés indépendantistes catalans aujourd’hui), soit en cas de remplacement (le nouvel arrivé n’est pas encore là tandis que le partant est déjà parti). Aujourd’hui le nombre de députés présents est de 747 membres (sur un effectif théorique de 751), soit un seuil fixé à 374 députés.
Mis à jour le 16.7 à 19h45 avec les résultats des votes au Parlement européen
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On peine à le croire et pourtant il le faut. Dans la France de Macron, il est désormais possible d'aller à une fête et de n'en pas revenir. Dans la France de Macron, la police a tout pouvoir. Éborgner du manifestant, on savait ; jeter à la noyade du teufeur, on découvre. En réalité, avec ce pouvoir on n'arrête pas de découvrir.
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(B2) Le système européen de navigation par satellite est en panne. Son gestionnaire a fait passer le message dimanche : Galileo est « actuellement affecté par un incident technique lié à son infrastructure terrestre »
(crédit : agence européenne Galieo)Le signal SAR préservé
Cet incident a entraîné « une interruption temporaire des services initiaux de navigation et de minutage ». Seul reste en fonctionnement le service de recherche et de sauvetage (SAR) – utilisé pour localiser et aider les personnes en détresse, par exemple en mer ou en montagne. Le SAR « n’est pas affecté et reste opérationnel ».
Une détection des anomalies en cours
Les experts travaillent pour rétablir la situation le plus rapidement possible. Un comité d’examen des anomalies a été immédiatement mis en place pour analyser la cause première exacte et mettre en œuvre des actions de récupération.
Une dégradation depuis plusieurs jours
Le gestionnaire du service avait averti ses utilisateurs jeudi dernier (11 juillet) de la « dégradation du service sur tous les satellites Galileo ». Les signaux peuvent « ne pas être disponibles ni respecter les niveaux de performance minimum. Leur utilisation s’effectue aux risques de l’utilisateur ».
En phase initiale
Galileo est opérationnel depuis décembre 2016 mais il est toujours en phase ‘pilote’ initiale : c’est-à-dire qu’il fournit des « services initiaux » précédant la phase de « services opérationnels complets ». Les signaux Galileo sont utilisés en association avec d’autres systèmes de navigation par satellite.
(NGV)
Télécharger le message aux utilisateurs du 13 juillet 2019
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(B2) Lors des cérémonies du 14 juillet, le président français Emmanuel Macron a annoncé une nouveauté en matière organisationnelle : la création d’un grand commandement de l’espace. Ce dès septembre. L’espace ne sera pas une arme autonome. Ce sera l’armée de l’air qui endossera « à terme » cette responsabilité, devenant « alors « l’armée de l’air et de l’espace » (1).
Protéger les satellites y compris de manière active
Le président endosse ainsi « la nouvelle doctrine spatiale militaire » présentée par sa ministre Florence Parly quelques semaines plus tôt. Cela « permettra d’assurer notre défense de l’espace et par l’espace ». Deux objectifs sont fixés à ce commandement : « renforcer notre connaissance de l’activité spatiale » et « protéger mieux nos satellites y compris de manière active ». Une nécessité pour être présent dans les « nouvelles zones de confrontations » que sont devenus le « cyber » et l’exo-atmosphérique. Et le président français de promettre de nouveaux investissements « indispensables ».
(NGV, à Paris)
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