Balkans Occidentaux

Chaque semaine, des travailleurs du secteur médical partent à l'étranger, un exode que la libéralisation des visas risque d'accentuer. Pharmacienne à Mitrovica, Erona n'a pas (encore) prévu de partir, mais va profiter de cette nouvelle liberté pour aller voir des membres de sa famille aux quatre coins de l'Europe et enfin pouvoir « rêver plus grand ».

L'Autriche soutient l'intégration des pays des Balkans occidentaux à l'Union européenne (UE), essentiellement pour des raisons économiques. Mais la région est aussi vue depuis Vienne comme la porte d'entrée en Europe occidentale des migrants qui remontent depuis la Grèce et dont l'arrivée est instrumentalisée par les populistes autrichiens pour des enjeux internes. L'analyse d'Adelheid Wölfl, correspondante historique dans les Balkans du journal autrichien Der Standard.

L'Autriche soutient l'intégration des pays des Balkans occidentaux à l'Union européenne (UE), essentiellement pour des raisons économiques. Mais la région est aussi vue depuis Vienne comme la porte d'entrée en Europe occidentale des migrants qui remontent depuis la Grèce et dont l'arrivée est instrumentalisée par les populistes autrichiens pour des enjeux internes. L'analyse d'Adelheid Wölfl, correspondante historique dans les Balkans du journal autrichien Der Standard.

L'Autriche soutient l'intégration des pays des Balkans occidentaux à l'Union européenne (UE), essentiellement pour des raisons économiques. Mais la région est aussi vue depuis Vienne comme la porte d'entrée en Europe occidentale des migrants qui remontent depuis la Grèce et dont l'arrivée est instrumentalisée par les populistes autrichiens pour des enjeux internes. L'analyse d'Adelheid Wölfl, correspondante historique dans les Balkans du journal autrichien Der Standard.

L'Autriche soutient l'intégration des pays des Balkans occidentaux à l'Union européenne (UE), essentiellement pour des raisons économiques. Mais la région est aussi vue depuis Vienne comme la porte d'entrée en Europe occidentale des migrants qui remontent depuis la Grèce et dont l'arrivée est instrumentalisée par les populistes autrichiens pour des enjeux internes. L'analyse d'Adelheid Wölfl, correspondante historique dans les Balkans du journal autrichien Der Standard.

L'Autriche soutient l'intégration des pays des Balkans occidentaux à l'Union européenne (UE), essentiellement pour des raisons économiques. Mais la région est aussi vue depuis Vienne comme la porte d'entrée en Europe occidentale des migrants qui remontent depuis la Grèce et dont l'arrivée est instrumentalisée par les populistes autrichiens pour des enjeux internes. L'analyse d'Adelheid Wölfl, correspondante historique dans les Balkans du journal autrichien Der Standard.

L'Autriche soutient l'intégration des pays des Balkans occidentaux à l'Union européenne (UE), essentiellement pour des raisons économiques. Mais la région est aussi vue depuis Vienne comme la porte d'entrée en Europe occidentale des migrants qui remontent depuis la Grèce et dont l'arrivée est instrumentalisée par les populistes autrichiens pour des enjeux internes. L'analyse d'Adelheid Wölfl, correspondante historique dans les Balkans du journal autrichien Der Standard.

L'Autriche soutient l'intégration des pays des Balkans occidentaux à l'Union européenne (UE), essentiellement pour des raisons économiques. Mais la région est aussi vue depuis Vienne comme la porte d'entrée en Europe occidentale des migrants qui remontent depuis la Grèce et dont l'arrivée est instrumentalisée par les populistes autrichiens pour des enjeux internes. L'analyse d'Adelheid Wölfl, correspondante historique dans les Balkans du journal autrichien Der Standard.

Le président serbe Aleksandar Vučić et son ancien mentor Vojislav Šešelj se retrouvent pour mener ensemble la bataille électorale de Belgrade, dimanche 17 décembre. En Serbie, l'extrême-droite occupe une place de plus en plus prépondérante dans l'espace politique, une normalisation qui s'accompagne d'un révisionnisme historique généralisé.

Le président serbe Aleksandar Vučić et son ancien mentor Vojislav Šešelj se retrouvent pour mener ensemble la bataille électorale de Belgrade, dimanche 17 décembre. En Serbie, l'extrême-droite occupe une place de plus en plus prépondérante dans l'espace politique, une normalisation qui s'accompagne d'un révisionnisme historique généralisé.

Dealing with the pervasive issue of disinformation is imperative, given its enduring risks to democracy and social cohesion. Effectively tackling this multifaceted challenge demands innovative solutions, and collective intelligence emerges as a promising approach.
"From Fake to Check" – an initiative coordinated by Mission Publique and supported by the Ministry of Foreign Affairs of Germany – engaged citizens from Albania, Kosovo, North Macedonia, and Serbia in deliberations about the (...)

Le gouvernement du Kosovo a interdit l'ouverture de bureaux de vote lors des élections serbes de dimanche. Les électeurs qui souhaitent voter devront donc se rendre en Serbie. Pourtant, le nombre d'électeurs inscrits au Kosovo connaît une étonnante inflation.

Le gouvernement du Kosovo a interdit l'ouverture de bureaux de vote lors des élections serbes de dimanche. Les électeurs qui souhaitent voter devront donc se rendre en Serbie. Pourtant, le nombre d'électeurs inscrits au Kosovo connaît une étonnante inflation.

Le gouvernement du Kosovo a interdit l'ouverture de bureaux de vote lors des élections serbes de dimanche. Les électeurs qui souhaitent voter devront donc se rendre en Serbie. Pourtant, le nombre d'électeurs inscrits au Kosovo connaît une étonnante inflation.

Le Président Erdoğan est passé maître dans l'art du double jeu, comme il le montre entre Kiev et Moscou. Depuis le début des combats à Gaza, l'AKP dénonce le « génocide » contre les Palestiniens et appelle au boycott des produits israéliens, mais certains membres du parti continueraient à faire des affaires avec l'État hébreux.

Jusqu'à présent, seuls Malte et Chypre reconnaissent le féminicide comme une infraction pénale particulière. En Croatie, la loi pourrait bientôt être modifiée en ce sens. Mais si des progrès ont été faits pour lutter contre les violences faites aux femmes, beaucoup reste à faire. État des lieux.

Jusqu'à présent, seuls Malte et Chypre reconnaissent le féminicide comme une infraction pénale particulière. En Croatie, la loi pourrait bientôt être modifiée en ce sens. Mais si des progrès ont été faits pour lutter contre les violences faites aux femmes, beaucoup reste à faire. État des lieux.