Balkans Occidentaux

C'est une première. Les dirigeants des pays candidats des Balkans occidentaux ont rencontré ceux de l'Union européenne (UE) à Athènes. La Moldavie et l'Ukraine étaient aussi conviées. Seul absent, le Premier ministre albanais Edi Rama, qui n'avait pas été convié par son homologue grec, Kyriakos Mitsotakis.

C'est une première. Les dirigeants des pays candidats des Balkans occidentaux ont rencontré ceux de l'Union européenne (UE) à Athènes. La Moldavie et l'Ukraine étaient aussi conviées. Seul absent, le Premier ministre albanais Edi Rama, qui n'avait pas été convié par son homologue grec, Kyriakos Mitsotakis.

C'est une première. Les dirigeants des pays candidats des Balkans occidentaux ont rencontré ceux de l'Union européenne (UE) à Athènes. La Moldavie et l'Ukraine étaient aussi conviées. Seul absent, le Premier ministre albanais Edi Rama, qui n'avait pas été convié par son homologue grec, Kyriakos Mitsotakis.

C'est une première. Les dirigeants des pays candidats des Balkans occidentaux ont rencontré ceux de l'Union européenne (UE) à Athènes. La Moldavie et l'Ukraine étaient aussi conviées. Seul absent, le Premier ministre albanais Edi Rama, qui n'avait pas été convié par son homologue grec, Kyriakos Mitsotakis.

C'est une première. Les dirigeants des pays candidats des Balkans occidentaux ont rencontré ceux de l'Union européenne (UE) à Athènes. La Moldavie et l'Ukraine étaient aussi conviées. Seul absent, le Premier ministre albanais Edi Rama, qui n'avait pas été convié par son homologue grec, Kyriakos Mitsotakis.

C'est une première. Les dirigeants des pays candidats des Balkans occidentaux ont rencontré ceux de l'Union européenne (UE) à Athènes. La Moldavie et l'Ukraine étaient aussi conviées. Seul absent, le Premier ministre albanais Edi Rama, qui n'avait pas été convié par son homologue grec, Kyriakos Mitsotakis.

C'est une première. Les dirigeants des pays candidats des Balkans occidentaux ont rencontré ceux de l'Union européenne (UE) à Athènes. La Moldavie et l'Ukraine étaient aussi conviées. Seul absent, le Premier ministre albanais Edi Rama, qui n'avait pas été convié par son homologue grec, Kyriakos Mitsotakis.

Ces dix dernières années, au moins 300 femmes ont été tuées en Serbie selon le décompte de la société civile. Dans 70% des cas, les coupables sont condamnés à des peines inférieures à 15 ans de prison. Parce que la justice retient de nombreuses circonstances atténuantes, bien souvent aberrantes.

Ces dix dernières années, au moins 300 femmes ont été tuées en Serbie selon le décompte de la société civile. Dans 70% des cas, les coupables sont condamnés à des peines inférieures à 15 ans de prison. Parce que la justice retient de nombreuses circonstances atténuantes, bien souvent aberrantes.

Le Premier ministre Edi Rama veut mettre au pas la télévision publique albanaise (RTSH). Depuis la nomination d'un nouveau directeur, qui n'est autre qu'un ancien député du Parti socialiste (PS), les licenciements se multiplient dans la station, au grand dam des syndicats et des organisations de journalistes, en Albanie et en Europe, ainsi que du Parlement et de la Commission européenne.

Le Premier ministre Edi Rama veut mettre au pas la télévision publique albanaise (RTSH). Depuis la nomination d'un nouveau directeur, qui n'est autre qu'un ancien député du Parti socialiste (PS), les licenciements se multiplient dans la station, au grand dam des syndicats et des organisations de journalistes, en Albanie et en Europe, ainsi que du Parlement et de la Commission européenne.

Originaire du Monténégro, le poète Marko Vešović vivait à Sarajevo. Durant le siège de la ville, il s'était fait le chroniqueur des souffrances et des espoirs de ses habitants. Il s'est éteint à 78 ans.

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Antisémites, islamophobes, néonazis et soutiens de l'invasion russe de l'Ukraine... Plusieurs figures des franges les plus radicales de l'ultra-droite européenne étaient à Belgrade le 8 juillet pour une conférence sur le thème « La droite européenne et le Kosovo ».

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Grand raout régional à Budapest où le Premier ministre hongrois Viktor Orbán accueillait dimanche 20 août, jour de la Saint-Étienne, ses « amis politiques », notamment les présidents serbe et turc Aleksandar Vučić et Recep Tayyip Erdoğan, ainsi que l'homme fort de la Republika Srpska, Milorad Dodik.

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