Il faut le dire, les perturbations en alimentation en eau potable AEP, depuis plus d’une année, qu’ont endurées les habitants de plusieurs localités de la wilaya, y compris souk ahras-ville, ne risquent pas de se reproduire. immanquablement, la préservation de l’eau est l’enjeu du futur et doit impérativement être bien gérée aussi bien en quantité qu’en qualité d’autant plus que la population soukahrassienne et les exigences de ce liquide précieux ne cessent d’augmenter.
Il faut rappeler à ce titre que les communes de Ouled Moumen,Terguelt, Machroha et le chef-lieu de la wilaya ont passé l’année dernière un été difficile en matière d’AEP en raison du déficit de la pluviométrie ces dernières années, nécessité impérieuse s’impose, une manne d’argent de l’ordre de 1 920 000 000,00 de da a été allouée par le ministère des ressources en eau pour la réalisation de projets structurants de l’hydraulique pour l’année 2018 afin de pallier une nouvelle perturbation en alimention en eau à souk ahras portant principalement la réalisation de 17 forages de 200 mètres linéaires à travers la wilaya de souk ahras. les communes concernées sont : Taoura, Medaourouch, Saflouiden, Tiffech, Henancha, Khedara, Heddada etTerguelt pour une mobilisation de 10 000 m3 jour, la réhabilitation de deux stations de pompage pk 108 et celle du 26 avril en sus de la rénovation de conduite d’adduction sur 6 000 mètres linéaires à Taoura, la réhabilitation de conduite de refoulement entre la station pk 108 et celle du 26 avril sur une distance de 4,5 kilomètres et la réhabilitation de collecteur de distribution de 1 200 m à souk ahras. Le débit mobilisé de l’ordre de 10 000 m3 sera réparti comme suit, 600 m3/ jour pour le chef-lieu de la wilaya, le débit global pour souk ahras sera de l’ordre de 15 000 m3 sans compter le volume provenant du barrage de Aïn dallia, 3 000 m3 pour les localités de medaourouch et sedrata et 10 000 m3 seront destinés aux communes qui endurent un manque patent en eau potable, selon le directeur des ressources en eau M. khouhil. Le taux d’avancement des travaux pour la réalisation des forages est de 70%, la station d’interconnexion Sebti Boumarafi Taoura, le réservoir est à 95%, à vrai dire, ces projets phares, une fois achevés, augmenteront la mobilisation en eau pour toute la wilaya de souk ahras.
Barour Yacine
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Plus de 5 000 candidats ont passé lundi dernier le concours oral de recrutement organisé par la Direction de l’éducation pour postuler à 158 postes d’emploi, a-t-on appris auprès de cette instance.
Les candidats de ce concours dont 3 600 postulants pour 38 postes d’enseignants pour le palier primaire et 1 000 pour les postes d’adjoints de l’éducation sont répartis sur 11 centres d’examen, selon une source proche de la Direction de l’éducation qui souligne que 115 postes d’emploi sont destinés à l’encadrement administratif et 39 laborantins. On apprend, par ailleurs, que 509 fonctionnaires de la Direction de l’éducation ont passé des examens professionnels internes pour des promotions dans les corps des administratifs et d’inspection.
Rappelons que plus de 17 000 candidats ont pris part le 12 juin dernier aux épreuves du concours écrit de recrutement organisé par la Direction d’éducation de la wilaya de Jijel dans les corps enseignants et administratifs.
Le cadavre d’un quinquagénaire repêché par la protection civile à Beaumarchais
La protection civile de la wilaya de Jijel a repêché lundi soir le cadavre de B. Yacine, âgé de 54 ans et père de famille, de la plage des rochers non surveillée du quartier de Beaumarchais dans la commune de Jijel, a-t-on appris de la protection civile. La même source a ajouté que cette noyade s’est produite sur une plage non surveillée. On apprend, par ailleurs, que la dépouille de la victime a été déposée à la morgue de l’hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel. De leur côté, les services de sécurité ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances et les causes de cet incident tragique. La protection civile a enregistré trois noyades depuis l’ouverture de la saison estivale le 1er juin dernier dont deux se sont produites sur des plages non surveillées, selon la radio locale. On apprend également que 1 800 baigneurs ont été sauvés de la noyade depuis le premier juin dernier et que le nombre des estivants qui ont fréquenté les plages de la wilaya de Jijel a atteint 2,5 millions d’estivants depuis le début de la saison estivale en cours.
B. M. C.
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Plusieurs dizaines de souscripteurs aux 300 logements LPA confiés à l’Agence foncière de wilaya, ont observé, hier, un sit-in devant le siège de la wilaya pour réclamer la reprise sérieuse de ce projet.
Selon les souscripteurs rencontrés sur les lieux, le projet des 300 logements LPA, implanté dans quatre sites que sont le U21 avec 60 logements, U21 avec 80 logements, UF1 avec 100 logements et UF2 avec 60 logements, le projet des 300 logements LPA datait de 2013, mais pour des raisons de lenteur dans la confection des listes par la daïra de Bouira, celui-ci n’a été lancé officiellement qu’en 2016. Qu’importe ; en 2016, après la confection des listes, les souscripteurs enfin connus, ont alors pensé que les délais qui étaient de 30 mois allaient être respectés et de fait, presque tous se sont précipités pour payer la quote part qui leur revenait, (83 millions de centimes).
Il faut rappeler que les logements sont des F3 avec un coût de 280 millions. Une fois leur quote-part initiale payée, leurs dossiers seront transmis à la CNL qui versera les aides de l’Etat arrêtées entre 40 et 70 millions de centimes. D’ailleurs, là, beaucoup de souscripteurs ont dénoncé le retard mis dans la confection des listes puisque entre 2013 et 2016, certains ont été écartés à cause du changement de leur statut et de leur paie, et/ou l’aide réduite à 40 millions au lieu de 70 millions.
Passons. Une fois les premières tranches et les aides de l’Etat versées dans les comptes de l’Agence foncière de wilaya, les souscripteurs croyaient que les logements allaient être livrés durant les premiers mois de 2018.
Or, quelques mois après le lancement de ce projet, des retards commençaient à se faire sentir dans d’autres sites comme celui des 100 logements, seul deux blocs sont en avance car destinés selon les contestataires rencontrés hier, à la wilaya pour les affecter à des familles dans le cadre d’une compensation ; d’autres sites ont démarré mais avec un rythme très lent.
Dans certains sites où les travaux sont avancés, des malfaçons et des anomalies sont apparues, comme ces cuisines qui ont été réalisées sans fenêtres, d’autres encore avec uniquement des impostes, des toilettes qui ont des fenêtres qui donnent sur les… salles de bain, etc.
En tout cas, tellement de problèmes que les souscripteurs ne savent plus à quel saint se vouer. D’ailleurs, durant toutes ces années, les représentants de ces souscripteurs ont tapé à toutes les portes mais ni les responsables de l’agence foncière, ni ceux de la DLEP, ni les walis qui se sont succédé, n’ont pu faire avancer les choses.
Hier, lors de leur énième sit-in devant le siège de la wilaya, une délégation a été reçue par le chef de cabinet. Celui-ci a reconnu la justesse de leurs revendications mais, leur a fait savoir qu’actuellement, l’agence foncière de la wilaya est gérée par un intérimaire et que ce dernier, n’a aucune prérogative pour, résilier les contrats aux entreprises défaillantes ou faire des pressions sur elles et qu’il faut attendre la nomination ou le retour de l’ex-directeur de l’agence qui est actuellement suspendu provisoirement, afin de voir clair concernant ce programme des 300 logements LPA de Bouira.
En effet, en avril dernier, et suite à une lettre anonyme mettant en cause le directeur de l’agence dans la gestion, le wali avait procédé à sa suspension provisoire. Immédiatement, le wali a procédé à l’installation d’un intérimaire issu de son cabinet alors que selon les textes, il fallait installer un cadre issu de l’agence foncière. Moins d’un mois après l’installation de ce nouveau directeur, un scandale lié à la vente de lots de terrains a éclaté mettant en cause la nouvelle direction. Suite à ce scandale, le wali devait procéder à la nomination d’un nouveau directeur qui doit nécessairement être issu de l’agence mais, là encore… les choses traînent. ..
Après avoir pris connaissance du compte-rendu de la rencontre, les souscripteurs présents devant le siège de la wilaya, n’ont eu d’autres réactions que d’implorer le Bon Dieu de voir les choses revenir à la normale au sein de cette agence. C’est le propre de l’Algérien qui ne fait et cela depuis bien longtemps déjà, que souhaiter l’intervention de la providence pour que les choses changent, à tous les niveaux.
Y. Y.
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Les journées de lundi et mardi derniers ont été marquées par plusieurs accidents de la circulation sur le territoire de la wilaya de Blida, et le plus grave est celui de la commune de Meftah, à l’extrême est de la wilaya, où un jeune homme est décédé sur le coup après avoir été violemment heurté par un bus.
Dans la matinée d’hier aux environs de 11h30, un bus de transport public percuta de plein fouet un jeune homme, S. A., alors qu’il traversait la route. Son corps a été déposé à la morgue de l’hôpital de Meftah.
Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur les circonstances de ce drame.Un autre accident de la circulation est survenu lundi dernier vers 13h30 sur l’autoroute Est-Ouest, entre Mouzaïa et El Affroun, où deux camions se sont percutés faisant neuf blessés parmi les passagers qui ont été transférés par la Protection civile vers l’établissement hospitalier de Mouzaïa.
Sur la RN1 à la sortie de Blida vers Alger, deux femmes qui traversaient la route ont été percutées à proximité du lieu Khazrouna par un véhicule de tourisme. Heureusement pour elles, les blessures n’étaient pas graves mais elles ont été hospitalisées à l’hôpital de Frantz-Fanon.Enfin, le dernier accident enregistré est celui du dérapage d’un motocycle de marque Peugeot 103 qui a fait deux blessés.Par ailleurs, la Protection civile de Blida a enregistré durant la période allant du 8 au 14 juillet dernier, 844 interventions dont 412 pour les secours et l’évacuation des malades et des blessés aux hôpitaux. Tout comme, elle est intervenue pour circonscrire 115 feux de forêt.
M. B.
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Selon une source sûre, des médecins et des paramédicaux de l’hôpital Saïd-Mejdoub de Taher, dans la wilaya de Jijel, ont tenu, ces derniers jours, un sit-in devant le service des urgences de cet établissement en signe de protestation contre la poursuite judiciaire à l’encontre d’une femme médecin suite à la mort d’un nouveau-né lors de l’accouchement d’une femme.
On apprend, par ailleurs, que la famille plaignante reproche au staff médical négligence et laxisme et attribue la responsabilité de la mort de son nouveau-né au staff médical.
Notre source a ajouté que cet établissement hospitalier est dépourvu d’un gynécologue et que le médecin poursuivi est une praticienne généraliste qui assurait la garde lors de l’accouchement de cette femme.
Le jugement de cette affaire a été reporté à une date ultérieure, a souligné notre source.
B. M. C.
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Hier après-midi, près de la mosquée d’El Intissar, un jeune homme de 26 ans, originaire de Relizane, a été pris de malaise avant de s’évanouir. Un propriétaire de café arriva avec une bouteille, il lava le visage du malade et lui trempa les cheveux, ce qui le soulagera un peu. Un citoyen se proposa de l’amener à l’hôpital. Parmi ceux qui étaient attroupés autour du malade, quelqu’un travaillant en milieu hospitalier affirma connaître les symptômes et tira sa conclusion : il s’agit d’une hypoglycémie. Au même moment, une autre personne déclara le connaître et fit savoir que ce dernier était diabétique.
A. Rahmane.
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Le musée saharien de Ouargla s’emploie actuellement à s’ouvrir sur son environnement, en tant que structure socioculturelle, à travers l’établissement de relations, en premier lieu, avec les universités du pays, leur proposant des matières scientifiques authentiques dans divers domaines, a annoncé hier la directrice de cette structure muséale.
Ces liens spécifiques, à vocation culturelle et scientifique, ouvriront de larges perspectives de recherches aux universitaires, archéologues et étudiants, s’intéressant au patrimoine culturel séculaire des anciennes civilisations, qui se sont succédées dans les régions de Oued-M’ya et Oued-Righ, a expliqué Mme Oum El-Kheir Benzahi.
Rouvert au public en mai dernier, après avoir fait l’objet d’une large opération de restauration, cette structure culturelle, qui a enregistré également la finalisation, après deux ans de travaux, de l’opération d’inventaire et de classification, selon la nature et la valeur historique, des acquisitions archéologiques et des objets entreposés, a drainé depuis, de nombreuses visites de chercheurs de l’université Kasdi-Merbah (Ouargla) et Mohamed-Khider (Biskra), venus s’enquérir de cette richesse historique et archéologique, développer leurs connaissances et étudier la nature des objets historiques en fonction des programmes dispensés à l’université.
Ce musée, qui a accueilli, grâce à sa position stratégique jouxtant la station de tramway de Ouargla, des milliers d’élèves dans le cadre de visites guidées organisées par les établissements scolaires et associations culturelles, attend d’autres visites lors de la prochaine saison scolaire, en vertu d’une convention signée entre cette structure et la Direction de l’éducation de la wilaya de Ouargla.
Mme Benzahi a également fait part de l’adoption la semaine dernière d’un tarif d’accès «symbolique» au musée saharien moyennant une somme de 80 DA pour les adultes et 40 DA pour les enfants, alors que la visite était gratuite.
Selon les données historiques, le musée saharien de Ouargla, connu communément sous le nom de «Site Blanc», a été édifié en 1937 par le colonel Gabriel Carbillet, et jouit actuellement d’une classification depuis 2007 en tant que patrimoine national généré par l’Office national de gestion et d’exploitation des biens culturels sauvegardés. Occupant une surface de 1 700 m2, le musée saharien, chef-d’œuvre architectural alliant le cachet urbanistique européen, soudanais et maghrébin, est composé de trois ailes dédiées à la préhistoire, l’archéologie et l’ethnographie.
Chacune des ailes répertorie, selon sa spécialité, une panoplie d’objets consistant en des pierres, des fléchettes, des ustensiles en poterie et en cuivre, datant de diverses époques (de la préhistoire à l’ère moderne), découvertes dans les régions d’Oued-M’ya, Oued Righ et jusque dans le Tassili, en plus d’armements datant de la glorieuse Guerre de libération nationale et d’articles façonnés par l’homme ancien au début de la découverte des métaux, a ajouté Mme Benzahi.
Ces objets s’ajoutent aux diverses acquisitions découvertes lors de fouilles archéologiques menées par la Suissesse Marguerite Van Berchem sur le site de l’antique Cité de Sedrata (7 km Sud de Ouargla) fondée vers le 10e siècle par les Rostémides.
Selon diverses versions historiques, le site du musée saharien constituait dans le passé une halte de caravanes culturelles en provenance de la Saoura, du Gourara et du Touat, à destination des régions de Oued M’ya (Grand Ouargla) et Oued-Righ (Grand Touggourt).
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Le gouvernement allemand souhaiterait accélérer les renvois de demandeurs d’asile originaires d’Algérie, du Maroc et de la Tunisie en les inscrivant, avec la Géorgie, comme “pays sûrs”, selon un projet de loi adopté aujourd’hui en conseil des ministres.
C’est la seconde tentative des autorités allemandes après le premier projet de loi qui a été rejeté l’an dernier par la chambre haute du Parlement.
Le gouvernement allemand veut inscrire ces trois pays du Maghreb et l’ancienne république soviétique sur sa liste des pays dits “sûrs”, ce qui permettrait aux services de l’immigration de rejeter de façon automatique les demandes d’asile de leurs ressortissants.
Le ministère de l’Intérieur allemand, espère que cette mesure aura “un effet de signal” et permettra “une diminution drastique” des demandes d’asile émanant de ces quatre pays.
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L’ambassade de Turquie en Algérie a organisé, lundi, deux projections de films à la Cinémathèque d’Alger du réalisateur Kürsat Kizbaz, autour du thème de l’amour dans sa dimension soufie.
La Turquie, plus précisément la ville de Konya, est, comme tout le monde le sait, le berceau de la confrérie des Derviches tourneurs fondée par le mystique afghan Jalal-Eddine Rumi. Le pays reste marqué par l’héritage de ce soufi dont la pensée, traduite dans toutes les langues, rencontre un engouement mondial. Le cinéma turc est également empreint de cette culture de la tolérance, de la paix, de l’amour universel et de la spiritualité délestée du dogme.
Deux films, une fiction et un documentaire ont été projetés autour de ce thème à la Cinémathèque algérienne à l’initiative de l’ambassade de Turquie : Somuncu Baba Askin Sirri (Père boulanger – Les mystères de l’amour) et Mevlana askin Dansi (Mawlana, la danse de l’amour). Le premier, un long-métrage d’une durée de 100 minutes est un bio-pic du célèbre mystique turc Somuncu Baba, de son vrai nom Cheikh Hamidi Vali (1331-1412), qui enseigna les préceptes du soufisme dans la ville turque de Bursa sous l’égide du sultan ottoman Bayezid 1er. Plusieurs de ses disciples deviendront à leur tour de grands maîtres soufis.
Rythmé par le son de la flûte, un instrument emblématique de la musique soufie, le film raconte la trajectoire et les enseignements de l’ascète, surnommé le boulanger en référence à ce métier humble qu’il a choisi d’exercer à Bursa pour s’éviter le culte de la personnalité. La facture classique et la dimension didactique du film ne lèsent pas pour autant le travail approfondi sur le personnage dont le réalisateur réussira à mettre en relief le style de vie dépouillé et la beauté d’une pensée transcendante.
Le second film, signé par le même réalisateur, est un documentaire consacré à Jalal Eddine Rumi, certainement le soufi le plus célèbre au monde à l’heure actuelle, en raison de l’accessibilité et la popularité de certains de ses ouvrages. En effet, le fondateur des Derviches tourneurs et de la spiritualité du «Samaâ» (l’écoute) a, certes, laissé un livre phare et, néanmoins, ésotérique (El mouthnawi) mais aussi des recueils de poésie et autres œuvres dont la simplicité du style et l’universalité du contenu en font des livres de chevet pour des millions de personnes à travers le monde grâce à un réseau de traduction étendue.
Dans ce film intitulé Mevlana, la danse de l’amour, Kürsat Kizbaz alterne entre reconstitution et interventions d’universitaires, notamment américains, pour suivre la trace de ce mystique hors pair dont les vers et les enseignements continuent d’influencer et de guider des centaines de milliers de personnes, sept siècles après sa mort. De son arrivée à Baghdad à la fondation des derviches à Konya (Turquie), en passant par le récit de son amitié fusionnelle avec Shams de Tabriz et l’effroyable assassinat de ce dernier par les disciples de Rumi, le documentaire passe au crible le cheminement exceptionnel du maître tout en apportant des éclairages variés sur son œuvre grâce aux interviews avec des chercheurs et spécialistes du soufisme. Kürsat Kizbaz est un jeune réalisateur passionné de soufisme dont les trois films sont consacrés à des personnages emblématiques de cette philosophie spirituelle.
En plus de Rumi et de Somuncu Baba, il signe un bio-pic autour d’un autre mystique incontournable de Turquie, le poète Yunus Emre (1240-1321).
Sarah H.
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Malgré toutes les dispositions prises afin de faire face au virus, un premier foyer de fièvre aphteuse vient d’être signalé dans le chef-lieu de la wilaya. Dès la suspicion d’un foyer de fièvre aphteuse dans l’une des wilayas limitrophes, les services vétérinaires de la wilaya de Médéa ont déclenché un véritable plan de bataille pour endiguer la transmissibilité de cette maladie qui décime le bétail dont les bovins, les ovins et les caprins aussi.
Outre la campagne de vaccination qui a démarré au mois de mai et qui a touché plus de 22 000 bêtes, une grande opération de sensibilisation a été lancée à l’adresse des agriculteurs et des éleveurs de la région. Dans ce sens, la tâche n’est pas toujours facile. La mise en œuvre de ladite opération d’intéressement qui se poursuit d’ailleurs, est assurée par un dispositif humain professionnel et qualifié en l’occurrence les zootechniciens y compris ceux du secteur privé. Dans la même optique, un dispositif spécial de contrôle et de prospection a été déployé au niveau des marchés à bestiaux. Il a été ordonné également la limitation des déplacements des agriculteurs et des bêtes notamment vers les wilayas tangentes afin d’éviter les risques de contamination et de prolifération de la pathologie.
D’autre part, la plateforme d’épidémio-surveillance qui a pour rôle justement de veiller à la santé animale entre autres, a impliqué tous les acteurs susceptibles de mettre au point son rôle et de le perfectionner.
D’après M. Mohamed Slama, inspecteur vétérinaire à la DSA de Médéa, ce fléau est en nette diminution dans le Titteri mais la vigilance reste de mise. Il a rappelé dans ce sens que l’épidémie avait frappé fort dans les années 90, 99, 2014 et 2017 où il a été enregistré pour cette dernière, 30 foyers de fièvre aphteuse soit 209 cas. Ainsi, 300 bovins ont dû être abattus. Dans ce même sillage, 67 éleveurs ont été indemnisés.
Selon les experts en santé animale, la prévention reste le moyen le plus efficace susceptible de minimiser les risques de contamination et d’atteinte des cheptels par ce virus virulent et par d’autres.
La vaccination n’est pas toujours garante d’une immunité absolue car comme pour d’autres virus, celui de la fièvre aphteuse mute, rendant éventuellement la vaccination inefficace. Il est à savoir que Médéa est forte d’un cheptel excédant les 60 000 bovins, 8 500 000 ovins et 95 000 caprins. Cependant et paradoxalement, la wilaya à vocation agro-pastorale par excellence ne compte que deux abattoirs; seulement deux abattoirs pour 64 communes ! Le premier vétuste, datant des années 1970, situé dans le centre-ville, est en pleine réhabilitation. Le deuxième est érigé dans la ville de Berrouaghia; il appartient à un particulier. Fonctionnel depuis trois années seulement, il a été conçu de façon plus moderne et doté d’équipements et de matériels permettant d’observer les conditions d’hygiène requises pour l’abattage. Les autres sites au nombre de 9, «des pseudo-abattoirs», répartis sur le territoire de la wilaya, ne sont en fait que des tueries traditionnelles et archaïques où les conditions d’hygiène et d’asepsie font souvent défaut.
M. L.
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La mission effectuée, entre le 27 février et le 12 mars derniers, par une délégation d’experts du Fonds monétaire international (FMI) en Algérie, conformément à l’article IV de ses statuts, et le rapport qui en a suivi, rendu public au début du mois de juin dernier, n’en a pas fini avec les commentaires et surtout les mises en garde de l’institution de Bretton Woods contre la nouvelle stratégie préconisée par les autorités algériennes pour aboutir à la préservation de la croissance.
C’est ainsi qu’un nouveau rapport a été publié, lundi en fin d’après-midi, par le FMI pour revenir, d’une part, sur ce que les autorités du pays ont décidé de mettre en œuvre afin de redresser la situation et, d’autre part, sur l’avis des experts membres de la mission sur ces dispositions et, bien entendu, les potentielles conséquences du recours de l’Algérie au financement non conventionnel, la planche à billets. Le passage au crible de l’état de l’économie nationale a, comme rapporté dans nos éditions du 3 juin et du 17 du même mois, suscité une pléthore de remarques et surtout des craintes clairement émises quant aux perspectives de l’économie algérienne par le FMI. En fait, dans son document publié lundi, l’institution monétaire internationale s’est surtout adonnée à un «démontage» en règle des solutions préconisées par les autorités du pays. Le FMI dit admettre que sur le court terme, voire le moyen, la démarche décidée par le gouvernement pourrait s’avérer à bon escient, mais au-delà de l’année 2020, la croissance risque un très grand ralentissement, avec comme conséquence un fort taux de chômage.
Selon ce qui est rapporté dans le document rendu public il y a deux jours, les autorités algériennes ont confié à la délégation du FMI que la nouvelle stratégie vise à préserver la croissance et l’emploi. «Confrontées à la hausse du chômage, devant rembourser des arriérés domestiques, et réticentes à recourir à l’emprunt extérieur ou à laisser le taux de change se déprécier davantage, les autorités ont vu leur choix se limiter à deux possibilités : poursuivre l’assainissement rapide des finances publiques en 2018, ce qui nuirait encore à l’activité, ou dégager des marges budgétaires pour augmenter les dépenses en recourant au financement monétaire. Confiantes que les risques associés au financement monétaire pourraient être maîtrisés, elles ont choisi la deuxième voie.» Une nouvelle stratégie qui repose sur, d’abord, une augmentation des dépenses budgétaires en 2018 qui finira par se traduire par un déficit dépassant de plus de 6% du PIB les prévisions pour la période 2017-2019. Les dépenses d’investissement augmenteraient de 21,2% en termes nominaux par rapport à 2017, notamment pour épurer les arriérés, et les dépenses courantes de 6,9%, en raison notamment d’un important transfert en faveur de la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS). La masse salariale restera pratiquement inchangée en termes nominaux. Les autorités prévoient de reprendre l’assainissement en 2019, avec des coupes sombres dans les dépenses, et de rétablir l’équilibre budgétaire d’ici à 2022.
La stratégie mise au point par les autorités algériennes a prévu, en guise de second axe, le recours au financement par la Banque centrale, en rappelant que la loi sur la monnaie et le crédit a été modifiée en octobre 2017 afin de permettre à la Banque d’Algérie de financer directement, entre autres, le déficit budgétaire, le rachat de créances du secteur public et le Fonds national d’investissement (FNI). Pour le financement monétaire, la Banque d’Algérie achète des titres d’Etat émis dans ce but spécifique, présentant de longues échéances et un taux d’intérêt de 0,5%. Selon l’estimation des services du FMI, le financement monétaire pourrait, d’ici à la fin 2018, représenter l’équivalent d’environ 23% du PIB de 2017. Afin d’éponger une partie des liquidités injectées au moyen du financement monétaire, la Banque d’Algérie a relevé le taux de réserves obligatoires de 4% à 8% en janvier 2018, et elle a repris ses opérations d’absorption en prenant des dépôts bancaires à sept jours. Elle envisage également une augmentation modérée du taux directeur.
Le troisième axe de la stratégie algérienne consiste en le renforcement des obstacles à l’importation. Ceci, a-t-on expliqué à la délégation du FMI, afin d’enrayer la diminution des réserves de change et de promouvoir la substitution de produits nationaux aux importations. L’Algérie a, ainsi, remplacé son régime de licences d’importation par une interdiction temporaire frappant les importations d’environ 850 catégories de biens. Elle a également allongé la liste des marchandises soumises à un droit d’accises de 30% et considérablement relevé les droits de douane, jusqu’à 60%, pour d’autres produits. Quatrième et dernier point de la stratégie algérienne, l’adoption des réformes structurelles. Là, le document du FMI note que le budget 2018 a poursuivi la réforme des subventions à l’énergie en relevant les taxes sur les carburants et l’électricité. Les autorités travaillent avec la Banque mondiale pour approfondir la réforme et mieux cibler leur aide en faveur des ménages vulnérables, la mise en œuvre étant prévue à compter de 2019, a donc noté le FMI sans prendre en compte le cafouillage né des déclarations de Raouya et des répliques d’Ouyahia, il y a quelques jours.
Quoi qu’il en soit, pour le FMI, les Algériens ont également adopté un ambitieux plan de réformes structurelles visant à simplifier la réglementation relative aux entreprises, à améliorer la gouvernance et la transparence, à réformer le régime de retraites et à moderniser le secteur financier. Un plan qui s’appuie sur les efforts déjà réalisés pour améliorer le climat des affaires, dont l’ouverture du fret maritime et aérien au secteur privé. Les autorités s’emploient, note le FMI, à renforcer la gestion des finances publiques, à moderniser leurs instruments de politique monétaire et à favoriser le développement d’un marché des changes à terme. Un décret récent charge la Banque d’Algérie d’évaluer régulièrement la mise en œuvre du programme de réformes des autorités et de communiquer ses conclusions au président de la République.
Une nouvelle stratégie de la part des autorités algériennes qui suscite toutes les appréhensions du FMI tant elle comporte de sérieux risques, selon les mots utilisés par l’institution que dirige Christine Lagarde. «Dans un environnement où les aléas extérieurs risquent d’entraîner une révision à la baisse des perspectives, la nouvelle stratégie pourrait exacerber encore les déséquilibres macroéconomiques, voire les tensions sociales», explique le FMI avant d’énumérer ces risques. Il y a d’abord le risque de compliquer la gestion macroéconomique. Puis au FMI de se lancer dans une explication selon laquelle si les taux d’intérêt restent bas et ne réagissent pas aux variations de l’endettement, le montant du financement monétaire sera moins sujet aux contraintes budgétaires que ne le serait le financement sur les marchés. Ceci risque de dégrader encore la discipline budgétaire, et d’augmenter encore les besoins de financement monétaire.
Si les autorités demandent de façon répétée des injections de liquidités, la capacité de la Banque d’Algérie à maîtriser les conditions monétaires et à assurer la stabilité des prix s’en trouvera compromise et son bilan en sera affaibli. Cette situation, combinée au nouveau rôle de suivi des réformes structurelles qui vient d’être confié à la Banque centrale, mettrait encore plus à mal son indépendance de fait, assure le FMI.
La stratégie algérienne est tout indiquée, selon l’institution internationale, pour attiser les tensions inflationnistes. Faute de stérilisation adéquate, l’augmentation de la liquidité relèverait la richesse nominale, perçue ou réelle, et stimulerait la demande, ce qui se traduirait par une hausse des prix à court terme en raison de l’insuffisance de l’offre intérieure et des possibilités d’épargne. Dans le même temps, le durcissement des barrières à l’importation risquerait d’alimenter les pressions inflationnistes en réduisant l’offre, voire en débouchant sur des pénuries pour certains produits. Les attentes en matière de salaire et de prix pourraient s’ajuster rapidement et se renforcer mutuellement. Les autorités pourraient alors se trouver obligées de recourir au financement monétaire au cours des années suivantes, ce qui risquerait d’entraîner l’économie dans une spirale inflationniste, craint le FMI qui s’attend, en guise de conséquence également de la stratégie adoptée par les autorités algériennes, à un accroissement des tensions sur les réserves de change.
En raison du peu de flexibilité de l’offre intérieure, tout au moins à court terme, les injections de liquidités alimenteront la demande d’importations. La réponse à cette demande dépendra de l’efficacité des nouvelles barrières commerciales, mais les tensions qui ne pourront être apaisées via la balance des paiements (ce qui entraînerait une baisse encore plus importante des réserves) viendront alimenter davantage l’inflation. A mesure que les réserves de change diminueront, les tensions exercées sur le taux de change augmenteront. La probabilité d’assister à une dépréciation marquée du taux de change intensifierait la demande de devises sur le marché parallèle, ce qui encouragerait encore la recherche de rente, prévient le FMI. L’autre risque que pourrait induire la solution adoptée par le gouvernement c’est que cela pourrait nuire à la croissance. «En effet, l’expansion budgétaire donnera initialement un coup d’accélérateur à l’activité économique, mais cela sera pour une courte durée, non seulement en raison de l’assainissement des finances publiques programmé pour la suite, mais aussi du fait que, compte tenu des entraves considérables au développement du secteur privé, les injections de liquidités profiteront principalement à la consommation et non à l’investissement.» En conséquence, raisonne le FMI, la hausse de l’inflation pourrait réduire progressivement l’efficience économique et dissuader les investisseurs.
Et puis, ce que pourrait induire la stratégie du gouvernement, si l’on se fie au raisonnement du FMI, c’est d’aggraver les risques pour la stabilité financière à moyen terme. Selon les experts de l’institution de Bretton Woods, à court terme, l’amélioration des conditions de liquidité, l’apurement des arriérés domestiques de l’Etat et l’augmentation de la croissance amélioreront les indicateurs de solidité des banques, mais les risques pesant sur le système bancaire pourraient ensuite s’aggraver. L’abondance de liquidité bancaire pourrait alimenter la croissance du crédit et entraîner un relâchement des conditions d’octroi de prêts. Le risque de crédit pourrait alors s’aggraver si la croissance économique ralentit, surtout si les mesures de stérilisation et les tensions inflationnistes poussent les taux d’intérêt à la hausse. Sur la base des données récoltées et se fiant aux détails de la politique annoncée par les autorités, le FMI trouve que l’économie algérienne «avance sur une voie étroite» et surtout «une voie sujette à des risques majeurs».
Az. Maktour
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La Banque d’Algérie et le ministère des Finances devraient s’intéresser à certaines banques privées en matière de virement de compte à compte. Les délais réglementaires pour la compensation sont souvent largement dépassés. La Banque d’Algérie devrait communiquer sur les modalités de réclamation auprès de la commission bancaire.
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L’ASM Oran poursuit son recrutement avec l’engagement cette fois-ci de deux joueurs chevronnés, en l’occurrence Mohamed Bentiba et Bilel Mebarki, qui ont signé hier un contrat de deux ans chacun, a-t-on appris du club de Ligue 2 de football. Bentiba (29 ans), vient de résilier son contrat avec l’USM Alger, qu’il a rejoint en début d’intersaison, alors que Mebarki (31 ans), a quitté l’USM Bel-Abbès après seulement six mois de son passage dans cette formation détentrice de la Coupe d’Algérie. L’arrivée des deux éléments devrait soulager le nouvel entraîneur de l’ASMO, Mounir Zeghdoud, qui a réclamé le recrutement de joueurs d’expérience «pour encadrer les nombreux jeunes composant l’effectif actuel de l’équipe», a-t-il justifié. Auparavant, la direction de l’ASMO, qui a mis beaucoup de temps pour recruter un nouvel entraîneur, causant un retard sensible en matière de préparation d’intersaison, avait engagé pas moins de huit joueurs. Mais Zeghdoud, qui avait raté de peu l’accession en Ligue 1 la saison passée sous les couleurs de la JSM Béjaïa, a clairement signifié qu’il n’était pas «totalement satisfait de l’effectif en place», prévenant qu’il comptait libérer «quatre à cinq joueurs». Par ailleurs, et compte tenu des difficultés financières que rencontre le club de «M’dina Jdida», les protégés de Zeghdoud vont se contenter d’un stage en Algérie, probablement à Alger, et ce, à partir du 20 juillet, selon le coach. S’agissant des ambitions de l’ASMO, qui a terminé sixième au classement du championnat de la saison passée, les Vert et Blanc «vont viser d’abord le maintien puis espérer éventuellement revoir à la hausse l’objectif en ciblant l’une des trois premières places donnant accès à la Ligue 1», a précisé Zeghdoud qui succède à Salem Laoufi, dont le contrat n’a pas été renouvelé et qui a atterri cet été à l’USM El-Harrach, club relégué en Ligue 2 à l’issue de l’exercice précédent.
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L’Association argentine de football (AFA) a obtenu dimanche la démission du sélectionneur Jorge Sampaoli et doit désormais lui trouver un successeur pour construire et conduire l’Albiceleste vers la Copa América 2019 et le Mondial-2022.
Sampaoli était devenu indésirable en raison de la mauvaise prestation de l’équipe de Lionel Messi au Mondial, 2e de son groupe et éliminée dès les huitièmes de finale après avoir atteint la finale en 2014. Les relations de Sampaoli avec les joueurs étaient en outre tendues.
Départ forcé de Sampaoli
Le soir de la défaite contre la France, Sampaoli avait dit son intention de rester à son poste, alors que la majorité des Argentins réclamaient son départ. Il ne s’est pas exprimé depuis. C’est un communiqué de l’AFA qui a annoncé un accord, après deux semaines de négociations entre la fédération et l’entraîneur, alors que le monde du football avait les yeux braqués sur Moscou et la finale du Mondial. D’après la presse argentine, il touchera une indemnisation de 2 millions de dollars (1,7 million d’euros), au lieu des 8 à 20 millions prévus en cas de rupture anticipée de son contrat. Sampaoli avait quitté Séville en juin 2017 pour un contrat de 5 ans avec la sélection argentine. En rupture avec les joueurs et son staff, il avait célébré seul les buts de son équipe contre la France, sans que personne ne s’approche de lui, alors que les autres membres du groupe argentin se congratulaient.
Succession : catalogue de noms
Les plus souvent cités sont Ricardo Gareca, qui a conduit le Pérou à son premier Mondial depuis 36 ans, José Pekerman, à la tête de la Colombie depuis 2010 après avoir dirigé l’Albiceleste (2004-2006), et Matias Almeyda (ex-Lazio, Inter), qui a tout remporté avec le club mexicain des Chivas de Guadalajara après avoir entraîné River Plate. Marcelo Gallardo (River Plate) et Gerardo Martino (Atlanta United, USA) apparaissent aussi. L’AFA avait embauché Sampaoli faute de pouvoir convaincre Diego Simeone (Atlético de Madrid), Mauricio Pochettino (Tottenham) et Marcelo Bielsa (Lille, aujourd’hui à Leeds). Les noms de Simeone et Pochettino circulent, mais les Argentins ne se font plus d’illusions quant à leur venue.
Deux candidats se sont officiellement déclarés, les anciens champions du monde Diego Maradona (1986) et Mario Kempes (1978), mais leurs chances semblent infimes. Maradona a déjà dirigé l’Albiceleste entre 2008 et 2010. Seul étranger, Pep Guardiola est également cité mais il est peu probable qu’il claque la porte de Manchester City, avec qui il vient de gagner le titre de champion d’Angleterre.
Des dirigeants en question
Le président de la fédération argentine Claudio Tapia, premier président élu après le FifaGate et le placement sous tutelle de l’AFA, est lui aussi dans l’œil du cyclone. Il avait débauché Sampaoli du FC Séville et lui avait offert un contrat longue durée. L’échec de Sampaoli est aussi le sien. Il a également été critiqué pour sa gestion de l’organisation du match amical Israël-Argentine, finalement annulé sous la pression d’organisations pro-palestiniennes, ne voulant pas voir Israël utiliser l’image de Lionel Messi à l’occasion d’une rencontre prévue à Jérusalem. D’après un sondage du journal La Nacion après l’élimination argentine, 86% des Argentins souhaitaient la démission de Sampaoli et 87% celle de Claudio Tapia.
Instabilité du poste
Depuis Marcelo Bielsa (1998-2004), l’Argentine a usé huit sélectionneurs, dont trois depuis 2014: José Pekerman (2004-2006), Alfio Basile (2006-2008), Diego Maradona (2008-2010), Sergio Batista (2010-2011), Alejandro Sabella (2011-2014), Gerardo Martino (2014-2016), Edgardo Bauza (2016-2017) et Sampaoli (2017-2018). Durant cette période, aucun sélectionneur n’a atteint la barre des 30 matchs.
Avec Messi
Le prochain sélectionneur pourra probablement compter sur Lionel Messi. Les milieux Javier Mascherano (34 ans) et Lucas Biglia (32 ans) ont annoncé leur retraite internationale mais pas le capitaine argentin, qui aura 35 ans lors du prochain Mondial au Qatar. Sous le coup de la déception après trois finales perdues en 2 ans (Mondial-2014, Copa America 2015 et 2016), Messi avait annoncé en juin 2016 sa retraite, avant de faire machine arrière.
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L’attaquant Tim Cahill, qui détient le record du nombre de buts inscrits avec la sélection australienne, a annoncé hier mettre un terme à une carrière internationale qui l’a vu participer à quatre Coupes du monde.
«Aujourd’hui je mets officiellement un terme à ma carrière internationale avec les Socceroos», a écrit sur Twitter le joueur de 38 ans, auteur de 50 buts en 107 sélections. «Aucun mot ne peut décrire ce qu’a représenté le fait de jouer pour mon pays. Un immense merci à tout le monde pour votre soutien à travers toutes ces années où j’ai porté les couleurs de l’Australie», a-t-il ajouté. La dernière sélection de Cahill est intervenue lors du Mondial en Russie: il est entré en jeu à la 53e minute du troisième match de poule des Australiens, face au Pérou le 26 juin (défaite 2-0). L’ancien attaquant d’Everton en Premier League, l’un des meilleurs joueurs australiens de l’histoire, n’a pas précisé s’il allait poursuivre sa carrière en club. Au mois de janvier il avait rejoint Millwall, en 2e division anglaise, pour un contrat de six mois, dans le but d’assurer sa place avec les Socceroos pour la Coupe du monde. Il portait auparavant les couleurs de Melbourne City dans son championnat national. Tim Cahill a joué 14 ans en Angleterre, à Millwall et Everton. Il a aussi porté les couleurs des New York Red Bulls en MLS, et a joué en Chine, au Shanghai Shenhua et à Hangzhou Greentown. En 2006, alors joueur d’Everton, il avait permis à l’Australie d’atteindre les huitièmes de finale de la Coupe du monde, son meilleur résultat de l’histoire. Enorme travailleur sur le plan physique, il a également participé aux Mondiaux 2010, 2014 et 2018.
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Après leur carton à domicile face à l’ES Sétif (4-1), les Corbeaux de Lubumbashi ont enchaîné en s’imposant 2-0 au Maroc face au Difaâ El Jadida. Pour le compte de cette 3e journée l’équipe du MC Alger n’a pu faire mieux. Les poulains de Casoni ont été vaincus par la plus petite des marges au stade «Tout Puissant Mazembe». Après une première période assez brouillonne pour les deux équipes, les mouloudéens ont évolué sans automatisme et une coordination approximative. Le retour précoce à la compétition aura été visible sur le groupe de Bernard Casoni qui a opté pour la prudence face à une équipe congolaise nettement meilleure que le MCA sur le plan physique. Juste après la pause-citron, Casoni procède à quelques réglages, le MCA gagne en confiance et se rue vers l’attaque. A la 52’ une énorme opportunité au profit de Derrardja qui, seul face au gardien congolais, rate lamentablement le cadre. Quatre minutes plus tard, Souibaa n’exploite pas un retrait venant de Derrardja alors qu’il était face aux bois. Ouverte, la fin de match a vu l’équipe congolaise plus menaçante et c’est ainsi qu’à la 87’ Elia Meschak, idéalement servi par un coéquipier dans l’intervalle de jeu, ouvre le score grâce à un tir croisé devant une défense mouloudéenne absente. Grâce à ce succès, le TPM s’envole en tête de la poule B avec 9 points devant le MCA (4 points) et le DHJ (1 point) et l’ESS (0 point). Ces deux formations avaient rendez-vous à Sétif, hier, en début de soirée.
A. A.
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Par A.El Abci.
Les travailleurs des impôts ont organisé, hier à Constantine, une rencontre nationale et ce, dans le sillage de quatre autres réunions régionales tenues au cours des mois d’avril et mai derniers (à Skikda, Djelfa, Relizane et El Oued), pour débattre d’une plateforme de revendications, en présence du directeur général, M. Zekkara. Selon le secrétaire général du Syndicat des impôts, B. Kiboua, la rencontre sera la synthèse des revendications des sections syndicales régionales, qui auront l’occasion d’écouter les réponses du directeur général sur les différents points de la plateforme. Et de nous remettre une copie contenant 24 points de revendications. On peut lire dans ce document que les travailleurs insistent sur la nécessité d’une amélioration de leur situation professionnelle, sociale et matérielle, au vu des missions qui leur sont assignées et aux incitations de l’administration concernant plus d’efforts dans les recouvrements en matière de fiscalité ordinaire. L’importance du rôle des impôts et des recouvrements à l’aune de la crise économique que vit le pays n’est plus à démontrer et les travailleurs en sont conscients, malgré le fait que leurs salaires restent insuffisants, est-il encore noté. Mais au-delà, ils réclament en priorité plus de moyens et la sécurité pour les agents dans l’accomplissement de leurs missions. En effet, des intervenants de plusieurs wilayas ont parlé du peu de moyens matériels mis à leur disposition, aussi bien en matière de moyens informatique, qu’en papier ou en véhicules.Les agents ont évoqué également les agressions dont ils sont victimes de la part de certains contribuables mécontents, et exigent une protection de la part de l’administration, car souvent leurs plaintes et rapports ne sont pas suivis d’effets, notent-ils. Après avoir assisté à une partie des débats, le directeur général insistera pour dire : « Pour nous, le Syndicat des impôts est un partenaire social à part entière et ses revendications sont légitimes. Certains des points de revendication sont du ressort de la DG et nous sommes en train d’y répondre favorablement, à l’instar de l’intégration des emplois temporaires. Tandis que d’autres, comme la révision du point indiciaire du salaire de base et la révision du statut particulier, ne dépendent pas de nous mais de la fonction publique ». Et le DG de revenir sur les recouvrements et la nécessité de faire plus d’efforts, en la matière, pour améliorer le niveau des rentrées d’argent dans les caisses de l’Etat, dans l’espoir que 1 à 3% de ces derniers seront reversés aux impôts et serviront alors à des améliorations en moyens humains et matériels du secteur.
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