You are here

Afrique

Que se passe-t-il si on arrête de se laver les dents pendant un moment ?

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 12:24

Le brossage de dents est l’une des habitudes d’hygiène que toute personne doit mettre en pratique chaque jour, sans aucune dérogation possible.

Il est normal, voire même courant d’oublier de se laver les dents une fois, que ce soit parce qu’on est en retard, que l’on a des horaires serrés ou parce que l’on passe beaucoup de temps en dehors de chez soi.

Ce qui n’est pas normal, c’est que certaines personnes soient capables de ne plus du tout se laver les dents pendant une longue période.

La santé buccale joue un rôle fondamental dans la vie de toute personne.

Les problèmes de gencives et des dents, ainsi que d’autres altérations de la bouche, peuvent indiquer que quelque chose fonctionne mal dans l’organisme.

À cause de ces statistiques inquiétantes, de nombreux experts de la santé se sont demandés ce qu’il se passait quand une personne arrête de se laver les dents pendant une semaine, un mois ou même une année voire plus.

Un jour sans se laver les dents…

24 heures après, une fine couche de plaque, qui est un dépôt de micro-organismes, se pose sur la partie extérieure des dents.

En un jour, il est possible qu’aucun dommage ne se développe mais il faut agir pour ne pas que les bactéries continuent à proliférer et que cela empire et se transforme en halitose.

Une semaine après…

Quand on ne se lave pas les dents pendant une semaine, les restes d’aliments et de boissons continuent à s’accumuler et à alimenter les bactéries. L’accumulation de plaque dentaire est de plus en plus épaisse et cela commence à sentir mauvais.

Après plusieurs jours, on commence à développer une gingivite, une affection buccale qui est caractérisée par l’inflammation et l’irritation des gencives, et qui peut générer de petits saignements.

Un mois plus tard…

Après un mois sans brossage de dents, les bactéries qui se trouvent dans la bouche commencent leur processus de décomposition.

Cela provoque une inflammation et un rougissement des gencives et augmente de manière significative le risque de souffrir de caries, surtout si l’on continue à consommer des aliments sucrés.

Selon l’expert, à partir d’un mois, des points ou des taches apparaissent sur les dents et indiquent une décalcification de l’émail, un signe évident de la détérioration.

Une année plus tard…

Une personne qui passe 365 jours sans se laver les dents est confrontée à une situation grave : sa propre salive se charge de former des caries et des trous dans les dents.

L’accumulation de plaque devient un problème secondaire car les gencives sont enflammées et prennent une couleur rouge foncé.

L’échelle des ravages sur les dents pendant cette année varie selon la génétique de chaque personne, ainsi que son âge, étant donné que l’organisme est plus résistant lorsqu’on est jeune.

Une personne jeune et en bonne santé a plus de probabilités de pouvoir surmonter ces conséquences en comparaison avec une personne de plus 50 ans.

De plus, si l’adulte est malade ou suit un traitement pharmacologique, il court le risque que sa dentition se ramollisse et finisse par tomber complètement.

The post Que se passe-t-il si on arrête de se laver les dents pendant un moment ? appeared first on .

Categories: Afrique

Coupe d’Algérie de Handball (Messieurs): L’ES Aïn-Touta et le CRBBA en finale

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 12:15

         L’ES Aïn-Touta et le CRBB Arreridj animeront vendredi prochain (23h30) à la salle Harcha-Hacene (Alger), la finale de la coupe d’Algérie de handball (messieurs), à l’issue de leur qualification en demi-finales disputées dans la nuit de samedi à dimanche. A Tadjenanet, l’ES Aïn-Touta a créé une grosse surprise en éliminant le GS Pétroliers (tenant du trophée) et sacré cette saison du titre de champion, sur le score de 30-28, prenant du coup sa revanche après sa défaite en finale-2017 devant les Pétroliers (28-21). De son côté, le CRBB Arréridj s’est qualifié difficilement aux dépens de la JSE Skikda (31-30) en match joué à Chelghoum-Laid. En finale, l’ESAT, affrontera en finale le CRBBA (vice-champion). Les deux clubs se rencontrent pour la 1re fois à ce stade de l’épreuve avec l’espoir de remporter leur premier trophée de leur histoire.

The post Coupe d’Algérie de Handball (Messieurs): L’ES Aïn-Touta et le CRBBA en finale appeared first on .

Categories: Afrique

Mémoire du chaudron 81

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 11:45

Natitingou la belle ! Je ne sais plus à quand remonte mon premier séjour dans cette ville aux charmes irrésistibles. Mais, j'y ai vécu mes aubes les plus merveilleuses. La magie de ce décor montagneux apparaît dans toute sa grandeur, au petit matin, à l'heure où, témoin de la naissance du jour, vous vous sentez co-auteur de ce tableau de peintre paysagiste qui apparaît progressivement sous vos yeux. Et lorsqu'on est poète dans l'âme, c'est une expérience exceptionnelle qui vous donne des ailes d'ivresse, cet indescriptible sentiment d'être complice de toute la création.

Je ne sais plus, disais -je, à quand remonte mon premier séjour dans cette ville. Mais, j'y ai gardé le souvenir le plus marquant de mes jeunes années de journalisme : ma rencontre avec le général Mathieu Kérékou. C'était en 2001. J'étais dans l'équipe de presse qui suivait son long périple électoral à travers le Bénin. Notre journée, la veille, avait été particulièrement chargée.

Les meetings électoraux s'étaient enchainés jusqu'à tard dans la nuit. Je me souviens encore de notre entrée dans Kouandé. Ce devrait être la première fois que je découvrais cette ville très présente dans mes cours d'histoire du Bénin aux cours primaires. À quoi comparerai-je Kouandé ? À une ville hors du temps, emmitouflée dans une cuvette montagneuse. Le soir tombait lorsque nous entrâmes dans cette fière citée baatombu dont j'ai déjà vu les habitants afficher des complexes à se faire désigner comme _"bariba de l'Atacora"_.
Une subtile spécificité sociologique du département de l'Atacora.

Cette ville princière me sembla compter autant de chevaux que d'hommes. Notre périple ce soir-là derrière le général Mathieu Kérékou, sembla particulièrement long et éprouvante. Kouandé, Kérou, Péhounco, puis une partie des communes de l'ouest de l'Atacora. Le général était sur ses terres et cela n'était pas à démontrer. C'était la zone où il faisait ses scores électoraux les plus staliniens. Et je ne crois pas que ce fut du fait d'une quelconque fraude électorale. J'ai vu dans ces contrées, des signes d'allégeance au candidat Mathieu Kérékou, qu'aucun mot ne pourrait transcrire fidèlement. J'ai vu des chiens apparemment heureux de servir de supports aux affichettes du général, j'ai vu le moindre arbre au bord de la voie, transformé en panneau d'affichage. Et pourtant, le département de l'Atacora est la région la plus balkanisée du Bénin, d'un point de vue linguistique. Ce dense cloisonnement ethnique explique, à mon avis, le facile rapport qu'ont les populations de l'Atacora avec la langue française qui devient une passerelle utile et obligatoire dans les rapports quotidiens avec le voisin du hameau ou du village d'à côté.

Ce qui n'est pas le cas dans les zones du pays qui présentent une grande continuité linguistique. Le cas par exemple des baribas et des fons qui, dans leurs sphères géographiques naturelles, peuvent se passer d'une langue d'emprunt dans leurs activités quotidiennes. Sur tout le plateau d'Abomey, vous pouvez parler le fongbe sans discontinuer, et vous faire comprendre par n'importe qui. Ce qui n'est pas le cas pour le waaba de Kouarfa qui a besoin du français pour communiquer avec le biali de Matéri ou le somba de Boukoumbé. Car, contrairement aux clichés et aux idées reçues, tous les ressortissants de l'Atacora - ouest ne sont pas somba.

Le général Mathieu Kérékou était waaba ou waama et pouvait ne pas comprendre un traître mot du tamaribe de Théophile Nata. Et la cicatrice raciale nattée du vieux caméléon présente des nuances avec d'autres cicatrices raciales nattées de la même région. Pas simple ! Je vous vois vous embrouiller. Revenons donc à notre récit. Les sociologues et les linguistes s'occuperont du reste.

Notre périple de la veille avec le général Kérékou avait finit très tard, au-delà, je crois, de une heure du matin. La dizaine de journalistes que nous étions, passâmes dans un dortoir inoccupé de l'École normale intégrée, ENI. La bonne nouvelle qui nous fit réveiller très tôt le lendemain matin, c'est que le général voulait nous rencontrer.

Notre excitation était grande lorsque notre minibus s'engagea dans cette ruelle calme et pavée. Il stationna devant une modeste maison à étage. Malik Gomina qui, en ce moment, exerçait déjà des talents d'homme de réseau, avec un certain penchant pour les milieux du pouvoir, nous fit attendre dans le véhicule et descendit seul. Il s'introduit facilement dans le domicile d'où il ressortit une dizaine de minute plus tard. Entre-temps, Christophe Hodonou, un de nos confrères, nous raconta l'histoire de ce domicile de Kérékou qui lui aurait été construit de force par un de ses admirateurs. Un peu décalé, en face de la modeste résidence, se trouve le domicile d'un autre acteur de l'histoire contemporaine du Bénin : Maurice Iropa Kouandété. Malik Gomina nous invita à descendre et à le suivre. Nous rentrâmes en file indienne dans la petite cour de la résidence sous le regard austère de deux ou trois gardes du corps habillés en blue-jeans. Après quelques atermoiements sur la véranda, on nous fit entrer dans le séjour. Je trouvai le mobilier étrangement sommaire et sobre. Il n'y a pas suffisamment de sièges pour tout le monde. Pas grave. Nous nous coinçâmes de manière à laisser un fauteuil vide pour le maître des lieux.

Puis, ce fut un silence plat. Kérékou ne venait que très rarement ici, mais ce n'était pas une raison pour que le lieu manque autant de goût, pensais-je. L'image de ce petit bâtiment colonial jaune-pâle, aux allures de bureau de poste qui lui servait de résidence principale au carrefour des trois banques à Cotonou, me revint à l'esprit. Quel homme quand-même, ce Kérékou, me disais-je silencieusement.

Soudain, des bruits de pas se firent entendre dans le couloir. Un garde qui était debout, à côté du siège laissé libre, nous fit signe de nous mettre debout. Kérékou apparut dans un costume gris sur une chemise bleu boutonnée jusqu'à la gorge. Il promena un regard sombre puis sembla se parler à lui-même. Il entreprit de nous serrer individuellement la main. Lorsque je serrai à mon tour cette poignée, je photographiai dans ma mémoire et pour toute ma vie, le dos de sa paume où saillaient quelques poils duveteux et grisonnants . Il y a dans toute vie, des instants qui ne s'oublient pas. Je venais enfin de serrer la main à l'homme du 26 octobre 1972.

Chacun de nous déclinait son identité quand le général lui tendait la main. Quand fut venu le tour de notre confrère Christophe Hodonou, Kérékou marqua une surprise. _"Monsieur Hodonou, vous êtes aussi là ?"_, dit-il. Le premier à être pris au dépourvu par la réaction du vieux caméléon, fut Christophe Hodonou lui-même. On le voyait à cette grimace indescriptible qu'il fit en guise de réponse. Le général finit le tour et alla s'asseoir. Il promena encore ce regard sombre dans la salle, puis lança : _"alors ça va ? J'espère qu'ils vous donnent à manger"_, puis il enchaîna aussitôt : _"on ne m'avait pas dit que les journalistes étaient avec nous. C'est seulement hier nuit qu'on m'a informé. Alors, j'ai décidé de vous rencontrer. Je viens d'ailleurs de voir que "Tam-tam Express" aussi est parmi vous"_. Un murmure se fit dans le petit séjour.

Malik Gomina demanda la parole, puis précisa : _"monsieur le président, celui qui est parmi nous, c'est Christophe Hodonou et non Denis Hodonou"_. _"merci beaucoup, reprit le général. Je sais que vous êtes des adultes. Et ce n'est pas tout ce qu'un adulte entend qu'il rapporte. Vous avez vu vous-même le niveau de conscience de nos populations. Quand je sors mon livre où est écrit mon projet de société, ils commencent par quitter les lieux de meeting. Donc je suis obligé de leur tenir leur langage. Mais on est en campagne électorale et je veux vous dire que vous êtes des adultes responsables. Ce que je dis dans mes meetings, c'est pour ici. N'écrivez pas ça à Cotonou. Sinon vous allez casser le pays"_.

Le général fut bref et à la fin, l'un d'entre nous émit le vœu d'une photo souvenir. L'idée enthousiasma le général. Le petit séjour étant mal éclairé, le photographe proposa que la photo - souvenir se fasse dehors, sur la petite véranda. Nous sortîmes sur la véranda où le photographe nous dispose. lorsqu'il fut satisfait de notre disposition, l'un des gardes alla avertir le général qui sortit à son tour. Il fit aussitôt une blague en nous montrant un petit arbre à côté de la véranda. _"Vous avez vu mon colatier stérile ?"_, lança -t-il. Nous éclatâmes de rire. Je ne sais si tout le monde avait compris le calembour. Le général faisait allusion au figuier biblique qui fut frappé de stérilité, sur parole christique. Tout le monde rit. Et c'était l'essentiel.

La photo prise est encore affiché sur mon mur Facebook. Un grand moment !

2006. Cinq années plus tard, me revoilà à Natitingou. Cette fois-ci avec un autre candidat : Yayi Boni. La nuit est avancée et nous sommes fatigués. Demain, nous ferons le périple de l'Atacora. Et je pourrai faire mes comparaisons.

(✋À demain)

*Tibo*

Categories: Afrique

En Algérie entre juillet 1962 et de juillet 1964, 50 000 personnes éligibles désormais pour la carte du combattant

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 11:44

Conformément à des engagements pris lors de la campagne présidentielle, le Premier ministre français, « soucieux de respecter les engagements du Président de la République », a décidé d’attribuer la carte du combattant dans le cadre du projet de loi de finances pour 2019 à « plusieurs dizaines de milliers de jeunes Français déployés en Algérie entre les mois de juillet 1962 et de juillet 1964 à la suite des accords d’Evian ».

Selon les services de Geneviève Darrieussecq, la Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées, près de 50 000 personnes sont concernées.

Ces soldats (en grande majorité des appelés) n’ont jamais pu bénéficier de la carte du combattant et des avantages qui s’y attachent, comme peuvent la recevoir aujourd’hui ceux qui sont déployés hors du territoire national dès lors que la France intervient à titre militaire.

« Demandée depuis des années par les associations du monde combattant et jamais accordée par les gouvernements précédents, elle traduit la reconnaissance du Gouvernement pour les anciens combattants présents en Algérie et plus largement le respect que le gouvernement tient à manifester envers tous ceux qui ont porté les armes au service de notre pays, de ses intérêts et de ses valeurs », a précisé la secrétaire d’Etat.

The post En Algérie entre juillet 1962 et de juillet 1964, 50 000 personnes éligibles désormais pour la carte du combattant appeared first on .

Categories: Afrique

Mauritanie/Les médecins maintiennent la grève : Les hôpitaux paralysés

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 11:11
Tawary - Face aux propositions du gouvernement mauritanien jugées "insuffisantes", les sections locales du syndical des médecins et...
Categories: Afrique

Algérie : Examen de fin de cycle moyen (BEM)

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 11:02

Aujourd’hui aura lieu l’examen de fin de cycle moyen. En effet afin de se retrouver sur les bancs du lycée, plus de 600000 collégiens passeront l’examen du brevet en Algérie.

Le taux s’élève à 595,865 candidats, une hausse de 5,9%  est constatée en sachant que l’an passé le nombre de candidats été de 566.221.

L’examen du brevet durera trois jours, et englobera toutes les matières étudiées durant l’année scolaire.

La ministre de l’éducation Nouria Benghebrit, procèdera au lancement de cet examen à partir des Wilayas de Laghouat et de Djelfa, et précise que les résultats de l’examen de fin de cycle moyen seront affichés le 18 Juin prochain.

LDJ. Sarah

The post Algérie : Examen de fin de cycle moyen (BEM) appeared first on .

Categories: Afrique

La RDC victime "d'Ebolaphobie" au Nigeria ?

Afrik.com - Mon, 05/28/2018 - 11:01
Categories: Afrique

Libye: les grands acteurs de la crise à Paris pour une conférence

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 10:35
RFI - Alors que la situation en Libye est toujours aussi compliquée, une conférence internationale est organisée mardi 29 mai sous l’égide...
Categories: Afrique

Bonne fête "Ô toi ma mère" !

Afrik.com - Mon, 05/28/2018 - 10:20
Categories: Afrique

247 ex-commissaires reclassés

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 10:14

Les ex agents de la police nationale entre désormais dans la dynamique de la fusion avec l'ex gendarmerie. C'est part décret N°2018-155 du 02 mai 2018 que le chef de l'État a corrigé le problème de grade des commissaires de 2ème devenus capitaines et des inspecteurs désormais classés dans le rang des lieutenants.

Après le redéploiement des agents de l'ex-police, les autorités ont jugé bon de corriger les irrégularités dans le rang de certains agents afin non seulement d'uniformiser mais de régler une situation qui pourrait créer de confusion au sein de l'unité républicaine. Ainsi conformément au décret N°2018-155 du 02 mai 2018 portant modalités de reclassement des personnels de l'ex-Police nationale dans les différents grades des corps créés par la loi N° 2015-20 du 19 juin 2015 portant statut spécial des personnels des Forces de sécurité publique et assimilées en République du Bénin, le chef de l'État a donc reclassé deux cent quarante-sept (247) commissaires de l'ex-police nationale. Ces derniers étant déjà affectés au sein de la Police Républicaine suite au décret n° 2018-170 du 16 mai 2018 relatif à la fusion de la Police et de la gendarmerie nationale. Le décret N°2018 – 155 du 02 mai 2018 place le commissaire de police de 2ème classe au rang de capitaine de la police républicaine tandis que les inspecteurs porteront désormais le litre de lieutenant au sein de la même force. Les agents de l'ex-police nationale ont désormais leur statut corrigé grâce à la volonté politique du chef de l'État, et chef des armées, Patrice Talon. Une situation qui créait des frustrations au sein de certains agents.

Liste des 247 ex-commissaires reclassés

Categories: Afrique

Le cheptel mauritanien en « situation de catastrophe » (Association)

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 10:00
Apanews - Le Secrétaire général du Regroupement national des associations pastorales en Mauritanie, Enne Salem Ould Ahmed Hadj, a indiqué...
Categories: Afrique

Signature d’une convention entre la CENI et l’ONS

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 09:30
AMI - La Commission électorale nationale indépendante (CENI) et l’Office national des Statistiques (ONS) ont procédé, ce dimanche à...
Categories: Afrique

Les évêques saluent les relations diplomatiques entre le Bénin et le Vatican

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 02:50

Réunie à Ouidah du 23 au 25 mai 2018, la Conférence épiscopale du Bénin (CEB) s'est penchée sur la situation sociopolitique du pays et la visite du chef de l'État au Vatican.
À travers un communiqué rendu public au terme des trois jours de conclave, la conférence a donné son point de vue sur le séjour du Président de la République du Bénin au Vatican. Les évêques saluent cette visite qui est à l'actif de la diplomatique béninoise. Tout en reconnaissant unanimement ces relations fructueuses entre le Bénin et le Saint Siège, les évêques ont demandé la protection et l'assistance de Dieu sur le pays. Cette rencontre entre dans le cadre de la troisième session plénière pastorale des Evêques du Bénin. Le mois de mai étant celui de souvenir des dix ans de décès du cardinal Bernardin Gantin, les évêques ont au cours de leur rencontre honoré la mémoire du patriarche. Concernant la visite de Patrice Talon au Saint Siège, les évêques se sont dits satisfaits du déroulement de ce séjour du Chef de l'Etat. Il s'agit pour la Confefence épiscopale d'un grand coup réussi de la diplomatie du chef de l'Etat. Mgr Eugène Cyrille Houndékon, porte-parole, des évêques du Bénin a salué la diligence du chef de l'État. La Conférence épiscopale du Bénin estime que ladite visite est de nature à consolider la fructueuse coopération entre le Saint Siège et la République du Bénin. Ils ont unanimement salué ce déplacement de Patrice Talon à Rome.
Giscard AMOUSSOU

Categories: Afrique

Fonction publique : Quel sort pour les titulaires de diplômes DEUA ?

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 01:13
Le problème des titulaires du diplôme d’études universitaires appliquées (DEUA) ne serait en passe de connaître son épilogue. Comme il fallait s’y attendre, les communiqués du ministère de l’enseignement supérieur sur la revendication des détenteurs du diplôme d’études universitaires appliquées, DEUA, n’a pas été du goût des concernés. Le ministère de l’Enseignement supérieur, qui pensait avoir tiré son épingle du jeu en orientant ces diplômés vers la poursuite des études en 3e année licence système LMD, n’a fait qu’exacerber la tension. Le comité national de défense des DEUA, qui se dit “étonné par cette sortie médiatique”, a vivement réagi.  “La communication du ministère n’a pas apporté de réponses à nos doléances, mais certains passages de son contenu ont beaucoup plus levé le voile sur plusieurs interrogations et de graves vérités qui nécessiteraient l’envoi d’une commission d’enquête pour découvrir les dessous de cette affaire.” Le responsable du comité regrette que le ministre “ait ignoré le fond du problème et que le débat soit dévié et détourné. Nous l’avons dès le début centré sur la réhabilitation de notre diplôme et la reconnaissance de sa valeur et non la poursuite des études.” Autrement dit, élever ce diplôme au rang de la licence du système LMD vu que les deux sanctionnent un parcours identique : bac+ 3 ans d’études supérieures. Soit une équivalence administrative et non scientifique pour que les 100 000 fonctionnaires détenteurs de ce diplôme aient les mêmes droits professionnels et les mêmes chances dans l’évolution de leur carrière. Il faut savoir que les DEUA sont classés sur un pied d’égalité avec les diplômés des centres de formation, les techniciens supérieurs et les DEUA délivrés par l’UFC. Et c’est tout le malheur des contestataires. “Au lieu d’ouvrir un sérieux débat avec les spécialistes en vue de régler cette question et installer en urgence des commissions mixtes vu que c’est lui qui a lancé ce diplôme, le ministère a préféré la fuite en avant”, regrette Allili. Pourtant “la création d’un nouveau diplôme ne se fait pas de façon aléatoire, mais repose sur des critères liés au développement national et aux compétences scientifiques des universitaires”.  Le fait d’assimiler les DEUA à des “cadres moyens suffisamment compétents” a provoqué l’ire des concernés qui jugent ces affirmations “graves et ne reposant sur aucun fondement juridique”. Le décret exécutif instituant le DEUA du 21 juillet 1990 évoque une “formation supérieure de courte durée ou graduation du 1er degré”. Question du comité : “Le Mesrs prodigue des formations supérieures ou des formations moyennes qui sont, en principe, du ressort de la formation professionnelle ?” Autre grief retenu contre le Mesrs : le DEUA a été créé pour permettre à des compétences moyennes d’intégrer le monde du travail à la fin des études. Mais, en réalité, “la majorité des diplômés n’ont pas eu cette chance pour la simple raison que leur diplôme avait la même valeur que celui de milliers de TS délivré par les centres de formation”, que les recruteurs ont privilégié.

L’ultimatum donné à Sellal
L’ancien premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait confié  que le problème des DEUA va connaître une fin heureuse et ce, via l’approbation par le gouvernement des doléances des 217 000 diplômés. Réagissant à cet engagement de l’ancien Premier ministre, l’Association des DEUA, avait estimé que cette nouvelle étape dans la prise en charge du dossier de ces diplômés est de bon augure. Mais l’engagement est une chose et sa concrétisation en est une autre. Et quand le fossé entre les deux s’élargit, la protestation refait surface, inévitablement.  Prudente, l’association des diplômés, qui avait menacé de reprendre les actions de protestation via des rassemblements devant le siège de la Fonction publique, exige du concret et fixe un ultimatum. “L’ancien Premier ministre avait un mois pour prendre une position claire et concrétiser officiellement son engagement”, mais il a été remplacé, répliqua l’association. Et de poursuivre : “(…) et ce, pour s’éviter et nous éviter le retour à la contestation et à la perturbation qui ont marqué ces derniers mois.” S’adressant aux DEUA, le président de l’association soulignera : “La balle est dans leur camp. Pour l’heure, nous restons pacifistes et raisonnables et comptons arracher nos droits via le dialogue, sauf s’ils veulent le contraire.”

Les titulaires du DEUA de Sonelgaz menacent
La colère est à son comble chez les titulaires des Diplômes d’études universitaires appliquées (DEUA), occupant des postes dans le groupe Sonelgaz. Les détenteurs du DEUA ont brandi la menace de passer à l’offensive pour exiger l’application des promesses faites par les responsables concernés et satisfaction de leurs revendications. La commission nationale des titulaires du DEUA, affiliée au syndicat national autonome des travailleurs de l’électricité et du GAZ (SNATEGS), prépare son prochain mouvement de protestation qui risque, selon ce syndicat, de paralyser les services du groupe Sonelgaz, étant donner que la majorité des travailleurs de cette entreprise publique sont détenteurs d’un diplôme bac+3, d’études universitaires appliquées (DEUA). Ces protestataires dénoncent avec force le fait que l’administration n’a pas encore procédé à l’application du décret présidentiel relatif à leur reclassement en catégorie «A». «Près de deux ans après la promulgation du décret de reclassification des titulaires de ce diplôme dans la Fonction publique, l’administration n’est toujours pas décidée à l’appliquer», déplore encore un membre de la commission en question. À noter que le décret présidentiel 304/07 fixant la grille indiciaire des traitements et le régime de rémunération des fonctionnaires a été abrogé par le nouveau décret 14-266 du 28 septembre 2014, mais n’a pas encore été appliqué. Ce qui a suscité la colère des détenteurs du DEUA qui demandent l’application de ce dernier décret présidentiel, et la révision de la classification de cette catégorie de travailleurs du 13 à l’échelle 15. Les détenteurs du DEUA exigent également la revalorisation de l’expérience professionnelle et le calcul des années de travail dans la révision de la classification de cette catégorie de travailleurs. Par ailleurs et en vue de renforcer ses rangs, la commission en question a appelé tous les détenteurs du DEUA à travers les 48 filiales du Groupe Sonelgaz, à être vigilants et à se mobiliser autour de leur base afin de faire valoir leurs revendications.

The post Fonction publique : Quel sort pour les titulaires de diplômes DEUA ? appeared first on .

Categories: Afrique

GPL : la moitié du coût subventionnée par l’état

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 01:09
Aziza Mehdid

Un mémorandum de coopération sur la mise en œuvre du programme national d’efficacité énergétique dans le secteur des travaux publics et des transports a été signé par le ministre de l’Energie et celui des Travaux publics et des Transports, respectivement Mustapha Guitouni et Abdelghani Zaalane.
Ce mémorandum de coopération prévoit une subvention du Fonds national pour la maîtrise de l’énergie et pour les énergies renouvelables et la cogénération (FNMERC) à hauteur de 50% du coût global de conversion, et ce, au profit des chauffeurs de taxi, ainsi que la promotion à grande échelle du gaz de pétrole liquéfié carburant (GPL/c) et du gaz naturel comprimé (GNC).
Un premier objectif de conversion en GPL/c de 50 000 taxis est ainsi fixé pour l’année 2018.
En vertu de ce mémorandum, les deux parties conviennent également d’engager une réflexion sur les voies et moyens permettant une implication accrue de tous les opérateurs de transport public, ainsi que les automobilistes, dans la mise en œuvre du programme national d’efficacité énergétique.
Lors de son intervention, Zaalane a indiqué que la signature de ce mémorandum permettra de concrétiser une grande partie des objectifs assignés au titre du programme national d’efficacité énergétique.
Entre autres objectifs, le ministre a cité la réduction à hauteur de 9% de la consommation énergétique totale, soit une économie de 63 millions de tonnes équivalent pétrole (Tep) (40 milliards de dollars).
Cette action devra également permettre, selon le ministre des Travaux publics, de généraliser l’utilisation du GPL/c à plus d’un million de véhicules et plus de 20 000 bus, et de créer 180 000 postes d’emploi.
Zaalane n’a pas manqué de signaler que dans le monde les moyens de transport sont les plus grands polluants et consomment de l’énergie à hauteur de 41%.
Le directeur général des transports, Mourad Khoukhi, a indiqué, quant à lui, qu’afin d’affiner les données brutes du parc taxis, une enquête a été lancée par le ministère des Travaux publics et des Transports à travers les directions des transports des wilayas et en collaboration avec les syndicats des chauffeurs de taxi.
Cette enquête avait pour objectif de déterminer la classification des taxis par type de motorisation (essence, diesel et GPL) et le potentiel de taxis susceptibles d’être convertis au GPL/c par wilaya.
Khoukhi a précisé, à ce propos, qu’au 31 mars 2018 le nombre de taxis nouveaux est de 66 901, dont 6 020 appartenant à 582 sociétés de taxis.
Il a ajouté que le nombre de taxis collectifs urbains est de 15 687 alors que celui des taxis collectifs interurbains est de 20.462 et les taxis collectifs interwilayas atteignent 14.869.

The post GPL : la moitié du coût subventionnée par l’état appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.