Tout le monde aura remarqué la tendance depuis plusieurs mois des rames du tramway à se faire de plus en plus rares, particulièrement le jeudi où les usagers descendent en nombre des périphéries de la capitale. L’attente entre deux rames atteint à partir de midi et jusqu’en fin d’après-midi 20 à 30 minutes, de sorte que la foule en attente sur le quai devient de plus en plus dense. La scène de la bousculade au moment d’accéder à la rame à peine garée est difficile à imaginer, passagers en quête de sortie et ceux suant et râlant pour envahir les places assises échangeant des mots gracieux sous le regard indifférent des vigiles chargés de contrôler les tickets aux deux accès de la rame. Dans cette cohue qui se répète à longueur de journée, les enfants et les vieillards font peine à voir et on se demande comment la Setram semble ignorer une situation aussi lamentable.
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Par El-Houari Dilmi
La brigade de recherche économique et financière relevant du groupement de gendarmerie de la wilaya de Tiaret enquête depuis plusieurs jours à l’APC de Rahouia pour faire la lumière sur des «dépassements et fautes de gestion portées à la connaissance du ministère de l’Intérieur», apprend-on auprès de la gendarmerie nationale.L’enquête concerne l’attribution de marchés publics, location de biens communaux (marchés hebdomadaires, abattoirs, locaux commerciaux…) et autres dépassements portés noir sur blanc dans une lettre adressée aux autorités locales et centrales par des élus mécontents de l’APC de Rahouia.
L’autre scandale qui secoue la commune de Rahouia est celui des logements ruraux attribués à des bénéficiaires sur des terres agricoles en violation flagrante des lois et règlements portant protection des terres à vocation agricole. Des élus et fonctionnaires de la commune de Rahouia ont déjà été entendus par les gendarmes en attendant les conclusions de l’enquête en cours.
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Par Yazid Alilat
Hausse sensible de la population occupée au mois d’avril dernier par rapport à la même période en 2017, et contraction du taux de chômage qui passe de 12,3% en avril 2017 à 11,1 % fin avril dernier, a annoncé hier dimanche l’Office national des statistiques (ONS).La population totale occupée est en hausse à 11,048 millions de travailleurs, dont 82,01% sont des hommes, contre 10,769 millions de personnes en avril 2017 et 10,845 millions de personnes en septembre 2016, précise l’Office. Le secteur privé emploie 6,95 millions de travailleurs, soit 63% de l’emploi total, alors que le secteur public emploie 4,09 millions de travailleurs, soit 37% de la population occupée. Dans une enquête effectuée au mois d’avril dernier sur la situation du marché du travail, l’ONS indique que près de sept occupés sur dix sont salariés (69,6%), alors que cette catégorie de travailleurs est plus importante chez les femmes (75,3%), avec une prédominance dans e secteur public, qui absorbe 57,4% de la main-d’oeuvre féminine totale contre 42,6% dans le secteur privé, selon l’Office. Par secteur, c’est bien évidemment celui de la construction, le BTP, qui est le plus gros employeur avec 1,9 million de salariés (17,2% de la population occupée), suivi de l’administration publique (hors secteur sanitaire) avec 1,73 million d’employés (15,7%), du commerce avec 1,71 million (15,5%), de la santé et l’action sociale avec 1,56 million (14,1%). Les industries manufacturières viennent en cinquième position avec 1,33 million (12%) de travailleurs et de l’agriculture avec 1,14 million (10,4%), alors que les travailleurs des autres secteurs sont au nombre de 819.000 (7,4%).
Par groupes de professions, 20,4% de la population occupée se concentrent, selon la classification de l’ONS, dans les professions élémentaires (2,26 millions de travailleurs), suivies des métiers qualifiés de l’industrie et de l’artisanat avec 1,93 million de personnes (17,5%), du personnel de services, commerçants et vendeurs avec 1,88 million (17%) et des professions intellectuelles avec 1,08 million (9,8%). Les autres professions se composent essentiellement des conducteurs d’installation et d’ouvriers de l’assemblage avec 856.000 travailleurs (7,7% de la population occupée globale), des agriculteurs avec 798.000 (7,2%), des employés administratifs avec 671.000 personnes (6,1%), des professions intermédiaires avec 540.000 (4,9%) et des directeurs et gérants vec 387.000 (3,5%).
Par ailleurs, les femmes sont essentiellement concentrées, selon l’enquête de l’ONS, dans les secteurs de la santé et l’action sociale (853.000), avec 43,2% de la population féminine occupée, contre 705.000 hommes, dans le secteur de l’industrie manufacturière avec 415.000 femmes, dans l’administration publique avec 238.000 occupées, l’agriculture (95.000 travailleuses), le commerce (87.000) ou 41.000 occupées dans le transport et communication (2,1%), de 32.000 dans la construction (1,6%), de 8.000 dans l’industrie extractive (0,4%), et de 206.000 dans les autres services (10,4%). Dans la catégorie des ’professions intellectuelles», les femmes sont majoritaires avec 569.000 occupées contre 514.000 hommes.
Le chômage à 11,1%
Par ailleurs, la population en chômage est estimée à 1.378. 000 personnes au mois d’avril dernier (contre 1,440 million en septembre 2017 et 1,508 million en avril 2017), et le taux de chômage au niveau national s’est établi à 11,1%, avec une baisse de 0,6 point par rapport à septembre 2017. Ventilé par sexe, le taux de chômage a atteint 9,0% auprès des hommes et 19,5% chez les femmes. Chez les jeunes de 16-24 ans, le taux de chômage a atteint 26,4% (contre 28,3% en septembre 2017). Selon les données de l’ONS, les chômeurs ayant déjà travaillé par le passé sont estimés à 666 000 personnes, formant ainsi 46,5% de la population en chômage, constituée majoritairement d’hommes (74,3%). L’ONS affirme en outre que les trois quarts de cette population travaillaient comme salariés non permanents, alors que 70,2% de cette population étaient employés dans le secteur privé.
En outre, 63% ont quitté ’leur dernier poste d’emploi pour motifs de fin de contrat, de cessation d’activité ou de licenciement et 60% ont perdu leur emploi depuis moins d’une année», selon le dernier bilan de l’ONS sur la situation de l’emploi et le chômage en Algérie. Quant à la population qui se situe dans le ’halo du chômage», elle a atteint, en avril 2018, ’un volume de 1.434.000 personnes, soit une augmentation de 170.000 par rapport à septembre 2017. Les femmes en constituent 56,4%», explique encore l’Office.
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Par S. M.
Le complexe de textile Tayal vise lexcellence. La société algéro-turque, opérationnelle dans la zone industrielle de Sidi Khettab à Relizane, a mis en place un programme de recrutement basé sur le ciblage des majors de promotions des filières techniques (mécanique, électromécanique, génie électrique ) de l’université des sciences et de la technologie d’Oran Mohamed Boudiaf (USTOMB). La société algéro-turque, qui a entamé les opérations d’exportation vers l’Europe il y a quelques jours, veut faire le plein de cadres et ingénieurs de haut niveau. Les jeunes majors de promotions pourront bénéficier d’une première expérience professionnelle avec un encadrement de haut niveau, rompu à la gestion rigoureuse de l’entreprise.«Dans le cadre de la coopération entre l’Université des Sciences et de la Technologique d’Oran, de la société l’Algérienne des industries textiles SPA TAYAL et de notre cabinet de recrutement LAPEM EMPLOI, la SPA TAYAL invite les majors de promo des années 2018/2017 à visiter son complexe industriel à Sidi Khettab le 31 juillet en cours. Il est question de la visite du complexe de textile (centre de formation, les différentes unités de production) et d’une rencontre avec les cadres dirigeants de cette entreprise. Des entretiens individuels entre les cadres de cette société et nos majors de promotions sont prévus en fin de cette visite», précise une source autorisée de cet établissement universitaire. La société algéro-turque Tayal a procédé jeudi dernier à sa première opération d’exportation de filés coton vers quatre pays européens (Portugal, Belgique, Pologne et Turquie).
Les exportations de cette société se poursuivront durant le mois d’août, «notamment vers les pays d’Europe d’où elle a reçu des ordres de commandes tel que l’Allemagne, l’Italie ainsi que la France». L’université des sciences et de la technologie d’Oran Mohamed Boudiaf (USTOMB) a été désignée établissement universitaire pilote dans la région ouest pour la professionnalisation des parcours universitaires de formation dans le cadre du programme de coopération entre l’Algérie et Union Européenne AFEQ «Adéquation-formation-emploi-qualification». L’USTOMB a été choisie avec deux autres universités (Alger et Ouargla) pour la concrétisation de la 3ème composante de ce programme avec pour objectif le rapprochement de l’entreprise et les secteurs économiques du système de la formation universitaire.
La première composante de ce programme avait été confiée à l’université d’Alger et de Sétif et vise l’adaptation et l’insertion des jeunes diplômés dans le monde du travail, alors que la deuxième composante qui est pilotée par le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnel en partenariat avec les trois universités de Blida, Bejaïa et Boumerdès a pour objet l’adéquation Formation-Emploi pour la formation professionnelle et l’apprentissage.
Ce programme d’une durée de 36 mois avait démarré le 15 septembre 2017, il est placé sous l’égide du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, et concerne également dans sa mise en œuvre les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de la Formation et de l’Enseignement professionnels. L’objectif général de ce programme est d’assurer une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi par une plus grande implication des entreprises et des secteurs économiques dans la formation et l’insertion des jeunes.
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Par A.Ouélaa
Des habitants de la ville d’El Tarf, soucieux de leur bienêtre, de leur cadre de vie et de leur environnement qu’ils veulent à tout prix protéger et préserver, sont en colère après le retour de la vente des matériaux de construction en face de la RN 82, non loin des résidences de la wilaya et de la cité administrative.En ce sens, élus et responsables concernés ont été saisis afin que cesse ce commerce qui nuit aux riverains, d’autant plus que cette situation risque d’entraîner un effet domino avec le retour des autres vendeurs de matériaux de construction, qu’un arrêté du wali précédent a mis fin à cette activité tout en les délocalisant ailleurs pour poursuivre cette activité.
Pour rappel, ce même arrêté a mis fin à la vente des matériaux de construction en face de toutes les routes nationales.
Par ailleurs, ce revendeur de matériaux de construction, propriétaire de l’espace qu’il occupe, aurait selon des témoignages empiété sur un terrain qui est dans l’indivision et dont les héritiers ont déposé plainte. Enfin, pour de plus amples informations sur ce problème devenu ces jours-ci objet de discussions, nous n’avions pas pu joindre le maire de cette commune.
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A l'heure où notre pays a engagé une transformation de son économie et s'apprête à fêter les 58 ans de son ascension à la souveraineté internationale, nous avons souhaité interroger Raymond ADJAKPA ABILE Coordonnateur du Mouvement Tous Acteurs qui nous livre ici à cœur ouvert ses réflexions.
Vous êtes le coordonnateur du mouvement Tous Acteurs, Qu'est-ce que c'est ?
Le mouvement Tous Acteurs est une association loi 1901 qui a pour objectif de mobiliser l'intelligence collective béninoise pour influencer l'action publique. Il s'agit de refonder le nouveau citoyen en promouvant l'action commune et in fine transformer le Bénin. Transformer le Bénin demande de penser, proposer et essayer de nouvelles idées et surtout de voir le verre à moitié plein. Chacun doit jouer pleinement son rôle pour le développement économique de notre beau pays le Bénin.
Le Bénin va fêter les 58 ans d'indépendance, quel regard portez-vous sur le développement du Bénin ?
Les efforts de tous nos Présidents depuis 1960 ont été remarquables pour nous permettre d'atteindre notre niveau actuel. Ils ont construit pierre après pierre dans la douleur quelquefois l'héritage Bénin que nous avons. Il est important de leur rendre hommage.
Les Présidents Hubert MAGA, Sourou Migan APITHY, Justin AHOMADEGBE qui ont travaillé pour permettre à notre pays d'accéder à la souveraineté internationale et de construire les premières infrastructures de bases comme l'hôpital CNHU, la Présidence de la République… et le développement de la filière palmier à huile. Le Président Emile Derlin ZINSOU qui a amorcé l'autonomisation de notre pays par la création des impôts pour financer le développement par nous-même. Le Président Matthieu KEREKOU nous a permis de mettre fin au cycle infernal des coups d'Etat et de vivre ce que nous appelons la stabilité politique puis la démocratie, l'exception béninoise qui nous a propulsé positivement dans le Guinness record du premier pays de l'Afrique à connaitre une conférence nationale et une alternance au sommet du pouvoir de façon apaisée.
Le Président Nicéphore SOGLO, premier Président de l'alternance démocratique qui a travaillé à la reconstruction de l'économie et de conduire la société béninoise dans la modernité. Le Président Boni YAYI qui n'a pas ménagé son énergie pour travailler à sortir le pays de la pauvreté et a renforcé les infrastructures routières de notre pays et reconcilié le Béninois avec la Politique. Le Président Talon qui accompagne la conciliation du rêve Béninois à celui du rêve mondial, afin que le Béninois se dise appartenir à un grand pays et à un grand peuple. Ça ne veut rien dire…
Aujourd'hui, notre pays a besoin que chacune des Béninoises et chacun des Béninois soldent les querelles de clocher, les divisions internes pour bâtir enfin une communauté d'intérêts pour les générations d'aujourd'hui et de demain. Nous devons créer ensemble les conditions de la renaissance, de la transformation de la nation Béninoise.
Que pensez-vous de la gouvernance du Président Talon depuis le 6 avril 2016 ?
L'économie nationale héritée le 6 avril 2016 est paralysée par une double crise qui touche aux principales fondations de l'économie nationale. Le port de Cotonou l'épine dorsale de l'économie du Bénin avec comme enjeu principal la captation et l'acheminement du trafic de transit en provenance et vers les pays enclavés du Sahel : Niger, Burkina Faso et Mali n'était plus attractive. Le coton, l'autre secteur clé de l'économie, était lui-même paralysé par une crise profonde qui s'est manifestée par des contre-performances dans la production cotonnière. L'on sait par ailleurs l'importance socio-économique du coton dans le quartet des pays producteurs ouest-africains (Bénin, Burkina Faso, Mali, Tchad) où sont concernées plus de 4 millions de personnes. Au Bénin seul, cette culture a un impact sur la vie de plus d'un million de personnes.
Il faut être honnête et reconnaitre qu'au-delà des phénomènes liés à cette double crise, il y'a un aspect structurel et préoccupant qui demandait une réponse, celle de travailler à la construction de nouvelles fondations pour notre économie. Je pense que nous assistons au crépuscule d'un nouveau modèle économique dans notre pays.
Est-ce que selon vous ces actions seront salutaires pour notre pays ?
Vous savez notre pays caresse le rêve de devenir une économie performante de services, ce qui semble une option stratégique viable dans la continuité de nos atouts économiques actuels. Il suffit de regarder comment s'y sont pris ses précurseurs en la matière à savoir Hong Kong et la cité Etat Singapour. Dans ces deux cas, les facteurs essentiels sont : des investissements massifs dans le secteur éducatif pour disposer de ressources humaines de qualité considérées comme le premier support à toute économie de services. Ensuite viennent les avantages de la position géographique (proximité permettant la fonction de « relais » pour un grand marché) et ceux attendus des investissements dans les infrastructures (réseau routier, ports, aéroports, télécommunications performantes, etc.) et dans les hautes technologies et leurs nombreuses applications sectorielles. Cette comparaison avec les précurseurs asiatiques n'est pas inopportune d'autant que le Bénin partage avec eux l'un des préalables incontournables au succès d'une économie de services : la proximité avec un grand marché, confirmant encore le caractère déterminant de la position géographique dans les chances de réussite des stratégies économiques.
Que Pensez-vous de la lutte contre la corruption qui est aujourd'hui engagée ?
La corruption est un phénomène répandu dans le monde. Elle donne lieu à des préoccupations sérieuses d'ordre social, moral, politique et économique, qui entravent la bonne gouvernance, font obstacle au développement et faussent la concurrence. La corruption affaiblit la justice, interfère avec les droits de l'Homme et nuit à la lutte contre la pauvreté. Tous les gouvernements s'engagent à lutter contre la corruption en adhérant à des accords internationaux, tels que la Convention sur la lutte contre la corruption d'agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales de l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques et la Convention des Nations Unies contre la corruption, ou en adaptant leur législation locale. Cependant, la loi seule ne suffit pas pour résoudre ce problème. Il nous faut travailler ensemble la main dans la main pour résoudre ce fléau.
Que pensez-vous de la levée d'immunité de trois députés la semaine dernière ?
Nul n'est au-dessus de la loi et c'est mieux ainsi. La journée du 24 Juillet 2018 doit être inscrite d'une pierre blanche dans les annales de l'histoire parlementaire de notre pays. Depuis 1990, c'est la première fois que nous assistons à la levée effective de l'immunité de parlementaires. La raison importe peu, nous devons simplement nous réjouir du fait qu'aujourd'hui il est désormais possible de lever l'immunité d'un député. C'est un signal fort contre l'impunité, peu importe l'issue de cette triple levée.
Quel est votre mot de la fin ?
Après 58 ans, nous devons retenir comme Jean Monnet le dit : « Rien n'est possible sans les hommes, mais rien n'est durable sans les institutions ». Notre pays doit engager une profonde recomposition de sa classe politique. Le Bénin de 2018 est exposé à de nouvelles réalités et à de nouvelles vulnérabilités mais l'offre politique n'est plus adaptée à notre époque. La jeunesse béninoise doit construire avec nos dirigeants actuels une ambition qui s'appuie sur les réalités de notre temps et qui préparent demain pour nos enfants. Ce rendez-vous à ne pas manquer est celui de la cohésion de la jeunesse béninoise de l'intérieur comme de l'extérieur. Nous devons créer ensemble un contrat social entre les institutions de la République et la jeunesse béninoise. Travaillons ensemble à traduire le rêve de nos aînés et les pleurs de nos enfants en actes pour un mieux vivre dans notre cher et beau pays le Bénin. Soyons Tous Acteurs.
Propos recueillis par Paul Tonon
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Ou cliquer sur le lien ci-après https://24haubenin.info/IMG/pdf/doc1.pdf
Lire l'avis
La canicule persistera sur le Sahara central jusqu’à mardi, avec des températures qui atteindront ou dépasseront localement les 48 degrés Celsius, indique dimanche l’Office national de météorologie (ONM) dans un bulletin météo spécial (BMS).
« La vague de chaleur continuera d’affecter le Sahara central avec des températures maximales atteignant ou dépassant localement 48 C sur les wilayas d’Adrar, le nord de Tamanrasset (région d’In Salah) », précise le bulletin, dont la validité en cours s’étend jusqu’à mardi à 18h00.
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Les bureaux de vote ont fermé leurs portes dimanche à 18H00 GMT au Mali pour le premier tour de l’élection présidentielle.
Le scrutin a opposé 24 candidats dont notamment le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta du Rassemblement Pour le Mali (RPM) et son rival Soumaïla Cissé, leader de l’opposition de l’Union pour la République et la Démocratie (URD).
Outre le président sortant et le chef de file de l’opposition, ce scrutin a opposé d’autres candidats dont l’ancien Premier ministre Cheick Mohamed Abdoulaye Souad, dit Modibo Diarra, les anciens ministres Choguel Kokala Maïga, Mohamed Ali Bathily et Mountaga Tall, le chef religieux, Harouna Sankaré, la femme d’affaires, Djeneba N’Diaye et l’homme d’affaires Alio Diallo.
Durant le scrutin, les seules violences notables ont été signalées du côté de Kidal, dans le nord du pays, où sont tombés dix obus de mortier, dont l’un a explosé près d’un bureau de vote. Les tirs, qui n’ont pas fait de victimes, ont visé entre autres la base de la Minusma, la Mission des Nations unies au Mali. Ils n’ont pas été revendiqués pour le moment.
Plus de 30.000 membres des forces de sécurité, nationales et étrangères, ont été mobilisés pour assurer les opérations de vote, selon le ministère malien de la Sécurité intérieure.
Les premiers résultats sont attendus dans les 48 heures, les résultats officiels provisoires le 3 août au plus tard, avant un éventuel second tour le 12 août.
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Les critiques émises par certains participants aux Jeux africains de la jeunesse (JAJ-2018), clôturés samedi à Alger, ont été jugées « exagérées » par le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, qui considère que « le parfait n’existe pas » et que « les rares exceptions ne font pas la règle ».
« Certes, il y a eu quelques manques sur le plan organisationnel, mais globalement, ces Jeux ont été réussis », a estimé le ministre dimanche à Alger, rappelant que « le parfait n’existe pas » et que « les exceptions ne font pas la règle ».
Allusion faite notamment aux critiques émises par les entraîneurs et chefs de délégation de certains pays participant à ces JAJ, qui se sont plaints notamment des « mauvaises conditions d’hébergement » dans les résidences universitaires, considérant qu’il aurait peut-être été préférable d’opter pour des établissements hôteliers, où les chambres sont plus spacieuses, tout en disposant de la climatisation.
A ce propos, M. Hattab a indiqué que « pratiquement tous les pays qui organisent des évènements sportifs de cette envergure placent les athlètes dans ce qui est communément appelé +Village Olympique+ ». D’après lui, « rares sont les pays qui optent pour les hôtels », faisant que l’Algérie n’a pas dérogé à la règle.
« Ce qui est sûr, c’est que la plupart de nos invités ont été satisfaits de leurs conditions d’hébergement et ce n’est pas la critique d’une seule personne qui n’engage qu’elle même et qui a été décriée par son propre comité olympique qui va tout remettre en cause. Encore une fois, l’exception ne fait pas la règle », a-t-il rappelé.
Des propos appuyés par le représentant de l’Association des Comités nationaux Olympiques d’Afrique (ACNOA), Djamil Faye, qui a estimé que les JAJ d’Alger ont été « réussis » et que « le mérite de l’Algérie est d’autant plus grand que la compétition a enregistré une hausse significative sur tous les plans ».
« Lors de la première édition au Maroc, il y avait 1000 athlètes engagés dans 15 disciplines sportives. Lors de la deuxième édition au Botswana, il y avait environ 2000 athlètes, participant dans 21 sports différents. Lors de la 3e édition clôturée samedi à Alger, il y avait 3700 athlètes, représentant 54 nations et concourant dans 30 sports différents. Malgré cette hausse significative, l’Algérie a été au rendez-vous et a relevé le défi », a-t-il assuré.
« Lors des Jeux Olympiques de 2016 à Rio (Brésil) la sélection australienne, pour ne citer qu’elle, avait émis des réserves contre les conditions d’hébergement, menaçant d’emmener ses athlètes à l’hôtel. C’est dire que quel que soit l’effort fourni, on essuiera toujours une critique par ci ou par là », a-t-il ajouté.
Djamil Faye, qui a assisté aux plus grands évènements sportifs continentaux et mondiaux depuis les JO-1996 d’Atlanta (Etats-Unis) s’est présenté comme « un bon témoin » de ce qui peut être fait en matière d’organisation, faisant qu’il soit « bien placé » pour dire que les JAJ d’Alger « ont été réussis ».
« Sur les différents sites qui ont abrité les JAJ-2018, 30 étaient situés en plein coeur d’Alger, ce qui est considérable, car certains pays africains ne disposent pas d’autant de salles sur l’ensemble de leur territoire », a ajouté le représentant de l’ACNOA, considérant que ces chiffres « reflètent l’engagement de l’Algérie et son investissement » pour la réussite des projets qu’elle entreprend.
« Certains l’ignorent peut-être, mais nous n’avons bénéficié que de trois mois pour préparer ces Jeux, ce qui est trop peu. Mais nous avons quand même relevé le défi », s’est félicité M. Hattab dans son discours, estimant que « les gens se montrent parfois trop exigeants envers les organisateurs », alors que ces derniers méritent plutôt une médaille pour les énormes sacrifices qu’ils fournissent.
« Pendant les Jeux méditerranéens de Tarragone (Espagne), j’ai mis deux heures pour trouver le lieu d’hébergement de notre délégation, car il n’y avait aucune indication qui le précisait. Si cet incident s’était produit chez nous, on nous aurait sûrement écorchés vifs », a regretté le ministre.
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La discipline de raffa a confirmé, lors des 3es Jeux africains de la jeunesse (JAJ-2018) clôturés samedi en soirée au stade du 5-juillet (Alger), sa suprématie sur le plan continental, avec une « nette » domination sur le Maroc et la Tunisie, entre autres.
La belle prestation de l’équipe nationale a permis de récolter un total de 26 médailles (7 or, 11 argent et 8 bronze) en sports de boules (raffa, pétanque et lyonnaise), soit la 3e position au tableau des médailles des disciplines dans lesquelles l’Algérie s’est illustrée aux joutes continentales, après la lutte et la gymnastique. Outre l’Algérie, le tournoi des sports de boules qui s’est déroulé au complexe Ahmed- Ghermoul (Alger-Centre), a enregistré la participation de la Tunisie, du Maroc, de l’Egypte, de Maurice, de la Libye et de la RD Congo.
« Avec cette moisson, la raffa algérienne a confirmé sa suprématie en Afrique et sa bonne dynamique entamée depuis plusieurs années. On a des jeunes athlètes et un bon encadrement, il nous manquait peut-être la chose la plus importante : un terrain de niveau et surtout un revêtement en synthétique règlementaire », a expliqué à l’APS le président de la Fédération algérienne de rafle et billard (FARB), Mohamed-Amine Maïdi, en faisant allusion au terrain implanté à l’occasion des JAJ à Ghermoul.
Le site implanté comprenait un grand chapiteau d’une superficie de 2500 M² et des loges pour VIP et athlètes, le tout loué pour la circonstance par le Comité d’organisation (COJAJ), sans oublier les 2,4 milliards de centimes de matériel acheté (boules, tapis raffa, tableaux électroniques, …). « Ce lot acquis par la fédération algérienne pour la première fois dans son histoire est le bienvenu et fera beaucoup de bien à la discipline. On avait demandé ce matériel depuis toujours et il fallait une occasion pour réaliser ce rêve tant attendu », s’est réjoui le premier responsables de la FARB et membre du bureau exécutif de la Confédération mondiale.
Néanmoins, après la restitution du chapiteau à son propriétaire, la fédération s’interroge sur la domiciliation de son matériel qui doit bénéficier aux sélections nationales, appelées à se préparer à plusieurs échéances internationales dont les Mondiaux. « On a besoin d’une salle couverte ou semi-couverte ou tout simplement un chapiteau, afin d’implanter ce matériel acquis à coup de millions et qui nous permettra d’éliminer définitivement le problème de domiciliation de la préparation de nos équipes nationales. Ce n’est pas juste de freiner l’élan pris par ces jeunes joueurs lors des JAJ », a souhaité Maïdi.
Le site choisi pour les compétitions des sports de boules des JAJ, au centre Ghermoul ainsi que le matériel utilisé, a attiré l’admiration même du président de la Confédération mondiale de la raffa, le Turc Mutiu Turkmen qui a salué l' »immense effort » des organisateurs pour mettre en place cet édifice. Le matériel de pratique de la raffa faisait défaut à la fédération algérienne qui se rabattait sur des pièces de rechanges, afin d’essayer de réunir « un minimum de bonnes conditions » pour la réussite des événements.
« Depuis toujours, la fédération aménageait des terrains au revêtement artisanal (moquette au lieu du synthétique), exigé pour le lancer et le rouler de la boule. Le tracé du terrain réglementaire est de 28m de longueur et 4m de largeur, mais le revêtement exigé et homologué par la Confédération mondiale doit être en synthétique », a expliqué de son côté le président de la Confédération africaine de raffa et secrétaire général de la Confédération mondiale, l’Algérien Yacine Kafi.
La FARB, par la voix de son président, espère que l’acquis des JAJ-2018 d’Alger en matière de matériel sportif soit préservé, lançant un appel au ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, pour doter la discipline d’une salle fédérale couverte où sera implanté ce matériel pour faciliter la pratique, promettant d’offrir à l’Algérie « des satisfactions au plus haut niveau et de donner la chance au pays d’abriter des compétitions d’envergure d’un Championnat du monde de la spécialité ».
Il est à rappeler que le jeu de rafle est d’origine chinoise, mais a été repris par les Suisses ensuite les Italiens qui ont su le développer. En Algérie, l’idée de la création d’une Fédération algérienne de rafle remonte à 1991. La discipline se joue dans une salle couverte et des terrains au revêtement synthétique (28 m de largeur et 4 m de longueur), offrant de bonnes conditions de pratique pour le lancer et le rouler de la boule synthétique. Un terrain synthétique coûte environ 5000 euros.
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L’Algérie, outre une moisson record de 226 médailles dont 71 en or, « a acquis trois grandes choses » grâce aux Jeux africains de la jeunesse (JAJ-2018) qu’elle a accueillis du 18 au 28 juillet : « des talents d’avenir, de nouvelles infrastructures et une meilleure expérience dans l’organisation des grands évènements sportifs », a énuméré dimanche à Alger le ministre de la Jeunesse et des Sports (MJS), Mohamed Hattab.
« Ces Jeux ont permis la découverte de plusieurs nouveaux jeunes talents qui représentent la future élite du sport algérien » (Hattab)
« Lors de la précédente édition des JAJ à Gaborone (Botswana), la moisson de l’Algérie n’était que de 15 médailles d’or. Cette fois, nous en avons remporté 71 (avec une délégation beaucoup plus importante, ndlr), ce qui représente une hausse significative qui a largement dépassé nos prévisions. Donc, nous ne pouvons qu’être satisfaits de ces résultats », a indiqué le MJS lors d’une conférence de presse au lendemain de la clôture des JAJ-2018.
M. Hattab a considéré aussi que ces Jeux ont permis « la découverte de plusieurs nouveaux jeunes talents qui représentent la future élite du sport algérien ».
« (…) les athlètes qui sont montés sur le podium des JAJ représentent une valeur sûre, et la promesse d’un avenir radieux pour le sport algérien (…) » (Hattab)
« Certains n’ont pas obtenu l’or, certes, toujours est-il que pour moi, les athlètes qui sont montés sur le podium des JAJ représentent une valeur sûre, et la promesse d’un avenir radieux pour le sport algérien. A condition bien sûr de continuer à les accompagner », a ajouté le ministre, considérant que « la bonne prise en charge » de ces jeunes sportifs représente « un facteur indispensable » pour l’aboutissement du projet.
Le MJS a également attiré l’attention sur « les nombreuses infrastructures qui ont été réalisées ou rénovées à l’occasion de ces JAJ-2018, et qui serviront à l’avenir aux athlètes algériens ».
Autre « bienfait » de ces Jeux pour l’Algérie, l’acquisition d’une « plus grande expérience dans l’organisation des grands évènements sportifs » et qui, selon le ministre, servira aux responsables dans l’organisation d’évènements futurs, comme les Jeux méditerranéens (JM) de 2021 à Oran.
M. Hattab a tenu à préciser dans son discours qu’il « ne s’agit là que d’un bilan provisoire, établi à la hâte, moins de 24 heures après la clôture des Jeux ».
Autrement dit, ce constat est « appelé à évoluer » au cours des prochains jours et « dans le sens positif » selon le ministre, car « l’organisation de ces Jeux a été une totale réussite », faisant que les informations qui viendront compléter le bilan final ne seront que positives aussi.
« La gestion a été tellement rationnelle que nous avons gardé une importante somme sur le budget alloué à l’organisation de ces Jeux. C’est dire que nous avons fait bon usage de l’argent du contribuable », s’est félicité M. Hattab, sans préciser le montant exacte de cette somme.
Le MJS a annoncé par ailleurs que le comité d’évaluation, qui se charge actuellement de dresser le bilan final des JAJ, « évaluera également la participation algérienne aux JM de Tarragone (Espagne) » où la participation des Verts n’a pas été aussi reluisante.
Au total, quelque 3.700 athlètes, représentant 54 pays, ont participé à cette troisième édition des JAJ dans 30 disciplines sportives.
L’Algérie, pays organisateur de la compétition, a terminé à la deuxième place au tableau des médailles, derrière l’Egypte qui a survolé les Jeux avec 199 breloques dont 101 en or.
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