«La dextérité des chanteuses et des danseuses de cette troupe lors de leur passage sur scène vient démontrer que les chants et les danses de Azawane, resteront un art qui trouve des réactions profondes dans les coeurs.
La salle des spectacles de la Maison de la culture «Kadi Mohamed» à Béchar a vibré, avant-hier, soir au son de la musique et chant «hassani» et de la «hadra», des premières troupes artistiques féminines programmées au lancement de la rencontre «Voix de Femmes», initiée par l’association culturelle féminine Kounouz.
«Azawane», un ensemble de six femmes, a pu conquérir le public à travers ses différentes danses et chorégraphies, mettant en valeur les traditions artistiques de la région de Tindouf et dont les chansons sont puisées du patrimoine poétique et musical de la hassania, dialecte composé d’arabe et de berbère, très usité par les R’guibet et les autres populations de Tindouf. «Nos chansons, qui nous ont été transmises oralement par nos aïeux, traitent de différents sujets liés à la vie quotidienne dans le Sahara, ainsi que de la bonté, de la solidarité et de l’amour de son prochain, et de thèmes religieux», a expliqué, Zaoui Naytou, présidente de l’association culturelle et artistique Azawane.
«Aussi, notre musique est une tradition qui permet de transmettre notre vie quotidienne dans le Sahara et notre histoire et le lien avec cet espace naturel où nous vivons et ce avec un grand amour pour cet espace», a-t-elle souligné.
«La poésie, la musique, les danses et la chorégraphie de Azawane », que nous avons présentées à l’occasion de notre participation à cette première rencontre de Voix de Femmes, sont des moyens de distraction des femmes de notre région Tindouf. Elles resteront toujours les sources qui nourrissent notre existence dans les vastes étendues de notre Sahara», a expliquée Mme Naytou.
«La dextérité des chanteuses et des danseuses de cette troupe lors de leur passage sur scène vient démontrer que les chants et les danses de Azawane, resteront un art qui trouve des réactions profondes dans les coeurs», selon l’avis de plusieurs présents au spectacle. Pour sa part, la troupe «Bnat Sidi Ounif», de la région frontalière de Béni-Ounif (Béchar), qui comprend une dizaine de membres, a charmé le public avec ses chansons relevant du patrimoine culturel et religieux de la «hadra» au féminin, avec des textes datant de plusieurs siècles et puisés dans le répertoire des Aïssaouas et des autres confréries religieuses de la région.
«La création de notre troupe, il y a trois années, encouragée par l’association culturelle de wilaya Rahik, nous a permis de mettre en exergue lors de diverses manifestations culturelles et religieuses, la beauté des textes de la hadra au féminin, ce qui est un moyen de pérennisation de ce type de patrimoine culturel et religieux de la région, et du pays en général», indique Zineb Aribi, membre fondatrice de cette troupe. Le passage sur scène de ces troupes, qui s’est fait dans la pure tradition locale, à savoir musiciennes et chanteuses assises à même le sol, a été quelque peu perturbé par la faiblesse et la mauvaise qualité de la sonorisation, dont les organisateurs ont promis de corriger dès aujourd’hui (hier) à l’occasion de la deuxième et dernière représentation des troupes participantes à savoir «Goul» de Labiodh Sidi Cheikh (El-Bayadh) et «Ahellil» (Adrar).
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La République du Bénin est éligible au programme du développement norvégien, « Oil for Development ». L'information a été rendue publique, ce mardi 11 décembre 2018, lors d'une conférence de presse co-animée par l'ambassadeur plénipotentiaire de la Norvège près le Bénin avec résidence à Abuja, Jens-Peter Kjemprud, et le chef de la diplomatie béninoise, Aurélien Agbénonci, au ministère des Affaires étrangères et de la coopération.
Après son audience avec le chef de l'Etat, l'ambassadeur plénipotentiaire de la Norvège près le Bénin avec résidence à Abuja, Jens-Peter Kjemprud a confié au cours de la conférence de presse, qu'il est porteur d'un message de son premier ministre pour Patrice Talon. Ceci suite au séjour du président béninois à Oslo en Norvège du 7 au 9 novembre 2018.
Au regard de la nouvelle dynamique de coopération, la Norvège a décidé de rendre éligible le Bénin au programme « Oil of development », c'est-à-dire le programme pétrole pour le développement.
Selon le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci, grâce à ce programme la Norvège offre son assistance dans les domaines de la gestion des ressources pétrolières de manière durable, de l'exploration, de l'accompagnement technique, de l'approche écologique.
« Cela permettra de démanteler les installations du site pétrolifère de Sèmè », a souligné Aurélien Agbénonci.
Il a indiqué que le président Patrice Talon a « répondu favorablement à la Norvège pour soutenir sa candidature au poste de membre non permanent du Conseil de sécurité de l'Onu pour la période 2021-2022 ».
Durant le premier trimestre de 2019, un comité consultatif en charge de l'avancement des accords signés et une délégation d'hommes d'affaires norvégiens dans les secteurs du pétrole, du gaz, des énergies renouvelables, de l'aquaculture et du tourisme sera au Bénin.
Dans le but de permettre aux opérateurs économiques béninois de mieux s'adapter aux normes du marché norvégien, le ministre informe, qu'au cours du second semestre, le chef de l'Etat a prévu l'organisation d'une semaine du Bénin en Norvège.
Akpédjé AYOSSO
TIMIMOUNE- Le Groupe Sonatrach compte parmi ses priorités les « plus importantes » à réaliser en 2019, la révision de l’organisation de ses ressources humaines, avec une possible augmentation des salaires des employés, a indiqué mardi à Timimoune le P-dg de cette compagnie, M. Abdelmoumen Ould Kaddour.
Lors d’un point de presse tenu à l’issue d’une visite de travail des les régions de Tamenrasset, Ain Salah, Adrar et Timimoune, le P-dg de Sonatrach a indiqué que parmi les priorités du groupe pour l’année 2019, figure la révision de toute l’organisation des ressources humaines, qui débouchera probablement sur une hausse des salaires des employés de la compagnie.
Et d’ajouter, qu’en comparaison à d’autres compagnies du monde qui ont la même organisation que Sonatrach, cette dernière est placée dernière en termes de salaires versés aux employés.
« Nous ne pouvons pas continuer comme cela, durant les dernières années, nous avons perdu 16.000 employés et si cela continue nous perdrons les cadres de qualité que nous avons », a souligné M. Ould Kaddour.
Aussi, le Groupe compte revoir en 2019 ses capacités de production et inaugurer la raffinerie d’Alger chose qui « aurait dû se faire il y a longtemps », a précisé son P-dg.
Sur un autre registre, il a évoqué la forte fluctuation du prix du baril de brut sur le marché international, faisant que pour l’instant le groupe ne peut que s’en tenir qu’aux engagements qu’il a déjà fait, notamment en termes de raffinerie.
« Avec un baril de brut à 50 ou 60 dollars sur le marché mondial de pétrole, il serait difficile de projeter des investissements pour l’année prochaine, Nous espérons que le baril atteindra les 70 ou 80 dollars pour que nous puissions voir quels investissements engager », a-t-il poursuivi.
En réponse aux journalistes concernant la commercialisation des produits de la raffinerie d’Augusta (Italie), M. Ould Kaddour a souligné que ces derniers disposent « d’une valeur ajoutée supérieure en Europe en comparaison à celle qu’ils ont en Algérie, vu que les contraintes spécifiques de l’analyse dans le pays sont moins contraignantes qu’en Europe ».
Ainsi, selon ses propos, ces produits sont « plus intéressants à vendre en Europe qu’en Algérie », notant qu’il y aura quand même une partie de cette production qui sera destinée à la consommation nationale. Cette usine, rappelle-t-il, produit 10 millions de tonnes annuellement, soit 3 fois plus que celle d’Alger et 2 fois plus que celle de Hassi Messaoud.
En outre, a-t-il dit, « nous sommes en train de monter un simulateur pour pouvoir optimiser toutes les raffineries vu que chacune d’entre elles génère des produits avec des spécificités données cela permettra de savoir quels sont les produits à produire et où les vendre ».
Et d’ajouter que l’Algérie pourra probablement cesser d’importer des produits raffinés pour subvenir aux besoins nationaux en 2019 grâce aux productions des différentes raffineries de la Sonatrach, notamment celle d’Augusta.
Ceci permettra alors au pays de se passer de ces importations coûteuses en produits raffinés, rappelant que durant les 10 dernières années, elles ont représenté environ 25 milliards de dollars.
=== Sonatrach fait don de quatre scanners aux populations du Sud===
Par ailleurs, lors de cette visite de travail, le P-dg de sonatrach a fait don de 4 scanners médicaux et 4 ambulances à 4 établissements de santé sis dans la région du Sud du pays.
C’est ainsi que lors de chacune de ses visites successives sur les lieux, M. Ould Kaddour a supervisé l’octroi d’un scanner médical et d’une ambulance, dernière génération, au niveau de l’EPSP de Tamenrasset, l’EPH de Ain Salah, l’EPH en phase de réalisation d’Adrar ainsi que de l’EPH de Timimoune.
En outre, les deux EPH de Ain Sallah et Timimoune ont bénéficié de 2 couveuses.
Sonatarcah compte également faire don de 3 autres scanners et 3 autres ambulances aux établissements de santé de Djanet, Hassi Messaoud et Illizi prochainement.
A Ain Salah, le Pdg a également visité le chantier de réalisation d’un centre de formation aux métiers du gaz et du pétrole de la Sonatrach, ceci pour former puis recruter la main d’oeuvre locale, et ce, après s’être enquis de l’état de réhabilitation et de réalisation, à la charge de la compagnie, de 4 Zaouyas au niveau de la même région.
Concernant l’école à Ain Salah, le P-dg la jugée « très importante » vu que le groupe tient à créer des emplois, « chose qui n’est pas évidente vu que les populations locales (Sud) demandes à être recrutés en tant que chauffeur ou gardien, alors que ce qui nous intéresse c’est de les former à des métiers qui servent le pays et l’entreprise ».
Selon lui, l’ensemble de ces actions destinées aux populations du Sud sont l’entame d’un programme social qui a débuté il y a de cela 6 mois.
« Ces actions ont été réalisées par des entreprises appartenant au Groupe Sonatrach, et chacune faisait ce qu’il lui semblait bon et ce, sans coordination globale malheureusement. Maintenant, nous avons pris la décision de rassembler tout ceci et l’homogénéiser en une seule action sociale globale », a-t-il ajouté.
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Le directeur de l’AADL, Saïd Rouba a annoncé la livraison prochaine de milliers de logements de l’AADL 1 et 2. En effet lors de son passage à sur la matinale de la chaine Ennahar, Saïd Rouba a précisé au sujet de l’AADL 1 que 10 000 unités seront distribuées à Alger d’ici la fin de l’année.
Concernant l’AADL 2, dix milles logements actuellement prêts seront livrés pendant le premier trimestre l’année 2019 à Alger, ainsi que 4100 unités dans la wilaya d’Oran.
Le directeur de l’AADL informe que : « Le site de l’agence sera ouvert avant la fin de l’année en cours », en ajoutant qu’il était interdit de changer de site sauf en cas d’accord entre deux souscripteurs.
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Les 07 sages de la Cour constitutionnelle ont tenu, ce mardi 11 décembre 2018, une séance d'échanges avec les différentes institutions impliquées dans l'organisation des élections législatives au Bénin.
L'objectif de cette rencontre qui a réuni les membres de la Commission électorale nationale autonome (Cena) et des membres du gouvernement, est de mettre en place les conditions nécessaires au bon déroulement du scrutin. Il s'agit également pour la haute juridiction, de recueillir les informations, d'établir les points de grande importance, de relever les difficultés et permettre à toutes les institutions concernées par l'organisation de ces élections, d'être au même niveau d'information afin d'anticiper sur les probables difficultés.
Ouvrant la séance, le président de la Cour constitutionnelle, Joseph Djogbénou, a souligné que « de la qualité de la préparation des élections dépend la qualité du déroulement des élections. Et nous sommes tous envoyés en mission, outillés par la Constitution et les lois en vigueur pour garantir cette qualité à notre démocratie ».
Pour lui, il s'agit de tout mettre en œuvre pour que le Bénin demeure un modèle de démocratie ; et cela passe par des élections transparentes.
L'organisation d'une telle rencontre, selon le président de la Céna, Emmanuel Tiando, est très opportune. « C'est notre vœu à la Céna de voir des élections libres, crédibles et transparentes. Ces rencontres peuvent nous permettre de mieux affiner nos stratégies pour une meilleure organisation », a-t-il précisé avant de rassurer que le Bénin ne manquera pas au rendez-vous d'une organisation d'élections transparentes en 2019 ».
Le ministre de la Justice et de la Législation, Séverin Quenum a, au nom du gouvernement, évoqué les dispositions prises par l'exécutif pour assurer des élections démocratiques. Ces dispositions selon le Garde des sceaux, passent par le lobbying du gouvernement pour le vote à l'Assemblée nationale des lois portant charte des partis politiques et code électoral ainsi que la soumission au Parlement du projet de budget des élections. Il a également rassuré de la convocation à bonne date par le chef de l'État du corps électoral, de sa détermination et de l'engagement du ministre délégué en charge de la Défense nationale, du ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique et de toutes les structures publiques concernées, pour le bon déroulement des élections.
Pour le ministre de la justice, le gouvernement jouera sa partition à travers plusieurs actions au nombre desquelles, la formation des agents électoraux, la réactivation de la direction chargée des Relations avec les institutions, la délivrance via une plateforme numérique des actes. « Les élections à venir s'annoncent sous de très bons auspices et nous devons avoir foi en notre patriotisme, en notre génie qui veut que le Bénin reste pionnier en matière d'élections démocratiques, et cela passe par des élections à bonne date, crédibles et transparentes », a-t-il insisté.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Aujourd'hui tous les regards sont tournés vers les élections législatives de 2019. Les différents regroupements se dessinent. La reconfiguration de la classe politique devient imminente. Chacun choisit son camp. Il est évident que le combat entre l'opposition et la mouvance sera une fois de plus au paroxysme. Les influences de terrain, l'arrivée des jeunes dans la barque, les vieux renards imperturbables dans leurs fiefs ne démordent pas. A voir ce qui se passe dans l'arène politique, une thèse se dessine. La rafale de la mouvance présidentielle. Même si les voix s'élèvent en sourdine contre la gouvernance actuelle, il est difficile de ravir la vedette aux anciens parlementaires qui continuent d'avoir leurs bases aussi solides que l'on ignore. Les partis engagés qui soutiennent les actions du chef de l'État partent gagnants.
Faute d'une cohésion dans le rang de l'opposition, la mouvance réussit à s'organiser autrement.
Le champ devient de plus en plus large à balayer puisque les forces de l'opposition n'ont plus une voix unie.
Cette situation ouvre la vanne à la mouvance présidentielle.
Deux grands blocs à savoir le Bloc Républicain et le parti Progressiste auront une totale emprise du terrain. Avec leurs regroupements, il peut arriver que chaque bloc ait au moins un député dans chaque circonscription électorale. Avec une bonne organisation, les Républicains et les Progressistes pourront partir avec 48 députés. Sans oublier la force du Prd qui malgré tout, s'en sort avec 09 députés au moins. Si la machine est bien rodée, Talon aura 56 députés au moins à l'issue des prochaines législatives, soit chaque bloc avec 24, le PRD avec 9, sans oublier les deux autres partis que sont l'UDBN de Claudine Prudencio et la DUD de Valentin Houdé, qui ne seront pas des touristes à cette élection.
Giscard AMOUSSOU
Le ministre du cadre de vie et du développement durable, José TONATO, a lancé officiellement, ce mardi 11 décembre 2018, l'ouverture du salon de l'architecture et de l'innovation « ARCHI' INNOV BENIN ». Organisé par l'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin (ONAUB), pour marquer ses 35 d'existence, la cérémonie s'est déroulée au siège de l'institution à Agblangandan (Sèmè-Podji).
Elle a connu la présence du président de l'ordre M. Narcisse Justin SOGLO, son homologue du Niger, le bâtonnier Yvon DETCHENOU et plusieurs autres invités et partenaires de l'institution.
« Souffler une bougie de plus dans la vie d'une institution ça se fête et pour que cette fête ne soit pas anodine, nous avons voulu associer tous nos partenaires tant publics que privés à la manifestation, d'où la création du Salon ARCHI' INNOV », a confié le président de l'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin (ONAUB)
Pour M. Narcisse Justin SOGLO, ce salon est une opportunité pour tous ceux qui ont des projets de construction puisqu'ils bénéficieront gratuitement de conseils avisés de la part des architectes et des urbanistes. Ce salon va favoriser un climat d'affaires avec les différents partenaires mais aussi permettra « de voir les talents dont regorgent les architectes et les urbanistes du Bénin au travers des projets qu'ils ont conçus ».
« Mon vœu profond est que cette exposition puisse apporter un plus à l'émergence de vos différentes sociétés et connaisse un succès total à la fois pour nous les organisateurs, les sponsors et les entreprises participantes, mais aussi et surtout pour les nombreux visiteurs qui viendront vous voir pour faire avancer leurs différents projets de construction », a souhaité Narcisse Justin SOGLO.
Il n'a pas manqué de remercier le ministre du cadre de vie qui soutient l'Ordre de diverses manières dans toutes actions.
Aussi, le président de l'ONAUB a-t-il, salué la présence des différents partenaires qui selon lui n'est pas anodine, car elle participe de la vitalité de liens qui les unissent. « Je voudrais ici les remercier pour tout ce qu'ils mettent en œuvre pour entretenir les bonnes relations », a-t-il martelé.
Le ministre du cadre de vie et du développement durable s'est dit très heureux de participer à l'ouverture officielle du salon qui marque le 35ème anniversaire de l'ONAUB.
Le chemin parcouru a été long certainement parsemé d'embûches mais assez palpitant », a-t-il affirmé.
Selon M. TONATO, la ville durable aujourd'hui présente des défis ayant rapport aux différentes pollutions, aux changements climatiques.
Pour un développement sobre en carbone et résilient aux changements climatiques, José TONATO souhaite qu'en ce qui concerne ces défis, les membres de l'ONAUB soient à la hauteur des attentes légitimes des populations car indique-t-il, « nous sommes au-delà de nos professions des acteurs d'utilité publique ».
Le ministre a invité l'ONAUB à prendre réellement sa part et sa place sur le chantier du cadre de vie pour le bonheur des populations.
Après avoir officiellement ouvert le salon de l'architecture et de l'innovation, le ministre José TONATO en compagnie du président Narcisse Justin SOGLO a visité les stands.
Les expositions sont issues de plusieurs entreprises intervenant dans le domaine de l'architecture et de l'habitat.
Une initiative saluée
Après la visite des stands, la présidente de l'Ordre des Architectes du Niger, Selly Bollio BARE, s'est dite contente d'être parmi ses confrères béninois.
« Je suis là pour honorer le président Narcisse SOGLO qui a bien voulu m'inviter à l'occasion du 35ème anniversaire de l'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin », a-t-elle confié. Elle a profité de l'occasion pour féliciter les organisateurs dudit salon.
Pour le bâtonnier de l'Ordre des Avocats du Bénin, Yvon DETCHENOU, en tant que profession libérale, il est nécessaire que les deux institutions s'épaulent.
Pour le bâtonnier, il est primordial que l'Ordre des Avocats du Bénin félicite l'initiative de l'ONAUB, lorsqu'il organise un salon pour fêter ses 35 ans.
La particularité de ce salon explique-t-il, est qu'il réunit tous les prestataires qui interviennent dans le BTP, mais également les techniciens, et tous ceux qui opèrent dans le domaine de la construction.
« Cette synergie est nécessaire pour qu'ils se comprennent sur le terrain, et qu'ensemble, ils puissent développer une meilleure collaboration », a souligné Yvon DETCHENOU.
Nous avons également au Bénin, poursuit-il, des problèmes particuliers, de la disponibilité des matériaux, de la main d'œuvre, de qualification. Selon le bâtonnier, ce salon est l'occasion d'échanger sur ces points et de pouvoir travailler ensemble.
Pendant les 04 jours de ce salon, plusieurs activités sont prévues telles que : des conférences débats animées par les architectes sur le thème « Inclusion par l'Architecture », le vernissage et la soirée de gala.
Il est également prévu le lancement du jeu concours de la construction du palais d'exposition de l'ONAUB.
Aussi, durant cette célébration, 07 membres en fin de stage vont-ils prêter serment.
L'Ordre qui célèbre ses 35 ans d'existence est créé le 1er novembre 1983 et regroupe les personnes habilitées à exercer la profession d'Architecte et d'Urbaniste au Bénin.
Akpédjé AYOSSO
G.O.
«Le pétrole joue au yoyo à mort, un baril à 50 ou 60 dollars, c’est très compliqué pour nous de faire des prévisions ou de tracer des perspectives », a déclaré, hier, le PDG de Sonatrach.Ould Kaddour espère que le baril monte à 70 ou 80 dollars, « ce serait mieux pour nous », a-t-il dit. Il a fait part aux journalistes d’une étude sur les salaires à Sonatrach et a avoué que « l’entreprise est classée la dernière dans le monde, il faut absolument qu’on réorganise les ressources humaines, on a perdu plus de 16.000 cadres l’année dernière, c’est très grave ». Ses priorités pour 2019, « elles sont énormes( ), on travaille sur la JV de trading, inaugurer la raffinerie d’Alger parce que sa gestion a été catastrophique , on est en train de monter un simulateur pour optimiser toutes nos raffineries, nos importations sur les 10 dernières années ont été de 25 milliards de dollars ».
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Ghania Oukazi
Périple inédit du PDG de Sonatrach en faisant Tamanrasset, In Salah, Adrar et Timimoun en une seule journée. Abdelmoumène Ould Kaddour a tenu, hier, à s’enquérir de «l’impact de la responsabilité sociétale de l’entreprise citoyenne.»Il est vrai que depuis son installation, il n’a pas arrêté de répéter que «Sonatrach ne produit pas que du pétrole et du gaz mais tient à prendre en charge les préoccupations socio-économiques de ses travailleurs et des citoyens». Sonatrach a été la première entreprise algérienne à signer un pacte de stabilité avec ses filiales pour en montrer la preuve. Elle l’a fait le 4 novembre dernier à Hassi Messaoud, dans la wilaya de Ouargla. En octobre, son PDG avait annoncé que Sonatrach allait livrer 7 scanners et 7 ambulances médicalisées à des wilayas et des wilayas déléguées du Sud. Hier, il a voulu en confirmer «le geste.» A bord d’un boeing 737-800 appartenant à «sa» compagnie, il a décollé à 6h du matin pour être deux heures 20 minutes plus tard dans la wilaya de Tamanrasset, première escale de sa randonnée «citoyenne».
Il faisait 8 degrés, une matinée bien froide Il ira directement à la polyclinique de la cité Adrian pour constater de visu que le scanner de « dernière génération dont les services d’exploration sont très poussés » ainsi que l’ambulance médicalisée, sont bien là. Vite fait et bien fait, il rebroussera chemin pour remonter dans l’avion qui l’attendait à l’aéroport, pour aller à In Salah. Très brève visite à tel point que même la caméra de l’ENTV n’a pas pu le filmer devant le scanner non faute d’avoir manqué à ses obligations mais l’équipe ainsi que tous les autres journalistes ont été mis dans un bus bringuebalant, qui ne pouvait dépasser les 80 km/h avec une porte qui ne ferme pas. Impossible de pouvoir suivre le cortège «officiel».Zaouiet sabiin salah Benzine
Ould Kaddour, ses cadres, les autorités locales et « les élus de la nation » étaient à bord de 4X4 flambant neufs. Entre la polyclinique et l’aéroport, le bus des journalistes a dû marquer un arrêt parce que son pot d’échappement a lâché. Avec ça, il a repris son chemin sous les odeurs étouffantes d’un embrayage en souffrance. A Tam, Ould Kaddour était habillé en bazan (tenue traditionnelle targuie). A le voir ainsi, on avait l’impression qu’il avait troqué son pragmatisme et sa stature « MIT (Massachussetts Institut Technology », avec celle d’un «cacique» de l’article 120 du FLN, inaugurant des structures socio-économiques sous la bénédiction des autorités civiles et militaires de la région.
Seconde étape, la wilaya déléguée d’In Salah que le pilote a atteint en l’espace de 55 minutes et y a atterri sous 16 degrés. Direction zaouiet «Sabiin salah Benzine (les 70 saints) » où il consultera (en tenue de ville) les étapes franchies par les travaux de rafraichissement et d’extension des lieux. Il repartira sans que les journalistes n’aient pu le suivre par manque de bus. Généreux qu’ils sont, les chouyoukh de la zaouia les ont invités à « prendre la baraka » en leur offrant un thé, du sfendj (beignet) et des dattes.
Le bus est revenu les chercher mais le PDG avait déjà terminé son inspection du centre de formation de Sonatrach lui aussi en travaux de réhabilitation. Il fera savoir que la compagnie pétrolière possède un grand nombre de centres mais les filiales les ont gérés d’une manière débridée. Désormais, c’est la direction générale qui en prend le contrôle et « en fera une bonne répartition à travers le pays ».
«Nous voulons être recrutés»
A la sortie du centre, il y avait 6 jeunes arborant des petites affiches par lesquelles ils lui demandaient d’être recrutés par Sonatrach et d’avoir avec ses gestionnaires «un dialogue pacifique». Son cortège sortira en trombe pour rejoindre l’aéroport. Ils le rejoindront et feront sur place le forcing pour qu’il les reçoive. Et c’est ce qu’il fera sans la présence des journalistes.
3ème escale, la wilaya d’Adrar après 3 quarts d’heure de vol. Il faisait déjà chaud avec un 20 degrés « saharien ». Le PDG ira directement au nouvel hôpital qui n’est pas encore en activité mais où a été déposé le scanner « offert » par Sonatrach. Il fera un petit tour dans les nouveaux locaux et repartira «quelque part » qu’on ne saura pas parce que les journalistes ont été priés de rejoindre l’aéroport où l’avion attendait toujours. Il était 14h. Ould Kaddour arrivera dans l’avion à 15h15mn.
Pour sa dernière escale Timimoum- l’avion volera avec un nouvel équipage parce que le premier avait atteint sa limite de travail et devait se reposer « c’est la règlementation ». Sonatrach, rappelle-t-on, a planté au cours de l’année plus de 20 000 arbres à Adrar. « Ce sont des opérations de reboisement qu’elle compte élargir à d’autres régions », disent ses cadres.
Ould Kaddour a continué ainsi sa tournée tout au long de la journée d’hier qu’il voulait dédiée spécialement à «la responsabilité sociétale ». Ses cadres sont convaincus qu’il a voulu par ce périple, exprimer aux populations des régions visitées «un sentiment d’entraide, de fraternité, d’attention d’une compagnie, qu’il considère comme appartenant à tous les Algériens parce qu’elle est un acteur économique majeur pour le pays». Il veut, soutiennent-ils, que «ça soit du concret sur le terrain, particulièrement dans le Sud, comme il l’a toujours dit, Sonatrach doit laisser des traces partout en Algérie ».
Notons que son PDG a eu déjà à affirmer que « Sonatrach a 25 000 employés dans le Sud, 50 000 employés de ses filiales sont concentrés dans le Sud, elle mène de nombreuses actions au profit des populations entre autres a formation des jeunes, le sponsoring des équipes de sport, la construction de structures socio-économiques »
Après 25 minutes de vol, l’avion atterrit dans la wilaya déléguée de Timimoun, sous un temps ensoleillé et une température agréable de 19 degrés. Le PDG s’est dirigé vers l’hôpital de la ville où il sera accueilli à l’intérieur par des Targuis sur des chameaux et la cavalerie qui l’a reçu par des barouds d’honneur sous les sons musicaux d’une troupe folklorique de la région. Dix minutes sans plus et retour vers l’aéroport où il a animé un point de presse avant de s’envoler vers Alger.
Aujourd’hui, il sera au siège de Sonatrach pour signer un contrat avec l’entreprise russe Rosneft, dans les transports par canalisations (TRC).
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R.N.
Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh a révélé, mardi à Alger, l’ouverture d’enquêtes judiciaires sur 67 affaires d’agressions sur des Algériens à l’étranger. Par souci de protection des citoyens algériens, «des enquêtes ont été ouvertes sur 67 affaires d’agressions sur des Algériens à l’étranger», dans le cadre de la dynamisation des mécanismes de coopération judiciaire internationale, a déclaré M. Louh dans son intervention à l’Assemblée populaire nationale (APN) lors de la journée parlementaire consacrée aux droits de l’Homme.L’ouverture de ces enquêtes s’inscrit dans le cadre de la réforme du système judiciaire qui a abouti, entre autres, «l’extension de la compétence judiciaire des tribunaux algériens concernant les agressions sur les Algériens à l’étranger». Rappelant les plus importants ateliers ouverts par le secteur de la justice dans le cadre de la réforme visant à protéger les droits des justiciables et renforcer les droits de l’Homme, M. Louh a mis l’accent sur la nécessité de reconnaitre «la sagesse» du président de la République qui est parvenu à asseoir les règles d’évolution dans ces questions sensibles d’un point de vue national souverain». Le ministre a indiqué que le président, Abdelaziz Bouteflika «refuse que les principes des droits de l’Homme soient exploités par des milieux étrangers pour d’autres fins qui ont eu leurs impacts dans plusieurs pays».
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K. Assia
Un premier pas vers la protection de l’environnement avec le projet de réalisation de l’éclairage public à l’énergie solaire dans l’école primaire Chérifi Kaddour’ à Gdyel. Ce projet initié par l’APC de Gdyel, a été inauguré, hier, lors de la commémoration du 58èmeanniversaire des manifestations du 11 décembre 1960. En effet, l’APC s’est orientée vers les panneaux solaires photovoltaïques comme une première expérience, en vue de la généraliser à l’ensemble des établissements primaires, a indiqué, hier, M. Said président de l’APC de Gdyel, précisant ainsi que ce projet d’avenir s’inscrit dans le sillage des orientations du président de la République. Les travaux ont été réalisés, dans le cadre du projet communal de développement PCD pour une enveloppe financière de 4 millions de DA, apprend-on. En ces moments d’austérité et la hausse du coût de l’alimentation en électricité, le recours à ce procédé écologique va permettre, selon le responsable, de combiner entre les deux sources d’énergie, ce qui réduira vraisemblablement la consommation d’électricité.Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, M. Noureddine Bedoui avait annoncé, en août dernier, que l’objectif du gouvernement est d’assurer une couverture de tous les établissements scolaires du cycle primaire, au niveau national, en énergies renouvelables et qu’il était nécessaire de rationaliser la consommation de l’énergie, de sorte que 500 écoles primaires au niveau national sont déjà dotées d’équipements d’énergie solaire. L’opération permettra, selon le ministre de fournir l’énergie classique pour d’autres besoins publics. Outre l’inauguration de ce projet, les autorités locales ont également, posé la 1re pierre pour le lancement des travaux de réalisation de 150 logements LPA. L’assiette devant abriter ce projet a été retenue sur la route qui mène à Sidi Benyebka et les travaux seront scindés en 3 tranches de 50 unités.
La commune de Gdyel a, déjà, bénéficié de 139 logements LPA qui ont été réceptionnés, en février 2017. Par ailleurs, les responsables locaux ont procédé à la pose de la 1re pierre pour la réalisation d’un groupe scolaire de 6 classes, à Hai Amel et également d’une école primaire de 12 classes à Hai Mostakbal ; de quoi améliorer les conditions de scolarisation des élèves et alléger la pression dans les nouvelles cités ayant connu des grandes opérations de relogements, dans le cadre de la résorption de l’habitat précaire.
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J.Boukraa
Pas moins de 99 personnes ont été radiées du fichier des handicapés de la wilaya d’Oran depuis le début de l’année en cours, a-t-on appris hier de la Direction de l’action sociale(DAS). Ces personnes radiées ne remplissaient pas les conditions légales pour bénéficier des allocations versées par la DAS comme l’allocation forfaitaire de solidarité (4.000 DA). Selon madame Doukara, chef de service des personnes aux besoins spécifiques auprès de la Direction de l’action sociale, parmi ces personnes radiées, 80 sont décédées, dix ont été radiées pour changement de résidence, six ont bénéficié d’une autre prise de réversion, une a été radiée après avoir bénéficié d’un poste d’emploi».Auparavant, le ministère de la Solidarité a révélé la possibilité d’engager des poursuites judiciaires à l’encontre de ces personnes qui usent de magouille pour bénéficier des allocations. Ajoutant qu’il y a eu déjà des cas de poursuites au niveau de la justice dans le cadre de la lutte contre ces phénomènes qui épuisent l’argent public destiné à la solidarité nationale. Le nombre de handicapés bénéficiaires de pensions mensuelles (4.000 dinars) est de près de 5.800 (handicapés invalides à 100%, âgés de 18 ans et plus et ne disposant d’aucun revenu). Outre les cartes de priorité dont ont bénéficié ces handicapés, des cartes de maladies chroniques ont été remises aux handicapés non couverts par la sécurité sociale ainsi que des cartes pour l’accès aux soins à titre gracieux.
Pour rappel, pas moins de 38.846 personnes aux besoins spécifiques ont été recensées à Oran. Ce chiffre englobe toutes les catégories de handicap. Ces personnes sont réparties comme suit: 15.131 handicapés mentaux, 16.096 handicapés moteurs, 5.776 non-voyants et 1.843 sourds-muets. Cette allocation s’inscrit dans le cadre des prestations d’aide sociale servies en espèces qui visent à assurer un revenu à cette catégorie sans ressources. Aussi, 9.385 bénéficient d’une allocation de 3.000 dinars, alors que près de 29.000 bénéficient d’une couverture sociale (la carte Chifa) et 1.600 ont des cartes de gratuité du tramway et 985 ont bénéficié cette année de la carte du transport ETO.
Notons aussi que la loi de 2002 a beau prévoir un quota d’emplois réservés aux handicapés (1% dans chaque organisation), personne ne le respecte. «Dans ce contexte, de nouvelles mesures seront prises dans le cadre de l’application de cette loi et des sanctions sont aussi prévues contre les entreprises qui refusent l’application de cette loi», a tenu à souligner Mme Doukara.
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Rachid Boutlelis
A cinq mois de l’entame de la saison estivale, la cruelle désuétude dans laquelle végètent les plages de la contrée d’Aïn El Turck et le peu de ce qui reste de leur accès, qui se trouve dans un piteux état, augure à priori une énième situation de déliquescence fétide, similaire à la précédente année. En effet, selon le constat établi sur le terrain, aucune opération qui mérite d’être signalée n’a été entreprise pour tenter d’améliorer quelque peu le cadre de séjour pour les millions de vacanciers attendus cet été. La dernière saison estivale a laissé un goût acerbe, enfanté par une panoplie de couacs, qui aurait en principe dû servir de leçon et susciter une réaction pour tenter d’éradiquer un tant soit peu le lot varié de contraintes et autres désagréments qui ont lamentablement gâché le séjour d’agrément à des dizaines de familles, venues l’été dernier de toutes les régions du pays et même de l’étranger, pour déstresser et profiter des plaisirs que procure la mer.En effet, le sordide qui gravite essentiellement autour de l’insalubrité repoussante des plages a figuré en pole position dans l’éventail de désagréments, qui a provoqué un tollé de mécontentement chez les vacanciers. La dernière déliquescence estivale a été vivement dénoncée par la majorité des estivants, dont certains ont juré de choisir une autre destination pour leurs prochaines vacances. «Non seulement le cadre de séjour ne s’y prête désormais nullement, mais encore les prestations de service en termes d’hébergement et de restauration laissent beaucoup à désirer. Il reste énormément à faire dans cette contrée pour prétendre être en mesure de promouvoir le secteur du tourisme et pourtant, comble de l’ironie, ce n’est pas les potentialités qui manquent », a fait remarquer un ancien habitant de la localité de Bouiseville avant de renchérir avec une pointe de dépit « la bidonvilisation des plages de cette partie de la wilaya d’Oran va crescendo au fil des jours et ce, au vu et au su de tout un chacun. Presque toutes les plages de cette prestigieuse côte ont été lamentablement défigurées par les hideuses masures construites illicitement avec du parpaing et de la tôle ondulée à quelques mètres du rivage».
Toujours selon le même constat, effectivement, de St Roch jusqu’à Bousfer Plage aucune plage n’a été épargnée par cette transgression qui ne semble plus susciter de réaction chez les responsables concernés au point de devenir une activité commerciale lucrative, comme tant d’autres, gérée par des réseaux bien organisés qui vantent le bénéfice de la complaisance.
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