Au moment où les souscripteurs au gigantesque programme de l’Aadl commençaient à s’impatienter, quant au retard de réalisation des logements, le ministère de l’Habitat a donné un «signe positif» à ces derniers, en affirmant que 285 000 unités de logements, sous cette formule, sont en cours de réalisation à l’Échelle nationale.
S’exprimant lors d’une réunion avec des représentants des souscripteurs des deux programmes AADL, le ministre du secteur, Abdelwahid Temmar, a précisé que «malgré les contraintes financières, le gouvernement livrera l’ensemble des logements aux souscripteurs ». Pour assurer ces derniers, le premier responsable du secteur du Logement, a indiqué que « 285 000 unités de logements AADL étaient en voie d’achèvement, tandis que 110 00 unités ont été d’ores et déjà livrées». Le ministre a tenu à rappeler que «cette formule avait été relancée depuis 2013 avec plus de 470 000 logements».
Pour concrétiser l’ensemble des projets sur le terrain, le ministre a, en outre, précisé que « tous les moyens financiers ont été mobilisés pour livrer les logements aux citoyens ». Ainsi, il a fait savoir que l’état a mobilisé 2465 milliards de dinars, soit 24 milliards de dollars. En ce qui concerne les projets qui ne sont pas encore lancés, Temmar a fait savoir que «73 000 logements seront lancés prochainement».
Toujours en ce qui concerne l’AADL, qui reste la formule la plus convoitée par les Algériens, parce qu’elle est destinée à la classe moyenne, le ministre a fait savoir que « 90 000 nouveaux logements, selon cette formule, sont prévus pour 2019, dont le montant alloué à leur réalisation est de l’ordre de 462 milliards de DA ». En ce qui concerne la part des personnes aux besoins spécifiques de ces logements, le ministre a affirmé qu’il a instruit les responsables de son secteur à réserver les logements situés aux premiers étages à cette catégorie. Sur un autre sillage, le ministre a souligné l’importance des rencontres avec les associations et représentants des souscripteurs, qui ont permis, selon ses dires, de «poser l’ensemble des préoccupations et de faire connaître les procédures administratives et juridiques à suivre». Autrement, il a assuré qu’il s’est penché sur l’ensemble des préoccupations soulevées en 2018.
En ce qui concerne la question du foncier, le ministre a indiqué que son département œuvre à trouver les solutions adéquates à ce sujet en dégageant les assiettes nécessaires au niveau de toutes les wilayas.
Plus de 54 000 recours introduits par les souscripteurs AADL 2013
Le ministre a, par ailleurs, révélé que le nombre de recours déposés par les souscripteurs dans le cadre du programme AADL 2, lancé en 2013, est de l’ordre de 54 000. «Sur les 54 460 recours introduits par les souscripteurs au titre de cette formule,18 226 recours sont acceptés par la Commission mise en place par le ministère, 3 276 recours acceptés sous réserve, tandis que plus de 15 000 sont en cours d’étude», a déclaré le ministre en précisant que «l’achèvement de l’étude de ces recours est prévu au premier trimestre de l’année prochaine».
Pour sa part, le directeur général de L’Agence nationale d’amélioration et de développement du logement (AADL), Saïd Rouba a assuré que «l’État algérien n’abandonnera pas la réalisation des projets AADL», affirmant que ses services suivent l’état d’avancement des projets en temps réel au niveau de toutes les wilayas. En revanche, le premier responsable de l’Agence a précisé, au sujet du paiement des charges, que « tous les frais imposés aux abonnés et aux propriétaires d’appartements ont été fixés de manière réfléchie ». Pour rappel, les bénéficiaires avaient refusé de payer les factures de loyer pour pousser le gouvernement à revoir le montant des charges qui est jugé aberrant et injustifié.
Lamia Boufasa
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Pour l’Association El-Aman pour la protection du consommateur que préside Menouar Hacène, les crises sanitaires qui surgissent d’une manière récurrente, dont les dernières en date, celles d’« Amila et Texena » et peu avant la vente de café au taux élevé de sucre et/ou autres additifs néfastes pour la santé publique, doivent servir « d’enseignements» afin d’améliorer la réponse à la prise en charge efficiente de ces problématiques, notamment en matière de prévention, d’alerte et de traitement de ce type de situation.
Des problèmes «sérieux», car, pour notre invité, hier, au forum du Courrier d’Algérie, ils portent atteinte à la sécurité de la santé du consommateur, le citoyen, et donc à la sécurité de la santé publique, dans notre pays et partant à la sécurité nationale.
Axant le travail et l’ action de l’association, El-Aman, dans la sensibilisation des consommateurs, au regard des bouleversements survenus dans le mode de consommation du citoyen lambda, le président d’El Aman vise, à voir, à moyen et long terme «le consommateur algérien avec la culture de la consommation, qui lui garantira la bonne santé outre ne pas être «la victime» des produits commercialisés sur les étalages de marchés, formel ou informel, porteurs de risques minimes ou majeurs sur sa santé. Pour notre invité, il faut que le consommateur puisse enfin arriver, dans sa vie quotidienne, «à sanctionner lui-même toute anormalité sur le marché», notamment en adoptant un comportement plus responsable et modéré, face à tout produit, «en prenant la peine de lire les étiquettes» et de «s’abstenir d’acheter les produits dans les espaces du marché noir, à cause de leur bas prix» alors que nous assistons, à ce qu’il qualifie de «crises sanitaires», concernant les derniers scandales de certaines marques de café qui recourent à des additifs néfastes sur la santé publique comme les pois, l’orge ou tout bonnement des haricots ou du blé, à l’affaire de la poudre de jus «Amila» et plus récemment, le lot 310 de l’eau minérale Texena produit, en date du 6 décembre dernier, selon la note des services concernés. Le premier responsable d’El-Aman averti sur les produits de consommation qui, «en silence et loin des projecteurs, « portent atteinte à notre santé, à moyen et à long terme».
Plus explicite, il met en avant les produits qui, soit après «un usage intense» ou «sans respect des normes, des dosages et des règles» nous affectent, non pas dans l’immédiat, mais des années plus tard, pour ne citer que le cancer, le diabète, la tension artérielle, etc… Pour le président de l’Association El-Aman qui, tout au long de son intervention et ses réponses aux questions des médias présents, a mis en avant l’impact néfaste sur la prévention et la protection du consommateur, «de l’absence de système d’alerte des pouvoirs publics» au niveau national outre, ajoute-t-il, de «l’absence de laboratoires équipés de matériels fonctionnels et selon les normes» en la matière. Il invite «le consommateur à faire attention à sa santé, en faisant attention à ce qu’il achète».
Qu’il s’agisse, cite-t-il, de l’achat d’une voiture, d’un pot de yaourt, d’un jouet, ou d’un produit cosmétique, «la vigilance est de mise», a-t-il insisté, aux regards des carences existantes en matière de contrôle des services concernés; notamment dans un pays très vaste, comme le nôtre, outre le non-respect de certains producteurs de la législation en vigueur et l’absence, à ce jour, , souligne-t-il «de lois régissant la publicité », qui, affirme-t-il, «est dans la majorité des cas mensongère.» La culture du gain facile et rapide, dans notre société a pris tellement une ampleur alarmante, piétinant toute autre considération, dont le respect du consommateur et les règles de la concurrence et aussi l’impact de la persistance du marché informel, qui porte atteinte, non seulement à l’économie du pays , mais à la santé publique, car il échappe au contrôle de l’Etat, «la santé du consommateur est mise à rude épreuve.»
Concernant l’ouverture d’enquête ou analyse, par les services concernés, pour déterminer le vrai du faux, de tout produit susceptible de porter atteinte à la santé du consommateur et à la santé publique, notre invité déplore «l’absence d’annonce de résultats», laissant le consommateur dans le doute, et privant le producteur de ses droits, notamment si son produit a été ciblé, sur fond de jeux d’influences, de pressions de lobbies d’intérêts entre concurrents activant dans le même secteur. Pour notre interlocuteur, l’absence de communication, d’information et d’anticipation conforte la culture des rumeurs et de la prise de panique, auprès des consommateurs, notamment quand il s’agit de produits de large consommation qui sont au centre des rumeurs, appelant les responsables du secteur, en premier lieu celui du Commerce et de la Santé, à être à la hauteur des missions qui leurs sont assignées, notamment, la prévention, la protection et la préservation de la santé du consommateur, le citoyen.
Karima Bennour
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Lorsqu’il y a menace sur la santé publique à travers un produit alimentaire soupçonné de contenir une substance dangereuse à la consommation, et selon l’urgence du cas, la règle voudrait que les autorités publiques réagissent en premier, avec célérité, à une alerte qui conviendrait à être lancée par la société civile en général, et consumériste en particulier.
Or, les derniers scandales liés à la qualité douteuse de certains produits, à tort ou à raison, à l’exemple du jus de marque «Amila», l’eau minérale «Texenna» ou encore les marques de café non conformes aux normes de santé, laissent croire que la crise de l’épidémie de choléra n’a pas servi de leçon aux autorités. La communication publique et la gestion des calamités laissent toujours à désirer au moment même où le consommateur algérien est proie à la globalisation du marché et le lot de produits charriés avec. Et, où, «les contrecoups sont beaucoup plus forts que les consommateurs», pour reprendre l’expression de Hacène Menouar, président de l’Association «El Aman» pour la Protection des consommateurs, invité du Forum du Courrier d’Algérie, dans son édition d’hier. Le souci sanitaire est-il à ce point relégué au second, voire au troisième degré des préoccupations ? Pour cet acteur consumériste en tout cas, beaucoup reste à faire en Algérie, où l’on plaide, en vain semble-t-il, la création d’un réseau national d’alerte en charge des questions sanitaires et alimentaires. A un moment donné, le projet commençait à prendre forme avant qu’il ne tombe à l’eau en raison du changement de têtes au ministère du Commerce.
«Une bonne leçon pour les producteurs»
Le problème est beaucoup plus important que pouvait bien le faire croire les réactions d’urgence face, par exemple, aux scandales récemment enregistrés. Ainsi, Menouar va au-delà, puisque les analyses de laboratoire annoncées par les autorités n’ont pas encore abouti pour dire que ces produits sont dangereux ou ne le sont pas sur la santé. «La vigilance doit être de mise. Au sein de notre association, nous avons pris le sujet avec prudence. Car rien n’est encore prouvé. Mais nous avons suggéré au consommateur algérien de surseoir à la consommation des produits douteux avant les résultats de l’enquête», fait savoir l’orateur. Bien au-delà, Menouar renvoie surtout aux conséquences de la mauvaise alimentation pour ne citer que les 50 000 nouveaux cas de cancers/an ou encore les 5 millions de diabétiques parmi la population algérienne.
Pour une menace c’en est véritablement une et représente même «une crise sanitaire», estime notre invité, qui plaide la création d’un réseau d’alerte, impliquant les autorités du Commerce et de la Santé, à tous les niveaux de responsabilité, les acteurs de la société civile ainsi que le monde consumériste. «La création d’un réseau d’alerte est impérative car nous avons un grand pays. On a 48 wilayas et chaque wilaya dispose d’un service de commerce et de santé, des inspections dans les daïra et 9000 agents de contrôle sur le territoire national», rappelle celui qui a connu des années de clandestinité, avant de se structurer, de fonder une association, d’en créer encore d’autres, le tout pour la cause consumériste. L’assise existe, il suffirait donc de mettre en place un dispositif concerté pour faire actionner, avec célérité et efficacité, ces acteurs et les faire impliquer dans une démarche coordonnée.
Faute de quoi, les faits, lorsqu’ils ne sont pas passés sous-silence, ils sont grossis de leur vraie proportion, alors que chacune des parties, pouvoirs publics et société consumériste à travers sa soixantaine d’associations, réagit à sa manière, sur la base de l’information qui lui parvienne, laquelle peut-être fiable comme elle pourrait ne pas l’être. Et la tâche ne sera que compliquée à l’ère notamment des réseaux sociaux et des nouvelles technologies où il serait difficile de déceler le vrai du faux. Ainsi va la gestion publique des derniers scandales inhérents à la poudre de jus de marque «Amila» et l’eau minérale «Texenna». Pour ce dernier cas cité, Menouar salue le rôle joué par le bureau d’hygiène de la commune de Jijel, qui, après le doute sur l’eau de cette marque, a instruit la population locale à surseoir à consommer ce produit.
«Où est le secteur de la Santé face à ces scandales ?»
Mais, faut-il encore attendre les conclusions des enquêtes et les analyses de laboratoire, pour le cas aussi du produit «Amila», pour confirmer le soupçon ou l’infirmer. Ce qui n’arrive jamais, si non rarement, déplore l’acteur consumériste, qui évoque le non aboutissement des enquêtes, et l’absence des suites que devraient donner les autorités dans ce genre d’affaires. Dans ce cas, le citoyen ne sait quoi faire : boycotter ces produits ? Pour combien de temps encore ? Ces produits représentent-il réellement un danger pour la santé ? Sur quelle base peut-on le confirmer ? C’est à toutes ces questions que le consommateur, laissé dans le doute et l’incertitude, attend des réponses qu’il ne voit toujours pas venir. «Ou est le secteur de la Santé face à ces scandales ? Il n’y avait aucune réaction, aucune communication de la part de ses responsables. Je ne comprends pas ce silence.
Et pourtant, il y a en son sein un département qui s’occupe de la Prévention. Et dire que prévenir est mieux que guérir. Il s’agit aussi d’une menace sur la santé publique», regrette Menouar non sans revenir pour cibler le département du Commerce. Pour lui, au lieu de verser dans ce qu’il appelle «des déclarations et ou décisions populistes» allusion à la fermeture des usines à l’origine de ces produits douteux, il faudrait traiter d’abord un problème attentatoire à la santé publique. C’est-à-dire, «il faut qu’il y ait une réaction rapide. Procéder à des contrôles au niveau de l’unité de production d’où sort le produit en question, prélever des échantillons, les analyser au laboratoire, mais surtout, donner après les résultats de l’examen. À ce moment là, on peut affirmer que le produit constitue ou ne le constitue pas sur la santé du consommateur. La santé du consommateur incombe aux pouvoirs publics et non pas aux associations consuméristes qui ont un rôle de lanceurs d’alertes et de sensibilisation», explique le président de l’Association «El Aman».
«À défaut de contrôle de labo, le consommateur doit s’autocontrôler»
Toujours dans le domaine de l’analyse, Menouar évoque le problème de manque de moyens matériels et humains dans les 12 grands laboratoires publics alors que les équipements ne sont mis à jour.
Du coup il y a un souci d’analyse et d’examen des produits, non pas seulement pour les articles alimentaires, mais aussi concernant les produits industriels (sécurité des voitures). «On est trop en retard sur le contrôle laboratoire. Il y a un grand défaut d’analyse. Ça nous est arrivé de ne pouvoir tester la qualité d’un produit par faute de ces moyens. Nous nous sommes même adressés à des laboratoires étrangers», a-t-il révélé comme pour évoquer une limitation, dans ce cas là, de l’action des associations consuméristes.
Quoi faire dès lors que c’est le cas ? À cette question, Menouar dit recourir à la sensibilisation pour prévenir la menace sur la santé. En d’autres termes, «la consommateur se doit de contrôler ce qu’il consomme. Il faut qu’il s’imprègne de cette culture. Or, il n’y pas longtemps qu’on procède au contrôle de la date de péremption. C’est une réalité. Aujourd’hui les marchés du pays sont inondés de toutes sortes de produits.
On filtre l’importation mais la pratique du cabas (importation informelle) est toujours là et on n’arrive même pas à la contrôler», illustre le conférencier, qui renvoie de ses propos au foisonnement des produits. D’ailleurs, pour mieux étayer se propos, il évoque le «Thé Chinois», qui présente un fort taux de toxicité en pesticides. Il a ainsi révélé qu’il a entrepris des démarches avec des partenaires marocains pour pouvoir analyser des échantillons de ce produit.
Mais, où s’adresser pour le cas de l’Algérie ? Face aux défaillances du service public, l’orateur dit s’orienter, de temps à autre, vers des laboratoires privés (au nombre de 140 dans le pays) à l’effet de procéder aux analyses. Mais pour le cas du thé importé de Chine, il semblerait, aussi surprenant que ça peut l’être, que les laboratoires capables de faire analyser ce produit ne sont pas monnaie courante.
Farid Guellil
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L’aventure africaine continue pour trois clubs algériens, le CS Constantine, la JS Saoura et le NA Hussein-Dey, tandis que l’USM Bel-Abbès quitte la compétition par la petite porte, à l’issue des 16es de finale (retour) de la Ligue des champions et Coupe de Confédération de football disputés samedi et dimanche. En Ligue des champions, le CS Constantine s’est imposé, samedi, loin de ses bases, devant son homologue ougandais de Vipers SC sur le score de (2-0), à Kampala. Les Constantinois ont scellé le sort de la partie en seconde période aux réalisations de Djaabout (64e) et Ben Cherifa (70e), envoyant ainsi leur club à la phase de poules de la prestigieuse compétition africaine pour la première fois de son histoire.
Au match aller joué au stade Chahid Hamlaoui à Constantine, les hommes du nouvel entraîneur, le Français Denis Lavagne, se sont contentés du tarif minimum (1-0).
L’autre représentant algérien en C1, la JS Saoura, est revenu avec une qualification historique du Maroc, en dépit de sa défaite sur le score de 1 à 0 devant son homologue de l’IR Tanger, en match disputé dimanche au Grand-stade de Tanger. Après 45 minutes vierge, les locaux ont ouvert le score dès l’entame de la seconde période grâce à El-Ouadi (47′). Le représentant algérien s’est compliqué la tache après l’expulsion de Cherif Bouchiba (76′). Malgré plusieurs tentatives marocaines, les coéquipiers de Yahia Chérif ont tenu tête jusqu’au coup de sifflet final de la partie.
Lors de la manche aller disputée le 15 décembre au stade 20-Août-1955 de Béchar, les protégés de l’entraîneur Nabil Neghiz avaient pris le meilleur sur la formation marocaine (2-0).
Coupe de la Confédération: le NAHD à l’arraché, l’USMBA passe à côté
En Coupe de la Confédération, le NA Hussein-dey s’est qualifié pour les seizièmes de finale « bis » dans la douleur, après sa victoire à l’arraché, samedi soir, au stade 5 juillet (Alger) contre les Zambiens de Green Eagles (2-1), Les visiteurs ont surpris les Algérois dès la troisième minute sur un but de Mulengua, mais Gasmi a rendu les pendules à l’heure sur penalty à la 36e minute. Alors que la rencontre se dirigeait vers un nul qui arrange les visiteurs, Gasmi resurgit et offre aux » Sang et Or » une victoire inespérée dans le temps additionnel (96+6). Au match aller disputé à Lusaka, les deux équipes avaient fait match nul (0-0).
En revanche, l’USM Bel-Abbès est passé à côté de son match retour en s’inclinant devant les Nigérians d’Enugu Rangers sur le score de 2 à 0, dimanche au stade Nnamdi-Azikiwe d’Enugu .
Les locaux ont plié le match en première mi-temps grâce à un doublé de Bright Silas (6′ et 45′+1).
Une élimination sans surprise pour le club algérien qui a raté l’occasion de prendre l’avantage lors de la manche aller en se contentant d’un match nul (0-0). Le tirage au sort de la phase de poules aura lieu le 28 décembre au Caire.
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Trente-six athlètes, (18 messieurs et 18 dames) représenteront l’Algérie aux prochains Championnats arabes de Cross-country (toutes catégories), prévu le 5 janvier 2019 à Amman (Jordanie), a appris l’APS dimanche auprès de la Fédération algérienne d’athlétisme (FAA).
Chez les seniors, cinq des six candidats retenus par la Direction technique nationale sont membres de la sélection nationale militaire (CREPSM), en l’occurrence : Bourouina Kheireddine, Laâmèche El Hadi, Hadjlaoui Hamza, Khaouas Rabah et Zengli Mansour, alors que le sixième représentant, Yousfi Hamza est sociétaire du CSF Sétif. Chez les dames, la DTN a essentiellement privilégié les athlètes de Bordj Bou-Arréridj et de l’AS Protection civile d’Alger, considérées comme les plus en forme du moment, tout en renforçant le groupe par deux émigrées.
Il s’agit de Bouakila Athina et Bahi Azoum Fatiha, qui évoluent en France, et qui représenteront l’Algérie lors des prochains Championnats arabes des nations aux côtés de Kenza Dahmani et Tinhinane Boumaâza (Bordj Bou Arréridj), ainsi que Riham Sennani et Malika Benderbal de l’AS Protection Civile d’Alger.
Chez les juniors (garçons), la DTN a jeté son dévolu sur Oussama Cherrad (Bordj Bou-Arréridj), Benkrama Mohamed (Batna), Amdani Zakaria (Bordj Bou-Arréridj), Ousser Younès (Tlemcen), Drabli Amine (CREPSM) et Tibouk Fouad (Jijel), alors que chez les juniors (filles), l’Algérie sera représentée par Boudoukha Yasmine (Sétif), Habbache Asma (Bordj Bou-Arréridj), Habbache Khadidja (Bordj Bou Arréridj), Aïb Ahlam (M’Sila), Dahmani Yamina (Chlef) et Bouokba Fatima Zohra (Aïn Defla). Chez les cadets, la Direction technique nationale a retenu Lefilef Aïssa (Jijel), Saâda Mohamed (Chlef), Daoud Abderrahmane (Sétif), Dalaâ Yazid (Chlef), Saâdou Kheireddine (Aïn Defla) et Touati Abdeslam (Chlef), ainsi que Chibah Nawal (Tizi-Ouzou), Rezig Ghania (Chlef), Harizi Mokhtaria (Tissemsilt), Mekki Ismahane (Bordj Bou Arréridj), Hadj-Abdelkader Nouzha (Ind) et Maâmar Hadjira (Chlef).
La DTN a arrêté cette liste samedi, lors d’une réunion qu’elle avait tenu à Béjaïa, juste après le cross de la Soummam, et dont les résultats ont été déterminants dans le choix des représentants nationaux à Amman.
Quoique, la DTN avait pris en compte les résultats des deux précédents cross, disputés à Djelfa et Biskra.
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C’est un véritable exploit que vient de réaliser la JS Saoura. Ce club fondé seulement en 2008, a réussi à valider son billet pour la phase de poules de la Ligue des champions africaine, et ce pour sa deuxième participation dans cette prestigieuse compétition.
C’est la deuxième fois donc en l’espace de deux années que les Canaris du Sud-Ouest du pays prennent part à cette épreuve, après avoir réussi à s’offrir le statut de vice-champion d’Algérie à deux reprises en trois années aussi. Lors de sa première participation, la JSS n’a pas eu la chance de passer le premier tour préliminaire.
Elle avait buté sur les Nigérians d’Unugo Rangers, tombeurs de l’USMBA avant-hier en coupe de la CAF. Les Bécharis ont su justement tirer les enseignements de cette élimination précoce et cela s’est vérifié lors des deux précédents tours de la Ligue des champions.
Et même si tout le monde s’attendait à ce que la mission soit délicate face aux Marocains de l’Ittihad de Tanger, le représentant algérien est parvenu à déjouer tous les pronostics.
À l’arrivée, les protégés de l’entraineur Farid Neghiz, qui ne cesse de gagner des échelons, ont fait sensation en compostant leur billet pour la phase de poules.
Cette qualification va certainement mettre davantage en confiance cette équipe et stimuler également les autres clubs du Sud du pays longtemps marginalisés, à suivre la même voie du succès.
Cependant, les staffs technique et dirigeant de la JSS sont conscients que la phase de poules sera une autre paire de manche. Maintenant que les ambitions du club ont grandi dans cette épreuve puisqu’il aspire à y aller le plus loin possible, l’effectif en place devra être renforcé par de nouveaux joueurs et profiter ainsi du mercao hivernal pour recruter des éléments d’expérience.
Déjà, la direction du club a réussi à s’adjuger les services de l’attaquant Ziri Hamar qui fait son retour au sein du club où il s’était illustré de fort belle manière depuis deux années, et ce qui lui avait valu à l’époque un juteux transfert vers l’USMA.
Hakum S.
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Au total, 6156 placements en mode classique ont été effectués durant les onze premiers mois de l’année 2018 à Aïn Defla dont 219 ont trait au secteur agricole, a indiqué mercredi le directeur de l’antenne locale de l’Agence nationale de l’Emploi (Anem).
«Au total, 6156 placements en mode classique ont été effectués de janvier à fin novembre 2018 dans la wilaya de Aïn Defla dont 219 seulement ont trait au secteur agricole, soit 3,56 % des placements effectués», a précisé Ahcène Hifri au cours d’une journée de sensibilisation portant sur «la relation de travail dans le secteur agricole». Les secteurs sur lesquels les jeunes ont le plus jeté leur dévolu sont ceux du BTP (51,23 % des placements effectués), les services (24,79 %) et l’industrie (20,42 %), a souligné M.Hifri, observant que le bilan du secteur agricole en matière de placements contraste avec la vocation agricole de la wilaya.
Pour le même responsable, la pénibilité liée au travail agricole explique, en grande partie, la désaffection pour ce secteur d’activité, soutenant que nombre de personnes activant dans le secteur agricole ne sont pas passées par les créneaux officiels de l’emploi. «Certains personnes travaillent certes dans le secteur agricole mais ne sont pas recensées par nos services car elles refusent d’être assurées afin de bénéficier des avantages octroyés par les dispositifs de la Cnac et l’Ansej lesquels leur exigent de ne pas avoir une couverture sociale», signale-t-il. Il a revelé que durant la période considérée, 28193 demandeurs d’emploi ont été recensés par l’antenne de l’Anem de Aïn Defla, soutenant qu’à lui seul, le secteur de l’agriculture est à même de réduire ce chiffre au regard des opportunités d’emploi qu’il offre.
Revenant au bilan de son organisme durant les onze premiers mois de l’année 2018, il a indiqué qu’aux 6156 placements classiques effectués sont venus s’ajouter 1050 dans le cadre du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP) et 859 autres inhérents au contrat de travail aidé (CTA), faisant état d’une hausse de 16 % de placements effectués par rapport à 2017. Pour sa part, le président de la Chambre de l’agriculture de Aïn Defla, Hadj Djaâlali, a noté qu’au regard des spécificités du secteur agricole, la révision de certaines lois le régissant s’avère «inéluctable», mettant l’accent sur le rôle que le secteur agrciole est appelé à jouer dans le domine de la sécurité alimentaire du pays. «L’agriculteur est victime des aléas du marché dans la mesure où il est perdant si les prix baissent à cause d’une production abondante au moment où il est pointé du doigt si les prix flambent à cause d’une faiblesse de l’offre sur le marché», observe-t-il.
Diverses communications ont été présentées au cours de cette rencontre consacrée au relations de travail dans le secteur agricole organisée par l’inspection de travail et la Direction des services agricoles (DSA ) de Aïn Defla au niveau de la bibliothèque principale de lecture publique.
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Grâce notamment au premier but en Championnat de Sofiane Feghouli, la formation de Galatasaray a mis fin à une série de quatre matches sans victoire en Süper Lig en dominant Sivasspor (4-2), ce dimanche à Istanbul à l’occasion de la 17e journée.
Devenu une des pièces maitresses sur l’échiquier du coach Fatih Terim, l’international algérien a inscrit le but de 2-1 à la demi-heure de jeu d’une frappe croisée à ras de terre sur une passe du Sénglais Badou N’Diaye. Les autres réalisations des Sang et Or ont été inscrit par Derdiyok (20′, s.p.), Onuekuru (51′ et 69′). De son côté, l’ancienne star du Real Madrid, Robinho inscrira un doublé pour Sivasspor (9′ et 41′).
Ce succès permet à Galatasaray de terminer la phase aller à la 5e place au classement avec le même nombre de points que Trabzonspor qui occupe la place de dauphin, mais avec six unités de retard sur le leader Istanbul Basaksehir.
Parti pour rester cet hiver
Par ailleurs, la formation stambouliote aurait abandonné l’idée de se passer des services de Feghouli, auteur de prestations convaincantes lors des dernières rencontres, croit savoir la presse locale. Annoncé sur le départ cet hiver, Feghouli a réussi à faire changer d’avis ses dirigeants et son entraîneur Fatih Terim. Après un début de saison laborieux où il était souvent mis sur le banc des remplaçants, l’ancien joueur du FC Valence (Espagne) a retrouvé ses sensations, prenant part jusque-là à 16 matchs, toutes compétitions confondues (1 but).
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Plus de 1 600 familles résidant dans le site précaire de Sidi-El-Bachir, dans la commune de Bir El-Djir (wilaya d’Oran), ont été relogées dimanche dans de nouvelles habitations.
Le wali d’Oran, Mouloud Chérifi, a présidé l’opération de relogement de ces familles occupant des espaces précaires enlaidissant la capitale de l’ouest du pays. «L’opération s’inscrit dans le cadre de la concrétisation du programme du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, visant la résorption des points noirs des différentes wilayas du pays», a souligné le wali. 2.000 agents de différentes communes de la wilaya, plus de 600 camions et 40 engins de démolition des habitations précaires, ont été mobilisés pour assurer toutes les conditions nécessaires au bon déroulement de l’opération.
Cette dernière a permis la récupération d’une assiette foncière de 22 ha, qui sera exploitée pour la réalisation de 2.000 logements publics locatifs, dont a bénéficié la wilaya l’année en cours, a indiqué Mouloud Chérifi, dans une déclaration à la presse. La wilaya a bénéficié depuis 1999 d’un programme d’habitat de plus de 172 000 logements tous programmes confondus dont 92 000 réalisés et le reste en cours de réalisation. Durant l’année 2018, il a été procédé à l’attribution de 16 000 logements de différents programmes.
L’opération s’achèvera les prochains jours avec la distribution de 4.100 logements location/vente (AADL) pour atteindre un nombre global de 20 000 logements distribués. Le responsable a ajouté que la wilaya d’Oran a bénéficié cette année de quotas supplémentaires de logements, dont 2.000 unités de type logements publics locatifs (LPL), 2.500 promotionnels aidés (LPA) et 3.000 de location/vente. S’agissant des recours, le wali a mis l’accent sur l’examen de tous les dossiers en toute transparence. «Tous ceux qui ont le droit de bénéficier d’un logement l’auront», a-t-il assuré.
Pour le programme de l’année 2019, Mouloud Chérifi a fait état de la réception de 20.000 logements toutes formules confondues.La priorité sera donnée aux bénéficiaires de pré-affectations à l’instar des habitants de Hai Sanawber (ex-Planteurs), du site «Batima Taliane» dans la commune d’Oran, les cités Kimo et Kara, dans la commune d’Es-Sénia, Hai Sardina, à Mers Kébir et de Sidi Chahmi. Avec ces futures opérations, il sera procédé progressivement à l’éradication de ces quartiers précaires et à la récupération d’importantes assiettes foncières devant servir à la réalisation de projets d’intérêt public.
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Le foncier industriel de la wilaya de Tizi-Ouzou sera prochainement renforcé par la création de cinq zones d’activité d’une superficie de 127 hectares, a-t-on appris samedi du directeur local de l’Industrie et des Mines (DIM).
Ces cinq nouvelles zones sont localisées dans quatre communes. Deux seront réalisées dans les communes de Timizart, l’une de 39 ha au lieudit Kalitous, et l’autre de 31 ha à Agouni Mhenni. Une autre zone de 301 ha est projetée à Bouzguène sur le site du nouveau pôle d’Ikhlef. A cela s’ajoute deux micro-zones, l’une à Timizart de 15 ha et une autre à Irdjen de 12 ha, a annoncé Moula Hamitouche. Ce responsable a rappelé que, sur instruction du wali Abdelhakim Chater, une prospection des disponibilités foncières réelles des biens privés de l’Etat, a été lancé. Les résultats de cette étude qui seront annoncés «dans les prochains jours», font déjà ressortir un portefeuille foncier de plus de 200 ha qui pourra être mis à la disposition des porteurs de projets, demandeurs de lots de terrains, a-t-il dit.
Lors de la session ordinaire de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) qui s’est tenue les 18 et 19 de ce mois de décembre, ce même responsable a informé les élus que ces 200 ha sont situés sur des localités de la partie Est de la wilaya, plus précisément sur l’axe Ait Chafaâ/ Idjeur/Illoula Oumalou/Bouzguène. Toutefois, a-t-il ajouté, «la création de zones d’activité dans ces localités doit être accompagnée par des opérations de désenclavement de cette région». La création de zones d’activité «permettra de promouvoir toute cette région par la création de richesses et d’emplois et d’asseoir une dynamique de développement local des communes de cette partie Est de la wilaya qui, vu leur enclavement, n’offrent pas de possibilités de développement sur le plan économique», a ajouté M. Hamitouche.
En plus de ces nouvelles zones qui sont en cours de création, le foncier industriel local réparti sur 16 zones d’activité et une zone industrielle totalisant 351,92 ha et 1 231 lots a été renforcé, en 2016, par deux zones d’activité dans les communes de Timizart et Fréha et de deux zones industrielles à Draâ El Mizan/Tizi-Gheniff totalisant 45,69 ha et 24 lots et dont l’enquête parcellaire et la phase d’expropriation sont en cours. Quant au parc industriel, prévu dans la localité de Souamaâ sur un terrain, d’une superficie de 327 ha, un bien de l’Etat selon la wilaya créée en 2012, a été doté d’une enveloppe financière de plus de 9,3 milliards de DA pour étude et réalisation. Il est à l’arrêt suite à une opposition «farouche» de riverains qui réclament la propriété du terrain et qui se sont regroupés en association pour défendre leurs »droits de préemption » sur l’assiette réservé à ce projet, a-t-on indiqué.
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L’importance d’encourager l’investissement des jeunes dans l’apiculture saharienne a été mise en avant lors d’une session de formation sur la pratique de cette filière agricole, organisée dimanche dans la wilaya déléguée de Touggourt (160 km au Nord d’Ouargla).
L’encouragement de l’investissement des jeunes pour monter des microentreprises spécialisées dans l’apiculture saharienne par le biais des dispositifs de soutien mis en place par l’Etat s’avère «indispensable» pour l’accroissement de la production, en créant de nouvelles opportunités de travail, ont souligné des intervenants, dont des spécialistes et apiculteurs locaux, au terme des travaux de cette session de formation à laquelle ont pris part une quarantaine de participants, notamment des jeunes agriculteurs venus de différentes wilayas. Initiée par l’association d’apiculture et d’aquaculture de la wilaya d’Ouargla, cette session de formation qu’a abritée, durant trois jours (21-23 décembre) le Centre de formation et de vulgarisation agricole (CFVA) de Sidi-Mahdi (commune de Nezla), a pour mission d’inculquer le savoir-faire en la matière en assurant aux jeunes, désireux d’investir, les connaissances scientifiques et l’accompagnement technique nécessaires pour lancer leurs projets dans cette filière prometteuse, a-t-on souligné.
Elle s’est articulée, notamment, autour de l’amélioration des connaissances fondamentales de l’apiculture en milieu saharien, la prise en charge des ruches, la valorisation des produits de la ruche et la lutte contre les dangers sanitaires des abeilles, à indiqué le président de l’association d’apiculture et d’aquaculture, Chaker Medakane. Les avantages de l’assurance agricole pour maintenir l’investissement dans le domaine agricole figurent aussi parmi les thèmes de cette session organisée avec le concours de la Caisse régionale de mutualité agricole (CRMA), a-t-il ajouté. Le président de l’association, fraîchement élu à la tête du Conseil interprofessionnel de la filière apicole de la wilaya d’Ouargla, a indiqué que «la pratique de cette filière n’a pas cessé de s’intensifier d’une année à l’autre à travers la wilaya, malgré les contraintes édapho-climatiques du milieu saharien».
Totalisant, actuellement, une vingtaine d’apiculteurs, dont des femmes, la wilaya d’Ouargla a enregistré, ces dernières années, des résultats jugés «encourageants» en matière de production de miel, tels que le miel du Jujubier (sidr) et le miel de Lebina, a-t-il fait savoir. Au moins 1 887 agriculteurs ont été formés par le CFVA, de 2008 à 2018, selon les statistiques de cet établissement. Issus de cinq (5) wilayas du Sud-Est du pays (Ouargla, Biskra, El-Oued, Illizi et Ghardaïa), ces agriculteurs, dont des porteurs de projets désireux de s’investir dans le domaine agricole, ont bénéficié, d’une formation spécialisée notamment dans la phœniciculture, la céréaliculture, l’oléiculture, le maraîchage, la serriculture, l’arboriculture, l’apiculture et l’élevage de bétail, selon la même source. Encadrée par un staff pédagogique spécialisé, cette formation (théorique et pratique) a permis aux stagiaires d’obtenir un savoir-faire et d’améliorer leurs aptitudes et connaissances scientifiques nécessaires pour développer leurs projets, a-t-on indiqué.
Durant la même période, pas moins de 3.702 autres agriculteurs des wilayas précitées ont été ciblés par le Programme de renforcement des capacités humaines et d’assistance technique (PRCHAT), a-t-on fait savoir, signalant que ce programme, initié par le ministère de tutelle, assure des formations spécifiques et adaptées à différents types d’intervenants. En collaboration avec plusieurs acteurs, le CFVA organise périodiquement des journées et des initiatives de formation, de sensibilisation, d’orientation et de vulgarisation en direction des agriculteurs sur l’organisation des exploitations agricoles, l’énergie solaire, la gestion de l’eau destinée à l’irrigation agricole, y compris les systèmes économiseurs d’eau, ainsi que sur les techniques de lutte contre les ravageurs du palmier dattier, l’aquaculture intégrée à l’agriculture et autres.
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Le Pentagone a annoncé dimanche la signature de l’ordre de retrait des troupes américaines de Syrie peu après un entretien entre Donald Trump et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ayant notamment porté sur la mise en oeuvre de cette décision.
Le président américain veut que ce départ des quelque 2.000 militaires que son pays a dépêchés sur le territoire syrien soit «lent et extrêmement coordonné» avec la Turquie afin d’éviter un vide dans les régions contrôlées par les rebelles kurdes qui pourrait bénéficier au régime de Bachar al-Assad. «Le décret pour la Syrie a été signé», a déclaré un porte-parole du Pentagone sans fournir davantage de détails. Et ce quelques jours après que Donald Trump a ordonné, mercredi, le retrait des forces américaines qui luttent dans le nord-est de la Syrie contre les jihadistes aux côtés des Forces démocratiques syriennes (FDS), une coalition de milices arabo-kurdes. Le président, opposant de longue date à la participation des Etats-Unis à un conflit jugé coûteux, a estimé que les soldats américains n’y étaient plus utiles car le groupe Etat islamique (EI) était «en grande partie vaincu». Mais ce départ va laisser la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG) sans soutien militaire au moment même où la Turquie menace de l’attaquer, considérant les combattants kurdes comme des terroristes.
Sur Twitter, M. Trump a souligné avoir eu «une conversation téléphonique longue et productive» avec Recep Tayyip Erdogan. Il a dit avoir évoqué avec lui «l’EI, notre engagement mutuel en Syrie et le retrait lent et extrêmement coordonné des troupes américaines de la région» ainsi que des relations commerciales «considérablement accrues». «Le président Erdogan de Turquie m’a donné des assurances dans des termes très forts» quant au fait qu’il allait «éradiquer ce qui reste de l’EI en Syrie», a encore tweeté M. Trump. «Nos troupes rentrent à la maison !», a-t-il ajouté, jugeant que son homologue était capable de tenir cet engagement. «Les deux dirigeants ont convenu d’assurer la coordination entre les militaires, les diplomates et d’autres responsables de leurs pays pour éviter un vide de pouvoir qui pourrait résulter d’une exploitation du retrait (américain, ndlr) et de la phase de transition en Syrie», a quant à elle déclaré la présidence turque dans un communiqué. M. Erdogan a également affirmé que son pays était «prêt à fournir un soutien à notre allié de l’Otan dans le cadre de cette décision» de retrait.
«Epaule contre épaule»
D’après le Washington Post citant des sources à Maison Blanche, les conseillers de Donald Trump ont persuadé ce dernier de retirer plus lentement qu’il ne l’aurait voulu les troupes américaines, afin que leur sécurité ne soit pas menacée. Soumises à de fortes tensions notamment en raison du soutien de Washington aux Kurdes, les relations entre la Turquie et les Etats-Unis -deux alliés au sein de l’Otan- se sont nettement détendues depuis la libération en octobre d’un pasteur américain détenu pendant un an et demi. Le chef de l’»armée nationale», une coalition de factions opposées au régime syrien et alliées à la Turquie dans le Nord syrien, avait auparavant appelé les Américains à s’assurer que le départ de leurs soldats ne débouche pas sur un retour du régime de Bachar al-Assad dans les zones encore aux mains des Kurdes.
Selon Nasr al-Hariri, ce vide pourrait notamment pousser les Kurdes à se rapprocher du pouvoir syrien pour se prémunir d’une offensive turque et tenter de préserver une relative autonomie. La Turquie redoute de voir s’instaurer un embryon d’Etat kurde à ses portes qui renforcerait les velléités séparatistes de la minorité kurde sur son propre territoire. M. Erdogan a promis samedi d’éliminer les jihadistes et les milices kurdes du nord-est de la Syrie et, selon une ONG syrienne, Ankara a envoyé des renforts militaires dans la région. Les FDS ont, pour leur part, menacé de suspendre la lutte contre l’EI pour défendre leur territoire et de libérer les centaines de jihadistes étrangers faits prisonniers. Si son «califat» autoproclamé en 2014 s’est désagrégé face à de multiples offensives, cette organisation jihadiste conserve quelques réduits et demeure capable de commettre des attentats meurtriers. La décision du président américain a provoqué un choc aux Etats-Unis. Elle a entraîné les démissions du ministre de la Défense Jim Mattis et de l’émissaire américain pour la coalition internationale antijihadiste, Brett McGurk, qui étaient opposés au retrait américain.
Donald Trump a nommé dimanche l’actuel ministre adjoint de la Défense Patrick Shanahan pour remplacer dès le 1er janvier M. Mattis, qui devait rester à son poste jusqu’à fin février. Le retrait a également semé le trouble parmi les pays alliés des Etats-Unis. Le président français Emmanuel Macron a ainsi «très profondément» regretté dimanche cette décision, ajoutant qu»’un allié se doit d’être fiable, de se coordonner avec ses autres alliés».»Etre allié, c’est combattre épaule contre épaule», a-t-il souligné.
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La pièce de théâtre «Rabie En ‘Nissae» (Le printemps de femmes), un hymne à la résilience de la femme, aux traits saillants et aux accents déchirants, a été présentée dimanche soir à Alger, dans le cadre du 13e Festival national du théâtre professionnel (Fntp), ouvert samedi. Accueilli au Théâtre national Mahieddine-Bachtarzi, le spectacle, écrit et mis en scène par le duo Moulay Meliani et Mohamed Mourad, a débuté par une scène d’exposition mystique, entre «Adem» et «Hawae», suggérant ainsi, le moment où tout a commencé entre l’homme et la femme.
Dans un décor sombre, Michou, unique comédienne dans ce spectacle de 80 mn, toute de blanc vêtue, interprète son propre rôle, celui de la femme qui commence alors, à faire face à l’adversité que lui oppose l’homme, qui a tenté d’imposer sa suprématie, dès les premiers instants de son existence. La genèse des rapports, entre les premiers représentants de la race humaine est alors enclenchée pour passer en revue les grands moments de l’histoire qui ont permis à la femme de s’affranchir des jougs des convenances que l’homme a instaurés. Chaque relation construite par Hawae utilisant la séduction, arme redoutable contre l’homme-prédateur, s’avérait fragile et sans fondement solide, car les différents prétendants qui la sollicitaient étaient dans le stratagème et le calcul, Hawae va alors les chasser un par un pour que l’histoire recommence à nouveau.
Les comédiens, Nabil Rahmani, Redouane Boukechabia, Abderrahmane Djemmouaï et Mohamed Cherif Oudini, ont interprété des personnages physiques à l’instar du religieux, du narrateur, de l’ivrogne et des différents prétendants, et d’autres impersonnels et abstraits, tels les voix internes de la femme qui ont aidé le spectateur à anticiper sur les évènements. Dans une scénographie fonctionnelle, minimaliste mais judicieuse, œuvre de El Boukhari Hebbal, de grandes caisses de couleurs sombres, que les comédiens pouvaient déplacer facilement, étaient disposées à l’arrière scène et sur les côtés, formant des estrades utilisées pour incarner le temps, les discours de gloir, etc.
La bande musicale signée Mohamed Zami, faite de pièces illustratives d’une grande synchronisation avec les mouvements et gestes des comédiens, alors que d’autres ont bien couvert les différentes situations liées à la trame, a été concluante, créant les atmosphères nécessaires à chaque tableau. Le spectacle, où le repère spatio-temporel était ouvert sur «le temps» et «nulle part», a mis la barre très haut -sur le plan conceptuel- aux comédiens, qui ont su occuper de manière intelligente, tous les espaces de la scène et porter la densité du texte, entretenant des échanges intenses, au rythme ascendant et soutenu. Conçus au second degré, l’intrigue et le dénouement étant motivés par la désinvolture de la seule femme et son droit à l’émancipation, la talentueuse Michou, véritable centre de «Rabie En’Nissae», a réalisé une grande performance en assument entièrement le spectacle sans quitter la scène la moindre fois.
Le nombreux public présent au spectacle a longtemps applaudi les comédiens qui, de l’avis d’un spectateur, se sont «surpassés dans ce bel hymne à la femme». Le 13e Fntp se poursuit jusqu’au 31 décembre avec dix-sept spectacles.
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Les autorités marocaines pensent que les quatre hommes arrêtés après l’assassinat de deux touristes scandinaves dans le massif de l’Atlas ont agi seuls et sur leur propre initiative, même s’ils ont fait allégeance au groupe Etat islamique, a annoncé dimanche un porte-parole des services du renseignement intérieur et de la sécurité.
Les corps de la Danoise Louisa Vesterager Jespersen, qui était âgée de 24 ans, et de la Norvégienne Maren Ueland, 28 ans, ont été retrouvés lundi dernier près d’Imlil, un village situé à 80 km environ au sud de Marrakech qui sert de base arrière pour l’ascension du Mont Toukbal, le point culminant de l’Afrique du Nord.
Boubker Sabik a déclaré sur la chaîne de télévision publique 2M que les quatre suspects, âgés de 25 à 33 ans, s’étaient rendus dans la région d’Imlil dans le but d’y commettre un crime, mais sans avoir choisi leur cible.
Ils ont prêté allégeance à l’EI et à son chef, Abou-Bakr al Baghdadi, dans une vidéo enregistrée le vendredi précédant la découverte des deux corps mais, a ajouté le porte-parole, ils n’ont pas été en contact préalable avec une organisation étrangère.
«Ce crime n’a pas été coordonné par l’Etat islamique», a poursuivi Sabik.
«Les loups solitaires n’ont pas besoin de la permission de leur chef», a-t-il poursuivi.
Il n’a pas précisé comment les enquêteurs étaient parvenus à ces conclusions. Les quatre sont originaires de la région de Marrakech. Ils vivaient de petits boulots. Un des quatre, a-t-il dit, a été arrêté en 2013 dans le cadre d’un coup de filet lancé contre des individus qui avaient manifesté leur volonté de rejoindre des groupes extrémistes à l’étranger.
C’est lui, a-t-il poursuivi, qui a radicalisé les trois autres.
Il a réfuté les informations selon lesquelles un des suspects était un djihadiste de retour des zones de conflit au Proche-Orient.
Le porte-parole des services du renseignement intérieur et de la sécurité a, par ailleurs, indiqué que sur les 1 669 Marocains ayant rejoint l’EI, 242 avaient été jusqu’à présent arrêtés.
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Le jury du Grand Prix Assia Djebar du roman, décerné pour la quatrième année consécutive, a distingué dimanche à Alger Nahed Boukhalfa, Mhenni Khalifi et Ryad Girod pour leurs œuvres littéraires en langues arabe, amazighe et française.
Les lauréats ont reçu leur prix, assorti d’une récompense financière d’un million de dinars pour chacune des trois langues, lors d’une cérémonie organisée au Centre international des conférences Abdelatif-Rahal, en présence de membres du gouvernement aux côtés de figures de la scène culturelle. Le Prix Assia-Djebar, distinction littéraire du nom de l’écrivaine, historienne et cinéaste algérienne disparue en 2015, a récompensé Nahed Boukhalfa pour sa fiction en Arabe «Sirène, destination d’un homme optimiste» , Mhenni Khalifi pour son roman en tamazight « Imehbal « (Les fous) et Ryad Girod pour «Les yeux de Mansour» (Français) . Paru en 2018 aux éditions El Baghdadi, «Sirène, destination d’un homme optimiste» lève le voile sur des questions de société notamment la condition de la femme et la vie paysanne à travers l’histoire d’un enfant de Tébessa où fut érigée «L’Etoile filante», sculpture en marbre représentant une femme nue allongée sur un socle, actuellement conservée dans un musée.
Cette statue, réalisée par l’artiste français Félix Charpentier en 1897, sur une place publique de l’ancienne Théveste, symbolise «la beauté, la délicatesse et l’effacement de l’identité féminine dans une société rangée par la montée de l’extrémisme religieux», a indiqué la romancière en marge de la cérémonie de remise des prix.
Les lauréats Mhenni Khalifi et Ryad Girod, absents à la cérémonie, ont édité à «Chikh Mohand Oulhoucine» et Barzakh, respectivement. Un total de 66 romans (26 en Arabe, 32 en Français et huit en Tamazight) concourait pour la quatrième édition du Grand Prix Assia-Djebar, qui a vu la participation de manuscrits au contenu «bon», a déclaré la présidente du jury, Aicha Kassoul. Dans son allocution, le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a souligné que le Prix Assia Djebar, qui porte le nom d’une écrivaine et académicienne «attachée à sa patrie et son identité», contribuait à la promotion de la littérature algérienne.
Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, a pour sa part, affirmé que «Assia Dejbar demeure l’une des grandes écrivaines algériennes qui a marqué de son empreinte la littérature de son pays et à l’étranger», appelant à cette occasion, à créer une «fondation éponyme qui aura pour principale mission l’organisation du Prix Assia Djebar». Cofinancé par l’Anep (Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité) et l’Enag, le Grand Prix Assia-Djebar du roman, vise à promouvoir littérature algérienne et (lui) donner une audience internationale.
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La lutte pour la tête du box-office nord-américain entre deux nouveautés n’était pas forcément inégale, mais c’est finalement le super-héros Aquaman qui a remporté la première place devant la nanny pleine de ressources Mary Poppins, selon les chiffres provisoires publiés dimanche par la société spécialisée Exhibitor Relations.
Les studios Warner offrent à Aquaman son premier long-métrage en solo après une apparition notamment dans « Justice League » (2017). Il a rapporté 482,8 millions dans le monde entier, d’après le spécialiste de ComScore Paul Dergarabedian. Le héros incarné par Jason Momoa (le seigneur dothraki Khal Drogo dans « Game of Thrones »), avec Amber Heard et Willem Dafoe, a généré 67,4 millions de dollars entre vendredi et dimanche aux Etats-Unis et au Canada. C’est trois fois plus que « Le retour de Mary Poppins » qui a encaissé 22,2 millions de dollars pour son premier week-end d’exploitation. La célèbre nounou est incarnée par l’actrice britannique Emily Blunt, qui joue aux côtés de Lin-Manuel Miranda et de Ben Whishaw.
Cette suite du film qui avait valu un Oscar à Julie Andrews en 1965 reprend les personnages de Michael et Jane Banks. Les enfants qui avaient été gardés par Mary Poppins sont devenus des adultes. La troisième marche du podium revient aussi à une nouveauté: « Bumblebee », qui donne la vedette à cet autobot issu des aventures « Transformers ». Il a récolté 21 millions de dollars pour son premier week-end. Conséquence: le numéro un du box-office la semaine dernière, « Spider-Man: New Generation », décroche en quatrième position. Le nouvel homme araignée joué par Miles Morales a généré 16,7 millions de dollars. Depuis sa sortie, il a rapporté 64,8 millions. Il devance de nouveau « La Mule », réalisé par Clint Eastwood qui est également devant la caméra. Ce film, qui raconte l’histoire d’un ancien soldat transportant de la drogue pour un cartel mexicain, a gagné 9,3 millions en trois jours et 35 millions en deux semaines.
Voici le reste du Top 10:
6 – « Le Grinch »: 8,2 millions de dollars (253,2 millions en sept semaines)
7 – « Seconde chance »: 6,5 millions de dollars. Sorti vendredi, ce film de Peter Segal réunit Jennifer Lopez, Leah Remini et Vanessa Hudgens.
8 – « Ralph 2.0″: 4,6 millions de dollars (162,1 millions en cinq semaines)
9 – « Bienvenue à Marwen »: 2,4 millions de dollars. Encore une sortie de la semaine, ce film de Robert Zemeckis avec Steve Carell et Leslie Mann revient sur l’histoire réelle d’un homme victime d’une amnésie qui construit la réplique d’un village belge.
10- « Marie Stuart, Reine d’Ecosse »: 2,24 millions de dollars (3,5 millions en trois semaines).
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Khaled Boumediene
Le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (CASNOS), M. Chawki Acheuk, a indiqué dimanche à Tlemcen que «la Casnos est en bonne santé financière, elle est même capable, dans le cadre des lois et règlements en vigueur, de gérer jusqu’à l’horizon 2025 toutes ses prestations en nature et en espèces, et de prendre en charge la protection sociale des catégories professionnelles non-salariées dont font partie, entre autres, les commerçants, les artisans, les industriels, les agriculteurs et membres des professions libérales».Animant un point de presse à l’occasion de la cérémonie d’installation du nouveau directeur de la direction de la Casnos de Tlemcen, M. Chawki Acheuk a soutenu que «la Caisse qui est aujourd’hui au service de plus de 900.000 non-salariés (450.000 en 2014), se porte bien, selon nos études et diagnostics menés pour jauger la santé financière de la Caisse, même si quelques objectifs n’ont pas été encore atteints par la Casnos». «En passant de 35 milliards DA en 2014 à 70 milliards DA en 2017, les recettes ont doublé, ce qui a permis un meilleur équilibre et une aisance financière de la Caisse, qui nous mettront à l’aise à l’avenir, mais cette situation confortable nous oblige quand même à redoubler d’efforts pour étendre l’assiette des cotisants et leur nombre et contribuer à la préservation du système national de sécurité sociale, car un grand nombre de non-salariés ne versent pas leurs cotisations à la Casnos.
Cela dit, la rationalisation des dépenses des médicaments et l’amélioration de la qualité du service figurent toujours parmi nos priorités», a précisé M. Acheuk, soulignant que «la Caisse qui ne comptait, il y a quelques années, que 2,7 cotisants pour un retraité, est passé aujourd’hui à 4,6. Nous sommes dans les normes de 4,5 à 5 cotisants pour un retraité. En outre, l’allocation de retraite peut atteindre aujourd’hui un montant de 20 millions de centimes par mois, elle est passée de sept fois le Smig, il y a quelques années, à quinze fois le Smig aujourd’hui».
Rappelant le déploiement et l’évolution très rapides de la Caisse durant ces dernières années, le directeur général a indiqué que la Casnos est passée de 13 à 49 directions de wilaya (deux à Alger), et en trois ans, près de 136 nouveaux centres ont été ouverts dans le cadre de la mutualisation afin de mieux se rapprocher des assurés et leurs ayants droit, le DG de la Casnos a lancé un appel à tous les non-salariés retardataires pour «se rapprocher de la Caisse avant l’expiration du délai fixé au 31 décembre, afin de régler leurs cotisations et gagner au moins une année de cotisations de plus dans le calcul de leur pension de retraite plus tard et de bénéficier en outre par le biais de leurs recours de la suppression d’au moins 50% de leurs pénalités de retard. Il n’y aura pas d’impôts pour ceux qui ont les moyens de cotiser, car la convention avec les services des impôts permettra de déduire leurs cotisations des charges fiscales auprès des impôts».
Abordant le volet de modernisation des moyens de paiement et d’informatisation, M. Acheuk a indiqué que sa Caisse a mis en place des moyens de paiement innovants (paiement en ligne, paiement par terminal interbancaire, carte interbancaire CIB, etc.), qui rendront le règlement des cotisations plus facile, ainsi que le nouveau service de notification par SMS. Il a aussi fait savoir que le système du tiers payant concocté avec les officines pharmaceutiques et cliniques privées sera prochainement élargi aux médecins privés pour assurer une meilleure prise en charge des retraités, notamment les malades chroniques. A noter que le DG de la Casnos a procédé au siège de la direction de Tlemcen à l’installation de M. Benzemra Sid Ahmed, qui occupait auparavant les fonctions de sous-directeur du recouvrement au niveau de la Casnos d’Aïn Témouchent, et ce en remplacement du directeur de la Casnos de Tlemcen, Sabra Jawed, qui a été muté à Tiaret.The post Tlemcen – Le DG de la Casnos : «La Caisse est en bonne santé financière» appeared first on .
El-Houari Dilmi
Deux abattoirs clandestins ont été démantelés samedi dans la ville de Sougueur, dans la wilaya de Tiaret, apprend-on dans un communiqué de la cellule de communication de la sûreté de wilaya. En effet, agissant sur information, les éléments de la sûreté de daïra de Sougueur ont investi les domiciles de deux individus qui exploitaient des abattoirs clandestins en procédant à l’abattage de volailles au mépris des règles d’hygiène les plus élémentaires.Plus de 200 kilogrammes de viandes blanches et onze kilogrammes d’abats ont été saisis et les deux abattoirs clandestins fermés.
Les deux exploitants arrêtés ont été déférés devant le tribunal de Sougueur où ils ont reçu des citations directes à comparaître prochainement.
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E. H. D.
Quinze individus impliqués dans différents délits ont été arrêtés dans la wilaya de Tiaret durant ces dernières 72 heures. En effet, outre le démantèlement dans un quartier de la ville de Tiaret d’un réseau de prostitution composé de sept personnes dont trois femmes, les éléments de la Gendarmerie nationale ont saisi une quantité de kif et des comprimés psychotropes ainsi que des armes blanches et des téléphones portables.La brigade de gendarmerie de Oued Lilli a également procédé à l’arrestation d’un individu usurpant l’identité d’un capitaine de gendarmerie après avoir été dénoncé par un citoyen, selon un communiqué du groupement territorial parvenu à notre bureau. Les services de la sûreté ont également procédé à l’arrestation de six individus impliqués dans divers délits comme la vente illicite de boissons alcoolisées et détention de comprimés psychotropes à Tiaret, Mahdia, Frenda et Sougueur. Trois parmi eux ont été placés sous mandat de dépôt.
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