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Par décision n°2025-079 en date du 12 juin 2025, l'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a ordonné la suspension de deux responsables des marchés publics de la commune de Tori-Bossito pour faute professionnelle.
Le Secrétaire Exécutif (SE) de la commune de Tori-Bossito a été instruit à l'effet de suspendre : Monsieur Aïnadou D. Desmos, Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP), et Monsieur Johnson Kouékou Robert, Chef de la Cellule de Contrôle des Marchés Publics (CCMP) de la commune de Tori-Bossito.
Des fautes professionnelles graves ont été relevées dans le cadre de la procédure relative à l'Avis à Manifestation d'Intérêt n°2/22/010/C-TB/PRMP/SP-PRMP du 24 juillet 2024 relatif à des missions de faisabilité, de contrôle et de suivi de projets d'infrastructures dans la commune.
L'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a prononcé la décision portant suspension le 12 juin 2025 après audition des mis en cause.
Le groupement BELMAG SARL / INNOV ENGINEERING CONSULTING a saisi l'ARMP après avoir été écarté de plusieurs lots, estimant que les notes qui lui avaient été attribuées étaient non conformes aux critères établis dans l'AMI.
L'ARMP a donné raison au plaignant, notant que l'évaluation s'était fondée sur des interprétations personnelles et erronées, et non sur les critères objectifs définis dans le dossier d'appel.
L'Autorité de Régulation a relevé que la Commission d'ouverture et d'évaluation a agi sur la base de « doutes et de réserves » au lieu de critères formels.
La Cellule de contrôle n'a émis aucune réserve, validant ainsi une procédure pourtant entachée d'irrégularités, selon la décision qui précise que « le défaut de professionnalisme de la PRMP et du Chef de la CCMP de la Commune de Tori-Bossito est établi ».
Par conséquent, l'autorité de régulation demande au Secrétaire Exécutif de la commune de procéder à leur suspension immédiate.
M. M.
L'INTEGRALITE DE LA DECISION DE L'ARMP
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A Adohounsa, une localité de l'arrondissement de Dodji-Bata, dans la commune de Zè, une jeune mère a été arrêtée par la police pour avoir jeté son bébé dans les latrines.
Fait divers à Zè. Dans cette commune du département de l'Atlantique, un nourrisson a été repêché des latrines ce mardi 24 juin 2025 peu avant 20 heures. Selon Le Potentiel, ce sont les cris du bébé qui ont alerté d'autres enfants qui s'étaient rendus aux toilettes pour leurs besoins. Ces derniers informent aussitôt leurs parents qui alertent à leur tour, tout le quartier. La population se mobilise pour sortir le bébé de la fosse. La vie du nourrisson pris en charge à l'hôpital La Croix de Zinvié serait hors danger.
La mère du bébé, jeune apprentie couturière, a été arrêtée. Elle a confié à la police avoir été enceintée par le mari de sa patronne. Ce dernier abuserait sexuellement d'elle tous les samedis, un jour où toutes les autres apprenties de l'atelier sont au repos.
Interpellé, le mari n'a pas nié les faits. Il a avoué avoir eu deux rapports sexuels avec la jeune adolescente. Tous deux sont gardés au commissariat de police, et seront bientôt présentés au Procureur de la République.
F. A. A.
Les résultats de la session de juin 2025 de l'examen du Certificat d'études primaires (CEP) sont connus. Le taux de réussite au plan national est de 89,81%, légèrement en hausse par rapport à celui de 2024, qui était de 89,67 %. Les résultats sont disponibles sur la plateforme e-resultats.bj du gouvernement.
Résultats par département
Atlantique : 89, 63%
Ouémé : 87, 15 %
Zou : 88, 97%
Mono : 87, 88
Atacora : 80, 20 %
Borgou : 95, 18 %
Littoral : 93, 27 %
Plateau : 93, 54 %
Collines : 92, 35 %
Couffo : 90, 49 %
Donga : 95, 20 %
Alibori : 85, 61 %
Une réunion de coordination s’est tenue ce jeudi entre le Bureau national des waqfs et de la zakat et la direction d’Algérie Poste, en vue […]
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Alors que les technologies numériques redéfinissent nos sociétés, l'Afrique doit tracer sa propre voie. Cela commence par la conception locale d'une Infrastructure Publique Numérique (IPN). Les IPN sont des systèmes fondamentaux tels que les paiements numériques responsables, les identifiants numériques et les plateformes de partage de données — des services essentiels comparables à l'eau ou à l'électricité. Grâce à ces outils, les populations peuvent pleinement exercer leurs droits et tirer parti de l'économie numérique, tandis que les services publics gagnent en portée et en efficacité.
Alors que, pour la première fois, l'Afrique prend la présidence du G20 — sous la conduite de l'Afrique du Sud et avec l'Union africaine désormais membre à part entière — le moment est venu d'affirmer avec ambition une transformation numérique du continent, centrée sur l'humain, inclusive et souveraine. Le Guide des feuilles de route IPN, publié le 26 juin, propose un cadre concret pour accompagner les pays dans l'élaboration de feuilles de route adaptées à leurs réalités nationales, en s'appuyant sur des exemples inspirants venus d'Afrique et d'ailleurs.
De la fragmentation à une vision unifiée : l'exemple sud-africain
L'Afrique du Sud a lancé sa feuille de route Digital Mzansi en mai 2025. Face à des politiques et systèmes numériques fragmentés, le gouvernement a réuni un groupe de travail interministériel, coprésidé par le ministère des Communications et le Trésor national, avec la participation de la société civile, d'experts techniques et de groupes communautaires. Il en a résulté une stratégie ancrée dans les priorités nationales et axée sur des cas d'usage comme l'inclusion financière, la santé et la protection sociale. La feuille de route prévoit l'interconnexion des systèmes d'identification, la création de plateformes de données ouvertes interopérables et un suivi transparent de l'impact des services publics.
Des exemples inspirants du Kenya, du Rwanda et du Ghana
Le Kenya, avec sa feuille de route Digital Economy Blueprint, incarne une stratégie ambitieuse, notamment en matière de e-gouvernement, portée par une forte coordination entre les ministères, le secteur privé et la société civile.
Le Rwanda, par le biais de son Plan stratégique du secteur TIC (2024–2029), a adopté une approche sociétale globale de la transformation numérique, en donnant la priorité à l'inclusion, à l'amélioration des services publics et au développement économique. Cela inclut le développement des IPN dans des domaines comme l'état civil et l'administration publique.
A travers sa politique et stratégie de l'économie numérique, le Ghana montre comment les IPN peuvent favoriser l'équité et une croissance inclusive, notamment via des initiatives comme la Ghana Card et les réformes des paiements numériques dans les secteurs de la santé et de la protection sociale.
Ces efforts sur notre continent montrent que nous savons déjà comment poser des fondations numériques inclusives. Comme nous l'avons exprimé dans les aspirations d'une Afrique numérique inclusive au sein de la ZLECAf via le Protocole sur le commerce numérique, nous devons connecter et déployer rapidement les IPN grâce à cette vision partagée.
Des feuilles de route souveraines, inclusives et pragmatiques
Une feuille de route IPN constitue un outil de gouvernance qui relie les ambitions numériques à la mise en œuvre concrète, clarifie les rôles institutionnels, fixe les priorités et rend explicites les choix stratégiques : quels secteurs cibler, quels partenariats rechercher, comment protéger les données.
La transformation numérique doit être inclusive. Le processus sud-africain a inclus des groupes de discussion avec de jeunes femmes, des travailleurs du secteur informel et des bénéficiaires de subventions. Leurs contributions ont influencé les cas d'usage et la conception des services pour une mise en œuvre responsable.
Les solutions numériques importées — souvent conçues sans tenir compte des réalités des populations africaines — peuvent offrir des bénéfices à court terme, mais présentent aussi des risques : technologies fermées, algorithmes opaques et dépendance accrue vis-à-vis des fournisseurs étrangers.
Pour garantir leur souveraineté numérique, les pays africains doivent privilégier l'adoption de standards ouverts (open source), le développement de systèmes interopérables et évolutifs, l'investissement dans les talents technologiques locaux, ainsi que des partenariats équitables axés sur le transfert de compétences et la création de valeur sur le continent.
La coopération régionale est essentielle pour accélérer la transformation numérique du continent. Des initiatives comme la ZLECAf et des alliances telles que Smart Africa créent un cadre propice à l'action collective, en facilitant la mutualisation des ressources, le développement de systèmes interopérables et la mise en œuvre coordonnée de solutions à l'échelle panafricaine.
Le Guide des feuilles de route IPN : un outil d'action collective
Ce guide est conçu pour accompagner les pays, quel que soit leur niveau de maturité dans le parcours de transformation numérique. Il propose une démarche étape par étape inspirée d'expériences concrètes du Sud et du Nord. Il favorise l'apprentissage entre pairs, la coordination interministérielle et la mobilisation des acteurs publics, privés et de la société civile. Il met également en avant le rôle catalyseur des IPN pour l'innovation dans le secteur privé, notamment via la construction de systèmes de paiement interopérables, de solutions fintech, d'infrastructures de finance ouverte qui réduisent les barrières d'entrée pour les micro, petites et moyennes entreprises (MPME), libérant ainsi des opportunités économiques dans toutes les communautés du continent, qu'elles soient rurales, périurbaines ou urbaines.
Le guide a été présenté aux délégués du groupe de travail sur l'économie numérique du G20 (DEWG) en début de trimestre, et son accueil a confirmé le besoin croissant d'outils pratiques pour transformer l'ambition en action. Au fur et à mesure que davantage de pays testeront ce guide, leurs expériences et retours contribueront à l'amélioration des prochaines éditions.
Et ensuite ? Vers une Afrique qui écrit sa propre narration numérique
Nous appelons les gouvernements, les Communautés économiques régionales (CER) et les partenaires à adopter et utiliser le guide, et à partager leurs retours pour l'améliorer en tenant compte de leurs réalités. Il s'agit d'une opportunité unique de façonner une vision panafricaine ancrée dans les réalités nationales et les ambitions de l'Agenda 2063, dynamisées par la mise en œuvre de la ZLECAf.
L'Afrique regorge de talents et de vision. Elle peut atteindre l'indépendance numérique et affirmer son leadership en tant qu'architecte de son avenir numérique. Concevoir nos propres IPN, c'est concrétiser le choix politique clair que nous avons fait : construire un marché africain numérisé unifié (ZLECAf), instaurer la confiance, et faire en sorte que notre transformation numérique serve les populations en priorité, sans laisser personne de côté.
Tribune de Nshuti Mbabazi, Directrice générale de Better Than Cash Alliance
Les passionnés d’astronomie auront droit à un rendez-vous céleste exceptionnel ce vendredi soir. Le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) annonce un […]
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Le Bénin va abriter un atelier de formation sur l'utilisation de l'outil d'évaluation des États parties à la Charte africaine des valeurs et principes de la fonction publique et de l'administration. La proposition a été formulée lors des travaux de la 10e édition de la Journée africaine de la fonction publique (JAFP), tenue du 21 au 23 juin 2025, à Addis-Abeba, en Éthiopie.
En marge des travaux de la 10e édition de la Journée africaine de la fonction publique, une délégation béninoise conduite par Raphaël AKOTEGNON, ministre de la décentralisation et de la gouvernance locale, a participé à une séance du Comité technique spécialisé (CTS) n°8 de l'Union africaine. Au terme de cette séance, l'UA, examinant les efforts du Bénin en matière de réformes administratives, envisage l'organisation prochaine, à Cotonou, d'un atelier de formation sur l'utilisation de l'outil d'évaluation des États parties à la Charte africaine des valeurs et principes de la fonction publique et de l'administration.
Le choix porté sur le Bénin selon le gouvernement, s'explique par son statut de pionnier : il figure parmi les premiers pays à avoir ratifié la Charte, le 28 mars 2019, avec le dépôt officiel de l'instrument de ratification le 14 mai 2019 auprès du Bureau du Conseil juridique de la Commission de l'Union africaine. « L'objectif de ce futur atelier est de doter les participants d'une compréhension approfondie de la Charte, de ses lignes directrices en matière de reporting, et de l'outil d'évaluation comme levier pour un suivi rigoureux et pertinent de sa mise en œuvre », précise une publication du gouvernement.
« Renforcer l'adaptabilité et la résilience des institutions publiques pour parvenir à une gouvernance équitable et combler rapidement les lacunes historiques dans la prestation de services », c'est la thématique principale au cœur des travaux de la 10e édition de la JAFP. Elle vise trois principaux objectifs. Il s'agit de promouvoir la justice et les réparations comme levier de résilience pour l'Afrique ; de valoriser l'inclusion, la responsabilité et la justice sociale comme piliers du développement durable ; et d'inciter les institutions publiques à adopter des politiques centrées sur le citoyen, basées sur la transparence et une gouvernance réactive.
Cette 10e édition de la JAFP a été l'occasion pour la délégation béninoise de s'enrichir des expériences d'autres Nations africaines et de consolider ses acquis en matière de gestion de la fonction publique d'État et territoriale.
F. A. A.
Un réseau de braqueurs a été démantelé dans la commune de Kalalé, au nord du Bénin.
Sur la base d'informations fiables signalant six malfrats qui s'apprêtaient à suivre des commerçants du marché à bétail de Dérassi, les agents de police sont descendus sur les lieux en milieu de semaine.
Quatre (04) individus ont été interpellés sur place. Les suspects ont été conduits au commissariat de Dérassi.
Des perquisitions menées à leurs domiciles ont permis de découvrir plusieurs objets. Deux (02) fusils artisanaux, trois (03) caisses d'argent défoncées, des cartouches calibre 12 mm, des produits psychotropes, des gourdins et autres armes blanches, des talismans et de nombreux autres objets d'origine suspecte ont été saisis.
Les braqueurs présumés ont avoué leur projet criminel. Ils ont cité d'autres complices, encore en fuite.
L'enquête se poursuit pour retrouver les autres membres du réseau.
M. M.