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Diplomacy & Defense Think Tank News

Interview mit Johannes Singhammer: Auf Augenhöhe mit Afrika

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 30/07/2018 - 15:49
Im HSS-Interview erklärt Johannes Singhammer, was die größten Baustellen in den Beziehungen zu den Ländern Afrikas sind und warum die Entwicklungszusammenarbeit des letzten Jahrhunderts für ihn gescheitert ist.

Wahlen in Simbabwe: Aufbruch oder Stagnation?

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 30/07/2018 - 13:25
Wird es ein Kopf-an-Kopf Rennen zwischen Mugabe-Nachfolger Emmerson Mnangagwa und Nelson Chamisa, dem Hoffnungsträger der Opposition? Letzte Umfragen sehen das Regierungslager bei 40 und die die oppositionelle MDC bei 37% Zustimmung.

Comment bien entretenir un stérilisateur biberon ?

RMES - Mon, 30/07/2018 - 10:14

Les stérilisateurs biberons sont des appareils qui vous permettent, au jour le jour, d’entretenir les biberons de vitre bébé. Bien entendu, cet appareil, une fois son travail terminé, nécessite un entretien afin de vous permettre une utilisation sur une longue durée.

Cependant, la majeure partie de ses utilisateurs ignore comment en prendre soin. Il est donc indispensable de savoir, dans de telles conditions, comment faire pour entretenir son stérilisateur de biberon. Découvrez donc tout ce que vous devez faire ici ! Pour la rédaction de cet article sur le stérilisateur de biberon, nous nous sommes aidés de ce site.

L’entretien classique

Ce type d’entretien est celui qui est le plus effectué parmi ceux qui savent comment s’y prendre pour entretenir un stérilisateur de biberon. Il n’est pas étonnant, que la majeure partie d’entre nous ignorent qu’un tel type d’entretien est réalisable. 

Cet entretien consiste essentiellement, à prendre soin votre stérilisateur de biberon, avec le matériel adéquat pour de la vaisselle. Ainsi, pour ce faire, vous pouvez utiliser un chiffon légèrement imbibé d’eau, et de lave-vaisselle. Il vous suffira ensuite de nettoyer votre stérilisateur et de le rincer. Néanmoins, veillez surtout à ne pas plonger votre stérilisateur dans de l’eau.

L’entretien au vinaigre

Hormis l’utilisation des matériaux classiques de vaisselle pour effectuer l’entretien de votre stérilisateur biberon, vous avez également la possibilité d’utiliser du vinaigre. Cependant, vous ne devez pas utiliser n’importe quel vinaigre, celui blanc est le plus conseillé. Pour réaliser cet entretien, il vous suffira d’imbiber votre chiffon avec du vinaigre blanc, et de laisser tremper votre stérilisateur de biberon dans le vinaigre, pendant environ 15 minutes.

Cependant, vous pouvez également le nettoyer avec le mélange du vinaigre et du bicarbonate de sodium. Une fois que vous avez fini de tremper votre stérilisateur, rincer le. Attention également, à ne pas tremper les systèmes électriques de votre stérilisateur dans ce mélange.

Garder dans un endroit frais et sec

Une fois que vous avez fini de rincer votre stérilisateur, vous pouvez le nettoyer avec un chiffon sec, mais vous devez également le laisser ou l’entreposé dans un espace loin de l’humidité et de la chaleur. En effet, du moment où il s’agit d’un modèle électrique, il est important de ne pas le laisser dans un espace plein d’humidité. Cela présenterait un danger pour vous.

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Combien coûte un logement en Thaïlande pour un mois ?

RMES - Mon, 30/07/2018 - 09:18

La Thaïlande est un pays d’Asie qui connaît un succès de plus en plus grand auprès des férus de voyage. Après donc en avoir tant entendu parler, vous avez commencé par nourrir le désir de vous y rendre afin d’y passer quelques mois de vacances. Toutefois, comme un voyage se doit d’être bien organisé, vous tenez d’abord à vous renseigner sur les coûts mensuels du logement en Thaïlande. Nous vous en parlons ici.

Comment procéder au choix de son logement en Thaïlande ?

La question du logement dans un pays étranger est très importante. Ainsi, si vous avez prévu de vous installer pendant un moment, en Thaïlande, le mieux est de veiller à bien faire les choses. Sachez par exemple que comme avec les villes en Europe, vous avez la possibilité de passer par internet.

Toutefois, les prix que l’on y rencontre sont généralement plus élevés que ceux que l’on trouve sur place. Ce sera donc à vous de voir. Vous devrez aussi faire un choix entre les appartements meublés et ceux qui ne le sont pas (ces derniers sont les moins chers des deux). Vous aurez aussi à opter entre vivre parmi la population thaïlandaise ou les expatriés.

De façon mensuelle, que peut-on dépenser pour le logement en Thaïlande ?

De façon générale, vous devez garder à l’esprit que la vie en Thaïlande n’est pas chère. Il en est de même des coûts du logement. Surtout lorsqu’on les compare à ceux de nos pays dits “développés”. Notez toutefois que les prix de ces logements peuvent très facilement changer d’une ville à une autre. 

Louer dans les environs de la capitale par exemple vous reviendra moins cher que de louer dans certaines villes telles que Phuket ou Sukhumvit. Les villes hautement touristiques telles que Pattaya sont également plus onéreuses que des zones paisibles comme Koh Lanta. La taille du logement, la saison et la durée de la location influent également sur ces prix.

À Bangkok par exemple, un immeuble luxueux en copropriété et près du BTS vous reviendra entre 18000 et 100000 bahts par mois. Les studios peuvent vous coûter entre 6000 et 9000 bahts. Pour la location d’un appartement dans la banlieue de Chachoengsao vous dépenserez  en moyenne 5000 bahts. Si par contre, l’appartement est situé dans la banlieue de Chiang Maï, le prix moyen sera de 14781 bahts.

PS : 1 euro équivaut à 40 bahts.

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Juncker y Trump frenan la guerra comercial y resucitan el TTIP, en versión descafeinada

Real Instituto Elcano - Mon, 30/07/2018 - 08:03
Federico Steinberg. Comentario Elcano 42/2018 - 30/7/2018

EEUU y la UE han decidido, por el momento, frenar su guerra comercial.

Juncker y Trump frenan la guerra comercial y resucitan el TTIP, en versión descafeinada

Real Instituto Elcano - Mon, 30/07/2018 - 08:03
Comentario Elcano 42/2018 - 30/7/2018
Federico Steinberg

EEUU y la UE han decidido, por el momento, frenar su guerra comercial.

Die Heterogenität des Protests

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 30/07/2018 - 00:00
In Deutschland gab es zwar gelegentlich einen Wahlerfolg einer neuen Partei unterschiedlicher Herkunft und Ausrichtung, doch ist es in der Bundesrepublik mit den Grünen und der Linken nur zwei Parteien gelungen, sich nach der ersten Etablierungsphase des Parteiensystems zu verankern. Mit der AfD hat bei der Bundestagswahl 2017 eine weitere Partei den Einzug in den Bundestag geschafft. Mit 12,6 Prozent der Zweitstimmen hat sie gegenüber der Vorwahl, bei der sie noch knapp mit 4,7 Prozent scheiterte, ihre Wählerbasis ausgebaut.

Interview: Simbabwes Hoffnung auf Erneuerung

Konrad Adenauer Stiftung - Sun, 29/07/2018 - 00:00
Präsidentschafts- und Parlamentswahlen stehen an und die Opposition bringt sich in Stellung. Doch die Wahl ist überschattet von Machtgerangel, Betrug und Armut.

80. Geburtstag: Verantwortung um der Natur und um der Schöpfung willen

Konrad Adenauer Stiftung - Sun, 29/07/2018 - 00:00
Für Klaus Toepfer, Bundesministers und UN-Direktor a.D., waren und sind umweltpolitische Fragen stets ein Herzensanliegen.

Le Mali d’IBK est considéré comme le mauvais élève par ses voisins

IRIS - Sat, 28/07/2018 - 11:11

Plus de huit millions de Maliens sont appelés aux urnes dimanche 29 juillet. Ils ont le choix entre reconduire le président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), élu en 2013 après l’intervention internationale contre les djihadistes, ou accorder leur faveur à l’un de ses 23 concurrents, dont le chef de l’opposition, Soumaïla Cissé. Accusé par ses adversaires, dont plusieurs de ses anciens ministres, de mauvaise gouvernance et d’avoir échoué à stabiliser le pays, le président malien assure « faire avancer le bateau Mali », dans des circonstances particulièrement difficiles.

Ibrahim Boubacar Keïta s’est satisfait d’avoir mené le Mali « dans la bonne direction ». Cinq ans après son arrivée au pouvoir, le Mali n’est pourtant toujours pas stabilisé…

Le pays n’est pas stabilisé, pire, il va beaucoup plus mal que lors de sa prise de fonction. Le bilan, partagé par de nombreux observateurs et de gouvernements, est négatif. Il est d’autant plus décevant qu’en 2013, IBK bénéficiait d’une certaine aura grâce à son expérience –il avait été Premier ministre-, à son intelligence et au soutien de la France après l’opération Serval qui avait permis d’éviter l’aggravation de la situation autour de la capitale.

Cinq ans après, l’insécurité a augmenté sur toute la partie septentrionale mais également sur la partie intérieure. J’étais à Bamako il y a trois semaines : il est très difficile d’aller à Ségou, encore moins à Mopti. Les villes du Nord sont inaccessibles. Seule la partie sud, sud-ouest est indemne des tensions pour l’instant. Cette gangrène sécuritaire touche désormais les pays voisins aux frontières entre le Burkina Faso, le Niger et le Mali. L’armée malienne est loin de remplir son rôle.

La situation s’est aussi détériorée sur le plan social.  Enfin, il y a un malaise généralisé qui se manifeste par un repli sur soi. Il y a, incontestablement, sinon un désespoir, au moins une défiance à l’égard des politiques incapables de sortir le pays de l’ornière. Il n’y a plus d’interlocuteurs valables. Même dans les communes, les fonctionnaires ne connaissent pas leurs dossiers, l’absentéisme est important.

Les chefs religieux, qui ont un rôle important et qui accordaient un certain crédit à IBK, n’ont pas cette fois appelé à voter pour lui tant ils sont déçus.

Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU parle de « détérioration continue ». Comment en est-on arrivé là ?

En raison de la déliquescence complète de l’appareil militaire, qui était déjà très mal en point, et de l’incapacité à pouvoir participer activement à la force du G5 Sahel, très peu opérationnelle. On dit d’Ibrahim Boubacar Keïta qu’il est paresseux. Ce n’est pas complètement faux : la prise de décision est très lente.

Incontestablement, IBK n’a pas favorisé la création d’une force militaire. Il a prétexté attendre des fonds extérieurs venant d’Europe, de France et des Etats-Unis pour financer son armée. Plus on attend des financements extérieurs moins il y a une implication du pays et des militaires qui trouvent toujours un motif pour retarder l’échéance. On voit ça partout.

Les accords de paix de 2015 n’ont jamais été appliqués car il n’est pas sûr que tous les protagonistes veuillent la paix. L’insécurité qui règne est profitable à certains chefs unitaires, aux touaregs, aux milices…

L’Etat ne s’est toujours pas réinstallé dans le nord….

Pas seulement dans le nord ! L’administration, que ce soit les institutions judiciaires, les services rendus à la population en santé et en éducation, le fonctionnement des mairies et des conseils régionaux, est absente dans tout le pays. Là aussi, IBK a eu tendance à se défausser, comme il l’a fait pour la question sécuritaire, sur les multiples ONG occidentales, européennes, françaises, américaines qui viennent satisfaire les besoins des populations en matière de services essentiels. Le Mali a, certes, besoin d’elles, mais celles-ci se substituent à un Etat qui ne fait pas son travail. C’est une caricature de mauvaise gouvernance.

Dans les pays voisins, en Mauritanie, au Tchad, au Niger et au Burkina Faso, l’agacement prédomine. Le Mali est considéré comme le mauvais élève, dont la gouvernance défaillante génère une série de désordres à leurs frontières. Le discrédit touche non seulement les Maliens mais les chefs d’Etats voisins aussi.

Son bilan est décevant, il est cependant donné en tête du premier tour par les sondages. Comme l’explique-t-on ?

Ibrahim Boubacar Keïta bénéficie pour sa campagne d’un certain nombre d’avantages, notamment des moyens de l’Etat pour organiser les meetings. Il a le soutien d’environ un quart de la population. Beaucoup disent que son Premier ministre, Soumeylou Boubèye, lui apporte du crédit. Celui-ci a une bonne côte auprès des chancelleries occidentales et n’a pas peur d’aller dans le Nord d’où il est originaire. Certains disent même qu’IBK, s’il était élu, pourrait lui passer le relais dans un an ou deux.

Une alternative à Ibrahim Boubacar Keïta est-elle possible ?

Soumaïla Cissé, vieux routier de la politique et qui se présente pour la troisième fois -et sans doute la dernière- est le candidat le plus sérieux. D’autres, comme Modibo Sidibé, ancien Premier ministre, ont de nombreuses qualités. Mais le pays est tellement effondré que, quel que soit le chef d’Etat élu, il sera difficile d’assainir les mauvaises pratiques, et en particulier le népotisme.

Quels seront les enjeux du futur président ?

La création d’un gouvernement le plus large possible. Ce n’est pas une nouveauté, mais le futur président devra mener une lutte farouche contre les trafics de drogue qui alimentent les violences et les achats d’armes, effectuer une purge des réseaux mafieux qui influencent le système politique.

Il faut mener une politique vigoureuse en direction de la jeunesse, rétablir le système scolaire aujourd’hui gravement délabré. Il faudra relancer l’économie cotonnière, mettre de l’ordre dans l’économie minière, avoir une véritable politique de souveraineté alimentaire. Le Mali en a besoin et en a les moyens. Un certain nombre de choses peuvent être faites mais cela suppose du courage. Les Maliens sont prêts à se remobiliser autour d’un projet crédible porté par des personnalités non corrompues et qui ne se feront pas d’argent sur le dos de la population. Les Maliens attendent un sérieux tour de vis depuis 20 ans.

 

Propos recueillis par Sarah Diffalah

Hessen: "Wie tickt das Land"

Konrad Adenauer Stiftung - Sat, 28/07/2018 - 00:00
In der 4. Folge unserer wöchentlichen Videoreihe spricht Thomas Ehlen über nachhaltige Mobilität, duale Ausbildung sowie ein respektvolles Miteinander

Les nouvelles routes de la soie passent par le Cambodge

Institut Montaigne - Fri, 27/07/2018 - 18:07

Le 29 juillet prochain, les Cambodgiens sont appelés aux urnes pour des élections législatives vivement critiquées par les observateurs internationaux. La légitimité même de cette élection est remise en question depuis que l’actuel Premier ministre Hun Sen a dissous le principal parti d'opposition, le Parti du sauvetage national (CNRP) fin 2017. Le rapporteur des Nations Unies Rhona Smith a ainsi déclaré l…

Elections au Mali : “On parle assez peu d'autres enjeux que celui de la sécurité”

Institut Montaigne - Fri, 27/07/2018 - 17:56

Le 29 juillet prochain, les Maliens se rendront aux urnes pour élire leur nouveau Président. En plein  état d’urgence, le pays doit faire face à des violences djihadistes et à des conflits intercommunautaires qui auront une incidence sur le scrutin. Trois ans après la signature de l’accord d’Alger, qui peine à être mis en oeuvre…

Die schwankenden Wähler

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 27/07/2018 - 00:00
Eine repräsentative Untersuchung zu Briefwählern, Parteipotenzialen und Einstellungen zu Politik, Politikern und Parteien in Deutschland nach der Bundestagswahl 2017

Die Handelspolitik der US-Regierung

SWP - Fri, 27/07/2018 - 00:00

Bereits verhängte Zölle auf Stahl und Aluminium sowie angekündigte Zölle auf Autos und Autoteile zwingen Brüssel zu Reaktionen. Gleichzeitig kämpft Europa mit einer wichtigen ungeklärten Frage: Ist die Handelspolitik der US-Regierung Ausdruck einer Strategie, die geopolitische Rivalen wie China schwächen soll, auch wenn enge Partner, wie die EU, darunter leiden? Oder will Trump tatsächlich die liberale multilaterale Ordnung zerstören? Die EU muss sich für beide Möglichkeiten rüsten. Unterstützung könnte zunehmend aus der US-Wirtschaft kommen.

Wie weiter mit den USA?: "Künstliche Intelligenz" als gemeinsame Herausforderung

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 27/07/2018 - 00:00
Forscher sprechen von einer Revolution und einem technologischen Paradigmenwechsel. Das berührt auch die transatlantische Zusammenarbeit.

« La guerre des métaux rares » – 3 questions à Guillaume Pitron

IRIS - Thu, 26/07/2018 - 17:03

Guillaume Pitron est journaliste, lauréat de l’édition 2017 du Prix Erik Izraelewicz de l’enquête économique créé par le Monde. Il intervient régulièrement auprès du parlement français et de la Commission européenne sur le sujet des métaux rares. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage « La guerre des métaux rares : la face cachée de la transition énergétique et numérique », aux éditions Les liens qui libèrent.

Pourquoi la transition énergétique fait-elle des métaux rares la clé de la richesse et de la puissance de demain ?

La transition énergétique est fortement consommatrice de métaux dits « rares » car présents dans l’écorce terrestre dans des proportions infinitésimales par rapport aux métaux dits « abondants », tels que le fer, le cuivre ou le zinc. Ces métaux rares – une trentaine – portent des noms étranges, tels que le samarium, le gadolinium ou encore le dysprosium. Certains nous sont plus proches, comme le tungstène et le cobalt. Ces métaux sont saupoudrés dans de nombreux objets du quotidien, tels les outils électroniques ainsi que les technologies phares de la transition écologique (éoliennes, panneaux photovoltaïques, moteurs électriques). Leur consommation est donc amenée à exploser. Ainsi le lithium, nécessaire aux batteries : en 2035, sa consommation aura été multipliée par 180 par rapport à celle de 2013.

L’extraction des métaux rares engendre de lourds coûts économiques et environnementaux, raison pour laquelle contrairement au pétrole, de nombreux pays détenant d’importantes réserves, tels que les États-Unis et l’Australie, n’ont pas toujours souhaité en poursuivre la production. En Chine, l’un des premiers producteurs de nombre de ces métaux, les bénéfices économiques de ce secteur économique sont encore débattus. L’État chinois a investi à perte pour soutenir la pérennité de l’exploitation. Quant aux coûts écologiques, ils sont proprement considérables.

En réalité, les pays producteurs sont plutôt motivés par les gains économiques qu’ils peuvent tirer de l’aval de la chaîne industrielle, c’est-à-dire les industries utilisatrices de ces métaux. En refusant d’exporter les ressources vers les pays clients et en tentant de développer, localement, une filière industrielle intégrée, la Chine, mais aussi l’Indonésie et l’Afrique du Sud, savent qu’elles tireront des bénéfices sans commune mesure par rapport aux pertes qu’elles auront subies en amont de leur processus industriel. En ce sens, la transition énergétique stimule une nouvelle ère d’extractivisme – de métaux rares cette fois – dans laquelle celui qui contrôle les minerais va, in fine, contrôler les industries du futur. C’est bien sûr une clé de la richesse et de la puissance de demain.

Selon vous, quel est le pays qui assiéra sa domination sur ce secteur ?

La Chine est aujourd’hui le premier producteur d’un nombre important de ces métaux. Pékin produit 84% du tungstène consommé dans le monde, 67% du germanium, 85% du gallium, 87% du magnésium et jusque 95% de certaines terres rares. Cette mainmise procède d’une stratégie agencée dès les années 1980, la Chine ayant inondé de reste du monde de métaux à bas prix afin de tuer toute concurrence. Et de fait, Pékin est désormais une sorte d’ « Arabie saoudite des métaux rares ».

Ce leadership est de moins en moins limité à l’amont industriel et tend à se déporter sur l’aval de la chaîne de valeur. Séduits – ou contraints – par la disponibilité des ressources en Chine, les industriels occidentaux ont accéléré ces dernières décennies les délocalisations de leurs outils de production. Souvent, ce fut l’occasion de transferts de technologies et de brevets, ce qui explique pourquoi la Chine a aujourd’hui accaparé l’ensemble de certaines filières utilisatrices de métaux rares dans les secteurs des nouvelles technologies de l’énergie et du numérique.

On le constate en particulier avec les voitures électriques. La Chine produit des terres rares et du graphite, composants essentiels des batteries. Elle produit peu de cobalt, produit à plus 60% par la République démocratique du Congo (RDC), mais qu’importe : en mars, Glencore, premier producteur mondial de cobalt, annonçait céder le tiers de sa production sur les trois années à venir au groupe chinois GEM, spécialisé dans le recyclage des batteries. De fait, 80% du cobalt produit en RDC est aujourd’hui exporté vers la Chine. Le PDG de Glencore, Ivan Glasenberg, a commenté un tel contrat d’approvisionnement et expliqué que si la Chine parvenait à s’approprier le cobalt, elle produirait demain les batteries, et, in fine, les voitures elles-mêmes.

Pourquoi qualifiez-vous la France de « géant minier en sommeil » ?

La France a déjà été une puissance minière. La première révolution industrielle y avait impulsé la production de divers minerais tels que le tungstène, le manganèse ou encore le zinc. L’activité extractive est restée importante jusqu’au début des années 1980, la France se plaçant même parmi les principaux producteurs mondiaux d’antimoine et de germanium.

Tel n’est plus le cas aujourd’hui. Pourtant l’Hexagone reste riche de son sous-sol, en particulier en Bretagne, dans le Massif central et dans les Pyrénées. Sans oublier son potentiel océanique : l’ensemble du territoire maritime français totalise plus de 11 millions de kilomètres carrés, soit le deuxième plus grand au monde après les États-Unis. Or certaines zones économiques exclusives, en Polynésie et à Wallis-et-Futuna notamment, concentrent d’importantes réserves qu’il serait tout à fait possible d’exploiter.

Vaccinés par les nombreux désastres occasionnés, en France, par ces activités extractives, nos compatriotes affichent très majoritairement leur opposition à de tels projets industriels. De nombreuses ONG écologistes se sont récemment mobilisées contre certaines annonces gouvernementales à la faveur d’une relance minière. Cette attitude révèle, selon moi, une certaine incohérence : ceux qui appellent à une transition écologique refusent d’en supporter les conséquences, c’est-à-dire l’extraction des minerais rares indispensables aux technologies vertes. Entre les rêves d’un monde plus vert et la matérialité d’un monde plus technologique, il n’est pas évident de choisir…

Une timide relance minière avait bien été promise en 2014 par Arnaud Montebourg. Or, la société australienne Variscan Mines, qui avait obtenu trois permis exclusifs de recherche minière en Bretagne, vient d’annoncer la suspension de ses activités. Ainsi, rien ne permet de croire que ce géant en sommeil vienne à se réveiller.

Quel massicot choisir pour débuter ?

RMES - Thu, 26/07/2018 - 16:33

Le massicot est un élément qui pourrait s’avérer être indispensable dans notre quotidien, et ce, de façon progressive. Cependant, rares sont ceux qui savent correctement l’utiliser. Si vous avez l’intention d’en faire usage pour la première fois, vous devez choisir un type spécifique de massicot, afin d’éviter tout déconvenue. Quel massicot pouvez-vous alors choisir pour débuter votre activité de massicotier ? Suivez !

Les différents types de massicot

Il existe principalement trois catégories de massicots que vous avez la possibilité d’utiliser. Nous avons tout d’abord, le massicot manuel qui nécessite que vous utilisiez une certaine force physique.

Nous avons ensuite, le massicot électrique, qui est beaucoup plus automatisé, mais présente également un levier qui est composé d’une lame. C’est cette lame qui servira à découper un bon nombre de feuilles de papier.

Enfin, vous avez également la possibilité d’opter pour le massicot automatique qui dispose d’une technologie de buse chauffante, afin de pouvoir vous aider à effectuer convenablement vos découpes.

Que faut-il pour un débutant ?

Parmi ces catégories, il y en a une qui serait parfaitement adéquate pour un massicotier débutant. Il s’agit en effet, du massicot manuel. En réalité, le massicot manuel vous offre une certaine sécurité pour pouvoir l’utiliser. Vous serez obligé d’effectuer une pression sur le levier, afin de pouvoir découper vos feuilles de papier. 

Les autres catégories de massicot, à savoir le massicot électrique et le massicot automatique, sont des appareils qui sont plus destinés pour les professionnels de l’imprimante, et les massicotiers en herbe.

Le massicot manuel

Le massicot manuel fait partie de ces massicots qui vous offrent une possibilité d’adaptation, lorsqu’il s’agit de découper du papier. En réalité, il dispose d’un système d’entraînement, vous permettant de vous exercer à la découpe de vos feuilles de papier.

De plus, le massicot manuel vous permet de profiter d’une certaine sécurité grâce à son carter et à son verrou situé au bas du levier composé par la lame. Cela vous permettra non seulement, de pratiquer la découpe, mais également de le faire sans risquer de vous blesser grièvement. De plus, ce type de massicot à la capacité de couper entre 150 et 800 feuilles de papier de façon simultanée.

Vous avez toujours du mal à faire votre choix ? On vous conseille cette très bonne adresse pour encore plus de détails sur les massicots.

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Stau - Stau - Stau: Zum Ferienbeginn: Wie entstehen Staus?

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 26/07/2018 - 16:23

Aber wie entsteht eigentlich ein Stau? Wir haben einen unserer Verkehrsexperten, den Verkehrstechnik-Professor, Klaus Bogenberger von der Universität der Bundeswehr, gebeten, den Stau und seine Ursachen zu erklären. Bei unserer Veranstaltung letzte Woche haben wir auch mit ihm über Sharing-Systeme unter dem Titel „Teilen statt besitzen – Sharing-Modelle als Konkurrenz für Bus und Bahn“ diskutiert. Ob Sharing-Systeme zur Stauvermeidung beitragen, sieht Bogenberger derzeit schon deswegen kritisch, weil dafür eine kritische Masse an Leihfahrzeugen und die damit verbundene Abschaffung von Privatfahrzeugen noch nicht vorhanden ist.  Prof. Dr. Klaus Bogenberger ist Inhaber der Professur „Verkehrstechnik“ am Institut für Verkehrswesen und Raumplanung der Universität der Bundeswehr München.

NATO-Gipfel in Brüssel : Neue Beschlüsse, neue Fragezeichen

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 26/07/2018 - 13:56
Beim NATO-Gipfel vergangene Woche in Brüssel fasste das Militärbündnis zahlreiche Beschlüsse, deren Grundlage die veränderte Sicherheitslage seit der völkerrechtswidrigen Annexion der Krim durch Russland ist (1). Die 29 Staats- und Regierungschefs sprachen gegenüber Mazedonien eine Einladung zur Aufnahme von Beitrittsverhandlungen auf (2). Zudem bauten der Nordatlantikpakt und die Europäische Union ihre Zusammenarbeit aus (3). Der Gipfel lässt Beobachter mit Fragezeichen zurück: Die dominierende Präsenz von US-Präsident Donald Trump in den Medien mit produzierenden Äußerungen gegen die eigenen Alliierten passen mit den ein-stimmig verabschiedeten Schlussfolgerungen nicht zusammen (4).

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