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Diplomacy & Defense Think Tank News

Fake you ! En minimisant le bilan de l’ouragan à Porto Rico, Trump s’en prend (aussi) à la science

IRIS - Mon, 17/09/2018 - 16:41

Par sa dénégation du nombre officiel de décès consécutifs à l’ouragan Maria qui a frappé Porto Rico – un territoire dit « non incorporé » des États-Unis – à l’automne 2017, le président américain a déclenché un nouveau tollé. Selon un nouveau bilan officiel, ce sont 2 975 personnes qui ont péri mais pour Donald Trump, qui a fait plusieurs tweets à ce sujet les 13 et 15 septembre dernier, ce chiffre est très exagéré. En effet, écrit-il, « 3 000 personnes ne sont pas mortes dans les deux ouragans qui ont frappé Porto Rico. Lorsque j’ai quitté l’île, après que la tempête a frappé, ils avaient entre 6 et 18 morts ».

Fox News a soutenu Trump par un tweet, parlant d’inflation du nombre de morts et d’utilisation de la science et des statistiques à des fins de discrédit sur le président.

Mais le speaker (républicain) de la Chambre des représentants, Paul Ryan, ainsi que l’ancien conseiller à la sécurité intérieure à la Maison blanche – qui avait eu en charge la supervision des secours –, Tom Bossert, ont contredit les allégations du président.

Le bilan officiel est passé de 64 à 2 975 morts fin août 2018, une enquête indépendante, demandée par le gouverneur de Porto Rico, Ricardo Rossello, et menée par des chercheurs de l’Université de George Washington, ayant conclu qu’il fallait comptabiliser les décès directement ou indirectement dus à l’ouragan Maria entre la date de son passage, en septembre 2017, et la mi-février. Les chercheurs ont comparé la mortalité pendant cette période à la mortalité habituelle sur l’île et selon eux, elle a augmenté de 22 % entre ces deux dates par rapport à la même période de l’année précédente.

La surmortalité, expliquent-ils dans cette enquête dont la méthodologie est longuement détaillée, est notamment due à l’absence de soins disponibles pour les malades souffrant de pathologies chroniques (impossibilité de faire des dialyses, d’accéder à l’insuline, etc.) ou les accidents de santé (arrêts cardio-respiratoires, etc.). Une autre étude indépendante de chercheurs de Harvard estime pour sa part le nombre de morts à 4 600. Sur le territoire extrêmement défavorisé qu’est Porto Rico, en effet, le retour de l’électricité et des moyens de transports a pris des mois.

Katrina, un « désastre total ». Porto Rico, un « succès incroyable »

Vivement critiqué pour sa mauvaise gestion de la crise à l’époque – les images du président lançant des rouleaux d’essuie-tout aux sinistrés de Porto Rico, par exemple, ayant été interprétées comme une sous-estimation de sa part de la gravité de la situation –, le président des États-Unis a, alors que l’ouragan Florence touche actuellement la côte Est du pays, souhaité démentir ces informations.

Pour Trump, que Maria ait fait plus de morts que Katrina (environ 1 800) qui, en 2005, avait dévasté la Nouvelle-Orléans et dont l’ampleur avait été minimisée par le président George W. Bush à l’époque et jeté sur lui un profond discrédit, est une réalité insupportable.

Trump n’a donc eu de cesse de parler, à propos de lui-même, de « gagnant » et de « succès » pour qualifier son action et celle des secours, surtout ceux pilotés par le niveau fédéral : « Je pense que nous avons fait du très bon boulot », a-t-il dit et il s’est donné la note maximum de 10/10 ou A+ (comme à l’école) pour la gestion des ouragans Maria, ainsi que Harvey au Texas ou encore Irma en Floride. Pour lui, « Porto Rico est un succès incroyable et méconnu ».

Un complot des démocrates et des médias

Pour le président, l’enquête de l’université de George Washington est donc faussée : « si une personne est décédée pour une raison quelconque, comme la vieillesse, ajoutez-la simplement à la liste. Mauvaise politique. J’aime Porto Rico ! » Pire : le chiffre de 3 000 morts aurait été inventé « par les démocrates pour me faire apparaître sous le plus mauvais jour possible lorsque je levais avec succès des milliards de dollars pour aider à reconstruire Porto Rico. » Selon Trump, ce n’est pas de la science, c’est de la « magie » : « le nombre de morts a augmenté par magie. » Une manière de dire que les scientifiques sont des charlatans.

Donald Trump est coutumier des théories conspirationnistes. Il est l’une des personnes à l’origine du complot des birthers qui, dès l’élection de Barack Obama, ont répandu la rumeur que ce dernier n’était pas né sur le sol américain et qu’il était musulman. Le 14 septembre dernier, il a même alimenté une nouvelle fois cette théorie par un tweet où il revient sur les paroles d’Obama qui, en 2008, avait dit avoir fait campagne dans « 57 États » – au lieu de dire « 47 ». Trump fait, comme à l’époque les sites complotistes d’extrême droite, référence aux 57 États de l’Organisation de la coopération islamique. Cela lui permet d’associer les médias (« fake news medias ») à sa critique du bilan officiel du nombre de décès à Porto Rico : en d’autres termes, ils ont défendu Obama mais ils l’attaquent lui.

Le mépris de la science

Ce n’est pas la première fois que Trump manifeste le peu de cas qu’il fait de la science. En s’entourant de climatosceptiques, y compris en leur accordant les plus hautes responsabilités sur les questions d’environnement (tête de l’Environmental Protection Agency, poste de secrétaire, etc.) ; en faisant savoir, le 12 octobre 2017, il y a bientôt un an, que les États-Unis quittaient l’Unesco – ce retrait, qui devrait entrer en vigueur dans les prochains mois, résulte d’une volonté de retrait de la scène internationale sur les questions de développement, de culture, d’éducation, de science – , il cherche à séduire une base électorale qui rejette les élites dans leur ensemble.

Mais il s’efforce aussi de rompre un peu plus avec son prédécesseur, amoureux des livres et diplômé des plus grandes universités, lui qui ne lit pas et qui est décrit par son entourage et un grand nombre d’observateurs comme inculte et s’informant par Fox News et quelques comptes Twitter. Longtemps méprisé, quand il était homme d’affaires, par le New York intellectuel, Trump prend revanche sur revanche.

Trump s’inscrit également dans une tradition, à droite de l’échiquier politique américain, qui se méfie des avancées scientifiques. Libération consacrait récemment un article aux élus conservateurs du congrès de Caroline du Nord qui, par cupidité, ont, en 2012, refusé de prendre en compte les avertissements des scientifiques et autorisé les constructions massives sur les côtes. Poussé par le lobby du BTP, ils ont même imposé aux autorités locales, par voie législative, d’ignorer les conclusions des chercheurs qui parlent d’une montée de eaux pouvant atteindre un mètre d’ici 2100 et pouvant immerger 5000 km2 de terres et de bâtiments. Il en résulte, avec l’ouragan Florence et ceux qui suivront, une perspective désastreuse sur les plans écologique, humain et financier puisque la facture pourrait atteindre plusieurs dizaines de milliards de dollars.

On connaît la « fake science », on connaît aussi la haine de la science. Terreau du climatoscepticisme qui l’assimile à une stratégie de la gauche (d’inspiration européenne) pour combattre l’exploitation des énergies fossiles et le monde des affaires en général, les tentatives de disqualification de la recherche et des chercheurs ne sont pas nouvelles. Outre les lobbies industriels – les dangers du tabac sont surestimés par les socialistes, entendait-on dans les années 1980 –, une partie des libertariens – où l’on retrouve de nombreux mouvements anti-vaccins par exemple -, et de certains courants religieux – la science est vue comme une rivale de la foi et le créationnisme est l’exemple le plus connu – sont toujours en première ligne pour dénigrer le travail et les avancées scientifiques, en particulier dans les universités.

Le 29 mars 2012, Le Monde publiait une interview de la chercheuse américaine Naomie Oreskes. Cette historienne des sciences et professeure à l’université de Californie à San Diego avait cosigné avec Erik M. Conway un ouvrage important sur le climato-scepticisme, paru en français sous le titre Les marchands de doute (Le Pommier, 2012). Oreskes explique notamment que, pour les auto-institués « experts » climatosceptiques, il n’y a pas de consensus sur le sujet (i.e. : de leur point de vue, le réchauffement climatique peut être contesté sur des bases scientifiques), alors que ce n’est pas le cas. Car, comme le rappelle Oreskes, pour qu’il soit véritablement scientifique, un débat doit se tenir selon des procédures (argumentation technique, etc.) et dans des lieux bien précis (revues spécialisées, colloques universitaires…), et être mené par des spécialistes reconnus et évalués par leurs pairs. Rien de tout cela en ce qui concerne la remise en cause du réchauffement climatique.

Les populistes, notamment chez les ultra-conservateurs et les nationalistes, qui misent sur le pouvoir de persuasion des émotions, des affects, de l’irrationnel, ont beaucoup nourri leurs théories conspirationnistes par leur scepticisme envers la science. Et la tendance n’est pas près de s’arrêter.

Cheminée électrique que vaut l’esthétique ?

RMES - Mon, 17/09/2018 - 15:30

Les cheminées électriques remplacent actuellement les cheminées traditionnelles dans les foyers modernes. Elles ont été conçues pour devenir des cheminées perfectionnées qui ne présenteront plus les inconvénients d’une cheminée classique en citant par exemple le temps d’entretien et les travaux d’installation. Les cheminées électriques offrent également un design impressionnant ce qui les rend très populaires en termes de décoration. Afin de porter le nom de cheminée, elle a été perfectionnée pour pouvoir fournir de la chaleur. Bien qu’elles assurent tous les rôles d’une cheminée traditionnelle avec plus d’avantages, elles restent tout de même factices.

Le principe d’une cheminée électrique.

Pour ces types de cheminée electrique, c’est l’illusion qui prime. Elles fonctionnent généralement grâce à un convecteur électrique. Les flammes sont assurées par des lampes LED colorées. Certaines cheminées électriques utilisent également un système de vaporisation afin d’obtenir de la fumée et des ailettes en aluminium en plus pour fournir les flammes. Dans tous les cas, les cheminées électriques sont donc des cheminées trompeuses où les flammes et les autres combustibles ne sont que le résultat d’un montage modernisé. Tous ces effets visuels seront alimentés par du courent électrique à partir d’un branchement habituel sur une prise murale ou à terre. Une fois que le branchement a été effectué, le mécanisme sera activé soit sur la cheminée avec un bouton on/off soit par une télécommande.

Copier les classiques pour donner l’illusion parfaite.

Il existe des cheminées électriques décoratives qui assurent en grande partie le design d’une pièce. Elles sont parfois dotées d’un écran LCD, un système de réglage et des flammes futuristes avec plusieurs couleurs (bleu, rouge, violet, vert, jaune) mais il existe toutefois des cheminées électriques ultras réalistes. Ce sont des cheminées électriques qui ont été fabriquées afin de donner l’impression d’être en présence d’une vraie cheminée. Il y a tout d’abord les flammes, la fumée, mais il peut y avoir également des bûches, des braises et même, un système sonore qui imitera le bruit des craquements de bois en combustion. La matière utilisée pour le coke sera également adaptée à cette vision ultra réaliste en adoptant la texture du bois ou des briques. Sinon, une sortie spéciale chaleur sera également mise à disposition pour qu’on puisse ressentir la douce chaleur des cheminées d’autrefois. Dans le monde du commerce, ce type de cheminée s’appelle cheminée à effet flamme. On peut les avoir à partir de 40 € à 2 000 €.

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Différentes sortes de cheminées ultras réalistes.

Il existe plusieurs formes et plusieurs tailles de cheminées électriques ultras réalistes, mais l’avantage avec ces types de modèles, c’est qu’on peut trouver soit des cheminées mobiles soit des cheminées encastrables. Les cheminées encastrables offriront un design moderne à la pièce où elles se trouvent et les cheminées mobiles pourront être déplacées. L’installation des cheminées inserts (encastrables) nécessite un peu de bricolage contrairement aux modèles mobiles qui n’ont besoin d’aucune installation précise. Cette variété de choix associée avec l’illusion parfaite fait des cheminées électriques ultras réalistes, les favorites des foyers actuelles.

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Le Brexit et la grande lassitude du peuple britannique

Institut Montaigne - Mon, 17/09/2018 - 11:55

La plus grande confusion règne au Royaume-Uni sur le Brexit. Accord ou pas avec l'Union européenne, la majorité des Britanniques veulent avant tout en finir.

Lors du dernier concert de la saison des Proms au Royal Albert Hall de Londres le 8 septembre dernier, les drapeaux bleu et or aux couleurs de l'Europe n'avaient jamais été aussi nombreux à flotter dans la salle. Comme si la célébration musicale de la gloire de la Grande-Bretagne…

Entwicklungspolitik für eine gerechte Globalisierung

Bonn, 17.09.2018. Die derzeitige Form der Globalisierung wird von ganz unterschiedlichen Gruppen als ungerecht angesehen. Das zeigt sich zum Beispiel an den wiederkehrenden Protesten gegen Institutionen der Global Governance (G7, G20, WTO), dem Erstarken nationalistischer Strömungen in vielen OECD-Ländern und den wiederholten Forderungen vieler Länder des Südens nach mehr Einfluss in internationalen politischen Institutionen. Auch in der Politik wird zunehmend anerkannt, dass in unserer globalisierten Welt Gerechtigkeit nicht nur innerhalb der Staaten eine Rolle spielt. So ist ein Abschnitt im Koalitionsvertrag der derzeitigen Bundesregierung mit „Entwicklungspolitik für eine gerechte Globalisierung“ überschrieben. Internationale politischen Zielvereinbarungen wie die Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung beziehen sich ebenfalls immer wieder explizit auf den Wert der Gerechtigkeit. Gleichzeitig ist gerade für die globale Ebene sehr umstritten, was diese Gerechtigkeit denn nun ausmacht. Bezüglich der akademischen Debatte zu Gerechtigkeitstheorien kann zwischen zwei unterschiedlichen Perspektiven unterschieden werden. Die erste Perspektive bezieht Gerechtigkeit auf Verteilungen, zum Beispiel von Gütern, Ressourcen oder Chancen. Die Kriterien für eine gerechte Verteilung sind umstritten. Die einen betonen den Wert der Gleichheit, während andere eine Priorität für die Armen fordern. Wieder andere heben die Rolle von Leistung und Verdienst hervor oder sind der Meinung, zählen müsse vor allem, dass niemand unter einen bestimmten Lebensstandard fällt. Es gibt aber auch Kritik daran, Gerechtigkeit ausschließlich auf Verteilungen zu beziehen: Diese Perspektive vernachlässige, wie die Dinge, die verteilt werden, überhaupt produziert wurden und wer über ihre Verteilung entscheidet. Aus einer zweiten Perspektive wird Gerechtigkeit deshalb nicht als eine bestimmte Verteilung, sondern als Abwesenheit von willkürlicher Herrschaft aufgefasst. Ein Fokus liegt dann auf der Frage, wie politischen Entscheidungsverfahren gestaltet sein sollten. Aus beiden Perspektiven sind Ungerechtigkeiten im derzeitigen globalen wirtschaftlichen und politischen System offensichtlich. So kann beispielsweise das internationale Handels-, Finanz- und Steuersystem im Hinblick auf die Verteilung von Vorteilen und Lasten (zwischen verschiedenen Ländern und zwischen verschiedenen Gruppen innerhalb der Länder) kritisiert werden:
  • In Bezug auf das internationale Handelssystem war schon die Gerechtigkeit des von der WTO regulierten Handelssystems sehr umstritten. Der derzeitige Trend in Richtung bi- und multilateraler Handelsabkommen scheint jedoch in Bezug auf die Möglichkeiten armer Länder, für sie vorteilhafte Ergebnisse zu erzielen noch problematischer.
  • Das starke Wachstum der wenig regulierten und häufig vor allem an kurzfristigen Erträgen orientierten Finanzindustrie erhöht die Instabilität des internationalen Finanzsystems. Private Investoren profitieren in guten Zeiten, während Verluste wie zum Beispiel während der Finanzkrise 2008 teilweise vom Staat getragen werden.
  • Das derzeitige internationale Steuersystem ist gekennzeichnet durch eine ungerechte Verteilung der Steuerlast zwischen Individuen, sowie einer ungerechten Verteilung des Steueraufkommens zwischen den Staaten. Steuerhinterziehung und Steuervermeidung tragen hierzu bei und reduzieren das Steueraufkommen insgesamt.

Angesichts von menschengemachten Umweltveränderungen und des globalen Ressourcenverbrauchs stellt sich die Frage nach der gerechten Verteilung von Vorteilen und Lasten zudem nicht nur in Bezug auf die zurzeit lebenden Menschen, sondern auch in Bezug auf zukünftige Generationen. Unser Umgang mit dem Klimawandel kann in dieser Hinsicht kaum als gerecht angesehen werden. Die zweite Perspektive, die Gerechtigkeit als Abwesenheit willkürlicher Herrschaft versteht, kann die Ungerechtigkeit der politischen Entscheidungsverfahren der Institutionen der Global Governance besser in den Blick bekommen. Hier werden wichtige Entscheidungen von Institutionen gefällt, in denen die von den Entscheidungen betroffenen Menschen sehr unterschiedlich repräsentiert sind. Beispielsweise sind in den G7 und den G20 jeweils nur einige wenige Länder vertreten. In anderen Institutionen wie der Weltbank und dem IWF richten sich die Stimmanteile eines Landes nach seiner Wirtschaftsleistung (oder seiner Wirtschaftsleistung zu einem vergangenen Zeitpunkt). In dieser Hinsicht gleicht die Global Governance einer Plutokratie. Insgesamt ist es bisher kaum gelungen, demokratische Errungenschaften auf die internationale Ebene zu übertragen. Es gibt durchaus Vorschläge, wie solche Ungerechtigkeiten beseitigt oder zumindest abgemildert werden könnten; Vorschläge, die sich beispielweise auf eine stärkere internationale Regulierung von Finanzmärkten, entschiedene Maßnahmen gegen den Klimawandel oder eine Demokratisierung der Global Governance beziehen. Eine Entwicklungspolitik, die tatsächlich auf eine gerechte Gestaltung der Globalisierung zielte, müsste sich auf allen politischen Ebenen um eine Verständigung auf solche Reformen bemühen ­– und diese im Zweifel auch gegen die Interessen privilegierter Gruppen durchsetzen. Das DIE beteiligt sich an der Debatte darüber, wie eine gerechte Globalisierung aussehen könnte mit einem Forschungsprojekt, das sich mit der Gerechtigkeit des internationalen Handels- und Finanzsystems und der Institutionen der Global Governance beschäftigt.

Le Parti populaire chrétien-social pourrait retrouver le pouvoir au Luxembourg à l'issue des élections législatives du 14 octobre

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Le 6 décembre dernier, la date du 14 octobre 2018 était annoncée pour la tenue des prochaines élections législatives au Luxembourg. Ce même jour, les législateurs du Grand-Duché ont également décidé que la Chambre des députés, chambre unique du Parlement, ne serait plus dissoute le jour des élection...

Ce que révèle le modèle européen de protection des données personnelles

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I Une protection reflétant une ambition européenne La protection des données personnelles est rapidement devenue une question centrale en France et en Europe. Ce droit est formalisé dès 1978 en France avec la loi dite informatique et libertés, en 1981 avec la Convention 108 du Conseil de l'Eur...

Fondation, Quand les Européens se réveillent

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Le président de la Fondation salue les 2 votes du Parlement européen sur le droit d'auteur et la situation en Hongrie, ainsi que le "discours sur l"état de l'Union" qui traduisent un réveil européen.

Elections, Elections législatives au Luxembourg le 14 octobre

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Les Luxembourgeois éliront leurs 60 députés le 14 octobre prochain. Selon la dernière enquête d'opinion réalisée par l'institut TNS, le Parti populaire chrétien-social devrait remporter 26 sièges (+ 3 par rapport à 2013), suivi du Parti démocratique avec 10 élus (- 3), du Parti ouvrier socialiste 9 députés (- 4), des Verts/Dei Greng 7 sièges (+ 1), du Parti réformiste d'alternative démocratique (ADR), 5 (+ 2) et de la Gauche (LG/DL), 3 (+ 1). De nombreux observateurs politiques tablent sur le retour d'un gouvernement de coalition conduit par le Parti populaire chrétien-social. Avec qui? Toute configuration reste envisageable.

Commission, Assistance macrofinancière de 1 milliard € pour soutenir les réformes en Ukraine

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
La Commission européenne a signé le 14 septembre un protocole d'accord avec l'Ukraine portant sur l'octroi d'une assistance macrofinancière d'un montant pouvant atteindre 1 milliard € sous la forme de prêts à moyen et long terme. La prochaine étape est la ratification du protocole d'accord par le parlement ukrainien.

Commission, Discours sur l'état de l'Union, l'heure de la souveraineté européenne

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a plaidé le 12 septembre pour que l'Union européenne, déjà poids lourd économique, renforce son aura politique sur la scène internationale, lors de son dernier discours sur l'état de l'Union devant les députés européens à Strasbourg.

Parlement, Déclenchement de l'article 7 contre la Hongrie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Par 448 voix, contre 197 et 48 abstentions, les députés européens se sont prononcés, le 12 septembre, en faveur du déclenchement de l'article 7 TUE pour violation grave par la Hongrie des valeurs sur lesquelles l'Union est fondée. Le Parlement demande ainsi au Conseil de prendre des mesures à l'encontre d'un État membre dont il estime qu'il agit contre les valeurs fondamentales de l'Union. Il appartient désormais au Conseil de se prononcer sur la question.

Parlement, Stratégie européenne sur les matières plastiques dans une économie circulaire

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Les députés européens ont adopté le 13 septembre par 597 voix, contre 15 et 25 abstentions, un projet de résolution visant à une interdiction des micro-plastiques dans les cosmétiques et des oxodégradables, la définition de normes de qualité pour le plastique recyclé et à des mesures d'encouragement pour la collecte des déchets marins en mer.

Parlement, La politique ''America first'' va à l'encontre du partenariat UE-États-Unis

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Dans une résolution sur l'état des relations entre l'Union européenne et les États-Unis, adoptée le 12 septembre par 490 voix, contre 148 et 51 abstentions, les députés européens soulignent que la relation transatlantique constitue le gage essentiel de la stabilité mondiale, mais regrettent que le gouvernement américain actuel ait choisi la politique unilatérale ''America first'', qui porte préjudice aux intérêts de l'Europe comme à ceux des États-Unis et met à mal la confiance mutuelle.

Parlement, Etat des relations UE - Chine

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Le 12 septembre, les députés européens ont adopté un rapport faisant état des relations avec la Chine. Il y est rappelé que ce partenariat est l'un des plus importants pour l'Union européenne, mais réaffirme la nécessaire promotion de l'État de droit et du principe de réciprocité dans ses relations commerciales.

Parlement, Discours du Premier ministre de Macédoine, Zoran Zaev

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Lors de son discours prononcé à Strasbourg devant le Parlement européen réuni en plénière, le 12 septembre, le Premier ministre macédonien, Zoran Zaev, a plaidé en faveur de l'avenir européen de son pays tout en soulignant les progrès de la Macédoine dans ses efforts pour rejoindre l'Union européenne, ainsi que "l'accord historique" sur le nom avec la Grèce.

Parlement, Nouvelles règles relatives au droit d'auteur à l'heure numérique

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Le 12 septembre, le Parlement a adopté par 438 voix, contre 226 et 39 abstentions, sa position de négociation révisée sur les règles relatives au droit d'auteur, ajoutant des garanties pour protéger les petites entreprises et la liberté d'expression. De plus, les députés ont estimé que les géants de la technologie doivent partager les recettes avec les artistes et journalistes, lorsque leur travail est utilisé par des plateformes de partage. Le Parlement devra maintenant négocier avec le Conseil pour aboutir à une version finale.

Parlement, Alexis Tsipras présente sa vision de l'avenir de l'Europe

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras s'est exprimé le 11 septembre devant le Parlement européen sur sa vision du futur de l'Europe. Il en a profité pour dresser le portrait d'un pays champion des réformes et qui peut s'enorgueillir d'être sorti des plans d'aide européens. Soulignant l'incapacité de l'Union européenne à apporter des solutions fonctionnelles aux crises actuelles, il a appelé à "améliorer la justice et la transparence démocratiques à travers des réformes audacieuses".

Parlement, Vote final sur le corps européen de solidarité

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Les députés européens ont voté, le 11 septembre, 375,6 millions € de crédits sur la période 2018-2020 pour financer le corps européen de solidarité. Initiative lancée en 2017, il permet à des jeunes de s'engager bénévolement dans divers programmes de solidarité en Europe.

Parlement, Programme pour l'avenir de la mobilité dans l'Union européenne

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/09/2018 - 02:00
Les députés européens ont voté, le 13 septembre, en faveur d'une résolution sur l'amélioration de la mobilité européenne. Celle-ci plaide en faveur du développement de moyens de circulation plus sûrs, moins polluants et de solutions usant de technologies plus avancées servant la compétitivité du secteur européen en la matière.

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