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Diplomacy & Defense Think Tank News

Trump enterre “l’Arms Control”

IRIS - Mon, 22/10/2018 - 18:38

Le point de vue de Pascal Boniface, directeur de l’IRIS.

Trump reprend sa bombe

IRIS - Mon, 22/10/2018 - 18:27

Österreichischen Ratspräsidentschaft: Mehr Subsidiarität

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 22/10/2018 - 14:09
Das Subsidiaritätsprinzip gehört zu den Grundprinzipen der Europäischen Union. Zurzeit – während der EU-Ratspräsidentschaft Österreichs – ist europaweit eine Debatte über mehr Subsidiarität im Gange. Zu den profiliertesten Befürwortern dieser politischen Forderung zählen der österreichische Abgeordnete zum Nationalrat Dr. Reinhold Lopatka. Er gehörte zu den neun Mitgliedern der Arbeitsgruppe „Subsidiarität“ der EU-Kommission, die im Sommer 2018 ihre Arbeit abgeschlossen hat. Für Lopatka dient die Beachtung des Subsidiaritätsgrundsatzes dem Zusammenhalt in der Europäischen Union.

« La caste » – 4 questions à Laurent Mauduit

IRIS - Mon, 22/10/2018 - 12:37

Écrivain et journaliste, Laurent Mauduit est cofondateur du journal Mediapart. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage : « La caste : enquête sur cette haute fonction publique qui a pris le pouvoir », aux éditions La Découverte.

Pourquoi, selon vous, une caste a-t-elle réussi à effectuer un hold-up, non seulement économique, mais aussi politique, sur la France ?

L’histoire du premier hold-up est assez simple à retracer. Au fil des privatisations des trente dernières années, des inspecteurs des finances, souvent responsables de leurs mises en œuvre, les ont réalisées à leur propre profit, en prenant les commandes des groupes concernés. Puis, quand l’heure de la retraite a sonné pour certains d’entre eux, l’esprit de corps les a conduits à choisir comme successeurs d’autres inspecteurs des finances. Et le résultat, vous l’avez sous les yeux : plus de la moitié des groupes du CAC 40 ont pour PDG des dignitaires de cette caste. C’est le cas, par exemple du secteur de la banque : de BNP Paribas jusqu’à BPCE en passant par la Société générale (et bien d’autres), tous les banquiers de la place sont issus de l’Inspection des finances. Tous, sans exception.

Mais c’est tout aussi vrai dans d’innombrables autres secteurs. Regardez par exemple la grande distribution. Inspecteur des finances proche de Sarkozy, Alexandre Bompard est le PDG de Carrefour ; inspecteur des finances et ancien directeur de cabinet de Pierre Bérégovoy, Jean-Charles Naouri, préside, lui, aux destinées de Casino. Et quand tous deux envisagent de marier leurs deux groupes, où se réunissent-ils « secrètement », pour engager des pourparlers ? Dans les bureaux d’un troisième inspecteur des finances, qui est l’entremetteur du capitalisme parisien : Alain Minc ! La caste est donc tentaculaire dans la vie des affaires.

Le second hold-up, celui sur la vie publique, a été perpétré dans le prolongement du premier. Car après les pantouflages, la France a connu les rétropantouflages ! D’anciens inspecteurs des finances, partis dans le privé, sont revenus vers le public, et on a assisté à une sorte de privatisation des postes clefs de la République. D’où vient ainsi le gouvernement de la Banque de France ? De BNP Paribas ! Et le directeur général de la Caisse des Dépôts ? De l’assureur Générali ! Et le directeur de cabinet de l’actuel ministre des Finances ? De la banque Mediobanca ! Et le directeur adjoint de ce même cabinet ? De la banque HSBC ! Et la liste serait incomplète, si on ne citait pas aussi le « pantoufleur en chef », Emmanuel Macron lui-même, qui, après l’Inspection des finances, a été pantoufler chez Rothschild, avant de revenir vers la sphère publique. On a assisté, en quelque sorte, à une véritable colonisation de l’État par d’anciens hauts fonctionnaires liés aux puissances d’argent. Une colonisation victorieuse puisque cette caste est même parvenue à porter l’un des siens jusqu’au sommet de l’État.

Encore faut-il préciser que si cette colonisation a été victorieuse, c’est aussi parce que les grands partis, de gauche (PS) comme de droite (LR), rythmant la vie publique française, se sont montrés de plus en plus impuissants face aux avancées d’un capitalisme d’actionnaires de plus en plus intransigeant, et se sont progressivement soumis au détestable diktat « Tina » (« There is no alternative »), au point de conduire des politiques économiques de plus en plus voisines. On a alors assisté à un implacable mouvement de balancier : plus les politiques sont devenus faibles, plus la technocratie est devenue forte. Jusqu’à cette élection présidentielle de 2017. Spectaculaire coup de force : c’est comme si les fermiers généraux, trouvant le Roi trop mou, s’étaient résolus à le renverser et à porter l’un des leurs sur le trône.

La lignée des grands serviteurs de l’État ayant lancé de grands projets pour la France dans les années 1960 est-elle morte ? Si oui, l’attrait du privé et de ses avantages, notamment financiers, en est-il la raison ?

Assurément, cette lignée des grands serviteurs de l’État – sur le modèle de François Bloch-Lainé et de tant d’autres…- est morte. Il est même saisissant de constater à quel point les mutations ont été rapides. S’il était toujours vivant, pensez-vous honnêtement que Pierre Bourdieu réécrirait son célèbre essai sur « La noblesse d’État », qui date de 1989 ? Une partie de la démonstration est toujours d’actualité, notamment celle qui établit les phénomènes de reproduction sociale au terme desquels les enfants des classes favorisées sont toujours ceux qui accèdent le plus facilement à l’École nationale d’administration et aux grands corps de l’État. Mais convenez que ce dernier terme est désormais totalement inapproprié. Comme, avec cette valse incessante des pantouflages et des rétropantouflages, la frontière ancienne entre l’intérêt général et les appétits privés s’est en grande partie effondrée, laissant la place à une porosité généralisée. Mieux vaudrait parler d’une « noblesse privatisée » – ou d’une noblesse public-privé – à l’image de ces partenariats éponymes souvent si sulfureux…

Et cette noblesse privatisée a en horreur les grands projets. Dans ce Nouveau Monde, les comptables dominent, et penser le monde au-delà de six à douze mois est interdit – c’est la doctrine de la direction du Trésor, qui s’est malheureusement propagée. Observez bien que tous les anciens outils de l’État pour penser l’avenir ont été remis en cause. Le Plan ? Supprimé ! La direction de la prévision ? Avalée par la direction du Trésor. Tout un symbole : la prospective mangée par la finance !

Pourquoi en concluez-vous que les intérêts de la France ne constituent plus pour beaucoup une priorité ?

Si par cette question, vous me demandez si cette caste rêve encore de promouvoir la grandeur industrielle de la France, ou de mettre en chantier de grands projets collectifs, la réponse est évidemment non. Ce qui prime pour cette oligarchie de hauts fonctionnaires, c’est d’abord l’intérêt de la finance. Observez bien le comportement d’Emmanuel Macron : derrière les traits du chef de l’État, on devine souvent celui de l’ancien banquier d’affaires.

Était-il de l’intérêt de la France qu’Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, privatise l’aéroport de Toulouse, outil économique et d’aménagement du territoire, au profit d’un oligarque chinois corrompu ? Est-il de l’intérêt du pays qu’Aéroport de Paris soit aussi bientôt vendu à l’encan ? En multipliant ce genre de questions à l’infini, on se prend à chaque fois à se demander qui, dans ce monde consanguin, est réellement aux commandes : l’intérêt général ou de féroces convoitises privées ?

Le « populisme », dénoncé par une partie des élites, ne se nourrit-il pas de ce type de comportements ?

La réponse coule de source. La consanguinité qui s’est installée, tout comme la porosité généralisée, génère des situations préoccupantes de conflit d’intérêts, voire des prises illégales d’intérêt. Mais le propre de l’oligarchie, c’est d’être insubmersible, de survivre à toutes les alternances et de jouir ainsi d’une situation d’impunité. Et dans le cas de la fonction publique (pour ne citer qu’elle), l’effet de cette impunité est ravageur. La commission de déontologie de la fonction publique se montrera très sévère à l’encontre d’une infirmière qui quitte un hôpital public pour s’installer en libérale non loin de là ; mais elle sera très accommodante envers le principal collaborateur du chef de l’État qui donne l’ordre à deux banquiers de fusionner leurs établissements tout en prenant la tête du groupe fusionné.

J’ai même envie de dire les choses de manière plus brutale. Vu de France, on dit parfois, à juste titre, de l’Italie qu’elle dispose d’un capitalisme mafieux ou néo-mafieux. Mais nous n’avons pas la lucidité de dire que notre propre capitalisme a des poches mafieuses ou néo-mafieuses. Même si ces deux systèmes ne sont pas identiques : la mafia italienne est une mafia du « bas », liée à la misère et à la criminalité ; tandis que notre mafia est une mafia du « haut », de caractère oligarchique. Et de cela, le pays n’est pas dupe. Ces passe-droits, ce système de caste, cette capacité à surnager à toutes les alternances, nourrissent évidemment le populisme. Mais quand je parle de « caste », ce n’est pas du tout pour alimenter davantage cette colère malsaine. C’est, tout au contraire, pour inviter à débattre d’une question qui va à rebours du populisme et qui me semble d’une importance considérable : la République a-t-elle une haute fonction publique qui corresponde à ses valeurs ?

 

 

Pourquoi offrir une boîte à montre à votre femme ?

RMES - Mon, 22/10/2018 - 11:13

Généralement, on offre des cadeaux à ses amis ou à sa famille pour une fête, un anniversaire ou toute manifestation. Le premier objectif en le faisant est de faire plaisir à la personne à qui on l’offre. Le choix du cadeau se fait donc en fonction de la personne à qui on veut l’offrir. Pour votre femme, vous pouvez offrir comme cadeau une paire de chaussures, une robe, un sac ou tout autre accessoire féminin. Prenez garde aux idées reçues sur la question quelque peu épineuse. Vous pouvez aussi lui offrir une boîte à montre. Mais pourquoi offrir une boîte à montre à votre femme ?

Aider votre femme à protéger ses montres

Vous avez une femme qui adore les belles montres. Une femme qui n’aime pas sortir sans se mettre une montre au bras. Elle en achète toujours chaque fois qu’elle voit une qui lui plait. Peu importe le prix de la montre, votre femme s’en procure si c’est à son goût.

Mais, pour ranger ses montres, elle les met souvent soit sur la table de nuit soit ensemble avec ses bijoux. Chaque fois vous l’entendez se plaindre qu’une montre s’est brisé quand elle prenait un bijou. Qu’une autre a des rayures au niveau du boitier ou même qu’il y a une montre qu’elle n’a pas retrouvée.

Votre femme est souvent irritée de voir ses montres en mauvais état. Dans ce cas, lui offrir une boîte à montre lui rendrait un grand service. Non seulement cela lui éviterait des crises d’hystérie, mais aussi et surtout lui permettra d’entretenir ses montres et de les mettre en sécurité.

Faciliter le rangement de ses montres pour des voyages 

Votre femme est très attachée à ses montres. Elle aime les voir toujours telles qu’elles ont été à l’achat. Or, elle voyage beaucoup et aime aussi emporter ses montres avec elle. Mais, elle les met dans son sac à main pensant bien les ranger ainsi.

Avant de rentrer il y en a toujours parmi elles qui ont des rayures parce que l’une s’est frottée contre l’autre. Lui offrir une boîte à montre serait lui rendre un grand service. Elle pourrait avec la boîte ranger ses montres. Surtout elle peut voyager sans la crainte de retrouver à destination une de ses montres en mauvais état.

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L'Arabie saoudite et le mirage de la modernité

Institut Montaigne - Mon, 22/10/2018 - 10:28

Pour les Occidentaux, Etats-Unis en tête, Mohammed ben Salmane a représenté l'espoir d'un royaume enfin prêt à devenir fréquentable. Le meurtre barbare de Jamal Khashoggi démontre le contraire. Donald Trump n'en sortira pas indemne. Valeurs ou intérêts, éthique ou realpolitik ? Le meurtre de Jamal Khashoggi par un commando saoudien constitue l'illustration la plus parfaite de ce dilemme au coeur de toute réflexion sur la politique internationale.

Was wurde aus der „Digitalen Kluft“?

Bonn, 22.10.2018. Am Mittwoch feiern die Vereinten Nationen den World Development Information Day. Angesichts der wachsenden Bedeutung der Informationsgesellschaft für die weltweite Entwicklung, bietet dieser Tag eine gute Gelegenheit zur Reflexion. Insbesondere lohnt es sich, darüber nachzudenken, ob die Gefahr einer digitalen Nord-Süd-Kluft gebannt werden konnte. Diese Sorge um eine digitale Teilung der Welt in jene mit Zugang zu modernen Informationstechnologien und jene ohne dominierte die internationale Diskussion um die Jahrtausendwende. In dieser Zeit reifte die Erkenntnis, dass ein ungleicher Zugang zu digitaler Infrastruktur und Technologie viel mit Gerechtigkeit und fairer Chancenverteilung zu tun haben. In den Jahren 2003 und 2005 fanden zwei Weltgipfel zur Informationsgesellschaft (World Summit on the Information Society, WSIS) statt. Zu dieser Zeit belegten alle Indikatoren eine extrem ungleiche digitale Entwicklung zwischen dem Globalen Norden und dem Globalen Süden: Noch 1998 standen rund 73 Prozent aller Hostcomputer in Nordamerika und weitere 18 Prozent in Europa. Nur 4 Prozent aller Internetnutzer lebten in Lateinamerika und 1 Prozent in Subsahara-Afrika. Die Gefahr einer Abkopplung des Südens von der globalen Informationsgesellschaft war offensichtlich. Internationale und entwicklungspolitische Bemühungen waren daher primär auf den verbesserten Zugang zu Infrastruktur und IT-Diensten gerichtet. Dies geschah beispielsweise durch die Einrichtung multimedialer Telecenter, die auch ärmeren Bevölkerungsschichten die Nutzung von E-Mail und Internet ermöglichten. Konnte die „Digitale Kluft“ überwunden werden? Von 2000 bis 2015 nahm der Anteil der Internetnutzer/innen weltweit von knapp über 6 Prozent auf 43 Prozent zu. Bis heute bestehen deutliche Unterschiede je nach Entwicklungsstand des jeweiligen Landes, zwischen städtischen und ländlichen Räumen und zwischen den Geschlechtern. Nutzten in 2016 rund 81 Prozent der Menschen in den entwickelten Ländern das Internet, waren es 40 Prozent in Entwicklungsländern und nur 11 Prozent in den Least Developed Countries (LDCs). Menschen in ländlichen Räumen haben deutlich seltener Zugang zum Netz als diejenigen in urbanen Räumen. Männer nutzen häufiger das Internet als Frauen. Ein Unterziel der Sustainable Development Goals, SDG 9, sieht vor, einen universellen und erschwinglichen Zugang zum Internet bis 2020 zu ermöglichen. Dies ist ambitioniert und kann nur über strategische öffentlich-private Partnerschaften erreicht werden. Zahlreiche Initiativen großer Privatunternehmen können hier beobachtet werden. Nicht alle sind zweifelsfrei nur am globalen Gemeinwohl orientiert, aber die Kompetenzen und die Investitionskraft privater Unternehmen sind unverzichtbar zur weiteren Schließung der digitalen Kluft. Der europäische Luftfahrtkonzern Airbus hat kürzlich im Rahmen der „Make-IT-Allianz“ eine Entwicklungspartnerschaft mit dem Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) unterzeichnet. Sie soll lokale Startups unterstützen, die Luftfahrt- und Satellitentechnik nutzen, um neue Lösungen für den Zugang zum Internet in abgelegenen Gebieten zu entwickeln. Facebook unterstützt mit der Initiative „Express Wi-Fi“ lokale Unternehmen beim Aufbau von Wi-Fi-Hotspots, die den Zugang zum Internet verbessern sollen. Doch um die Abhängigkeit des Südens von den Technologiekonzernen des Nordens nicht zu verstetigen, müssen auch lokale Ansätze unterstützt werden. Das Projekt „Gram Marg“ in Indien ist hierfür ein gutes Beispiel. Es soll über ungenutzte TV-Frequenzen 5G-Internetzugang in ländlichen Regionen herstellen. Blickt man auf WSIS zurück, lässt sich feststellen: Der 2003 geführte Diskurs um die Zukunft des Internets hat sich von einer technischen Debatte mit einigen politischen Implikationen 2018 zu einer stark politisierten Debatte mit einigen technischen Aspekten gewandelt. Der Zugang zum Internet im Sinne von Infrastruktur, Kosten, aber auch Kompetenzen und lokalen Inhalten ist dabei nur eine Herausforderung unter anderen. Daneben stehen Fragen nach einem Völkerrecht des Netzes, Cyber Security, digitalem Handel, Dateneigentum und der Schutz der Privatsphäre. Entwicklungs- und Schwellenländer stehen vor der Herausforderung, sowohl in die technischen Grundlagen als auch in digitale Bildung sowie die Politikgestaltung gleichermaßen zu investieren. Dieser Beitrag gibt ausschließlich die persönliche Meinung der Autoren wieder.

Elecciones en Quebec: el retroceso del soberanismo abre una nueva etapa

Real Instituto Elcano - Mon, 22/10/2018 - 07:38
Francisco Javier Romero Caro. Comentario Elcano 49/2018 - 22/10/2018

El resultado electoral abre ahora mismo la puerta a una nueva dinámica donde la competición electoral deje de girar en torno al eje soberanía-federalismo que ha dividido a la sociedad quebequesa durante 50 años, regresando al tradicional izquierda-derecha.

A la une !, USA-Europe: et maintenant le nucléaire

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Dans son dernier éditorial, Jean-Dominique Giuliani plaide pour l'ouverture de discussions entre alliés européens autour de l'épineuse question de la dissuasion nucléaire alors que les Américains ont fait part de leur intention de se retirer du Traité sur les forces nucléaires intermédiaires (FNI).

Conseil européen, Discussions sur la migration, la sécurité et la zone euro

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Les 28 chefs d'Etat et de gouvernement ont appelé le 18 octobre à trouver un accord concernant le régime du droit d'asile et le renforcement des garde-côtes et gardes-frontières. Ils ont souhaité intensifier la coopération avec les pays-tiers pour stopper les passeurs. En matière de sécurité, ils ont demandé aux ministres d'élaborer un régime de sanctions spécifiques aux cyberattaques. Ils ont aussi confirmé la tenue du Sommet UE-Ligue Arabe le 24-25 février 2019. Quant à la zone euro, ils espèrent trouver un accord sur l'union bancaire et le Mécanisme européen de stabilité (MES) en décembre.

Conseil européen, Pas de progrès sur le Brexit

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Les dirigeants européens, réunis le 17 octobre à Bruxelles, ont constaté que les progrès dans les négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union sont insuffisants. Ils se sont dits prêts à accepter une prolongation de la période de transition qui suivrait la sortie, et ont confié au négociateur en chef Michel Barnier la mission de décider quand des "progrès décisifs" auront été faits, afin de convoquer une nouvelle réunion.

Diplomatie, Sommet UE-Corée

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
L'Union européenne et la Corée du Sud ont dressé le 19 octobre un bilan de leurs relations bilatérales, notamment concernant la mise en œuvre de l'accord de libre-échange signé en 2011. Ils ont réaffirmé l'importance du multilatéralisme et de la réforme de l'OMC. Ils ont échangé sur la question de la dénucléarisation de la péninsule coréenne et ont réfléchi à une coopération en matière de recherche et de lutte contre le changement climatique.

Diplomatie, L'Union européenne et Singapour signent trois traités économiques et politiques

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Le 19 octobre, l'Union européenne et Singapour ont signé trois accords pour faire progresser leurs relations politiques et commerciales. Il s'agit d'un accord commercial, d'un accord de protection des investissements et d'un accord-cadre de partenariat et de coopération dans le domaine économique et politique. L'accord commercial entrera en vigueur en 2019 après approbation du Parlement européen, tandis que les deux autres suivront une procédure de ratification par les Etats membres.

Diplomatie, Adoption de deux accords économiques avec le Vietnam

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
La Commission a adopté le 17 octobre un accord de libre-échange et un accord sur la protection des investissements entre l'Union européenne et le Vietnam. L'accord commercial réduit les droits de douanes mais comporte un engagement juridique permettant de prendre des mesures en cas de violation des droits de l'Homme, des droits du travail, de non-respect de l'Accord de Paris de 2015. L'accord commercial doit maintenant être signé par le Conseil et approuvé par le Parlement. Celui sur les investissements devra être ratifié par les Etats membres.

Diplomatie, Conclusions du 12ème Sommet Asie-Europe

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Lors du 12ème sommet Asie-Europe (ASEM) les 18 et 19 octobre, les dirigeants européens et asiatiques ont souligné l'importance d'accomplir l'Agenda 2030 pour le développement durable et reconnu que le changement climatique était un "défi sérieux". Ils ont renouvelé leurs engagements pour la non-prolifération des armes chimiques et la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Ils ont insisté sur l'importance du multilatéralisme dans la gouvernance mondiale. Ils ont discuté des opportunités libérées par une connectivité accrue entre les deux continents. Leurs échanges ont aussi porté sur le droit des femmes, l'accès à l'éducation et les migrations.

Diplomatie, Réunion avec les pays d'Asie du Sud-Est

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Les dirigeants de l'Union européenne et de l'ASEAN (Asie du Sud-Est) se sont réunis le 19 octobre pour discuter de l'approfondissement de leurs relations économiques et politiques. Ils ont souligné l'importance du système multilatéral et de la réforme de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Ils ont aussi échangé sur le climat, la coopération en matière de sécurité et leurs valeurs partagées de la démocratie et des droits de l'Homme.

Diplomatie, Coopération économique Union européenne -Japon

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
L'union européenne et le Japon se sont réunis le 22 octobre à Tokyo pour la 1ère réunion du dialogue économique. Les deux parties ont réaffirmé leur détermination à permettre l'entrée en vigueur rapide de l'accord de partenariat économique UE-Japon et à déployer tous leurs efforts pour promouvoir l'achèvement de leurs procédures internes respectives d'ici la fin de cette année.

Commission, Lutte contre la désinformation

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Le 16 octobre, la commissaire européenne Mariya Gabriel a présenté les feuilles de route spécifiques décrivant des mesures concrètes mettant en œuvre le code de bonnes pratiques contre la désinformation en ligne.

Commission, Fonds pour l'aide à l'Afrique et les énergies propres

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Breakthrough Energy, fonds porté par Bill Gates, et la Commission ont signé un protocole d'accord le 17 octobre pour la création de Breakthrough Energy Europe (BEE). Il s'agit d'un fonds d'investissement, doté de 100 millions €, destiné à aider les entreprises européennes à développer et commercialiser des technologies nouvelles dans le secteur des énergies propres. Le 18 octobre, la Commission a annoncé une contribution de 54 millions € de la Fondation Bill & Melinda Gates pour soutenir les efforts de l'Union dans le renforcement des services de diagnostics médicaux en Afrique subsaharienne.

Commission, Mandat pour négocier avec les Etats-Unis sur les importations de viande bovine

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/10/2018 - 02:00
Le Conseil a autorisé le 19 octobre la Commission à lancer des négociations avec les Etats-Unis concernant les importations de viande bovine sans hormones. Le but est de régler un différend avec l'OMC dont la solution trouvée en 2009 et révisée en 2014, créant un quota d'importations de viande bovine américaine sans hormone, ne satisfait plus les Etats-Unis.

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