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Diplomacy & Defense Think Tank News

It’s all about Health Care : la santé au cœur des élections de mi-mandat aux Etats-Unis

Institut Montaigne - Wed, 24/10/2018 - 16:29

Le 6 novembre, les Américains iront voter pour renouveler la totalité de la Chambre des représentants (435 sièges) et un tiers des sièges du Sénat. Cette journée sera aussi l’occasion de voter pour plus de 6 500 mandats locaux dont 36 postes de gouverneurs et de répondre à de nombreuses consultations locales. La santé est au cœur de tous les débats, l’Obamacare ou Affordable Care Act (ACA) de 2010 constituant plus que jamais un enjeu majeur…

Julien nous raconte pourquoi il a créé son site

RMES - Wed, 24/10/2018 - 16:28

Vous êtes-vous déjà réveillé au milieu de la nuit, pour ressentir des douleurs au niveau de votre dos ? Si oui, sachez qu’il existe une solution à ce problème : la table inversion.

En effet, cette dernière permet de soulager le plus rapidement possible les douleurs lombaires, sans que vous ayez à prendre un traitement médicamenteux. Nous sommes allés à la rencontre de Julien, qui a créé un site exclusivement dédié aux tables inversion. Nous lui avons donc demandé pourquoi un tel site. Voici sa réponse !

Julien, quelle est la raison principale pour laquelle tu as créé ton site de table inversion ?

J’ai créé mon site de table inversion, tout simplement parce que j’ai remarqué que la majeure partie des Français ressentent des douleurs lombaires. En réalité, les différentes activités que nous exerçons, mais également la position que nous adoptons au cours de la nuit, sont susceptibles d’entraîner des maux de dos.

Savez-vous qu’au moins 3 Français sur 5 ressentent des douleurs lombaires au cours de la journée ? Il s’agit d’une statistique qui m’a également étonné, jusqu’à ce que je ressente moi-même des douleurs lombaires, en raison de l’activité que je menais à l’époque. Ayant fait des recherches, j’ai remarqué que la table inversion constitue une solution adéquate, et je parle d’expérience.

Est-ce à dire que la table inversion est la seule solution aux douleurs lombaires ?

Il ne serait pas très correct d’affirmer cela. En effet, la table inversion constitue l’une des solutions que vous pouvez adopter, pour régler vos soucis de dos. En effet, il est toujours possible de vous orienter vers la bonne vieille méthode des traitements médicamenteux, pour pouvoir soulagez vos douleurs. Toutefois, la table inversion constitue un investissement des plus utiles.

En réalité, vous n’avez pas à effectuer des consultations à tout bout de champ, avant de pouvoir utiliser votre table inversion. Tout ce qu’il vous suffit de faire ici, est vous en procureur une avec le budget que vous aurez établi, avant de commencer par l’utiliser. Il n’est d’ailleurs pas rare que les médecins en disposent pour soulager les patients.

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La différence entre poussette et landau. 

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Retrait américain du traité nucléaire FNI : quelles conséquences ?

Institut Montaigne - Wed, 24/10/2018 - 15:33

Alors que Donald Trump a confirmé, samedi 20 octobre, le retrait des Etats-Unis du traité sur les Forces Nucléaires de portée Intermédiaire (INF Treaty), le processus de dénucléarisation engagée à la fin de la guerre froide se retrouve affaibli. La décision américaine redessine les équilibres géopolitiques entre les puissances nucléaires, ainsi que les possibilités d’accords avec l’Iran et la Corée du Nord. Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour…

UN Reforms for the 2030 Agenda

SWP - Wed, 24/10/2018 - 00:00

UN Secretary-General António Guterres has initiated various reform pro­cesses to effectively implement the 2030 Agenda for Sustainable Development. Member states have already agreed to reorganise the United Nations (UN) development system. While further in-depth reforms are necessary, they would be difficult to realise in the current political context. Improve­ments to working methods and practices, however, are within the realm of the possible.

This study starts by examining what working methods and practices helped member states consensually adopt the ambitious 2030 Agenda, including the Sustainable Development Goals (SDGs) agreed in it, in Sep­tember 2015. The High-Level Political Forum on Sustainable Development (HLPF) is currently the heart of the UN’s sustainable development governance. It is meant to support member states in taking on political leadership and responsibility for implementing the 2030 Agenda and SDGs. An analysis will show, however, that the HLPF risks failing in its task: the complexity of the 2030 Agenda, the HLPF’s broad mandate, the large number of partici­pants, and their high expectations are creating problems for a forum that – having been founded in 2013 – is not sufficiently equipped for this.

In 2016 member states already decided to review the format and organi­sational aspects of the HLPF in 2019–2020. Drawing on an analysis of the HLPF’s current working methods and practices, this study explores ideas for improvements.

Nicht allein Trump ist das Problem – Zum Umgang Deutschlands mit den USA

SWP - Wed, 24/10/2018 - 00:00

Donalds Trumps Politik des »America First« untergräbt die Grundlagen der tradi­tio­nellen amerikanischen Führungsrolle. Innenpolitisch mag Trump nach den Zwischen­wahlen im November 2018 unter Druck geraten, sollten die Demokraten die Mehrheit zumindest in einem der beiden Häuser des Kongresses erlangen. Doch dies würde an den unilateralen Tendenzen der gegenwärtigen US-Außenpolitik und an der immer härteren Gangart gegenüber Moskau und Peking kaum etwas ändern. Wie lange Trump auch Präsident bleiben mag – sicher ist nur, dass die außenpolitische Debatte in den USA in Bewegung geraten ist. Das Nachdenken über den strategischen reflek­tierten Umgang mit den Vereinigten Staaten bleibt daher eine zentra­le Herausforderung für die deutsche Außenpolitik. Dies gilt nicht zuletzt mit Blick auf den amerikanisch-chinesischen Machtkonflikt und transatlantische Ver­werfungen, die sich daraus ergeben könnten.

<p class="text-align-justify">Mardi 16

Institut Montaigne - Tue, 23/10/2018 - 18:24

Mardi 16 octobre un événement a été organisé autour de Maya Kandell, chercheure associée à l'Université Paris 3, Dominique Moïsi, conseiller spécial géopolitique à l’Institut Montaigne, et Torrey Taussig, nonresident fellow à la Brookings Institution. Ils ont partagé leur analyse sur l'impact que pourraient avoir les résultats des "Midterms", ce 6 novembre, sur la politique étrangère des Etats-Unis, en cas de victoire ou de défaite des démocrates au Sénat…

<p class="text-align-justify">Jeudi 27

Institut Montaigne - Tue, 23/10/2018 - 18:20

Jeudi 27 septembre a été organisé un événement autour de Nick Butler, professeur au Policy Institute du King’s College de Londres, Robin Niblett, directeur de Chatham House, et Pierre Sellal, ancien représentant permanent de la France auprès de l’UE et président de la Fondation de France. Ces trois intervenants nous ont livré leur analyse de l'état des négociations autour du Brexit, six mois avant la sortie officielle du Royaume-Uni de l'Union européenne.

Résumé de la conférence Progressisme, mais encore ?

Fondapol / Général - Tue, 23/10/2018 - 16:59

La Fondation pour l’innovation politique s’est s’associée à la Fondation Jean Jaurès pour prendre part au colloque organisé par La République En Marche autour du sujet « Progressisme, mais encore ? ». Cet évènement a eu lieu le 20 octobre 2018, de 10h à 16h, au Palais des congrès d’Issy-les-Moulineaux, devant près de 1 000 […]

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Budget italien : l’escalade que personne ne peut se permettre

IRIS - Tue, 23/10/2018 - 16:34

La coalition populiste au pouvoir en Italie est actuellement mise à mal par des rivalités de pouvoir et une lutte interne notamment à propos du budget italien prévisionnel de 2019. Pour ne rien arranger, l’agence de notation Moody’s vient d’abaisser d’un cran la note de la dette italienne. Qu’est-ce que cela augure pour le gouvernement italien et le budget prévisionnel du pays ? Qu’entrainerait le rejet du budget italien par la Commission européenne ? L’UE s’est également adressée à cinq autres pays concernant leur projection budgétaire. Quels sont les autres pays européens qui inquiètent les instances européennes ? L’analyse de Rémi Bourgeot, économiste, chercheur associé à l’IRIS.

Une lutte interne à la coalition au pouvoir, entre La Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement 5 étoiles de Luigi Di Maio, semble avoir lieu, notamment sur le programme budgétaire d’amnistie fiscale. De quoi s’agit-il ? Quelles sont les grandes lignes de ce programme budgétaire ? Présente-t-il des enjeux et risques particuliers ? 

Derrière cette coalition de partis populistes et leur volonté commune de mettre en œuvre une sorte de plan de relance persistent naturellement des visions et des intérêts différents. Sur la question budgétaire, le Mouvement 5 Étoiles, qui séduit plutôt au sud du pays les populations paupérisées, défend une augmentation de la dépense publique au moyen notamment d’une garantie de revenu générale. La Ligue, pour sa part, défend davantage les baisses d’impôts, et son approche parle notamment aux patrons des petites entreprises du Nord. Si les deux partis s’unissent dans une volonté de relance budgétaire, avec un budget prévu à 2,4% du PIB (au lieu des 0,8% prévus par le gouvernement précédent), c’est donc en réalité de façon assez différente au départ. Et chacun entend sans grande surprise faire aboutir ses propres promesses électorales, qui se sont concentrées sur des sujets différents, si ce n’est leur insistance commune à revenir sur la réforme des retraites de 2011.

Pour la Ligue, en plus des baisses d’impôts, cela passe notamment par un programme d’amnistie fiscale, qui n’est guère populaire auprès des électeurs du M5S. Luigi Di Maio a ainsi accusé Matteo Salvini d’avoir modifié le texte sur l’amnistie fiscale, qui doit normalement s’appliquer aux dossiers allant jusqu’à 100 000 euros en tout, pour inclure, de façon bien plus généreuse, les dossiers qui comprennent un ensemble de sommes allant chacune jusqu’à ce montant. Di Maio a dénoncé cette tension de façon spectaculaire dans les médias, laissant penser au passage qu’il voit la Ligue et Salvini davantage comme des compagnons de circonstance que comme des alliés historiques. Bien que les deux soient unis dans la défense de leur programme budgétaire commun, Di Maio perçoit avec anxiété la prédominance de Salvini dans les débats nationaux et ses avancées sur la scène européenne, alors que le M5S peine à combler son déficit de compétence politique.

En plus du bras de fer sur le budget italien prévisionnel de 2019, entre d’un côté Luigi Di Maio et Matteo Salvini, et de l’autre les instances européennes, l’agence de notation Moody’s a abaissé d’un cran, à « Baa3 », la note de la dette italienne ce 19 octobre. Qu’est-ce que cela augure pour le gouvernement italien et leur budget prévisionnel ? Qu’entrainerait le rejet du budget italien par la Commission européenne ? 

Les attaques de Jean-Claude Juncker et de Pierre Moscovici à l’encontre du budget italien devraient se traduire par des demandes de modification et par le lancement d’une procédure pour déficit excessif, mais sans que la lointaine menace de sanctions financières ne se concrétise. Une dégradation encore plus marquée des relations entre le gouvernement italien et les institutions européennes risquerait de se traduire par une envolée supplémentaire des taux d’intérêt, accroissant dès lors le risque d’une nouvelle crise de l’Euro, alors que la BCE retire irrémédiablement son soutien monétaire aux gouvernements et aux marchés de dette.

Le déficit budgétaire prévu par le gouvernement populiste reste en deçà de la limite symbolique de 3% du PIB prévu par le cadre européen, mais c’est surtout l’idée même d’une relance budgétaire reposant sur des mesures de dépense structurelle, qui suscite l’ire de la Commission. L’Italie est pénalisée par le poids de sa dette publique, à plus de 130% du PIB et la faiblesse structurelle de sa croissance, contrainte par de faibles gains de productivité. S’y ajoute la fragilité du système bancaire, dont la montagne de créances douteuses résulte en grande partie de l’atonie économique des vingt dernières années. Le PIB par habitant du pays dépasse à peine le niveau de 1999, année d’entrée en vigueur de l’euro. L’envolée de la dette a notamment été encouragée par le cadre monétaire. Au cours des années 1980, l’endettement public a crû de façon exponentielle du fait de la politique de taux d’intérêt particulièrement élevés pratiquée par la Banca d’Italia, qui visaient à stabiliser le taux de change de la Lire vis-à-vis du Deutschemark, ce qui a propulsé le taux d’endettement public vers le seuil des 100% du PIB. Les années 1990 ont été une décennie assez intéressante sur le plan de la dynamique industrielle, à la suite de la dépréciation de la Lire, consécutive à l’explosion du Système monétaire européen en 1993 ; ce qui a par ailleurs permis de mettre en œuvre des réformes substantielles sur fond de renforcement de la conjoncture. À partir de 1999, le pays a vu sa compétitivité s’éroder continuellement pour des raisons essentiellement liées aux différences d’inflation qui persistaient avec l’Allemagne, à taux de change nominal désormais fixe, et à la stagnation de la productivité. Puis la crise de l’Euro, en plus d’affaiblir considérablement la base économique du pays, a remis la dette sur une voie incontrôlable, sous le coup de taux d’intérêt exorbitants et de mesures d’austérité contreproductives.

Ce que l’on peut reprocher au programme budgétaire de la coalition, c’est de faire assez largement l’impasse sur la question du redéploiement industriel du pays. Plutôt que de mettre en œuvre des mesures qui doivent profiter directement à leurs électorats respectifs et se traduire notamment par une hausse des importations (qui s’élèvent déjà à 28% du PIB), des mesures bien plus ambitieuses sur l’investissement dans les infrastructures et les technologies productives auraient à la fois eu un effet de relance macroéconomique bénéfique à l’emploi et auraient contribué à améliorer la productivité du pays. Il aurait par ailleurs été bien plus aisé de contrer ainsi les critiques de Pierre Moscovici, en invoquant la modernisation économique du pays.

Le pays conserve une base industrielle intéressante, et affiche aujourd’hui un excédent commercial substantiel. Par ailleurs, sa position extérieure nette est à peu près équilibrée ; ce qui signifie que, malgré son haut niveau d’endettement public, l’Italie dans son ensemble n’est pas franchement débitrice vis-à-vis du reste du monde en termes de dette et d’investissement, que ce soit du point de vue des stocks (position extérieure nette) ou des flux (balance courante). C’est notamment cette autonomie financière qui vaut au pays de conserver une note correcte auprès des grandes agences de notation, malgré la récente dégradation par Moody’s, qui s’accompagne toutefois d’une perspective stable. Malgré la sensibilité mécanique de la dette publique au niveau des taux d’intérêt de marché (qui ont crû avec la polémique européenne en cours) et la vulnérabilité du système bancaire, on ne peut comparer la position de l’Italie sur les marchés à celle des autres pays du sud de la zone euro au début de la crise, qui était alors marquée par des déficits extérieurs considérables.

Après celle envoyée au gouvernement italien, Jean-Claude Juncker s’apprête à publier à nouveau plusieurs « lettres d’information » à cinq ou six autres pays européens. Quels sont ces pays ? Existe-t-il d’autres pays européens ayant des prévisions budgétaires inquiétant les instances européennes ?

Ces pays sont ceux auxquels la Commission reproche de ne pas réduire le déficit structurel au rythme prévu, à savoir environ 0.2 point de PIB au lieu de 0.6 point. Il s’agit de la France, de l’Espagne, du Portugal, de la Belgique et de la Slovénie. Dans l’ensemble, les pays touchés par la crise de l’Euro ont (hors Grèce) renoncé aux mesures d’austérité les plus strictes autour de 2012, lorsque les experts du FMI se sont désolidarisés de la Commission, en critiquant son interprétation du lien entre comptes publics, croissance économique et désendettement. On assiste depuis à la mise en place de politiques relativement ambiguës.

Le Portugal est un exemple intéressant, car il a été mis en avant comme bon élève des réformes structurelles dans le contexte de son programme d’aide, au contraire de la Grèce. Finalement, quand un gouvernement populiste de gauche a été élu en annonçant mettre fin à la politique d’austérité des gouvernements précédents, les autorités européennes ont préféré trouver une sorte de modus vivendi. Dans un contexte certes plus tendu, le gouvernement italien et les institutions européennes ont un intérêt commun à une désescalade. La coalition populiste cherche à tout prix à éviter une crise de la dette qui serait provoquée par une aggravation des tensions sur les marchés, tout comme la Commission et les gouvernements allemand et français qui tentent de ne pas pousser l’Italie vers la sortie de la zone euro ; qui signifierait le début de la fin de l’union monétaire. Bien que le sujet soit rejeté par les dirigeants populistes italiens qui redoutent d’avoir à gérer une nouvelle crise financière, ce spectre continue de hanter les débats européens et force pour l’heure les divers acteurs à s’entendre. Alors que l’essentiel des projets de renforcement institutionnel de la zone euro a été rejeté par le gouvernement allemand, confronté au virage identitaire en cours sur sa scène politique nationale, l’idée de solidarité financière et de cohésion au sein de cette zone ne cesse de reculer.

Derrière le mélange de défiance et de recherche de modus vivendi qui domine actuellement le paysage européen, on voit autant en Italie qu’en Allemagne monter très discrètement une réflexion monétaire alternative au consensus des deux dernières décennies.

Prix Nobel, croissance économique et changements climatiques

Institut Montaigne - Tue, 23/10/2018 - 16:24

Lundi 8 octobre dernier, le prix de la banque de Suède en sciences économiques à la mémoire d’Alfred Nobel, plus connu sous le nom de "Nobel d’économie", a été décerné à deux économistes américains : Paul Romer, et William Nordhaus pour leur travaux sur l’importance de l’innovation dans la croissance et l’économie du changement climatique. Comment interpréter leur nomination ? Quelle est la place aujourd’hui de l’économie, de la finance et de l’innovation dans…

The Future of Schengen

SWP - Tue, 23/10/2018 - 15:00

The free movement of people is considered one of the key achievements of the Euro­pean Union. Even though the Schengen Agreement has survived the most difficult phase of the refugee crisis, it is now under threat again. It is no longer possible to reconcile temporary internal border controls that Germany, France, Austria, Sweden, Denmark and Norway introduced in 2015 with the stipulated deadlines and procedures of the Schengen regulation. The common European regime is increasingly at risk due to concerns over narrow domestic policies or that individual countries, in particular Denmark, will exit. Such a potential break would be drastic, especially for the Nordic states where the principle of open internal borders has previously been practiced for decades, but whose recent controls have so far received less attention in the European debate. A compromise is, therefore, urgently required to fully restore the free movement of people in the Schengen area whilst, at the same time, taking greater account of the security interests of the member states. As the main trigger for border controls, Germany has a key role to play here.

Fake News, complotisme et désinformation

IRIS - Tue, 23/10/2018 - 14:26

Olivier Ravanello est journaliste, présidente et directeur de la publication « Explicite.info ». Il répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux Géopolitiques de Nantes organisés par l’IRIS et le lieu unique avec le soutien de Nantes métropole, les 28 et 29 septembre 2018 :
– Comment le modèle des médias indépendants permet-il de lutter contre les fake news ?
– Quel est le rôle des pouvoirs publics dans la lutte contre les fake news ?
– Quels sont les travers du journalisme d’aujourd’hui selon vous ?

Interview zum israelischen Nationalstaatsgesetz : Demokratie unter Beschuss

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 23/10/2018 - 13:05
70 Jahre nach seiner Staatsgründung verabschiedet Israel ein Nationalstaatsgesetz, das Israel als Nationalstaat des jüdischen Volkes definiert. Gefährdet das die Demokratie im einzigen demokratischen Staat des Nahen Ostens?

Kommunal- und Provinzratswahlen in Belgien: Polarisierung zwischen Wallonien und Flandern

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 23/10/2018 - 11:36
Die Ergebnisse der Kommunal- und Provinzialratswahlen vom 14. Oktober bestätigen den Trend: Flandern rückt weiter nach rechts, Wallonien weiter nach links. Was bedeutet das für den Zusammenhalt Belgiens?

Maritime Nuclear Deterrence

SWP - Tue, 23/10/2018 - 00:00

China has a modest nuclear deterrent in terms of cost and scale, compared to the United States and Russia. Beijing does not strive for the ability to conduct nuclear wars, but rather seeks to deter aggression at a low level with a secure second strike capability. In contrast to its rapid conventional armament, China has in the past modernized its nuclear weapons systems only slowly and in small numbers. It appar­ently does not strive for equality with the nuclear weapons capability of the US or Russia and wants to avoid a symmetrical arms race. Recently, however, the Chinese leadership has been pursuing an increasingly ambitious policy of asymmetric nuclear armament. Land-based, long-range ballistic missiles are being deployed in a mobile mode and equipped with manoeuvrable multiple warheads; hypersonic weapon sys­tems are being developed, and submarines are now also being equipped with strategic nuclear weapons. New missiles can reach the US, even if launched from the South China Sea. Deploying nuclear weapons on submarines requires a great deal of effort, poses complex challenges and involves high costs. Why did China choose this solution and may it represent a turning point in the development of its nuclear strategy?

Über 500.000 in London auf der Straße: Demonstration für einen neuen Volksentscheid

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 23/10/2018 - 00:00
Die Parteien sind gespalten, die Bürger verlieren ihr Vertrauen in die Politik. Ein zweites Referendum könnte neuen Schwung in die verfahrene Situation bringen.

Protecting Civilians and Managing Threats

European Peace Institute / News - Mon, 22/10/2018 - 19:17

On Friday, October 26th, IPI together with the Directorate General for International Relations and Strategy (DGRIS) of the French Ministry of Defense and the Government of the Kingdom of the Netherlands are cohosting a seminar on “Protecting Civilians and Managing Threats: Non-state Armed Groups, Violent Extremism, and the Role of UN Peace Operations.”

Remarks will begin at 10:15am EST / 7:15am PST

This seminar will explore difficulties faced by UN peace operations to protect civilians in complex environments, where creative solutions are needed to address non-state armed groups and violent extremism. It will provide the opportunity to present and discuss two IPI policy papers focusing on “engaging armed groups for the protection of civilians” and “protecting civilians in contexts of violent extremism and counter-terrorism.” Both papers will be published in October as part of IPI’s Protection of Civilians project.

Welcome Remarks
Dr. Adam Lupel, Vice-President, International Peace Institute
Gen. Thierry Lion, Senior Military Advisor, Permanent Mission of France to the United Nations
Rear Admiral (LH) Peter van den Berg, Senior Military Advisor, Permanent Mission of the Kingdom of the Netherlands to the UN

Opening Remarks
Mr. David Haeri, Director, Division of Policy, Evaluation and Training (DPET), UN Department of Peacekeeping Operations/Department of Field Support TBC

Session 1: Engaging with armed groups for the Protection of Civilians

Chair:
Dr. Youssef Mahmoud, Senior advisor, International Peace Institute

Speakers:
Mr. Ralph Mamiya, Non-resident Advisor, International Peace Institute, Former Protection of Civilians Team Leader, UN Department of Peacekeeping Operations/Department of Field Support
Ms. Naomi Miyashita, Policy Planning Team Leader, Division of Policy, Evaluation and Training (DPET), UN Department of Peacekeeping Operations
Ms. Agnes Coutou, Peacekeeping and Protection Advisor, International Committee of the Red Cross (ICRC)
Dr. Michael Semple, Practitioner Chair, Institute for Global Peace, Security and Justice, Professor, Queens’ University Belfast
Mr. Adam Day, Head of Programmes, United Nations University – Centre for Policy Research

Keynote speaker:
Mr. Jack Christofides, Africa II Division, UN Department of Peacekeeping Operations

Session 2: Protection of Civilians in Contexts of Violent Extremism: the case of Mali

Chair:
Mr. Jake Sherman, Director of the Center for Peace Operations, International Peace Institute

Speakers:
Dr. Namie Di Razza, Research Fellow, International Peace Institute
Mr. Samuel Gahigi, Mali Integrated Operational Team Leader, UN Department of Peacekeeping Operations
Dr. Alpha Oumar Ba-Konaré, Independent Expert, National Institute for Oriental Languages and Civilizations (INALCO Paris)
Dr. Marie-Joëlle Zahar, Non-resident Senior Fellow, International Peace Institute, Professor, University of Montreal
Ms. Chloe Marnay-Baszanger, Peace Missions Support Section, Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights

Closing Remarks
Mr. Olivier Landour, Directorate general for International Relations and Strategy (DGRIS), French Ministry of Armed Forces (TBC)
Mr. Jake Sherman, Director, Brian Urquhart Center for Peace Operations, International Peace Institute

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