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Diplomacy & Defense Think Tank News

Pourquoi les emplois les plus menacés par la robotisation et l’automatisation ne sont pas ceux qu’on croit

IRIS - Mon, 29/10/2018 - 15:12

Alors que les défis que représentent la robotisation et l’automatisation des tâches sont généralement perçus comme confinés aux emplois les moins qualifiés, plusieurs études (Brookings Institution Novembre 2017) ont pu mettre en évidence la vulnérabilité des emplois qualifiés. Notre perception de cette situation n’est-elle pas viciée en ce sens ?

L’effondrement des emplois industriels au cours des quatre dernières décennies dans les pays développés a eu tendance à être attribué au progrès technique plus qu’à la mondialisation des chaînes de production.

Sur la base de cette interprétation, qui est désormais remise en question par l’analyse sectorielle de la productivité, on a souvent pensé que l’automation menaçait essentiellement les emplois ouvriers et les emplois peu qualifiés plus généralement.

En réalité, il apparaît que, l’évolution, assez modeste, de la productivité industrielle dans le monde développé, hors secteur informatique, ne permet pas d’expliquer l’ampleur des pertes d’emplois manufacturiers, et indique donc un rôle limité du progrès technique dans ce phénomène.

Les métiers de service qualifiés ont pour leur part résisté à la mondialisation ; ce qui a conduit à une vision sociologiquecentrée sur l’opposition entre une élite urbaine et mobilequi serait durablement gagnante et les milieux populaires des zones périphériques.Cette vision est aujourd’hui dépassée.

En attribuant l’effondrement des emplois industriels au progrès technique, on en a déduit à tort que les emplois qualifiés dans les services n’étaient pas véritablement menacés par les bouleversements technologiques en cours. Les développements techniques et économiquesliés à l’intelligence artificielle vont remettre en cause la stabilité associée à ces emplois ainsi que les constructions sociales et politiques qui reposaient sur cette dichotomie.

Il n’existe certes pas de lien direct ni immédiat entre les développements technologiques et l’évolution du marché du travail, qui est le fruit d’une construction sociale complexe,dépassant souvent les règles simples de la théorie économique. Il faut parfoisune vingtaine d’années pour qu’une technologie, à partir de sacommercialisation, ne se traduise par un bouleversement dans l’organisation du travail, qui plus est dans les services, où la contribution individuelle à la création de valeur est moins directe et moins transparente que dans le secteur manufacturier. De nombreux emplois de service, qualifiés, sont néanmoins en première ligne en ce qui concerne les effets de la digitalisation et de l’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle, sous la forme du deeplearning centré sur une tâche, relève moins aujourd’hui de grandes avancées conceptuelles que de l’application de principes développés au cours des quatre dernières décennies, en profitant désormais d’une puissance de calcul adaptée, de données massives et d’un terreau scientifique/entrepreneurial qui appliquent méthodiquement ces techniques à un nombre croissant de tâches et de secteurs. L’heure est donc à une application assez méthodique de l’intelligence artificielle ; ce qui nécessite certes une expertise informatique poussée, mais moins que ce que suggère la vision abstraiteofferte parune partie des médias mondiaux. C’est cet aspect en réalité très incrémental qui fait que la Chine parvient à se positionner efficacement dans l’intelligence artificielle depuis deux ans, comme l’explique judicieusement Kai-Fu Lee dans son dernier ouvrage. Y contribue également une tendance à la collecte systématique des données personnelles qui, en comparaison, pourrait faire passer les GAFA pour des sociétés savantes désintéressées.

Cette application méthodique de l’intelligence artificielle dans le monde va, au cours des prochaines années, remettre en cause l’organisation sociale du travail, qui a eu tendance ces dernières décennies à mettre en avant des fonctions relevant de la comptabilité au sens le plus large et de la gestion administrative. Les tâches qui reposent sur des schémas répétitifs et prévisibles sont appelés à être remplacées en bonne partie, en ce qui concerne un segment important du travail comptable, juridique, notarial, des ressources humaines, etc, pour ne prendre que quelques exemples.

Et là où le remplacement du travail ouvrier nécessite des investissements robotiques certes de moins en moins chers mais tout de même lourds, on risque de s’apercevoir que le remplacement d’emplois administratifs qualifiés consacrés à des tâches répétitives n’aura qu’un coûtrelativement limité en termes d’implémentation de processus algorithmiques.

L’outil informatique a affecté la réalité des organisations au cours des trois dernières décennies. La simplification apportée par l’informatique est cependant encore loin d’avoir produit ses véritables effets de long terme sur le monde du travail. Internet et la révolution informatique des années 1990 plus généralement ne se sont traduits que par des gains de productivité limités dans les services, car dans le fond l’organisation du travail est restée ancrée dans sa forme héritée de la bureaucratisation des années 1950-60.

Dans le secteur financier par exemple, lorsque le volume de crédit s’est effondré pendant la crise mondiale de 2008, la productivité du secteur a chuté de façon durable car il semblait difficile, à l’époque, de réduire autant les postes, pour des raisons techniques et réglementaires notamment. Même dans ce secteur, on a tout de même observé un bouleversement de nombreuses activités, avec la chute, par exemple, du nombre de traders dans les grandes banques, où ceux-ci ont eu tendance à être remplacés par un nombre plus limité d’ingénieurs informatiques. La tendance ne connait aucune limite qualitative, des marchés les plus structurés et codifiés comme celui des actions jusqu’au marché des devises.L’intelligence artificielle apparaît désormais adaptée à de nombreux emplois du secteur financier qui avait été pourtant préservés en 2008, et notamment aux tâches qui relèvent de l’allocation de crédit.

Les barrières réglementaires restentun facteur de poids dans la préservation d’emplois administratifs et comptables qualifiés. Cependant, on peut penser que celles-ci seront progressivement levées au fur et à mesure que sera développée une offre commerciale concrète et éprouvée d’automation au moyen de l’intelligence artificielle, pour un nombre croissant de tâches et de secteurs économiques. Par-delà les constructions sociales complexes qui sous-tendent ces cadres réglementaires, l’évolution technologique fera inéluctablement sentir ces effets sur les emplois de service qualifiés, en dehors des tâches qui nécessitent une interaction humaine particulière.

Quelles sont les implications d’un tel défi concernant les emplois de demain ? Quels seront les moyens dont disposera la population active pour s’extraire d’une situation de vulnérabilité face à la robotisation et à l’automatisation ?

La technologie n’est que ce qu’on en fait, pour le meilleur comme pour le pire. On a vu, au cours des deux dernières décennies, l’organisation du travail évoluer de façon paradoxale avec le développement informatique. Le travail humain, au lieu d’évoluer dans un sens qualitatif et créatif, a plutôt eu tendance à s’orienter vers des tâches répétitives et prévisibles, notamment dans les métiers considérés comme intellectuels. En parallèle, une forme d’hyper-sociabilité, parfois acrimonieuse, s’est développée avec la multiplication de réunions ne remplissant pas nécessairement des objectifs productifs.

L’accompagnement du développement de l’outil numérique s’est traduit par une couche administrative supplémentaire qui aurait pourtant dû être rendue caduque par les moyens offerts par la technologie elle-même. Ces travers du travail humain, qui s’est bureaucratisé et a perdu en substance tout en devant très politique, rendent la structure actuelle du travail particulièrement vulnérable à l’automation.

Les emplois centrés sur l’implémentation de l’intelligence artificielle sont naturellement mis en valeur et nécessitent des compétences particulières, mais on constate également une certaine simplification de l’accès à la compréhension informatique. La prépondérance d’un langage comme Python, qui est d’une simplicité syntaxique sans précédent, en est un exemple. L’accès à l’informatique, en se simplifiant et en se prêtant à diverses strates de compréhension technique, pourrait permettre une réappropriation de l’automation par des milieux beaucoup plus larges.L’hyperactivité entrepreneuriale autour de ces outils, suivant des compétences très variées et qui échappent aux catégories bureaucratiques habituelles, en est une étape intéressante.

La maîtrise de l’intelligence artificielle relèvera notamment d’une capacité de conceptualisation algorithmique, qui peut à terme être accessible à une large partie de la population et prendre des formes variées. A l’opposé du schéma apocalyptique que semblent indiquer certains développements actuels, en particulier sur le marché des données, il serait possible d’adapter notre modèle économique et éducatif dans un sens qui permette de partager l’accès aux possibilités qu’ouvrent ces évolutions technologiques en termes de participation aux processus productifs et créatifs. La perspective d’une intelligence artificielle qui aurait un caractère général reste pour le moins lointaine, et l’intelligence humaine n’est pas la simple somme de compétences particulières. Combinée à l’évolution de la compréhension scientifique, qu’elle soit physique, médicale, ou autre,et aux autres innovations de la révolution industrielle en cours (dont la robotique et l’impression 3D notamment) la place de l’intelligence humaine reste à peu près illimitée pour orienter ce qui reste un outil informatique.

Quelles sont les implications et les conséquences politiques d’une telle situation de vulnérabilité des emplois qualifiés ?

On a vu monter, ces dernières années, en particulier depuis la crise mondiale, une prise de conscience de la fragilité des normes relatives au monde du travail, dans le contexte des évolutions technologiques, de l’instabilité du système financier et de la mondialisation. Une crise de croyance dans le monde du travail et le marché de l’emploi se développe et donne lieu à un certain nombre de prises de position et d’ouvrages intéressants sur ces sujets.

En parallèle, l’organisation politique des pays développés repose plus que jamais sur l’hypothèse d’une distinction durable entre des élites bénéficiant à la fois de la mondialisation et des évolutions technologiques d’un côté et les classes populaires reléguées de l’autre. Cette opposition, qui nourrit la rengaine du dépassement de la démocratie par une avant-garde administrative habitée par l’esprit de la gouvernance mondiale, est en réalité déjà caduque au vu de la relégation des jeunes générations éduquées dans un certain nombre de pays développés.L’idée selon laquelle les emplois administratifs qualifiés seraient pérennes sous-tend ce schéma binaire. Mais, plus en profondeur, le début de compréhension, semi-consciente, de la vulnérabilité de cette dichotomie existentielle par les couches concernées nourrit une angoisse qui accentue pour l’heure la crispationdu débat et les aspirations démiurgiques.

Sommet quadripartite à Istanbul - retour des Européens dans une éventuelle négociation sur la paix en Syrie ?

Institut Montaigne - Mon, 29/10/2018 - 14:17

Étrange attelage que celui de Messieurs Erdogan, Macron, Poutine et de Mme Merkel à Istanbul ce samedi 27 octobre. Etrange d’abord parce que les Russes s’étaient bien gardés jusqu’ici d’associer en quoi que ce soit les puissances européennes à leurs démarches sur la Syrie. Ils préféraient la discussion directe avec Washington, et à défaut ils utilisaient le format dit d’ "Astana" réunissant Russes, Turcs et Iraniens. De ce point de vue, le sommet d’Istanbul…

Städte für eine nachhaltige globale Entwicklung

Bonn, 29.10.2018. Am 31. Oktober ist Weltstädtetag (WCD), dieses Jahr unter dem Motto „Nachhaltige und widerstandsfähige Städte“. Ziel des 2013 von den Vereinten Nationen ins Leben gerufenen Tages ist, das internationale Interesse am Thema Urbanisierung und die zwischenstaatliche Kooperation im Umgang mit Chancen und Herausforderungen städtischer Entwicklung zu fördern. Insbesondere beim zweiten Teilziel, der Zusammenarbeit im Bereich nachhaltiger Urbanisierung, besteht noch viel „Luft nach oben“. Die direkte Bezugnahme des WCD 2018 auf Ziel 11 der Agenda 2030 für Nachhaltige Entwicklung („Städte und Siedlungen inklusiv, sicher, widerstandsfähig und nachhaltig machen“) ist kein Zufall. Nicht nur sind Städte und Kommunen von den großen globalen Herausforderungen – Klimawandel, Armut, Gewaltkonflikte – unmittelbar betroffen, sie sind auch zentrale Akteure für ihre Bearbeitung. Die Mehrheit der globalen Migrations- und Fluchtbewegungen verläuft in Richtung urbaner Räume. 80 Prozent der Wirtschaftsleistung wird in Städten erbracht. Gleichzeitig werden in Städten über 70 Prozent der globalen Treibhausgase ausgestoßen und ein ebenso großer Anteil der globalen Energie verbraucht. Der Bedeutungsgewinn der Städte spiegelt sich mittlerweile in einem wachsenden Selbstbewusstsein der „urban community“ wider. So wurde die New Urban Agenda, Ergebnisdokument des dritten UN-Gipfels für Wohnen und nachhaltige Stadtentwicklung(Habitat III), mit dem Anspruch formuliert, „die zentrale Rolle der Städte und menschlicher Siedlungen als Treiber nachhaltiger Entwicklung in einer zunehmend urbanen Welt“ (NUA, §22) zu nutzen. Zivilgesellschaftlich stark mitgeprägte Initiativen wie der WCD oder der im Oktober ebenfalls jährlich begangene World Habitat Day (WHD) sowie Großveranstaltungen, wie das von UN-Habitat ausgerichtete, zweijährige World Urban Forum (WUF) gestalten diesen Anspruch mit. Allerdings besitzen Städte und Kommunen– im Gegensatz zu den nationalen Regierungen – kein Stimmrecht bei den einschlägigen globalen Verhandlungen. Zu diesen gehören neben den lediglich auf alle zwanzig Jahre terminierten Habitat-Konferenzen die jährlichen Klimakonferenzen (COPs) und das High Level Political Forum (HLPF), in dessen Rahmen die Zielerreichung der globalen Entwicklungsziele – nahezu alle mit Berührungspunkten zu Stadtentwicklungsthemen – jährlich überprüft wird. Ihre Möglichkeiten, nationale Politiken zu Themen globaler Nachhaltigkeit zu beeinflussen sind oftmals begrenzt. Das heißt allerdings nicht, dass Städte auf internationaler Ebene keine Rolle spielen. Besonders aktiv sind die rund 200 nationalen und internationalen Städtenetzwerke. Deren Lobbyarbeit und Wissensaustausch umfasst viele Bereiche, war aber in den letzten Jahren vor allem im Klimaschutz erfolgreich. Netzwerke wie die Cities Climate Leadership Group (C40) oder die Local Governments for Sustainability (ICLEI) haben beispielsweise den Klimaprozess von Paris entscheidend vorangetrieben. So wird – besonders von Seiten der Städte –betont, dass ohne ihre „Klimadiplomatie“  außerhalb der offiziellen Verhandlungsräume der Vertrag nicht in dieser Weise zustande gekommen wäre. Ein anderer Bereich ist der Umgang mit Flucht und Migration; Netzwerke wie die rund 300 US-amerikanischen „Zufluchtsstädte“ (sanctuary cities) widersetzen sich seit Jahrzehnten nationalen Abschiebepolitiken; einige europäische Metropolen (Barcelona, Danzig) sind ihrem Beispiel gefolgt.  Wären vor diesem Hintergrund Städte und Kommunen die besseren Kooperationspartner zur Umsetzung nachhaltiger globaler (Stadt-)Entwicklung? Manchmal, aber nicht immer. Denn sie vertreten nicht per se progressivere Positionen verglichen mit nationalen Regierungen. So entscheiden sich nicht wenige Stadtregierungen für einen restriktiven Umgang mit Geflüchteten und MigrantInnen. Sie haben dabei vor allem ihre lokale Wahlbevölkerung im Blick. In anderen Fällen werden Zugewanderte in der Stadt- und Entwicklungsplanung erst gar nicht wahrgenommen, etwa in Nairobi, wo die geschätzt 60.000 in der Stadt lebenden Flüchtlinge mit keinem Wort im lokalen Entwicklungsplan erwähnt werden. Wie kann vor diesem Hintergrund der Beitrag von Städten des globalen Südens und Nordens für nachhaltige globale Entwicklung gefördert werden? Es gilt erstens, ihre internationale Rolle zu unterstützen; Arenen wie WCD, WHD und WUF tragen durch Sichtbarmachung dazu bei. Zweitens ist es wichtig, dass sie auf nationaler Ebene über politischen und fiskalischen Spielraum verfügen, um ihrer globalen Verantwortung gerecht zu werden, beispielsweise durch den Aufbau einer emissionsfreien Verkehrsinfrastruktur oder die Anpassung sozialer Dienste an (etwa durch Zuwanderung) veränderte Bedarfe. Auf lokaler Ebene müssen Städte für potentielle eigene Beiträge zu den globalen Zielen sensibilisiert werden; Anreize wie sie die internationale Gemeinschaft derzeit im Rahmen des Globalen Flüchtlingspaktes für die lokale Integration von Flüchtlingen diskutiert, könnten hier ebenfalls eine Rolle spielen. In diesem Sinne mein Vorschlag für das Thema des WCD 2019: „Inklusive und sichere Städte“.

Eine Abkopplung von der bundespolitischen Großwetterlage scheint nicht möglich: Landtagswahl in Hessen - Bundespolitik schlägt auch hier durch

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 29/10/2018 - 08:16
Der Leiter unserer Abteilung für Grundsatzfragen der Politik, Parteien- und Wahlforschung, Dr. Gerhard Hirscher, analysiert kurz den Ausgang der gestrigen Hessen-Wahl. Die bundespolitische Großwetterlage spielte auch für diese Wahl, nach der bayerischen Landtagswahl viel beachtet, die wohl entscheidende Rolle bei der Wahlentscheidung der Bürger. Eine eigene Akzentsetzung in den Bundesländern erscheint schwierig. Zeichen für neue bürgerliche Mehrheiten?

Le président de la République sortant Michael D. Higgins est réélu à la tête de l'Irlande

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 29/10/2018 - 01:00
Le président de la République sortant, Michael D. Higgins, qui se présentait comme candidat indépendant, a été réélu à la tête de l'Irlande avec 55,81% des suffrages le 26 octobre. Il a largement devancé tous ses adversaires mais dans une moindre mesure que ce qui avait été prévu par les enquêtes d'...

Schatten über den Europawahlen

SWP - Mon, 29/10/2018 - 00:00

Europawahlen galten lange als Wahlen zweiter Ordnung, mit nur geringer politischer Bedeutung. Doch 2019 mausern sie sich zur Richtungswahl über die Zukunft der EU – nicht nur weil das Europäische Parlament (EP) an Bedeutung gewonnen hat, sondern vor allem weil sich das europäische Parteiensystem fundamental wandelt. Während etablierte Parteien an Unterstützung verlieren, haben rechtspopulistische und EU-skeptische Parteien europaweit zugelegt. Gleichzeitig gibt es verstärkte Bemühungen, die traditionell zersplitterten EU-skeptischen Kräfte in einer Sammlungsbewegung zu vereinen. In der nächsten Wahlperiode ist zwar kein drastischer Anstieg der Zahl EU-skeptischer Abgeordneter zu erwarten. Die Umordnung im EU-skeptischen Spektrum könnte aber den Auftakt für einschneidende Veränderungen im politischen Gefüge der EU bilden.

Protecting Civilians in the Context of Violent Extremism: The Dilemmas of UN Peacekeeping in Mali

European Peace Institute / News - Fri, 26/10/2018 - 23:05

Political map of Mali (Click for full graphic)

Violence associated with terrorist and extremist groups in Mali (Jan. 2017-Sept. 2018)(Click for full graphic)

In the non-permissive environments where they are often deployed, UN peace operations need to be increasingly creative to implement their mandate to protect civilians. They face particularly acute challenges in contexts marked by violent extremism, such as Mali, where attacks by terrorist groups have greatly constrained the capacity of peacekeepers to protect local populations.

This paper explores the operational challenges that the UN Multidimensional Integrated Stabilization Mission in Mali (MINUSMA) faces in implementing its protection mandate. It analyzes protection threats related to violent extremism in Mali and explores the protection strategy, tools, and activities developed by the UN mission to address those threats. It highlights some of the practical constraints of operating in a hostile environment and added complications related to the mission’s proximity to non-UN counterterrorism forces.

The Malian case demonstrates that each peacekeeping theater needs to be its own laboratory for POC and that approaches, tools, and mechanisms are not directly replicable from one UN mission to another. The report makes three recommendations to improve the delivery of MINUSMA’s protection mandate:

  1. Explore the full spectrum of military, police, and civilian tools;
  2. Ensure the independence of MINUSMA’s POC activities from counterterrorism agendas; and
  3. Design and articulate a political strategy that prioritizes POC.

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Tschechien: Regionale Wahlen, europäische Perspektiven

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 26/10/2018 - 11:07
In der ersten Oktoberhälfte fanden in Tschechien die Kommunal- und Senatswahlen statt, die auch als Stimmungstests ein Jahr nach den Parlamentswahlen gewertet werden können. Zudem veranstaltete das Projektbüro der Hanns-Seidel-Stiftung in der Tschechischen Republik in Prag eine internationale Konferenz über die aktuellen Herausforderungen für die Europäische Union. Nicht zuletzt stellt sich die Frage, welche Auswirkungen die aktuellen Wahlen auf die europäische Ausrichtung Tschechiens haben werden.

Wirtschaftskooperation zwischen Afrika und Europa: Ein Blick nach Simbabwe

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 26/10/2018 - 09:32
Nach 40 Jahren Mugabe-Diktatur und den Wahlen am 30. Juli versucht Simbabwe wieder Anschluss an die internationale Staatengemeinschaft zu finden. Die Herausforderungen sind allerdings enorm: Das politisch gespaltene Land befindet sich in einer wirtschaftlichen Krise, die zu Hyperinflation und Liquiditätsengpässen geführt hat.

Examining the Role of Conventional Arms Control in Preventing Conflicts and Building Peace

European Peace Institute / News - Fri, 26/10/2018 - 01:08

On October 25th, IPI together with the United Nations Institute for Disarmament Research and the Permanent Mission of Japan to the United Nations cohosted an evening panel discussion on the role of conventional arms control in preventing conflicts and building peace.

Poor regulation of arms and ammunition is a key enabler of conflict and a means of sustaining it. Peace and sustainable development cannot be achieved without effective conventional arms control. Despite this, conventional arms control is rarely integrated into conflict prevention thinking and action. The Secretary-General’s Agenda for Disarmament calls for an examination of how disarmament and arms control can contribute to conflict prevention.

This event, held during the opening week of the 73rd session of the UN General Assembly’s Committee on Disarmament, aims to improve understanding of the roles and impact of conventional arms in preventing and managing conflicts, as well as to examine approaches to better identify, utilize, and integrate conventional arms control measures and tools to sustain peace.

Opening remarks:
H.E. Mr. Yasuhisa Kawamura, Ambassador Extraordinary and Plenipotentiary, Deputy Representative of Japan to the United Nations​
H.E. Mr. Aidan Liddle, UK Ambassador and Permanent Representative to the Conference on Disarmament in Geneva
Dr. Renata Dwan, Director, United Nations Institute for Disarmament Research

Speakers:
Ms. Alexandra Fong, Senior Political Affairs Officer, UN Department of Political Affairs
Mr. Thomas Kontogeorgos, Disarmament, Demobilization and Reintegration Service, UN Department of Peacekeeping Operations
Mr. Himayu Shiotani, Programme Lead, Conventional Arms Programme, UNIDIR
Dr. Youssef Mahmoud, Senior Adviser, IPI
Moderator:
Mr. Jake Sherman, Director of the Brian Urquhart Center for Peace Operations, IPI

Engaging with Non-state Armed Groups to Protect Civilians: A Pragmatic Approach for UN Peace Operations

European Peace Institute / News - Thu, 25/10/2018 - 18:34

Engaging non-state armed groups (NSAGs) is an essential tool for the protection of civilians (POC), a priority mandate and core objective for peace operations. Beyond the use of force to prevent or stop armed groups from threatening local populations, multidimensional missions can use a wide range of unarmed strategies, such as dialogue and engagement, to counter hostilities from non-state actors.

This paper looks at how, when, and why UN missions engage with NSAGs. It gives an overview of current practice, drawing on the experiences of the missions in Afghanistan, the Central African Republic, the Democratic Republic of the Congo, and Mali. It then examines the risks of engaging NSAGs and how POC mandates can help missions navigate these risks. Finally, it looks at peace operations’ unique capacities to engage with NSAGs and how best to leverage them.

Civilian protection is ever more urgent, and engaging NSAGs is crucial to this work. A pragmatic approach, anchored in POC considerations, can help guide missions through potentially polarizing debates and safeguard UN principles while simultaneously allowing them to adapt more effectively to the challenges they face.

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Les extrêmes droites à la barre ?

Fondapol / Général - Thu, 25/10/2018 - 16:27

Le 5 novembre 2018, de 9h – 12h30, Salle Médicis, Palais du Luxembourg – 15 rue de Vaugirard 75006 Paris Inscription obligatoire par mail dans la limite des places disponibles : n.goulet@senat.fr (une pièce d’identité vous sera demandée à l’entrée). Programme : Ouverture par Nathalie GOULET, Sénateur de l’Orne, Secrétaire de la Commission des Finances Une Europe en crise […]

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Fonctionnement d’un oxymètre de pouls, on vous dit tout

RMES - Thu, 25/10/2018 - 12:02

Avec votre souci de plus en plus grandissant de mieux prendre soin de votre santé, vous vous êtes acheté un oxymètre. Toutefois, en dépit de toute votre bonne volonté, vous n’avez toujours aucune idée de son principe de fonctionnement. Ici, nous vous expliquons tout ce qu’il y a à savoir.

Par quel principe un oxymètre de pouls fonctionne t-il ?

L’oxymètre de pouls également appelé saturomètre vous permet d’avoir une idée précise de la fréquence de battement de votre cœur ainsi que du taux d’oxygène présent dans votre sang. Contrairement à tout ce qui se fait habituellement, l’utilisation de ce type d’appareil ne nécessite ni piqûre, ni prélèvement sanguin. En effet, il comprend un capteur, un moniteur et un câble qui à eux seuls sont capables de faire tout le travail.

C’est ainsi qu’une lumière infrarouge (invisible à l’œil nu) et une lumière rouge (visible à l’œil nu) sont émises par l’oxymètre pour éclairer votre doigt ou votre lobe. Vous vous demandez pourquoi ? Sachez donc que c’est grâce à ces deux types de lumière que votre appareil pourra percevoir la couleur du sang qui circule dans vos artères afin de pouvoir déterminer la quantité d’oxygène.

En effet, la couleur de votre sang dépend en grande partie du taux d’oxygène qu’il contient. Ainsi donc, pour la détermination de cette couleur, votre appareil cherchera le changement qui a été causé par une pulsation du cœur et qui a entrainé le sang au niveau du doigt. Ce changement de couleur est difficilement perceptible. Ce qui fait que le fonctionnement est bien meilleur après une forte impulsion.

Quels sont les facteurs qui peuvent influencer ce fonctionnement ? 

Dans certains cas, il peut arriver que votre oxymètre ne fonctionne pas très bien. Cela est dû à certains facteurs. Il n’est donc pas forcément défectueux. Au nombre de ces facteurs, les plus courants sont :

  • Les ongles vernis : le vernis risque d’empêcher la lumière d’être détectée ;
  • Les capteurs mal placés ;
  • Les doigts ou les orteils plus gros que le capteur : en plus d’endommager ce dernier, ils empêcheront la détection de la lumière ;
  • Les mouvements trop brusques.
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Vu de New York : de l’Intelligence artificielle et de son éthique

Institut Montaigne - Thu, 25/10/2018 - 11:02

La semaine dernière, l'AI Now Institute a tenu son troisième symposium à New York (l'enregistrement est disponible sur le site Web d'AI Now). Centrés sur l'éthique, l'organisation et la responsabilité, les conférenciers ont abordé certaines des questions majeures qui se posent aujourd’hui au moment où les États-Unis se tournent vers les systèmes d'intelligence artificielle (IA) pour gérer les transactions…

Retour des sanctions américaines contre l’Iran - quelles conséquences pour l’UE et le marché du pétrole ?

Institut Montaigne - Thu, 25/10/2018 - 09:45

Le retrait unilatéral des Etats-Unis de l’Accord de Vienne, annoncé par M. Trump au mois de mai 2018, marque le retour des sanctions américaines contre l’économie iranienne. Celles-ci reposent sur l’extraterritorialité du droit américain, et posent la question de l’indépendance de la politique étrangère et commerciale de l’Union européenne vis-à-vis de Washington. Eric Chaney, conseiller économique à l’Institut Montaigne, répond à nos questions concernant les…

Elección presidencial y reforma energética se citan en Argelia

Real Instituto Elcano - Thu, 25/10/2018 - 06:21
Gonzalo Escribano. ARI 117/2018 - 26/10/2018

Una nueva ley de hidrocarburos parece inminente en Argelia y se ha avanzado en mejorar la relación del país con las compañías petroleras y gasistas internacionales. No obstante, parece que la aplicación de las reformas deberá esperar a las elecciones presidenciales de 2019.

Women, Peace, and Security: The Potential for Transformation

European Peace Institute / News - Thu, 25/10/2018 - 02:04
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The year 2020 will mark the 20th anniversary of United Nations Security Council Resolution 1325 on Women, Peace, and Security (WPS). Despite two decades of WPS policy development and commitments, women’s meaningful participation at all decision-making levels lags due to structural barriers, lack of access to political arenas, and even threats to women who attempt to participate in these processes. In efforts to build and sustain peace, there remains a widespread neglect for the expertise of local-level women peacebuilders, and formal peacemaking efforts continue to be resistant to women’s meaningful participation and to women’s rights.

To address these barriers, governments and the UN have recently been taking steps at the national and regional levels on women’s leadership, including by launching networks of women mediators and leaders. An October 24th evening reception at IPI brought together researchers, policy makers, and practitioners to discuss the potential of the WPS agenda, as well as existing challenges and ways to address them.

The event was co-hosted with the Permanent Mission of Norway to the UN, the Crisis Management Initiative (CMI), and the Inclusive Peace & Transition Initiative (IPTI). It drew on the insights of participating women peacebuilders, and IPTI and IPI research. The discussion shed light on various initiatives at the national, regional, and international levels, and surfaced questions and issues for member states, the UN, and NGOs to consider as their work continues.

In opening remarks, Adam Lupel, IPI Vice President, noted that “women must be at the center of all peace efforts at large. We must recognize that this is not just a matter of developing policy and making formal commitments; it is about recognizing the structural barriers to participation and about taking action to remove them.”

Despite the remaining barriers to achieving the WPS agenda by 2020, Mari Skåre, Deputy Permanent Representative, Permanent Mission of Norway to the UN, highlighted the importance of the progress the agenda had made so far. “Yes, there remain real hindrances for women’s participation, and yes, discrimination against women is one of the key hindrances we need to tackle,” she said. “I would like to say to you that we are transforming our societies: it’s not a matter of when or if we are doing it; we are doing it now. We see progress as a result of this work.” She emphasized that, “We need your leadership, your competence, to keep us accountable.”

Speaking from experience, Cathérine Samba-Panza, Co-Chair of the Network of African Women in Conflict Prevention and Mediation (FemWise), and the former president of the Central African Republic, said that when “faced with conflict, women are indeed in the first line.” She continued, stating that women are often “the first victims, and they know all the challenges, difficulties, and implications of the conflict.” But when it comes time for peace talks, and you look at the table, “They are not there.”

“Everywhere around the world, women have decided that they will no longer stay at this level as victims, they want to be around the table,” she said. “It’s not just about wanting to be at the table but wanting to bring solutions; and their voice is not heard; it is not taken into account.”

She said that in her country, “Women are brought to speak with armed groups to see what their grievances are and to try to address them. But when we arrive at the moment of peace talks, the women are no longer present.” She said that among political figures, armed groups, and militia leaders, she saw no women.

Norwegian Major General Kristin Lund, Head of Mission and Chief of Staff of the United Nations Truce Supervision, made reference to the value of networks of women mediators, saying that “the military are often the first responders, and it’s a tool that I think [mediator networks are] so important…That’s why I think education of our military leaders is very important.”

She reflected on her experience as the first female Force Commander of a UN peacekeeping operation. “I’ve been fighting all my life to go through that glass ceiling and when you get through, you have to make sure you inspire other women,” she said. “Now when I travel, gender is on the agenda.”

Thania Paffenholz, Director of the Inclusive Peace & Transition Initiative, asked about “how we can use our roles as women and learn in a positive transformative way.” She made note of the limitations of using quotas. “If you put a quota, you will not necessarily get feminists in,” she said, “There’s a danger that we are just changing the players and not the game. If we just add women and the system doesn’t change, we will not change.”

Moderator and IPI Research Fellow Sarah Taylor concluded by echoing a point from the day’s meeting of women mediators: “Adding women to a broken process does not fix a broken process,” she said. “The point is to try to fix the system and not to fix the women.”

UN-Reformen für die 2030‑Agenda

SWP - Thu, 25/10/2018 - 00:00

Um die »Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung« effektiv umzusetzen, hat UN-Generalsekretär António Guterres verschiedene Reformprozesse angestoßen. Eine Reorganisation des Entwicklungssystems der Vereinten Nationen (UN) haben die Mitgliedstaaten bereits beschlossen. Weitere, tief­greifende Reformen wären notwendig, sind aber im aktuellen politischen Kontext nur schwer realisierbar. Verbesserungen bei den Arbeitsmethoden und Praktiken jedoch liegen im Bereich des Möglichen.

In der Studie wird zunächst untersucht, welche Arbeitsmethoden und Praktiken dazu beigetragen haben, dass die Mitgliedstaaten im September 2015 die ambitionierte 2030-Agenda samt der darin vereinbarten Ziele für nachhaltige Entwicklung (SDGs) im Konsens verabschieden konnten. Das »Hochrangige Politische Forum zu Nachhaltiger Entwicklung« (HLPF) ist der­zeit das Herzstück der UN-Nachhaltigkeitsgovernance. Es soll die Mitglied­staaten dabei unterstützen, politische Führungsverantwortung für die Umsetzung der 2030-Agenda zu übernehmen. Die Analyse zeigt jedoch, dass das HLPF an seiner Aufgabe zu scheitern droht: Die Komplexität der 2030-Agenda, das weit gefasste Mandat, die hohen Teilnehmerzahlen und Erwar­tungen schaffen Probleme für ein Forum, das – 2013 ins Leben gerufen – für all dies nicht ausgestattet worden ist.

Die Mitgliedstaaten haben bereits 2016 beschlossen, das HLPF in den Jahren 2019/20 zu reformieren. Auf der Basis der vorausgegangenen Analyse werden das Ziel dieser Reformen und erste Ideen für verbesserte Arbeits­methoden und Praktiken diskutiert; schließlich wird auch skizziert, wie ein Vorbereitungsprozess bis zu den Verhandlungen über die Reformen aus­sehen könnte.

Les différents types de luge

RMES - Wed, 24/10/2018 - 16:40

La luge est un outil conçu pour vos glissages sur la neige. Très confortable, il fait l’objet de distraction d’un bon nombre de personne en Europe pendant l’hiver. Il en existe donc plusieurs et sur toutes les formes possibles. Vous en trouverez plusieurs types sur le marché.

Luge pliable

Clap’n’go Alu: Avec cette forme de luge vous pouvez garder cette dernière sur vous pendant vos voyages et pour en profiter n’importe où vous soyez. Elle dispose d’une longueur de 110 cm, d’une largeur de 42cm et d’une hauteur de 24 cm. Facile à transporter elle a une mesure de 7 cm d’épaisseur lorsqu’elle est pliée. Elle est léger et très rapide et peu supporter un poids de 100 kg.

Luge de randonnée Hillracer : Pliable, cette luge est conçu pour vos randonnée et vous permet de glisser facilement quelque soit la nature de la pente et de la neige. Avec cette luge vous pouvez bénéficier d’une descente même dans la poudreuse. Elle a une épaisseur de 9 cm une fois pliée. Elle dispose d’une chaise assez confortable.

Luge en plastique

Luge snowstar : cette luge est très robuste avec un design traditionnel. Elle dispose de patins bombé en aciee inox; d’un coussin et d’une lampe halogène. Il en existe des modèles de deux, trois places. Elle peut supporter jusqu’à 200kg de poids.

Luge ZIPFL Racer : cette luge vous offre une sensation et un confort optimal. Le Zipflracer est léger et sexy avec son design. Il est très résistant à toutes les tournures d’enneigement. Le conducteur de la luge a la possibilité de régler la vitesse avec la jambe.

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Luge de vitesse

Remporte généralement les compétitions en Europe, cette luge a été fabriqué en suisse. Ce sont des luge de sport très connue avec une vitesse exceptionnelle.

Family FLIZzER : c’est une luge familiale et sportive. Elle a une qualité de conduite sur toutes les conditions d’enneigement et est facile à piloter. Elle peut contenir soit un adulte plus un enfant de 105 cm ou deux adultes de 120cm. Elle dispose d’une assise tissée de sangle.

Série Z sport : c’est une luge de loisir et de compétition disposant d’une assise en toile suspendue. Avec une vitesse excellente, elle est l’idéale pour vos courses et compétitions sur la neige. Elle a une longueur de 116 cm et pèse 8,2 kg.

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Luge traditionnelle

Luge en Bois DAVOS : elle dispose de deux patinspatins relevés à l’avant, des montants solidifier par des arceaux en fer. Arriver à un virage, vous devez nécessairement appuyer le talon à l’interieure d’un virage avant d’exercer une force centrifuge. Il existe plusieurs tailles avec deux types d’assises.

Luge en bois TRADITION : fabriquée du bois traditionnel, elle est aussi appelée Hoerner ou luge escargot. Cette luge est pratique, résistant et confortable et pratique pour adulte et enfant. Il glisse facilement sur la neige et existe en taille de 60cm, 100cm, 115cm. Elle dispose d’une assise en bande de tissu tressé ou en lattage.

Suivez ce lien cliquable pour voir une gamme complète de luges enfant.

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