Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 801 sont des habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces 801 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de Provence-Alpes-Côte d’Azur constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de…
Parmi les 10 010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 801 sont des habitants des Pays de la Loire. Ils composent un échantillon représentatif de la population de la région constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération.
…Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 800 sont des habitants de la région Occitanie. Ces 800 personnes constituent un échantillon représentatif de la population d’Occitanie constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération. …
Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 800 sont Néo-Aquitains. Ces 800 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région Nouvelle-Aquitaine constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération.
…Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 801 sont Normands. Ces 801 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région Normandie constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération.
…Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 1.202 sont des Franciliens. Ils composent un échantillon représentatif de la population d’Ile-de-France constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération.
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Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 800 vivent dans les Hauts-de-France. Ces 800 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région Hauts-de-France constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération…
Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 800 vivent dans le Grand Est. Ces 800 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération.
…Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 801 sont des habitants du Centre-Val de Loire. Ces 801 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région Centre-Val de Loire constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’…
Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 802 sont Bretons. Ces 802 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région Bretagne, constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération.
…Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 800 sont Bourguignons-Francs-Comtois. Ces 800 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région Bourgogne-Franche-Comté constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’…
Parmi les 10.010 personnes qui ont répondu à l’enquête du Baromètre des Territoires, 802 sont Auvergnats-Rhônalpins. Ces 802 personnes constituent un échantillon représentatif de la population de la région Auvergne-Rhône-Alpes, constitué à partir de quotas sur les variables de genre, d’âge, de catégorie socio-professionnelle et de taille d’agglomération…
Shinzô Abes Regierung ist die am längsten amtierende in der japanischen Nachkriegsgeschichte und sorgt damit für eine unbekannte Kontinuität in der Politik des Landes. Seit Abe 2012 das Amt des Premierministers übernahm, konzentriert er seine Agenda auf das ambitionierte Wirtschaftsprogramm »Abenomics«, auf Reformen in der Sicherheitspolitik und vor allem auf eine sichtbarere, aktive Außenpolitik. Sein Ziel ist es, Japan vor Isolation zu bewahren und als Akteur global zu platzieren. Die von den USA ausgehenden Unwägbarkeiten in der Handels- und Sicherheitspolitik, Chinas Streben nach einer Vormachtstellung in Asien und die Veränderungen im internationalen System zwingen Abe in seiner letzten Amtszeit zur Umorientierung. Seine Außenpolitik wendet sich nun verstärkt in Richtung Europa und Asien.
Wie die beiden Politikfelder Energie und Gesundheit zusammenhängen, erschließt sich nicht auf den ersten Blick. Klar benannt sind zumindest die negativen Externalitäten, die sich aus dem Energieverbrauch aus fossilen Brennstoffen ergeben. Im Januar 2019 bezeichnete die Weltgesundheitsorganisation (WHO) Klimawandel und Luftverschmutzung als die zwei größten Herausforderungen für die Gesundheit aller. Ein differenzierter Blick auf Infrastruktur, Verfügbarkeit und Qualität der Energie- wie der Gesundheitsversorgung und den Zugang zu ihnen zeigt, wie eng verwoben diese Politikfelder sind. Kein moderner Krankenhausbetrieb funktioniert ohne sichere Stromversorgung, für die Lagerung von Impfstoffen sind leistungsfähige Kühlketten unerlässlich. Im Sinne der »Ziele nachhaltiger Entwicklung« der Vereinten Nationen müssen die beiden Politikfelder so ausgestaltet und verschränkt werden, dass sie über nationale Grenzen hinweg zur menschlichen Sicherheit beitragen und planetare Grenzen berücksichtigen. Es kommt darauf an, Gesundheit und Energie zusammenzudenken und Synergien zwischen ihnen zu schaffen. Dies wäre ein wichtiger Beitrag, um die Nachhaltigkeitsziele rascher umzusetzen.
Mitte Januar 2019 jährte sich das Ende der Ben-Ali-Diktatur zum achten Mal – die Feierlichkeiten wurden jedoch durch massive soziale Proteste getrübt. Im Jahr der zweiten Parlaments- und Präsidentschaftswahlen seit Verabschiedung der neuen Verfassung 2014 gehen die Meinungen zu Tunesiens politischer Entwicklung auseinander – und zwar sowohl in Tunesien selbst als auch im Ausland: Während die einen die Demokratisierung für quasi abgeschlossen halten, befürchten andere einen Rückfall in die Autokratie. Nüchtern betrachtet zeigt sich, dass Tunesien trotz erheblicher demokratischer Errungenschaften in Gefahr ist, sich zu einem hybriden – teils demokratischen, teils autoritären – System zu entwickeln. Dies liegt nicht nur am schwierigen wirtschaftlichen und regionalen Kontext. Vielmehr erschweren politische, wirtschaftliche und administrative Seilschaften des alten Systems sowie nach wie vor existierende autoritäre Praktiken und eine »alte« Rhetorik in Politik und Gesellschaft die Vertiefung der fragilen Demokratie. Klares Ziel für Tunesiens internationale Partner sollte es sein, diese Gegenbewegungen zu schwächen.