Le 22 février, le gouvernement irlandais a publié une série de projets de loi sur la santé, les droits des citoyens, l'éducation, l'industrie, et le marché de l'électricité pour faire face à une éventuelle sortie sans accord du Royaume-Uni de l'Union européenne. La législation sera débattue à la chambre basse, le Dáil, le 8 mars, puis à la Chambre haute, le Seanad, le 15 mars. Elle sera ratifiée en cas de Brexit sans accord.
Le 20 février, le gouvernement letton a annoncé sa décision de mettre en oeuvre des réformes substantielles dans son secteur financier, en particulier sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Il a chargé les ministres des Finances, de la Justice et de l'Intérieur d'élaborer un paquet législatif pour le 26 mars au plus tard. Le 23 août dernier, MONEYVAL, le comité d'experts du Conseil de l'Europe sur l'évaluation des mesures de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme avait demandé à la Lettonie d'agir contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Le président letton Raimonds Vējonis a effectué une visite en Allemagne les 21 et 22 février. Lors d'un entretien avec son homologue allemand, Frank-Walter Steinmeier, il a évoqué les relations, notamment commerciales, entre les deux pays. Avec la Chancelière Angela Merkel, la discussion a porté sur la place de la Lettonie dans les structures euro-atlantiques et sur le partenariat entre l'Allemagne et les pays baltes.
La Commission européenne - par la voix de son porte-parole Margaritis Schinas - ainsi que le Président roumain, Klaus Iohannis, ont critiqué des ordonnances adoptées sans concertation le 19 février par le gouvernement roumain. Ils estiment qu'elles risquent d'affaiblir le rôle du parquet et de renforcer le contrôle politique du système judiciaire. L'une des ordonnances définit le cadre dans lequel la Roumanie choisira ses candidats au Parquet européen, tandis que l'autre modifie les règles de désignation des procureurs en chef et donne plus d'indépendance à la section spéciale chargée d'enquêter sur les magistrats d'instruction. Des manifestations de protestations se sont tenues dimanche 24 février, principalement dans la capitale. Par ailleurs, le gouvernement roumain accuse les commissaires européens Franz Timmermans et Vera Jourova d'avoir falsifié en sa défaveur le rapport du Mécanisme de coopération et de vérification (MCV) sur l'avancement des améliorations de l'État de droit dans le pays. Il envisage de les poursuivre en justice.
Dans un rapport sur la désinformation et les "fake news" publié le 18 février, la commission sur le numérique, la culture, les médias et le sport du Parlement britannique a qualifié Facebook de "gangster numérique" pour avoir "violé intentionnellement les lois sur la confidentialité des données et les lois anti-concurrence". Insistant sur les menaces qui pèsent sur la démocratie, notamment au regard du référendum sur le Brexit de juin 2016, la commission a fait plusieurs recommandations, notamment l'instauration d'un "code de déontologie contraignant", une responsabilité juridique des entreprises de haute technologie, ainsi que des réformes des lois sur les communications électorales et les règles relatives à l'implication étrangère dans les élections britanniques.
La Première ministre britannique Theresa May a rencontré le Président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker à Bruxelles le 20 février, puis en marge du sommet UE-Ligue des Etats arabes à Charm el-Cheikh le 25 février, pour faire le point sur leurs efforts pour garantir un retrait ordonné du Royaume-Uni de l'Union européenne. Elle s'est également entretenue avec le président du Conseil européen Donald Tusk le 24 février. Le point principal des discussions a été la possibilité des changements juridiquement contraignants au "filet de sécurité" pour éviter le retour d'une frontière physique en Irlande. La question d'un éventuel report du Brexit en cas d'absence de majorité pour un accord au Parlement britannique a également été évoquée. Les dirigeants sont convenus que leurs équipes continueront d'explorer "dans un esprit positif" toutes les options acceptables pour Bruxelles et pour les députés britanniques, avant un vote d'ici le 12 mars. Le 25 février, le leader du Parti travailliste Jeremy Corbyn s'est engagé à soutenir un second référendum si l'accord n'était pas ratifié.
La présidente géorgienne Salomé Zourabichvili a effectué du 19 au 21 février une visite en France et en Allemagne. A Paris, elle a lancé avec le président français Emmanuel Macron le dialogue franco-géorgien Dimitri Amilakhvar, du nom d'un officier géorgien mort dans la Légion étrangère, afin de développer des projets concrets en matière économique, commerciale, culturelle et de sécurité. A Berlin, Salomé Zourabichvili a discuté avec la Chancelière allemande Angela Merkel des relations germano-géorgiennes, ainsi que de la situation dans le Caucase.
Selon les résultats préliminaires de la Commission électorale, aucun parti n'a obtenu de majorité absolue après les élections législatives en Moldavie qui se sont tenues le 24 février. Le Parti socialiste du président pro-russe Igor Dodon est arrivé en tête avec 31,4% des voix, devant l'alliance ACUM, présentée comme pro-européenne, avec 26% des voix. Le Parti démocrate au pouvoir est arrivé en troisième position avec 24% des voix. Si les partis ne parviennent pas à former un gouvernement dans les 45 jours, de nouvelles élections devront être convoquées.
Selon les données publiées par Eurostat, le taux d'inflation annuel de la zone euro s'est établi à 1,4% en janvier 2019, contre 1,5% en décembre 2018, et celui de l'Union européenne à 1,5% en janvier 2019, contre 1,6% en décembre. Les taux les plus faibles ont été observés en Grèce (0,5%), en Croatie et au Portugal (0,6% chacun). Les taux les plus élevés ont été enregistrés en Roumanie (3,2%) et en Lettonie (2,9%).
Du 27 février au 3 mars se déroule l'un des plus grands événements artistiques et culturels d'Espagne, ARCO, la foire internationale de l'art contemporain à Madrid, dans le parc d'exposition d'IFEMA (Feria de Madrid).
La 21ème édition du Festival du documentaire de Thessalonique, le principal festival du genre en Europe, se tient du 1er au 10 mars. 178 longs métrages et 49 courts métrages documentaires conçus par des réalisateurs du monde entier seront présentés.
La collection de l'industriel et mécène anglais Samuel Courtauld, l'une des plus importantes en matière d'impressionnisme, est présentée jusqu'au 17 juin à la Fondation Louis Vuitton à Paris. Parmi la centaine d'œuvres se trouvent des tableaux de Manet, Seurat, Cézanne, Van Gogh, et Gauguin.
Du 1er mars au 26 mai au musée Van Gogh d'Amsterdam, l'exposition "Hockney – Van Gogh : la joie de la nature" met en lumière les parallèles entre les travaux des deux artistes, notamment dans leur rapport à la nature.
Kanal-Centre Pompidou, le futur pôle culturel d'Art moderne et contemporain bruxellois présente six nouvelles expositions jusqu'au 30 juin, date à laquelle le site, un ancien garage Citroën, fermera pour lancer les travaux de reconversion et d'aménagement. Trois des expositions sont conçues avec le concours du Centre Pompidou à Paris, et les autres ont été faites en collaboration avec le Centre d'Architecture bruxellois (CIVA).
Im Mai 2019 finden Wahlen zum Europäischen Parlament (EP) statt. Politik und Experten fürchten, dass der Wahlprozess mit Desinformationskampagnen und Cyberangriffen empfindlich gestört wird. Die Europäische Kommission hat im Dezember 2018 einen Aktionsplan gegen Desinformation vorgelegt und will 5 Millionen Euro zur Verfügung stellen, um Wähler und Verantwortliche in der Politik für Manipulationen zu sensibilisieren. Es geht auch darum, die Cybersicherheit von Wahlsystemen und -prozessen zu erhöhen. Kurzfristige Selbstregulierungsansätze der Internetkonzerne reichen dazu bei weitem nicht aus. Um mittelfristig die Integrität von Wahlen zu schützen, gilt es, unabhängige Forschung als Basis für technische, rechtliche und marktregulierende Reformen zu stärken. Ziel muss sein, die Funktionsfähigkeit von Demokratien und Wahlen in der Digitalisierung zu bewahren.
Le 10 juin 2014, la foudre s’abattait sur le monde : Mossoul, la seconde ville d’Irak, était tombée aux mains d’une organisation djihadiste que l’on appelait encore à l’époque l’Etat Islamique en Irak et au Levant. Son chef, Abu-Bakr al-Baghdadi, allait quelques jours plus tard se proclamer Calife. En janvier de la même année, l’Etat Islamique s’était emparé de la ville de Raqqa, en Syrie, et en juillet, un mois après Mossoul, le groupe djihadiste prenait une autre…
Recent advances by Khalifa Haftar’s “Libyan Arab Armed Forces” in southern Libya are changing power relations in Libya in ways that undermine the UN’s ongoing attempts at brokering a political solution. Haftar’s increasing influence implies he will be less open to concessions, while key forces in western Libya now perceive him as an existential threat. The Tripoli-based Government of National Accord (GNA), which has, to date, remained ambivalent towards Haftar despite his open opposition towards it, will come under increasing pressure from both adversaries and allies of Haftar to clarify its stance. The new configuration raises the risk of escalation on multiple fronts. Only the emergence of a stable balance of power can create the conditions for a political settlement.
Tokyo’s evolving security agenda
Wohin man auch blickt, weltweit schwindet der gesellschaftliche Zusammenhalt, gleichzeitig gewinnen populistische Scharfmacher und Ideologen an Einfluss. Aber was ist die Ursache, was ist die Wirkung? In Berlin haben wir zusammen mit Experten nach einer Formel gesucht, diesen Kreislauf zu durchbrechen.
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