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Diplomacy & Defense Think Tank News

Les voix de l’économie – Quelle politique industrielle ?

Fondapol / Général - Sat, 04/07/2020 - 16:24

300 personnalités débattent de l’après-crise du coronavirus, lors des Rencontres économiques Aix-en-Seine, les 3, 4 et 5 juillet : suivez les débats de samedi après-midi et participez. Au programme du deuxième après-midi des Rencontres économiques Aix-en-Seine, samedi 4 juillet : Les Voix de l’économie – Quelle politique industrielle ? avec pour modératrice Isabelle Chaillou. Retrouvez l’émission dans son intégralité, ici. Les invités […]

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Quel est le Prix d’ un cadran solaire ?

RMES - Fri, 03/07/2020 - 09:44

Utilisé aujourd’hui comme un objet de décoration tendance, le cadran solaire se vend dans plusieurs lieux spécialisés en jardinerie. Vous en trouvez dans les magasins de jardinerie, les grandes surfaces, sur internet pour ne citer que ces endroits-là. Si le cadran solaire est très prisé pour sa capacité à embellir un jardin ou une terrasse, son prix reste assez favorable aux acheteurs. Combien vous faut-il alors pour acquérir un cadran solaire ?

Cadrans Solaires bas de gamme et moyens de gamme

Les prix des cadrans solaires oscillent d’une période à une autre et surtout d’une qualité à une autre. Par exemple pour acheter un cadran solaire bas de gamme il faut prévoir entre 15 et 35 euros. Ce genre de modèle est généralement moins présentable que les autres en termes de design. Si vous n’avez pas de grands moyens, vous pouvez vous offrir le modèle bas de gamme. Le hic c’est que vous n’aurez pas un cadran solaire très séduisant.

Quant aux cadrans solaires moyens de gamme, c’est une catégorie de cadrans solaires à la portée de toutes les bourses. Entre 35 et 70 euros, c’est possible d’avoir un cadran solaire disposant des attraits moyens qui sont réservés à cette catégorie. L’aspect dans ce cas d’espèce est un peu plus soigné que celui de la gamme précédente.

Il faut le dire cependant, la catégorisation n’enlève rien à la capacité du cadran à indiquer l’heure solaire. Il est question uniquement des matériaux qui sont utilisés pour la fabrication et du soin que le sculpteur apporte à son travail.

Apprenez-en plus sur son fonctionnement grâce à cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=LQav-g_aKuE

Cadrans Solaires haut de gamme et très haut de gamme

À partir de 70 à 150 euros se situent les cadrans solaires haut de gamme. Avec une présentation bien soignée, c’est le genre d’accessoire préhistorique que quiconque rêverait d’avoir dans sa propriété. Ils sont conçus pour faciliter la connexion entre vous et l’histoire des premiers hommes. Vous en aurez de type mural, méridional, ou septentrional pour ne mentionner que ces formes-là.

Par ailleurs, les cadrans en haut de la chaine sont de la catégorie très haut de gamme. Le prix oscille entre 150 à 400 euros. Dans cette catégorie, tout y est. Il n’y a que des cadrans solaires authentiques que vous trouverez dans cette gamme. Tous les détails sont respectés pour vous offrir un service satisfaisant.

Autre sujet à lire : Quel budget prévoir pour un chevalet ?

Du choix idéal

Pour choisir un cadran solaire, il faut tenir compte de votre goût et de vos moyens. Cependant, il n’est pas toujours facile de tenir compte des deux aspects. Parmi les 16 familles de cadrans solaires qui se font, vous devez être en mesure de trouver ce qui fera votre bonheur. Pour faire de la décoration par exemple, un cadran solaire de type équatorial est ce qui se fait le mieux. C’est une catégorie de cadrans solaires facile à lire et adapté à la déco.

En sommes, votre choix est conditionné par certains paramètres qui peuvent vous échapper. Prenez donc le soin de vous préparer financièrement et de tenir compte des matériaux et du style dans lequel votre accessoire est sculpté.

Un article qui pourrait vous aider : comment lire l’heure sur un cadran solaire ?

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Corona Crisis and Political Confrontation in Brazil

SWP - Fri, 03/07/2020 - 00:00

During his election campaign, Jair Bolsonaro promised economic recovery, the fight against corruption, and an iron hand against violent crime – today, these tasks rep­resent the weak spots of the President: Brazil has become an epicentre of the Covid‑19 pandemic. Even though Bolsonaro downplays the situation and opposes containment measures, the virus and the chaotic crisis management are bringing about serious nega­tive health, social, and economic consequences for the citizens. Investigations, in­cluding those on corruption, and revelations about the Justice Minister who resigned are targeting the President and his family. While the homicide rate is on the rise again in 2020, Bolsonaro pleaded in a cabinet meeting for armed resistance from the population against the health protection policies in the federal states. Threatened by impeachment, the President is struggling for his political survival, challenging the rule of law and democratic principles.

Elecciones presidenciales dominicanas: fin de época (¿y hegemonía?) en la República Dominicana

Real Instituto Elcano - Thu, 02/07/2020 - 13:01
Carlos Malamud y Rogelio Núñez. ARI 90/2020 - 2/7/2020

La República Dominicana vota el domingo 5 de julio para elegir presidente (2020-2024), siendo los primeros comicios latinoamericanos celebrados en plena pandemia. Por primera vez en más de 15 años peligra la hegemonía política del Partido de la Liberación Dominicana (PLD).

3 informations importantes sur le bracelet connecté Willful

RMES - Wed, 01/07/2020 - 14:36

Actuellement, avec l’avancée de la technologie, lorsque vous pratiquez une activité physique, la tendance est d’avoir un bracelet connecté pour suivre vos performances. Nul besoin de toute une panoplie d’appareils, vous n’avez qu’à connecter votre bracelet intelligent à votre smartphone et toutes ces données vous sont facilement accessibles. Dans cet article, nous allons décortiquer le bracelet connecté Willful en nous servant des conseils fournis sur https://www.bracelet-connecte.net/tests-avis/willful/. Notre étude se concentre sur 3 critères importants : le design, l’utilisation, et les autres fonctionnalités.

Caractéristiques et design

À première vue, le bracelet connecté Willful est petit de taille et est donc plaisant à porter et à regarder. Toutefois, force est de reconnaître qu’elle a surtout été conçue pour être portée avec une tenue sportive et décontractée. Elle est munie d’un écran tactile OLED de 0,96 pouce et est dotée d’une prise de charge USB intégrée qui peut être retirée du bracelet. Il est waterproof et possède une autonomie de 5 à 10 jours pour un temps de charge de 2 heures. Elle est compatible avec un système Android 4.4 minimum ou iOS 701 minimum.

Application simple, mais efficace

Le bracelet connecté Willful peut être utilisé seul, mais c’est avec l’application compatible que vous aurez le maximum de possibilités. Nous parlons ici de l’application Willful VeryFitPro qui va recueillir les informations assimilées par les capteurs de votre bracelet. Vous pouvez programmer vos activités parmi les 14 sports différents. Et sont mesurés le nombre de pas, la distance parcourue, les calories brûlées, la fréquence cardiaque, les périodes d’inactivités et la qualité du sommeil.

Pour plus d’avis produits, nous avons un article sur le porte-bijoux et la scie sauteuse.

Autres fonctionnalités

Outre le suivi de vos activités physiques, le bracelet Willful permet également de prendre ou de rejeter un appel, de recevoir les SMS et les notifications des réseaux. De plus, ce capteur d’activité permet de contrôler des caméras ou des téléphones à distance. Vous pouvez par exemple prendre une photo ou une vidéo à partir de votre bracelet connecté, ou changer la musique de votre téléphone. Elle peut aussi servir de réveil et vous rappelle même quand vous devez vous reposer ! Tout est sous contrôle ! Et des graphiques journaliers, hebdomadaires ou mensuels permettent de voir l’évolution de votre activité physique au fil du temps.

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Le budget à prévoir pour l’achat d’un batteur mixeur

RMES - Wed, 01/07/2020 - 11:00

Envie d’acheter un batteur mixeur ? Vous avez un large choix sur le marché. Il y en a pour tous les goûts, les couleurs, les utilisations et surtout les prix. Cependant, si vous n’avez jamais eu à acheter ce genre d’outil, il est probable que vous n’avez aucune une idée sur combien cela coûte. Nous allons vous aider.

Les petits modèles

Par petits modèles, on entend les modèles d’entrée de gamme. Ce sont des produits qui marchent bien, mais sont destinés à des utilisations moins fréquentes. Par exemple, si vous êtes une mère de famille qui réalise des gâteaux de temps en temps, c’est le genre de modèle qu’il vous faut. Le prix d’un batteur électrique varie entre 20 et 50 euros selon les marques et les fonctionnalités. C’est aussi le genre de modèle qu’on vous conseille si vous êtes encore débutant en cuisine.

Les gammes intermédiaires

Ces produits sont plus chers que les précédents, mais ils sont plus performants. C’est le genre de produit à acheter si vous savez déjà utiliser un batteur mixeur. D’autre part, des clients achètent ce produit quand ils augmentent leurs fréquences d’utilisation. En effet, il est possible qu’ils aient déjà eu un modèle d’entrée de gamme, mais que celui-ci soit tombé en panne après une utilisation fréquente. Pour cette catégorie, pensez à dépenser une somme entre 40 et 70 euros environ. Cela vous suffira pour acquérir un outil performant et fiable.

Si vous êtes gourmands, vous allez adorer les articles sur la yaourtière et le multicuiseur.

Les modèles professionnels

Cette dernière catégorie concerne les produits classés professionnels. Cela dit, on les retrouve souvent dans grandes cuisines de restaurant ou de pâtisserie. Ces modèles offrent des puissances suffisantes pour tenir jusqu’à 12 heures d’activités non-stop. Toutefois, il faut savoir que ces modèles sont les plus chers. Leurs prix peuvent atteindre jusqu’à 100 euros ou plus. Néanmoins, avec les promotions, vous pouvez acquérir un de ces modèles à partir de 75 euros environ.

En conclusion, on vous conseille d’abord de bien définir vos besoins et consulter les avis sur Qwant ou un site spécialisé. C’est la seule manière de faire une bonne affaire.

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Connectivity and Geopolitics: Beware the “New Wine in Old Bottles” Approach

SWP - Wed, 01/07/2020 - 00:10

With the Covid-19 pandemic, the fragility and vulnerability of the liberal international order became globally visible in an instant. Aspects of everyday life and especially our taken-for-granted views of connectedness have been disrupted in Asia, Europe, and beyond. The pandemic and, more importantly, the political reactions to it, in many ways again underpin the geopolitical significance of connectivity in world poli­tics. This link between geopolitics and connectivity becomes most obvious in a couple of successive initiatives in East Asia and the EU that illustrate the geopolitical turn of connectivity politics in the last decade. What different actors mean by con­nectivity matters more than ever; getting to the bottom of those meanings gives insights about what geopolitics contains today.

From Asia-Pacific to Indo-Pacific

SWP - Wed, 01/07/2020 - 00:05

More and more states and regional organisations employ the term “Indo-Pacific”. It is increasingly supplanting the previously common term, “Asia-Pacific”. In Europe, only France has so far presented its own “Indo-Pacific” concept.

The term “Indo-Pacific” is used to refer to various, sometimes divergent, concepts. These in turn are based on very different ideas on regional order. What they all have in common is the reference to the importance of a rules-based international order.

“Indo-Pacific” is a political term and therefore neither purely descriptive nor value-neutral. In particular, the Trump administration’s “Free and Open Indo-Pacific” concept aims to contain China and is thus an expression of the growing strategic rivalry between Washington and Beijing. In Beijing, “Indo-Pacific” is primarily understood as a U.S.-led containment strategy directed against China.

Other actors, for example ASEAN or India, emphasise aspects such as economic prosperity, connectivity and multilateral cooperation in their Indo-Pacific concepts.

The EU and its member states are under increasing pressure from Washington to commit themselves directly or indirectly to the “Indo-Pacific” – and thus, from a U.S. perspective, for Washington and against Beijing. In their deliberations, Europeans should not succumb to this zero-sum logic.

The EU and its member states have at their disposal three (ideal type) approaches: “equidistance”, “alignment” and “autonomy”. In order to be able to choose one option, Europeans must define their economic, security and normative interests in the region and provide the necessary resources for their advancement.

Mehr Chinakompetenz wagen

SWP - Wed, 01/07/2020 - 00:00

Bei der Auseinandersetzung mit China geht es nicht nur darum, in Politik, Wirt­schaft oder Technologie Antworten auf drängende Probleme zu finden. Vielmehr muss ein System europäischer Chinakompetenz aufgebaut werden, das langfristige Handlungsfähigkeit sichert. Entscheidend ist, diese Aufgabe an der Schnittstelle von Außen- und Bildungspolitik zu verorten. Die Bildung von Chinakompetenz – und Chinakompetenz durch Bildung – sollte daher Teil der europäischen Chinastrategie sein.

Elections municipales 2020

Fondapol / Général - Tue, 30/06/2020 - 12:45

ELECTIONS – Près de 60% des électeurs se sont abstenus d’aller voter dimanche au second tour des élections municipales. Une abstention record, qui s’explique avant tout par la crise sanitaire. Mais pas seulement. L’abstention, premier parti de France à l’issue du second tour des municipales. Avec 58,4% des électeurs qui ont boudé les urnes ce […]

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Un llamamiento a la presidencia alemana: invierta con valentía e inteligencia en el futuro de Europa

Real Instituto Elcano - Tue, 30/06/2020 - 04:07
Nicoletta Pirozzi, Funda Tekin e Ilke Toygür. Comentario Elcano 25/2020 (versión en español) - 30/6/2020

Hay muchas expectativas y esperanzas de que la próxima presidencia alemana del Consejo de la UE muestre liderazgo y dé contenido a la declaración “Juntos por la recuperación de Europa”.

Unconventional Mitigation

SWP - Tue, 30/06/2020 - 00:00

If the EU wants to achieve net zero emissions by 2050, enacting conventional climate change mitigation measures to avoid emissions of greenhouse gases will not be enough. To compensate for unavoidable residual emissions, unconventional measures to remove CO2 from the atmosphere will also be necessary – for example, through afforestation or the direct cap­ture of CO2 from ambient air.

Not all member states and economic sectors will have achieved green­house gas neutrality by 2050; some will already need to be below zero by then. The option of CO2 removal from the atmosphere will allow greater flexibility in climate policy, but will also raise new distributional issues.

Avoiding greenhouse gas emissions should be given political priority over the subsequent removal of CO2. Net zero targets should be explicitly divided into emission reduction targets and removal targets, instead of simply off­setting the effects of both approaches.

The future development of an EU CO2 removal policy should be structured by adequate policy design. Whether the EU chooses a proactive or cautious entry pathway in the medium term will depend not least on the net nega­tive targets it assumes for the period after 2050.

In the coming years, the EU should focus on investing more in research and development of CO2 removal methods and gaining more practical experience in their use.

Only if the EU and its members actually succeed in convincingly combin­ing conventional emission reductions and unconventional CO2 removals to reach net zero will the EU be able to live up to its status as a pioneer in climate policy.

Russlands »Passportisierung« des Donbas

SWP - Tue, 30/06/2020 - 00:00

Russland hat bisher knapp 200 000 russische Pässe an Ukrainerinnen und Ukrainer aus den »Volksrepubliken« Donezk und Luhansk vergeben. Damit untergräbt es den Minsker Friedens­prozess. Die Passportisierung des Donbas ist Teil eines erprobten außenpolitischen Instrumentariums. Mit ihm erschwert Russland gezielt die Beilegung ungelöster Territorialkonflikte im postsowjetischen Raum mittels kontrollierter In­stabilität. Durch diesen demonstrativen Eingriff in die staatliche Souveränität übt Russland Druck auf die ukrainische Zentralregierung in Kyjiw aus. Innenpolitisch ver­folgt Russland das Ziel, durch Zuwanderung dem natürlichen Bevölkerungsschwund im eigenen Land entgegenzuwirken. Wegen des Krieges in der Ostukraine migrierten immer mehr Ukrainerinnen und Ukrainer nach Russland; dies war einer der Gründe für die Neufassung der russischen Migrationsstrategie im Jahr 2018. Die Libe­ra­lisie­rung der Gesetzgebung über Staatsangehörigkeit zielt insbesondere auf die Ukraine ab. Indem Russland die Lösung des Konflikts verschleppt, erreicht es zwei Ziele auf ein­mal: Erstens behält Moskau über den Donbas dauerhaft Einfluss auf die Ukraine, zweitens wird Russland für viele Ukrainerinnen und Ukrainer als Einwanderungsland attraktiver.

 

L’INFO DU VRAI

Fondapol / Général - Mon, 29/06/2020 - 16:01

Le grand rendez-vous d’information revient dans une version revue et corrigée. Yves Calvi, l’intervieweur emblématique de CANAL+, affirme son ambition : toujours mieux décrypter, analyser, expliquer l’actualité. Analyse politique avec Dominique Reynié. «Ce niveau d’abstention est très préoccupant. Il est le résultat d’une forme de désaffection institutionnelle.» @DominiqueReynie #LInfoduVrai #Macron #électionsmunicipales pic.twitter.com/c6pVc0gRlZ — L’Info Du […]

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Auf Covid-19 muss eine tiefgreifende Transformation der Steuersysteme folgen

Die aktuelle Krise zeigt einmal mehr, wie wichtig leistungsfähige und gut regierte Staaten sind, wenn es darum geht, elementare Probleme kollektiv zu lösen. Steuersysteme werden eine Schlüsselrolle spielen, um die sozialen und wirtschaftlichen Folgen der Covid-19-Pandemie in Entwicklungsländern abzufedern und nach der Pandemie eine möglichst rasche und nachhaltige wirtschaftliche Erholung zu befördern.

Der zusätzliche Finanzbedarf der öffentlichen Haushalte wird dabei vor allem in den ärmeren Ländern gewaltig sein. Wichtige Einnahmequellen, wie der Export von Naturressourcen oder der Tourismus, sind auf unbestimmte Zeit eingebrochen. Schätzungen der Weltbank sagen zum Beispiel für Afrika voraus, dass je nach Ausmaß der Krise mit einem Rückgang der staatlichen Einnahmen um 12 bis 16 Prozent zu rechnen ist. Für das Jahr 2020 wird eine durchschnittliche Erhöhung der Haushaltsdefizite um 3,5 Prozentpunkte des Bruttoinlandsprodukts prognostiziert.

Viele Entwicklungsländer befinden sich noch in der Lockdown-Phase der Pandemie. In dieser Phase geht es vor allem um Steuererleichterungen, die den Unternehmen kurzfristig Liquidität verschaffen, so wie zum Beispiel der Aufschub fälliger Steuerzahlungen. Danach folgt eine Phase der Lockerungen, in welcher Steuererleichterungen als Konsum- oder Investitionsanreize eingesetzt werden, um die Wirtschaft wieder anzukurbeln. Viele Industrienationen befinden sich momentan in dieser Phase, in der eine Balance zwischen effektiven Steueranreizen für die Wirtschaft und ausreichenden Staatseinnahmen zur Finanzierung der erhöhten Ausgaben gefunden werden muss. Spätestens mit dem Ende der Pandemie müssen zusätzlich langfristige Maßnahmen in den Blick genommen werden, um die öffentlichen Finanzsysteme resilient und zukunftsfähig zu machen.

Doch welche Möglichkeiten haben die Regierungen, um kurzfristig steuerliche Anreize für Investitionen und wirtschaftliche Notfallprogramme zu gewähren, ohne mittel- und langfristig die Finanzierung der wachsenden Staatsausgaben zu gefährden? Gerade ärmere Länder haben hier häufig nur wenig finanziellen Spielraum für Konjunkturpakete.

Zum einen müssen die Steuersysteme auf eine breitere Basis gestellt werden. Eine effektivere Besteuerung der wohlhabenden Privathaushalte und Vermögen ist notwendig. Viele Staaten erzielen zum Beispiel kaum Einnahmen aus Grundsteuern oder aus privaten Einkommenssteuern. Gerade solche Steuern fördern aber die Progressivität und Fairness der Steuersysteme, weil sie die Leistungsfähigkeit wohlhabender Steuerzahler stärker berücksichtigen.

Zum anderen müssen Steuerhinterziehung und -vermeidung – welche jährlich weltweit zu Milliardeneinbußen an Steuereinnahmen führen – entschlossen verfolgt werden. Hierfür ist es wichtig, in den Steuerbehörden die Qualität der Steuerdaten und -register, aber auch die Kapazitäten der Steuerprüfung zu erhöhen. Digitalisierung und Automatisierung bei der Führung von Registern, dem Rechnungswesen und dem Austausch von Informationen, sowohl national zwischen Behörden als auch international zwischen Ländern, sind dafür zentrale Ansatzpunkte.

Doch die erforderlichen Maßnahmen können die ärmeren Entwicklungsländer alleine nicht stemmen. Sie sind besonders bei der Bekämpfung von Steuerhinterziehung und -vermeidung durch Großkonzerne auf internationale Zusammenarbeit angewiesen. Vor allem muss dem intransparenten Geschäftsgebaren der sogenannten Steueroasen und dem globalen Unterbietungswettbewerb bei den Unternehmenssteuern ein Ende gesetzt werden. Zu Letzterem ist die Einführung einer globalen Mindeststeuer im Gespräch. Sie ist gegenwärtig Gegenstand von Verhandlungen unter dem Dach der OECD und sollte zügig umgesetzt werden.

Die Entwicklungsländer werden daneben weitere Finanzmittel benötigen, die ihnen nur teilweise in Form von Krediten zufließen können. Die vielfach diskutierten Finanztransaktionssteuern könnten eine weitere Einnahmequelle für Staaten bilden. Außerdem könnten über Steuern auf große Vermögen und Erbschaften mehr Mittel mobilisiert werden – besonders wenn es gelingt, die G20-Länder hier zu einem gemeinsamen Vorgehen zu bewegen. Eine international abgestimmte Besteuerung digitaler Dienstleistungen, etwa der großen Technologie-Unternehmen, könnte staatliche Steuereinnahmen zudem stärken. Der Rückzug der USA aus den OECD-Gesprächen zur Besteuerung der digitalen Wirtschaft ist kein positives Signal in diese Richtung. Er sollte jedoch nicht als endgültige Niederlage multilateraler Lösungen hingenommen werden, sondern als Warnung und Ermutigung für die anderen Länder, weitere Anstrengungen für gemeinsame Lösungen zu unternehmen.

Die Weltwirtschaftskrise 2008/2009 hatte neben vielen negativen Auswirkungen eine positive Folge: Sie hat die internationale Kooperation in Steuerfragen enorm vorangebracht. Derartige Impulse brauchen wir nun auch zur Bewältigung der Covid-19 Pandemie. Es geht dabei nicht nur darum, mehr Einnahmen zu generieren, sondern vor allem darum, mehr Gerechtigkeit in der Einnahmengenerierung zu schaffen. Dazu müssen Steuergerechtigkeit und –fairness öffentlich stärker diskutiert werden. Denn wie die finanziellen Mittel zur Bewältigung der Krise erhoben und eingesetzt werden, wird sich auch auf die Legitimität der Staaten und den sozialen Zusammenhalt auswirken.

Dieser Text ist Teil einer Sonderreihe unseres Formats Die aktuelle Kolumne, die die Folgen der Corona-Krise entwicklungspolitisch und sozioökonomisch einordnet. Sie finden die weiteren Texte hier auf unserer Überblicksseite.

Auf Covid-19 muss eine tiefgreifende Transformation der Steuersysteme folgen

Die aktuelle Krise zeigt einmal mehr, wie wichtig leistungsfähige und gut regierte Staaten sind, wenn es darum geht, elementare Probleme kollektiv zu lösen. Steuersysteme werden eine Schlüsselrolle spielen, um die sozialen und wirtschaftlichen Folgen der Covid-19-Pandemie in Entwicklungsländern abzufedern und nach der Pandemie eine möglichst rasche und nachhaltige wirtschaftliche Erholung zu befördern.

Der zusätzliche Finanzbedarf der öffentlichen Haushalte wird dabei vor allem in den ärmeren Ländern gewaltig sein. Wichtige Einnahmequellen, wie der Export von Naturressourcen oder der Tourismus, sind auf unbestimmte Zeit eingebrochen. Schätzungen der Weltbank sagen zum Beispiel für Afrika voraus, dass je nach Ausmaß der Krise mit einem Rückgang der staatlichen Einnahmen um 12 bis 16 Prozent zu rechnen ist. Für das Jahr 2020 wird eine durchschnittliche Erhöhung der Haushaltsdefizite um 3,5 Prozentpunkte des Bruttoinlandsprodukts prognostiziert.

Viele Entwicklungsländer befinden sich noch in der Lockdown-Phase der Pandemie. In dieser Phase geht es vor allem um Steuererleichterungen, die den Unternehmen kurzfristig Liquidität verschaffen, so wie zum Beispiel der Aufschub fälliger Steuerzahlungen. Danach folgt eine Phase der Lockerungen, in welcher Steuererleichterungen als Konsum- oder Investitionsanreize eingesetzt werden, um die Wirtschaft wieder anzukurbeln. Viele Industrienationen befinden sich momentan in dieser Phase, in der eine Balance zwischen effektiven Steueranreizen für die Wirtschaft und ausreichenden Staatseinnahmen zur Finanzierung der erhöhten Ausgaben gefunden werden muss. Spätestens mit dem Ende der Pandemie müssen zusätzlich langfristige Maßnahmen in den Blick genommen werden, um die öffentlichen Finanzsysteme resilient und zukunftsfähig zu machen.

Doch welche Möglichkeiten haben die Regierungen, um kurzfristig steuerliche Anreize für Investitionen und wirtschaftliche Notfallprogramme zu gewähren, ohne mittel- und langfristig die Finanzierung der wachsenden Staatsausgaben zu gefährden? Gerade ärmere Länder haben hier häufig nur wenig finanziellen Spielraum für Konjunkturpakete.

Zum einen müssen die Steuersysteme auf eine breitere Basis gestellt werden. Eine effektivere Besteuerung der wohlhabenden Privathaushalte und Vermögen ist notwendig. Viele Staaten erzielen zum Beispiel kaum Einnahmen aus Grundsteuern oder aus privaten Einkommenssteuern. Gerade solche Steuern fördern aber die Progressivität und Fairness der Steuersysteme, weil sie die Leistungsfähigkeit wohlhabender Steuerzahler stärker berücksichtigen.

Zum anderen müssen Steuerhinterziehung und -vermeidung – welche jährlich weltweit zu Milliardeneinbußen an Steuereinnahmen führen – entschlossen verfolgt werden. Hierfür ist es wichtig, in den Steuerbehörden die Qualität der Steuerdaten und -register, aber auch die Kapazitäten der Steuerprüfung zu erhöhen. Digitalisierung und Automatisierung bei der Führung von Registern, dem Rechnungswesen und dem Austausch von Informationen, sowohl national zwischen Behörden als auch international zwischen Ländern, sind dafür zentrale Ansatzpunkte.

Doch die erforderlichen Maßnahmen können die ärmeren Entwicklungsländer alleine nicht stemmen. Sie sind besonders bei der Bekämpfung von Steuerhinterziehung und -vermeidung durch Großkonzerne auf internationale Zusammenarbeit angewiesen. Vor allem muss dem intransparenten Geschäftsgebaren der sogenannten Steueroasen und dem globalen Unterbietungswettbewerb bei den Unternehmenssteuern ein Ende gesetzt werden. Zu Letzterem ist die Einführung einer globalen Mindeststeuer im Gespräch. Sie ist gegenwärtig Gegenstand von Verhandlungen unter dem Dach der OECD und sollte zügig umgesetzt werden.

Die Entwicklungsländer werden daneben weitere Finanzmittel benötigen, die ihnen nur teilweise in Form von Krediten zufließen können. Die vielfach diskutierten Finanztransaktionssteuern könnten eine weitere Einnahmequelle für Staaten bilden. Außerdem könnten über Steuern auf große Vermögen und Erbschaften mehr Mittel mobilisiert werden – besonders wenn es gelingt, die G20-Länder hier zu einem gemeinsamen Vorgehen zu bewegen. Eine international abgestimmte Besteuerung digitaler Dienstleistungen, etwa der großen Technologie-Unternehmen, könnte staatliche Steuereinnahmen zudem stärken. Der Rückzug der USA aus den OECD-Gesprächen zur Besteuerung der digitalen Wirtschaft ist kein positives Signal in diese Richtung. Er sollte jedoch nicht als endgültige Niederlage multilateraler Lösungen hingenommen werden, sondern als Warnung und Ermutigung für die anderen Länder, weitere Anstrengungen für gemeinsame Lösungen zu unternehmen.

Die Weltwirtschaftskrise 2008/2009 hatte neben vielen negativen Auswirkungen eine positive Folge: Sie hat die internationale Kooperation in Steuerfragen enorm vorangebracht. Derartige Impulse brauchen wir nun auch zur Bewältigung der Covid-19 Pandemie. Es geht dabei nicht nur darum, mehr Einnahmen zu generieren, sondern vor allem darum, mehr Gerechtigkeit in der Einnahmengenerierung zu schaffen. Dazu müssen Steuergerechtigkeit und –fairness öffentlich stärker diskutiert werden. Denn wie die finanziellen Mittel zur Bewältigung der Krise erhoben und eingesetzt werden, wird sich auch auf die Legitimität der Staaten und den sozialen Zusammenhalt auswirken.

Dieser Text ist Teil einer Sonderreihe unseres Formats Die aktuelle Kolumne, die die Folgen der Corona-Krise entwicklungspolitisch und sozioökonomisch einordnet. Sie finden die weiteren Texte hier auf unserer Überblicksseite.

Auf Covid-19 muss eine tiefgreifende Transformation der Steuersysteme folgen

Die aktuelle Krise zeigt einmal mehr, wie wichtig leistungsfähige und gut regierte Staaten sind, wenn es darum geht, elementare Probleme kollektiv zu lösen. Steuersysteme werden eine Schlüsselrolle spielen, um die sozialen und wirtschaftlichen Folgen der Covid-19-Pandemie in Entwicklungsländern abzufedern und nach der Pandemie eine möglichst rasche und nachhaltige wirtschaftliche Erholung zu befördern.

Der zusätzliche Finanzbedarf der öffentlichen Haushalte wird dabei vor allem in den ärmeren Ländern gewaltig sein. Wichtige Einnahmequellen, wie der Export von Naturressourcen oder der Tourismus, sind auf unbestimmte Zeit eingebrochen. Schätzungen der Weltbank sagen zum Beispiel für Afrika voraus, dass je nach Ausmaß der Krise mit einem Rückgang der staatlichen Einnahmen um 12 bis 16 Prozent zu rechnen ist. Für das Jahr 2020 wird eine durchschnittliche Erhöhung der Haushaltsdefizite um 3,5 Prozentpunkte des Bruttoinlandsprodukts prognostiziert.

Viele Entwicklungsländer befinden sich noch in der Lockdown-Phase der Pandemie. In dieser Phase geht es vor allem um Steuererleichterungen, die den Unternehmen kurzfristig Liquidität verschaffen, so wie zum Beispiel der Aufschub fälliger Steuerzahlungen. Danach folgt eine Phase der Lockerungen, in welcher Steuererleichterungen als Konsum- oder Investitionsanreize eingesetzt werden, um die Wirtschaft wieder anzukurbeln. Viele Industrienationen befinden sich momentan in dieser Phase, in der eine Balance zwischen effektiven Steueranreizen für die Wirtschaft und ausreichenden Staatseinnahmen zur Finanzierung der erhöhten Ausgaben gefunden werden muss. Spätestens mit dem Ende der Pandemie müssen zusätzlich langfristige Maßnahmen in den Blick genommen werden, um die öffentlichen Finanzsysteme resilient und zukunftsfähig zu machen.

Doch welche Möglichkeiten haben die Regierungen, um kurzfristig steuerliche Anreize für Investitionen und wirtschaftliche Notfallprogramme zu gewähren, ohne mittel- und langfristig die Finanzierung der wachsenden Staatsausgaben zu gefährden? Gerade ärmere Länder haben hier häufig nur wenig finanziellen Spielraum für Konjunkturpakete.

Zum einen müssen die Steuersysteme auf eine breitere Basis gestellt werden. Eine effektivere Besteuerung der wohlhabenden Privathaushalte und Vermögen ist notwendig. Viele Staaten erzielen zum Beispiel kaum Einnahmen aus Grundsteuern oder aus privaten Einkommenssteuern. Gerade solche Steuern fördern aber die Progressivität und Fairness der Steuersysteme, weil sie die Leistungsfähigkeit wohlhabender Steuerzahler stärker berücksichtigen.

Zum anderen müssen Steuerhinterziehung und -vermeidung – welche jährlich weltweit zu Milliardeneinbußen an Steuereinnahmen führen – entschlossen verfolgt werden. Hierfür ist es wichtig, in den Steuerbehörden die Qualität der Steuerdaten und -register, aber auch die Kapazitäten der Steuerprüfung zu erhöhen. Digitalisierung und Automatisierung bei der Führung von Registern, dem Rechnungswesen und dem Austausch von Informationen, sowohl national zwischen Behörden als auch international zwischen Ländern, sind dafür zentrale Ansatzpunkte.

Doch die erforderlichen Maßnahmen können die ärmeren Entwicklungsländer alleine nicht stemmen. Sie sind besonders bei der Bekämpfung von Steuerhinterziehung und -vermeidung durch Großkonzerne auf internationale Zusammenarbeit angewiesen. Vor allem muss dem intransparenten Geschäftsgebaren der sogenannten Steueroasen und dem globalen Unterbietungswettbewerb bei den Unternehmenssteuern ein Ende gesetzt werden. Zu Letzterem ist die Einführung einer globalen Mindeststeuer im Gespräch. Sie ist gegenwärtig Gegenstand von Verhandlungen unter dem Dach der OECD und sollte zügig umgesetzt werden.

Die Entwicklungsländer werden daneben weitere Finanzmittel benötigen, die ihnen nur teilweise in Form von Krediten zufließen können. Die vielfach diskutierten Finanztransaktionssteuern könnten eine weitere Einnahmequelle für Staaten bilden. Außerdem könnten über Steuern auf große Vermögen und Erbschaften mehr Mittel mobilisiert werden – besonders wenn es gelingt, die G20-Länder hier zu einem gemeinsamen Vorgehen zu bewegen. Eine international abgestimmte Besteuerung digitaler Dienstleistungen, etwa der großen Technologie-Unternehmen, könnte staatliche Steuereinnahmen zudem stärken. Der Rückzug der USA aus den OECD-Gesprächen zur Besteuerung der digitalen Wirtschaft ist kein positives Signal in diese Richtung. Er sollte jedoch nicht als endgültige Niederlage multilateraler Lösungen hingenommen werden, sondern als Warnung und Ermutigung für die anderen Länder, weitere Anstrengungen für gemeinsame Lösungen zu unternehmen.

Die Weltwirtschaftskrise 2008/2009 hatte neben vielen negativen Auswirkungen eine positive Folge: Sie hat die internationale Kooperation in Steuerfragen enorm vorangebracht. Derartige Impulse brauchen wir nun auch zur Bewältigung der Covid-19 Pandemie. Es geht dabei nicht nur darum, mehr Einnahmen zu generieren, sondern vor allem darum, mehr Gerechtigkeit in der Einnahmengenerierung zu schaffen. Dazu müssen Steuergerechtigkeit und –fairness öffentlich stärker diskutiert werden. Denn wie die finanziellen Mittel zur Bewältigung der Krise erhoben und eingesetzt werden, wird sich auch auf die Legitimität der Staaten und den sozialen Zusammenhalt auswirken.

Dieser Text ist Teil einer Sonderreihe unseres Formats Die aktuelle Kolumne, die die Folgen der Corona-Krise entwicklungspolitisch und sozioökonomisch einordnet. Sie finden die weiteren Texte hier auf unserer Überblicksseite.

Systemrelevant, aber dennoch kaum anerkannt: Entlohnung unverzichtbarer Berufe in der Corona-Krise

Zusammenfassung:

In Zeiten der Corona-Krise zeigt sich: Bestimmte Berufsgruppen und Bereiche des öffentlichen und sozialen Lebens sind systemrelevant.[1] Die Mehrheit der als systemrelevant definierten Berufe weist jedoch außerhalb von Krisenzeiten ein geringes gesellschaftliches Ansehen und eine unterdurchschnittliche Bezahlung auf. Der Frauenanteil ist hingegen überdurchschnittlich. Dies gilt vor allem für die systemrelevanten Berufe der „ersten Stunde“, also jene Tätigkeiten, die seit Beginn der Corona-Krise als systemrelevant gelten. Die Liste systemrelevanter Berufe wurde über die Zeit konkretisiert und um weitere Berufsgruppen ergänzt. Diese zusätzlichen Berufe haben ein höheres Lohn- und Prestigeniveau und einen höheren Männeranteil. Dennoch gilt auch nach der erweiterten Definition der systemrelevanten Berufe „zweiter Stunde“: Die Diskrepanz zwischen gesellschaftlicher Unverzichtbarkeit und tatsächlicher Entlohnung ist in Krisenzeiten besonders offensichtlich. Deshalb sollten auf kollektive Dankbarkeit konkrete Maßnahmen folgen, wie eine höhere Entlohnung und eine breitere tarifvertragliche Absicherung.


Le président sortant Andrzej Duda et le maire de Varsovie Rafal Trzaskowski s'affronteront lors du deuxième tour de l'élection présidentielle polonaise le 12 juillet

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 29/06/2020 - 02:00
Le président de la République sortant Andrzej Duda (Droit et justice, PiS) est arrivé en tête du premier tour de l'élection présidentielle le 28 juin en Pologne. Il a recueilli 43,67% des suffrages et il a devancé Rafal Trzaskowski, maire de Varsovie et ancien ministre de l'Administration et du Numé...

Durchregieren oder »Kohabitation«: Der Ausgang der Präsidentschaftswahl in Polen ist offen

SWP - Mon, 29/06/2020 - 00:05

Andrzej Duda, Amtsinhaber und Kandidat der regierenden Partei Recht und Gerechtigkeit (PiS), hat die erste Runde der polnischen Präsidentschaftswahlen gewonnen. Sein liberaler Herausforderer Rafał Trzaskowski, der Bürgermeister von Warschau, wurde zweiter und wird am 12. Juli in der entscheidenden Stichwahl gegen Duda antreten. Duda erhielt nach Auszählung in über 99 Prozent der Wahllokale knapp 44 Prozent der Stimmen, Trzaskowski kam auf 30 Prozent.

Die erste Runde der Wahl bestätigte eine eigentümliche Grundkonstellation des politischen Gefüges – die so stabil ist, dass sie auch Corona-Zeiten und ein Hin und Her um den Wahltermin überdauert. Es dominieren zwei große Lager, nämlich das sozialkonservative und staatslastige der PiS und Andrzej Dudas einerseits und das liberal-zentristische um Rafał Trzaskowski und seine Bürgerplattform (PO) andererseits. Auf der Ebene der Elektorate zeigt sich dies im klassischen Gegensatz zwischen ländlich-peripheren und urban-metropolitanen Wählergruppen. Gleichwohl existiert weiterhin ein heterogenes Feld von Menschen, die von diesem Dualismus ermüdet sind. Wie schon vor fünf Jahren, als in der ersten Runde der Rockmusiker Paweł Kukiz ein Fünftel der Stimmen auf sich vereinte, gab es auch diesmal mit dem Journalisten Szymon Hołownia einen politischen Seiteneinsteiger, den etwa ein Siebtel der Wählerschaft unterstützte. Aber nicht nur der liberale »bürgerschaftliche« und antipolitische Hołownia stieß auf positive Resonanz, auch der im Wahlkampf moderat auftretende Kandidat der Nationalisten Bosak erhielt mit sieben Prozent soliden Zuspruch. Nimmt man noch die Stimmen der allerdings wenig erfolgreichen Vertreter der Bauernpartei und der Linken hinzu, zeigt sich, dass trotz starker Polarisierung mehr als ein Viertel der Wählerschaft weder den Kandidaten der PO noch den der PiS favorisierte. Umfrageergebnisse aus der ersten Runde belegen, dass zu den Verdrossenen vor allem jüngere Menschen gehören. Unter den 18- bis 29-Jährigen votierten deutlich weniger als die Hälfte für die beiden Erstplatzierten – für Hołownia fast ein Viertel, für den Nationalisten Bosak etwa ein Fünftel. Wenn man so möchte, gibt es also zwei große politische Pole, aber viele unterschiedliche Positionen.

Immer mehr PiS-Anhängerinnen und -Anhänger wählen

Sichtbar wurde ebenfalls, dass es sich auch bei diesen Wahlen wieder um eine Mobilisierungsschlacht handelte. Polen liegt damit im Trend der meisten anderen europäischen Länder. Die Wahlbeteiligung kletterte auf den für polnische Verhältnisse hohen Wert von 64 Prozent. Das traditionelle Muster – hohe Wahlbeteiligung in der Stadt, geringe Wahlbeteiligung auf dem Land – gilt zwar nach wie vor. Doch üben immer mehr Menschen aus dem ländlichen Raum, also zumeist in Gebieten, wo die PiS stark ist, ihr Wahlrecht aus. Ob hierzu das von der PiS ausgelobte neue Feuerwehrauto für Gemeinden (mit bis zu 20 000 Einwohnern) mit der höchsten Wahlbeteiligung oder aber die PiS-nahen Medien, die Zivilgesellschaft oder die katholische Kirche beigetragen haben, wird zu untersuchen sein. Wie auch immer wird sich Trzaskowski im zweiten Wahlgang mächtig ins Zeug legen müssen, um gegen die zusehends disziplinierte Wählerschaft der PiS anzukommen.

Vor diesem Hintergrund bleibt der Wahlausgang offen, obschon Duda auf den ersten Blick arithmetisch im Hintertreffen ist: Nimmt man zur Wählerschaft von Trzaskowski die zweifelsohne im Anti-PiS-Modus denkende Mehrheit der Anhänger von Hołownia und der beiden schwächeren Kandidaten der Mitte und der Linken hinzu, könnte Trzaskowski Duda trotz seines großen Rückstandes einholen. Gleichzeitig ist ein Transfer der Anhänger Bosaks zu Duda keineswegs ausgemacht. Für viele seiner libertären und nationalistischen Sympathisanten ist die PiS zu sozial, zu wenig EU-kritisch oder zu amerikafreundlich.

Für Andrzej Duda geht es nun darum, nicht nur die eigenen Bataillone an die Wahlurnen bzw. zu den Briefkästen zu führen, sondern auch neue Wählergruppen zu erreichen. Im bisherigen Wahlkampf fuhr der amtierende Präsident eine harte Linie und stilisierte zum Beispiel das LGBT-Thema im Sinne einer Verteidigung der klassischen Familie zu einer zentralen Frage hoch. Damit mobilisierte er im eigenen Lager, aber er polarisierte auch. Dudas erster Auftritt am Wahlabend zeigte ihn mit einem anderen Gesicht: Er agierte versöhnlich, bedankte sich bei seinen Konkurrenten und streckte die Hand aus. Ob sich dahinter ein Strategiewechsel zu einer softeren Kampagne verbirgt, bleibt abzuwarten. Denn Duda muss weiterhin sein »eisernes Elektorat« bedienen und Brücken zu den oft jüngeren Wählern von rechts außen bauen.

Rafał Trzaskowski wiederum muss versuchen, eine Art Wechselstimmung zu generieren und parallel dazu diejenigen unter den Unentschlossenen und bisher Passiven anzusprechen, die noch Vorbehalte haben. Denn während er für seine Kernwählerschaft der Kandidat der Hoffnung ist, gilt er für viele, die von der Wirtschafts- und Sozialpolitik der PiS profitierten, als Bedrohung für Leistungen wie das von der Partei eingeführte Kindergeld oder die Absenkung des Renteneintrittsalters. Auch wenn das Staatsoberhaupt ohne Parlamentsmehrheit kaum Chancen hat, diese Leistungen abzuwickeln, muss Trzaskowski hier kommunikativ nacharbeiten. Denn obschon er sich mittlerweile zu diesen Aspekten der PiS-Politik bekennt, hatte seine politische Konkurrenz leichtes Spiel, ihm bei diesen Themen mangelnde Glaubwürdigkeit zu bescheinigen.

Der zweite Wahlgang wird vor allem eine Auseinandersetzung zwischen zwei Offerten sein: Dudas Fortsetzung der von der PiS verfolgten sozialpatriotischen Politik des »guten Wandels« auch in Zeiten der Corona-Krise einerseits und Trzaskowskis Vorstellung einer »neuen Solidarität« und einer liberalen Modernisierung Polens. Mithin geht es also darum, ob die PiS bis zu den nächsten regulären Parlamentswahlen 2023 durchregieren, also ihre Sozialpolitik fortführen sowie Staat und Justiz ungestört »fertigreformieren« kann. Oder ob sie einen Gegenspieler bekommt, der als Staatsoberhaupt nur limitierte Kompetenzen hat, der aber durch Vetomöglichkeiten, Personalpolitik und seine Autorität im Rahmen einer ruppigen »Kohabitation« zum Widersacher und Bremser wird.

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