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Diplomacy & Defense Think Tank News

A Corona Presidency in the Coronavirus Crisis?

SWP - Thu, 25/06/2020 - 00:00

According to the dictionary, a “corona” is the bright circle of light around the sun during a total eclipse. While the darkness of the corona pandemic is not total, the death toll and economic consequences that have come with it are devastating. This puts the EU “to the greatest test” in its history, according to Chancellor Angela Merkel. Against this backdrop, Germany will take over the EU Council presidency on 1 July 2020 – caught between high expectations on the one hand, and the diminished influence of a presidency on the other. The task of the German presidency is twofold: Contain the negative fallout from the crisis and use its integrative momentum for the revitalisation of a crisis-prone European Union. Ultimately, EU members can only achieve this together, but the German presidency can contribute a great deal by forg­ing compromises, providing incentives, and orienting itself towards the model of a solidarity-based and autonomous Europe – even beyond the Council presidency.

Au lendemain du confinement, des Français fragilisés mais pleins de ressources

Fondapol / Général - Wed, 24/06/2020 - 17:39

Après trois mois de crise sanitaire, décrite comme un «fait social total» par les sociologues, les Français restent imprégnés d’un profond sentiment de vulnérabilité. Voyage au coeur d’un pays qui se déconfine, entre impatience d’être en vacances et craintes pour l’avenir. À regarder la scène, on pourrait croire que rien n’a changé. À Paris, au […]

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Pourquoi acheter un logiciel espion ?

RMES - Wed, 24/06/2020 - 12:12

Depuis quelques années, on assiste à la création de nouvelles applications et logiciels. Parmi ces logiciels, nous avons les logiciels espions. Comme leur nom l’indique, ce sont des logiciels qui permettent d’espionner.

Cependant, il y a des personnes qui n’ont jamais entendu parler des logiciels espions. Il y en a également qui ne connaissent pas vraiment la nécessité d’un logiciel espion. Pour vous éclairer, voici pour vous quelques raisons pour lesquelles vous devriez absolument vous procurer un logiciel espion.

Les logiciels espions vous serviront à protéger vos enfants

Les enfants de nos jours sont sous la pression sociale. Il y en a qui sont victimes de violences et de harcèlement. Ils ne vous en parleront pas souvent. Ils préféreront garder cela pour eux, ce qui les plonge encore plus dans la dépression. Avec un logiciel espion, vous pouvez surveiller vos enfants.

Pour avoir un œil sur leur fréquentation et sur divers messages qu’ils reçoivent. Ainsi, s’ils sont victimes de harcèlement, vous pourrez agir. Aussi, vous garderez un œil sur les sites que visitent vos enfants afin de les empêcher d’aller sur des sites inappropriés.

Les logiciels espions vous serviront à veiller sur la bonne marche de votre entreprise

Vous êtes un chef d’entreprise ? Il est possible que vous mettiez à la disposition de vos employés des téléphones de fonction. Cependant, il arrive que ces employés en fassent des usages inappropriés. Il y a de ces employés qui utilisent le forfait de l’entreprise pour des appels personnels.

Il y en a qui utilisent la connexion Internet pour des besoins personnels ou même pour regarder des contenus inappropriés. Ce sont là des agissements qui indisposent les employeurs. Heureusement, les logiciels espions permettent de les ramener à l’ordre. Si vous avez une entreprise de livraison, vous pourrez également suivre les déplacements de vos employés grâce aux logiciels espions – voir un mini-comparatif ici.

Les logiciels espions vous serviront à récupérer votre téléphone en cas de vol

Tout le monde sait à quel point c’est contraignant de perdre son téléphone portable. Même le fait de se l’imaginer est stressant. Cependant, lorsque cela arrive, on a plus mal pour les données perdu que pour le téléphone. Heureusement, avec un logiciel espion, vous pouvez récupérer votre téléphone portable.

Lire aussi : Quelle est l’autonomie d’un collier GPS ?

C’est une option à laquelle la majorité des utilisateurs ne pensent pas souvent. Ils sont plus fixés sur l’espionnage de la messagerie, des appels et autre. Avec la géolocalisation qui est une fonctionnalité du logiciel, vous pouvez récupérer facilement votre appareil. Il vous suffit de récupérer les coordonnées puis de les envoyer à la police.

Les logiciels espions vous serviront à lever le doute sur l’infidélité de votre partenaire

Surveiller un partenaire que vous soupçonnez d’infidélité est aussi une chose que vous pourrez faire avec les logiciels espions. En effet, une vraie relation de couple doit être basée sur la confiance mutuelle. Cependant, il arrive que l’on remarque des signes annonciateurs d’infidélité chez son partenaire. Pour lever le doute, vous pouvez utiliser un logiciel espion afin de voir si les excuses que vous donne votre partenaire sont valables. C’est bien moins cher que de payer un détective privé.

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Combien coûte une théière ?

RMES - Wed, 24/06/2020 - 12:04

La théière est un accessoire indispensable pour la dégustation du thé. Elle existe sous différentes formes et modèles selon les marques de fabrication et les matériaux utilisés. Ainsi, sur le marché, le prix de cet ustensile de cuisine varie en fonction du modèle. Il est alors primordial de connaître combien coûte cet appareil avant de vous lancer dans son achat. Cela vous permettra de prévoir votre budget en conséquence. Nous vous aiderons dans cet article à connaître les différents prix d’une théière.

Article informatif

Les théières classiques

Les théières sont classées en deux grandes catégories : les théières classiques et les théières électriques. Les théières classiques sont généralement les traditionnelles. Ces types de théières varient également en fonction des matériaux utilisés pour leur fabrication. Ainsi, le prix des théières classiques varie selon que la théière soit en fonte, porcelaine, terre cuite, en verre, en acier, etc. Le design de cet appareil peut aussi influencer son prix de vente. Si vous ne disposez pas d’un budget assez grand, ce type de théière serait idéal pour vous.

Le prix d’une théière classique peut varier entre 5 et 40 euros selon le modèle et le design. Notez aussi que cette théière est également utilisée pour la décoration. En effet, certaines théières classiques sont de véritables objets décoratifs. Bien qu’elles vous permettent d’infuser votre thé, elles participent au décor de votre salon avec leur design très remarquable. Il en existe pour tous les budgets. Tout dépend du modèle de votre choix et de votre goût.

Notez qu’avec une théière classique, le thé se fait manuellement. Elle ne sert juste qu’à infuser votre thé. Vous devez donc prévoir une bouilloire afin de chauffer l’eau que vous devez verser dans la théière pour l’infusion du thé.

Autre sujet : Quelles sont les meilleures marques de café disponibles en France

Les théières électriques

Ce sont des théières modernes et automatiques. L’infusion du thé avec une théière électrique se fait plus rapidement et nécessite moins de votre présence. Elles peuvent infuser jusqu’à 2 litres de thé selon le modèle. Les théières modernes sont équipées de nouvelles technologies. Ainsi en fonction de la technologie utilisée plusieurs modèles de théière électriques sont rencontrés. À part la technologie, plusieurs autres paramètres permettent de différencier les différents modèles. Cette variabilité d’un accessoire à l’autre influence remarquablement le prix de vente.

Plusieurs maisons de fabrications proposent plusieurs modèles de théière électrique. Le choix peut s’avérer parfois difficile compte tenu de la performance de l’ustensile de thé ou de la notoriété de la marque. Ainsi, le prix d’une théière moderne est très onéreux. Il varie entre 50 à 200 euros ou plus s’il s’agit d’un modèle plus performant. Les théières automatiques sont très chères et ne correspondent pas sûrement à tous les budgets. Cependant, tout dépend de vous. Si vous optez pour une théière électrique, alors apprêtez-vous en conséquence.

Si vous voulez être sûr de faire un bon investissement, faites alors recours aux marques les plus reconnues. Là, vous aurez l’assurance d’avoir choisi une théière de très bonne qualité et également très résistante. Faites alors votre budget en fonction de vos envies et de vos besoins.

A consulter aussi : Quelle théière choisir ?

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Quelle régulation pour les services en ligne ?

Fondapol / Général - Wed, 24/06/2020 - 11:48

La Commission européenne a lancé le 2 juin dernier une consultation publique sur sa future législation sur les services en ligne ou « Digital Services Act ​» (DSA). Son objectif est de doter l’Union européenne d’une régulation spécifique des plateformes numériques concernant leur pouvoir de marché (les ventes en ligne) ainsi que leur responsabilisation en matière de diffusion des […]

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Funding the UN: support or constraint?

Adequate and predictable funding to multilateral development organizations is key to promoting global sustainable development. Funding volumes and practices matter. They affect the scale and scope of solutions that can be offered. They reveal the extent to which multilateral organizations are owned by member states when looking at who shares the risks and costs of multilateral activities, and they demonstrate the level of trust placed in an organization. Through resource politics, states exercise influence and control over an organization. This influence can serve to support and strengthen multilateral organizations by helping them to be efficient, effective, and innovative. Or, it can also undermine international organizations by making their work harder, hampering development effectiveness, and eroding multilateral assets. The UN development system (UNDS) illustrates both kinds of financial engagement, often in parallel. This chapter begins by describing the current funding patterns of the UNDS, analyzes the main drivers, and assesses repercussions. It then takes stock of responses by individual organizations as well as by the system as a whole. The chapter concludes with some reflections about the inherent challenges in finding remedies to the unsustainable funding structures that endanger the system’s multilateral assets.

Funding the UN: support or constraint?

Adequate and predictable funding to multilateral development organizations is key to promoting global sustainable development. Funding volumes and practices matter. They affect the scale and scope of solutions that can be offered. They reveal the extent to which multilateral organizations are owned by member states when looking at who shares the risks and costs of multilateral activities, and they demonstrate the level of trust placed in an organization. Through resource politics, states exercise influence and control over an organization. This influence can serve to support and strengthen multilateral organizations by helping them to be efficient, effective, and innovative. Or, it can also undermine international organizations by making their work harder, hampering development effectiveness, and eroding multilateral assets. The UN development system (UNDS) illustrates both kinds of financial engagement, often in parallel. This chapter begins by describing the current funding patterns of the UNDS, analyzes the main drivers, and assesses repercussions. It then takes stock of responses by individual organizations as well as by the system as a whole. The chapter concludes with some reflections about the inherent challenges in finding remedies to the unsustainable funding structures that endanger the system’s multilateral assets.

Funding the UN: support or constraint?

Adequate and predictable funding to multilateral development organizations is key to promoting global sustainable development. Funding volumes and practices matter. They affect the scale and scope of solutions that can be offered. They reveal the extent to which multilateral organizations are owned by member states when looking at who shares the risks and costs of multilateral activities, and they demonstrate the level of trust placed in an organization. Through resource politics, states exercise influence and control over an organization. This influence can serve to support and strengthen multilateral organizations by helping them to be efficient, effective, and innovative. Or, it can also undermine international organizations by making their work harder, hampering development effectiveness, and eroding multilateral assets. The UN development system (UNDS) illustrates both kinds of financial engagement, often in parallel. This chapter begins by describing the current funding patterns of the UNDS, analyzes the main drivers, and assesses repercussions. It then takes stock of responses by individual organizations as well as by the system as a whole. The chapter concludes with some reflections about the inherent challenges in finding remedies to the unsustainable funding structures that endanger the system’s multilateral assets.

Der Haushalt der EU als Chance in der Krise

SWP - Wed, 24/06/2020 - 00:30

Als Reaktion der EU auf die sozioökonomischen Folgen der Corona-Pandemie hat die Europäische Kommission am 27. Mai 2020 ein umfassendes Maßnahmenpaket vor­gelegt. Es besteht aus zwei Komponenten. Zum einen soll der ursprüngliche Vorschlag der Kommission vom Mai 2018 für den Mehrjährigen Finanzrahmen (MFR) 2021–2027 auf 1,8 Billionen Euro aufgestockt werden. Zum anderen schlägt die Kommission unter dem Titel »Next Generation EU« einen befristeten Konjunkturhaushalt in Höhe von 750 Milliarden Euro vor.

Dieses weitreichende Paket, das die Kommission in wenigen Wochen erstellte, kann bewirken, dass die europäische Budgetpolitik fundamental umgestaltet wird und dass die Zuständigkeiten und Verantwortlichkeiten zwischen der EU und den Mitgliedstaaten neu aufgeteilt werden. Das Ergebnis könnte eine deutliche Vertiefung der europäischen Integration sein.

Migration und die Agenda 2030: Es zählt nur, wer gezählt wird

SWP - Wed, 24/06/2020 - 00:00

Unter dem Leitgedanken »Leave no one behind« hat sich die Weltgemeinschaft mit der Agenda 2030 zum Ziel gesetzt, die Lebensbedingungen armer und marginalisierter Gruppen zu verbessern. Zu ihnen gehören in vielen Fällen auch Geflüchtete und Migranten. In den für die Umsetzung der Agenda 2030 maßgebenden Zielen nach­haltiger Entwicklung (Sustainable Development Goals – SDGs) werden sie allerdings kaum berücksichtigt. Als Folge dessen wächst die Gefahr, dass sich bestehende Be­nachteiligungen verstetigen oder stärker ausprägen. Fünf Jahre nach Verabschiedung der SDGs ist die Bilanz ernüchternd: Noch immer fehlen in den meisten Ländern nach Migrationsstatus disaggregierte Daten, die notwendig sind, um Veränderungen in der Lebenssituation migrantischer Bevölkerungsgruppen nachvollziehen und überprüfen zu können. Im Kontext ihres umfassenden Engagements für die Umsetzung der SDGs sollte sich die Bundesregierung dafür einsetzen, dass Geflüchtete und Migranten im Follow-Up und Review der Agenda 2030 systematisch berücksichtigt werden.

 

Negative Sanktionen und auswärtige EU‑Migrationspolitik

SWP - Wed, 24/06/2020 - 00:00

Die EU-Kommission hat angekündigt, während der deutschen EU-Ratspräsidentschaft einen neuen »Pakt für Migration und Asyl« zu präsentieren. Erwartet werden Impulse für die lang ausstehende Reform des Gemeinsamen Europäischen Asylsystems, eine Stärkung der EU-Außengrenzen und die migrationspolitische Kooperation mit Dritt­staaten. Letzteres sehen viele Staaten der EU als besonders dringlich an, um Herkunfts­­länder zur Rückübernahme ausreisepflichtiger Staatsbürger zu bewegen. Neben posi­tiven Anreizen werden zunehmend Sanktionsmöglichkeiten gegenüber kooperations­unwilli­gen Drittstaaten diskutiert. Zwar können Strafmaßnahmen kurzfristig wirken, erschei­nen aber wenig nachhaltig und gefährden weitergehende Ziele der Europäischen Außen- und Entwicklungspolitik. Daher sollte sich Deutschland während seiner Rats­präsidentschaft eher für migrationspolitische Instrumente einsetzen, die einen langfristigen und fairen Interessenausgleich der EU mit Drittstaaten zum Ziel haben.

 

España y la crisis del coronavirus: una reflexión estratégica en contexto europeo e internacional

Real Instituto Elcano - Tue, 23/06/2020 - 11:36
Charles Powell, Ignacio Molina y José Pablo Martínez (coords.) . 23/6/2020

Este documento es una reflexión estratégica del equipo de investigación del Real Instituto Elcano que conjuga el enfoque analítico (¿a qué se enfrenta España en la crisis del coronavirus?) con el prescriptivo (¿cómo puede hacerlo en mejores condiciones?).

Corona-Krise und politische Konfrontation in Brasilien

SWP - Tue, 23/06/2020 - 00:00

Wirtschaftsaufschwung, Korruptionsbekämpfung und eine eiserne Hand gegen Gewaltkriminalität hat Jair Bolsonaro im Wahlkampf versprochen – heute bilden sie die schwachen Flanken des Präsidenten: Brasilien ist ein Epizentrum der Covid‑19-Pandemie geworden. Auch wenn Bolsonaro diese kleinredet und sich gegen die Ein­dämmungs­maßnahmen stellt, zeitigen das Virus und das chaotische Krisen­manage­ment gravie­rende sanitäre, soziale und ökonomische Folgen für Bürgerinnen und Bürger. Ermittlungen, unter anderem wegen Korruption, sowie die Enthüllungen des zurückgetretenen Justiz­ministers nehmen den Präsidenten und seine Familie ins Visier. Während die Mord­rate im Jahr 2020 wieder ansteigt, plädierte Bolsonaro in einer Kabinett­sitzung für den bewaffneten Widerstand der Bevölkerung gegen die Politik des Ge­sundheits­schutzes in den Bundesstaaten. Der vom Impeachment bedrohte Präsident ringt um sein politisches Überleben und fordert dabei rechtsstaatliche und demokratische Prinzipien heraus.

 

Sudan Conference: A Historic Opportunity

SWP - Tue, 23/06/2020 - 00:00

A little more than a year has passed since the coup that toppled President Omar al-Bashir. On 25 June, the Sudan Partnership Conference – convened by Germany in concert with Sudan, the European Union and the United Nations – will coordinate action to overcome the country’s economic difficulties. The timing is favourable for Sudan’s supporters and international donors to contribute to the democratic transition. They should grasp the historic opportunity.

Despite massive economic problems, political fragmentation and a deteriorating standard of living in the face of the Covid-19 pandemic, the transitional government of Prime Minister Abdalla Hamdok still enjoys the confidence of the population. The Islamist military kleptocracy it replaced had ruled the country for three decades. Under President Bashir the regime invested primarily in the military, but neglected energy, health and the long overdue modernisation of agriculture. Revenues from currency transactions, gold smuggling and investment deals flowed straight into the bank accounts of members of the party/military complex.

The new government now has to deal with that legacy, and has appointed a committee to investigate corruption, money-laundering and patronage networks between business, the military and the former ruling party. Monthly payments of tens of millions of dollars into President Bashir’s private bank account have been identified and the assets and investments of members of the old regime have been frozen. But it remains unclear when – if at all – funds held abroad will be located, recovered and returned to the state. The strongest and most influential political figure, militia leader Mohamed Hamdan Dagalo (Hemedti) – who serves as Deputy Chairman of the Sovereignty Council  – participates at least symbolically in the government’s new course by acquiescing to taxation of parts of his gold mining and other businesses. But this still leaves the government far short of the resources it needs to satisfy the needs of the population and invest in sectors capable of creating urgently needed employment. This exacerbates the risk of waning support for democratisation and failure of the political reset. A military coup or Libyan-style destabilisation are both plausible scenarios, and would have destabilising effects far beyond the country’s borders.

No economic upturn without political stability

Stabilisation will require concerted international efforts. Any financial assistance should be aligned with a process seeking political stability, integration of the armed opposition and participation by civilian actors of the revolution in course-setting decisions about the country’s political future. Substantial support for rebuilding the Sudanese economy is expected to come above all from the international financial institutions (IFIs). Sudan is still on Washington’s list of State Sponsors of Terrorism (SST), and therefore excluded from access to funding from the World Bank and the International Monetary Fund (IMF). Nevertheless, European/American cooperation, in particular in the Friends of Sudan group, has led the World Bank to prepare debt relief processes and the IMF to support necessary economic reforms with its own expertise. All involved regard the political transformation as a historic opportunity whose success is closely bound up with economic developments. Alongside the IFIs, the Paris Club of creditor countries and donor countries are expected to participate in economic reconstruction. At the conference, effort will also need to go into persuading China and Sudan’s wealthy allies in the Gulf to see the transition as a stabilisation that also serves their interests – and commit billions in investments. Whether the country’s desolate critical infrastructure can be stabilised, for example in the energy and power sectors, will also depend on their commitments. The pandemic has highlighted the importance of a functioning health sector for meeting the needs of the population, and thus also for political legitimacy. Without a reliable electricity supply economic recovery will be difficult and investments, for example in major agricultural projects, are unlikely to be profitable.

The Partnership Conference comes at an opportune juncture. The Sudanese government hopes for substantial support for economic development. Hopefully it will be clear on 25 June that this is only possible if all involved work together on a joint solution. All parties should also be aware that economic recovery cannot succeed without political stability and political stability in Sudan cannot succeed without the political transition. Therefore financial assistance must always be aligned with the transition process.

This text has also been published at fairobserver.com.

Wachsende Ungleichheit kann die Auswirkungen der Pandemie noch verschlimmern

Wie sich Covid-19 auf unseren Alltag auswirkt, ist nicht zu übersehen. Weniger offensichtlich sind die unmittelbaren Auswirkungen der Pandemie auf die Armut in der Welt. Der wirtschaftliche Verlust, der aktuell weltweit auf etwa 5,2 Prozent des Bruttoinlandsprodukts (BIP) geschätzt wird, vermittelt nur ein unvollständiges Bild der tatsächlichen gesellschaftlichen und menschlichen Kosten. Die Berechnung könnte ähnlichen Verzerrungen unterliegen wie viele Klimafolgenabschätzungen. So erscheint der absolute Verlust in wohlhabenden Gebieten häufig größer, was aber lediglich darauf zurückzuführen ist, dass es dort in wirtschaftlicher Hinsicht mehr zu verlieren gibt. Bezüglich der Auswirkungen auf ihren Lebensunterhalt sind jedoch ohnehin bereits gefährdete Gemeinschaften am stärksten betroffen. Jeder Nettoverlust bedeutet für sie den Verlust eines größeren Teils ihres ohnehin knappen Einkommens, und die Wirkungen werden weit über Einkommensschocks hinausgehen.

Es ist daher wichtig, die Folgen der Pandemie für die globale Armut abzuschätzen und zu prüfen, inwieweit dadurch unsere Fähigkeit beeinträchtigt wird, die extreme Armut global zu beseitigen, wie es die Ziele für nachhaltige Entwicklung bis zum Jahr 2030 vorsehen. Dieser Aufgabe hat sich ein Team der Weltbank angenommen. Das Deutsche Institut für Entwicklungspolitik (DIE) und die Weltbank haben in diesem Zuge ein Modell entwickelt, dass die globale Armut bis 2030 ebenso wie die Rolle simuliert, die eine Veränderung von Ungleichheiten für die Erreichung des Armutsziels spielt. Laut dieses Modells können durch die Covid-19-Pandemie weltweit etwa 70 Millionen Menschen zusätzlich in extreme Armut fallen.

Bedenkt man, dass das Einkommensniveau, bei dem eine Person im weltweiten Vergleich als extrem arm gilt, der durchschnittlichen Armutsgrenze in mehreren der ärmsten Länder entspricht, ist dieser Trend wahrlich besorgniserregend. Tritt das Ergebnis der Simulation ein, müssen etwa 70 Millionen Menschen zusätzlich mit etwas weniger als zwei Dollar (genauer gesagt 1,90 USD mit der Kaufkraftparität von 2011) pro Person und Tag auskommen. Zu den rund 600 Millionen Menschen, die schon jetzt in extremer Armut leben, kämen also noch über 10 Prozent hinzu. Noch viele mehr werden in die darüber liegende Kategorie der zwar nicht extremen, aber immer noch sehr großen Armut fallen.

Eine weitere wichtige Frage ist, wie sich die globale Rezession in verschiedenen Einkommensgruppen innerhalb der Verteilung niederschlagen wird. Die obige Schätzung von 70 Millionen zusätzlichen Armen geht davon aus, dass die Einkommen innerhalb der gesamten Einkommensverteilung gleich stark sinken werden. In den Entwicklungsländern sind von den „Lockdown“-Maßnahmen jedoch viele Menschen betroffen, die im informellen Sektor oder in prekären Arbeitsverhältnissen arbeiten. Viele dieser Geringverdiener werden möglicherweise für einige Monate einen Großteil ihres Einkommens verlieren. Sie sind also überproportional benachteiligt, wodurch sich die Ungleichheit noch verstärkt. Der Rückgang des BIP kann sich also innerhalb der Einkommensverteilung unterschiedlich stark niederschlagen. Die Verteilungseffekte der Rezession müssen also berücksichtigt werden.

Da über die Verteilungseffekte noch keine Daten vorliegen, lässt sich nur simulieren, wie sich die Veränderungen der Ungleichheit auf die geschätzte Armut auswirken. Wenn die Ungleichheit gemessen am Gini-Index, einem Standardmaß zur Darstellung von Ungleichheit, weltweit um 1 Prozent ab- oder zunimmt, könnte die Zahl der zusätzlichen extrem Armen entsprechend 55 oder 85 Millionen betragen. Eine solche prozentuale Veränderung der Einkommensverteilung bewegt sich im Rahmen dessen, was in einem beliebigen Land innerhalb eines Jahres üblich ist. Der Unterschied zwischen den Zahlen würde sich auf etwa 40 bis 100 Millionen Menschen vergrößern, wenn die Veränderung der Ungleichheit in der Größenordnung von 2 Prozent liegt. Die Wahrscheinlichkeit, dass sich die Ungleichheit in allen Ländern auf die gleiche Weise ändert ist sehr gering. Dennoch erhält man so eine Vorstellung von der Bandbreite der Ergebnisse, wenn man Veränderungen bei der Verteilung berücksichtigt: Sollte der Gini-Index um 2 Prozent sinken, könnte dies die Auswirkungen der Pandemie auf die globale Armut fast halbieren. Eine Steigerung um 2 Prozent würde sie um fast 50 Prozent verstärken.

Für die politischen Entscheidungsträger der Welt und vor allem für die entwicklungspolitischen Akteure ist daher nicht nur die aggregierte Auswirkung der Pandemie entscheidend, sondern auch die wichtige Rolle der Bekämpfung der Ungleichheit für die Abschwächung der wirtschaftlichen und sozialen Folgen. Unsere Berechnungen zeigen, dass den Regierungen auch bei stagnierendem Wirtschaftswachstum eine außerordentliche Verantwortung zukommt. Sie müssen nicht nur antizyklisch handeln, um das Wachstum anzukurbeln – idealerweise mit Investitionen in eine ökologisch nachhaltige Weltwirtschaft – sondern auch die Lebensgrundlagen von Menschen in den unteren Einkommenssegmenten sicherstellen. Das beinhaltet insbesondere die Vertiefung und Ausweitung sozialer Sicherung, sowie die Stärkung weiterer Maßnahmen zur Bekämpfung von Ungleichheit, wie zum Beispiel progressiver Besteuerung und Investitionen in ländliche Infrastruktur. Politisches Handeln muss sich jetzt darauf konzentrieren, die ungleichen Auswirkungen der Pandemie abzumildern und dafür zu sorgen, dass die wirtschaftlichen Maßnahmen in ihrer Gesamtheit geeignet sind, Ungleichheit zu verringern.

Mario Negre ist Ökonom und Wissenschaftlicher Mitarbeiter im Forschungsprogramm Transformation der Wirtschafts- und Sozialsysteme am Deutschen Institut für Entwicklungspolitik (DIE).

Daniel Gerszon Mahler is Ökonom und Young Professional in der Development Data Group der Weltbank

Christoph Lakner ist Senior Economist der Development Data Group bei der Weltbank.

Dieser Text ist Teil einer Sonderreihe unseres Formats Die aktuelle Kolumne, die die Folgen der Corona-Krise entwicklungspolitisch und sozioökonomisch einordnet. Sie finden die weiteren Texte hier auf unserer Überblicksseite.

Wachsende Ungleichheit kann die Auswirkungen der Pandemie noch verschlimmern

Wie sich Covid-19 auf unseren Alltag auswirkt, ist nicht zu übersehen. Weniger offensichtlich sind die unmittelbaren Auswirkungen der Pandemie auf die Armut in der Welt. Der wirtschaftliche Verlust, der aktuell weltweit auf etwa 5,2 Prozent des Bruttoinlandsprodukts (BIP) geschätzt wird, vermittelt nur ein unvollständiges Bild der tatsächlichen gesellschaftlichen und menschlichen Kosten. Die Berechnung könnte ähnlichen Verzerrungen unterliegen wie viele Klimafolgenabschätzungen. So erscheint der absolute Verlust in wohlhabenden Gebieten häufig größer, was aber lediglich darauf zurückzuführen ist, dass es dort in wirtschaftlicher Hinsicht mehr zu verlieren gibt. Bezüglich der Auswirkungen auf ihren Lebensunterhalt sind jedoch ohnehin bereits gefährdete Gemeinschaften am stärksten betroffen. Jeder Nettoverlust bedeutet für sie den Verlust eines größeren Teils ihres ohnehin knappen Einkommens, und die Wirkungen werden weit über Einkommensschocks hinausgehen.

Es ist daher wichtig, die Folgen der Pandemie für die globale Armut abzuschätzen und zu prüfen, inwieweit dadurch unsere Fähigkeit beeinträchtigt wird, die extreme Armut global zu beseitigen, wie es die Ziele für nachhaltige Entwicklung bis zum Jahr 2030 vorsehen. Dieser Aufgabe hat sich ein Team der Weltbank angenommen. Das Deutsche Institut für Entwicklungspolitik (DIE) und die Weltbank haben in diesem Zuge ein Modell entwickelt, dass die globale Armut bis 2030 ebenso wie die Rolle simuliert, die eine Veränderung von Ungleichheiten für die Erreichung des Armutsziels spielt. Laut dieses Modells können durch die Covid-19-Pandemie weltweit etwa 70 Millionen Menschen zusätzlich in extreme Armut fallen.

Bedenkt man, dass das Einkommensniveau, bei dem eine Person im weltweiten Vergleich als extrem arm gilt, der durchschnittlichen Armutsgrenze in mehreren der ärmsten Länder entspricht, ist dieser Trend wahrlich besorgniserregend. Tritt das Ergebnis der Simulation ein, müssen etwa 70 Millionen Menschen zusätzlich mit etwas weniger als zwei Dollar (genauer gesagt 1,90 USD mit der Kaufkraftparität von 2011) pro Person und Tag auskommen. Zu den rund 600 Millionen Menschen, die schon jetzt in extremer Armut leben, kämen also noch über 10 Prozent hinzu. Noch viele mehr werden in die darüber liegende Kategorie der zwar nicht extremen, aber immer noch sehr großen Armut fallen.

Eine weitere wichtige Frage ist, wie sich die globale Rezession in verschiedenen Einkommensgruppen innerhalb der Verteilung niederschlagen wird. Die obige Schätzung von 70 Millionen zusätzlichen Armen geht davon aus, dass die Einkommen innerhalb der gesamten Einkommensverteilung gleich stark sinken werden. In den Entwicklungsländern sind von den „Lockdown“-Maßnahmen jedoch viele Menschen betroffen, die im informellen Sektor oder in prekären Arbeitsverhältnissen arbeiten. Viele dieser Geringverdiener werden möglicherweise für einige Monate einen Großteil ihres Einkommens verlieren. Sie sind also überproportional benachteiligt, wodurch sich die Ungleichheit noch verstärkt. Der Rückgang des BIP kann sich also innerhalb der Einkommensverteilung unterschiedlich stark niederschlagen. Die Verteilungseffekte der Rezession müssen also berücksichtigt werden.

Da über die Verteilungseffekte noch keine Daten vorliegen, lässt sich nur simulieren, wie sich die Veränderungen der Ungleichheit auf die geschätzte Armut auswirken. Wenn die Ungleichheit gemessen am Gini-Index, einem Standardmaß zur Darstellung von Ungleichheit, weltweit um 1 Prozent ab- oder zunimmt, könnte die Zahl der zusätzlichen extrem Armen entsprechend 55 oder 85 Millionen betragen. Eine solche prozentuale Veränderung der Einkommensverteilung bewegt sich im Rahmen dessen, was in einem beliebigen Land innerhalb eines Jahres üblich ist. Der Unterschied zwischen den Zahlen würde sich auf etwa 40 bis 100 Millionen Menschen vergrößern, wenn die Veränderung der Ungleichheit in der Größenordnung von 2 Prozent liegt. Die Wahrscheinlichkeit, dass sich die Ungleichheit in allen Ländern auf die gleiche Weise ändert ist sehr gering. Dennoch erhält man so eine Vorstellung von der Bandbreite der Ergebnisse, wenn man Veränderungen bei der Verteilung berücksichtigt: Sollte der Gini-Index um 2 Prozent sinken, könnte dies die Auswirkungen der Pandemie auf die globale Armut fast halbieren. Eine Steigerung um 2 Prozent würde sie um fast 50 Prozent verstärken.

Für die politischen Entscheidungsträger der Welt und vor allem für die entwicklungspolitischen Akteure ist daher nicht nur die aggregierte Auswirkung der Pandemie entscheidend, sondern auch die wichtige Rolle der Bekämpfung der Ungleichheit für die Abschwächung der wirtschaftlichen und sozialen Folgen. Unsere Berechnungen zeigen, dass den Regierungen auch bei stagnierendem Wirtschaftswachstum eine außerordentliche Verantwortung zukommt. Sie müssen nicht nur antizyklisch handeln, um das Wachstum anzukurbeln – idealerweise mit Investitionen in eine ökologisch nachhaltige Weltwirtschaft – sondern auch die Lebensgrundlagen von Menschen in den unteren Einkommenssegmenten sicherstellen. Das beinhaltet insbesondere die Vertiefung und Ausweitung sozialer Sicherung, sowie die Stärkung weiterer Maßnahmen zur Bekämpfung von Ungleichheit, wie zum Beispiel progressiver Besteuerung und Investitionen in ländliche Infrastruktur. Politisches Handeln muss sich jetzt darauf konzentrieren, die ungleichen Auswirkungen der Pandemie abzumildern und dafür zu sorgen, dass die wirtschaftlichen Maßnahmen in ihrer Gesamtheit geeignet sind, Ungleichheit zu verringern.

Mario Negre ist Ökonom und Wissenschaftlicher Mitarbeiter im Forschungsprogramm Transformation der Wirtschafts- und Sozialsysteme am Deutschen Institut für Entwicklungspolitik (DIE).

Daniel Gerszon Mahler is Ökonom und Young Professional in der Development Data Group der Weltbank

Christoph Lakner ist Senior Economist der Development Data Group bei der Weltbank.

Dieser Text ist Teil einer Sonderreihe unseres Formats Die aktuelle Kolumne, die die Folgen der Corona-Krise entwicklungspolitisch und sozioökonomisch einordnet. Sie finden die weiteren Texte hier auf unserer Überblicksseite.

Wachsende Ungleichheit kann die Auswirkungen der Pandemie noch verschlimmern

Wie sich Covid-19 auf unseren Alltag auswirkt, ist nicht zu übersehen. Weniger offensichtlich sind die unmittelbaren Auswirkungen der Pandemie auf die Armut in der Welt. Der wirtschaftliche Verlust, der aktuell weltweit auf etwa 5,2 Prozent des Bruttoinlandsprodukts (BIP) geschätzt wird, vermittelt nur ein unvollständiges Bild der tatsächlichen gesellschaftlichen und menschlichen Kosten. Die Berechnung könnte ähnlichen Verzerrungen unterliegen wie viele Klimafolgenabschätzungen. So erscheint der absolute Verlust in wohlhabenden Gebieten häufig größer, was aber lediglich darauf zurückzuführen ist, dass es dort in wirtschaftlicher Hinsicht mehr zu verlieren gibt. Bezüglich der Auswirkungen auf ihren Lebensunterhalt sind jedoch ohnehin bereits gefährdete Gemeinschaften am stärksten betroffen. Jeder Nettoverlust bedeutet für sie den Verlust eines größeren Teils ihres ohnehin knappen Einkommens, und die Wirkungen werden weit über Einkommensschocks hinausgehen.

Es ist daher wichtig, die Folgen der Pandemie für die globale Armut abzuschätzen und zu prüfen, inwieweit dadurch unsere Fähigkeit beeinträchtigt wird, die extreme Armut global zu beseitigen, wie es die Ziele für nachhaltige Entwicklung bis zum Jahr 2030 vorsehen. Dieser Aufgabe hat sich ein Team der Weltbank angenommen. Das Deutsche Institut für Entwicklungspolitik (DIE) und die Weltbank haben in diesem Zuge ein Modell entwickelt, dass die globale Armut bis 2030 ebenso wie die Rolle simuliert, die eine Veränderung von Ungleichheiten für die Erreichung des Armutsziels spielt. Laut dieses Modells können durch die Covid-19-Pandemie weltweit etwa 70 Millionen Menschen zusätzlich in extreme Armut fallen.

Bedenkt man, dass das Einkommensniveau, bei dem eine Person im weltweiten Vergleich als extrem arm gilt, der durchschnittlichen Armutsgrenze in mehreren der ärmsten Länder entspricht, ist dieser Trend wahrlich besorgniserregend. Tritt das Ergebnis der Simulation ein, müssen etwa 70 Millionen Menschen zusätzlich mit etwas weniger als zwei Dollar (genauer gesagt 1,90 USD mit der Kaufkraftparität von 2011) pro Person und Tag auskommen. Zu den rund 600 Millionen Menschen, die schon jetzt in extremer Armut leben, kämen also noch über 10 Prozent hinzu. Noch viele mehr werden in die darüber liegende Kategorie der zwar nicht extremen, aber immer noch sehr großen Armut fallen.

Eine weitere wichtige Frage ist, wie sich die globale Rezession in verschiedenen Einkommensgruppen innerhalb der Verteilung niederschlagen wird. Die obige Schätzung von 70 Millionen zusätzlichen Armen geht davon aus, dass die Einkommen innerhalb der gesamten Einkommensverteilung gleich stark sinken werden. In den Entwicklungsländern sind von den „Lockdown“-Maßnahmen jedoch viele Menschen betroffen, die im informellen Sektor oder in prekären Arbeitsverhältnissen arbeiten. Viele dieser Geringverdiener werden möglicherweise für einige Monate einen Großteil ihres Einkommens verlieren. Sie sind also überproportional benachteiligt, wodurch sich die Ungleichheit noch verstärkt. Der Rückgang des BIP kann sich also innerhalb der Einkommensverteilung unterschiedlich stark niederschlagen. Die Verteilungseffekte der Rezession müssen also berücksichtigt werden.

Da über die Verteilungseffekte noch keine Daten vorliegen, lässt sich nur simulieren, wie sich die Veränderungen der Ungleichheit auf die geschätzte Armut auswirken. Wenn die Ungleichheit gemessen am Gini-Index, einem Standardmaß zur Darstellung von Ungleichheit, weltweit um 1 Prozent ab- oder zunimmt, könnte die Zahl der zusätzlichen extrem Armen entsprechend 55 oder 85 Millionen betragen. Eine solche prozentuale Veränderung der Einkommensverteilung bewegt sich im Rahmen dessen, was in einem beliebigen Land innerhalb eines Jahres üblich ist. Der Unterschied zwischen den Zahlen würde sich auf etwa 40 bis 100 Millionen Menschen vergrößern, wenn die Veränderung der Ungleichheit in der Größenordnung von 2 Prozent liegt. Die Wahrscheinlichkeit, dass sich die Ungleichheit in allen Ländern auf die gleiche Weise ändert ist sehr gering. Dennoch erhält man so eine Vorstellung von der Bandbreite der Ergebnisse, wenn man Veränderungen bei der Verteilung berücksichtigt: Sollte der Gini-Index um 2 Prozent sinken, könnte dies die Auswirkungen der Pandemie auf die globale Armut fast halbieren. Eine Steigerung um 2 Prozent würde sie um fast 50 Prozent verstärken.

Für die politischen Entscheidungsträger der Welt und vor allem für die entwicklungspolitischen Akteure ist daher nicht nur die aggregierte Auswirkung der Pandemie entscheidend, sondern auch die wichtige Rolle der Bekämpfung der Ungleichheit für die Abschwächung der wirtschaftlichen und sozialen Folgen. Unsere Berechnungen zeigen, dass den Regierungen auch bei stagnierendem Wirtschaftswachstum eine außerordentliche Verantwortung zukommt. Sie müssen nicht nur antizyklisch handeln, um das Wachstum anzukurbeln – idealerweise mit Investitionen in eine ökologisch nachhaltige Weltwirtschaft – sondern auch die Lebensgrundlagen von Menschen in den unteren Einkommenssegmenten sicherstellen. Das beinhaltet insbesondere die Vertiefung und Ausweitung sozialer Sicherung, sowie die Stärkung weiterer Maßnahmen zur Bekämpfung von Ungleichheit, wie zum Beispiel progressiver Besteuerung und Investitionen in ländliche Infrastruktur. Politisches Handeln muss sich jetzt darauf konzentrieren, die ungleichen Auswirkungen der Pandemie abzumildern und dafür zu sorgen, dass die wirtschaftlichen Maßnahmen in ihrer Gesamtheit geeignet sind, Ungleichheit zu verringern.

Mario Negre ist Ökonom und Wissenschaftlicher Mitarbeiter im Forschungsprogramm Transformation der Wirtschafts- und Sozialsysteme am Deutschen Institut für Entwicklungspolitik (DIE).

Daniel Gerszon Mahler is Ökonom und Young Professional in der Development Data Group der Weltbank

Christoph Lakner ist Senior Economist der Development Data Group bei der Weltbank.

Dieser Text ist Teil einer Sonderreihe unseres Formats Die aktuelle Kolumne, die die Folgen der Corona-Krise entwicklungspolitisch und sozioökonomisch einordnet. Sie finden die weiteren Texte hier auf unserer Überblicksseite.

Fondation, Le "Rapport Schuman sur l'Europe, l'état de l'Union 2020" en version numérique

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 22/06/2020 - 02:00
L'édition 2020 du "Rapport Schuman sur l'Europe, l'état de l'Union", ouvrage de référence pour les décideurs européens, est disponible en version électronique en français et en anglais. Avec la contribution des plus hautes personnalités et des meilleurs experts, des cartes originales et des statistiques commentées, il offre une vue complète de l'Union européenne et analyse les défis auxquels l'Europe fait face.

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